Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Douros

Pages: [1]
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One Shot / Re : Hijo de la luna [PV]
« le: jeudi 13 avril 2023, 00:01:36 »
Non, il ne se contredisait pas …

Il sentait la bête en lui qui prenait le contrôle, elle l'avait fait d'abord subtilement, mais maintenant même ses pensées commençait à patauger dans la luxure la plus pure, ralentissant encore sa réflexions. Il devait résister, il voulait juste … la toucher, la prendre, la dévorer.

Il relâcha sa prise sur son cou et s’aperçut qu'elle avait été marquée durement par ses crocs, si elle était mortelle il lui aurait transpercé la gorge. Vu comme il la tenait il n'en était plus du tout aux caresses, même si elle se refusait à lui, il l'aurait prise.


_ Je vais te prendre complètement, sans aucune retenue. Je peux éviter un peu de te faire mal, mais je vais vouloir être entièrement en toi.

Sa voix était rauque de désir contenu. Il pouvait tenir a distance la bête en lui, momentanément, maintenant qu'elle savait qu'il allait la laisser se déchaîner. Elle était une déesse, mais est-ce qu'elle allait pouvoir recevoir son sexe en entier. Avec les humaines il avait réduit sa taille pour ne pas les déchirer entièrement. Là il n'allait pas du tout se restreindre face à quelqu'un qui pouvait complètement le satisfaire.

Il vint prendre un sein dans sa gueule, essayant de ne pas mordre trop fort, venant jouer avec le téton du bout de sa langue, il la plaçait doucement sur sa virilité, se retenant de modifier le corps de sa partenaire pour lui donner la virginité que la bête avait promis, l'envie restait, de l'entendre crier de douleur, de désir, de plaisir, des trois en même temps.

Son sexe monta, venant écarter ses lèvres sans douceur, entrant sans difficulté malgré sa taille. Les griffes d'Anubis se plantèrent dans son corps, il se retenait de la pénétrer d'un coup, sans la préparer plus. Il avait besoin qu'elle l'enveloppe entièrement. Il avançait, encore, se retenant de se lancer comme une brute. Il avait dépassé la capacité d'une humaine normale et montait encore en elle.

Doucement, le petit renflement à la base de son sexe écarta encore ses lèvres intimes et il resta ainsi, pour qu'elle sente bien sa taille. Puis il ne put plus se retenir, la bête pris le relais. Il retira la moitié de son sexe d'elle, puis donna un coup de rein violent en elle. Il se retira de plus que son coup de rein avait fait rentrer, continuant, sortant de plus en plus d'elle a mesure qu'il faisait ses mouvements, jusqu'à sortir entièrement, son long sexe venant doucement passer entre ses jambes. Puis la virilité se réaligna seule avec le vagin et d'un coup de rein violent il la pénétra entièrement.

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One Shot / Re : Hijo de la luna [PV]
« le: vendredi 07 avril 2023, 21:10:49 »
La lune pulsait au-dessus de lui et sa lumière le baignait de manière presque surnaturelle, son œil laiteux braqué directement sur lui l'entourant d'un halo opalin. Anubis sentait le déplaisir de la déesse, sa contrariété suintait presque de sa lumière autour d'eux. Maintenant qu'il avait retrouvé sa forme, il arrivait totalement à rester sous forme humaine. Ou au moins humanoïde. Il ordonna à ses pattes avant de reprendre la forme de mains qu'elles avaient subrepticement quittées, mettant une grande partie de sa concentration a rester calme.

_ La plupart des jeux entre les dieux font peur aux humains vu que ce sont eux qui en subissent les pénalités.

Il sentit son corps qui résistait à son état de calme, qui voulait repartir dans la sauvagerie induite par la Lune, mais il se contrôlait, résistait, il n'était pas une bête sauvage sans aucune pensée autre que lubriques, même si deux parties de son esprit semblaient vouloir se scinder pour qu'il reprenne sa forme de Cerbère.

Il essaya de paraître poli tout en s'approchant de la déesse, elle se nommait Léo et maintenant qu'elle lui avait dit son nom, il arrivait à la situer dans la hiérarchie, elle contrait l'influence de la lune simplement parce qu'elle était plus proche de lui, mais si la déesse descendait sur Terre, elle les balaierait de sa fureur, heureusement elle n'allait pas le faire. Certains pactes étaient encore établis et les guerres divines devaient être menées dans un cadre privé, pas question de négliger ses attributions.


_ Tu penses être capable de me maîtriser ? Je suis Anubis.

Il ne savait pas si une représentante du Zodiaque serait assez forte pour le vaincre, la différence entre les dieux était subtile et il n'avait pas eu de suivants depuis longtemps, même si des cultes venant de l'égyptologie moderne avaient commencé à renaître. Mais pas assez pour le ramener à ses heures de gloire où il aurait pu souffler la Lune et la forcer à s'éclipser devant lui.

À ses pensées, un grognement se fit entendre et il fut surpris de s’apercevoir qu'il venait de lui. La lune se servait de sa colère contre lui, pour le faire régresser à nouveau à un état animal. Mais il était un dieu, pas une chose dont on se sert.


_ Notre jeu était simple, implanter un enfant dans le ventre d'une femelle fertile. Je pense que tu comprends la manière. Mais tu es assez proche pour que son influence ne me touche plus. M'aideras-tu ?

Ses mains s'étaient tendues, l'attrapant dans une étreinte qu'il espérait douce, il rétracta les griffes qu'étaient devenus ses ongles, essayant de ne pas l'effrayer. Bien sûr qu'elle l'aiderait, elle n'allait pas le laisser se faire manipuler comme un pantin, il était bien meilleur que ça.

Avant qu'elle ne puisse réagir, sa gueule se jeta sur elle, attrapant son cou étroitement entre ses crocs. Il ne voulait pas lui faire de mal bien sûr, il la serrait à peine, tout juste suffisamment pour qu'elle ne puisse pas fuir.

Ses pensées étaient pures, il ne lui voulait absolument aucun mal. Maintenant, qu'il la tenait, tout ce qu'il allait faire était de régler les légers détails qui se dressaient en travers de sa route, une de ses mains la lâcha pour frapper délicatement, sans jamais entamer la peau de la déesse, mais déchirant la robe blanche qu'elle portait pour la dénuder.

