Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Voir les derniers messages - Kaito Nakajima

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Voir les derniers messages

Cette section vous permet de consulter les contributions (messages, sujets et fichiers joints) d'un utilisateur. Vous ne pourrez voir que les contributions des zones auxquelles vous avez accès.


Messages - Kaito Nakajima

Pages: [1] 2 3 ... 10
1
Centre-ville de Seikusu / On essaie un nouveau départ (Pv. Kaito et Enothis)
« le: vendredi 06 octobre 2023, 17:44:31 »

Ce RP suit de près les évènements survenus dans celui-ci : A un moment, on récolte ce que l'on sème!



OoOoOoOoO


"Moi, je te dis qu'ils sont parfaits !"

Kaito avait un sens des proportions indéniables et il n'y avait aucun doute dans sa voix. Il maintint son observation quelques instants et confirma ce qu'il venait de dire.

"Non non, j'ai raison et je ne me trompe pas. Pourquoi veux tu que je raconte n'importe quoi si ce n'est pas vrai ? Si je dis qu'ils sont parfaits, c'est que c'est le cas. Plus petits, ils jureraient avec le reste et plus gros, ce serait choquant. Là, ils ont la taille idéale et tu ne pourrais pas espérer mieux. Pourquoi cette question ?"

Kaito et Enothis se tenaient l'un en face de l'autre, agenouillés sur le lit du jeune homme. Kaito avait les mains sur les hanches et étudiait la poitrine de la jeune femme.

"Quelqu'un t'a fait une réflexion à ce sujet ?"

Enothis portait ce ravissant chemisier qui lui allait si bien et qui faisait partie intégrante de l'uniforme de leur établissement scolaire. Les origines de la jeune femme se traduisait certes par le teint foncé de sa peau mais aussi par des formes absolument remarquables et le tissu en coton blanc du haut était mis à mal par la pression qui s'y exerçait.

"Tiens, regarde !"

Kaito se pencha et dégrafa les quatre boutons du haut, dégrafant le vêtement du cou d'Enothis jusqu'à son nombril. Libérée de son carcan, sa poitrine en jaillit comme un ressort trop compressé et prouva que le garçon avait bien raison.

"Tu vois !" Il la prit à pleines mains et n'avait pas trop de ses dix doigts pour y parvenir. "Elle est faite pour moi et …" Il sourit de cet air mi-figue mi-raisin qui voulait tout dire " … on peut faire pleins de trucs géniaux avec."

S'il faisait référence à leurs précédentes aventures, il ne se trompait pas. Glisser entre les seins d'Enothis, c'était emprunter le couloir qui menait au paradis.

Cela faisait maintenant quatre mois que l'incident qui avait bouleversé leur vie était passé. Quatre mois qu'ils avaient mis à profit pour se connaître, se rapprocher encore plus, découvrir qui ils étaient vraiment et se rassurer l'un l'autre quand à leurs sentiments. Après ce déluge d'émotions, ils avaient tout deux besoins d'un rapprochement et il s'étaient retrouvés dès le jour suivant. Les débuts avaient été timides, comme s'ils n'avaient rien partagés, mais leur jeunesse les avait rattrapé et ils étaient dorénavant inséparables. Est-ce que tu accepterais d'être ma petite amie ? Cela avait été aussi simple que ça ! Jeu, set et match en une question et une réponse ! Les deux tourtereaux ne se lâchaient presque plus, se faisaient immensément confiance et se livraient sans barrières à des confidences intimes et personnelles.

Ils travaillaient beaucoup ensemble et Kaito se montrait intraitable dans ce domaine là. Son Enothis devait réussir et en avait les capacités. Au campus, ils n'étaient pas dans la même classe, Kaito étant plus âgé mais ils se retrouvaient au réfectoire et durant les temps de pause. Le garçon s'était affirmé, comme si le fait d'avoir protéger Enothis (en partie) l'avait fait gagner en maturité. Le couple ne passait pas inaperçu et provoquait des jalousies et dans leur dos, les commentaires fusaient. Qu'on vienne leur dire quoi que ce soit !

Kaito aurait aimé qu'ils se rapprochent plus. Enothis avait rencontré ses parents et l'accueil des Nakajima avait été des plus agréables. Enfin ! Kaito ramenait quelqu'un à la maison ! Assez ouverts, les parents du garçon ne voyaient pas d'un mauvais œil que les deux jeunes restent seuls dans la chambre de leur fils. Cependant, la jolie égyptienne n'avait encore jamais dormi dans son lit une nuit complète et pour cela, le garçon envisageait de louer un petit studio près du campus. Plusieurs soirs par semaine, il travaillait toujours au bar de son night club et il dispensait à présent des cours de musique payants. Il devrait pouvoir s'en sortir mais … il n'y avait pas qu'Enothis. Il fallait l'approbation d'Emaneth qui semblait encore lui en vouloir. Pourtant, lui aussi avait été victime de la machination qui les avait frappé. Il allait devoir la travailler au corps maintenant qu'elle ne lui faisait plus peur. En effet, leur premier contact avait été terrifiant pour le garçon. Il lui avait fallu comprendre et accepter la dimension mystique et ésotérique d'Enothis, ce qui à présent était tout à fait consommé. Il ya avait toujours un danger, celui que sa secte la retrouve mais encore une fois, Emaneth veillait.

Toutes considérations faites, Kaito se pencha sur sa chérie et lui mordilla un téton gentiment. Les parents étaient absents et les deux jeunes avaient pour eux la chambre de geek de Kaito.

"Tu sais ce dont j'ai très envie là ?"

2
Centre-ville de Seikusu / Re : La cour des secrets [PV. Alice]
« le: mercredi 05 juillet 2023, 19:49:31 »
Le délicieux bonbon que Kaito dégustait était sucré et sentait divinement bon. Sous ses coups de langue, Alice tremblait comme une feuille et cela rassura le garçon qui espérait sincèrement lui procurer du plaisir. Entre les cuisses de sa Belle, il s’activait et était parvenu à trouver un rythme qui fasse chavirer la jeune fille. Kaito visitait cette antre brulante et après en avoir exploré les contours, il s’appliquait à plonger aussi loin que possible en léchant les muqueuses du vagin jusqu’à ce qu’il la porte loin dans l’aboutissement de cette entrée en matière. Le garçon craignait de mal faire, complètement nul dans ce domaine-là. Son expérience se limitait aux pornos qu’il visionnait dans sa chambre principalement. Oh bien sûr il n’était pas puceau mais … son palmarès n’était pas glorieux. Aussi les frétillements d’Alice le poussèrent à aller de l’avant et très vite, le petit câlin se transforma en exploration sauvage.

Cela l’excitait, il était fier de pouvoir satisfaire son égérie, d’autant plus qu’elle devait en voir passer un paquet, de bonhommes bien plus expérimentés que lui. D’ailleurs oui ? Est-ce qu’elle faisait ça depuis longtemps ? Et pourquoi ? Il ne lui connaissait pas de problèmes financiers aussi faisait-elle ça pour s’amuser, être à la mode ? Il l’imagina criant son envie de baiser et il en eut le souffle coupé. Le tableau qu’il s’en faisait relevait d’un érotisme incandescent. Il leva les yeux sur elle. Elle venait de lui dire la plus engageante des propositions même s’il ne voyait pas les choses de la même manière.
Alors oui, le Paradis était supposé mettre ses filles à disposition des clients mais là, il s’agissait d’Alice et ils venaient d’une certaine manière de se déclarer leur flamme mutuellement. Alice n’était donc nullement tenue de se conformer au règlement de l’établissement le concernant, lui. Néanmoins, il ne fallait pas qu’il se le cache, Kaito crevait d’envie d’essayer tout ce qu’il venait de lire sur le flyer.

Il se releva plus vite qu’il ne l’aurait voulu et perdit légèrement l’équilibre, d’autant plus qu’il trébucha contre la bordure de l’épais tapis qui ornait le centre de leur petit espace privé. Il bascula en avant, se rattrapant de justesse sur les accoudoirs du fauteuil contre lequel il avait poussé Alice. La jeune fille était sous lui … enfin … la tête de la jeune fille était idéalement placé entre ses cuisses, son visage enfoui dans le creux d’où cherchait à s’échapper un certain engin …

"Je …" Non, pas besoin de s’excuser ! Il fallait arrêter avec ça ! Il était son senpai et … son petit coapain dorénavant.

