Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Jody Radwell

Pages: [1]
1
Vous nous quittez déjà ? / Un adieu.
« le: lundi 04 avril 2016, 20:48:31 »
Bonsoir à tous et à toutes.

Je m'excuse mais, j'ai un peu du mal à RP sur ce forum pour des raisons diverses et variées alors j'ai pris la décision d'en partir.
Je m'excuse sincèrement auprès de tous mes partenaires et leurs souhaite bonne continuation.

Au plaisir.

2
Venir la chercher ? Je me déchaîne. J'enchaîne les coups, toujours plus violente, accentuant la puissance de ceux-ci à chaque fois que je propulse mon poing sur ma victime avec un grand sourire digne d'une psychopathe. Et elle vient me chercher, toujours plus vulgaire, toujours plus salope, ça me plaît, ça m'excite et me pousse à me défoncer dans cette baston où j'essaye d'être toujours plus rapide. Elle prend mes coups, les esquive parfois mais, ne riposte pas et c'est étrange. Pourtant, je fais au mieux et la fatigue commence à m'élancer dans les muscles alors que ma respiration accélère peu à peu et la sueur coule le long de mon front et mon cou, collant des mèches de cheveux sur celui-ci. Une fois plaquée au mur, elle m'ordonne d'arrêter. Tu as peur ?! Comme si j'allais arrêter bwhahaha. Je jubile, je souris et je continue. J'enchaîne toujours plus rapidement avec un grand sourire qui étire mes lèvres quitte à endolorir mes joues. Soudainement, elle attrape mon poing, j'écarquille les yeux, surprise et perdue et ses lèvres se plaquent aux miennes Mmmmmh, ce baiser. Nos langues se mélangent, le baiser est tendre et sensuelle. Elle me colle à elle, mon bassin bloqué au niveau de son bas-ventre, lui faisant sentir mon énorme protubérance.

Dans la nuit, j'entends le bruit d'une fenêtre qui s'ouvre, quelques craquements au-dessus de nous et des bribes de mots incompréhensibles. J'ai envie de rire, un petit rire discret et maladroit une fois le baiser rompu. Et voilà, elle recommence à m'exciter vulgairement avec son pull qui remonte jusqu'au bas de ses seins. Le spectacle est tellement... je n'ai même pas de mot. Je suis totalement en rute, je bave à moitié et la dévisage totalement. Je veux... me la faire. Là, maintenant. Plus aucune envie de se battre, de toute manière, elle ne rispostait pas, tout était lassant. Ainsi, je lui saute dessus, la plaque au mur et je glisse entre ses jambes que j'écarte légèrement. Entre mes dents, j'agrippe sa culotte que je fais descendre le long de ses cuisses. « Je vais te sauter mais, je vais te donner envie autrement dis-je sur un ton joueur. » Et sans plus attendre, j'entame les autres jeux linguistiques pour lesquels je suis particulièrement douée. D'abord son clitoris, j'entrouvre les lèvres et vient le saisir, le pinçant légèrement avant de faire rouler ma langue dessus. Je l'aspire, le suçote et l'effleure même de mes dents par intermittence. Les yeux relevés, j'observe les réactions de ma partenaire, cherchant la trahison de son plaisir.

Et je continue. Je veux l'endendre me supplier de la prendre... Deux de mes doigts écartent ses lèvres intimes avant de s'y glisser, se logeant contre ses parois à la recherche de son poing le plus sensible. L'oreille tendue, je me prépare à accueillir les gémissements qui me guideront vers mon objectif. Mes mouvements sont de plus en plus rapides et accentués à certains endroits alors que je m'active toujours sur son petit bourgeon, bien décidée à lui procurer un maximum de plaisir.

3
Chaleur, quand tu nous tiens. J'observe la femme avec une envie qui me brûle les chairs, en bas. Quand elle glisse ses jambes autour de mon, je frémis. Un long frissons qui parcourt mon échine , hérisse les poils de ma nuque et anime ma peau. Je salive comme une chienne, j'ai envie d'elle, tellement. Quand elle se rapproche, la chaleur semble s'emplifier, maintenant érigée ma queue bloquée dans mon boxer tellement compressée. Finalement, elle est contre-moi, mon coeur heurtant ma poitrine dans une course folle alors qu'elle effleure maladroite la protubérance entre mes cuisses. Je pince mes lèvres et là, elle les embrasse, plaquant les siennes contre les miennes. Ma langue glisse entre ses lèvres pulpeuses et vient chercher son alter ego pour une tendre danse érotique. Je glisse mes mains sur ses hanches, je les saisis, les prends fermement en ondulant légèrement les hanches. Plus plus... j'en veux tellement plus... Je veux la baiser. Après ce langoureux et brûlant baiser, elle me glisse quelques conditions aux creux de l'oreille, son souffle chaud s'écrasant contre sa peau qui frémit. Ouverte à tout ? Elle va prendre tellement cher celle-là. Ce tendre baiser se termine par une main qui se glisse dans la mienne avant de m'attirer tendrement vers elle et... peut-être une place plus chaude et sexuelle ?

