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Prélude / Re : La vie est courte, autant la protéger.
« le: mardi 26 juillet 2016, 21:02:21 »
Voilà de quoi perturber la vie solitaire du mercenaire. Au plaisir de te trouvailles fracassante et amuse toi bien par ici 
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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mercredi 29 juin 2016, 05:55:35 »
Mais tous, mise à pars le faite que je me fais un peu schleu par chez moi. 
Je compatis Saki ^^
0556
Des gens attend le nouveau MHG ?
Je compatis Saki ^^
0556
Des gens attend le nouveau MHG ?
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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: lundi 27 juin 2016, 18:46:50 »
Magnifique
Bon c'est aujourd'hui que l'on saura si Michael Jackson est mort pour de bon
1847
Bon c'est aujourd'hui que l'on saura si Michael Jackson est mort pour de bon
1847
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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: lundi 27 juin 2016, 15:44:04 »
On va quand même tenter se ce sociabiliser un peu
1544
Comment vont les gens par ici?
1544
Comment vont les gens par ici?
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Vous nous quittez déjà ? / Re : Les absences de la Princesse et de sa petite cour
« le: lundi 27 juin 2016, 15:35:35 »
Profite bien de tes vacances
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Les terres sauvages / Re : La tête d'une renarde pour contrat (PV)
« le: samedi 25 juin 2016, 21:35:08 »
La jeune renarde était très minutieuse dans l'application de ses soins et cette dernière reconnue que Arthur avait un bon fond au final. Si elle ne lui en voulait plus, elle devait sans doute pas encore avoir confiance en lui, vu la situation c'était plutôt normal. Le jeune mercenaire découvrit par la suite que la jeune Terranide était habitué à être poursuivit et traqué par des individus peu agréable. La petite note que Arthur releva ce fut le petit sourire que la jeune femme eut. C'était la première fois depuis leur rencontre qu'il l'à voyait sourire. Ce fut pourtant un petit rictus mais il avait quelque chose d'agréable à regarder. Le mercenaire était persuadé que si toute ses mésaventures ne lui pourrissait son existence, la jeune Louane devait être ce genre de personne à profiter pleinement de la vie.
Forte heureusement, la jeune femme accepta de lui laisser la tâche de veiller au campement et d'en profiter pour ce reposer un peu. Elle lui fit une petite blague sur le faite que ça ne la rassurait pas trop qu'un handicapé monte la garde. Elle le ponctua d'un clin d’œil accompagnait de son petit sourire charmant. Un sourire que le mercenaire lui rendit tout en marmonnant sur un petit aire amusé.
-moi, éclopé !? Pas du to... haaaa !!!
il fit un léger mouvement de bras mais la douleur le ramena rapidement à la réalité. Il observa la jeune renarde s'en aller un peu plus loin. La nuit était légèrement fraîche et la chemise déchiré était pas trop super. Forte heureusement, Arthur put embarquer sa cape dans lequel il si blotti. Il songea même à faire un petit feu histoire de le tenir réveillé.
Peu de temps après avoir été laissé seul, Arthur ce dit qu'il était temps de reconnaître un peu les lieux. Savoir d'où les éventuelles ennemis pouvait surgir et surtout savoir où Louane dormait afin de perdre le moins de temps en cas de coup dure. Il s'engouffra dans les bois et suivit le bruit découlement indiquant qu'une rivière coulait non loin. Une information très intéressant, il pourrait bouillir de l'eau et peut-être cuisiner un petit quelque chose. Il est vrai que Arthur avait pas eut le temps de manger et son estomac ne cessait de le lui rappeler.
Dans sa balade, un détail attira l'attention du mercenaire. En y regardant avec attention et avec l'aide de la lune dans un ciel dégagé. Il découvrit alors une scène dans auquel il ne s'y attendait pas du tout. La jeune renarde en avait profiter pour piquer une tête dans le point profitant de sa solitude pour ce mettre entièrement nue.
Dans un premier temps, Arthur ce cacha et ce boucha les yeux. Mais la curiosité et un petit quelque chose qu'il n'arrivait pas à expliquer l'obligea à y jeter un rapide coup d’œil. Pourtant le charmeur invétéré n'était pas un voyeur et bien qu'il portait une attention particulière à la gente féminine, il ne s'adonnait jamais à ce genre d'activité. Il avait un certain sens du devoir. Mais ce cadre là était bien différent. Il ne savait le dire pourquoi, mais il arrivait pas à détacher son regard de la scène qui ce jouait devant lui. Il trouvait déjà la Kitsune mignonne voir attirante mais là c'était un autre niveau. Une certaine beauté dut à une pureté innocente fasciné le jeune mercenaire. Il avait presque honte de ce caché comme un horrible pervers et il savait qu'il aurait beaucoup de mal à ce justifiait si il ce faisait attraper.