Kaito se tortilla pour dégrafer son pantalon et le baisser, enlevant son boxer dans le même mouvement. Alice terminait de glisser contre l’assise pour se retrouvée accroupie devant le fauteuil, la tête toujours basculée en arrière sur le cuir du siège.

La queue du garçon jaillit comme un serpent et se redressa, cajolant au passage le beau visage d’Alice. Kaito respirait fort. D’en haut, il voyait la masse épaisse de cheveux verts entre ses jambes et son sexe se frotter contre cette adorable figure angélique.

"OOOOhhh Alice !"

Il creusa légèrement son bassin pour guider sa tige devant les lèvres de la jeune femme et poussa pour investir sa bouche. Aussitôt, ce fut … brûlant … et humide. Il faillit décharger tant il avait rêvé cet instant. Prenant bien appui sur les accoudoirs, il commença à bouger, doucement d’abord, manquant crever tant les lèvres pulpeuses de la miss l’aspiraient, puis plus vite, et plus fort, et plus loin. Un immense fantasme inavouable se profilait et Kaito perdait pied. Il en oublia de demander si ça allait et se fit plus incisif jusqu’à ce que, d’un coup de rein sec, il plonge au plus profond de la gorge d’Alice après avoir écraser sa luette. Si loin, c’était horriblement serré, non, adorablement serré. Il souffla, follement transis, et se redressa, ramenant Alice dans une véritable position accroupie face à lui. Il put enfin plonger ses doigts dans la crinière épaisse et bien tenir la tête de sa maid personnelle. Kaito ne soupçonnait pas la taille de son sexe, n’ayant que peu de comparatifs. Mais il était bien foutu et la forme de sa queue distendait et modelait le cou de la jeune femme. On pouvait l’y voir monter et descendre et la sensation était exquise tandis qu’il malmenait la gorge d’Alice. Kaito durcit le rythme, passant d’une gorge profonde appliquée à un facefuck endiablé. C’est lui qui guidait Alice et les déglutitions sonores de sa princesse ajoutaient à sa petite perversité. Un observateur extérieur aurait clairement dit qu’il lui baisait la gueule.

 Et puis, cela faillit arriver … La pression monta d’un coup et il se retira brutalement d’elle pour ne pas lui gicler directement dans la gorge. Il ferma les yeux, serra les poings, tenta de se concentrer. Son sexe pointait devant le joli visage défait d’Alice et Kaito scanda :

"Il faut pas que je vienne tout de suite … Il faut pas que je vienne tout de suite … Il faut pas que je vienne tout de suite !"

3
Là, c’est le pied ! il y est enfin et la petite brute qui gigote sous lui l’a enfin fermé. Kitty-Skyler, Skyler-Kitty … Non Kaito, toutes les femmes ne sont pas les mêmes et c’est à toi de correctement interpréter les messages que tu reçois. Là clairement, ça signifie non et tu déconnes, persuadé que tu peux faire ce que tu veux. Ce pari, elle l’a perdu et elle devrait en payer le gage mais … stop garçon !

Il se loupe, elle le désarçonne et il n’a pas le temps de dire quoi que ce soit qu’elle se déchaine. Une vraie furie, une boule de nerf, une boxeuse vexée et vengeresse ; elle s’acharne en brayant et il a juste le réflexe de lever les bras pour protéger son visage. Les coups sont durs et sa respiration se coupe au premier impact. Il n’a ni la condition physique ni la technique pour lui résister et il perd pied, chutant lourdement en arrière.

La suite, il ne s’en souvient pas hormis l’impression qu’il a eu que sa tête explosait et qu’il se mordait la langue méchamment.

Et puis le réveil, dans un univers blanc, comateux, la bouche sèche. Il bouge légèrement et la douleur l’immobilise à nouveau. Il est couché et n’est pas totalement libre de ses mouvements. Il a soif, il a faim, il a mal à la tête. Il tente d’ouvrir les yeux et la lumière crue qui l’assaille lui tire des larmes.

Maman ?

Aucun son ne sort de sa bouche. Où est-il et que se passe-t-il ? Il met une éternité à reprendre conscience avant de réussir à entrouvrir ses paupières et découvrir son nouvel environnement. L’odeur est celle de l’éther, il est dans un lit, la tête immobilisée par un cerclage qu’il devine, surement une minerve. Tout est encore floue et il essaie de s’agiter. Il a une perfusion dans le bras et il devine un goutte à goutte pendu au-dessus de lui. Et puis des sons lui parviennent, ténus, avant de s’amplifier, venant de l’autre côté d’une porte qu’il distingue péniblement.

Kaito bouge ses doigts, tous, et ses orteils aussi. Et … bon sang qu’il a envie de pisser !! Il fait un peu frais et le drap qu’il a sur lui n’est pas assez épais.

Sur sa droite, un mouvement attire son attention.


"Maman ?"

C’est mieux déjà, faible mais mieux.

"Maman ? Qu’est-ce qui m’arrive ? Je peux pas bouger."

Tiens oui d’ailleurs, pourquoi ne peut-il pas bouger ? Pourtant il boxait, non il était à ce cours de boxe et … puis plus rien, pas de souvenirs. Ah si ! Elle s’appelle comment déjà l’autre, la folle ? Il est interrompu par l’entrée d’une infirmière qui parle fort.


"AH ! Il est réveillé ! Ça va jeune homme ? Tu t’en sors bien après ta chute. Tu as une commotion mais qui a été traitée à temps. Et puis une côte cassée aussi. Tu vas mettre un peu de temps à t’en remettre mais ça va aller. Ta mère est sortie faire une course mais ton amie est là, elle pourra t’aider. D’ailleurs mademoiselle, s’il a envie, vous pourrez lui donner cet urinal là, s’il en a besoin."

Elle s’affaira ensuite à vérifier tout un tas de choses, lui sourit, le rassura puis sortit en promettant de revenir très vite s’il appuyait sur le bouton rouge près de la tête de lit. Kaito voyait mieux, les secondes et les minutes passant. D’accord il était à l’hôpital et il avait un problème pas trop grave ou en tout cas, pas mortel. Sa mère allait revenir et …

"J’ai envie d’uriner s’il te plait."

Euh, attends … son amie ? Il n’a pas d’amie, à part Kitty mais là c’est surtout pour la baise et ils ne se sont vus qu’une fois. Qui est-ce alors ? Il ne peut pas tourner la tête mais un visage apparait dans son champ de vision. Oh ? Très jolie et … Et tout lui revient en mémoire. Il devient aussi blanc qu’un linge et la peur peut clairement se lire sur ses traits. C’est elle qui l’a cogné et l’a envoyé ici.

Il bégaye.


"Non non, non non."  Et s’agite dans son lit sans rien pouvoir faire d’autre que de ressembler à une tortue sur le dos.

Merde ! Qu’il a envie de pisser ! C’est la panique. Et elle s’est introduite dans sa chambre pour venir le terminer !! Le bouton rouge ! Vite ! Mais c’est trop loin et il grogne de douleur en tentant de l’atteindre. Elle va l’assassiner ici ….


4
Ca y est! Kaito avait enfin les profondeurs anales de la policière. Il ne pouvait pas aller plus loin et il menaçait de se répandre en elle à tout instant. Les sensations étaient démentes et il peinait à se retenir. Le moindre mouvement de Kimiko était une atteinte à sa résistance et sa queue vivait un véritable essorage dans ce rectum ultra serré mais glissant et accueillant. Les chairs dans lesquelles son gland s'enfonçaient étaient molles et enveloppantes. Le garçon mit un moment  à se stabiliser et put ensuite s'affairer à combler leur bonheur à eux deux. Il apprit à écouter les appels du corps de Kimiko et y répondit de la manière qu'elle attendait surement. Quand elle frémissait, il prenait soin de s'attarder sur la zone sensible et s'y frottait jusqu'à ce qu'elle se tende. Dire qu'elle était forte était un euphémisme. Sous ses formes délicieuses, l'agent Rayan était musclée et tonique et plus d'une fois elle le souleva. Là, il pressait fort et la plombait pour la ramener au sol, faisant usage de son corps comme d'un poids pour la contraindre sous lui. Par instant, ils semblaient pris de furie et s'emballaient, se maltraitant l'un et l'autre, frappant leurs hanches et déclenchant des successions de cris rauques.