En même temps le propre pagne d'Anubis descendait tout seul de ses hanches, glissant délicatement pour révéler une virilité qui n'avait rien à envier à celle de sa forme bestiale. Il n'avait pas peur de lui faire du mal, elle était une déesse après tout, elle pouvait supporter bien plus que ça. Il n'essaya pas de lui parler, il la retenait par la gorge, il lui envoya juste directement ses pensées.


« Je ne vais pas te faire de mal, je ne suis pas un monstre, je veux simplement te caresser. Te donner des marques d'affection me restreindra de l'influence de la lune. Je n'irais pas plus loin que de simples caresses. »

A mesure qu'il pensait, il sentait la bête se détacher de lui, il l'avait maté, il n'était pas un monstre, simplement un dieu poli et clair.

« Je mords seulement ta gorge pour te retenir, pour que tu sentes mes crocs dans ton cou, te pénétrer, te prendre, que tu sentes ton corps s'ouvrir à moi quand je grifferais tes seins, ton dos, ta nuque, pour te préparer à recevoir mon vit en toi, je pourrais même te rendre ta virginité pour que tu la sentes se déchirer à nouveau à chaque coup de rein. Puis tu sentiras mon sexe grandir en toi, pour t'emplit totalement et te remplir de ma semence jusqu'à ce que ton ventre enfle. »

Il était calme, ses pensées étaient claires et simples, il n'était pas du tout contrôlé par la lune. Il lui faisait la cours avec tendresse, il aurait pu la violer, mais il ne lui proposait que de douces caresses. Sa main libre vint tâter les fesses de la déesse et la souleva par là.

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One Shot / Re : Hijo de la luna [PV]
« le: mercredi 03 août 2022, 17:10:57 »
La pleine lune éclairait le parc d'une lueur spectrale, la lumière qui baignait la ville semblait plus forte ici, plus éclatante. Et le parc semblait la proie d'une activité anormale pour cette heure de la nuit.

Réveillée par la lueur de la lune, Cindy avait décidé de sortir et de faire son jogging, tant pis pour l'heure. Dans le parc en lui même elle n'avait pas fait attention aux autres personnes, elle était juste là pour se dépenser, pour se vider l'esprit, elle avait eut des rêves étranges et voulait les sortir de sa tête. Au début elle ne fit pas attention au petit pressentiment qu'elle était suivit, mais quand elle le suivit, sa nuque la picota d’appréhension et quand elle osa enfin tourner la tête, son corps fut paralysé par la peur. La créature qui la suivait avait une vague correspondance avec un chien, mais avec une taille terrifiante, qui mettait sa gueule au niveau de la tête de la jeune femme. Et plutôt ses gueules puisque c'était trois paire d'yeux terrifiants qui la regardait. Son corps tétanisé et son cerveau tournant en boucle sur l'impossibilité de la chose, elle ne résista pas quand il la poussa violemment au sol. Elle ne cria pas, mais geignit en sentant la chose qui s’insérait en elle, qui la prenait sans aucune pitié, qui la remplissait d'un liquide chaud et détestable.

Lorsque la chose eut finit, elle se releva, encore sous le choc, puis une partie de son instinct de survie se réveilla et elle courut de toute ses forces vers la sortie du parc. Elle risqua un œil en arrière, mais la chose ne l'avait pas suivit. Elle passa la sortie et … Qu'est-ce qu'elle faisait exactement ? Pourquoi elle était sortie a une telle heure de la nuit ? Heureusement que sa séance de jogging c'était bien passée, elle n'avait rien sur elle pour se protéger, si un violeur l'avait attaqué elle n'aurait rien pu faire. Heureusement qu'elle n'habitait pas très loin.

Emma discutait tranquillement avec ses amies en marchant dans le parc. C'était étrange qu'elles aient toutes décidés de se promener dans le parc mais elles n'avait pas relevé la chose, elles discutaient, s'extasiaient, riaient. Emma sortit son téléphone et montra une photo de son petit copain pour le montrer à ses amies, mais l'une d'elle ne se joignit pas au chorus d'exclamations. Elle tendait le doigts vers quelque chose. Emma n'eut pas le temps d'enregistrer l'image que lui envoyait ses yeux, elle avait seulement vu des griffes et des pattes qui semblaient bouger trop vite. Elle avait déjà fait demi-tour et courait avec ses amies, son portable lui échappant des mains. Mais la peur qui emballait son corps semblait brumeuse, elle s'arrêta au bout de quelques pas et se retourna pour aller chercher son portable a terre. C'était important ! La brume qui engourdissait le cerveau lui cacha la créature jusqu'à ce qu'elle ait pris le téléphone et voit trois tête en face d'elle.

Emma se reposait sur un des bancs, épuisée et sonnée par sa rencontre avec la bête. Elle vit une de ses amie, une fille brune aux cheveux élégamment bouclé, qui s'avançait vers elle, avant de se poser à coté d'elle, retenant un sanglot. Ses cheveux étaient maintenant en désordre et remplis de feuilles et d'herbe. Elle portait un petit sac à la main. Sans dire un mot de plus, elle tendit le sac à Emma qui entrepris de piocher des vêtements dedans pour remplacer les siens déchirés et ravagés. Tous avaient le même logo, un cercle qui selon l'éclairage montrait des phases différentes de la lune. Emma secoua la tête et sourit à son amie qui avait finit de s'habiller. Elle ne savait plus de quoi elle parlait avant, mais ce n'était pas important. Dommage qu'il n'y ait pas de marchand de glace ouvert à cette heure, elle avait chaud !

Les voix rendaient presque fou Anubis. Les deux têtes qui étaient sur ses épaules semblaient prendre autant le contrôle de son corps que lui. Il entendait directement la voix de la déesse qui lui indiquait ses futures cibles. Il en était à la combientième, huitième ? En un soir ? Il avait beau être un dieu, il avait tout de même des limites. Mais les odeurs se faisaient insistantes, il n'avait qu'à se baisser pour attraper les femelles et se servir. Pourtant il sentait quelque chose, une autre influence que la lune, quelque chose sur lequel il pouvait se raccrocher. Ses têtes semblaient redevenir une seule et ses pattes semblaient prendre la forme de mains, mais la lune insista, il y avait une autre qu'elle voulait.