Finalement, il ce força à détournait le regard et à repartir dans même direction avant qu'il ne soit trop tard et revint vers son arbre qui ce tenait proche du cheval. Il ce fit un petit feu et ce posa contre son arbre massant son épaule. Il n'arrivait pas à ôter cette image de la tête. C'était comme une obsession. Après un court instant, il ce releva et ce redirigea à nouveau mais le petit point d'eau. Qu'espérait-il y trouver ? Il n’arrêtait pas de ce poser cette question. Finalement, il trouva la renarde endormie dans un coin plutôt douillet. Elle avait l'aire d'avoir froid, du moins c'est ce que pensait Arthur. Il ce résigna alors, en bon gentleman, à décrocher sa cape et il recouvrit la jeune femme avec. « repose toi bien » chuchotât-il à l'attention de Louane puis il retourna à sa place.
La nuit était frisquait, mais le petit feu aida le mercenaire à le supportait. Il confectionna un petit piège pour lapin dans l'espoir d'en attraper un. Ça serai idéal pour le petit dej. Une heure passa, puis deux et enfin trois. Arthur enchaînait les tours s'assurant que personne ne les surprendraient dans l'obscurité. Il ce permettait par moment de s'en dormir dix minutes de temps à autres histoire de restait le plus possible en forme. Il était habitué à agir de cette façon grâce au nombreuses campagne qu'il avait mené. Il désirait que Louane ce repose le plus possible. Puis ce fut quatre heures et enfin 5 heures. Dans ses micros sommeilles, Arthur avait rêvé de la renarde. Il ne pourrait plus dire de quoi sa parlait mais il savait qu'elle lui était apparut, une fois peut-être deux. Au loin le soleil point difficilement son nez.
Plus bas dans le lieux où Louane dormait, une ombre s'approcha d'elle discrètement. Venant tout contre elle, une main ce posa sur sa bouche lui bloquant toute possibilité de faire le moindre bruit. Une main de cette mystérieuse individue agrippa sa poignée l'empêchant d'attraper la moindre lame puis une voix connue lui chuchota dans l'oreille.
-ne fait surtout pas de bruit !
C'était Arthur. Il avait perçut quelque chose et devait prévenir la Terranide au plus vite et discrètement. Habitué à dormir avec une arme, le mercenaire avait prévu la possible réaction de la renarde et préférait éviter de risquer de ce faire planter par réflexe.
-un groupe de cinq personnes ce dirigent par ici. Il nous ont pas encore vue mais vont pas tarder à trouver le campement. Il faut s'en débarrasser et pour sa on va leur tendre une embuscade. Tu te sens d'attaque ?
Forte heureusement, la jeune femme accepta de lui laisser la tâche de veiller au campement et d'en profiter pour ce reposer un peu. Elle lui fit une petite blague sur le faite que ça ne la rassurait pas trop qu'un handicapé monte la garde. Elle le ponctua d'un clin d’œil accompagnait de son petit sourire charmant. Un sourire que le mercenaire lui rendit tout en marmonnant sur un petit aire amusé.
-moi, éclopé !? Pas du to... haaaa !!!
il fit un léger mouvement de bras mais la douleur le ramena rapidement à la réalité. Il observa la jeune renarde s'en aller un peu plus loin. La nuit était légèrement fraîche et la chemise déchiré était pas trop super. Forte heureusement, Arthur put embarquer sa cape dans lequel il si blotti. Il songea même à faire un petit feu histoire de le tenir réveillé.
Peu de temps après avoir été laissé seul, Arthur ce dit qu'il était temps de reconnaître un peu les lieux. Savoir d'où les éventuelles ennemis pouvait surgir et surtout savoir où Louane dormait afin de perdre le moins de temps en cas de coup dure. Il s'engouffra dans les bois et suivit le bruit découlement indiquant qu'une rivière coulait non loin. Une information très intéressant, il pourrait bouillir de l'eau et peut-être cuisiner un petit quelque chose. Il est vrai que Arthur avait pas eut le temps de manger et son estomac ne cessait de le lui rappeler.
Dans sa balade, un détail attira l'attention du mercenaire. En y regardant avec attention et avec l'aide de la lune dans un ciel dégagé. Il découvrit alors une scène dans auquel il ne s'y attendait pas du tout. La jeune renarde en avait profiter pour piquer une tête dans le point profitant de sa solitude pour ce mettre entièrement nue.
Dans un premier temps, Arthur ce cacha et ce boucha les yeux. Mais la curiosité et un petit quelque chose qu'il n'arrivait pas à expliquer l'obligea à y jeter un rapide coup d’œil. Pourtant le charmeur invétéré n'était pas un voyeur et bien qu'il portait une attention particulière à la gente féminine, il ne s'adonnait jamais à ce genre d'activité. Il avait un certain sens du devoir. Mais ce cadre là était bien différent. Il ne savait le dire pourquoi, mais il arrivait pas à détacher son regard de la scène qui ce jouait devant lui. Il trouvait déjà la Kitsune mignonne voir attirante mais là c'était un autre niveau. Une certaine beauté dut à une pureté innocente fasciné le jeune mercenaire. Il avait presque honte de ce caché comme un horrible pervers et il savait qu'il aurait beaucoup de mal à ce justifiait si il ce faisait attraper.
