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Messages - Cefa Course Vent

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Cefa semblait montrer son embarras, ayant mal comprit ce que Ghanor voulait dire, pensant qu’il s’agissait d’un humain transformée en terranide. Cette situation avait déjà été constatée dans son clan et il savait qu’il avait manqué de respect envers un ainé totalement terranide. Il avait par contre comprit que Ghanor avait visiblement plus élevé par des humains que des terranides, ce qui démontrait que tous les humains n’étaient pas foncièrement mauvais, comme les terranids en somme. Il se mit à écouter attentivement les dires de l’aventurier, ne comprenant pas trop pourquoi il avait des rictus ou alors pourquoi il riait. L’antilope sentait que ce n’était pas un rire avec de mauvaises intentions et se disait juste que le loup devait certainement penser à des choses marrantes pour lui.  L’apprenti-chaman ne vint pas à poser des questions, sachant que l’intimité de chaque individu était son endroit sacré et qu’il était très mal vu pour la plupart des esprits de pénétrer ses sanctuaires sans y être invité.

Il écoutait le mâle parler de ses pulsions et vint à avoir un doux sourire quand il  se mit à parler d’avoir une femelle sous le coude. On pouvait voir dans les yeux de l’antilope, qu’il avait compris de quel genre de pulsion il s’agissait et vint à dire simplement.

- S’il vous faut une femelle, cela risque d’être difficile à trouver ici, les terranides stoppant à ce lac son rare.

Cefa était naïf, dans le sens où il avait cru que Ghanor parlait de vraie femelle, la culture dans le clan du terranide faisait bien la distinction entre mâle et femelle, les rapports entre même sexe n’était pas prohibé, jugeant que si les esprits avaient implanté ce genre d’envie dans les terranides, c’est qu’il y avait une utilité qui dépassait le raisonnement des mortels. 

L’antilope observait le terranide se relever et s’étirer, observant soigneusement les muscles roulant sous le pelage, tant pour sa satisfaction personnelle que pour regarder s’il n’y avait pas de soucis. L’apprenti-chaman vint à rester assis sur ses mollets. Il ne se levait pas, sachant pertinemment qu’avec sa fatigue actuelle, il allait certainement avoir le tournait.  Ghanor demanda alors la forme du remerciement. Cefa vint à bailler une nouvelle fois. 

- Encore désolée pour ma fatigue. Hum … il m’est interdit en tant que chaman de prendre un paiement monétaire. De plus votre cas m’a beaucoup instruit tant sur le corps des terranides de votre part animale que sur les soins sur des blessés plus grave que ce que j’avais dans mon village.

Un nouveau bâillement vint à se faire entendre.

- Si vous pouvez attendre je vais me reposer un peu, avant de vous donner une réponse, dans mon état j’ai un peu de mal à réfléchir. Vous devriez pouvoir chasser, mais évitez les proies trop lourde, il reste encore quelques blessures qui peuvent, potentiellement de rouvrir, même si je pense qu’une ou deux heures d’attente devraient suffire.


L’antilope attendit d’avoir le droit de se reposer et se mit contre un arbre en fleur, la tête contre l’écorce. Il ne fallut pas plus de cinq minutes avant de la tête ne penche en  avant, le souffle lent et profond indiquant que Cefa s’était assoupit. Cela dévoilait une grande vulnérabilité et aussi que l’apprenti-chaman n’était pas habitué à rester au chevet d’une personne aussi longuement.

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Cefa ne comprit pas l’expression « la faire à l’envers », mais comprit, par l’attitude que cela voulait dire jouer un mauvais tour. L’antilope était assez doué quand il s’agissait de trouver un sens se rapprochant d’un terme spécifique, n’ayant qu’à observer l’état de l’interlocuteur pour savoir, un peu, la pensée qui voulait se dégager des mots. Il ne fut pas insensible à ce léger haussement de sourcil, comprenant que le mâle devait certainement croire à une bonne blague, en effet il était rare que des terranides aussi chétifs et féminins soit chaman, d’habitude cela était à des espèces ayant une forte carrure, mais Cefa n’était pas pour autant une exception, juste une minorité dans le groupe des chamans. Comme l’avait bien supposé Ghanor, l’épreuve était tout sauf sure, nombreux étaient les terranides qui finissaient soit capturé, soit mourrait tout simplement. Que cela soit par la main de l’Homme ou par celle des Esprit, l’avenir d’un apprenti-chaman n’était pas certain jusqu’à toutes les épreuves faites. Cependant, Cefa savait que son parcourt pouvait être mortel, mais même ainsi, il avait décidé de prendre cette voie, ce qui imposait déjà le respect de ses camarades. Le revers de la médaille et qu’en cas d’échec, il perdrait beaucoup de chose et sa potentielle mort ne serait pas un drame en soit, car il s’agirait de la volonté des esprits.  Quand le mâle se mit à dire qu’il avait du courage, il vint à doucement hocher de la tête négativement.

