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Messages - Rory

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Les contrées du Chaos / Tribut d'une grand valeur [PV : Astrid]

« le: dimanche 11 septembre 2016, 08:36:19 »

Cela faisait un moment que Rory n'avait pas été à Terra, surtout qu'elle n'avait pas rendu visites à ses adoratrices qui l'aimaient pour la mort et la violence qu'elle engrangeait partout où elle passait, ses adoratrices étaient des amazones, très braves et puissantes. Au nom de leur déesse, elles pouvaient tout faire, même se sacrifier, même si la gothique évitait ce genre de situation, ce serait du gâchis que de faire tuer des femmes qu'elle abuse sexuellement. Rory aimait bien ses demoiselles avec qui elle avait pactisé, bien sûr et elle leur rendait visite aujourd'hui, sous une de ses formes, celle d'une demoiselle blonde, avec tatouages rouges, habillée de peaux de bêtes et une hache à double face, le style des amazones. Les demoiselles l'accueillir très bien, avec une orgie où la déesse avait bien rempli certaines, c'était toujours la joie et la bonne humeur, mais là n'était pas le fait, les amazones avaient besoin des services de la gothique pour un coup. En effet, les guerrières avaient eu vent d'un convoi rempli de richesses, appartement à des nobles, il serait pas mal de mettre la main dessus, pour satisfaire les besoins de la troupe pendant plusieurs années. Rory adorait le plan et acceptait de faire partie de l'attaque, surtout qu'avec la déesse, elle n'avait aucune chance de subir une défaite, après tout, elle était un être surnaturel. Après avoir mis en place le plan, les jeunes femmes reprirent leurs ébats saphiques toute la nuit, buvant également du vin et faisant la fête jusqu'au lendemain.

Le lendemain, la troupe était prête pour l'assaut sur le convoi, les demoiselles se cachaient derrière de gros rochers, sur des petites collines d'où on pouvait voir la route que le convoi allait prendre, c'était juste à quelques dizaines de mètres en dessous. Le plan était simple, surprendre, d'abord avec des flèches tirées sur les ennemis, afin de les affaiblir, puis attaquer sur des chevaux, fonçant dans le tas pour tout dégommer, tout était simple. Après quelques minutes d'attente, le convoi arrivait, il était en vue, les guerrières attendirent qu'il soit bien proche avant de lancer l'attaque, d'abord la salve puis la charge. Rory était au front, décimant la troupe ennemie et semant le chaos et la violence à coups de hache, elle était sans pitié, ce ne fut que l'instant de quelques minutes avant que l'ennemi se rende, lâchant les armes, le cri des amazones retentissait pour signaler la victoire. Elles pouvaient, maintenant, revenir au camp, avec le butin et des tributs de guerre comme des esclaves ou des armes, la nuit tombait, lorsqu'elles rentrèrent à leur campement. Pour célébrer leur prise, les demoiselles festoyaient, de la musique, des chants, un grand feu de camp où se préparait de la bonne viande. Les guerrières discutaient pendant de longues heures, avant que Rory ne se lève et sourit : « Mesdemoiselles, voici la partie la plus intéressante de la soirée, je suis la déesse de la mort, la guerre, les ténèbres, la violence, la folie, mais aussi la luxure, nous n'avons pas réalisé encore le dernier point, je vais me rattraper. »

La gothique claqua des doigts, des prisonnières furent amenées au centre de la foule, des femmes, nues et les mains et les pieds enchaînés, on connaissait déjà leur destin, elles allaient goûter au plaisir d'un chibre dans leur entrailles : « Servez-vous donc, mais je me réserve la belle blonde aux jolies formes et à l'allure fière et hautain, elle va vite changer et devenir ma soumise. » Rory fit un petit rire et s'approcha de la blonde en question, qu'elle redressa tout droit, observant le corps nu d'Astrid, lui souriant, la trouvant magnifique, elle commença à lui caresser partout, les seins, les fesses : « Hm, tu es très belle, comment t'appelles-tu ? Ne t'en fais pas, si tu coopères, tu seras libre de partir, mais disons que certaines ont des besoins naturels à satisfaire, j'espère que tu es bien humide par là, ça fera moins mal. » A ces mots, Rory venait caresser l'intimité de la demoiselle, longeant la fente de bas en haut et inversement avec ses doigts, avant de taquiner le clitoris. Puis la déesse claqua les fesses de la blonde avant que les amazones n'amènent un pilori et y installer Astrid, la tête et les bras coincés dans les trous. C'était idéal pour la levrette, mais Rory voulait d'abord s'amuser.