Elle me somme son nom : Pepper. Pepper, ça sonne comme un bon nom de prostituée, stripteaseuse, je souris. Quelques clients lui glissent des mots crus ou plutôt lui hurlent, d'autres lui font un sourire, quelques esquisses et caresses. Il faut avouer que cela me dérange, jamais je ne laisserais quelqu'un me parler comme ça mais, apparemment mon amante de ce soir n'en éprouve que du plaisir alors, je n'ouvre pas la bouche et la suit docilement. Après tout, je serais bien capable de traiter une stripteaseuse ainsi. Peu à peu, on s'enfonce dans le club, les lumières tamisées accentuant l'allure de maison close à l'endroit. Le videur nous laisse passer, plus on avance, plus la tension sexuelle semble croître, tout autant que la tension dans mon caleçon. Notre traversée nous mène jusqu'à une chambre aménagée à la perfection : lit, barre de striptease, fauteuil, il manquerait plus qu'une armoire pleine de jouets pour s'amuser. Ce que je veux hein ? Je veux commencer doucement. Sensuellement, j'éprends ses hanches fermement avant de l'embrasser de nouveau tout en veillant à tenir mon bassin éloigné d'elle. Apparemment, elle n'a pas encore saisis la nature de mon sexe et j'en profite pour m'amuser.

Après ce langoureux baiser, je la pousse sur le lit et grimpe au-dessus d'elle pour agripper son minishort en latex. Le latex me plaît mais, il faut bien le retirer. Je le fais glisser le long de ses jambes avant de m'attaquer à son corset pour le retirer à son tour, dévoilant une poitrine opulente. Mon sexe semble frémir dans mon boxer comme pour répondre à ce corps nu qui m'est offert. Lentement, je viens mordiller son oreille, dessinant celui-ci en un sillon humide avant de descendre dans son cou. J'y dépose une cascade de baiser jusqu'à atteindre ses seins. En bouche, je prends les tétons, les suçote, les mordille et parfois je tirais dessus quitte à la faire gémir, hurler et gigoter. Après avoir assez joué, je descendais plus bas jusqu'à me retrouver à l'amuse gueule entre ses jambes : une chatte suitante et agréable. J'entrouvre les lèvres, prends son clitoris en bouche et le suçote en l'effleurant vaguement de mes dents de temps à autre. Je me plais à glisser deux doigts dans son sexe avant de commencer à la doigter furieusement, taquinant ses parois intimes pour faire grimper son plaisir mais, dès que je sens l'orgasme approcher ce corps, je m'arrête de suite avec un très large sourire. « Alors, ça te plaît trésor ? Par contre, pour jouir, il va falloir m'offrir une belle gâterie et me faire jouir avant.... dis-je avec un grand sourire. La cliente est reine ! »

4
Quand ma bosse entre en contact avec le creux de ses reins, mon corps gainé, je lis la surprise sur son visage et m'en délecte bien que ça n'ait pas l'air de lui déplaire pour autant. L'alcool m'enivre mais, je sais encore déceler l'envie et le plaisir sur un visage. Sa poitrine gonfle contre la mienne. Je suis certaine qu'en bas c'est tout humide... mmmh. Un long frisson me parcourt l'échine, sans aucun doute dû à l'excitation naissante qui commence à prendre possession de mon corps et remplacer les fléau de l'alcool. Finalement elle daigne répondre et pose une condition. Je fronce les sourcils avant d'écarquiller les yeux. Mon bras droit est sous son emprise et elle me force à me contorsionner dans une position de soumission pour avoir le dessus. Pour le coup, la colère monte et mon visage vire au carmin jusqu'à qu'elle glisse sa main là. Je la sens. Elle parcourt mon ventre, se rapprochant de l'endroit tant attendu. Mon sexe frémit comme pour répondre à ce début de caresse et pour finir, elle le saisit tendu et dure.

Une teinte de rouge nuance mes joues, j'observe la situation mitigée entre plaisir et légère honte. Quelques mouvements et mon chybre est dur, épais et suintant de pré-sperme. Seulement, rapidement elle m'envoit valser loin d'elle, une protubérance en plein milieu des cuisses, imposante et dure comme le roc. Je suis totalement excitée, mon sexe emprisonné dans cette prison de tissu qui rend mon érection presque douloureuse et elle continue de m'exciter feintant une féllation. Je dois la défoncer... Malgré la douleur entre mes cuisses, je suis prête à me battre, légèrement désavantagée par la perversion. « Tu viens de me désavantager là... t'es vraiment une trainée dis-je avant d'éclater de rire. » Ouvertement, je cherche à l'énerver jusqu'à qu'elle soit assez en colère pour donner tout ce qu'elle a. Les premières prises, elle m'a eu par surprise, ce n'est plus pareil maintenant. Un point devant l'autre, une jambe devant l'autre, une partie du corps en retrait prête à esquiver le moindre de ses coups. Je ne sais pas si c'est l'excitation ou l'adrénaline mais, mon coeur s'emballe.