Finalement, il ce força à détournait le regard et à repartir dans même direction avant qu'il ne soit trop tard et revint vers son arbre qui ce tenait proche du cheval. Il ce fit un petit feu et ce posa contre son arbre massant son épaule. Il n'arrivait pas à ôter cette image de la tête. C'était comme une obsession. Après un court instant, il ce releva et ce redirigea à nouveau mais le petit point d'eau. Qu'espérait-il y trouver ? Il n’arrêtait pas de ce poser cette question. Finalement, il trouva la renarde endormie dans un coin plutôt douillet. Elle avait l'aire d'avoir froid, du moins c'est ce que pensait Arthur. Il ce résigna alors, en bon gentleman, à décrocher sa cape et il recouvrit la jeune femme avec. « repose toi bien » chuchotât-il à l'attention de Louane puis il retourna à sa place.
La nuit était frisquait, mais le petit feu aida le mercenaire à le supportait. Il confectionna un petit piège pour lapin dans l'espoir d'en attraper un. Ça serai idéal pour le petit dej. Une heure passa, puis deux et enfin trois. Arthur enchaînait les tours s'assurant que personne ne les surprendraient dans l'obscurité. Il ce permettait par moment de s'en dormir dix minutes de temps à autres histoire de restait le plus possible en forme. Il était habitué à agir de cette façon grâce au nombreuses campagne qu'il avait mené. Il désirait que Louane ce repose le plus possible. Puis ce fut quatre heures et enfin 5 heures. Dans ses micros sommeilles, Arthur avait rêvé de la renarde. Il ne pourrait plus dire de quoi sa parlait mais il savait qu'elle lui était apparut, une fois peut-être deux. Au loin le soleil point difficilement son nez.
Plus bas dans le lieux où Louane dormait, une ombre s'approcha d'elle discrètement. Venant tout contre elle, une main ce posa sur sa bouche lui bloquant toute possibilité de faire le moindre bruit. Une main de cette mystérieuse individue agrippa sa poignée l'empêchant d'attraper la moindre lame puis une voix connue lui chuchota dans l'oreille.
-ne fait surtout pas de bruit !
C'était Arthur. Il avait perçut quelque chose et devait prévenir la Terranide au plus vite et discrètement. Habitué à dormir avec une arme, le mercenaire avait prévu la possible réaction de la renarde et préférait éviter de risquer de ce faire planter par réflexe.
-un groupe de cinq personnes ce dirigent par ici. Il nous ont pas encore vue mais vont pas tarder à trouver le campement. Il faut s'en débarrasser et pour sa on va leur tendre une embuscade. Tu te sens d'attaque ?
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Les terres sauvages / Re : La tête d'une renarde pour contrat (PV)
« le: jeudi 23 juin 2016, 20:29:17 »
Pour Arthur, la cavale avait duré une éternité. Il ignorait combien de temps, en réalité, ils avaient fuit tant la vive douleur du carreaux le lançait. Pour le jeune mercenaire qui avait connut de nombreuses bataille, les blessures étaient devenu monnaie courante. Il comptait plus le nombre de fois qu'une lame avait déchiré sa chaire ou même combien de flèches il avait reçut. Jusqu'à présent, il avait toujours eut beaucoup de chance d'avoir survécu. Mais pour lui, ce fut la première fois qu'il ce prenait un carreaux d'arbalète dans l'épaule. Ça avait beau être une petite arme de poing, la force dégagé par cette dernière choqua un moment le jeune homme qui s'agrippait t'en bien que mal où il pouvait sur le cheval.
À la fin de cette course frénétique, le choque reçut lui fit tournait violemment la tête au point qu'il finit par tomber du destrier et heurter fortement le sol. Arthur ne voyait un plus rien mais sentit la présence de Louane à ses cotés qui montrait des signes d'inquiétude.
-que fais-tu encore là ? ... ne m'attends pas !!
ses paroles semblait partir dans le vide. Il fallut peu de temps pour que le mercenaire reprenne ses esprit. La douleur était toujours présente et cette insupportable petite flèche était encore figé en lui. Arthur ce rassura comprenant qu'il avait été touché sur l'épaule gauche, bien que la douleur allait l''handicaper, il pourrait encore ce battre correctement. « mais où est passé la renarde » ce dit alors Arthur. En la cherchant du regard, il la vit au loin s'affairant à effacé leur trace. Elle était très minutieuse dans ses mouvements laissant aucun détail lui échapper. Arthur comprenait mieux pourquoi il avait eut tant de mal à la localisé et par chance il était le premier.
Il profita de ce répit pour ce traîner sur le sol et s'adosser à un arbre, la zone semblait sur et il était grand temps de retirer cette chose de son épaule. Une fois installé confortablement, il attrapa le manche du carreaux et commença à tirer légèrement dessus. La douleur devint plus forte mais le corps étranger ne semblait pas vouloir bouger d'un pouce. Il abandonna rapidement sentant qu'il pourrait aggraver plus qu'autre chose.
Louane revint enfin vers Arthur, elle lui défit sa chemise laissant ainsi apparaître les nombreuse cicatrice des ses batailles passé. Cette dernière porta alors son attention sur sa blessure. Elle l'analysait avec un certain intérêt ou plutôt une certaine habitude de ce genre de cas. Arthur ne dit pas un mot et ce laissa faire. Alors que Louane sortie un couteau elle lui conseilla de serrer les dents.
