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« le: dimanche 15 août 2021, 10:03:09 »
Lied était tactile. Et Kaito s'en contentait parfaitement tant les gestes de sa partenaire étaient plus précis que des mots. Ses émotions étaient relayées par ses mains qui intimaient au jeune homme la conduite à tenir. En l'occurrence, tout indiquait Lied était folle de plaisir et qu'elle partageait les mêmes sensations que son amant. La jeune femme sage présentait un aspect plus libéré de sa personnalité alors qu'elle goutait à ce coït agressif qui en aurait fait fuir plus d'une. Vive l'Allemagne! Et sa voix et ses gémissements encourageaient Kaito à continuer, à ne pas céder à un orgasme prématuré qui pourrait couper la passion qu'il mettait à la besogner. Le terme était trivial mais parfaitement adapté. Il la besognait sans répit, martelant ces fesses accueillantes et désormais grandes ouvertes à sa volonté. Elle aussi était adorable, il voudrait lui dire mais n'osa pas, de peur de briser leur lien sexuel. Il se noyait dans la beauté de son visage dont la lune illuminait les courbes et accentuait avec vice les traînées de sperme qui le maculait. Cela rendait une vision improbable où chaste pureté rimait avec luxure décadente. C'était Lied. Et Lied, l'inavouable désir parfait de Kaito voulait plus encore. Ses ongles s'enfoncèrent dans sa chair comme lui s'enfonçait dans la sienne. Il crispa sa mâchoire et répondit par un coup de reins dantesque qui fit craquer le lit. Les mains fines coururent sur sa peau jusqu'à son dos, descendirent plus bas et pressèrent avec insistance. En effet, pas de mots ... Lied était tactile ... et déterminée. Malgré sa position qui la désignait comme passive de la volonté du garçon, elle n'en faisait rien. Au contraire, elle en voulait plus. Son dernier geste le prouvait. Kaito devait donner tout ce qui lui restait d'énergie pour la satisfaire et il s'y employa. Qu'il craque et jouisse, cela n'importait plus. Elle voulait plus de contact alors qu'il croyait qu'elle ne supporterait pas plus, il lui donna. Usant de toute la vigueur de sa jeunesse, motivée par cette expérience inédite, l'étudiant s'arcbouta sur l'allemande et termina de la pilonner sans aucune mesure. Tout son poids donnait à la pénétration anale une dimension d'une profondeur incroyable. Il tapait dur, bien au fond, fiché entre ces fesses demandeuses de stupre. Sous lui, Lied subissait la violence, puisque c'est ce dont il s'agissait à présent, de cet assaut brutal. ces quelques dernières minutes d'effort furent passionnelles et les deux affamés suaient autant l'un que l'autre, l'un sous l'effort, l'autre sous les conséquences de cet effort. Quand elle apposa ses mains sur son visage et lui demanda la délivrance, Kaito réagit instantanément. Tout son corps se crispa et dans un déchainement d'émotions, il se vida, déversant en elle bien plus qu'elle ne pouvait accepter. Le jeune homme était tendu, tétanisé, foudroyé par la brulure de la libération. Tous ses muscles bandés sous la pression, il restait fiché en elle, son sexe noyé dans un tsunami de sperme. Enfin, il s'effondra sans retenue sur le corps de sa nymphe, épousant ses formes épanouies. Il haletait, il la sentait dans le même état que lui mais plus apaisée, soulagée, heureuse et délicate. Il la sentait. Son parfum, son odeur distillait le plaisir qu'elle venait de vivre. L'étudiant gouta sa peau, salée par ses soins peu avant. bon sang, il pourrait se lover contre cette poitrine pour le restant de sa vie. Kaito bougea pour libérer sa partenaire de son étreinte. Lied put détendre ses membres tandis qu'il se retirai d'elle. Son sexe s'extirpa de l'écrin de ses fesses, autorisant enfin le surplus de semence à se vider de ce conduit trop étroit pour une telle quantité de fluide. La jeune femme avait été le réceptacle le plus délicieux qui soit, aussi bien en elle que sur sa peau parfaite, propice selon des critères pervers à recevoir des flots de semence. L'espace d'un instant, Kaito se demanda si Lied était une habituée de ce genre de jeux pas très subtils où le plaisir du corps passait avant celui de l'esprit, où la nature primaire de l'Homme prenait le pas sur la réflexion et des siècles d'évolution.
Kaito rit du trait d'humour de sa partenaire. Il pourrait lui dire qu'elle serait parfaite dans un tournage porno dédié au bukkake, comme seuls les japonais savaient vraiment le faire mais se commanda ne rien dire. Agenouillé devant elle, il mesurait pleinement l'ampleur de la débauche à laquelle ils s'étaient livrés. Les draps étaient souillés, épars, roulés en boule. Lied brillait de toute la semence qui la recouvrait, odorante, collante, peu soucieuse du sperme qui s'étirait des courbes de son visage à celles de sa poitrine, à moins qu'il s'agisse aussi de salive. Kaito tendit la main pour pincer une goutte suintante qui perlait à ses cils et il rit de l'incongruité de son geste.
"Euh oui, il vaudrait mieux en fait, tu as raison. Tu as ... Nous avons besoin d'une douche."
Lied ne perdit pas de temps et suivit son idée. Elle l'entraina dans la salle de bain et alors qu'il voulait ressortir chercher une serviette propre, elle s'interposa entre la porte et lui. Elle prenait la main, décidait des suites à donner, intimait plus que proposait, mais toujours en gardant ce faciès adorable qui devait faire craquer toute une génération d'ados teutoniques pré-pubères.
"Mais non, je ..."