Cefa n’était pas courageux en soit, il avait juste une foi inébranlable en la justesse des esprits et savait qu’en ayant en tête qu’il n’était que le jouet de leurs volontés, il ne serait pas pris dans les mailles de l’orgueil.

L’antilope écoutait attentivement les réponses à ses questions. Le terranide efféminé savait d’avance que Ghanor devait être un terranide puissant et endurant, il en avait déjà eu un aperçu en s’occupant de ses blessures. Il avait pu sentir les muscles sous le pelage, la dentition exceptionnellement en bonne état. Il n’avait lésiné aucun endroit, afin de ne pas laisser une plaie s’infecter. Cefa était certainement à même de lire entre les lignes des propos que Ghanor avait prononcés. L’antilope avait vitre comprit que sa nature terranide n’était pas natif, d’où l’explication pour sa dentition en bonne état. Il comprit donc qu’il y avait un souci entre les deux cultures, Ghanor qui était éduqué comme un humain et lui qui était élevé comme un terranide lambda.  L’apprenti-chaman vint à pencher la tête en entendant dire qu’il était un petit aventurier. 

- Selon vos explications cela peut fonctionner. Concernant votre apparence  vous savez si vous auriez offensé un esprit ou si vous …

Cefa ne put retenir un bâillement.

- Veuillez m’excuser, j’ai veillé sur votre corps pendant deux jours et deux nuits, sans me reposer.  Je devais rester éveillé pour vous défendre contre une potentielle menace ou m’occuper de vous si votre récupération se passait mal.

Cefa vint fermer les yeux quelques secondes, avant de les rouvrir. 

- L’esprit vous a donné un corps que je n’ai pas souvent vue, que cela soit le trait animal ou vos muscles. J’ai dû masser votre corps pour détendre les quelques muscles qui avaient du mal à se détendre et j’ai pu constater que vous avez un corps très puissant. Certains étaient durs comme de la pierre. Vous n’avez pas trop de soucis avec votre pulsion animale ? Excusez mes propos, mais certain jeune terranide ont du mal à réfréner les instincts refoulés et ce n’est guère bon pour le corps de les retenir trop longtemps. 

Le chaman vint à se pencher vers un des soins qu’il avait fait.

- Vous récupérez très rapidement. Je pense que vous pouvez vous lever et bouger un peu, afin de vous dégourdir, mais évitez de faire un effort physique très important, comme soulever un rocher. Vous pouvez aussi vous baigner dans le lac, cela peut vous aider à finir les soins. Si vous avez besoin de nourriture, dites-moi et j’irais vous trouver quelques gruit. Je ne suis pas carnivore, donc je ne suis pas à l’aise avec la cuisine de la viande ou le dépeçage d’animaux.

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Cefa vit les esprit s'agiter davantage au mot ruine, ils se mirent à dire des chose que même le terranide ne pouvait pas comprendre, sans doute la puissance de l'objet pouvait être dangereuses pour les esprits, quoi qu'il en soit Cefa devait s'occuper du blessé et répondre à ses interrogations, il se mit donc à répondre à la question d'où il était, écoutant les esprits dirent que la ruine se trouvait assez loin. 

- Cet endroit se nomme le lac de cristal. Il se nomme ainsi à cause de sa brillance la nuit de pleine lune.  Si les esprits ne se trompent pas, vos ruines se trouvent suffisamment loin pour que tout danger y venant ne puisse arriver ici.  Cependant .... non oubliez ce que j'allais dire. 

L'antilope ne pouvait pas parler de l'artefact, pas tout de suite, il devait attendre que Ghanor soit en état. Tant qu'il avait l'artefact entre les mains, aucun danger ne pourrait surgir de l'objet, étant à l'écoute des précautions que les esprits lui prodiguait.