-ne t'en fait pas, j'ai l'hab... Haaaa !
Alors qu'il voulut plaisanter un peu, la douleur le ramena vite à la raison. C'était pas la première fois qu'il ce faisait soigner de cette manière et il détestait toujours autant ça ! Il serra les dents ce donnant un mal de chien pour rester le plus immobile possible. Arthur priait les dieux pour que la jeune kitsune n'aie pas dans ses affaires du gros sel pour désinfecté, il haïssait cette méthode de désinfection. Après un pénible moment, Louane parvint à retirer le carreaux non sans mal.
-mon... petit doigts me dit... que tu m'en veux ?
Rigola t-il fatigué de cette opération. Malgré ses tentatives de détendre l'atmosphère, la jeune renarde resta sérieuse. Elle lui annonça qu'elle n'avait pas de quoi désinfecté et qu'elle allait chercher des plantes. Un souffle de soulagement ce fit entendre. Pas de gros sel. Arthur était d'accord avec elle, il était trop dangereux de retourner à l'auberge.
-ne t'en fais pas* il serra un coup sur le bandage improvisé* j'ai connue pire, je survivrais !
Il lui sourit pour indiquait que tout allait bien et la regarda s'éloignait.
-fait attention à toi !
Lui lança t-il juste avant qu'elle quitte son champs de vision. Alors qu'Arthur ce sentait déjà responsable de ces mésaventures et qu'il voulait a tout prix regagner son honneur, il avait à présent une dette envers la renarde. Elle venait sans doute de lui sauver la vie en cette soirée. Après un certain moment, elle finit par revenir avec une série de plante et de fleurs qu'elle s'empressa de les utilisé pour désinfecter sa plaie. Cela fut douloureux mais c'était rassurant. Il savait qu'il était entre de bonne main.
-je ne te serais jamais assez reconnaissant, pourquoi ne m'as tu pas simplement laisser. À l'heure qui l'es, tu serai déjà loin !
Après les révélations qui eut été dit toute à l'heure, Arthur s'étonnait qu'elle soit autant attentive à son cas. Il avait pourtant était payé pour la retrouver après tout.
-je me dois de t'avertir.... aïe !!
Louane avait finit de le soignait et le bandage fut remit en place.
-j'ignore ce que tu as fais, mais tu as réussit à mettre un homme puissant en colère. Il y à une grosse prime pour ta capture... ou ta mort. Bardok et ses hommes ne sont pas les seuls à avoir été engagé. D'autre mercenaire ou chasseur de prime sont à ta recherche. Ils vont te traquer sans relâche. Des gens comme... moi !
Arthur regrettait à moitié d'avoir acceptait ce contrat. C'est pas le boulot digne pour un bretteur comme lui, mais il devait avouer que cette renarde était fascinante.
-je comprend que tu veuilles pas me faire confiance, mais à présent je suis dans le même cas que toi, je connais Bardok et je sais qu'en ce moment un de ses hommes est en route pour annoncé ma « trahison » à notre employeur et bientôt ma tête sera mise à prix aussi.
Il s'installa mieux contre son arbre.
-je suis peut-être blessé, mais je peu encore me battre correctement. Je vais t'aider à te sortir de là, je te dois bien ça et après je vais traquer cette homme de l'ombre et nous en débarrassé une fois pour toute. Mais avant, tu devrais te reposer un peu. Je vais monter la garde. Tu devrais dormir une heure ou deux.
À la fin de cette course frénétique, le choque reçut lui fit tournait violemment la tête au point qu'il finit par tomber du destrier et heurter fortement le sol. Arthur ne voyait un plus rien mais sentit la présence de Louane à ses cotés qui montrait des signes d'inquiétude.
-que fais-tu encore là ? ... ne m'attends pas !!
ses paroles semblait partir dans le vide. Il fallut peu de temps pour que le mercenaire reprenne ses esprit. La douleur était toujours présente et cette insupportable petite flèche était encore figé en lui. Arthur ce rassura comprenant qu'il avait été touché sur l'épaule gauche, bien que la douleur allait l''handicaper, il pourrait encore ce battre correctement. « mais où est passé la renarde » ce dit alors Arthur. En la cherchant du regard, il la vit au loin s'affairant à effacé leur trace. Elle était très minutieuse dans ses mouvements laissant aucun détail lui échapper. Arthur comprenait mieux pourquoi il avait eut tant de mal à la localisé et par chance il était le premier.
Il profita de ce répit pour ce traîner sur le sol et s'adosser à un arbre, la zone semblait sur et il était grand temps de retirer cette chose de son épaule. Une fois installé confortablement, il attrapa le manche du carreaux et commença à tirer légèrement dessus. La douleur devint plus forte mais le corps étranger ne semblait pas vouloir bouger d'un pouce. Il abandonna rapidement sentant qu'il pourrait aggraver plus qu'autre chose.