Victoria regardait son mari pousser le landau du bébé, souriante, il avait l'air tellement heureux qu'elle lui ait donné un fils. Il commençait tout juste à faire ses nuits mais cette nuit là ils n'avaient pas réussit à dormir tout les trois. Elle ne voulait pas s'arrêter là, elle voulait un autre enfant, elle regarda son mari et eut une lueur de luxure dans ses yeux, lui regardait la poussette et ne faisait pas attention à elle, ce qui lui permit d'enlever sa culotte de sous sa jupe. Elle lui demanda de l'attendre et il lui fit un sourire absent avant de regarder à nouveau son fils, baigné dans la lueur de la lune. Elle s'allongea sur une table, arrangeant son haut pour bien montrer ses seins. Quand il allait la voir il allait tomber. La lune l'aveuglait presque et elle sentit quelque chose de lourd se poser sur la table. Elle ne dit rien, se laissant d'abord faire, puis sentit quelque choses pousser sur son haut. Elle eut un rire en sentant l’extrémité d'une griffe qui dévoilait sa poitrine. Puis elle sentit une morsure, ou plutôt trois, elle gémit en sentant ses deux seins et son cou attaqués, pas méchamment, mais avec fougue. Elle leva la main et caressa doucement ce qu'elle touchait, les cheveux de son maris sûrement, elle ne se souvenait pas qu'il ait une chevelure aussi longue. Puis elle sentit son sexe, ardent et décidé, pénétrer le sien. Elle regarda vers le landau du bébé, prise d'une soudaine peur, mais son mari était là, qui s'en occupait. Elle ne fit pas le lien qu'il ne pouvait pas à la fois s'occuper du bébé à quelque mètres de là et la prendre brutalement comme son amant le faisait, à la place, elle embrassa, caressa, bougea, voulant que l'étreinte soit plus fougueuse encore. Puis elle sentit grossir en elle le nœud du sexe de son amant, la remplissant, la maintenant, avant le jet final, qu'elle accueillit dans un cris de plaisir.

Victoria remit rapidement sa culotte, épousseta doucement ses habits qui était froissés, puis revint prendre la main de son mari, se remettant à sa promenade en souriant.

La lune l'avait forcé à cette dernière étreinte, mais Anubis se contrôlait plus à présent. Il n'était plus sauvage et son corps se modifiait, reprenant lentement sa forme humaine. Ses deux autres têtes finissait de fusionner avec la principale, reprenant le cours normal de ses pensées. Il sentait toujours l'influence de la lune, mais elle ne pouvait plus déchaîner la bête en lui, il y avait une autre force à l’œuvre, moins grande, mais beaucoup plus proche, il se dirigeait vers elle.


_ Bonjour

Sa voix lui semblait rouillée, ressemblant à un jappement plutôt qu'à une voix humaine. Ses yeux détaillèrent la personne devant lui, voyant au delà des simples apparences humaines, c'était une déesse comme lui, mais différente. Il sentait toujours l'influence de la lune sur lui et leva les yeux au ciel en entendant murmurer qu'elle ferait un bon réceptacle pour un enfant. Il fit apparaître ses différents atours égyptiens, plus comme une façon de se présenter à la déesse. une coiffe, un pectoral et des anneaux aux bras, mais rien de plus. Il s'approchait d'elle, empêchant mentalement son long sexe de réagir à la présence d'une femelle.

_ Vous avez interrompu un jeu entre moi et une autre déesse. Je vous remercie, je n'étais pas moi même.

Non pas qu'il n'ait pas apprécié de prendre toute ses femmes et la vigueur infernale dont on l'avait béni, mais il aurait préféré le faire lui même, de son propre chef. Bon au moins la lune avait eut la bonne idée d'aveugler suffisamment les gens pour leur faire oublier la présence dans le parc d'un cerbère violeur.

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Centre-ville de Seikusu / Re : La liberté c'est l'esclavage [PV]
« le: jeudi 23 juin 2022, 17:58:58 »
Quand la jeune femme repousse sa main, la femme-renard ne la pousse pas plus loin, ne voulant pas la brusquer. Douros regarde le rêve qui tient malgré l'état de nerf de la jeune femme et laisse la renarde s'occuper d'elle pour la calmer. Celle-ci rit à la question.

_ Je préfère les repas préparés, j'aime bien la viande mais je serais bien incapable de tuer et dépecer une proie. Et si vous avez le moindre regret je ne ferme pas ma porte, vous pouvez partir quand vous le décidez. Je répondrais à toute vos questions, mais à l'intérieur si ça ne vous déranges pas.

Elle est là pour la calmer, lui faire accepter le rêve, elle reste douce et gentille parce que c'est son rôle. Elle se retourne et sa queue vient frôler l'aventurière, sans la toucher, se dirigeant vers une autre porte, sans marquage cette fois. Elle grimpe la petite marche et ouvre la porte, faisant un signe encourageant.

A l'intérieur l'appartement est petit mais agréable, propre et bien rangé. Une table, deux chaise un coin cuisine et un futon qui prend le reste de la place. Derrière une petite porte qui doit mener à la salle de bain. La renarde y est complètement à l'aise, cherchant et trouvant rapidement le thé alors que le thé chauffe, sortant deux bols et du sucre. A l'intérieur il y a de la décoration japonaise, mais les meubles plutôt à l'européenne.


_ Appelle moi Nectar. et pour répondre à une des questions, ici la politesse est de ne pas mentionner l'aspect des autres, j'ai des oreilles et une queue différente, c'est tout.

Elle lui sourit, sortant une théière, s'occupant de finir de préparer le thé, ce qui semble la calmer elle. Elle pose les deux bols devant elle, ayant bien compris que la jeune femme ne lui fait pas du tout confiance, à elle de choisir le bol dans lequel elle veut boire.

