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Prélude / Re : Attention à vos poches ! [Keira]
« le: jeudi 01 décembre 2022, 16:27:09 »
Bienvenue, keupine prostituée x)
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Prélude / Re : L'inquisiteur glouton [Anéa]
« le: mardi 29 novembre 2022, 12:23:47 »
Je veux pas jeter la pierre, mais t’es devenu exactement ce que tu combattais ° ^ °
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Prélude / Re : Lizzy, une Chevalier de l'église a pervertir [Anéa]
« le: samedi 19 novembre 2022, 01:02:11 »
Elle aime pas rester à rien faire…
*Passe le plus clair de son temps à glandouiller chez elle*
Bon ben… Bonne chance hein… *S’en va en sifflotant l’air de rien*
*Passe le plus clair de son temps à glandouiller chez elle*
Bon ben… Bonne chance hein… *S’en va en sifflotant l’air de rien*
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Le parc et son sous-bois / Re : Le bois du stupre, de la salacité et de la soif. [PV : Madoka]
« le: lundi 14 novembre 2022, 13:28:50 »
Le type finit par lui répondre, après avoir calmé ses éclats de rires. Mais à sa façon de lui répondre tout comme à sa gestuelle parodiant des nobles... Bon, clairement, il continuait de se foutre de sa poire. Au moins, elle appris qu'il s'agissait bien d'un être surnaturel.
- Mon nom et mon prénom sont Izar Myrrhe, ô noble inconnue. Et non, je ne suis rien de cela, je suis un vampire de pur sang en quête de gratifications faciles venu ici dans ce bois. Maintenant, je vous en prie, daignez répondre à ma question : à qui ai-je l’honneur ? Vous êtes pressée ? Je vous dérange ? Si je vous importune, milles excuses !, je passerai mon chemin ?
Madoka soupira. Un vampire ? De ce qu'elle en savait, ces derniers vivaient principalement dans l’Europe de l'est et en Amérique. Celui-ci était bien loin de chez lui. Un voyageur sans doute ? Pas étonnant alors qu'il ne sache rien des Yokai Japonais. La belle était mitigée. D'un coté, elle était contente de rencontrée une autre créature surnaturelle, mais de l'autre... Bon sang, est ce qu'il fallait vraiment qu'il soit aussi insupportable ?
- J'me nomme Madoka Yukimizu. Et j'suis une Yokai. Une Oni plus précisément. On nous appelle aussi démons, bien qu'on ait aucun rapport avec les enfers chez les chrétiens. Nous, on est plus en rapport avec les éléments, comme la foudre ou le feu par exemple. La plupart des Oni vivent en clan. Moi, j'suis plus du genre solitaire.
Voilà pour les petites précisions sur sa race, histoire d'améliorer un peu la culture du vampire sur le folklore du Japon. Madoka croisa ensuite les bras. Moins hargneuse, elle gardait toutefois les sourcils froncés.
- Tu l'as sans doute r'marqué, mais l'ère moderne à un peu modifié nos habitudes. Il y'a encore une centaine d'année, j'aurais pu subvenir à mes besoin en chassant l'gibier. Aujourd'hui, j'ai besoin d'argent pour m'nourrir. Et vendre mon corps pour une nuit est encore l'meilleur moyen d'en gagner. D'où mon accoutrement.
Bon, en vrai, Madoka était rentière et n'avait pas besoin de se prostituer pour gagner de l'argent, mais ça restait la meilleure excuse pour avoir des rapports sexuels réguliers sans prise de tête. Maintenant, s'il voulait s'offrir ses services dans ce parc, là, tout de suite, elle ne dirait certainement pas non. Il avait beau être insolent, il n'en restait pas moins bien bâtit.
- Mon nom et mon prénom sont Izar Myrrhe, ô noble inconnue. Et non, je ne suis rien de cela, je suis un vampire de pur sang en quête de gratifications faciles venu ici dans ce bois. Maintenant, je vous en prie, daignez répondre à ma question : à qui ai-je l’honneur ? Vous êtes pressée ? Je vous dérange ? Si je vous importune, milles excuses !, je passerai mon chemin ?
Madoka soupira. Un vampire ? De ce qu'elle en savait, ces derniers vivaient principalement dans l’Europe de l'est et en Amérique. Celui-ci était bien loin de chez lui. Un voyageur sans doute ? Pas étonnant alors qu'il ne sache rien des Yokai Japonais. La belle était mitigée. D'un coté, elle était contente de rencontrée une autre créature surnaturelle, mais de l'autre... Bon sang, est ce qu'il fallait vraiment qu'il soit aussi insupportable ?
- J'me nomme Madoka Yukimizu. Et j'suis une Yokai. Une Oni plus précisément. On nous appelle aussi démons, bien qu'on ait aucun rapport avec les enfers chez les chrétiens. Nous, on est plus en rapport avec les éléments, comme la foudre ou le feu par exemple. La plupart des Oni vivent en clan. Moi, j'suis plus du genre solitaire.
Voilà pour les petites précisions sur sa race, histoire d'améliorer un peu la culture du vampire sur le folklore du Japon. Madoka croisa ensuite les bras. Moins hargneuse, elle gardait toutefois les sourcils froncés.