Centre-ville de Seikusu / Pacte dangereux [PV : Marie_DLV]

« le: mercredi 07 septembre 2016, 01:51:31 »

Cette terre était vraiment magnifique, un endroit rêvé pour notre déesse du chaos et de la luxure, ce monde était tellement corrompu, les gens se faisaient la guerre pour un rien ou pour conquérir des territoires, posséder un objet précieux. Depuis qu'elle est arrivée sur cet univers, elle enchaînait assez bien les contrats avec différents clients, des riches hommes d'affaires comme des gens du peuple, les demandes étaient très différentes. Un coup, c'était une affaire de vengeance, un autre coup, c'était de récupérer un objet de précieux, soit pour tuer un adversaire, sinon, pour certaines femmes, c'était d'abuser sexuellement d'elles. Rory accordait tous ces souhaits aux personnes, bien sûr, ce n'était que des plaisirs de courte durée, les humains étaient assez bêtes de se préoccuper du court terme et être heureux dans l'instant présent. Pour notre déesse, elle pensait au long terme et les futures âmes des contractants qui allaient rejoindre son royaume et souffrir pour l'éternité, ou bien, il y avait certaines belles femmes qui pouvaient éviter cela, mais elles se feront souiller sexuellement par le chibre que la déesse pouvait faire apparaître. La gothique semait la violence, la mort et la luxure, elle ne pensait pas à l'avenir de cet univers, il pouvait même tomber dans les abysses, il y aura toujours des contrats pour notre héroïne, ou bien elle pouvait aller ailleurs. Rory était immortelle, elle devait se distraire d'une manière ou d'une autre pour faire passer le temps et c'était sa manière de s'amuser, après avoir testé différentes méthodes, ses domaines de prédilections restaient les meilleures.

La demoiselle voulait tranquillement dans les airs, chantonnant une chanson, invisible aux yeux des humains, ayant fini sa dernière mission et mis en place son dernier pacte, qui lui avait apporté beaucoup de plaisir, car elle avait tranché quelques têtes ici et là. Cela avait tâché sa précédente robe noire et rouge en dentelle, mais pas grave, elle avait pris un bain et utilisé son pouvoir pour porter une nouvelle, toujours dans le même style. La nuit tombait, mais déesse était à la recherche d'autres pactisants, peut-être qu'il y avait, parmi la foule, des pauvres qui voulaient être riches, ou quelque chose dans ce genre, mais on dirait que les gens n'avaient pas ces réelles envies, pour le moment. Ce n'était pas grave, la déesse se faufila dans les petites ruelles sombres et on dirait qu'il y avait déjà du grabuge dans l'air, Rory vit rapidement passer une demoiselle aux cheveux blonds, poursuivie par plusieurs hommes qui n'avaient pas l'air sympathique.

Notre héroïne gothique se mit à poursuivre les personnes en volant, étant purement spectatrice pour le moment, se demandant comment l'inconnue allait s'en sortir, surtout qu'elle se retrouvait coincée contre un mur, sans aucune sortie de secours. Les malfrats riaient, sortant diverses armes, prêts à saigner la blonde, mais cette dernière n'avait pas dit son dernier mot, sortant quelque chose pour se défendre. Le nombre faisait tout, elle n'avait aucune chance, Rory pouvait sentir la peur, mais, une chose plus intéressante pour la déesse de la mort, cette envie de tuer et de se venger, des sentiments que la gothique adorait chez les gens. L'inconnue était une très bonne candidate pour le pacte, c'est pour cela que notre héroïne en robe noire et rouge intervint dans l'action, alors que les hommes de main fonçaient vers leur victime, tels de charognards. C'était comme si le temps s'était arrêté autour des deux femmes, plus rien ne bougeait, juste les deux protagonistes, Rory s'approcha de la blonde qui la voyait, lui faisant un petit sourire : « Bonsoir, non, tu ne rêves pas, tout ce que tu vois est réel. Je me présente, Rory, déesse de la mort, la guerre, les ténèbres, la violence, la folie et la luxure. Tu m'as l'air en difficulté, mais tu sembles être une personne très intéressante de mon point de vue, veux-tu faire un pacte avec moi ? Je sens, en toi, cette envie de meurtre, de tuer, de faire souffrir les gens, c'est tellement délicieux que ça m'excite beaucoup, je peux à peine me retenir de me caresser. »

Les paroles de la déesse étaient accompagnées de ses gestes, ses mains qui caressaient sa poitrine, ses cuisses, puis se glissant entre les jambes pour se caresser l'intimité, avant de reprendre du sérieux : « Hm, voilà ce que je te propose, un lien avec moi, je te sauverai la vie et je t'aiderai pour tes plans, quitte à tuer les gens, ça ne me dérange pas, mais en échange, je te veux, corps et âme, pour moi, c'est simple, n'est-ce pas ? » La déesse sortit un long parchemin écrit dans une langue dont l'humaine ne saurait comprendre un seul mot, c'était fait exprès, bien sûr, qui a dit que le pacte était égal pour les deux partis : « Il faut juste signer ici, avec le sang, ou tout autre liquide corporel, comme la cyprine, fais toi plaisir. » Rory lui montra l'endroit en bas du parchemin, faisant un sourire, amusée par la situation : « Par contre, je n'ai pas tout mon temps, je compte jusqu'à dix. Un… Deux… Trois... » Rory est douée en affaires, n'est-ce pas ?