Louane revint enfin vers Arthur, elle lui défit sa chemise laissant ainsi apparaître les nombreuse cicatrice des ses batailles passé. Cette dernière porta alors son attention sur sa blessure. Elle l'analysait avec un certain intérêt ou plutôt une certaine habitude de ce genre de cas. Arthur ne dit pas un mot et ce laissa faire. Alors que Louane sortie un couteau elle lui conseilla de serrer les dents.
-ne t'en fait pas, j'ai l'hab... Haaaa !
Alors qu'il voulut plaisanter un peu, la douleur le ramena vite à la raison. C'était pas la première fois qu'il ce faisait soigner de cette manière et il détestait toujours autant ça ! Il serra les dents ce donnant un mal de chien pour rester le plus immobile possible. Arthur priait les dieux pour que la jeune kitsune n'aie pas dans ses affaires du gros sel pour désinfecté, il haïssait cette méthode de désinfection. Après un pénible moment, Louane parvint à retirer le carreaux non sans mal.
-mon... petit doigts me dit... que tu m'en veux ?
Rigola t-il fatigué de cette opération. Malgré ses tentatives de détendre l'atmosphère, la jeune renarde resta sérieuse. Elle lui annonça qu'elle n'avait pas de quoi désinfecté et qu'elle allait chercher des plantes. Un souffle de soulagement ce fit entendre. Pas de gros sel. Arthur était d'accord avec elle, il était trop dangereux de retourner à l'auberge.
-ne t'en fais pas* il serra un coup sur le bandage improvisé* j'ai connue pire, je survivrais !
Il lui sourit pour indiquait que tout allait bien et la regarda s'éloignait.
-fait attention à toi !
Lui lança t-il juste avant qu'elle quitte son champs de vision. Alors qu'Arthur ce sentait déjà responsable de ces mésaventures et qu'il voulait a tout prix regagner son honneur, il avait à présent une dette envers la renarde. Elle venait sans doute de lui sauver la vie en cette soirée. Après un certain moment, elle finit par revenir avec une série de plante et de fleurs qu'elle s'empressa de les utilisé pour désinfecter sa plaie. Cela fut douloureux mais c'était rassurant. Il savait qu'il était entre de bonne main.
-je ne te serais jamais assez reconnaissant, pourquoi ne m'as tu pas simplement laisser. À l'heure qui l'es, tu serai déjà loin !
Après les révélations qui eut été dit toute à l'heure, Arthur s'étonnait qu'elle soit autant attentive à son cas. Il avait pourtant était payé pour la retrouver après tout.
-je me dois de t'avertir.... aïe !!
Louane avait finit de le soignait et le bandage fut remit en place.
-j'ignore ce que tu as fais, mais tu as réussit à mettre un homme puissant en colère. Il y à une grosse prime pour ta capture... ou ta mort. Bardok et ses hommes ne sont pas les seuls à avoir été engagé. D'autre mercenaire ou chasseur de prime sont à ta recherche. Ils vont te traquer sans relâche. Des gens comme... moi !
Arthur regrettait à moitié d'avoir acceptait ce contrat. C'est pas le boulot digne pour un bretteur comme lui, mais il devait avouer que cette renarde était fascinante.
-je comprend que tu veuilles pas me faire confiance, mais à présent je suis dans le même cas que toi, je connais Bardok et je sais qu'en ce moment un de ses hommes est en route pour annoncé ma « trahison » à notre employeur et bientôt ma tête sera mise à prix aussi.
Il s'installa mieux contre son arbre.
-je suis peut-être blessé, mais je peu encore me battre correctement. Je vais t'aider à te sortir de là, je te dois bien ça et après je vais traquer cette homme de l'ombre et nous en débarrassé une fois pour toute. Mais avant, tu devrais te reposer un peu. Je vais monter la garde. Tu devrais dormir une heure ou deux.
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Les terres sauvages / Re : La tête d'une renarde pour contrat (PV)
« le: vendredi 17 juin 2016, 23:05:45 »
La situation n'allait pas en s'arrangeant. Le fourbe de Vexell avait réussi à s'enfuir et il était claire qu'il allait rapporter cette incident à son chef Bardok. Mais ce que Arthur redoutait le plus, était les action que Badok pouvait faire et qui pourrait lui rendre la vie impossible et il ne pensait pas seulement aux nombreux hommes qu'il enverrait, mais à quelque chose de beaucoup plus dommageable.
Ses mots avait fait mouche et la jeune Louane ce senti presque obliger de l'accompagner. Arthur préférais l'avoir auprès de lui non seulement parce qu'elle était une excellente combattante, mais aussi pour s'assurer que rien lui arriverait. Le mercenaire était pas très fière d'avoir accepté un tel contrat et par moment il lui arrivait à regretter de faire ce qu'il fait. Ses envies oscillait entre remplir son contrat et laver son honneur en lui venant en aide. Il devait aussi avouer que la jeune Kitsune l'intriguait fortement. Peu importe le choix qu'il ferait, sa priorité était Bardok et sa bande. Temps qu'ils seraient dans la région, ni le lui, ni la jeune renarde, ne serait en sécurité.