- Tu l'as sans doute r'marqué, mais l'ère moderne à un peu modifié nos habitudes. Il y'a encore une centaine d'année, j'aurais pu subvenir à mes besoin en chassant l'gibier. Aujourd'hui, j'ai besoin d'argent pour m'nourrir. Et vendre mon corps pour une nuit est encore l'meilleur moyen d'en gagner. D'où mon accoutrement.
Bon, en vrai, Madoka était rentière et n'avait pas besoin de se prostituer pour gagner de l'argent, mais ça restait la meilleure excuse pour avoir des rapports sexuels réguliers sans prise de tête. Maintenant, s'il voulait s'offrir ses services dans ce parc, là, tout de suite, elle ne dirait certainement pas non. Il avait beau être insolent, il n'en restait pas moins bien bâtit.
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Prélude / Re : Heureux de te rencontrer ! [Vanéalidé !]
« le: samedi 12 novembre 2022, 23:12:23 »
*Fait un salut à l’autre Oni*
C’est bête, on est pas sur le même monde ° ^ °
C’est bête, on est pas sur le même monde ° ^ °
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Le parc et son sous-bois / Re : Le bois du stupre, de la salacité et de la soif. [PV : Madoka]
« le: mardi 11 octobre 2022, 01:36:15 »
Madoka fulmine, ouvrant ses placard un à un, fouillant tout ses tiroirs durant de longues minutes, avant de finalement se rendre à la triste et implacable évidence… Elle n’a plus de sauce soja putain!! Faire un repas sans sauce soja ? Tout simplement impensable pour l’Oni. Oui, c’était trivial pour elle, il y’avait sans doute plus important, mais elle était très à cheval sur la qualité de ses plats et leur assaisonnement. Et évidemment, il fallait qu’elle ait un problème de réseau précisément ce soir là, impossible de se faire livrer… Tant pis, pas le choix, ce soir elle sortira faire ses courses à son combini habituel.
Comme à chaque sortie, elle se vêtue façon salope impudique et usa de sa magie pour dématérialiser ses cornes et changer l’apparence de ses oreilles, puis sortit. L’air frais sur ça peau lui fit du bien mine de rien, et elle marcha tranquillement à travers bois jusqu’à rejoindre la ville. Être aussi peu vêtue dans les rues lui était égal et la jeune fille ne prêtait aucunement attention aux réactions qu’elle suscitait chez les quelques badauds qu’elle croisait. Le magasin vers lequel elle se dirigeait n’était pas qu’un simple combini de quartier, mais plutôt une épicerie qui s’était certes modernisée, mais proposait toujours des produits non industriels issus de la grande distribution et au goût insipide. Cerise sur le gâteau, elle était tenue par des Shintoïste pratiquants. C’est à dire des gens qui croyaient encore aux Yokaï et Kami.
Lorsque Madoka franchit le seuil, son accoutrement ne surpris nullement la commerçante a l’intérieur. C’était une habituée, à tel point qu’elle repris son apparence normale. Elle pu d’ailleurs voir du coin de l’œil une Kappa, qui avait quittée son marais pour venir chercher le poisson qu’il n’y avait plus dans son habitat. C’était là le problème de l’ère moderne par rapport à l’ancien temps. Il y’avait moins de terres naturelles et de gibier au profit de l’urbanisation. Et ceux qui en pâtissaient le plus étaient les créatures du folklore.
- Bonsoir Madoka… qu’est ce qui t’amène en cette soirée ?
- Bonsoir Me Koyabe. Je n’ai plus de sauce soja. Il vous reste de la Shodoshima ?
- Oui, tu as de la chance, il me reste deux ou trois flacons. Attend un instant.
Elle s’en alla dans la réserve, pendant que la Kappa rejoignit l’Oni à la caisse. Quelques instants plus tard, la femme revint avec le précieux flacon. Madoka fit apparaître sa carte bleu et paya la précieuse sauce, la marque la plus réputée du pays, mais aussi la plus chère. Elle pris ensuite congé en les saluant, son précieux trésors dans son sac de course, qu’elle envoya dans la même dimension de poche que sa carte. Sur le chemin du retour, elle décida de couper par le parc pour en profiter un peu, et économiser un peu sa magie. Se pensant seule, elle refit apparaître ses cornes et déambula tranquillement.
En vérité, elle pensait s’amuser un moment avec la Kappa, qui vivait probablement ici. Mais alors qu’elle approchait d’une fontaine, Madoka sentit du mouvement derrière elle et se retourna vivement. Mais tout ce dont elle eu droit, ce fut un homme avec des oreilles éfilées et le teint blafard… qui se foutait ouvertement d’elle en riant aux éclats. Elle sentit la colère empourpré son visage.
- Je savais que des originaux se réunissaient ici le soir venu, mais je n’aurais pas cru tomber sur quelqu’un comme toi. À qui ai-je l’honneur ?
- J’t’en pose des questions moi ? Déjà de un, ça s’fait pas de se foutre du mode de vie des gens qu’tu connais pas, et de deux, la galanterie, c’est pour les gueux ? Présente toi d’abord et je daignerais peut être te répondre !
Oh oui, elle était toute rouge de colère là p’tite Oni. Les bras croisés sous sa poitrine quasi inexistante, elle lui lançait un regard furieux, mais il y avait de quoi non ? Est-ce qu’elle se moquait de son teint de cadavre ? Non ! Bon alors ? En revanche elle devait bien admettre qu’elle n’avait aucune idée de ce qu’il était, hormis le fait qu’il n’était clairement pas humain.