J'oscille d'une jambe à l'autre, sautillant comme pour la frustrer avant de lui bondir dessus poing brandit. Je lui met un premier crochet dans l'estomac avant d'enchaîner avec un uppercut dans la mâchoire. Je ne suis pas certaine que mes coups l'atteignent tous alors je veille à pouvoir reculer et esquiver si elle riposte. Ma respiration est saccadée, mon coeur me fait presque mal à cogner si fort ou alors est-ce une illusion due à l'alcool ? J'enchaine avec un chassé violent dans les flancs comme on m'a appris à la boxe et je recule. À aucun moment je n'ai tenté d'avoir son visage car baisé une nana pleine de sang ne fait pas parti de mes fantasmes.

5
Malgré la situaton, le fait que l'alcool m'imbibe, j'arrive à déceler son regard qui me dévisage totalement . Ses yeux sur mes traits, mes lèvres, plus bas. Une légère teinte de rouge nuance mes joues et c'est étonnant, je n'ai pas l'habitude de rougir. Je pince mes lèvres avant de lui retourner ce regard inquisiteur qui décèle chaque partie de son corps. Un visage fin d'une pâleur étonnante, j'y décèle la colère et, elle est mignonne quand elle est en colère, mignonne et même sexy. Je mordille ma lèvre avant de rapprocher lentement mon visage du sien, mon souffle s'écrasant sur son visage et réciproquement. Perdue dans mes pensées à observer cette femme ravissante, je n'ai pas vu venir son geste.

Une douleur me vrille le poignet alors que je plie sous le mouvement en poussant une petite plainte. Je ne suis pas habituée à gémir mais, l'alcool me surprend. Je déglutis difficilement. Elle en a profité pour s'éloigner de moi et ça me fait rire. Je souris, amusée, en frottant mon poignet endolori. Moi ? Une traînée ? Et c'est elle qui me dévisage comme une chienne en manque. Mon souffle accélère et les battements de mon coeur aussi. « Je ne suis pas une traînée... je ne fixe pas les femmes comme une chienne en rut. Tu as envie de moi hein ? Je le lis sur ton visage.... dis-je en approchant lentement d'elle. »

Un sourire pervers étire mes lèvres. La distance qui nous sépare se réduit mais, je ne montre aucune hostilité, frottant simplement mon poignet en avançant maladroitement. Je n'arrive pas à marcher droit mais, j'arrive à l'atteindre. Je glisse une main autour de ses hanches en exerçant une prise ferme avant de glisser jusqu'à ses fesses. Un long frisson me parcourt l'échine. Elles sont fermes et agréables, aucun doute, cette femme est parfaite. J'humecte mes lèvres en la déshabillant du regard. Aucun doute, elle est plus âgée que moi et pourtant, elle est si sexy. Avec sensualité, je colle mon corps au sien, mon bassin embrassant le sien pour lui faire sentir mon érection naissante. « Dis... tu n'as pas envie de passer une soirée chaude et sensuelle avec moi... t'es carrément sexy et, je sais que je te plais. Que tu as envie de moi. » Ma voix est assurée mais, j'hésite parfois. Je niche ma tête au creux de son cou pour en mordiller et suçoter la peau. J'essaye de lui donner envie comme possible. Dis oui... La moindre résistance risquerait d'engendrer ma colère mais, il faut avouer que malgré son corps sexy, me battre me plaisait aussi. J'aime les femmes fortes et violentes.

6
La réalisation d’un but se fait naturellement et nécessairement sur la durée. Un athlète qui ne s’entraine pas ne peut pas gagner une compétition. C’est exactement la même chose dans notre vie quotidienne. Aujourd'hui, je jubile. Mes objectifs tant sportifs que sociaux sont atteints, après diverses recherches aurprès d'informateurs, de policiers mais, aussi avec l'aide magique de l'Internet, j'ai retrouvé la trace de mère. Cette traînée va payer. La première pensée du matin quand les rayons du soleil chatouillent le bout de mon nez et que j'emmerge d'un sommeil plutôt léger. L'impatience me guette et me cotoie me poussant à manquer de prudence mais, je ne note pas mes fautes. Pour ce jour si spécial, je pris soin de revêtir d'un pantalon beige large, d'une chemise en jean et d'une écharpe. Pesant sur mon épaule, un sac de sport contenant ma tenue et quelques protections. Je jubile. Encore et toujours plus. Impossible de tenir en place dans les bus où je me tortille et sautille comme une gamine. Impossible de retenir ce sourire qui déforme mon visage quitte à endolorir mes joues et me donner un rictus étrange laissant paraître le dérangement mental sous jacent. Il est seulement midi quand j'arrive en ville, tout proche du gymnase. Comme à chaque évènement important, je suis bien trop en avance. D'après mes sources, leur arrivée ne serait que sur le coup des quatorze coups. Deux longues heures d'attente...