Kaito se noyait de plaisir dans cette sodomie alliant douceur par moments et déchainement dans d'autres. Il l'embrassait avec passion, profitant de l'exceptionnelle opportunité qu'elle lui offrait. Les gros seins de Kimiko valsaient, lourds et massifs et Kaito les prit par les côtés pour les garder en place sous son nez. Ses doigts s'enfonçaient dans ces globes volumineux et il en lécha les tétons, n'ayant plus accès aux lèvres de Kimiko. Ses hanches bougeaient à présent lentement, poussant la pénétration anale à un stade intense de profondeur et de possession. Il devenait dur de se contrôler et Kaito soufflait entre les masses lourdes de l'énorme poitrine qu'il maintenait bien en place.

Qu'importe les protestations du voisin mécontent, il s'adonna sans compter à ce labourage en règle et se vida massivement au fond du rectum de Kimiko quand il ne put plus tenir. Epuisé, il s'affala sur la policière, toujours profondément fiché en elle, secoué de spasmes de plaisirs et marinant dans sa semence. Il mit quelques minutes à se reprendre et se redressa pour contempler le visage de Kimiko, aussi ravagé que le sien. Elle lui avait compressé la queue lorsqu'il avait joui, le déstabilisant presque. Il s'était senti purgé de force comme si elle voulait aspirer tout son jus. L'orgasme avait été très violent, très bruyant.

Ils étaient trempés. Il se recula un peu et sa queue jaillit de l'anus de la policière comme un ressort ne demandant qu'à se détendre. Sans préparation, les résultats d'une sodomie pouvaient laisser quelques surprises pas très propres mais il ne s'en étonna même pas et s'excusa seulement quand il fila à la salle de bain. Il en ressortit tout sourire et propre, nu; il n'avait plus rien à cacher. Ces quelques minutes sous l'eau brûlante lui avait permis de réfléchir un peu et même s'il planait un peu sur son petit nuage rose, il s'était décidé comme un jeune adulte responsable. Leur ... petit moment intime ne pouvait pas rester un coup d'un soir, c'était hors de question.  L'agent Rayan paraissait sérieuse et professionnelle, sans aucun doute, elle l'avait montré et Kaito lui faisait totalement confiance. Si elle s'était livrée ainsi ... c'est que quelque chose avait matché entre eux.

Ils se croisèrent quand elle alla elle aussi se laver et il l'intercepta pour l'embrasser. Cette énorme poitrine posait problème et il l'écrasa pour parvenir à ses fins. Les possibilités pour s'amuser avec devaient d'ailleurs être infinies ...

"Merci agent Rayan! C'était merveilleux! J'espère que vous avez aimé aussi?"

Ce vouvoiement persistait mais il indiquait tout le respect que Kaito avait pour elle.

"Je vous attends au lit!"

Il fonça se tasser sous la couette et l'écouta se doucher. Quand elle revint dans la chambre, il dormait, la bouche ouverte sur un doux ronronnement. Le reste de la nuit se déroula paisiblement et c'est seulement à une heure un peu tardive que Kaito ouvrit les yeux. Kimiko dormait et il se leva sans bruit pour aller aux toilettes. C'est à ce moment là qu'un coup frappa à la porte et comme il passait devant, Kaito eut le réflexe d'ouvrir.

Le gérant de l'hôtel se tenait là, visiblement mécontent.

"Jeune homme, vos voisins se sont plaints de ... des nuisances sonores de vos activités nocturnes, donc je vous demande à vous et votre amie de libérer cette chambre pour midi, c'est bien compris?"

"Euh ... oui ... enfin ..."

Kaito entendit les draps bruisser derrière lui.

5
La dynamique est lancée et ils ne peuvent plus s'arrêter. Kaito se sert tant qu'il le peut de ce corps exceptionnel et sa policière d'amante impose aussi son rythme que le garçon peine à tenir. L'agent Rayan est ultra sexy mais elle est aussi ultra forte et Kaito s'accroche à elle pour ne pas être renversé. Il la pénètre profondément et elle vient s'empaler sur lui. Il voudrait cesser que ce ne serait pas possible tant elle y met d'ardeur. Le sexe du jeune homme est comme aspiré par une succion brulante et vient s'enfoncer dans des entrailles douces, accueillantes et noyées de plaisir. Il est hypnotisé par son doigt prenant possession des fesses de Kimiko. Le sphincter serré s'écarte à chaque passage de sa phalange pour se refermer derrière. Là aussi, la sensation est particulièrement agréable. Si l'agent Rayan accepte un doigt, alors ...

C'est un vrai fantasme de mec la sodomie, et Kaito n'y échappe pas. Ses actrices pornos favorites excellent toutes dans ce domaine. Mais il est un peu trop tôt pour demander une chose aussi particulière. Là, ce n'est qu'un doigt. Autre chose, elle n'accepterait peut être pas. Et puis il n'a pas à se plaindre de la situation actuelle qui reste merveilleuse. Il fait l'amour à une superbe femme comme il en a rêvé toute sa vie.

Et ils s'emballent! Enfin ... elle surtout. En un mouvement, elle le désarçonne, preuve qu'elle est totalement partante pour faire ce qu'ils font, sinon elle y aurait mis fin sans difficulté. Kaito se retrouve assis par terre, un peu surpris. C'est fini ... ou?

"Que...?"

C'est le coup de l'oreiller qui ne passe pas? Mais non, apparemment pas. La panthère blanche se retourne pour lui faire face, offrant une vue imprenable sur son énorme poitrine qui balance comme un pendule bien équilibré. Des obus pareils, c'est à peine concevable. Comment fait-elle pour les porter sans se casser le dos? Elle ondule au dessus de lui et Kaito lèche au passage les grosses mamelles qui manquent ensevelir son visage. Il est tendu à l'extrême, avide d'encore plus de sexe et elle prend quelques secondes pour le titiller un peu. Elle est cool Kimiko alors elle ne le torture pas trop et revient vite l'embrasser. Kaito lui attrape ses gros seins, les moleste un peu alors qu'elle lui saisit la queue pour ...

"AH!!"

Ca fait mal! C'est ...serré! Pourquoi? Kaito lève les yeux sur le visage de son amante qui pousse un cri. Vite, il lui couvre la bouche de sa main.

"Agent Rayan? Ca...ça va?"

Ca fait mal là! C'est pas une blague!  Kimiko a le visage de celle qui s'emmanche un baobab s'en s'y être préparée. Il baisse les yeux et ... manque crever de bonheur. Kimiko a les cuisses écartées et lui présente une vulve dégoulinante mais vide de toute queue. Celle de Kaito se trouve un niveau derrière, à demie enfoncée dans un rectum étroit et dont l'accès n'est pas aussi ouvert que son alter égo de devant. Le garçon devient aussi rouge qu'une tomate. Il a les yeux exorbités devant cette opportunité d'exception . Il se redresse sur les coudes, apparemment Kimiko s'est trouée sur le bon chemin à prendre, d'où son cri. Mais maintenant qu'il ont commencé et qu'elle ne grimpe pas aux murs de douleur, pas moyen d'arrêter. Il se redresse d'un coup et l'enlace. Les gros seins viennent se poser sur ses épaules et il la tire vers le bas. La douleur est là mais bien moindre que le plaisir qu'il prend. Il abaisse la policière sur lui et l'emmanche complètement. Sa queue fouraille dans des entrailles bien chaudes qui le compriment. La peau de sexe est tirée à l'extrême, vers la base. Il sent que quelque chose est prêt à craquer alors il relâche un peu la pression, ajuste leurs corps emboîtés et reprend son mouvement, gardant les bras de Kimiko serrés contre son corps. Il la baise, il l'encule, maladroitement c'est sûr, chaotiquement c'est certain mais il ne cesse d'investir ce trou du cul divin. le passage s'adapte petit à petit, facilitant dorénavant la pénétration. Le poids de l'agent Rayan fait le reste. Il veut l'embrasser mais n'y arrive pas. La crinière blanche en bataille s'invite aussi dans la danse et il peut en sentir le parfum personnel de Kimiko. Le jeune Kaito commence à tomber amoureux de cette beauté froide qui s'avère être aussi volcanique que l'Etna.