Il rougit sous l'accusation "Après tout ce que tu m'as fait". C'était bien vrai et même s'il savait qu'elle l'avait voulu autant que lui, c'était très gênant maintenant qu'ils étaient face à face sous la lumière claire des spots de la salle de bain. La pièce était petite, à l'image de la maison et l'espace pour deux était réduit. Lied le frôla pour aller s'occuper du bain. Sa cuisse luisante frotta son gland irrité et il sursauta au contact de ce toucher éphémère. Bon sang, quel sex-appeal elle dégageait. Nue sous la lumière, elle offrait la vue d'un corps parfait, déjà pleinement mature, trop peut être pour une si jeune fille. Elle devait faire crever de jalousie les femmes autour d'elle.
Le bain était prêt et Lied ôtait déjà de sa peau les miasmes de leurs ébats quand il sortit de son état de contemplation.
"Oui oui, je viens."
Il entra à son tour dans la baignoire et se cala en face d'elle. Lied se pencha vers lui pour l'embrasser sur la joue, offrant par là une vue plongeante sur sa lourde poitrine à demie immergée. Le réflexe de Kaito fut instantanément de la saisir à pleines mains, l'esprit envahit de nouvelles images érotiques.
"Trop craquant. Laisse-moi t'aider."
Il ne s'opposa pas à cette proposition et la laissa le savonner. Il aurait voulu lui rendre la pareille mais Lied avait décidé de mener la danse. A sa demande, il se retourna et s'assit entre ses cuisses, comme un petit chat lové contre sa maitresse. Et la tendre maitresse abusa de sa position pour le câliner, lui faisant profiter à nouveau de ses formes pleines. Ses bras l'enlaçant, Kaito savait qu'elle mesurait l'effet qu'elle lui faisait. Tout indiquait que le sexomètre de Lied était remis à zéro et que son potentiel n'attendait que d'être mis à l'épreuve. Le regard pétillant et joyeux de Lied avait l'éclat de celle qui en voulait encore. Et bon sang qu'elle était tactile. Kaito baissa les yeux sur les doigts fins posés si près de son instrument de plaisir. En exhalant doucement, il saisit les poignets de la jeune femme et guida ses doigts autour de son membre. Ils se refermèrent aussitôt autour de leur prise et le jeune homme intima un lent mouvement de va-et-vient. Il la faisait clairement le masturber. L'eau chaude du bain était une hérésie à l'accomplissement de sa volonté. Dans ce bain délassant, son sexe mit un moment à réagir, protestant contre ce supplément d'efforts qu'on lui demandait. pourtant, le désir était bien là, déterminé à surpasser les lois de la biologie humaine. Il fallait juste une étincelle et l'étudiant sut où il devait aller la chercher.
"Attends ..."
Il se leva et se retourna. L'inclinaison de la baignoire dans le dos de Lied lui permit de la pencher en arrière. Tant bien que mal, il s'agenouilla au-dessus d'elle, les bras de la jeune femme serrés contre elle dans une position contrainte. Kaito inséra son sexe entre les seins comprimés de Lied qui ouvrait de grands yeux surpris. L'effet fut immédiat et il se vit gonfler et grossir sans appel. Son membre pressé écartait le creux de ses mamelles hors normes et en quelques mouvements francs, il retrouva toute sa détermination. Pressant son bassin contre la poitrine rehaussée, il logea sons gland sous le menton de son amante, contre la peau soyeuse de son cou.
"Je pense qu'il faudra prévoir un autre bain plus tard. Tu n'en as pas fini avec mes liquides je crois ..."
Il se leva après sa tirade, dictée sur le même ton qu'elle auparavant, et sortit du bain avant de l'aider elle aussi à se relever. Le sexe raide appelait au secours et Lied allait faire office de sauveteuse. Kaito la retourna qu'elle prenne appui sur le bord de la baignoire et s'agenouilla derrière elle. Il contempla son œuvre mais ne lui dit pas à quel point son fessier ravagé portait encore les stigmates de la sodomie. Le jeune homme donna un coup de langue précis entre les lèvres exposées. cette entrée là était encore vierge de toute intrusion trop envahissante et présentait un aspect fin et délicat, à l'inverse de la porte de derrière. Le bain chaud avait fragilisé la résistance de cette intimité et les chairs étaient souples et ouvertes. Kaito gouta le délice de cette moiteur et la pénétra de sa langue sans qu'elle résiste. le corps de Lied, lui, réagit et Kaito ancra ses doigts dans les fesses qu'il avait si durement marquées. il les écarta, se donnant libre accès à la douceur de Lied et la dévora bruyamment. Il guetta les signes indiquant la nécessité d'une exploration plus poussée et au premier couinement de plaisir trop poussé qu'elle émit, il se leva et l'embrocha d'une poussée, la pénétrant lourdement jusqu'à coller son bassin à ses fesses. C'était grisant. Autant, le rectum de Lied était sec, étroit et semblait l'attirer vers le fond, autant son vagin était une cuve volcanique en pleine activité. Ses muqueuses étaient douces et accueillantes et il y tapait en souplesse, explorant l'endroit en écartant les parois sensibles dans lesquelles il baignait. Kaito prit Lied par les hanches. le miroir de la salle de bain reflétait leur profil et il pouvait la voir prendre son pied, prise par derrière, ses gros seins ballotant au rythme de la pénétration. L'étudiant agit cette fois avec réflexion. Elle lui avait donné un plaisir fou, acceptant toutes ses déviances. A son tour à elle d'en profiter tout son soûl. Il y alla progressivement, sans forcer, sans gestes brusques, entrant en elle rectilignement et profondément, marquant son acte de douceur et attention. Chaque pénétration était longue, tout comme chaque sortie. il était à l'écoute du corps de sa partenaire et réagissait à ses demandes silencieuses. Il menait la danse et paradoxalement Lied guidait la conduite.