- T’es quoi comme Yokai toi ? Un Hotoke ? Le cimetière c’est pas ici. Ou alors tu viens de mourir peut être ?
C’était qu’avec ces bêtises, elle risquait de manquer la Kappa…
Comme à chaque sortie, elle se vêtue façon salope impudique et usa de sa magie pour dématérialiser ses cornes et changer l’apparence de ses oreilles, puis sortit. L’air frais sur ça peau lui fit du bien mine de rien, et elle marcha tranquillement à travers bois jusqu’à rejoindre la ville. Être aussi peu vêtue dans les rues lui était égal et la jeune fille ne prêtait aucunement attention aux réactions qu’elle suscitait chez les quelques badauds qu’elle croisait. Le magasin vers lequel elle se dirigeait n’était pas qu’un simple combini de quartier, mais plutôt une épicerie qui s’était certes modernisée, mais proposait toujours des produits non industriels issus de la grande distribution et au goût insipide. Cerise sur le gâteau, elle était tenue par des Shintoïste pratiquants. C’est à dire des gens qui croyaient encore aux Yokaï et Kami.
Lorsque Madoka franchit le seuil, son accoutrement ne surpris nullement la commerçante a l’intérieur. C’était une habituée, à tel point qu’elle repris son apparence normale. Elle pu d’ailleurs voir du coin de l’œil une Kappa, qui avait quittée son marais pour venir chercher le poisson qu’il n’y avait plus dans son habitat. C’était là le problème de l’ère moderne par rapport à l’ancien temps. Il y’avait moins de terres naturelles et de gibier au profit de l’urbanisation. Et ceux qui en pâtissaient le plus étaient les créatures du folklore.
- Bonsoir Madoka… qu’est ce qui t’amène en cette soirée ?
- Bonsoir Me Koyabe. Je n’ai plus de sauce soja. Il vous reste de la Shodoshima ?
- Oui, tu as de la chance, il me reste deux ou trois flacons. Attend un instant.
Elle s’en alla dans la réserve, pendant que la Kappa rejoignit l’Oni à la caisse. Quelques instants plus tard, la femme revint avec le précieux flacon. Madoka fit apparaître sa carte bleu et paya la précieuse sauce, la marque la plus réputée du pays, mais aussi la plus chère. Elle pris ensuite congé en les saluant, son précieux trésors dans son sac de course, qu’elle envoya dans la même dimension de poche que sa carte. Sur le chemin du retour, elle décida de couper par le parc pour en profiter un peu, et économiser un peu sa magie. Se pensant seule, elle refit apparaître ses cornes et déambula tranquillement.
En vérité, elle pensait s’amuser un moment avec la Kappa, qui vivait probablement ici. Mais alors qu’elle approchait d’une fontaine, Madoka sentit du mouvement derrière elle et se retourna vivement. Mais tout ce dont elle eu droit, ce fut un homme avec des oreilles éfilées et le teint blafard… qui se foutait ouvertement d’elle en riant aux éclats. Elle sentit la colère empourpré son visage.
- Je savais que des originaux se réunissaient ici le soir venu, mais je n’aurais pas cru tomber sur quelqu’un comme toi. À qui ai-je l’honneur ?
- J’t’en pose des questions moi ? Déjà de un, ça s’fait pas de se foutre du mode de vie des gens qu’tu connais pas, et de deux, la galanterie, c’est pour les gueux ? Présente toi d’abord et je daignerais peut être te répondre !
Oh oui, elle était toute rouge de colère là p’tite Oni. Les bras croisés sous sa poitrine quasi inexistante, elle lui lançait un regard furieux, mais il y avait de quoi non ? Est-ce qu’elle se moquait de son teint de cadavre ? Non ! Bon alors ? En revanche elle devait bien admettre qu’elle n’avait aucune idée de ce qu’il était, hormis le fait qu’il n’était clairement pas humain.
- T’es quoi comme Yokai toi ? Un Hotoke ? Le cimetière c’est pas ici. Ou alors tu viens de mourir peut être ?
C’était qu’avec ces bêtises, elle risquait de manquer la Kappa…
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Prélude / Re : Mélange d'une fée et d'une succube
« le: lundi 10 octobre 2022, 17:44:18 »
Cool, une créature avec qui...
*Vois l'orientation sexuelle*
Pffft... Encore une hétéro... Bon, bienv'nue quand même hein...
*La raye de sa liste de copines potentielles*
*Vois l'orientation sexuelle*
Pffft... Encore une hétéro... Bon, bienv'nue quand même hein...
*La raye de sa liste de copines potentielles*
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Les alentours de la ville / Initiation à l'impudeur [Pv Lele]
« le: lundi 10 octobre 2022, 16:00:19 »
Madoka était une éternelle solitaire. Elle s'attachait peu aux humains, évitant généralement de fréquenter une même personne trop longtemps, pour éviter de s'y attacher justement. Non pas qu'elle préférait être seule, mais les humains étaient des êtres éphémères, à espérance de vie si courte par rapport à la sienne... Bien sûr, cela ne l’empêchait pas de coucher avec eux, quand elle avait envie de sexe, mais il était rare qu'elle revois deux fois une même personne. En revanche, sur les réseaux sociaux, l'Oni se montrait volontiers plus ouverte. Les gens n'étaient que des pseudos pour la plupart ou des personnes virtuelle, sans impact sur sa vie. Elle ne pouvait pas vraiment s'attacher à un nom et une photo. La plupart des fils qu'elles suivaient portaient sur les MMO ou les animés. Elle postait aussi dans quelques uns dédiés au folklore, après tout, sa race en faisait partie. Mais récemment, elle en avait découvert un nouveau.