Quand les hanches de Kaito commencent à le brûler, il bascule sur le côté puis réussit à passer sur Kimiko sans quitter l'écrin de ses fesses. L'anal en missionnaire, c'est beau car il peut enfin l'embrasser et lui murmurer des trucs que seul Roméo pourrait dire à Juliette. Il donne du bassin, ayant à présent toute l'amplitude nécessaire pour sodomiser sa belle. Il glisse ses mains dans les siennes, enlace leurs doigts et entame un lente et très profonde pénétration qui n'a pour seules limites que leurs capacités physiques.

"A...Agent rayan, c'est merveilleux!!"

Il est gros en elle, son sexe palpite de bonheur.

6
"Si vous ..... GGNNNNNNNNNNNNNNN!!!"

Elle a passé sa main entre ses cuisses pour lui attrapé la queue. Kaito écarquille les yeux au contact de ses doigts un peu froid. Il se raidit mais la sensation est vite effacée par la chaleur qui l'entoure soudainement. C'est un plongeon direct dans un cratère remplit de lave en fusion.

"AAHHHHH ! Agent Rayan!!"

Elle crie, elle approuve, elle en veut! Elle est dans le même état que lui et Kaito n'a plus besoin de se soucier si ce qu'il fait est moralement correct. Il n'est plus un enfant et même si leur relation découle d'une malencontreuse situation et qu'ils devraient strictement se contenter d'être prudents et discrets, il est heureux de la tournure commune des évènements.

ALez! C'est vrai après tout! La policière est la femme de rêve que tout ado aimerait avoir dans son lit et c'est bien ce qui arrive pour Kaito. Une pensée fugace lui traverse l'esprit ... il espère bien que ce ne sera pas la seule et unique fois avec elle et qu'elle ne décide pas de recadrer les choses plus tard. Donc, il doit être performant et donner un maximum de plaisir à la jolie policière.

Kaito n'attend pas plus. Il s'affale sur le dos de Kimiko, les jambes bien solides plantées au sol et indéracinables. Son fessier se lève et s'abaisse alors qu'il l'embrasse entre les épaules, le visage perdu dans la masse de cheveux blancs, tellement beaux. Il vient aussi la peloter, tentant de contenir ses gros seins dans la paume de ses mains. Ce n'est évidemment pas suffisant, Kimiko joue dans la catégorie des vaches laitières et aucun homme n'aurait la main assez large pour jouer avec elle. Aussi Kaito la saisit à la base des seins et serre comme s'il voulait la traire.

Oh qu'il la prend vite et fort! Chaotiquement  en vérité. Il faut qu'il se calme mais il est comme aspiré par ce vagin de folie.

"AAhhhhhAAaahhh ! C'est ... trop ... bon! Vous ..."

"SILENCE!!!! ONVEUT DORMIR ICI!!!"

L'horreur! On les a entendu! Kaito se pétrifie en se logeant au plus profond de Kimiko. Autour de sa queue, c'est un véritable maelström utérin. Elle est bruyante l'agent Rayan!

"Chhhuuuuuuuttttt"

Mais rien n'y fait. Le garçon panique, se redresse, sa queue pressant dans le vagin dégoulinant. Le corps de Kimiko se relève un peu, en tension, suit le mouvement, emmené par cette queue rigide. Kaito parvient à chopper un oreiller et le glisse devant le visage de Kimiko. Un grand coup de rein l'y projette et elle s'y écrase.

"Chhhuuuuuuttttt!"

Maintenant il peut y aller et son ventre claque fermement contre ce cul d'anthologie et dans lequel d'ailleurs il introduit un pouce, comme il l'a vu dans un film.

"HAN HAN HAN!!"

Du coup c'est lui qu'on entend maintenant.

"MAIS C'EST PAS FINI??? JE TELEPHONE A L'ACCUEIL!!!!!"

OH NON!!



7
Kaito est fier de lui. Non seulement, il trouve qu'il s'en sort super bien alors qu'il nage un peu dans l'inconnu, et en plus l'agent Rayan semble y trouver autant de plaisir que lui alors qu'elle aurait pu lui coller une baffe  ou le repousser pour le sermonner sévèrement. L'approbation de la policière à ce traitement lui insuffla la volonté de ne plus jamais lâcher prise avec elle. Elle était son aînée de plusieurs années, surement bien plus expérimentée que lui et peut être prête à bien plus que quelques léchouilles. Kaito raffolait de pornos sur le net et avait une idée très précise, bien que théorique, des choses qu'il avait vraiment envie d'essayer. Et puis, Kimiko était un canon et s'il arrivait à se la garder comme petite copine, il ferait la jalousie de bien des mecs, dont ses potes, tous casés, qui se moquaient de lui assez souvent.

Sans trop savoir où allé, il continua de l'explorer de sa langue et une fois bien à l'intérieur, il aspira pour avaler les fluides de sa protectrice. Le goût était ... pas désagréable bien qu'un peu amer et assez fort. Il recommença bruyamment tout en agitant sa langue. Il toucha peut être un truc sensible car elle faillit lui briser le cou quand elle sursauta. C'était marrant en vrai et il essaya à nouveau de la faire réagir, ce qui fonctionna plutôt bien. Il venait de découvrir un point ultra sensible sans pouvoir y mettre un nom qu'il apprendrait bientôt. Des deux mains, il écartait les fesses de Kimiko pour pouvoir accéder à cette vulve délicieuse et encore une fois, sans le vouloir, il eut accès à une nouvelle surprise. Son majeur glissa et s'enfonça jusqu'à la première phalange dans cette si jolie rondelle qu'elle exposait. C'était doux et chaud à l'intérieur et il agita le bout du doigt pour voir ce que cela faisait. L'anneau élastique réagissait bien et semblait animé de sa propre volonté, se contractant et se détendant autour de lui.

Kaito plongea son visage entre les cuisses de Kimiko pour l'ultime assaut et faillit se perdre tant il y était bien. Quand il se retira de quelques centimètres, il se dit qu'il venait de passer dans une essoreuse tant il avait été secoué. Son visage était collant de ... pleins de trucs et il maintenait toujours son doigt en elle.

"Vous avez joui agent Rayan?"

Sa question témoignait de son ignorance des connaissances de base en matière de sexe. Il apprendrait avec le temps. Que devait-il faire maintenant? Le jeune garçon bandait dur et il n'avait qu'une envie: profiter de cette femme splendide jusqu'à ce qu'il n'en puisse plus. Elle avait tout pour lui plaire. Elle était belle, forte, confiante, sympa ... une bouche kiffante, un cul divin, une chatte accueillante ... Parfaite en somme!

Mais il ne fallait pas tenter le diable non plus. Enfin, pas trop ... Pour certaines choses, il fallait des autorisations et si leur relation, celle qu'il voulait, devait durer, alors il fallait le consentement de Kimiko. Kaito se hissa sur le dos de sa belle en continuant à bouger le bassin. Sa queue suivait de bas en haut et inversement la ligne sacrée reliant l'anus au vagin de la policière. Il s'y frottait volontairement ne voulant rien perdre du terrain gagné.

"Agent Rayan, je peux pas m'arrêter, vous êtes trop belle. J'ai envie de vous. Est-ce qu'on peut ..."