_ Tu te sens un peu mieux ? On peut discuter ?

Elle lui fait son plus charmant sourire, exposant ses dents qui sont humaines, sans une pointe du renard dedans, elle est calme et douce.

_ Déjà je ne suis pas nue, regarde les jolies gemmes que je me suis mise. Et tu ne viens pas d'ici, autant de vêtements sur toi, c'est indécent.

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One Shot / Hijo de la luna [PV]
« le: lundi 20 juin 2022, 23:42:47 »
Le palais lunaire était un lieu de paix, de douceur, illuminé en permanence et pourtant dans un crépuscule perpétuel. La reine de la lune, la déesse qui était toute les déesse lunaires se trouvait allongée lascivement sur sa couche, la lumière tombant sur elle pour révéler toute ses courbes. En face d'elle se trouvait un plateau de jeu et derrière celui-ci un Anubis qui avait du mal. Ils jouaient à ce jeu depuis plusieurs heures et la déesse avait toujours laissé à Anubis le choix du jeu. Mais quoi qu'il fasse elle était toujours la meilleure. Il ne savait pas pourquoi il s'était laissé embarqué la dedans par Thot, mais c'était toujours comme ça avec Thot, au début tout semblait rationnel et logique, puis dès que le plan se mettait en marche Anubis avait l'impression d'être le dindon de la farce.

_ Tu as perdu Anubis. Encore. Tu veux augmenter les enjeux ? Je possède déjà tes yeux pour une centaine d'année. Que peux tu m'offrir de plus ?

Anubis laissa tomber les tuiles de bambou tressé avec fureur, éparpillant le jeu, il n'avait pas la défaite facile, mais là comment il pourrait faire son travail sans ses yeux, pendant cent ans en plus. Il était allé trop loin et devait continuer mais ne voyait pas comment gagner.

_ Je n'ai aucun désir pour tes yeux. Je peux te les rendre. Mais je veux quelque chose en échange.Elle se mit à sourire, je veux un enfant. Non pas avec toi. Je veux que tu descende sur terre et que tu fasse un enfant là bas et il sera bénit par mes rayons. Il y a longtemps qu'un loup garou n'a pas arpenté le monde et leur fureur me manque.

Le jeu se reposa tout seul, se réarrangeant alors que la déesse de la lune avait écris sa proposition, la tendant à Anubis. Elle sourit et tendis la main. Anubis n'hésita que peu de temps, il n'aurait qu'à descendre, séduire une humaine et repartir. Rien de bien compliqué. Mais quand il serra la main de la lune il sentit ses rayons la transpercer violemment.


_ La bénédiction de la lune n'est pas quelque chose que l'on gagne, elle est versatile.

La déesse rit longuement alors qu'Anubis se sentait tomber, tomber loin sur la Terre, perdant lentement sa forme, la lune était pleine ce soir et Anubis avait été forcé d'adopter la forme du gardien enchaîné, il était un gigantesque loup noir aux trois têtes. Il avait les quatre pattes posés au sol et ses gueules étaient ouvertes, laissant échapper un souffle ardent. Au dessus de lui la lune luisait, baignant sa fourrure de halos de lumière.

Il était dans un parc, en pleine nuit, pourtant il y avait des gens qui se promenaient, il sentait leurs odeurs qui se diffusaient dans l'atmosphère, il sentait des odeurs de femelle humaines, il n'avait plus qu'à se servir et à les prendre toutes, la lune les empêcherait de s'enfuir hors de sa portée.

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Les alentours de la ville / Re : Rêverie des sables PV Lyra
« le: lundi 20 juin 2022, 22:55:33 »
Elle était lucide, assez peu de rêveurs l'étaient, la plupart se fondaient totalement dans leurs personnages et suivait le scénario du rêve. Elle pouvait modifier le rêve sans pour autant détruire son intégrité. Douros aurait pu la voir comme un danger mais il la trouvait intrigante. Mais elle ne le voyait que comme un élément du rêve, pas comme une personne. Il ignora sa remarque sur le satyre, essayant de faire comme s'il n'avait jamais existé. En temps que rêveuse lucide elle pouvait modifier et changer le rêve sans atteindre son intégrité, il valait mieux ne pas lui rappeller quelque chose.

_ Jamais je ne vous mettrais hors du palais voyons Ambassadrice Scytha, votre voix est précieuse. Mais entre nous mon cousin aurait aimé vous entendre chanter, vous n'avez pas répondu à sa lettre.

Lettre qu'il venait tout juste de faire apparaître, une invitation à un tête à tête après le dîner de la part d'un cousin éloigné de la couronne. Il rajoutait des choses dans le scénario, le cousin était censé être assez proche de la couronne pour être intéressant pour elle mais assez loin pour qu'un mariage d'état puisse se faire. Si elle voulait suivre un scénario il lui en fournirait un.

_ Mais pour votre requête, je suis désolé mais le dîner devra bientôt être servit, il faudrait que vous soyez prête pour ça.

Il claqua des doigts et une nuée de servantes entrèrent, dont une rêveuse qu'il avait fait venir, la rêveuse était totalement dans son rôle mais au moins Scytha ne pourrait pas la modifier. Il étendit cette protection aux autres servantes, elles étaient aux ordres de l'ambassadrice mais pas à ceux de la rêveuse.

_ Je vous laisses, quand vous serez bien pomponnée je vous guiderais à la salle à manger.

Les servantes commencèrent à s'occuper autour de Scytha, l'une préparant un bain dans la baignoire qui était descendue du plafond, une autre choisissant des bijoux, l'autre une robe. Douros poussa le vice à souffler mentalement à la servante rêveuse qu'un passage entre les cuisses de Scytha serait parfaitement approprié. Celle-ci monta sur le lit et se tourna vers Douros.

_ Vous êtes très beau prince.

Puis elle avança vers Scytha à quatre pattes, Douros se demandant pourquoi elle avait dit ça, puis il vit ses mains. Scytha l'avait modifié. Elle avait directement changé quelque chose, faisant du prince Douros un satyre. Il ne pouvait pas reprendre sans modifier encore violemment le rêve. Il réfléchissait quand il sentit quelque chose. Ah oui, la forme et la fonction. Il avait adopté une forme et son corps réagissait, les satyres étaient attirés par deux choses, le rire et le sexe et voir des jeunes femmes réveillait la seconde partie.

