Le parc et son sous-bois / Re : Il suffit parfois d'un rien.. (Lyli)
« le: vendredi 10 novembre 2017, 02:23:14 »La sirène n’en avait pas fini avec moi, loin de là, et bientôt, son genou quitta mon entrejambe pour laisser sa main se faufiler sous ma petite culotte. N’ayant aucune envie de lui faciliter la tâche, je resserrai les cuisses au maximum mais ses doigts parvinrent sans difficulté à se frayer un chemin sur ma fente humide. Son index s’insinua doucement en moi et je réprimai un cri de plaisir, refusant de lui montrer que j’aimais ça, en quelques sortes. Assaillie par une chaleur presque étouffante, je n’avais pas l’intention de la laisser aller plus loin.
« Je te jure que si tu n’retires pas ta main tout de suite je.. Hmmm.. »
Incapable de terminer ma phrase, je subissais les caresses intimes de la sirène qui continuait de me ramener à la surface chaque fois que j’en ressentais le besoin. Cette fois pourtant, elle récupéra ma petite culotte et me l’enfonça dans la bouche, empêchant ainsi toute protestation de ma part. Du bout de ma langue, je goûtais le liquide sucré qui n’avait rien à voir avec l’eau du lac. J’avais beau nier, cette fille était parvenue à me faire mouiller de quelques baisers. Déjà la main libre de la jeune femme s’insinuait dans mon dos pour me débarrasser de mon soutien-gorge, et je me retrouvai finalement entièrement nue, à disposition de Lyli qui semblait ravie de pouvoir assouvir ses envies les plus perverses en se servant de moi. La fatigue s’emparant de moi, j’avais de plus en plus de mal à me débattre, si bien que je n’arrivais pas à la repousser. Je ne répondais plus de rien, seul mon corps réagissait encore aux délicieuses tortures que la sirène m’infligeait. Soudain, elle enfonça un second doigt en moi tandis que son pouce massait doucement mon clitoris, et je sentais vibrer chaque parcelle de ma peau. Me cambrant plus franchement sous l’effet du plaisir qu’elle me procurait, je tentais malgré le baillon de protester encore, mais mes mots s’avéraient parfaitement incompréhensibles. Tout ce que Lyli pouvait encore entendre, c’était les soupirs appuyés et les grognements répétés qui s’échappaient de ma gorge chaque fois qu’elle accentuait ses caresses.