Les mains fourrées au fond des poches, je m'enfonce dans la masse épaisse et indiciplinée qu'est la clientèle d'un fast-food quelconque. Je m'atable après avoir commandé une salade et une bouteille d'eau, décidée à manger léger pour me préparer à cette après-midi. Les minutes s'égrainent lentement et je finis par gagner le gymnase avec une demie-heure d'avance, ne supportant pas d'attendre avec les yeux rivés sur le va et vient constant de la foule. Dans le vestiaire, je troque ma tenue de ville pour un short large et plutôt court puis un débardeur moulant qui épouse mes formes et mon ventre à la perfection. Je prends soin de joindre mes cheveux en un chignon relevé afin qu'il ne me gêne pas lors de mes entraînements et futur combat. Avant tout... je dois lui mettre une raclée, lui faire subir ce que j'ai subi... le viol comme les coups. Je jubile. Une fois dans le dojo, j'entame des étirements spécifiques à la boxe jusqu'à que je juge mes muscles chauds. S'en suivent quelques coups dans un sac de sable, chassé, direct, droite, uppercut, je m'exerce sans pour autant me vider de toutes mes forces.

Et là, on m'interrompt. N'importe quoi aurait pu m'interrompre tant je suis en alerte, attentive au moindre bruit qui m'entoure. Ils arrivent : une dizaine d'hommes tous musclés aux corps d'athlètes et cette femme. De ma taille, une chevelure à la teinte rosée et une poitrine opulente. Dans un coin d'ombre, je les observe et juge leur capacité. Notamment les siennes, elle sait se débrouiller mais, commet des fautes qu'il m'est facile de déceler. Finalement, je fais quelques pas vers eux, les bras croisés sur la poitrine et les muscles saillants. « Ha ha, c'est les forces de l'ordre qui s'entraîne ? Vous faites vraiment mauviettes. Surtout toi. Héléna Skyangel. On voit ton nom dans les journaux parfois mais, franchement, tu te bats comme une tapette dis-je avec un sourire amusé aux lèvres. Viens donc te battre, vraiment, avec un adversaire à ta taille.  »

Mon coeur bat à la chamade. Je ne crains pas ses coups, je crains sa réaction. Sale gamine ? Traînée va... Des poignards qui me criblent le coeur. Une métaphore que je comprends à cette instant. Elle ne me reconnaît et même si cela paraît logique, c'est douloureux. Je serre les poings, j'ai la hargne, la colère qui m'anime et l'envie de l'étriper. Malgré tout, je suis fair-play et j'attends qu'elle se positionne et qu'elle enlève ses protections. Mon souffle s'accélère, un poing en avant, l'autre en retrait, le pouce à l'intérieur de la main, une jambe en avant, une jambe en retrait. Les règles de la boxe se répète dans ma tête comme un mantra. Je ne peux pas plus me retenir et je lance les hostilités. Un premier coup qui vise directement sa mâchoire pendant que je garde un poing en retrait visant à me protéger en cas de riposte. Campée sur mes jambes, elles sont tendues, prête à esquisser le moindre mouvement pour esquiver. J'enchaîne de suite avec un uppercut visant son estomac.

7
Un filet de bave pourrait couler le long de mes lèvres tellement cette demoiselle m'enivre. Mon sexe a pris toute sa vigueur, cloisonné sous le tissu de mon pantalon alors que mon regard décèle chaque mouvement de la stripteaseuse qui se déhanche avec une sensualité qui m'était encore inconnue. À la fois professionnelle, sexy et un brin vulguaire dans sa tenue de latex, la demoiselle a tout pour réussir et susciter l'intérêt des clients. Il y en a peu ce soir, deux hommes prostrés de part et d'autres de la pièce qui observent comme moi le show mais, je suis la seule à démontrer un intérêt captif à cette performance. Je ne la quitte pas des yeux mais, j'avale quelques gorgées de bière, savourant le précieux liquide tout en savourant cette femme du regard. Quand elle semble s'approche telle une tigresse dans un floorwork, je m'imagine caresser son corps et épouser chaque parcelle de sa peau de mes lèvres ou de mes mains. Un frisson parcourt mon échine, hérisse les poils de ma nuque et semble de perdre jusqu'à mon pubis. Merde, je peux pas me retenir... Maladroitement, je me lève pour sortir mon porte-feuille de la poche arrière de mon pantalon et j'en tire quelques billets. De quoi l'apprivoiser sans pour autant la combler. Un sourire mi-vicieux, mi-sérieux étire mes lèvres alors que j'agite vaguement les billets avant d'enjamber la table.

Les règles de l'établissement ne me reviennent pas en tête, je suis emballée par l'excitation et la tension palpable que me fait ressentir cette femme au déhanché si sexy. Une fois la table enjambée, je m'appuie sur le bord de la scène et tend le bras. D'un doigt, je tire son minishort au niveau des cuisses avant d'y glisser mes quelques billets. L'odeur de la sueur mélangée à celle de l'excitation me taquine les narines et ne fait que redoubler mon envie. Un grand sourire étire mes lèvres, le bas de la scène cache mon érection à la stripteaseuse et tant mieux, s'il se passe quoi que ce soit, j'aimerais lui faire la surprise de la gourmandise qui pandouille entre mes jambes. « J'ai encore plus d'argent... et si on allait dans une cabine privée pour que tu me montres l'étendue de tes talents et moi... mon fric lui demandais-je d'une voix presque sensuelle. » Je me décale rapidement de la scène et lui tend la main en guise d'invitation. Mon corps entier semble être un brasier à feu par l'excitation. Je me pince les lèvres. Accepte... pitié accepte... Et elle a intérêt à accepter