Centre-ville de Seikusu / Amnésie [PV : Sakura Okamura]

« le: samedi 02 juillet 2016, 20:59:23 »

La déesse se prélassait tranquillement dans un bain, elle en avait bien besoin, après sa mission d'aujourd'hui, pour nettoyer tout le sang qu'elle avait sur la peau, l'eau tournant très vite au rouge, une très belle couleur que Rory aimait bien, c'est pour cela qu'elle ne prit pas la peine de changer le liquide. La jeune femme adorait admirer cette couleur, dégustant, en même temps, son vin, pensive, se disant qu'elle avait passé une bonne journée à tuer des gens, c'était sa mission, elle avait dû éliminer tout un groupe de gens, des hommes, une bonne trentaine, bien armés. Mais, après tout, elle avait accepté le contrat d'une demoiselle qui avait besoin d'être sauvée et protégée de ces mauvais gars. Comme c'était des humains, il n y avait pas de difficulté de les tuer, la déesse de la mort était largement plus forte, elle était immortelle, il lui a suffi d'apparaître en plein milieu du groupe et faire tourner sa faux. Ainsi, la demoiselle a pu découper tous les corps en plusieurs morceaux, les tranchant en manipulant facilement son arme, créant une véritable boucherie que la déesse adorait regarder. Du sang éclaboussait les murs blancs de la ruelle, des morceaux d'organes se retrouvaient un peu partout, ainsi que les membres, comme les bras, les jambes ou les têtes, un spectacle macabre, celui qui tombera sur la scène n'en serait que dégoûté. Mais, pour Rory, c'était l'extase, surtout que les âmes rejoignaient son royaume de la mort, ce qui l'excita et lui donna un orgasme, jouissant à cause sous l'effet aphrodisiaque.

Rory avait accompli sa part du contrat, ce qui faisait, de la contractante, son esclave, surtout sexuelle, mais seulement quand la mortelle mourra, ce sera pour un peu plus tard, mais la déesse pouvait maintenant se détendre chez l'inconnue. Elle profita de la demeure de sa future esclave pour utiliser le bain et se faire servir de l'alcool, pleinement satisfaite de son travail, voulant être sure que la contractante soit vraiment et se sente en sécurité. La déesse se nettoyait donc du sang et des morceaux d'organes qui ont atterri sur sa robe et qui avait rejoint les égouts par les canalisations, même si cela avait boucher ces dernières. Rory prit la peine de tout nettoyer, par respect, pour que tout soit clean, avant de faire disparaître sa robe ensanglantée et en mettre une nouvelle, du style gothique, grâce à ses pouvoirs, oui, elle avait un sort qui lui permettait de changer ses habits. La déesse se rassura que son esclave soit satisfaite, la quittant, la divinité cherchant à faire d'autres contrats en se baladant dans la rue, des personnes dans le besoin. La demoiselle, aux cheveux noirs, voudrait bien encore tuer des gens dont les âmes rejoindraient son royaume de la mort, trouvant une jeune fille, mais ce fut un piège.

En effet, la petite fille demanda à Rory de se débarrasser d'un monsieur méchant dans le coin de la rue, la déesse rentra dans la rue, mais c'était un portail vers un monde parallèle, où se trouvait les pires créatures, dont une appelée « Tueuse de dieux ». Ce n'était pas pour rien qu'on l'appelait ainsi, c'était un Némésis aux dieux comme Rory, mais il était possible de tuer ce monstre, c'est pour cela que la gothique accepta le défi. Un combat acharné débuta entre les deux protagonistes, c'était rude, la force brute du monstre contre l'agilité et la rapidité de la déesse de la mort, c'était une chose intéressante à regarder. Malgré tout, Rory gagna l'affrontement, en y laisser certains membres et ses organes, heureusement, elle était immortelle, mais cela prendrait du temps à guérir, la déesse utilisa ces dernières ressources pour les premiers soins et sortir du monde, se retrouvant sur Terre. La demoiselle était à moitié agonisante, longeant les ruelles sombres, laissant des flaques de sang derrière elle, son corps n'avait pas encore cicatrisé, elle cherchait un endroit calme, où elle pourrait récupérer. La gothique rentra dans un appartement, au hasard, un grand appartement, d'ailleurs, très beau, elle trouva la chambre pour s'allonger sur le lit, elle voyait qu'elle ne saignait plus, mais tomba dans les pommes. Pendant qu'elle était inconsciente, son corps changea, prenant celui d'un ange à la peau noire, nue, les tétons percés par des anneaux, une belle chevelure blonde, une frange cachant les yeux, des longs gants aux mains, une auréole au-dessus de la tête, des ailes dans le dos et au niveau des oreilles. C'était le changement physique, mais ce n'était pas tout, la demoiselle avait aussi oublié qui elle était, à cause des dommages du monstre qu'elle avait affronté, elle le saura plus tard. Pour le moment, Rory dormait sur le lit, ayant parfaitement récupéré de son combat, avec des séquelles qui guériront plus tard.