Lors de sa dernière sortie, elle avait croisée une fille qui faisait des photos nues suggestives sur la plage. Elles avaient discutées un peu ensembles, le plus naturellement du monde et avaient fait quelques selfies, avant de se séparer. De retour chez elle, Madoka découvrit alors le réseau social très particulier que l’inconnue lui avait donnée: "Chōhatsu-tekina itazura" [挑発的ないたずら]. Les Coquines suggestives. Un réseau social exclusivement féminin où les membres s'envoient des photos d'elles pour exciter les autres. La plupart étaient en maillot ou en lingerie, mais très peu faisaient des nus. En outre, il y avait les photos d'elle dessus, avec le visage flouté pour pas qu'on la reconnaisse.
Madoka s'était alors prise au jeu et avait ainsi commencée à poster des photos d'elle sur le fil. Toujours nue, bien entendu, de face avec les mains sur sa poitrine ou de dos, mains sur les fesses ou les hanches. Ou encore avec un élément du décors qui masquait ses parties intimes. Toujours dehors et de nuit, avec ses cornes masquées bien entendu. Parfois, elle recroisait la fille qui lui avait présentée le réseau et elles faisaient des poses ensembles. Il n'y avait jamais d'embrassades ou d'actes véritablement sexuels, le but était juste de chauffer les autres.
Mine de rien, l'Oni avait quelques abonnées sur sa page. Rien de grandiloquent, mais c'était assez amusant finalement. Celles qui se croisaient faisaient des trucs ensembles sans aller trop loin et les relations s’arrêtaient là, donc tout cela lui allait assez bien. Ce soir là, Madoka était justement sur l'application, sur son portable, tout en se préparant à manger, lorsqu'elle reçue une notification. Quelqu'un lui avait envoyé un Mp...
Lors de sa dernière sortie, elle avait croisée une fille qui faisait des photos nues suggestives sur la plage. Elles avaient discutées un peu ensembles, le plus naturellement du monde et avaient fait quelques selfies, avant de se séparer. De retour chez elle, Madoka découvrit alors le réseau social très particulier que l’inconnue lui avait donnée: "Chōhatsu-tekina itazura" [挑発的ないたずら]. Les Coquines suggestives. Un réseau social exclusivement féminin où les membres s'envoient des photos d'elles pour exciter les autres. La plupart étaient en maillot ou en lingerie, mais très peu faisaient des nus. En outre, il y avait les photos d'elle dessus, avec le visage flouté pour pas qu'on la reconnaisse.
Madoka s'était alors prise au jeu et avait ainsi commencée à poster des photos d'elle sur le fil. Toujours nue, bien entendu, de face avec les mains sur sa poitrine ou de dos, mains sur les fesses ou les hanches. Ou encore avec un élément du décors qui masquait ses parties intimes. Toujours dehors et de nuit, avec ses cornes masquées bien entendu. Parfois, elle recroisait la fille qui lui avait présentée le réseau et elles faisaient des poses ensembles. Il n'y avait jamais d'embrassades ou d'actes véritablement sexuels, le but était juste de chauffer les autres.
Mine de rien, l'Oni avait quelques abonnées sur sa page. Rien de grandiloquent, mais c'était assez amusant finalement. Celles qui se croisaient faisaient des trucs ensembles sans aller trop loin et les relations s’arrêtaient là, donc tout cela lui allait assez bien. Ce soir là, Madoka était justement sur l'application, sur son portable, tout en se préparant à manger, lorsqu'elle reçue une notification. Quelqu'un lui avait envoyé un Mp...
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Le coin du chalant / Rendre sociale une solitaire ? Défi relevé !
« le: jeudi 06 octobre 2022, 17:04:13 »
Plop, quelques petites trames que je propose avec ma p'tite Oni :3
Madoka est une Oni naturiste bisexuelle qui vit la plupart de son temps enfermée au fond de sa grotte, dans les falaise proche de Seikusu. Il lui arrive parfois de sortir la nuit tombée, que ce soit pour trouvée des partenaires sexuels ou juste se balader.
1- Vous êtes de sortie ce soir, que ce soit dans un parc, en soirée, à la plage ou tout autre endroit. Vous rentrez chez vous, on vous faites une pause dans une ruelle, peu importe, lorsque vous voyez une adolescente d'apparence frêle passer non loin, dans son plus simple appareil. Cela vous intrigue, ou vous excite, peu importe, vous décidez de l'approcher.
2- Madoka a un principe: Elle ne veut pas trop s'attacher aux humains, parce que ces derniers sont éphémères et mourront de vieillesse bien avant elle. Ce n'est pas votre cas. Ou bien si, mais vous avez quand même envie de briser la glace. Peut être qu'à force de la coller, elle finira par vous accepter ?
3- L'Oni passe également énormément de temps sur les jeux en ligne et les forums associés, ceux qui parlent d’animés, ou encore de tout et de rien. A défaut d'avoir de vrais amis irl, elle en a au moins plusieurs avec qui elle s'entend bien sur les réseaux. Mais ce qu'elle ne sait pas, c'est que l'un d'eux la stalk depuis longtemps et connait tout d'elle. Et puis un jour, il décide d'en profiter un peu en la faisant chanter.