Spoiler: HRP (cliquer pour montrer/cacher)

8
Ce soir-là, j'erre dans les rues de Seikusu. À croire que c'est une réelle habitude comme Kant se baladait pour philosopher et déduire les théories qui régissent la vie des épicuriens mais, ce n'est pas mon cas. Mes pas sont maladroits, je vacille et penche sur le côté alors que la terre semble tourner, vaciller comme si elle cherchait à me faire perdre mon équilibre. Je suis imbibée. D'alcool bien entendu, je sors du bar où j'ai avalé quelques bières et whisky pour gagner cette plénitude des sens que seul l'alcool peut nous offrir. Et peut-être la drogue mais ça, je préfère ne pas le savoir. J'erre donc dans les rues sans objectif, ayant simplement envie de profiter de l'air frais qui caresse ma peau et semble la brûler très légèrement. Je suis habillée d'un pantalon beige, de basket et d'un gros sweat qui me protège du froid mais, peut-être pas assez. Les températures post-hivernales sont fraîches et humides. Je connais autre chose qui est humide... Un soupire se délivre de mes lèvres. Cette soirée avait pour objectif de m'offrir de la compagnie et je me retrouve avec l'alcool dans le sens et la vision floue, seule. Il n'y a pas meilleur moment que la solitude pour se rendre compte à quel point l'alcool nous a enivré et sans doute plonger dans le plus pitoyable des états mais, étrangement, je me sens saine. Au loin, je remarque même cette ombre qui se décèle dans les rues : une femme à la longue chevelure brune et aux petits yeux qui semble me percer dans l'obscurité.

Peu à peu, la distance entre nous se réduit. À chaque pas, peu à peu. J'ai l'impression de faire une fixette sur cette femme sans réellement l'expliquer. Mon regard la perfore de part en part et ne semble pas daigner la lâcher. Sans raison, comme ça. Ma tempe cogne légèrement comme animée de palpitations mais, ce n'est que l'alcool qui se réveille. Finalement, je baisse la tête et continue mon chemin feintant un désintérêt total pour la dite humaine qui me fait face. Seulement, le hasard n'en a pas décidé autant. Je ne saurais dire s'il retourne de sa faute ou de la mienne - l'alcool me retirant autant mes capacités à me mouvoir précisemment que d'observer correctement mon environnement - mais, nous nous sommes heurter. J'ai senti son épaule s'écraser contre la mienne ou vice-versa et je chancèle légèrement de cet affront. La colère me monte à la tête et retourne mon sang dans mes veines. Je me retourne alors qu'un rictus déforme son visage et que mes poings sont serrés. La colère ne découle pas de l'alcool mais, de mon caractère, j'ai toujours eu du mal à rester calme. J'ai conscience du manque de causes concernant cette colère mais, j'ai envie de me mettre en colère. Envie de serrer les poings et même de les écraser sur son joli minoi mais, il me faut une raison. « Oh salope ? Tu pourrais au moins t'excuser quand tu bouscules quelqu'un. 'tain sérieusement, ça me gave les gens comme toi grognais-je en lui adressant un regard qui mêle mépris et colère. » Nous étions dans le quartier de la Toussaint, ce genre d'altercation n'a rien de surprenant.

Instinctivement - et oui, la boxe vous offre ce genre de réflexe - je saisis son col et attire son visage tout près du miens jusqu'à sentir son souffle chaud s'écraser sur mon visage en laissant échapper un petit nuage de buée. Elle est belle. Un joli visage, une belle chevelure, une jolie poitrine et de beaux yeux légèrement injectés de sang. Détail qui me surprend mais, je ne m'en soucie pas. Elle oscille légèrement devant moi ou alors, est-ce moi qui oscille. « Alors ? Tu as perdu ta langue ? T'es une tapette à ce point m'exclamais-je entre deux gloussements. »

9
D'abord, le sport habitue à l’effort et, pratiqué avec sérieux, il requiert presque inévitablement un dépassement de soi. On va plus loin qu’on ne le prévoyait, qu’on ne le désirait, on apprend à se dépasser. Ce jour-là, je m'étais surpassée jusqu'à courbaturer chacun de mes muscles et m'ouvrir une lèvre maintenant pansée. Pourtant, je n'étais aucunement décider à arrêter pour ce soir. La tête collée à la vitre du bus, les yeux posés sur le paysage qui défile, oscillant entre la noirceur de la nuit teintée de lumière et l'obscurité du sommeil qui m'emportait peu à peu, je me dirigeais activement vers un endroit où je pourrais de nouveau mettre mon corps à l'épreuve de la fatigue ; un club de strip-tease. Un baîllement décrochait ma mâchoire, le bus finit par s'arrêter en indiquant le terminus. D'un pas las, je réussis à traîner mon corps hors du véhicule avant d'être attaquée par le froid mordant d'une douce nuit d'hiver. Et merde, il fait super froid. Je soupirais et grognais avant de me hâter au café du coin pour avaler un remontant qui - je l'espèrais - me ferait tenir toute la nuit. Malgré un pantalon large à la teinte beige, des chaussures de ville et un sweat bien chaud, je pouvais sentir les regards happés par mon corps quand je franchissais le seuil du café. Bande de chiens. Au comptoir, je commandais un café à emporter n'ayant aucune envie de rester dans cette atmosphère où les phéromones semblaient embaumer la pièce. De nouveau, je trainais mon corps dans le froid, avalant quelques gorgées au rythme de mes pas tout en fixant chaque enseigne clignotante jusqu'à trouver celle du club. Conseillé par une connaissance, je n'y avais encore jamais mis les pieds mais, ça ne saurait tarder. Au loin, je finis par déceler l'enseigne clignotante rouge m'indiquant la direction de mes pas. Et bien voilà.