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Les alentours de la ville / Re : Rêverie des sables PV Lyra
« le: lundi 20 juin 2022, 10:38:22 »
Le cadenas résiste, d'abord normalement comme un cadenas est censée résister lorsqu'on introduit pas la bonne clé en lui. Mais au bout d'une longue minute, il faut se rendre a l'évidence, il a changé physiquement, si physiquement veut dire quelque chose dans ce monde. Il résiste activement et ne veut pas être ouvert, il se modifie, résiste à l'épingle, essayant de ne pas être ouvert. Lorsqu'il tombe enfin, c'est toute la porte qui s'effrite et tombe, ainsi qu'une partie du mur.

Douros s'était promené dans une partie du palais sans vraiment trouver quelque chose d’intéressant. des orgies, des discussions politiques, des amours et des intrigues, mais rien qui ne soit ce qu'il cherchait, il voulait voir des personnes qui altérait son rêve, même légèrement, qui serait assez forte pour qu'il puisse les considérer comme autre chose que des simples pions dans son rêve, pour l'instant il y avait juste une personne qui avait altéré ses bijoux pour un style plus européen, mais rien de plus. Il savait qu'il ne pourrait pas traverser tout le château dans le temps de son rêve, mais il pourrait l'explorer de l'extérieur plus tard, là il était dedans et il voulait un peu de piment.

Derrière la porte fermée et le mur effondré se trouvait un champs de fleur. Et une lumière totalement différente. Le palais était plongé dans un crépuscule légèrement lumineux, une heure ou le soleil est couché mais éclaire toujours, alors que le soleil était haut dans le champs. Un peu plus loin des ruines de bâtiments et un groupe de personnes, des femmes en robe blanche autour d'une créature, celle-ci tourna la tête vers Lyra, l'englobant dans son monde, la robe de Lyra devenant d'une blancheur transparente avec le soleil et une couronne de fleur naissant dans ses cheveux. La créature avait un visage masculin, barbu, mais des cornes qui s'ourlaient sur sa tête, il paraissait sauvage et ses jambes étaient couverts de fourrure et de sabots, mais il jouait tranquillement de la lyre.

Douros regarda autour de lui, il était dans un des jardins, dans les rêves des fois un simple mouvement pouvait propulser à des dizaines de kilomètres ou une course effrénée pouvait ne pas faire avancer d'un pouce. Autour de lui ce n'était que des servantes oniriques, des créatures sans esprits qui se contentait de suivre un scénario préétablit. Il y avait une rêveuse en face de lui, qui venait d'entrer par sa porte. Elle était ambassadrice ce qui fit lever à Douros un sourcil. Il y avait des ambassadeurs dans son monde, mais ce n'était pas un rôle que les rêveurs pouvaient adopter.

La vision de Douros se dédoubla, il était dans le jardin et dans le palais. Là la différence de lumière le fit tiquer immédiatement et il compris ce qu'il se passait, un second rêve était en train de prendre la place du premier, un rêve qui n'était pas préparé a accueillir autant de monde. Quoi qu'ait fait l'ambassadrice elle avait libéré une partie de son propre esprit. Douros dut agir pour maintenir l'intégrité du premier rêve.

D'abord sortir toute les personnes du rêve champêtre, il modifia la direction de la gravité, attirant l'ambassadrice vers la porte, modifiant la pièce derrière elle, créant un lit pour la recevoir, puis fermant violemment les accès au rêve champêtre, les cachant dans une autre partie du palais. Il créa rapidement une nouvelle pièce pour entourer le lit, en faisant une chambre et modifia le palais pour placer la chambre non loin de lui. Puis il s'occupa de restaurer l'intégrité du rêve. Il avait perdu un tier du palais pendant ces quelques secondes et des pièces ou des couloir s'ouvraient maintenant sur un vide abyssal. Il connecta tout les trous entre eux, créant un labyrinthe onirique qui au moins avait une certaine logique, même si le troisième étage avait maintenant un balcon au dessus du sixième étage.

Le rêve n'était plus un piège, les rêveurs qui étaient tombés dans les abysses étaient revenus dans leurs rêves et les autres avaient sentit une violence secousse ce qui pouvait les réveiller. Plus aucun nouveau rêveur n'arriverait, il allait devoir se contenter de ceux qu'il restait. Il créa une nouvelle légion de serviteurs pour aller aider tout le monde et remettre un peu de normalité, puis entra dans la pièce ou était tombé la fille.


_ Madame l'ambassadrice, je suis le prince Douros on m'a dit que vous avez fait un malaise. Vous vous sentez mieux ?

Il regarda rapidement la pièce. Il l'avait créé à la va vite et l'avait meublé sans vraiment y réfléchir, il espérait qu'elle ne verrait pas les erreurs, comme la baignoire au plafond ou le miroir qui renvoyait l'image d'un meuble qui n'existait pas. Et une harpe dans un coin qui ressemblait à la lyre de la créature de l'autre rêve. Douros espérait qu'elle ne se rendrait pas compte et que son inconscient modifierait les éléments pour les rendre concordants, lui ne pouvait pas agir sans risquer de mettre son propre rêve en pièce.

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Prélude / Re : Une louve part en chasse [Anéa]
« le: samedi 18 juin 2022, 16:00:49 »
Bienvenue jolie louve
lui offre un panier de pommes

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Les alentours de la ville / Rêverie des sables PV Lyra
« le: jeudi 16 juin 2022, 21:50:50 »
Douros regarda la statue d’albâtre finir de se figer entièrement, dans une ultime position. Posément, il se concentra sur sa maison, agrandissant encore l'espace intérieur, créant une pièce pour mettre en valeur la statue, avant de réfléchir a ce qu'il devait faire pour recruter une nouvelle esclave.