4- Le plus grand rêve de Madoka, c'est de se trouver une copine, de son gabarit et avec une longévité aussi longue que la sienne. Peu lui importe le reste. Peut être que se fantasme se réalisera plus vite que prévu avec vous ?
5- Même si Madoka aime coucher avec des filles, ça l'empêche pas d'avoir des amies hétéro, pour aller chasser ensembles des hommes bien membrés ou juste jouer aux jeux vidéos. Sauf que vous aimerez bien faire autre chose avec elle, aller en boite ou au cinéma entre amies par exemple. Mais avant ça, il va falloir remplir un peu sa garde robe complètement vide. Vous êtes partante ?
6- Vous êtes de la même race que Madoka, c'est à dire une Oni. Et le fait que celle-ci vive telle une sauvageonne au fond d'une grotte, plutôt que dans un clan comme vous, vous interpelle, et vous cherchez donc à en savoir plus au sujet de cette orpheline. Aller vous l'adopter, ou bien en faire l'esclave de votre clan ?
Madoka est une Oni naturiste bisexuelle qui vit la plupart de son temps enfermée au fond de sa grotte, dans les falaise proche de Seikusu. Il lui arrive parfois de sortir la nuit tombée, que ce soit pour trouvée des partenaires sexuels ou juste se balader.
1- Vous êtes de sortie ce soir, que ce soit dans un parc, en soirée, à la plage ou tout autre endroit. Vous rentrez chez vous, on vous faites une pause dans une ruelle, peu importe, lorsque vous voyez une adolescente d'apparence frêle passer non loin, dans son plus simple appareil. Cela vous intrigue, ou vous excite, peu importe, vous décidez de l'approcher.
2- Madoka a un principe: Elle ne veut pas trop s'attacher aux humains, parce que ces derniers sont éphémères et mourront de vieillesse bien avant elle. Ce n'est pas votre cas. Ou bien si, mais vous avez quand même envie de briser la glace. Peut être qu'à force de la coller, elle finira par vous accepter ?
3- L'Oni passe également énormément de temps sur les jeux en ligne et les forums associés, ceux qui parlent d’animés, ou encore de tout et de rien. A défaut d'avoir de vrais amis irl, elle en a au moins plusieurs avec qui elle s'entend bien sur les réseaux. Mais ce qu'elle ne sait pas, c'est que l'un d'eux la stalk depuis longtemps et connait tout d'elle. Et puis un jour, il décide d'en profiter un peu en la faisant chanter.
4- Le plus grand rêve de Madoka, c'est de se trouver une copine, de son gabarit et avec une longévité aussi longue que la sienne. Peu lui importe le reste. Peut être que se fantasme se réalisera plus vite que prévu avec vous ?
5- Même si Madoka aime coucher avec des filles, ça l'empêche pas d'avoir des amies hétéro, pour aller chasser ensembles des hommes bien membrés ou juste jouer aux jeux vidéos. Sauf que vous aimerez bien faire autre chose avec elle, aller en boite ou au cinéma entre amies par exemple. Mais avant ça, il va falloir remplir un peu sa garde robe complètement vide. Vous êtes partante ?
6- Vous êtes de la même race que Madoka, c'est à dire une Oni. Et le fait que celle-ci vive telle une sauvageonne au fond d'une grotte, plutôt que dans un clan comme vous, vous interpelle, et vous cherchez donc à en savoir plus au sujet de cette orpheline. Aller vous l'adopter, ou bien en faire l'esclave de votre clan ?
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Prélude / Re : Oni sauvageonne, mais pas trop non plus. [Vanéalidée !]
« le: mercredi 05 octobre 2022, 21:59:46 »
Merci \o/
11
Prélude / Re : Oni sauvageonne, mais pas trop non plus.
« le: mercredi 05 octobre 2022, 09:51:15 »
Merci :3
L’avatar arrive bientôt ^^’
Édit: Voilà, tout est bon ^w^
L’avatar arrive bientôt ^^’
Édit: Voilà, tout est bon ^w^
12
Prélude / Oni sauvageonne, mais pas trop non plus. [Vanéalidée !]
« le: mercredi 05 octobre 2022, 08:48:41 »
Prénom: Madoka
Nom: Yukimizu
Âge: 17 ans en apparence, 225 ans en réalité.
Sexe: Féminin
Race: Oni (Démons asiatiques)
Orientation: Pansexuelle, préférence Lesbienne
Physique:
Madoka est une jeune fille plutôt petite et svelte, un bon mètre soixante-cinq pour un peu plus de cinquante kilos, tout ce qu’il y’a de plus classique pour une japonaise. Son teint de peau en revanche est plus sombre, comme si elle était métisse. Sa courte chevelure mauve encadre un regard de la même teinte. On notera ses courtes oreilles elfiques accentuant son air espiègle ainsi que ses longues cornes frontales couleur chair, qui ont justement pour particularité d’être recouverte de peau, ce qui les rend douces et un peu tendres au toucher. Mais surtout, la partie plus sombre de ces dernières sont aussi érogènes que son intimité, tout comme l’est sa langue d’ailleurs. Son petit popotin lui, est si rebondit que claquer ses fesses forme des ondes sur sa peau, qui d’ailleurs est naturellement huilée.