Quand je franchissais le seuil de l'entrée, une odeur de cigarette mêlée à celle de l'alcool et peut-être  un peu de canabis m'agressait le nez. Les lumières tamisées qui rythmaient la piste de danse donnaient des airs de maison close à l'endroit où je fus bien vite accueillie par une charmante hôtesse aux formes généreuses cachées par quelques frêles morceau de tissus. Après quelques brèves explications sur les règles de bonne conduite, je fus accompagnée dans la salle principale avec la longue piste de danse pourvue de barres métalliques. Mes yeux s'écarquillaient, illuminés d'une lueur enfantine alors que je m'enfonçais dans cette ambiance mêlant chaleur, transpiration et autres fluides corporels. Woah. Maladroitement, je pris place à une table avant d'héler la serveuse pour commander une pression. Sans une once de gêne, je profitais de l'instant pour épouser chaque forme de son corps et notamment son cul plutôt large qui m'aurait presque donné une érection. Mon regard fut rapidement happé par une nouvelle femme à la démarche bien plus sensuelle et féline. Des formes généreuses, une tenue moulante horriblement sexy et une longue chevelure sauvage qui cache un visage angélique. Je ne détachais pas mon regard de cette ombre qui se déhanchait sur scène et ceci dans ses sensuels mouvements qui la rapprochait parfois de moi. Seulement, je n'étais pas une fille facile, je n'étais pas en chien, moi. Il en fallait plus pour me faire céder à la tentation et m'arracher les billets logés dans mon porte-feuille. Les bras croisés, les muscles saillants, j'observais toujours la petite danse. « Plutôt sexy la demoiselle hurlais-je à son attention. » Rien ne pouvait m'empêcher de la pousser à venir me voir.

Il faut dire qu'une chaleur naissante commençait à taquiner mon bas-ventre et que mon érection soulevait légèrement mon pantalon y formant une bosse difficile à voir dans la semie-obscurité de la pièce. Pendant ce temps, la serveuse m'apportait ma commande, louchant par la même occasion sur cette dite bosse. Personnellement, je ne lui offrais pas un regard, toujours perdu et enivré par cette femme. D'une main, je portais le liquidede houblon frais à mes lèvres, les humectant pour goûter celui-ci avant d'en avaler une gorgée. Mes doigts se crispaient presque nerveusement sur le verre, je rêvais de me caresser ou de me faire caresser mais, quand était-il de la suite de la soirée ?

10
On compte bien repeupler le monde de Skyangel et instaurer une monarchie o:

11
Merci :D

12
Identité : Jody Radwell
Âge : 20 ans
Sexe : Futanari
Race : Humaine
Sexualité : Pansexuelle

Physique :
Difficile de l'ignorer, elle vous fera relever la tête et ceci simplement en exposant son corps d'une sensuelle marche féline. La beauté est relative mais, il est difficile de ne pas la juger comme un canon de beauté selon les normes qui sont celles de la Terre. Sa peau est de satinée, bronzée, sans imperfection et d'une douceur enivrante, il est agréable de la caresser et d'en épouser les contours. Le premier élément qui relève les regards est sa chevelure blonde teintée de quelques mèches argentées selon la lumière offerte. Ses cheveux sont ondulés et descendent en cascade jusqu'à ses épaules pour se perdre à la naissance de ses omoplates ; elle en prend soin et aime les coiffer avec une longue frange qui cache son joli front. Ils arborent un visage fin et oval pourvu d'un nez droit, de fines lèvres ornées d'une brillance rosée et de deux grands yeux bleu dont les nuances se teintent parfois de vert. Elle prend soin de son visage comme du reste de son corps et ceci avec une attention minutieuse. La plupart du temps, son cou est nu, plus bas, on décèle ses épaules légèrement musclées et les bras qui dessinent la suite de son corps. Jody est plutôt musclée, un dos athlétique aborant des omoplates bien dessinés, des bras développés et des mains qui offrent une poigne ferme malgré des doigts fins. Elle affectionne même les vernies et autres petites bêtises qui accentue son côté féminin. Quant à sa poitrine ; elle est opulente en forme de pomme bien ferme, douce aux aréoles plus foncées et petites aux centres desquelles se situe des tétons épais souvent durs et chauds. Encore plus bas, son ventre plat sans un gramme de graisse mais ferme qui arbore un début d'abdominaux quand elle se cambre. Ses hanches sont larges, faites pour enfanter et forment donc un beau fessier tout aussi large et ferme. Le creux de son bas-ventre est finement tracé pour offrir son pubis pourvu d'une petite toison ébène et notamment la petite surprise qu'elle a entre les jambes. La demoiselle dispose d'une queue large et épaisse d'une vingtaine de centimètre en érection. Derrière cette queue, une paire de bourse qui cache un sexe féminin. Jody est une futanari. Pour finir, ses jambes sont aussi musclées que le reste de son corps. Quant au style vestimentaire, elle est habituée à être habillée comme une sportive : survêtement, sweat, jean, chemise mais, elle aime tout de même être féminine quand elle sort.