Il aimait être servit par des mortels de chair et de sang. Dans sa demeure il pouvait créer une armée de serviteurs totalement obéissant, mais ils cessaient immédiatement d'exister hors de celle-ci. Les mortels étaient divertissant et intéressant, des fois leurs pensées prenaient des circonvolution qu'il n'imaginait même pas. Il ne se considérait pas comme maléfique de prendre des esclaves mortels, il choisissait uniquement les personnes qui cherchaient à être possédées, dominées, contrôlée et il leur offrait la possibilité d'être à lui. Il devait avant les aider à trouver ce qu'elles voulaient à l'intérieur. Peu de monde s'avouait ce désir et il devait simplement l'étendre et l'enflammer.

Il n'allait pas chercher a travers le monde la perle rare, il allait simplement utiliser une facette de son pouvoir d'oniromancie. Plutôt que d'entrer dans les rêves d'un autre, il allait plutôt inviter quelqu'un dans le sien. Pas seulement une personne, mais une multitude de personnes. Elles pourraient rentrer et vivre une partie de son rêve, avant de se réveiller pour en sortir si celui-ci les secouer trop. Douros n'aurait ensuite qu'à retrouver les personnes qui étaient restés le plus longtemps dans son rêve pour faire sa sélection.

Cela avait plusieurs désavantages cependant, n'étant pas entré dans ce rêve, il ne pourrait en contrôler les moindres détails. L'architecture du rêve était forte, mais le subconscient de nombreuses personnes pouvait le modifier et changer le rêve en un tour inattendu. Il ne pourrait pas non plus rencontrer tout le monde ou modifier leurs interaction, il devait faire confiance au scénario qu'il avait créé.

Ils étaient dans le palais de la lointaine Kehmet, dans le palais royal bien sur, ou vivait une dynastie bien étrange. Seul la royauté était accepté dans le palais, même les serviteurs étaient interdits. Bien que noble de nature, chacun était serviteurs pour quelques rares élus. Le couple royal bien sur, le prince et les nobles qui s'étaient distingués. La servitude était ancrée depuis le plus jeune âge, tout comme la notion de supériorité envers ceux qui ne vivaient pas au palais. Pour pallier aux meurs très légère des Kehmetiens, les lignées étaient surveillées et même parfois commandés. Les mariage ne signifiait que peu de choses car ceux entre cousins étaient monnaie courante mais les enfants étaient rarement du mari, tout étant fait pour que les parents n'ait pas moins de trois degrés d'éloignement génétique. Bref, la vie passait dans ce palais aux milles portes, vivant presque en autarcie.

Douros avait finit de créer son rêve, le peuplant de diverses personnes qui devraient jouer les rôle de personnages, ainsi que de chambres vide qui devaient accueillir les dormeurs, leur offrant une nouvelle identité de nobles de Kehmet pour la nuit. Douros s'était bien sur réservé la place du prince royal. Il ferma les yeux et lança ses filet pour attirer les dormeurs dans son rêve.

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Centre-ville de Seikusu / Re : La liberté c'est l'esclavage [PV]
« le: vendredi 10 juin 2022, 12:07:00 »
L'humaine résistait très bien à ses pouvoirs, il se demandait s'il ne devait pas pousser un peu plus loin la suggestion. Mais il n'était qu'un invité dans ce rêve et essayer de le forcer risquait de faire réveiller la dormeuse ou pire attirer une véritable divinité du rêve.

Il essaya de la guider avec plus de douceur, ne voulant pas la brusquer pour ce premier rêve, elle était déjà terrifiée et désespérée et il ne voulait pas que ces sentiments prédomine, le rêve devait lui sembler hors de la réalité et elle y était trop rattachée.

La rue sembla s'étirer dans les deux sens, comme si elle était infinie et impossible à traverser. Le rêve continuait comme il l'avait préformé et il avait peur qu'elle prenne trop peur, ce qui conduirait à son réveil. Il devait reprendre le contrôle, tout en lui donnant une figure plus calme. Il se demandait s'il devait être cette figure ou confier ce rôle à sa figurante qui attendait dans le sex-shop.

Mentalement, manipulant il appela celle-ci, la modifiant légèrement, la faisant venir dans la rue, lui offrant un nom à la même occasion. Il regarda la femme devant lui et se présenta, ayant distordu légèrement le temps pour qu'elle ne s’aperçoive pas du moment qu'il avait passé à réfléchir.


_ Non, si nous prévenons les autorités, elles vous mettrons en prison, vous êtes totalement …

Il fut coupé dans sa phrase par la femme qui sortait de la porte qu'il avait montré. Elle était magnifiquement belle, avec ses traits doux, des membres fins et un corps entièrement nu, mais pourtant habillé par les différents piercing sur sa peau et les petites gemmes qui adhéraient à son corps, une étiquette à son sein droit indiquait son nom, Nectar. Elle avait deux oreilles de renard qui remplaçait celles humaines et une longue queue touffue et rousse qui s'agitait dans son dos.

_ Douros, laisse la tout de suite, tu vois bien qu'elle est complètement perdue !

Nectar vint doucement prendre un bras de l'aventurière, se faisant douce pour elle.

_ Venez dans mon appartement, je suis juste à coté, je vais vous faire un thé chaud et vous pourrez décompresser.

Elle fit un geste vers Douros, l'un et l'autre semblant se disputer un moment avant qu'elle ne se retourne vers l'aventurière.

_ Ou alors tu le suis lui, il veut t'expliquer ce qu'il se passe, mais c'est une brute, il ne va pas y aller doucement, j'ai peur que tu n'ai besoin de repos d'abord.

Elle laissa sa phrase en suspend, laissant le choix à l'aventurière de suivre l'un et l'autre alors que mentalement Douros modifiait le rêve pour y inclure un appartement au cas où elle choisisse d'y aller.

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Centre-ville de Seikusu / La liberté c'est l'esclavage [PV]
« le: vendredi 27 mai 2022, 20:53:10 »
C'était une promenade tranquille à la base, une journée de flemme dehors et un retour dans sa demeure pour la nuit, mais il avait croisé un regard bleu avec tant de force à l'intérieur qu'il n'avait pas pu s'empêcher de le lire, de voir au fond de ses rêves.