8
Les terres sauvages / Pris dans l'étau de la Lamia [Pv. Neila]
« le: vendredi 03 juin 2022, 15:44:05 »
L'héroic-fantasy était selon Kaito le sous-genre de littérature le moins bien reconnu au monde. Pourtant, des auteurs comme Tolkien ou Eddings avaient largement contribué à son expansion au travers d'œuvres extraordinaires qui transportaient le lecteur dans des régions féériques peuplées de toutes sortes de races de créatures mythiques. L'intérêt de ce genre permettait à celui qui avait de l'imagination de s'évader pour participer à des aventures épiques où grands héros côtoyaient belles princesses. Kaito était un véritable fan de ces écrits -là et à son grand dam, il avait quasiment lu toutes les grandes épopées et sagas qu'il fut possible de trouver. Il suivait les sorties littéraires  prévues avec assiduité, toujours à la recherche de l'auteur qui le ferait encore rêver mais avait dû se résigner à comprendre que Frodon n'aurait pas de successeur avant longtemps.

Fort heureusement, il avait découvert récemment une très ancienne librairie, qui, sans être spécialisée dans ce domaine là, recelait de trésors cachés dans les rayonnages de ses allées. Le propriétaire était un vieil homme curieux, aussi parcheminé que les livres qu'il vendait. La boutique croulait sous les amoncellements de livres qui n'avaient pour concurrence que la poussière accumulée dans les coins. L'échoppe était reculée dans une ruelle tranquille, perdue au milieu d'autres bouquinistes. La devanture était assez étroite mais cachait de profonds rayons de livres. Par soucis d'économie, le propriétaire ne laissait pas la lumière allumée partout et les points lumineux se disputaient la place d'une table ou de quelques fauteuils confortables bien qu'usés.

C'est dans l'un d'eux que Kaito était justement assis, tremblant d'excitation devant l'ouvrage qu'il venait de trouver, caché sous une pile de vieux papiers. Seul client, il s'était installé avec l'accord du vieil homme dans un coin où il ne serait pas dérangé. Le livre était massif, un peu comme ces manuscrits médiévaux de l'Europe du 13ème siècle. La couverture en cuir était finement ouvragée, parcourus d'entrelacs cousus représentant des motifs anciens. L'étudiant ouvrit le livre et suivit les premières lignes de la préface de l'index. Le texte était en anglais, non ... en japonais, bizarrement changeant et fluide sous ses yeux. L'auteur expliquait qu'il était déjà trop tard et que la magie était mère de toutes les aventures.
La spirale d'un tourbillon irisé emporta le garçon dans un déferlement de puissance arcanique ...


***

Kaito frissonna, ce qui lui fit ouvrir les yeux. Il était allongé sur un tapis richement travaillé. Autour de lui, le calme absolu. Sans se lever, il bougea ses membres engourdi avant de tourner la tête de part et d'autre sans vraiment comprendre ce qu'il voyait. Il n'était plus dans la librairie mais dans une ... bibliothèque au vue des rayonnages de livres qui l'entouraient. L'air était sec et un peu frais et l'odeur ambiante nuancée de senteurs ... orientales. Il se redressa sur les coudes , clignant des yeux. Des orbes diffusaient une lumière agréable et rien ne venait troubler le silence de l'endroit. Enfin, il se leva, s'appuyant à une étagère garnie d'ouvrages magnifiques apparemment écrits dans une langue qu'il n'identifiait pas. Où était-il et que s'était-il passé? Il se racla la gorge.

"Excusez moi!! Il y a quelqu'un?"

Il fit quelques pas avant de bondir en poussant un cri d'effroi. Un serpent à anneaux venait de détaler juste devant lui. Le cœur battant, il s'éloigna de l'endroit, s'aventurant plus loin et passant un coude. Des livres, toujours plus de livres ... La structure de la bibliothèque était curieuse, ressemblant à une grotte de belle taille, mais dont les murs était couverts de tentures épaisses rappelant ... peut être l'Egypte ancienne.

Un bruit de glissement le fit se retourner. Quelqu'un arrivait? Sans savoir pourquoi, il se cacha derrière un battant mobile surchargé de grimoires et observa à travers un interstice la personne qui allait se dévoiler.

Oh mon dieu! Il fut près de défaillir. Ce qu'il vit ne pouvait pas être! En panique, il s'adossa, haletant, au meuble qui vacilla légèrement. Kaito rêvait, cauchemardait plutôt. La créature qui était apparut, bien réelle, allait le dévorer ou le changer en pierre ou que savait-il encore.

Sans accepter ce qui arrivait, son esprit tétanisé refusait de le laisser libre de fuir à toutes jambes.


9
Centre-ville de Seikusu / Re : La cour des secrets [PV. Alice]
« le: vendredi 20 mai 2022, 23:33:26 »
Le temps semblait s'être arrêté autour d'eux. Plus aucun bruit ne filtrait du couloir qui les avait mené jusqu'à la chambre d'Alice, ou peut être était-ce un lieu d'accueil que les filles du club se partageaient? Kaito n'en savait rien. L'endroit était cozy, propre, agréable, appelant à la détente et incitant à l'exploration d'expériences intenses. L'ameublement allait de teinte avec la décoration et les lumières mettaient en valeur certains endroits bien précis ou une particularité se dévoilait, prête à accueillir les envies de tout un chacun, pourvu qu'il soit en mesure de payer. Par son agencement, la chambre correspondait à l'idée que Kaito se faisait des goûts d'Alice. Et même s'il n'osait pas vraiment regarder le pilori en bois massif auréolé d'une lumière crue, comme pour marquer la sévérité de ce qui pouvait s'y passer, il se demanda ce que renfermait les tiroirs d'une commode rouge vif.

Son inspection se termina là. La fuite de son regard était la conséquence de ce qu'il venait de lire. Ça avait été sale et horriblement tentant. Qu'Alice soit douée dans tout ce qui était énuméré le transformait en étuve. Qui pourrait croire que cette sage étudiante appliquée recèle une autre facette si extrême ? Et même à l'instant, alors qu'il lisait et qu'elle écoutait, Alice représentait la jolie jeune fille au sourire discret avec qui il passait tant d'heures à travailler. Mais non, en réalité, c'était faux. Alice était ultra sexy et dégageait un charme de tous les diables. Sa tenue de maid lui conférait une aura indéniable de sexualité débridée. Tout le monde savait que derrière chaque maid se cachait une affamée de sexe non? Il n'avait fallu que quelques secondes, après qu'il n'ait cessé de lire pour qu'il constate inconsciemment le changement. Avait-elle volontairement accentuer le creux de sa cambrure, resserrer ses bras contre sa poitrine pour la faire jaillir orgueilleusement, croiser les cuisses comme si elle ne voulait pas que quelque chose s'en échappe?

Ou tout simplement était-ce le désir fou que Kaito éprouvait pour elle, exacerbé par les fantasmes les plus secrets qu'elle était en mesure de prodiguer? Qu'importe! Elle rit aussi le son cristallin et frais de cette mélodie emporta le cœur de notre amoureux. Dans l'ambiance feutrée de l'endroit, elle revint à lui spontanément pour lui prouver que son sentiment était partagé. Aucun mot n'était nécessaire quand les jolies lèvres d'Alice dictaient par leur tendresse ce que son cœur renfermait. Leur baiser fut un hymne à l'union et quand elle le rompit, son effet continua de faire flotter Kaito dans un état second, béni.

Et heureusement qu'ils avaient commencé par là car ce qui suivit mobilisa toute l'adoration que l'étudiant avait pour son égérie. Il était plus grand qu'elle et quand il baissait les yeux, il voyait l'opulent corsage d'Alice pressé contre son torse et bien qu'ils soient collés l'un à l'autre, le bonnet d'Alice et son tour de poitrine ne leur permettait pas une complète imbrication. La jolie maid, pour la soirée seulement, compensa cette anomalie par un toucher bien précis. Un frôlement peut être tout d'abord mais qui devint vite pression avant de terminer en exploration. A travers le jean de Kaito, Alice discernait une érection de premier ordre. Il n'était pas un acteur porno occidental ou l'un des ces monstres qui disaient "Once you go Black, you never come back" mais il n'avait pas à rougir de la taille de ses attributs. Et encore moins sous l'impulsion serrée d'Alice.