- Si cela ne vous dérange pas je vais garder l'objet le temps que vous alliez mieux. Vous semblez vouloir le protéger et je serais bien plus apte à le faire que vous actuellement.

La phrase était du bon sens. Cefa était peut-être un peu fatigué, cela n'empêchait pas qu'il avait beaucoup de ressource, là où le terranide blessé était encore un peu en convalescence.  Vint alors le questionnement sur l'apprenti-chaman. Cefa montra un grand sourire, montant qu'il étiat content que l'on questionne sur ces sujets. 

- J'appartiens bien à un clan, se trouvant à quelques jours de marche, mais je ne peux y retourner pour le moment. Je suis actuellement en plein voyage initiatique pour devenir un véritable chaman, aussi je dois me plier à des règles, l'une d'elle étant de ne rentrer qu'une fois que j'aurais fait mes preuves envers différents esprits. Vous cous êtes défini comme aventurier, c'est le nom dans votre clan pour désigner les terranides observant autour du village les dangers et les ressources ?

Cefa avait la tête un peu penché, n'ayant eu aucun contact avec les humains, si ce n'est par les récits dans le village, pensant donc que les humains sont soient des fermiers, soit des esclavagistes. 

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Cefa était dans une forêt, occupé à récolter quelques herbes pour faire des tonifiants, cela s’échangeant assez facilement avec les terranides, ayant tendance à vouloir avoir un corps en pleine forme et pulsant de puissance. Il avait rapidement conçu quelques sacs, avec les larges feuilles de certains arbre, permettant la conservation des végétaux. Il ne comptait pas rester bien longtemps dans cette forêt, quand il entendit des oiseaux voleter non-loin, ainsi que de petites animaux. Curieux, bien qu'un peu craintif, il se mit en direction du trouble. Il pouvait sentir les esprits aller dans la même direction, se disant que cela devait être grave pour qu'ils se rassemblent ainsi. C'est comme ça que l'apprenti chaman vint à rencontrer Ghanhor. Cefa écoutait les esprits qui disaient qu'il n'était pas mort, mais avait besoin de ses talents, son corps n'étant pas bon pour la nature autour. Le terranide vint à inspecter le corps et fit une première pommade pour permettre le déplacement. Usant de la puissance de ses jambes, Cefa parvint à traîner le blessé près d'un petit lac, les esprits avaient rassuré l'antilope sur le fait qu'aucun prédateurs ne viendrait le déranger, étant le paiement des créature éthérée pour s'occuper du terranide noire. 

Le terranide androgyne vint à s'occuper des blessures une à une, commençant par les plus grave, retirant toute trace de poison. Il vint à consommer énormément d'herbes de son sac pour permettre la stabilisation et le début de la cicatrisation. Cefa vint à prendre l'objet étincelant et sentit, au contact, comme un coup d'éléctricité statique, il percevait que cet objet n'était pas banal et préféra le placer dans sa sacoche, pour éviter tout vol. Cefa resta à surveiller Ghanor pendant deux jours et deux nuits, le terranide sombre ne venant à se lever qu'au bout de la troisième journée. L'apprenti chaman s'était occupée pendant tout ce temps de le faire boire et manger par petite portion, afin d'éviter qu'il ne s'étouffe, préparant des soupes et devant demander l'aide aux esprit pour préparer de la viande, chose qu'il ne savait pas faire en bon herbivore qu'il était.  Il se reposer par tranches de quelques minutes, afin d'être là lors du réveil de cet étranger.  Il fut d’ailleurs réveillé pendant sa micro-sieste, par le grognement de Ghanor.

Immédiatement, il se mit à poser ses mains sur les épaules du mâle en disant de sa voix douce.

- Il faut rester allongé, vos blessure ne sont pas encore guéri. Vous devez encore ménager votre corps jusqu'à ce que le soleil soit sous l'horizon. Je m'occupe de vos soins et j'ai gardé votre pierre étincelant dans mon sac, pour éviter que les oiseaux  ne volent cet objet magique.


L'antilope attendit qulques seconde avant de continuer.

- Je me nomme Cefa, je suis apprenti chaman. Les esprits m'ont informé de votre présence et je me suis occupé de vous. Cependant ... L'objet magique semble rendre esprit nerveux, vous l'avez eut où ?