One Shot / Re : Correspondance [PV]

« le: mardi 10 mai 2016, 04:40:53 »

Rui Ninomiya est un jeune homme de dix-huit ans, on pourrait le qualifier de génie, car, très jeune, c'était un surdoué en informatique et en robotique, au point d'avoir créé deux choses, la première étant GALAX, un réseau social populaire parmi les habitants, on peut s'y connecter sur le site ou grâce à une application. Une personne utilise un avatar et peut envoyer des statuts, partager divers documents, créer des rooms, il y a le chat vocal, la discussion instantanée, le streaming vidéo, la possibilité de faire des recherches sur internet ou dans la base de données et, également, un concept de jeu. Les joueurs gagnent des points en accomplissant des objectifs, par exemple, si une vieille dame a besoin d'aide, elle peut le faire savoir, les gens seront au courant et peuvent l'aider, ils gagneront alors des points qui signifieront qu'ils ont rendu le monde meilleur. La deuxième chose est X, l'intelligence artificielle créée par Rui, qui gère GALAX, gérant l'application et faisant des mis-à-jour régulièrement, s'occupant de tout. Rui étudiait au complexe d'études de Seikusu, même s'il n'en avait pas trop besoin, il y venait souvent pour passer les examens, sans trop venir en cours, il était toujours dans le top 5 des meilleurs étudiants. Depuis quelques mois, il a fait connaissance avec une des stars des réseaux sociaux de son lycée, se faisant passer pour une fille et devenant un peu plus proche d'elle, afin de l'inviter chez lui dans un but, être l'une des figures de GALAX. Après tout, Rui aimait se déguiser en fille, il était plus à l'aise ainsi pour discuter, il avait aussi une attitude féminine comme celui de rougir, éprouver de la gêne, il n'avait pas trop d'assurance comme un vrai mec.

Aujourd'hui était le jour fatidique, celui de la rencontre entre Rui et Anael, il fallait que notre étudiant se prépare à accueillir la starlette des réseaux sociaux, après quelques temps à discuter avec elle, ou plutôt lui, il savait qu'Anael était un homme au féminin, un peu comme notre génie. Un peu différent de notre héros, pour se faire passer pour une fille, il devait se déguiser, mettant un haut noir sans bretelles, une robe avec des rayures noires et rouges. Il mettait des bottes aux pieds, une ceinture au niveau de la taille, ainsi que d'autres accessoires, n'oubliant pas sa perruque blonde et ses lunettes. Tout était près, le jeune homme arrangeait les derniers détails puis consultait sa tablette pour voir ce qui se passait dans GALAX, en attendant son invité, mettant des chips et une bouteille de Coca sur la table, s'ils auraient faim ou soif. Le génie ne savait pas s'il devait mettre de la musique ou non, il pensait qu'il n'avait pas trop besoin, après, il avait le goût pour le classique, il ne connaissait pas celui d'Anael. Le travesti finissait quelques réglages sur sa tablette, avant d'entendre sonner à la porte de son appartement, c'était sûrement son invité qui arrivait pile à l'heure du rendez-vous, notre étudiant se leva pour aller lui ouvrir. Il fut surpris par le contact de la demoiselle, un câlin, suivi d'une bise, ce qui fit rougir notre jeune homme qui était du genre plutôt timide lorsqu'il rencontrait quelqu'un en face-à-face, pour la première fois. Mais il se reprit très vite, toujours le rouge aux joues, laissant son invité rentrer, lui faisant un sourire mi-amusé, mi-gêné.

Rui vint s'asseoir sur un des canapés en cuir du grand salon, croisant les jambes, ne sachant pas trop quoi dire, mais prenant la parole : « Merci du compliment, toi aussi, tu es mieux en vrai que sur les photos… Hm, si tu veux boire quelque chose ou manger quelque chose, il y a des trucs sur la table… Sers-toi... » Il laissa le temps à Anael de réfléchir et faire ce qu'il voulait, avant de reprendre la parole, toussotant un peu : « Venons en au fait… Je m'excuse d'avance, mais tu as dû te douter que j'étais un homme… C'est le cas, je m'appelle Rui Ninomiya, peut être que ce nom t'évoque quelque chose… Je suis le créateur de GALAX, réseau social que tu utilises souvent… Je me fais passer pour une fille pour cacher mon identité… Rui est mixte et je me sens mieux dans la peau d'une demoiselle... » Le jeune homme pianota sur sa tablette, ce qui montra plein d'images sur l'ensemble des écrans accrochés au mur, cela montrait des différents rooms ou tout ce qui se passait sur le réseau et une voix retentit : « Bonjour Anael, je m'appelle X, je suis une intelligence artificielle programmé par maître Rui, je gère GALAX. » Notre travesti fit un sourire, laissant Anael le temps de digérer tout cela : « J'espère que tu ne m'en veux pas… Mais tu es une personne active sur le réseau social, je veux que tu sois un des emblèmes de GALAX, enfin, je veux que cela s'étende encore plus… Pour cela, j'ai besoin de personnes pour un peu tout… Notamment me faire des retours sur les améliorations possibles… Peut-être que c'est trop pour toi… A toi de me le dire... »

Le jeune homme attendait la réponse de son invité, même s'il savait qu'il fallait qu'il réfléchisse encore un peu, cela n'allait pas arriver tout de suite, l'intelligence artificielle fit sortir quelques données à propos d'Anael, rajoutant : « Vous êtes une des parfaites personnes à travers qui GALAX pourrait rebondir et grandir, vous êtes très présent sur le site et on vous en remercie d'ailleurs. Maître Rui m'a dit, en plus, que vous étiez une bonne personne, je lui fais confiance. » Rui avait oublié le présent, rougissant en ayant entendu la phrase de son IA, il alla et revint avec une boite de chocolats de haute qualité, bien évidemment, un cadeau mérité pour Anael. Notre jeune homme regardait la blondinette en restant légèrement rouge, tapant quelque chose sur sa tablette en même temps, en attendant la réponse, espérant qu'Anael accepte la proposition.