"Tu n'as pas à t'excuser mais... J'ai l'impression que ce que tu as lu ne t'on pas déplu, je me trompe?"

Quand une femme te serre le sexe en te demandant si elle te plait, tu ne mens pas ni ne tourne autour du pot. Sois franc et dis lui ... tout. En étant à son premier exercice du genre, Kaito ne fut peut être pas la confiance en soi incarnée mais il avoua la vérité. Il balbutia quelques mots étranglés alors qu'Alice continuait ses investigations mais rit quand elle le caressa franchement. Ce fut de surprise mais il réussit à ne pas s'échapper de l'emprise exquise.

"Non ... J'ai adoré même. Ce n'est honnêtement pas l'idée que je me faisais de toi mais depuis quelques secondes, je m'y fais vraiment très bien."

"Tu veux peut être que je m'en occupe, "Maître" ? Après tout tu as payé pour ça."

Ce n'est pas l'hôtesse qui s'exprimait, c'était bien son Alice, sa merveilleuse petite perle qui avait passé le cap de la surprise, tout comme lui, pour s'adonner à ce que tout jeune couple pouvait espérer. Seul l'endroit changeait ... un peu. Il était évident que l'atmosphère s'était allégée et que le lien qui les unissait à présent était teinté de confiance et de bonheur. Alice jouait un petit jeu délicieusement piquant à présent et Kaito comptait bien y répondre.

"Je le veux oui et ... on est bien obligé de faire tout ce qu'il a dans la brochure c'est ça? Sinon, tu ne me laisse pas sortir. J'ai bien compris?"
(Tiens ... Il y a un verso sur le flyer qu'il n'a pas eu le temps de lire ... on verra plus tard)

Il souriait avec la même finesse qu'elle mais en réalité, il n'en menait pas large. Que devait-il faire ou demander? Ben ouais, suce moi? Non c'était minable ça! Alors oui, il avait des tonnes de trucs en tête pour le coup mais il ne voulait pas jouer les crevards en la troussant sans ménagement, par où que ce soit. Aussi, il se sacrifia mais parce qu'il le voulait sincèrement. Il avait eu le privilège de goûter à ses lèvres, maintenant il désirait s'en prendre aux autres ...

Il repoussa Alice vers le fauteuil haut qui se dressait derrière elle et elle ne put que s'y asseoir. Kaito était déjà à genoux entre ses jambes. Il embrassa les jolies mollets, remonta aux genoux et se délecta de la douceur des cuisses de sa chérie. Son cœur battait à tout rompre. Elle sentait bon ... Tout doucement, de sa langue vipérine, il explora les confins raffinés de sa muse et parvint enfin à la moiteur humide qui indiquait qu'un retour en arrière était hors de question. Kaito releva la jupe sur les hanches d'Alice et en évitant de la regarder dans les yeux (où regarder d'ailleurs?), il fit glisser la petite culotte sur les chevilles fines. Il était face au plus adorable écrin qu'il puisse imaginer. Irrésistiblement attiré, il y glissa la langue pour le savourer, maladroitement peut être au début mais il en mesura le contour et les sensibilités sans tarder. L'anatomie d'une femme ne lui était pas étrangère mais il n'en restait pas moins un débutant face à l'expérience sexuelle d'Alice qu'il estimait de niveau professionnel. Il espéra la combler et osa quelques détours plus bas avant de revenir se concentrer sur le principal. Il grogna involontairement, en voulant plus. Il fut un peu sec quand il releva les jambes de la jeune femme pour les poser sur ses épaules à lui. Les coups de langue laissèrent la place à des succions appuyées, à des baisers bruyants. Un doigt coquin vint presser en complément un accès bien plus étroit et moins humide. De la pulpe de l'index, Kaito préleva le plaisir d'Alice pour humidifier la rosace serrée et permettre une légère pénétration. Kaito n'était pas sûr du plaisir qu'il procurait, n'osant pas lever les yeux pour décrypter l'expression d'Alice mais il donnait tout ce qu'il avait ...

10
Prélude / Re : Anna Cabalo, E.S.P.er aux esprits changeants [Anéa]
« le: mercredi 18 mai 2022, 12:48:05 »
Bienvenue à toi :)

11
Centre-ville de Seikusu / Re : La cour des secrets [PV. Alice]
« le: mardi 17 mai 2022, 16:07:21 »
Le décevoir? Elle? Sûrement pas non! C'était plutôt l'inverse qui devait poser question. Il passait des moments agréables avec elle chaque semaine, attentif, bienveillants, un peu grand frère et elle le retrouvait là, à payer sans réagir pour avoir le privilège de s'offrir ses services.

Bien entendu, Kaito aurait pu demander ce qu'elle faisait là et pourquoi mais il lui était impossible de le mettre dans une disposition encore plus inconfortable. Les faits étaient tels quels et la vie en allait ainsi. Il n'était pas fataliste mais chaque chose en son temps. Bien souvent, les réalités se cachaient derrière des façades improbables et il était sûr qu'une bonne raison avait poussé Alice à travailler ici. Le jeune homme était un garçon bien élevé mais avec aussi toutes les problématiques liés aux jeunes de son âge. La libido et la découverte de soi et des autres en était une aussi une insinuation se faufila t'elle dans son esprit. Peut être qu'elle était là parce qu'elle aimait ça? les hommes n'avaient pas le monopole de la débauche sexuelle de notre temps. Non! Impossible! pas Alice ... mais quand même ...

Lui aussi souffla un bon coup après sa déclaration. Qu'ils ai réussi à échanger quelques mots sembla leur faire du bien à tous les deux et la peur panique installée dans les yeux de la jolie jeune femme avait quasiment disparue. Elle souriait même timidement comme si elle avait apprécié ce qu'elle avait entendu. Serait-il possible que ... que le sentiment de Kaito soit partagé ou alors était-elle tout simplement flattée. Un espoir fou étreignit la poitrine du garçon. D'une situation atroce, confuse et définitivement cauchemardesque, la chaleur  d'une toute nouvelle sensation indiquait qu'un dénouement différent se profilait. Il prit la perche qu'elle lui tendait et s'y accrocha comme un fou.

"La perception que j'ai de toi?"

Il se rapprocha d'elle et lui saisit les mains qu'il guida contre sa propre poitrine où son cœur battait la chamade.

"Mais je n'ai que de l'admiration pour toi. Tu es magnifique. Tu es celle qui occupe mes pensées et que j'attends de pouvoir entendre rire chaque semaine. Je m'en veux de t'avoir cacher ça si longtemps et ... et que tu sois là maintenant me comble de joie. Enfin, je veux dire que non, en fait je suis heureux que ce soit toi ici avec moi, juste toi."

Il ne savait pas si c'était le bon moment mais de toute façon, son élan fut naturel et très sincère. il ne put s'en empêcher et la serra tout contre lui pour l'embrasser follement. Elle était bien plus petite aussi dû t'il se pencher pour accéder à la douceur de ses lèvres. Elles étaient fraiches et délicieuses, sucrées, pulpeuses. Elles étaient comme il l'avait si souvent imaginer. Kaito enlaça Alice pour accentuer la passion de son baiser. le corps de la jeune femme était tiède, souple sous ses doigts, divinement bien proportionné. Lui aussi pouvait sentir le cœur d'Alice cogner dans sa poitrine et c'est là, par cette pression qu'il avait voulu qu'il s'aperçut à quel point ce corps le rendait fou. Elle était toute fine mais elle ne portait pas son uniforme d'étudiante. la tenue de maid lui allait comme un gant, il s'en rendait compte maintenant et ses seins volumineux pressaient contre son torse.  il l'avait à ce moment-là tout pour lui. Enfin ... il avait exprimer le fond de sa pensée et sans lui demander la permission, avait physiquement ponctué sa déclaration par ce qu'il savait être vrai, pour lui.