Caractère :
Sans être philosophe, elle est épicurienne. Le premier adjectif qui définit son style de vie comme sa façon d'être, elle profite de l'instant présent et des bonnes choses que ce soit le sexe, la nourriture, l'alcool mais, elle réussit à éviter la drogue. Les septs péchés capitaux ? Elle n'en a que faire, c'est la plus grande des pécheresses. Jody est une leader, une dominatrice, elle aime et a ce besoin de tout contrôler aux risques d'être sujette à des tiques nerveux quand une situation lui échappe. Notamment au lit, elle aime contrôler et préfère le statut d'active que passive. Perfectionniste sur les bords, elle aime gagner et serait presque mauvaise joueuse sans pour autant s'abaisser à la triche : la dignité et l'honneur sont des valeurs qu'elle prône. Il faut dire qu'elle est espiègle, pimbêche et hautaine avec un regard très critique, elle n'hésite pas à juger au moindre faux pas. Elle restre très joueuse et adepte de pari et autres jeux sujets à l'argent comme avantage en nature. À côté de cette personnalité péjorative, Jody est quelqu'un d'attentionné et de doux. Elle s'entiche facilement des autres, préfère écouter que parler et peut se montrer serviable. Son côté extravertie lui permet de se faire des amis aisément. Elle laisse déborder et paraître ses émotions peut-être trop facilement que ce soit joie comme colère. En effet, la demoiselle peut devenir violente et bestiale si les sentiments en sont, elle est très rancunnière et a ce côté sadique qui peut la pousser à faire des choses affreuses. Intelligente, tactitienne et manipulatrice, il ne vaut mieux pas avoir de problème avec elle. Pourtant, il lui arrive d'être irréfléchie et totalement bornée, elle déteste se laisser marcher dessus. Elle a une grande gueule et une répartie cinglante pouvant clouer n'importe qui quitte à être parfois vulguaire et peste.



Histoire :
Jody n'aime pas parler de son passé et pourtant, elle s'en souvient avec clarté : ses premières bêtises à l'école, son intégration au club de boxe thaïlandaise, sa première fois, ses bastons à la sortie des cours, ses premiers amours, le jour où elle a entendu parler de sa mère.

Elle a quatre ans. Premier souvenir. Un été ensoleillé rythme ses vacances et le géniteur de Jody en profite pour lui apprendre à jouer au football. L'herbe est fraîche et l'accueille à chaque fois qu'elle tribuche ou rate le ballon. Parfois, quelques passant les regarde se déchaîner sur le terrain à courir comme de vulguaires chiens. Le vent frais embrasse sa chevelure courte et soulève son t-shirt et son jean : elle est habillée comme un garçon, traité comme un garçon, éduqué comme un garçon. Pourquoi ? Parce qu'elle a une queue entre les jambes. Un grand sourire illumine son visage, elle est heureuse de passer cette après-midi au côté de son père, lui qui habituellement travail comme un acharné.

Elle a huit ans. Dehors, la nuit est tombée et le vent frais la fait frissonner. Une partie de football dans les rues de la ville après l'école et la voici en retard. Quand elle franchit le seuil de la maison, elle a l'air penaud du gamin en retard et fixe ses chaussures d'un regard vide. Pourtant, il n'a aucune pitié. Seul son père l'accueil, le poing serré. Premier crochet dans l'estomac qui lui arrache un gémissement étouffé alors que son souffle est coupé. Elle se plie en deux, à genoux, au sol, à la merci de l'homme qui la domine de toute sa hauteur. « Combien de fois je t'ai dis de rentrer tout de suite après l'école hurle t-il ». Elle est incapable de répondre, secouée par le premier coup. Une douleur embrase son ventre lui donnant l'impression que son estomac s'est retracté sous le coup. L'homme s'impatiente et saisit son visage entre deux doigts avant de lui tourner une claque magistrale qui l'envoie valser contre le mur. « Dans ta chambre Jody ! Tu es privé de repas ce soir ! ». Les larmes se pressent derrière ses paupières alors qu'elle obéit et traîne son corps las jusqu'à sa chambre dans laquelle elle s'enferme. La nuit est longue, allongée sur le matelas à pleurer en priant pour qu'un jour, elle puisse se venger.