One Shot / Re : Entre une mafieuse et une journaliste [PV]

« le: samedi 16 avril 2016, 00:04:42 »

Clara rencontrait, enfin, la fameuse journaliste dont elle en avait entendu parler et qui voulait une interview auprès de la mafieuse, concernant toute cette affaire du vol d'un artefact très précieux, la demoiselle, aux cheveux noirs, souriait à la brune pour paraître sympathique. La sicilienne avait entendu beaucoup parler de cette Isabelle, enfin, elle s'était aussi renseignée sur la française, arrivée au Japon et prise au journal local de Seikusu. La mafieuse savait que mademoiselle Flaveau était quelqu'un de compétent, beaucoup plus qu'elle ne le fait croire, plus talentueuse que d'autres journalistes que l'on peut berner avec des mensonges. Et Clara savait qu'Isabelle s'intéressait beaucoup à elle, à chaque affaire où notre « méchante » était présente, la reporter y était aussi, comme si la signorina Franzone l'intéressait pour une raison. Notre demoiselle l'avait remarqué et c'était la bonne occasion de demander, lors de cette interview, il fallait que la sicilienne en sache plus, elle était du genre curieuse. Il fallait aussi dire que notre héroïne n'était pas aussi de marbre en observant le physique de la journaliste, même si elle aurait voulu voir un corps sans habit, c'était bien plus intéressant à regarder. Les choses allaient sûrement être mises au clair aujourd'hui, dans une atmosphère détendue, assez érotique, ce que Clara aimait bien, c'était une tactique, bien sûr, pour charmer la journaliste, voir comment elle allait réagir, mais, en même temps, la mafieuse était une exhibitionniste, elle était toujours avec très peu d'habits chez elle.

Isabelle se présenta donc devant Clara, cette dernière l'observait tranquillement, c'est vrai qu'elle était meilleure en vrai que sur une page de journal ou à la télévision, la mafieuse aimant les femmes, elle n'était pas déçue de la visite, surtout dans l'atmosphère qu'elle créait. La sicilienne fumait tranquillement son cigare, inspirant dans le bâton empoisonné puis soufflant la fumée qui s'envolait vers le ciel. Dommage que la journaliste ne voulait pas quelque chose pour se détendre, mais après tout, elle travaillait, pas le droit de boire pendant le boulot, la mafieuse, elle, commanda un verre de whisky, avec des glaçons dedans, toujours excellent, surtout que c'était une bonne marque. La journaliste prit place sur un transat, juste à côté de la mafieuse qui tourna sa tête vers la brune, elle avait toute son attention, écoutant attentivement ce qu'on lui disait. Un petit sourire s'affichait sur les lèvres de la sicilienne quand elle remarqua qu'Isabelle avait l'air déconcentrée, distraite, son regard s'était posée sur le corps de notre héroïne. Cela amusait Clara qui faisait exprès de se cambrer légèrement, fumant toujours et buvant du whisky, le verre qu'on lui avait ramené, avant de faire un petit rire en entendant la dernière question. La demoiselle se redressa doucement, toujours de bonne humeur, se mettant face à la journaliste, assise perpendiculairement au transat, déposant son verre à côté, avant de se pencher en arrière, restant détendue, profitant de son cigare de sa main valide, la main avec le crochet posé sur la chaise longue pour la soutenir : « A votre avis, qu'est-ce que j'en pense lorsque vous me voyez comme ça ? Je sais que vous êtes très intelligente et que vous me connaissez un peu à travers vos recherches, je vais le dire quand même, je me fiche totalement de ce que l'on dit. Vous savez, ça fait une quinzaine d'années que je porte la casquette de la méchante, étant mafieuse, tout le monde m'accuse sans preuves, ni évidences, du coup, personne ne peut m'arrêter ou faire quelque chose. »