Le baiser cessa et leurs lèvres humides se décollèrent. Kaito était abasourdi par l'audace de son geste mais aussi, immensément heureux de ce premier vrai contact avec elle. Avait-elle aimé? Elle ne l'avait pas rabrouer et il avait cru sentir, dans l'émotion de l'instant, qu'elle lui répondait de la même manière. Maintenant, toutes les premières fois laissaient peu de place à la clarté et Kaito babilla un truc pas compréhensible en cherchant un prétexte pour sortir quelque chose d'intelligent. Il avait toujours la brochure en main et l'ouvrit pour lire ce qui y était marqué. C'était une lecture automatique car il attendait surtout sa réaction à elle. D'entendre sa propre voix le rassurait et lui rappelait qu'il était toujours vivant et pas enterré dans le précipice de la honte.

"Euh, alors ... Bienvenue cher client Au Paradis, vous avez fait le choix de venir visiter notre établissement et nous vous en sommes reconnaissants. L'excellence de nos prestations et des services de nos hôtesses font notre réputation et nous sommes sûrs que vous allez apprécier votre soirée. Vous avez choisi (nom de scène d'Alice) et nous vous en félicitons. Outre les services classiques que vous êtes en droit de réclamer auprès de notre hôtesse, (nom de scène d'Alice) est également connue pour être l'une de nos égéries les plus sollicitée. Ne refusant rien et ouverte à la gourmandise, elle saura vous séduire par l'accueil profond de sa gorge, le moelleux du creux de sa poitrine et sa passion pour la sodomie. Que vous soyez venu seul ou en groupe avec vos amis, (nom de scène d'Alice) aura préparé pour vous sa chambre ou une suite pouvant accepter jusqu'à dix personnes ..."

Le texte continuait mais Kaito s'arrêta là. Il bandait dur, très dur, sous son jean. Il réalisait seulement à cet instant ce qu'il venait de lire et quand il leva les yeux sur sa muse ... il éclata de rire! Un rire sincère et franc qui le secoua.

"Euh ... wow! Je suis nul! Super performance pour détendre l'ambiance ... Hum ... je te présente mes excuses pour cette lecture inadaptée."

12
Centre-ville de Seikusu / Re : La cour des secrets [PV. Alice]
« le: lundi 16 mai 2022, 12:36:33 »
La semaine s'était terminée par l'obtention d'excellentes notes, ce qui avait encensé l'humeur de Kaito, le libérant du poids qui comprimait un peu sa poitrine. Se rendre dans un gogo bar n'était pas dans ses habitudes. En vérité, c'était bien la première fois qu'il comptait s'offrir une prestation de ce genre. Il n'avait aucune difficulté pour s'exprimer en public tant que ça restait dans un domaine qu'il maitrisait comme au campus, en revanche, pousser la porte d'un établissement de nuit et parler à ... une fille ... Cette épreuve lui paraissait insurmontable. Il espérait ne pas bégayer et passer pour un idiot aussi s'était-il entrainer à se présenter devant un miroir et à poser des questions tout sauf naturelles pour lui. Le vendredi soir, il était allé se faire couper les cheveux et découvrir ce qu'était  une manucure (on ne savait jamais, au cas où). Le samedi matin, il tournait chez lui comme un lion en cage. Il décida de sortir marcher un peu avant d'énerver ses parents et s'acheta dans une boutique un jean fashion, une chemise à la mode et une paire de chaussures de marque réputée. Au moins, le soir, il ne passerait visuellement pas pour un paysan.

De retour chez lui, ses parents le regardaient d'un air suspicieux et il ne capta pas le sourire qu'ils échangèrent. Il n'avait jamais ramené de petite copine à la maison et son attitude trahissait le fait qu'il puisse voir quelqu'un. monsieur et madame Nakajima ne firent donc aucuns commentaires. il était temps que leur garçon vive et construise sa vie. Aussi, après qu'il eut préparé et repasser ses affaires, récupérer un rouleau de billets économisés depuis des mois, et s'être assuré qu'il était présentable, Kaito embrassa ses parents en leur annonçant qu'il sortait et qu'il reviendrait surement tard. Ils lui souhaitèrent une bonne soirée et ce fut tout.

Pour se rendre "Au Paradis", le club qu'il avait sélectionné, il fallait prendre le métro, tout proche de chez lui, et attendre une vingtaine de stations pour descendre et découvrir ... la vie la nuit à Seikusu. La nuit était tombée et une foule de jeunes délurés arpentaient les rues en braillant. Ils s'agissaient majoritairement d'étudiants se lâchant le week-end mais qui s'arrêteraient à la consommation d'alcool dans des bars tout public. Les rues étaient très animées. Des marchands ambulants vendaient des spécialités japonaises à déguster sur place et étaient harassés par la clientèle affamée. Kaito prit plaisir à se mêler à ces joyeux fêtards mais dépassa ce coin grouillant pour s'enfoncer plus loin dans la nuit. Une rue séparait la vie festive de la nuit du côté moins voyant de Seikusu. Le passage piéton traversé, le bruit ambiant était bien moins présent. Les personnes ici chuchotaient plus qu'elle ne parlaient. Des échanges s'établissaient discrètement, et des rabatteurs invitaient les éventuels clients à venir passer un bon moment dans leur établissement. Les néons flashy étaient omniprésents, les enseignes modérées (on était au Japon) et il fallait peu de temps pour comprendre qu'on arpentait le quartier sexe de la ville. La prostitution de rue était mal vue au pays du soleil levant, mais les clubs à filles cachaient des vices qui faisaient pâlir d'envie leurs homologues occidentaux.

"Au Paradis", la bâtisse était élégante, habilement éclairée. Un service de voiturier était disponible pour la clientèle aisée et le service d'ordre qui se tenait à l'entrée aurait fait fuir n'importe quel samouraï. Trois colosses aux trognes pas sympas attendaient, se tenant bien droits et bloquant l'accès au sésame. Kaito patienta un petit moment à l'écart avant de se présenter à eux. Ils étaient polis et attentifs et contrôlèrent sa carte d'identité pour vérifier sa majorité. ils n'étaient pas là pour intimider les clients mais ... quand même. Kaito se sentait tout bête et s'attendait à devoir justifier sa présence ici. Mais non, il fut inviter à entrer dans le temple de la luxure et franchit la porte joliment ouvragée pour être accueillit par un multiple "Bienvenue Maître!".

Les lumières étaient tamisées et il plissa les yeux pour découvrir l'élégance de ce nouvel environnement. Tout y était richement décoré et dans des tons qui appelaient à la sérénité.  Les "employées du club" attendaient en rang, souriantes après s'être redressées de leur courbette. Toutes étaient ... très avenantes ... et leur costume, en lien avec l'event de la soirée, les rendaient toutes affriolantes. Kaito prit une grande inspiration et sourit. Il n'expira pas, le souffle coupé.

"K-K-K-Kaito?!"

La première des filles venait de l'appeler par son prénom. La réalité mit quelques secondes à monter à son cerveau et quand il reconnut Alice, le monde s'écroula autour de lui.

"A-A-A-Alice?!"

Fort heureusement, ce simple échange n'avait été entendu que par eux et Kaito réussit à afficher un masque honorable. C'était l'horreur. Il ne pensait pas à ce qu'Alice faisait ici mais plus à la perception qu'elle aurait de lui maintenant. Ah! Regarde ce type qui se la joue mignon au lycée et qui écume les bars à filles la nuit, peuh! Il était mortifié et incapable de prendre la fuite aussi répondit-il à l'invitation d'une hôtesse d'accueil qui l'incitait à se diriger vers la bar ... vers la caisse. Une charmante jeune femme lui sourit et très professionnellement, lui indiqua le tarif pour cette très jolie maid, à moins qu'il en veuille une autre? Il répondit mécaniquement, presque absent.

"Euh, non, non, c'est parfait."

Il avait l'impression de commander un steak à la boucherie.

"Excellent choix, vous ne serez pas déçu" lui fut-il répondu. L'employée lui donna ensuite une petite brochure avec tous les services disponibles, ceux de la fille et ceux de l'établissement. Il y jeta un coup d'œil et rougit aussitôt. Alice faisait vraiment TOUT CA? Il vivait un mauvais rêve et ne savait pas comment il allait s'en sortir. On lui demanda s'il désirait une consommation pour eux deux, le champagne français qu'on servait était de première qualité. Il acquiesça, sa liasse de billets entamée en prit encore un shoot et suivit Alice dans une chambre privée. Une autre maid vint déposer un sceau à glace avec la bouteille, deux verres, et leur souhaita une adorable soirée. Adorable ouais...!