Et elle ne rêvait pas de choses agréables. Douros n'était pas un ange, un être de bien, mais il avait voulu interférer. Pas pour la protéger des cauchemar qui la hantait, mais pour lui en créer des nouveaux, soit qui la détruirait, soit qui la rendrait plus forte. Il s'était tranquillement assis au milieu des arbres, déployant ses capacités oniriques, peu importait qu'elle soit réveillée ou non, il pouvait créer un rêve pour elle avant. Lorsqu'elle s'endormirait, il la rejoindrait dans les songes, l'architecture du rêve déjà prête, mais lui permettant de modifier à loisir.

Il pris d'abord le canevas d'un cauchemar qu'elle avait, créant une ébauche de monde à partir de celui-ci. Ce cauchemar ou elle était nue et revenue à l'école et où tout le monde se moquait d'elle. Il garda la sensation de honte que le rêve devait provoquer, mais modifia tout le reste.

Douros commença d'abord par se donner une petite place dans la trame du rêve, un corps qu'il pourrait habiter mais qui n'était pas une limite, lui permettant d'observer sa victime dans le rêve entier. Il était juste un passant qui l'aidait et lui indiquait un abris. Il pourrait plus tard agir.

Ensuite il plaça sa victime, créant un manoir dans lequel elle s'habillait pour sortir. Il rajouta une petite urgence mentale, sa victime devait sortir du manoir voir quelqu'un. Elle pouvait se maquiller, avoir les plus beaux habits qu'elle voulait, mais elle devait chercher à sortir. Il devait faire attention avec cela, il pouvait modifier l'esprit du dormeur mais pas le forcer trop loin, une modification trop forte risquait de le faire se réveiller.

Ensuite hors du manoir il créa une rue et y replaça la sensation de honte du cauchemar précédent. Puis il commença à peindre tout un monde, déformé, cruel, mais pourtant plausible dans les rêves. Dès qu'elle sortirait, le rêve lui imprimerait dans l'esprit les concept du monde qu'il créait. Sa honte ne serait pas d'être nue, mais d'être habillée. Il plaça divers passants, des hommes, des femmes, tout en imprégnant dans les concept du monde l'esclavage des femmes comme quelque chose de normal, de désiré par les deux genres. Les femmes qu'il plaçait était nues, attachées par des laisses et un collier, allant a quatre patte pour la plupart, mais il plaça une femme de la haute société sur ses deux jambes, la gardant quand même attachée et nue.

Dès qu'elle sortirait tout les passant se moquerait d'elle. Il fit de leur visages des brumes de souvenir, elle ne verrait que des amis et des connaissance, tous se moquant allègrement d'elle parce qu'elle était sortie toute habillée.

A ce moment le cauchemar s'accélérait, elle devait fuir, la porte derrière elle avait disparut et elle se trouverait au milieu de la rue. Douros fit en sorte que la rue s'étire à l'infinie dans tout les sens, sauf si elle percutait son personnage, qui lui désignerait aussitôt un abri avec un sourire. Elle verrait alors ce seul visage inconnu mais amical.

L'abri en question était un sex-shop, avec une seule vendeuse. Douros la transforma pour qu'elle apparaisse à sa victime comme son idéal féminin. Puis il lui rajouta une queue et des oreilles de renard, afin de la faire paraître hors du monde. Dès qu'elle fermait la porte le reste du rêve s'effaçait pour qu'elle soit seule avec la vendeuse, qui était elle aussi nue, des piercing à ses seins étaient reliés par une chaîne.

La vendeuse s’approcherait et lui parlerais calmement pour la faire sortir de sa transe et de sa peur. Puis elle l'aiderait à se dévêtir, tout en continuant avec les paroles de calme, comme un animal effrayé. A ce niveau là, Douros mit une petite partie de son essence dans ce personnage, pour qu'elle réagisse comme une vrais personne et ne soit pas qu'une façade comme les autre personnages. Puis ensuite la vendeuse lui proposerait une offre promotionnelle, et Douros rajouta de la joie à ce rêve, pour que sa victime l'accepte, bien qu'elle pourrait faire autre chose.

La vendeuse l'aiderait à s'installer sur une chaise, avant de lui mettre un collier au cou. Là il fallait rajouter une sensation de douceur, de désir, que la victime pense qu'elle voulait ce collier. Puis la vendeuse se mettait en devoir de percer chaque téton, pour y insérer un piercing vibrant. Douros diminua la douleur pour l'empêcher de se réveiller, mais la garda présente, puis la vendeuse faisait de même avec le clitoris de la victime. Et une fois ça fait, le rêve s'effaçait et elle se réveillait.

Douros rouvrit les yeux, ayant finit de créer le rêve alors que le soleil commençait à se coucher. Il se le repassa rapidement pour être sur de ne pas avoir fait d'erreur.

Sa victime était d'abord libre de ses actes dans le manoir, avec l'envie d'en sortir pour aller voir quelqu'un. Dès qu'elle sortait, elle voyait le monde et il s'imposait à elle, la faisant ressentir de la honte d'être habillée. La rue s'étendait a l'infini dans toute les directions et elle ne pouvait que se réfugier dans une maison qui était le sex shop. Là la vendeuse la calmait et lui offrait de la percer. Puis le rêve se finissait là dessus. Normalement tout se ferait ainsi, mais parfois les mortels le surprenaient

Douros sourit, puis se connecta avec les rêves de sa victime, y plaçant doucement son rêve piégé, attendant qu'elle dorme pour qu'il s'y déclenche. Il laisserait une trace plus forte que les autres rêves, contrairement aux rêves normaux il ne disparaîtrait pas dans les brumes du matin.

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Le coin du chalant / Ce rêve bleu
« le: jeudi 26 mai 2022, 21:21:37 »
Bonjour,

j'ai quelques idées de début de RP si des gens sont intéressés.

En premier j'ai quelques idées de rêve humides légèrement modifiés pour rester dans la tête au réveil.

Douros est capable de jouer avec les rêves et de vous les faire ressentir plus profondément, pouvant jouer avec vous sur plusieurs jours et nuits, jusqu'à vous faire perdre la tête et vous faire faire des choses dans le monde réel.