Forcé par la situation, Louane accepta de l'accompagner. Elle était pas du genre à attendre que les ennuis lui tombe dessus et devait sans doute ce rendre compte qu'elle en était pas encore sortie d'affaire. Arthur savait par moment trouver les mots pour convaincre les gens. Il eut peine de le temps de récupérer sa dague dans l'épaule du brigant que la jeune femme l’emmena vers les écuries. Pressé par le temps, ils volèrent deux chevaux, tant pis pour son fidèle destrier, il attendra ici le temps de régler cette histoire.
La jeune femme lui indiqua la direction que Vexell avait prit et sans attendre une seul seconde, ils partirent au grand galops. La ruait était rapide, Arthur suivait de très près la jeune renarde. Cette dernière avançait sans la moindre hésitation indiquant de temps à autre quel direction prendre. Elle était visiblement une traqueuse hors paire, cela impressionnait le mercenaire. Au bout d'une très longue cavale, les deux chasseurs s’arrêtèrent et Louane lui indiqua la direction d'une montagne tout en lui expliquant que leur cible était allait par là.
-tu en es sur ? C'est l'endroit idéal pour tendre un piège.
Pas le temps de tergiverser, si ils sont rapide ils pourront l'avoir juste à temps. Le chemin menait vers une route sinueuse dans les montagne. L'obscurité limitait la vision ce qui rendait le périple plus dangereux. D'un coté du chemin, l'on pouvait voir la montagne couverte d'arbre et de forêt qui grimpait dans le ciel quand à l'autre coté, c'était un précipice dont le fond disparaissait dans le noir complet. Ils suivirent le chemin pendant de très longue minute, le chemin était étrangement silencieux et Arthur avait un très mauvais pressentiment. Quelque chose ne jouait pas. Soudain un bruit de feuille brisa le silence, puis un autre. Quelque chose rodait autour d'eux et quand le mercenaire compris ce qui ce passait, il était déjà trop tard.
-Louane !!! attention !!
a peine avait-il eut le temps de crier qu'un massif arbre dégringola derrière les deux cavaliers coupant net un possible repli. Plusieurs ombre apparurent autour d'eux. C'était une embuscade. plusieurs homme, dont certain était des Terranide traqueur, sortirent de l'ombre. Des arbalète et des arc les avaient mis en joue, il étaient piégé. Contraint de ne plus faire de mouvement, ils purent voir arrivaient un étrange homme doté d'une armure de plaque complète. C'était Bardok qui ce montrait enfin. Un rire caverneux résonnait dans toute la montagne.
-vous êtes rapide ! Vous avez presque rattrapé ce très chère Vexell, mais vous avez perdu. Mais quel plaisir de te voir ici mon très chère Arthur.
-un plaisir non partagé !
La réponse du mercenaire avait un son taquin. On sentait que peu importe la direction de cette discutions, Arthur aura toujours une réponse pas sérieuse voir même sarcastique.
-tu as enfin décidé de me rembourser les filles que tu m'a fait perdre ?
-quoi ? Tu m'en veux toujours pour cette histoire, allons c'est de l'histoire ancienne.
Le ton était joueur, mais on sentait que Bardok en voulait vraiment à Arthur.
-allez, je vais te faire une fleur, donne moi la renarde et je considérait tes dettes épongé. Je pourrais même en toucher deux mots à notre employeur comme quoi que tu l'a trouvé et que tu m'a aidé à la capturer. Je suis sur qu'il te récompensera comme il ce doit.
Voilà les cartes était tombé et le masque avec. Cette proposition pourrait bien le faire sortirent d'affaire. Son contrat réglé et ses ennuis avec la bande à Bardok enfin régler. Toujours en gardant le même aire souriant il ajoutat.
-très intéressant, donc si je conclut ce marché tu me poursuivra plus ?
-c'est ça !
-et que ce passerait-il si je refusais ?
-je vous ferait abattre tous les deux à commençait par elle. de toute façon le patron la veux morte ou vivent.
Sur ces mots, il dégaina une petite arbalète de poing et la dirigea dans la direction de Louane.
-alors ?
Arthur resta silencieux un petit moment et pris enfin la parole.
-c'est un marché très intéressant, mais tu oublies un petit détail ?
-qui est ?
L'aire amusé d'Arthur tomba pour quelque chose de plus sérieux.
-je ne suis pas une pourriture comme toi Bardok et j'ai déjà une dette que je dois m'acquitter.
Dans un mouvements d'une rapidité incroyable, il ce mit debout sur son cheval et dans claquement sur les fesse de ce dernier, le lança à vive allure en direction de Bardok. au passage il ce lança pour arriver sur le destrier de la Kitsune et dans un mouvement salvateur, s'interposa entre la renarde et le petit carreaux qui vint ce planter dans l'épaule du mercenaire.
Le cheval d'Arthur créa une panique général qui permit au deux fuyard de lancer leur dernier destrier dans une direction hors chemin dans la pénombre de la montagne.
Blesser, Arthur avait finit par faire son choix. Au diable ce contrat et ce mystérieux employeurs. Il fit une grosse erreur de l'avoir accepté et à présent il devait la corriger.