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Le coin du chalant / Re : « Nous avions rendez-vous. » - RPs de Ghanor
« le: samedi 03 juin 2017, 19:35:07 »
*Se présente devant le loup avec un sourire innocent.*

Cefa se proposer pour rp. Terranide loup lié aux esprits de la terre. Cefa apprenti chaman et pouvoir concevoir potion si terranide loup être blessé.

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Cefa avait fait un bagage assez léger. Il n’y  avait pas besoin d’une grande réserve d’eau ou de nourriture, quand on pouvait demander des indices aux esprits. Bien évidemment, il n’y en avait pas que des gentils, mais dans la grande majorité, ils étaient entre gentils et malicieux. Il se mit à observer le ciel, usant de sa main pour se protéger les yeux de l’agressivité des rayons solaires. Il avait appris à se diriger par les astres et le déplacement du soleil. Les astres étaient un élément  important dans sa formation, surtout quand on souhaitait demander l’aide d’un ancêtre, devant attendre les bonnes combinaisons astrales pour contacter l’esprit désiré. Mais cette pratique était rare.  D’autant qu’il devait faire son chemin initiatique en essayant de vivre à la fois en tant qu’apprenti chaman et simple terranide.  Trop dépendre de ses talents chamaniques pourrait être vue comme une faiblesse des ancêtres, tout comme vivre trop à la manière de terranide lambda serait vue comme un manque de dévotion dans sa volonté à devenir un chaman reconnu.  Il n’avait pas pris de carte, étant une technologie qui aveuglait la nature animale des terranide, les rendant plus humains et moins sensibles aux murmures des esprits. Aussi, il se laissait guider par son instinct et les indications d’un esprit, qui se disait avoir été dans la forêt. Recevoir l’aide d’un esprit n’était pas compté comme abuser de ses talents de chaman, cela était simplement le signe qu’il était reconnu par l’esprit comme étant un mortel méritant son aide, chose parfois difficile avec d’autres qui avaient des critères de sélection stricte, quand il n’y avait pas des épreuves en plus.

Il vint à s’aventurer sur un territoire qu’il ne connaissait pas. Ne s’étant cantonné dans son travail d’éclaireur qu’aux alentours du village, se rappelant que les ainés lui avaient dit de ne pas trop s’approcher des villes humaines. Chose qu’il avait compris, car une grande majorité des esclavagistes étaient des humains ou des créatures qui pouvaient y ressembler.  Il vint à passer sa première nuit derrière un rocher, empêchant le vent froid de balayer son pelage et refroidir son corps.  Grâce à certains terranides commerçant, il put marchander quelques ressources contre les informations ou une petite bénédiction.  Une grande partie des terranides étaient encore très superstitieux et même un apprenti chaman pouvait se faire bien voir. L’antilope continua son trajet, jusqu’à tomber sur des esclavagiste, le poussant, pendant bien trois jours, à changer son chemin.  Heureusement Cefa avait l’avantage du terrain et put aisément semer les chasseurs, reprenant la route vers cette fameuse forêt.

Il n’eut aucun mal à la trouver, venant cependant à être bien plus hésitant dans ses gestes. Le terranide était habitué à des terrains plats, adapté pour faire la course. Ici ce n’était pas un lieu pour faire le cabri, mais pour se faufiler, ce pourquoi la nature n’avait pas beaucoup doté l’apprenti chaman.  Il ne pouvait cependant renier cette sensation d’être observé.  Il ne se mit pas à entrer dans le domaine tout de suite, venant à s’agenouiller sur le sol froid et humide pour pratiquer un petit rituel. Il vidait sa tête de toute pensée inutile, laissant son corps s’imprégner des bruits de la nature. Il restait ainsi pendant près de cinq minutes et, n’ayant pas eu la sensation d’être refusé en ses lieux, se mit en marche, tâtant le sol de ses sabots pour éviter de déraper sur un sol glissant ou une racine dissimuler sous les feuillages.  L’esprit qui avait mené Cefa, avait tout bonnement disparut, sans doute était-il entré en laissant le terranide derrière, ce que l’antilope pouvait comprendre, il n’était qu’un mortel et le guide jusque-là était déjà amplement suffisant. 