La porte se refermant le libéra de son carcan de stupeur.

"Alice, je ... je ..."

Qu'est-ce qu'il pouvait bien dire? Il brandit la brochure.

"C'est toi tout ça? C'est possible?"

Qu'elle ne se méprenne pas, il n'en avait pas la bave aux lèvres mais il y avait des trucs sacrement osés quand même, dont plus d'un fantasme de Kaito d'ailleurs. Il souffla un bon coup et se campa bien devant elle. il remarqua seulement à ce moment-là qu'elle était aussi stressée et surprise que lui, très mal d'ailleurs. Ça lui remit les idées en place. il était temps d'être franc. le destin était joueur pour que cela se passe dans un endroit pareil.

"Alice, ce n'est pas ce que tu crois. il y a une explication. J'en pince pour toi, ma présence ici est un hasard. Il fallait que je fasse quelque chose pour ne pas devenir fou, tu comprends? J'ignorais que ... tu serais ici."

Il n'osait pas prendre sa main.

"C'est un concours de circonstances mais sache que tu comptes énormément pour moi."


13
Prélude / Re : Laura et Sue, les soeurs amantes [Anéa]
« le: lundi 16 mai 2022, 09:19:34 »
Bienvenue par ici les filles :)

14
Centre-ville de Seikusu / La cour des secrets [PV. Alice]
« le: dimanche 15 mai 2022, 18:41:16 »
Il faisait bon aujourd'hui et une légère bise odorante porteuse des senteurs des sakuras, les cerisiers japonais, entrait dans la salle de cours par les fenêtres ouvertes. C'était le printemps et le retour des gazouillis et pépiements des oiseaux dans le parc du campus rappelaient à tous, étudiants comme professeurs, que la fin de l'année approchait rapidement. C'était le moment, après un hiver glacé, de fournir les derniers efforts pour prétendre à la classe supérieure ou au diplôme tant convoité. Les étudiants les plus assidus ressassaient leur leçons de l'année tandis que les plus désinvoltes déambulaient dans les allées des jardins du grand complexe scolaire de cette partie de Seikusu.

Alice et Kaito faisaient partie de la première catégorie. Bien qu'ayant deux ans de différence, ils s'étaient inscrits tous les deux dans les cours optionnels de mathématiques supérieures de M. Tano pour perfectionner leurs acquis. Où plutôt, pour qu'Alice s'améliore et Kaito, qui était volontaire pour tutorer ses cadets, l'y aide. Le garçon avait répondu à une annonce de la présidente des étudiants qui recherchait des aînés pour, de temps en temps, participer à des séances complémentaires en vue de préparer les plus jeunes à la suite.

Kaito était un jeune homme bien élevé, sympathique, ouvert, et même quelque peu altruiste. Il avait lui-même bénéficier de cette aide et comptait bien faire un geste pour les autres. Initialement, il aurait dû venir de temps à autres pour aider mais le premier jour, il avait eu a épauler Alice.

Alice ... Du coup, depuis qu'ils travaillaient ensemble, deux fois par semaine, il n'avait jamais raté ce rendez-vous qui l'enchantait à chaque fois. Alice était son rayon de soleil, toujours de bonne humeur et bien appliquée dans son travail. Elle comprenait vite, assimilait admirablement et faisait montre d'une vivacité d'esprit admirable. Leur collaboration n'apportait que des points positifs. Et puis ... et puis ... Alice était belle, attirante, lumineuse. Kaito était bien plus grand qu'elle mais elle compensait cet écart par l'affichage d'un corps de rêve caché sous son uniforme d'étudiante. Sa jupe moulait un fessier d'exception et  dévoilait de très jolies jambes tandis que la chemise boutonnée comprimait difficilement une poitrine que Kaito imaginait bien plus grosse que ce qu'elle ne paraissait. La peau de l'étudiante appelait à être embrassée et son visage était un bijou de perfection, encadré par les mèches vertes bleutées de sa crinière mi-courte. C'était la perception que Kaito en avait et il avait rapidement succombé à son charme sans, bien évidemment, ne jamais lui avouer. Ils passaient du temps ensemble, travaillaient sérieusement, continuaient parfois leur discussions à la cantine du campus et se suivaient sur leurs réseaux sociaux. Ils avaient depuis un moment abandonner le respect strict que les japonais utilisaient pour démarquer les strates de la société. Elle lui avait bien donné du senpai au début mais ils étaient très vite passés à un tutoiement naturel et franc.

"Et donc là, tu vois, pour réaliser cette équation ..."

Kaito était penché sur elle, sa joue très proche de la sienne, et suivait l'évolution d'un exercice difficile qu'elle s'appliquait à terminer. Il baissait les yeux sur le cahier d'Alice mais se perdait surtout sur le renflement écrasé de la poitrine de la jeune femme qui semblait se battre avec les boutons de l'uniforme. Il pouvait aussi voir le haut de ses  cuisses que la jupe, légèrement remontée, dévoilait de manière vraiment ...sexy.

Kaito n'avait pas de petite amie et n'avait jamais demandé à Alice si elle avait quelqu'un. il tentait souvent de se persuader de faire le premier pas et, non pas de lui déclarer sa flamme, mais au moins l'inviter à un rendez-vous comme seuls les jeunes japonais savent faire. Quelque chose de tout mignon où ils se promèneraient en se tenant la main.

"Tu as tout compris, il n'y a rien à redire. Tu es parfaite! Enfin, euh  ... tu as parfaitement ... tout assimilé!"

La sonnerie annonça la fin du cours et cette fois, ils ne purent rester ensemble car Kaito avait une autre étude juste après.

"On a bien bossé tous les deux. On fait une super équipe hein? On se voit la semaine prochaine. t'as prévu quelque chose ce week-end?"

Lui, en tout cas, avait bien planifié quelque chose. Depuis un moment maintenant, et en secret, il suivait  la vie numérique de Sakura, une très jolie jeune femme qui diffusait sur le net ses photos de charme. Il craquait pour son corps de fou et ses poses suggestives. Il était tombé dessus par hasard au  moment où elle se lançait dans ce business et avait été le premier à s'abonner à son compte sous le pseudo #ShyLoverBoySKU. Kaito vivait chez ses parents et comme tous les étudiants, il avait un boulot annexe pour gagner sa future liberté. Il officiait comme barman dans une boite pour métalleux  du centre  ville. Ses rentrées d'argent lu permettaient d'alimenter le compte de Sakura pour acquérir photos, petits messages privés etc ... La jeune mannequin était en plus très agréable dans ses réponses attentionnées.

Mais utiliser internet à des fins de plaisirs masculins développait forcement la libido. Kaito n'était pas puceau mais il ne s'adonnait pas non plus aux plaisirs du sexe tous les mois ... en vérité, il n'en pouvait plus. Entre Alice et Sakura, il lui fallait faire quelque chose. Aussi, après avoir cherché soigneusement, il avait repéré dans le quartier chaud de Seikusu un établissement qui proposait aux hommes les services tarifés de professionnelles dont les avis en ligne louaient les compétences. Ce club était un peu cher, plus que les autres mais au moins, la qualité était au rendez-vous. C'était là qu'il avait prévu de se rendre samedi soir à défaut d'avoir le courage de se déclarer à Alice.

"A la prochaine Alice! Profite bien de ce week-end de repos!"

Il lui fit un petit signe amical de la main en sortant de la salle.


15
Le coin du chalant / Re : Trames de Pavé-man (Any% all Characters)
« le: vendredi 13 mai 2022, 10:48:22 »
Mais on les aime bien tes projets nous  ;)

C'est clair, précis, propre et sait à quoi s'en tenir!

Au plaisir de reprendre avec Keleth ( ... et j'ai des vues sur Belphy ...)

Pages: [1] 2 3 ... 10