Clara gardait son sourire, cigarette en bouche, elle se leva devant Isabelle, lui montrant, au passage, un joli spectacle de son corps couvert que par ce peignoir ouvert en son centre, n'étant pas attaché par un bandeau de soie, comme on le faisait. La mafieuse n'avait pas honte de montrer son sexe, ou son pubis glabre, ou encore son ventre, ou le galbe de ses seins, surtout à une jeune femme qui semblait être intéressée de voir tout cela. La sicilienne vient s'asseoir sur le même transat que la française, juste à côté de la demoiselle, inspirant son cigare puis en soufflant la fumée sur le visage de la brune : « Et vous, qu'en pensez-vous du fait que tout le monde m'accuse, signorina Isabelle ? Permettez-moi de vous appeler par votre prénom, vous pouvez m'appeler Clara. Alors, quel est votre avis par rapport à ce qui m'arrive ? » En même temps la mafieuse jouait avec son crochet au niveau du buste de la journaliste, passant l'objet, accroché à la main, au niveau de la poitrine de la brune, la caressant. Le crochet passait d'abord sur chaque sein, puis autour, puis entre les deux monts, allant de haut en bas, puis inversement, la sicilienne descendant, ensuite, son jouet plus bas, accrochant le haut de la jeune femme à lunettes et s'amusant à soulever pour dévoiler le ventre d'Isabelle. Clara plongeait son regard dans le sien, toujours souriante, mais c'était assez pervers à cet instant, elle voulait juste tester la journaliste, essayer de la déstabiliser pour voir sa réaction aux gestes plutôt coquins de la part de la sicilienne. Pour pousser le vice un peu plus loin, notre héroïne se pencha vers la brune, son visage tout près du sien, elle pouvait sentir le souffle de sa partenaire et si la demoiselle descendait ses yeux, elle aurait une belle vue sur le décolleté et entre les seins de Clara. La mafieuse attendait ainsi sa réponse, le cigare encore en bouche, bien consommé déjà.

Les alentours de la ville / Re : Divine Intrution (pv)

« le: mardi 05 avril 2016, 20:25:29 »

La demoiselle semblait être perturbée par ta présence, après tout, elle avait tous les droits du monde d'être dans cet état-là, une demoiselle toute nue qui se trouve dans son appartement, comme par magie, ce n'était pas tous les jours qu'on voyait cela. Les habits tâchés de sang n'aidaient pas non plus à la situation, il fallait dire que tu étais dans une sorte de mésaventure, mais ce n'était pas grave, tu pouvais toujours t'en sortir, tu étais une déesse qui pouvait faire ce qu'elle voulait. Il fallait éviter de tuer, également la demoiselle, même si elle t'avait vu, elle n'avait rien fait de mal, bien au contraire, elle ne t'avait rien fait, tu ne tuais que les méchants. Tu remarquais qu'elle voulait prendre quelque chose, ton instinct, qui ne te trompait jamais, te disait que c'était quelque chose de dangereux, une arme, tu étais prête à te défendre, faisant apparaître un bout de ta faux dans ta propre main. Tout était sujet à ce que tu utilises ta faux et que tu tranches en deux la demoiselle, tu pouvais faire, de cet appartement, une véritable œuvre d'art teintée de rouge qui allait gicler sur les murs et le sol.

Alors qu'il y avait une certaine tension, la demoiselle te demanda comment tu faisais tout cela, l'histoire de la serviette, comment étais-tu arrivée ici, pourquoi l'appartement, tant de questions auxquelles tu pouvais répondre sans souci. Tu allais faire, au passage, une démonstration de ton talent, t'avançant vers la demoiselle, pour toi, c'était juste aller dans le monde immatériel puis revenir dans le monde matériel. Pour la demoiselle, tu t'étais téléportée derrière elle, collant ta poitrine à son dos, lui attrapant l'arme qu'elle avait, retirant, d'une main, rapidement, le chargeur et les balles, déposant tout sur une table à côté. Tu souris : « Voilà comment j'ai fait, il me suffit de passer un endroit à un autre sans que l'œil humain me voie, je suis une déesse comme je te l'ai dit, j'ai juste traversé les murs. Pourquoi ton appartement ? C'est le premier que j'ai vu vide, alors j'allais en profiter, mais tu es venue, je me permets de te tutoyer également, j'allais te laisser des collations pour te remercier du fait que j'ai utilisé ta salle de bain, mais tu es venue. Ne t'en fais pas, je n'ai rien touché, je n'ai besoin de rien, je peux avoir ce que je veux. »

Tes yeux contemplèrent la demoiselle que tu venais de rencontrer, tu te mordillais les lèvres, te retrouvant, encore une fois, derrière elle, tu commenças à la caresser doucement, un peu partout, au niveau des hanches d'abord. Puis tes mains vinrent au niveau de la poitrine de la demoiselle, lui attrapant les seins pour la malaxer d'une manière très perverse, tu savais être efficace dans la luxure, c'était sûr. Tu continuais tes gestes, frottant ta propre poitrine contre son dos, la serviette risquant de tomber à tout instant si la demoiselle s'éloignait de toi, tu allais lui donner des baisers sur le cou, souriant : « Mais tu m'as l'air pas mal, je peux te laver aussi, si tu veux, ça peut compenser mon intrusion, en plus des chips et des boissons, non ? Il ne faut pas avoir peur, je ne fais de mal à personne, tu verras que je suis de bonne compagnie, on va bien s'amuser. »

One Shot / Entre une mafieuse et une journaliste [PV]

« le: samedi 06 février 2016, 05:51:09 »

Clara Franzone est une Sicilienne dans la trentaine d'années, chef d'une mafia sicilienne venue au Japon pour étendre son influence, cette organisation criminelle avait réussi son coup, prenant des grosses parts de marché noir, devenant un gros fournisseur d'armes, de drogues et tout ce qui est illicite. Tout cela grâce à Clara, cette demoiselle aux courts cheveux noirs, une cicatrice au visage, un crochet à la place de la main gauche, car elle avait perdu cette dernière, elle fumait toujours le cigare. Cette femme déjà mûre avait tout expérimenté dans la mafia et elle était très intelligente et très maligne, elle avait toujours un tour d'avance sur les ennemis, ce qui lui permettait d'anticiper certaines choses et avoir l'avantage. C'était une demoiselle sans pitié envers les gens qu'elle a dans sa liste noire, après tout, il fallait qu'elle se fasse respecter, étant le chef de cette mafia sicilienne installée au Japon et quoi de mieux que la force pour se faire entendre. Dernièrement, des rumeurs disaient qu'elle avait réussi le plus gros coup de l'année, celui de subtiliser un artefact puissant, mais ce n'était que des rumeurs. La particularité du groupe de Clara était le fait qu'il n'y avait que des femmes, aucun homme.