Ses petits seins possèdent eux aussi une particularité. Comparé à ses mamelons proéminents, ses tétons pointant ont l’air un peu fripés. En réalité, ces derniers, étant également autant érogènes que son clitoris, sont assez élastiques et peuvent être étirés sur 4cm. Ils reprendront immédiatement leur aspect initial en les relâchant. Sachez qu’il est possible d’en faire autant avec son bouton intime. Cela lui procure énormément de plaisir. Enfin ses orifices peuvent être élargie de 6cm de diamètres chacun et son ventre se déformer sans causer de douleurs et de dommages internes. Autrement dit, elle peut se faire détruire l’anus et le vagin, ces derniers reprendront leur aspect initial en l’espace d’une demi-dizaine de minutes. Cela signifie surtout qu’elle peut prendre en elle n’importe quel calibre de membre et demeurer toujours serrée.
Vestimentairement parlant, Madoka ne prend guère la peine de se vêtir, passant de toute manière le plus clair de son temps chez elle. Mais lorsqu'elle sort pour ses sorties nocturnes, elle porte généralement une simple visière, un maillot deux pièces moulant le peu de parties intimes couvertes, des mitaines en laine et des sandales à talon lacées. Oui, ça fait très salope impudique, mais c'est très utile pour ses activités nocturnes.
Caractère:
Comme dit plus haut, Madoka sort rarement de chez elle. Ce n’est pas qu’elle est introvertie mais plutôt qu’elle ne ressent pas particulièrement le besoin de se faire des amis. Même si avec l’ère moderne, elle passe une bonne partie de son temps sur les jeux vidéos, internet et les réseaux sociaux, mais il faut dire que c’est plus divertissant que de relire les mêmes ouvrages, encore et encore.
Bien entendu, elle aime le sexe aussi, c’est d’ailleurs la principale raison de ses sorties nocturnes, même si parfois, elle sort aussi juste pour s’aérer. En revanche, là encore, pas de réel désir de vouloir finir en couple. En réalité, étant entourée d’humains éphémères, Madoka se dit que ça n’en vaut pas la peine, ils mourront de vieillesse d’ici quelques dizaines d’années alors qu’elle, n’est pas affectée par l’écoulement du temps. Évidement, rencontrer une autre créature à l’espérance de vie plus longue changerait pas mal la donne.
Bien qu’elle ait d’énormes moyens financiers et gagne plus qu’elle ne dépense, Madoka n’utilise pas tant d’argent que ça. A part payer ses repas, ses abonnements et ses factures, il sert surtout à payer deux trois bricoles par ci par là. Entendez par là qu’elle n’achète rien de très onéreux, même si elle le peut.
Histoire:
Oubliez les clans d’Oni fastes et luxueux ici. Madoka tient plus de l’enfant sauvage que de la princesse. Bon, il est vrai qu’elle a autrefois fait partie d’un clan, mais celui-ci fut décimé lorsqu’elle ne devait avoir que sept ou huit ans, et les souvenirs qu’elle en garde sont plus brumeux qu’autre chose. Tout au plus se souvient-elle vaguement de son héritage. En effet, sans être les dirigeants du clan Yukimizu, ses géniteurs étaient de proches conseillers de ces derniers. Mais lorsqu’ils ont sentit que celui-ci tombera sous la coupe de leurs ennemis, ils préférèrent sauver leur enfant plutôt que de mourir avec. Des traitres diront certains. Peu leur importait, la vie de leur fille était plus importante à leurs yeux.
Toutefois, ils furent gravement blessés durant leur fuite. Même s’ils pouvaient survivre plus longtemps grâce à leur pouvoirs, ils ne leur faudra guère plus de quelques mois avant de trépasser. Aussi les mirent-ils à profit pour que Madoka ne soit pas dans le besoin après leur mort. Dans un premier temps, ils choisirent une grotte dans les falaises, non loin de la petite ville côtière en développement. Usant de leurs pouvoirs liés respectivement à la pierre et au bois, ils l’aménagèrent en demeure traditionnelle, mais troglodyte. Seule la façade était donc visible et cela avait l’avantage de réguler la température interne aussi bien l’été que l’hiver. Ils confectionnèrent également eux même le mobilier.
Dans un second temps, ils usèrent de leurs réserves pour financer certaines petites entreprises ayant du potentiel et les acheter en partie. Aujourd’hui, on appellerait ça des actionnaires. Leur objectif était que leur fille puisse vivre de rentes en restant à l’abri. Finalement, ils rendirent l’âme quelque jours après lui avoir enseignez les rudiments de la cuisine. Depuis lors, Madoka vit seule et a donc appris à vivre par elle même. Même si au début ce fut dur, avec le temps et la solitude, elle finit par s’y faire. La jeune Oni appris notamment à cacher ses cornes et changer la forme de ses oreilles, mais l’enchantement ne durait pas plus d’une poignée d’heures avant de s’épuiser, aussi ne sortait-elle que pour s’approvisionner ou acheter des livres.