Tout doucement, il se mit à s’enfoncer entre les arbres. Il pouvait voir de ci et de là quelques dryades ou encore des fées. Ce qui était assez nouveau pour Cefa, mais dont il connaissait l’existence par le savoir du chaman, qui lui avait été transmis oralement.  Il savait que les dryades étaient des esprits de la terre, incarnation belle et féroce de Dame nature, aussi faisait-il attention à ne pas écorcher d’arbre avec ses deux cornes. Les fées étaient des esprits qui n’avaient pas un élément en particulier, étant des esprits doués de malice, mais ayant un comportement plus proche d’un enfant turbulent que réellement mauvais.  Il ne savait pas quand il allait croiser ce fameux avatar, continuant sa traversée et faisant quelques haltes pour manger quelques baies, faisant attention à ne pas avaler des plantes empoisonnées ou hallucinogènes.

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Merci et je tâcherais de faire plus simple pour mes phrases.

8
*Va se cacher derrière Dehilahy, se disant qu'un beau mâle ça protège mieux qu'une jolie femelle.*

Merci à vous deux.

9
*Sa cache derrière Ahri, pour ne pas finir en repas pour Tachibana.*

(Merci. Pour le nom de Sylanas ce n'était pas volontaire, j'ai dus jouer un mois à wow wtrah of lych king.)

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image complète

Identité : Cefa Course Vent
Âge : 15 ans
Sexe : Mâle
Race : Terranide antilope
Sexualité : N’est attiré que par les autres mâles et les hermaphrodites temporaire (possession d'une femelle par un esprit).

Physique :
Cefa est une antilope, il est donc normal que sa corpulence soit fine, laissant dessiner les muscles long et vif de ses jambes. Le reste de son corps est effilé, afin de pouvoir être le plus rapide et avoir le moins de frottement. Ses jambes sont plus longues que celles des humains, se faisant le reste de son corps est plus élevé si on se rapporte à la répartition de taille des membres chez l’humain. Pourtant il ne dépasse pas le un mètre quarante, faisant de lui une petite antilope, même encore en période de croissance.  Son corps est recouvert d’un doux pelage qui oscille entre le brun et le blanc. Son poids est très léger, trente-cinq kilogrammes. Cela s’explique par le fait de son corps très mince et que son métabolisme consomme toute la graisse inutile. Ainsi il est capable d’user de ses jambes, se terminant en sabot, pour faire des bons de cabri. Une fois lancée, n’espéré par pouvoir le rattraper, car ses bons sont puissants et permettent de distancer la plupart de ses prédateurs, jusqu’à ce qu’il s’essouffle ou ne sent plus le danger.

Son minois est caractéristique des terranides de son espèce, à savoir des oreilles assez longue, permettant de capter le moindre bruit dans les broussailles aux alentours. Ses oreilles sont assez sensibles au bruit, donc évitez de lui crier d’un coup alors que vous êtes à côté, il pourrait avoir mal devant l’attaque sonore. Ses cornes sont un autre trait de sa race, s’enroulant pour former deux jolis ornements à sa chevelure dorée. Ses cheveux, parlons-en. Cefa a des cheveux qui se mettront irrémédiablement à boucler, étant un héritage génétique de son arrière-grand-mère. Comme quoi pas mal de choses peuvent sauter plus d’une génération.  Ses yeux sont comme deux perles d’or, d’un jaune qui donne de la valeur sur le marché aux esclaves.  Son museau est finement dessiné, si bien que même s’il reste très animal, cela n’en reste pas moins tentant de toucher son nez, lui aussi recouvert par la fine fourrure.

Cefa ne porte que très rarement des vêtements. Pourquoi s’habiller quand la nature vous a offert la meilleure des couvertures pour supporter le froid des plaines ou retenir l’eau des pluies. Il ne s’habillera qu’à deux occasions : Recevoir la visite d’une personne importante ou venir à séjourner dans une ville humaine, ce qui est très rare. Concernant ses armes, la force de détente de ses jambes combinée à ses sabots, plus ses deux cornes, sont suffisantes pour dissuader certains prédateurs.