La mafieuse résidait dans une de ses nombreuses villas dans les alentours de Seikusu, près de la zone marine, c'était une villa typique de Sicile, le même style, avec une piscine extérieure et une belle vue sur la mer. La demoiselle se levait, il devait être midi, quelque chose du genre, la chef avait passé une soirée arrosée et cela avait amené au sexe, évidemment, d'où la présence de deux femmes dans son lit, une blonde et une rousse qui dormaient côte à côte, elle les observait avec un sourire. Elle se mit debout, marchant jusqu'à la douche, faisant couler l'eau à la bonne température et nettoyer son corps avec du gel, le rinçant ensuite, mettant un peignoir, ne prenant pas le temps de l'attacher, allant tout de suite prendre un bon déjeuner tout en lisant l'actualité. Comme Clara se doutait, le vol faisait toujours les premières pages, plusieurs théories ressortaient par ici et par là, notre héroïne n'était pas épargnée. Étant catégorisée comme méchante, il fallait bien semer le doute, même s'il n'y avait pas de preuves, Clara avait un alibi la nuit du vol, son avocat l'avait fourni à la police. Mais apparemment, la police voulait parler directement à la mafieuse, c'est pour cela que la police allait venir dans quelques minutes, la demoiselle finissait son repas, buvant les dernières gorgées de café. Les servantes débarrassèrent la table, ton avocat, une demoiselle aussi, était venu en avance pour discuter avec la mafieuse qui restait dans sa tenue provocante, son peignoir non attaché au niveau de la ceinture, ce qui dévoilait ses courbes. Elle faisait exprès, bien sûr, pour déstabiliser les inspecteurs.

D'ailleurs, les deux inspecteurs débarquèrent quelques minutes plus tard, après que Clara ait mis son crochet en or, il n'était pas très lourd et ça faisait moins peur que de montrer qu'elle avait une main en moins, elle aimait bien ce crochet. Comme la mafieuse prévoyait, sa tenue déstabilisait les enquêteurs qui étaient gênés et bégayaient comme des petits garçons, la demoiselle répondait simplement aux questions, avec les conseils de son avocate. La séance a été interrompue par les deux jeunes femmes qui avaient passé la nuit avec Clara et qui partaient, venant embrasser la propriétaire de la villa, par provocation et par jeu. La séance dura une bonne heure et notre héroïne pouvait souffler, tes servantes raccompagnèrent les hommes, la jeune femme retira son peignoir, elle commençait à avoir chaud. Elle avait aussi le temps avec son deuxième rendez-vous avec une journaliste qu'elle trouvait sympathique, la demoiselle allait donc nager dans la piscine, nue, retirant son crochet, avant de plonger dans l'eau et faire quelques longueurs. C'était très rafraîchissant de nager dans la piscine et d'avoir cette belle vue sur la mer, très relaxante, la Sicilienne soupirait d'aise, buvant un petit verre de whisky. Une des servantes annonça la journaliste, Clara lui dit de l'amener près de la piscine, attendant que la demoiselle arrive pour sortir de l'eau, toujours toute nue, le liquide ruisselant sur la belle peau lisse. La mafieuse mit un peignoir, ne l'attachant toujours pas au niveau de la ceinture, on pouvait bien distinguer ses formes, et même son intimité, mais elle s’en fichait, surtout qu'elle remarquait que la journaliste avait des vues sur sa propre personne. Notre héroïne mit son crochet sur la main, on lui apporta son cigare qu'elle alluma et commença à le fumer, s'allongeant sur un transat. La Sicilienne regarda la journaliste avec un sourire, à pleine dent, soufflant la fumée qui s'envolait vers le ciel :

« Que me vaut ce plaisir de la part de la signorina fouineuse ? Je pensais avoir tout dit aux journalistes, vous voulez un scoop ? Je ne pense pas que vous le trouverez ici, à moins que votre flair ne dise le contraire, mais venez donc, installez-vous, faites comme chez vous, un cigare ? Un verre d'alcool ? J'ai un très bon whisky si vous voulez. »

Les alentours de la ville / [ABANDONNE] Re : Divine Intrution (pv)

« le: vendredi 05 février 2016, 22:12:20 »

Tu te baladais tranquillement sur Terre, voletant dans les airs, invisible, regardant un peu partout en observant les gens qui allaient et venaient le long de la rue, c'était des êtres intéressants à regarder et il y avait, des fois, des contrats à passer. D'ailleurs, tu étais à la recherche de ces derniers ou des gens à tuer pour ton royaume de souffrance, peut-être des voleurs ou des brigands qui voulaient agresser une petite vieille pour lui prendre son sac. Tu essayas d'aller dans une rue plus isolée et pas dans les grandes allées peuplés et tu vis ce que tu voulais, des hommes agressaient une femme et tentait de la violer. Tu n'hésitas pas à intervenir, te matérialisant dans le monde sous ta forme par défaut, avec ton style gothique et un aspect adolescent, souriant de manière sadique et approchant des agresseurs :

- Messieurs, merci de bien vouloir laisser cette gentille dame tranquille, sous peine de mort.

