Centre-ville de Seikusu / Re : 2 sœurs sous emprise
« le: mardi 04 avril 2023, 23:01:09 »- Tu n'y connais rien...je vais t'apprendre...
Si mon ton était paternaliste et serein à l'instant, à peine a-t-elle eut le temps de cligner des yeux que ses cheveux se trouvent agrippés dans ma main, forçant le passage de force entre ses lèvres, son nez coller à mon pubis dans un bruit de déglutition sale, la bave coulant abondamment de ses lèvres.
La sentant sur le point de vomir en à peine deux secondes de ce traitement, sans lâcher ses longs cheveux, je lui arrache son jouet, avant de reprendre exactement où nous en étions. A nouveau sur le point de tout relâcher, je la libère encore une fois. Ce manège recommence encore et encore jusqu'à ce que sa gorge s'habitue à tenir une minute sous ce traitement. Les joues rougies, le mascara dégoulinant lamentablement sous le poids des larmes, les cheveux ébouriffés, on est loin de la jeune femme propre sur elle de notre rencontre.
Commence à poindre dans son regard de la peur, difficile à dire si elle est dirigée contre moi. Ai je été trop loin dans la soumission qu'elle est prête à m'offrir, ou au contraire, a-t-elle peur d'elle même, honteuse d'avoir pris son pied à être traitée pire qu'une chienne.
Relevant Tiffany aussi aisément qu'on ramasse une serpillière, je plaque son buste au bar, mettant sans hésiter ma main sur sa cuisse, que je remonte, découvrant au passage combien elles sont trempées je finis par atteindre sa fleur intime. Gêné par sa culotte je l'arrache.
- Tu rentreras sans ce soir.
D'un claquement de doigts, un fin collier mêlant habilement cuir et de la dentelle aux extrémités se dessine sur son cou. On y trouve également un anneau scellé à l'avant. Il est pensé de tel manière à embellir Tiffany, à l'y voir où ne peut l'imaginer sans, et aussi lui indiquer que désormais son corps et son âme m'appartenait. Sans un mot, je scellais définitivement ce pacte indiscutable entre nous dans un baiser fiévreux, libérant dans sa gorge une dose de phéromones pour la priver de toute envie de protester. Après cette mise au point, je libère ses lèvres, mon doigt se glissant autour de son anneau, je la pousse à me suivre allant dans ma voiture pour la ramener chez elle.
- Pendant le trajet, montre moi ce que tu as appris.
Ma verge toujours dressée et Tiffany assise à coté, je mets le contact et démarre.