Les générations passant, la technologie évolua à une vitesse folle et Madoka se rendit vite compte à quel point sa demeure était dépassée. Si le système banquier évolua, le compte familiale lui demeura toujours actif. Et si le pourcentage prélevé auprès des entreprises n’avait guère changé, ces dernières s’était suffisamment développées, échangeant dans le monde entier, pour permettre une rente conséquente, comme par exemple, le cas d’une entreprise de cartes traditionnelles, qui vendait à présent des consoles de jeux. Aussi modernisa t-elle sa demeure avec du mobilier et de l’équipement plus contemporain, la raccordant également au réseau électrique et d’eau. En revanche, guère intéressée par la mode et pouvant désormais se faire livrer à domicile, l’Oni délaissa son vieux kimono pour embrasser la nudité totale, n'achetant que deux ou trois trucs pour attirer des partenaires nocturnes plus facilement lors de ses sorties.
Aujourd’hui, Madoka a des relations sur certains jeux en ligne et regarde beaucoup d’animés. D’ailleurs, Madoka n’est pas son vrai nom, mais c’est celui qu’elle s’est choisie. Ça fait moins arriéré que celui que ses parents lui ont donnés à l’époque. Il faut savoir vivre avec son temps.
Autres:
Madoka peut se donner une apparence humaine pour 3/4 heures maximum. Elle peut étendre plus en le désactivant lorsqu’elle est seule, mais une fois le temps d’utilisation hebdomadaire passé, elle ne peut plus s’en servir durant quelque jours. Plus elle l’utilise longtemps, plus elle est épuisée à la fin, car ce n’est pas un simple camouflage, mais une dématérialisation de ses cornes, qui nécessite donc plus d’énergie.
Héritage de ses parents, Madoka peut aussi façonner la pierre et le bois à sa guise, mais ne s’en sert que très peu, sauf quand elle veut faire une extension de sa demeure.
On ignore vraiment d’où elle tient ses capacités sexuelles, car ses parents ne les possédaient pas. Le plus probable serait que ce soit l’œuvre d’une entité quelconque possédant des pouvoirs liés à la luxure, un démon ou une divinité, qui lui a fait don de ces capacités après l’avoir aperçue. Son goût prononcé pour la nudité permanente et sans pudeur vient sans doute de là aussi.
Si Madoka devait avoir un fantasme… ce serait probablement de rencontrer une autre Oni — ou une autre créature féminine — avec une morphologie similaire à la sienne, membrée ou non. Le problème, c’est qu’elle ne rencontre que des hétéro dernièrement…
Nom: Yukimizu
Âge: 17 ans en apparence, 225 ans en réalité.
Sexe: Féminin
Race: Oni (Démons asiatiques)
Orientation: Pansexuelle, préférence Lesbienne
Physique:
Madoka est une jeune fille plutôt petite et svelte, un bon mètre soixante-cinq pour un peu plus de cinquante kilos, tout ce qu’il y’a de plus classique pour une japonaise. Son teint de peau en revanche est plus sombre, comme si elle était métisse. Sa courte chevelure mauve encadre un regard de la même teinte. On notera ses courtes oreilles elfiques accentuant son air espiègle ainsi que ses longues cornes frontales couleur chair, qui ont justement pour particularité d’être recouverte de peau, ce qui les rend douces et un peu tendres au toucher. Mais surtout, la partie plus sombre de ces dernières sont aussi érogènes que son intimité, tout comme l’est sa langue d’ailleurs. Son petit popotin lui, est si rebondit que claquer ses fesses forme des ondes sur sa peau, qui d’ailleurs est naturellement huilée.
Ses petits seins possèdent eux aussi une particularité. Comparé à ses mamelons proéminents, ses tétons pointant ont l’air un peu fripés. En réalité, ces derniers, étant également autant érogènes que son clitoris, sont assez élastiques et peuvent être étirés sur 4cm. Ils reprendront immédiatement leur aspect initial en les relâchant. Sachez qu’il est possible d’en faire autant avec son bouton intime. Cela lui procure énormément de plaisir. Enfin ses orifices peuvent être élargie de 6cm de diamètres chacun et son ventre se déformer sans causer de douleurs et de dommages internes. Autrement dit, elle peut se faire détruire l’anus et le vagin, ces derniers reprendront leur aspect initial en l’espace d’une demi-dizaine de minutes. Cela signifie surtout qu’elle peut prendre en elle n’importe quel calibre de membre et demeurer toujours serrée.
Vestimentairement parlant, Madoka ne prend guère la peine de se vêtir, passant de toute manière le plus clair de son temps chez elle. Mais lorsqu'elle sort pour ses sorties nocturnes, elle porte généralement une simple visière, un maillot deux pièces moulant le peu de parties intimes couvertes, des mitaines en laine et des sandales à talon lacées. Oui, ça fait très salope impudique, mais c'est très utile pour ses activités nocturnes.
Caractère:
Comme dit plus haut, Madoka sort rarement de chez elle. Ce n’est pas qu’elle est introvertie mais plutôt qu’elle ne ressent pas particulièrement le besoin de se faire des amis. Même si avec l’ère moderne, elle passe une bonne partie de son temps sur les jeux vidéos, internet et les réseaux sociaux, mais il faut dire que c’est plus divertissant que de relire les mêmes ouvrages, encore et encore.
Bien entendu, elle aime le sexe aussi, c’est d’ailleurs la principale raison de ses sorties nocturnes, même si parfois, elle sort aussi juste pour s’aérer. En revanche, là encore, pas de réel désir de vouloir finir en couple. En réalité, étant entourée d’humains éphémères, Madoka se dit que ça n’en vaut pas la peine, ils mourront de vieillesse d’ici quelques dizaines d’années alors qu’elle, n’est pas affectée par l’écoulement du temps. Évidement, rencontrer une autre créature à l’espérance de vie plus longue changerait pas mal la donne.