Caractère :

Une de ses plus grandes qualités est certainement l’obéissance envers les ainés. Il connait sa place dans la chaîne alimentaire et sait que les mâles les plus grand et gros sont fait pour le dominer. S’il tombe sur un terranide mâle plus petit, mais avec un caractère dominant, alors il ne cherchera pas à prendre la place des forts. Bien évidemment, pour les esclavagistes c’est une toute autre histoire, considérant ceux qui pratiquent cette activité comme de simple tueur de terranide. Pourquoi se soumettre à un tueur, alors que l’on peut fuir loin avec ses jambes ?  Il possède aussi une grande ferveur envers la nature et ses représentants, ayant une affinité avec le chamanisme, il aime communiquer avec les esprits de la nature et se laisser jouer de vilain tour par eux. Les esprits étant immortel, il estime qu’être chaman veut aussi dire devenir leurs jouets pour les divertir.

Son principal défaut est son attirance pour les mâles et uniquement eux. Il peut faire une exception si une femelle est possédée par un esprit mâle et devient hermaphrodite, mais il s’agira de l’unique exception, celles étant hermaphrodites sans intervention d’un esprit ne mérite pas son attention. Aussi a-t-il une mauvaise tendance à ignorer les femelles, pouvant se traduire par faire le sourd ou encore simplement avoir une attitude hautaine, estimant qu’étant mâle il sait mieux que les femelles comment apporter du plaisir à ses compères.

Animal terrestre, il a une peur raciale de l’eau profonde, le rendant méfiant quand il s’approche d’un point d’eau et très violent si une chose tente de l’emmener dans l’eau. Mais une fois sous l’eau ce ne sera que la panique qui s’emparera de son esprit, ne sachant pas nager. Il a une peur modérée des félins, prédateurs naturels des antilopes. Il a une certaine crainte quant à la colère des esprits, sachant qu’un esprit furieux peut se montrer d’une grande férocité ou d’une grande malice pour punir le mortel qui a attiré ses foudres. Il n’aime pas les esclavagistes, même si cela était dit plus haut.  Il n’aime pas la viande et vous ne pourrez pas lui en faire manger, si ça race est végétarienne ce n’est pas pour rien.  Le forcer à manger de la viande le rendra malade et il n’aime pas passer de mauvaises nuits.  

Il adore les mâles, avec un membre qui fait honneur à leurs virilités. Être dominant est le seul critère pour qu’un mâle soit accepté, les terranides soumis sont trop difficile à gérer pour lui et cherchera à les pousser vers la domination. Il rêve de pouvoir être dans un sorte de harem inversé ou beaucoup de mâles s’occuperaient de lui nuit et jour. Il aime beaucoup les esprits, qui peuvent changer de forme et être aussi bien des objets visant à faire de lui un être soumis à leurs désirs lubriques ou facétieux. Il aime bien pratiquer ce que les humains appellent la fellation, étant la seule pratique connu à se jours, se réservant pour son rîtes initiatique afin de  devenir chaman.

Cefa rêve en effet d’être chaman, c’est une vocation qu’il a depuis toujours, depuis qu’il voit et converse avec les esprits. Il a conscience que le chemin pour être chaman est dure et qu’il doit trouver son chamanisme à lui. Il a déjà une petite idée sur la voie qu’il souhaite prendre, celui des esprits bestiaux, dit aussi primaire, ceux qui régissent la nature même des terranides et leurs plus profondes pulsions, dont celui de copuler. Il n’a pas froid aux yeux et se sent tout à fait capable de subir les épreuves des esprits pour obtenir leurs validations, cela ne l’empêchera pas d’aller revoir des esprits pour garder un contact avec eux.

Comme dit plus haute, il est très sociable envers les mâles, non esclavagiste. Il a une certaine méfiance des humains, mais s’ils sont beaux et musculeux, cela suffira pour qu’il abaisse ses défenses. Les femme et hermaphrodites, non possédée par un esprit, auront le minimum vital en sociabilité. Celles possédées par un esprit et devenant hermaphrodite par cette possession, auront autant d’intérêt qu’un mâle, étant souvent soumises à des pulsions sexuelle. Pour ce qui est des esprits, ils auront un poste plus haut que les mâles, pour la simple raison qu’il s’agit d’entité définissant tout et pouvant prendre une infinité de forme.
Cefa n’a qu’une vision de la société de son village, qui est assez archaïque, un mâle qui est le chef de tous, avec sa famille et les autres, qui s’agencent autour de cette famille dominante. Il y a l’aspect religieux avec le chaman, dont il est admiratif. Celui de la collecte de fruit et poisson, dont il participe peu. Celui de la protection, dont il a conscience de n’être utile en rien. Enfin, il y a celui du contrôle du territoire, étant alors utile en reconnaissance.