Les deux mecs se tournèrent vers toi et rigolèrent, avançant vers toi, le regard malin, l'un deux avait un couteau et te menaçait avec cette arme ridicule, sans savoir qui tu étais vraiment, il fallait que tu éduques ces méchants garçons :

- Alors fillette, on s'est perdue ? Tu sais qu'il ne faut pas traîner dans les ruelles sombres, on y fait des mauvaises rencontres.

- Oui, je sais, c'est pour cela qu'il faut que vous fuyiez rapidement, avant de mourir, répondis-tu

- Haha, rit l'autre homme, c'est toi qui vas mourir plutôt.

Tu gardais ton sourire, ce ne fut qu'une fraction de seconde pour sortir ton arme et la manier pour trancher la tête, les bras et les jambes, le sang giclant un peu partout, souillant le sol, la demoiselle poussa un cri et l'autre mec était effrayé. L'esprit de l'homme mort avait rejoint ton royaume de souffrance, te donnant cet instant intense, comme un orgasme bref, te faisant gémir, puis tu regardas l'autre homme, le regard malin, te léchant la lèvre, car il y avait du sang. L'homme encore vivant paniqua et essaya de fuir, mais il eut le même sort que son pote, les membres coupés, la tête qui saute, du sang qui gicle, la femme hurla. Encore un pour rejoindre ton royaume, t'excitant, tu te mordillas les lèvres, collant tes cuisses ensemble, tu aimais cette sensation de plaisir qui te faisait presque mouiller. Tu jetas un regard sur la demoiselle qui criait et qui était terrifiée par le spectacle, lui faisant une révérence :

« De rien... »

Tu disparus, te dématérialisant, étant maintenant invisible, tu étais pleine de sang, il fallait te nettoyer, pourquoi pas un bain carrément, ça serait bien, tu te dirigeas donc vers des logements, trouvant d'abord un distributeur pour acheter des boissons et des chips. C'était quelque chose pour remercier l'hôte de l'appartement dans lequel tu allais t'introduire, en échange de l'utilisation de la baignoire. Tu déposas les snacks achetés sur une table, te dénudant, faisant tomber ta robe par terre, avec le reste des tissus, allant dans la salle de bain, faisant couler l'eau, tandis que tu te regardais dans un miroir. Tu t’entraînais à changer de forme, prenant pour une forme mature, avec des cheveux verts et violets que tu avais vus une fois dans un magasine, tu décidas de garder cette apparence pour le moment. Le bain était prêt, tu t'y immergeas, soupirant d'aise, c'était agréable, tu nettoyas bien tout le sang qui se dilua dans l'eau, frottant ta main sur tout ton corps et cela te faisait du bien d'être un peu plus propre. Tu osas utiliser du gel douche que possédait la personne pour te nettoyer un peu mieux, puis tu te rinças, finissant ton bain, vidant la baignoire et la nettoyant de possibles traces de sang qui ont rejoint les égouts. Tu sortis de la salle de bain, toute nue, marchant jusqu'à ta robe, la regardant, avant d'entendre quelqu'un, te tournant à moitié vers elle, la regardant, c'était une demoiselle jeune, le regard doré, les cheveux ébènes.

Tu fis un sourire, étant légèrement surprise, tu ne pensais pas que le propriétaire de l'appartement allait débarquer, tu te mis donc face à elle, lui faisant une révérence, avant de la regarder encore une fois avec un sourire :

« Bonsoir, je m'appelle Rory, je suis une déesse, désolé, j'ai squatté votre salle de bains pour me rincer, j'avais du sang sur moi, même si l'odeur et la vue de celui-ci est excitant, ce n'est pas très beau de se balader ainsi, surtout dans ce monde, il me semble. Je vous ai acheté des boissons et des chips pour ce service, mais pouvez-vous m'héberger cette nuit également ? J'ai envie d'un peu de compagnie, vous me semblez fort sympathique. Ne vous en faites pas, je ne vous ferai pas de mal, ne faites pas attention à la robe. »

Tu pris le sac plastique des courses, retirant les objets, les posant sur la table, avant d'y mettre ta robe et les autres tissus, tu allais t'en occuper plus tard, te tournant vers l'inconnue, tu fis apparaître une serviette pour entourer ton corps et le cacher à peine, il t'arrivait à peine sur le haut des seins et cachant à peine ton intimité. Tu te séchais aussi ainsi, faisant face à la demoiselle :

« Et vous, quel est votre prénom ? »

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Le Grand Jeu