Ses mots avait fait mouche et la jeune Louane ce senti presque obliger de l'accompagner. Arthur préférais l'avoir auprès de lui non seulement parce qu'elle était une excellente combattante, mais aussi pour s'assurer que rien lui arriverait. Le mercenaire était pas très fière d'avoir accepté un tel contrat et par moment il lui arrivait à regretter de faire ce qu'il fait. Ses envies oscillait entre remplir son contrat et laver son honneur en lui venant en aide. Il devait aussi avouer que la jeune Kitsune l'intriguait fortement. Peu importe le choix qu'il ferait, sa priorité était Bardok et sa bande. Temps qu'ils seraient dans la région, ni le lui, ni la jeune renarde, ne serait en sécurité.
Forcé par la situation, Louane accepta de l'accompagner. Elle était pas du genre à attendre que les ennuis lui tombe dessus et devait sans doute ce rendre compte qu'elle en était pas encore sortie d'affaire. Arthur savait par moment trouver les mots pour convaincre les gens. Il eut peine de le temps de récupérer sa dague dans l'épaule du brigant que la jeune femme l’emmena vers les écuries. Pressé par le temps, ils volèrent deux chevaux, tant pis pour son fidèle destrier, il attendra ici le temps de régler cette histoire.
La jeune femme lui indiqua la direction que Vexell avait prit et sans attendre une seul seconde, ils partirent au grand galops. La ruait était rapide, Arthur suivait de très près la jeune renarde. Cette dernière avançait sans la moindre hésitation indiquant de temps à autre quel direction prendre. Elle était visiblement une traqueuse hors paire, cela impressionnait le mercenaire. Au bout d'une très longue cavale, les deux chasseurs s’arrêtèrent et Louane lui indiqua la direction d'une montagne tout en lui expliquant que leur cible était allait par là.
-tu en es sur ? C'est l'endroit idéal pour tendre un piège.
Pas le temps de tergiverser, si ils sont rapide ils pourront l'avoir juste à temps. Le chemin menait vers une route sinueuse dans les montagne. L'obscurité limitait la vision ce qui rendait le périple plus dangereux. D'un coté du chemin, l'on pouvait voir la montagne couverte d'arbre et de forêt qui grimpait dans le ciel quand à l'autre coté, c'était un précipice dont le fond disparaissait dans le noir complet. Ils suivirent le chemin pendant de très longue minute, le chemin était étrangement silencieux et Arthur avait un très mauvais pressentiment. Quelque chose ne jouait pas. Soudain un bruit de feuille brisa le silence, puis un autre. Quelque chose rodait autour d'eux et quand le mercenaire compris ce qui ce passait, il était déjà trop tard.
-Louane !!! attention !!
a peine avait-il eut le temps de crier qu'un massif arbre dégringola derrière les deux cavaliers coupant net un possible repli. Plusieurs ombre apparurent autour d'eux. C'était une embuscade. plusieurs homme, dont certain était des Terranide traqueur, sortirent de l'ombre. Des arbalète et des arc les avaient mis en joue, il étaient piégé. Contraint de ne plus faire de mouvement, ils purent voir arrivaient un étrange homme doté d'une armure de plaque complète. C'était Bardok qui ce montrait enfin. Un rire caverneux résonnait dans toute la montagne.
-vous êtes rapide ! Vous avez presque rattrapé ce très chère Vexell, mais vous avez perdu. Mais quel plaisir de te voir ici mon très chère Arthur.
-un plaisir non partagé !
La réponse du mercenaire avait un son taquin. On sentait que peu importe la direction de cette discutions, Arthur aura toujours une réponse pas sérieuse voir même sarcastique.
-tu as enfin décidé de me rembourser les filles que tu m'a fait perdre ?
-quoi ? Tu m'en veux toujours pour cette histoire, allons c'est de l'histoire ancienne.
Le ton était joueur, mais on sentait que Bardok en voulait vraiment à Arthur.
-allez, je vais te faire une fleur, donne moi la renarde et je considérait tes dettes épongé. Je pourrais même en toucher deux mots à notre employeur comme quoi que tu l'a trouvé et que tu m'a aidé à la capturer. Je suis sur qu'il te récompensera comme il ce doit.
Voilà les cartes était tombé et le masque avec. Cette proposition pourrait bien le faire sortirent d'affaire. Son contrat réglé et ses ennuis avec la bande à Bardok enfin régler. Toujours en gardant le même aire souriant il ajoutat.
-très intéressant, donc si je conclut ce marché tu me poursuivra plus ?
-c'est ça !
-et que ce passerait-il si je refusais ?
-je vous ferait abattre tous les deux à commençait par elle. de toute façon le patron la veux morte ou vivent.
Sur ces mots, il dégaina une petite arbalète de poing et la dirigea dans la direction de Louane.
-alors ?
Arthur resta silencieux un petit moment et pris enfin la parole.
-c'est un marché très intéressant, mais tu oublies un petit détail ?
-qui est ?
L'aire amusé d'Arthur tomba pour quelque chose de plus sérieux.
-je ne suis pas une pourriture comme toi Bardok et j'ai déjà une dette que je dois m'acquitter.