Histoire :

Cefa est né d’un couple de terranide antilope, son père étant un mâle vigoureux et prompt à défendre le village, sa mère étant plus dans l’aide à la récolte de fruit pour les terranides végétariens. Dès les premières années, Cefa se vit arborer les traits de sa mère. Son père n’eut aucun regret, comme disait le chaman, les esprits pouvaient manipuler les naissances selon  leurs desseins. Le couple était ravi de cet aspect androgyne, signifiant que les esprits voyaient en l’enfant un, possible, héritier du savoir chamanique. De plus, il montrait des signes de sensibilité spirituelles, jouant avec des esprits encore jeune. Le couple vint à demander conseil auprès du chaman, qui vint à être un tuteur pour le petit Cefa.

Il se mit à grandir et développer ses talents  pour le chamanisme, mais aussi ceux que la nature lui avait offerts, comme sa vitesse de course. Ainsi c’est à l’âge de huit ans qu’il vint à braver une tempête furieuse pour venir rapporter une pierre de fertilité, cette pierre permettant de cultiver en toute saison les sols irrigués par l’eau où la pierre était plongée. Cet exploit, surtout au vue de son jeune âge, lui valut, par le chef, le titre de Course Vent. Il vint à dire qu’il n’avait fait que suivre des esprits pour ramener la pierre, soulignant encore une fois son affinité. Le chaman vint à le prendre sous son aile, le formant alors à devenir son assistant, participant à des rituels pour convoquer les esprits des ancêtres, afin de demander conseil. Cefa suivit l’instruction avec une assiduité exemplaire, si bien qu’il finit les rituels basiques à quatorze ans. Cependant, il ne pouvait pas encore commencer un long rîtes initiatique, devant pour cela avoir quinze hivers d’enduré depuis sa naissance. Cefa se pliait à cette attente, ne remettant pas en cause ce délai, comprenant que les esprits verraient, certainement, d’un mauvais œil un apprenti chaman trop jeune venir els voir. Il avait compris qu’il fallait un corps ayant murit et s’étant endurci à la vie pendant quinze hivers.

Les rites initiatiques devaient toujours commencer au premier bourgeon du printemps, signe de renaissance, mais aussi période où la nature prospérait par l’augmentation des représentants de chaque espèce.  Aussi Cefa attendait-il, continuant à communier avec les esprits, ses derniers murmurant à ses oreilles des histoires intéressante, des légendes ou encore les derniers ragots. Cefa se disait des fois que les esprits étaient comme les terranides, très varié, avec des pipelettes, des timides et des colériques.

Ce fus vers la fin de l’hiver que Cefa se mit à se préparer pour débuter son pèlerinage, afin d’être chaman. Les esprits semblaient agités et Cefa en demanda la raison. Il apprit que dans une forêt, un grand esprit, le plus vieux de tous, était présent et qu’ils se disputaient pour savoir s’ils devaient le dire au terranide. L’antilope curieux, vint à questionner les esprits sur ce vieil esprit et vint à apprendre qu’il était de nature pacifiste, organisant des sortes de fêtes, les esprits restant vague dessus, par timidité ou malice.  Aussi Cefa en parlait au chaman. Ce dernier vint à répondre qu’il devait aller de l’avant de choisir où il voulait poser ses sabots. Cefa brulé par la curiosité, prit donc le parti de rencontrer ce vieil esprit.

Cefa vint à dire au revoir à sa famille et à ses amis, dont le chef, s’étant assez rapproché de lui, tout en évitant de l’être trop, la femelle du chef étant de nature jalouse et assez agressive envers ceux et celles tournant un peu trop autour de son mâle. Il vint à partir en direction de cette forêt.  Le chemin n’était pas court et il put croiser des esclavagistes, usant de sa vitesse de course pour les semer. Il n’avait fait qu’entamer son pèlerinage et ne savait pas ce que le monde allait l’offrir, rende ce voyage encore plus excitant.


Autre :
- Endurance et vitesse des antilopes.

- Capacité de voir, discuter, ressentir les esprits. (compétences chamanique)

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