Bien qu’elle ait d’énormes moyens financiers et gagne plus qu’elle ne dépense, Madoka n’utilise pas tant d’argent que ça. A part payer ses repas, ses abonnements et ses factures, il sert surtout à payer deux trois bricoles par ci par là. Entendez par là qu’elle n’achète rien de très onéreux, même si elle le peut.
Histoire:
Oubliez les clans d’Oni fastes et luxueux ici. Madoka tient plus de l’enfant sauvage que de la princesse. Bon, il est vrai qu’elle a autrefois fait partie d’un clan, mais celui-ci fut décimé lorsqu’elle ne devait avoir que sept ou huit ans, et les souvenirs qu’elle en garde sont plus brumeux qu’autre chose. Tout au plus se souvient-elle vaguement de son héritage. En effet, sans être les dirigeants du clan Yukimizu, ses géniteurs étaient de proches conseillers de ces derniers. Mais lorsqu’ils ont sentit que celui-ci tombera sous la coupe de leurs ennemis, ils préférèrent sauver leur enfant plutôt que de mourir avec. Des traitres diront certains. Peu leur importait, la vie de leur fille était plus importante à leurs yeux.
Toutefois, ils furent gravement blessés durant leur fuite. Même s’ils pouvaient survivre plus longtemps grâce à leur pouvoirs, ils ne leur faudra guère plus de quelques mois avant de trépasser. Aussi les mirent-ils à profit pour que Madoka ne soit pas dans le besoin après leur mort. Dans un premier temps, ils choisirent une grotte dans les falaises, non loin de la petite ville côtière en développement. Usant de leurs pouvoirs liés respectivement à la pierre et au bois, ils l’aménagèrent en demeure traditionnelle, mais troglodyte. Seule la façade était donc visible et cela avait l’avantage de réguler la température interne aussi bien l’été que l’hiver. Ils confectionnèrent également eux même le mobilier.
Dans un second temps, ils usèrent de leurs réserves pour financer certaines petites entreprises ayant du potentiel et les acheter en partie. Aujourd’hui, on appellerait ça des actionnaires. Leur objectif était que leur fille puisse vivre de rentes en restant à l’abri. Finalement, ils rendirent l’âme quelque jours après lui avoir enseignez les rudiments de la cuisine. Depuis lors, Madoka vit seule et a donc appris à vivre par elle même. Même si au début ce fut dur, avec le temps et la solitude, elle finit par s’y faire. La jeune Oni appris notamment à cacher ses cornes et changer la forme de ses oreilles, mais l’enchantement ne durait pas plus d’une poignée d’heures avant de s’épuiser, aussi ne sortait-elle que pour s’approvisionner ou acheter des livres.
Les générations passant, la technologie évolua à une vitesse folle et Madoka se rendit vite compte à quel point sa demeure était dépassée. Si le système banquier évolua, le compte familiale lui demeura toujours actif. Et si le pourcentage prélevé auprès des entreprises n’avait guère changé, ces dernières s’était suffisamment développées, échangeant dans le monde entier, pour permettre une rente conséquente, comme par exemple, le cas d’une entreprise de cartes traditionnelles, qui vendait à présent des consoles de jeux. Aussi modernisa t-elle sa demeure avec du mobilier et de l’équipement plus contemporain, la raccordant également au réseau électrique et d’eau. En revanche, guère intéressée par la mode et pouvant désormais se faire livrer à domicile, l’Oni délaissa son vieux kimono pour embrasser la nudité totale, n'achetant que deux ou trois trucs pour attirer des partenaires nocturnes plus facilement lors de ses sorties.
Aujourd’hui, Madoka a des relations sur certains jeux en ligne et regarde beaucoup d’animés. D’ailleurs, Madoka n’est pas son vrai nom, mais c’est celui qu’elle s’est choisie. Ça fait moins arriéré que celui que ses parents lui ont donnés à l’époque. Il faut savoir vivre avec son temps.
Autres:
Madoka peut se donner une apparence humaine pour 3/4 heures maximum. Elle peut étendre plus en le désactivant lorsqu’elle est seule, mais une fois le temps d’utilisation hebdomadaire passé, elle ne peut plus s’en servir durant quelque jours. Plus elle l’utilise longtemps, plus elle est épuisée à la fin, car ce n’est pas un simple camouflage, mais une dématérialisation de ses cornes, qui nécessite donc plus d’énergie.
Héritage de ses parents, Madoka peut aussi façonner la pierre et le bois à sa guise, mais ne s’en sert que très peu, sauf quand elle veut faire une extension de sa demeure.
On ignore vraiment d’où elle tient ses capacités sexuelles, car ses parents ne les possédaient pas. Le plus probable serait que ce soit l’œuvre d’une entité quelconque possédant des pouvoirs liés à la luxure, un démon ou une divinité, qui lui a fait don de ces capacités après l’avoir aperçue. Son goût prononcé pour la nudité permanente et sans pudeur vient sans doute de là aussi.
Si Madoka devait avoir un fantasme… ce serait probablement de rencontrer une autre Oni — ou une autre créature féminine — avec une morphologie similaire à la sienne, membrée ou non. Le problème, c’est qu’elle ne rencontre que des hétéro dernièrement…
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