Elle a douze ans. En face d'elle, un garçon de son âge mais, plus grand et mieux batti. Ils ont tout deux les poings serrés et ornés de protections multiples qui se diffusent jusqu'à leurs visages et leurs genoux. Enjouée, elle sautille sur le tatami alors que l'arbitre ordonne le début du combat. Le jeune homme donne le premier coup, l'obligeant à esquisser un mouvement sur la droite pour esquiver. À son tour, elle serre le poing et vise, enchaîne les coups : jambe, pied, poing, bras, elle s'étend et progresse sur leur ring de fortune à la façon d'une danseuse dans un ballet. Finalement, elle atteint à cible à plusieurs reprises et parvient à le mettre K.O. Son père se lève et l'applaudit alors qu'elle se retourne vers lui et lui adresse un sourire timide. Il est fier de sa fille ou plutôt de son petit garçon, pour lui, elle est et restera toujours un garçon. D'ailleurs, c'est pour cela qu'il l'a inscrite au club de boxe thaïlandaise car, les garçons doivent savoir se battre.

Elle a quinze ans. Elle est blottie dans les bras de son père alors que les larmes roulent le long de ses joues et que ses mèches de cheveux se collent à son front humide. « - Et elle m'a dis que je n'étais pas normal car j'avais un pénis entre les jambes. Papa, c'est vrai ? Je ne suis pas normale pour ça ... ?
- Tu es une anomalie, tu n'aurais jamais dû exister. Je ne sais même pas pourquoi ta mère m'a laissé t'avoir. Merde. Jody pourquoi tu n'es pas normale hurle t-il. » Il perd son sang froid et se perd dans ses paroles comme dans ses pensées qui le submergent. Il pousse violemment sa fille sur le lit et la gifle. Une gifle qui cuit sa joue et fait vaciller sa tête sous le choc. Les larmes redoublent d'intensité sur le visage de l'adolescente aux yeux gonflés par les pleurs. Soudainement, il baisse le pantalon de celle-ci, il la déshabille sans gêne malgré ses protestations. Elle se débat en vain malgré le fait qu'elle y mette toute sa force et tente même de lui décocher une droite. Seulement l'homme est habile et se dépêche de l'immobiliser contre le matelas. Il la retourne sans mal et observe ce corps parfait : fin, athlétique avec une poitrine naissante mais bien formée et un cul ferme. À son tour, il se déshabille maladroitement en tâchant de la tenir contre le lit. « Papa, qu'est-ce que tu fais demande t-elle entre deux sanglots, la voix secouée.
- Je vais te baiser alors tais-toi salope. » Jody pleure, il pose son sexe contre son anus et presse lentement jusqu'à sentir les chairs s'écarter sous le passage du membre imposant. Il la viole, la souille et se vide en elle. Cette scène se reproduira encore et encore.

Elle a dix-huit ans. Elle a grandi et c'est une vraie femme maintenant. Elle a fait ses premières expériences et a connu des hommes comme des femmes. Son père a rythmé son adolescence de viols et violences mais, maintenant tout ceci est fini. Jody est une championne de boxe thaïlandaise de renommée qui joue maintenant dans le milieu professionnel ainsi, les rôles se sont inversés et elle violente son géniteur quand celui-ci lui veut du mal. Elle le haït et lui en veut mais, elle en veut encore plus à sa mère : cette femme qui a osé la laisser partir avec un monstre pareil sans humanité. Pour la demoiselle, c'est sa faute si son enfance a été un véritable enfer. Elle rêve de retrouver cette femme et lui faire payer.

Elle a vingt ans. Une énième fois, elle franchit le seuil de la maison mais, ette fois, elle retrouve son père avachi sur le canapé avec une bouteille de whisky dans la main. Elle est fatiguée, sortant seulement d'un championnant important de boxe. D'un regard, elle juge son père avant de prendre place sur le fauteuil en lui adressant un mauvais regard. Il entame maladroitement la conversation, son haleine empeste l'alcool et fait grimacer la demoiselle. Manipulatrice, elle décide de profiter de son état second pour lui soutirer des informations dont il ne lui aurait jamais fait par dans un état normal : « - [...] Et dis-moi... j'aurais quand-même bien aimé en savoir plus sur maman... ce qu'elle faisait par exemple, comme travaille...
- Ta mère est une salope... et c'est une flic. Toutes des salopes ces flics... m'enfin, elle était agent, je crois que maintenant elle est commissaire. Hélena Skyangel. C'est son nom.... maintenant lâche-moi avec elle tu veux.
- Oh oui papa répond t-elle d'un ton joueur. » Le destin de Jody est scellé. Si auparavant elle affectionnait sa petite vie tranquille à profiter de l'instant présent, elle a d'autres plans pour le future : retrouver sa mère et lui faire payer pour l'enfer qu'elle a vécu. Ce n'est qu'une question de temps...[/i]


Autre :
- Jody est une sportive professionnelle en boxe thaïlandaise : elle gagne sa vie ainsi et il lui arrive même de faire des combats de rue.
- Elle a arrêté ses études à dix-huit ans après l'obtention d'un diplôme similaire au BAC.

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Mes RP'S :

- L'érotisme est au sexe ce que les confidences sont à l'amour [En cours]
- Apprendre à se connaître, c'est passer par une baston [En cours]
- Comment ? Tu es une fille ? [En cours]

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