Mais ça c'est pour les mortels sans pouvoirs, si vous êtes un peu plus puissant que ça, vous pourriez voir que Douros infiltre vos rêves, ça pourrait donner des discussions intéressantes.

13
Prélude / Re : Douros l'Oneiros [Anéa]
« le: jeudi 26 mai 2022, 20:52:21 »
Merci de votre accueil, ne vous inquiétez pas, j'hanterais les songes de tout le monde.

J'ai modifié comme demandé

14
Prélude / Douros l'Oneiros [Vanéalidé !]
« le: mardi 24 mai 2022, 15:54:44 »
Identité : Douros
Âge : Je suis incarné depuis 67 ans, mais je suis plus vieux que ça
Sexe : Masculin
Race : Avatar, enfant de Morphée
Sexualité : Hétérosexuel

Physique :
La forme physique que j'arbore n'est pas ma véritable forme, néanmoins, étant coincé dedans, je ne peux que vous la décrire.
Je possède de longs et soyeux cheveux noir, entretenus avec soin, je peux passer des heures à traquer la moindre mèche récalcitrante pour la peigner et la remettre à sa place. Mes yeux son verts, d'un vert presque onirique, mais nous y reviendront plus tard. Le reste de mon visage est plutôt rond, légèrement androgyne, malgré un menton en pointe que je n'aime pas beaucoup.

Malgré tout mon travail, je n'ai jamais réussis à me muscler vraiment, comprenez, je ne suis pas maigre à faire peur, mais j'aurais voulu arborer les muscles d'un mister univers. Mais mon corps refuse de se plier à mes ordres et je n'ai que des muscles discrets, délicatement ciselés sous un corps mince.

J'aime à m'habiller plutôt de rouge et ma nature me fait me tourner vers les habits plus traditionel, cérémoniels, des longs kimonos aux manches extravagante. Mais dessous je préfères les vêtements noirs et prêt du corps, quelque chose de facile à porter

Je possède un sabre qui est une des choses qui me lie à cet endroit, que j'entretiens soigneusement et que j'emmène parfois avec moi.

Caractère :

Je suis quelqu'un de nonchalant, mais de passionné lorsque je désire quelque chose.
J'aime construire, échafauder, planifier mais je suis souvent chaotique et désordonné.
En un mot comme en cent, je suis paradoxal.

Je n'ai pas peur de la mort, mais je n'aime pas du tout la douleur. J'aime jouer et manipuler les mortels, mais pas m'attacher à eux. J'aime me perdre dans les sensations humaine qui animent mon corps, mais je déteste quand mes émotions prennent le contrôle.

Mon jeu préféré et de pervertir la réalité des mortels, au points qu'ils ne sachent plus s'ils se sont éveillés ou si le rêve s'est éveillé autour d'eux.

Je recherche le pouvoir, non pas sur les mortels, mais le pouvoir en général, redevenir aussi puissant que je l'étais.

Tout est jeu pour moi, mais je peux être un joueur très sérieux et acharné, tant que je pense que ça me rapproche de mon objectif.


Histoire : Je n'ai pas vraiment de parent, Morphée est mon père mais si j'ai une mère ce serait plus les rêveurs en général. Je suis, ou plutôt j'étais, une divinité des songes, un fabricant de réalité pour les dormeurs, dans lequel vous mortel vous épanouissez et attendez la visite de mon père qui peut vous faire cet honneur car il a un message à vous faire passer. Si vos rêves se répètent parfois c'est que vous les recombinez mal au réveil, notre magie s'effaçant, vous laissant des souvenirs brumeux.
Mais j'ai voulu changé cela, j'ai voulu modifier les rêves que je devais créer et pousser les mortels vers leurs désirs inassouvis. Au début ce n'était que quelques modifications, des choses sans importances, une idée, un mot, un objet, mais sans punition, je me suis laissé aller à plus, allant même jouer avec mes victimes, leur imposant des obsessions jusqu'à ce que le rêve emplisse même le réel.

Mon père m'a d'abord réprimandé, puis j'ai du faire quelque chose de vraiment grave, car il m'a banni de sa présence en effaçant de mes souvenirs la faute que j'avais commise. Me voila condamné pour je ne sais combien de temps à l'existence d'un mortel standard, sans aucun pouvoirs. Enfin, presque sans aucun pouvoirs, mon père ne m'a pas totalement privé de mes capacités. Cela fait une soixantaine d'année que j'erre ainsi, sans aucune connaissance de la faute que j'ai commise. Je me suis pas mal laissé allé aux plaisirs mortels pour oublier ma douleur de ne plus être entièrement moi.  J'erre dans cette vie que je ne veux pas, cherchant des miettes de pouvoirs oubliés des dieux dans les cœurs des mortels. Je suis assez vieux pour être sur que je n'engendre pas, même si je ne désire pas le faire.

J'ai choisis Seikusu pour y établir ma maison car y résidait un homme auquel appartenait le sabre que je portes, d'ailleurs c'est également son visage que j'arbore, mais pas d'inquiétude, a moins de tomber sur une peinture de lui du 13eme siècle, personne ne pourra le reconnaître. Ici Morphée m'a fait don d'une maison, refuge et prison à la fois. Car a l'intérieur mes pouvoirs divins sont infinis, tant que je n'en franchis pas les limites, mais dès que j'en sors je redeviens un humain bien banal. Sa porte d'entrée est dans le centre-ville, mais dès que l'on sort par le coté jardin, on tombe sur une forêt du plan de Terra.

Autre :
Quels sont mes pouvoirs hors de ma maison ? Ils sont simples, déjà je ne vieillis pas, apparemment du moins. Ensuite mon deuxième pouvoir est la banalité, devenir a tout moment un visage anonyme dans la foule, peu importe mon acoutrement, les yeux de mortels n'arrivent pas à rester sur moi, glissant comme du savon.
Ensuite mes pouvoirs les plus intéressants sont de pouvoir voir les rêves et les désirs dans les yeux des mortels et de m'introduire dans les rêves de ceux-ci, bien que je ne puisse que peu les modifier sans attirer un de mes frères qui me virera séance tenante.

Comment avez-vous connu le forum ?
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