Dans un mouvements d'une rapidité incroyable, il ce mit debout sur son cheval et dans claquement sur les fesse de ce dernier, le lança à vive allure en direction de Bardok. au passage il ce lança pour arriver sur le destrier de la Kitsune et dans un mouvement salvateur, s'interposa entre la renarde et le petit carreaux qui vint ce planter dans l'épaule du mercenaire.
Le cheval d'Arthur créa une panique général qui permit au deux fuyard de lancer leur dernier destrier dans une direction hors chemin dans la pénombre de la montagne.
Blesser, Arthur avait finit par faire son choix. Au diable ce contrat et ce mystérieux employeurs. Il fit une grosse erreur de l'avoir accepté et à présent il devait la corriger.
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Les terres sauvages / Re : La tête d'une renarde pour contrat (PV)
« le: mercredi 15 juin 2016, 00:10:57 »
Alors que la tension entre Arthur et Vixell était palpable, la jeune renarde sortie de son silence. Visiblement agacée par l'intrusion du petit groupe de rôdeur, elle exigea au guerriers de s'en aller sous peine de la voir s'énerver. Le silence retomba dans l'auberge pendant un bref instant avant que les homme de mains ce mettent à rire face à la menace de la jeune femme.
-ha ha ha, non mais elle ce cr..... !!!!
un des hommes qui ce moquait ouvertement des menaces ne put finir sa provocation. Une assiette lui arriva directement dans le coin de la tête. Si le choc ne l'avait pas assommé net, la chaleur de ce dernier l'aurait, toutefois, bien neutralisé. Ce qui suivit ce déroula à une vitesse fulgurante. La jeune renarde fit un bon et passa derrière vixell laissant son pelage roux apparaître au yeux de tous.
-c'est elle ! Attra... Arg !
Malgré son allure frêle, Louane montra qu'elle était capable de dégager beaucoup de force et son coup de pied fit valser l'insupportable homme directe contre la table l’assommant sur le coup. L'action ce déroula si rapidement que personne ne compris ce qui ce venait de ce produire, ce léger moment d'absence ouvrit à Arthur une possibilité d'agir à son tour.
Il dégaina sa longue dague et ce leva de sa place pour agripper le premier homme qui ce présentait face à lui. Il lui fit un violent clef de bras et alla écraser son visage sur la table. En une fraction de seconde, il planta sa dague dans l’omoplate faisant traverser sa lame pour ressortir de l'autre coté du corps du pauvre homme le rivetant ainsi contre la table.
Arthur savait pertinemment que ces hommes feraient preuve d'aucune pitié pour eux, il était légitime pour lui d'en venir à de tel violence. Suite à cette excès de zèle, la panique s'installa dans l'auberge. Les quelque habitants ce hâtèrent pour sortir de l'établissement tendit qu'un des deux dernier hommes fit face au mercenaire. Arthur attrapa le fauchon de son premier adversaire et le mit en joue en face du nouveau. Bien que Arthur avait sa rapière à la ceinture, il fut plus rapide pour lui de s'emparer de celle du voyou qui montait des signe d’entretien vraiment pitoyable. Sa lame était légèrement émoussait et des trace de rouilles était visible dessus, mais elle ferait l'affaire face à cette adversaire qui tenait une épée longue à la meilleur porté.
Arthur engagea le combat avec le bandit. Ses mouvements était digne d'un amateur qui fit plusieurs coup dans le vide facilement esquivable pour Arthur. Du coin de l’œil, il observait la jeune Louane qui semblait bien s'en sortir avec son adversaire. Après de nombreuse esquive, le mercenaire bloqua une des attaque de l'épée longue en la coinçant entre sa lame et sa garde et dans mouvements circulaire pénétra la défense de son adversaire et lui porta un coup mortel au niveau de la gorge.
Quand il fut enfin terminer, il ce tourna vers la jeune kitsune qui venait tout juste de neutraliser son adversaire.
-et bien je suis très impressionné, tu es très doué.
Sans ce rendre compte, Vixell avait repris ses esprits et s'était éclipser en douce durant la bataille. Il courut vers les chevaux avec lesquels ils étaient arrivé et en enfourcha. Il partie au grand galop en direction des plaines. Le bruit du cheval attira l'attention d'Arthur qui ce rendit compte que Vixell était plus là « merde » s’exclamât-il tout en courant à l’extérieur de l'auberge dans l'espoir de rattraper le fuyard, mais il fut trop tard, Vixell était déjà bien loin. Le mercenaire grommela un moment, la fuite de cette homme était une très mauvaise chose. Il ce retourna vers Louane.
-vite ! Nous devons pas traîner ici plus longtemps. Tu as un cheval ?
Voyant que cette dernière allait sans doute ce montrait très méfiante. Il tenta de la persuader de le suivre avec de nouveaux arguments.
-je vois, je suppose que tu as des question et des doutes par rapport à moi ? Alors laisse moi te dire ceci, nous somme tous les deux dans même bateau à présent et je peu t'assurer que dans pas longtemps, ce village sera remplit de voyou comme toute à l'heure qui auront qu'un seul but, nous faire regretter cette plaisante bagarre. Aussi doué que tu es, tu auras besoin de moi pour t'en sortir de cette situations, je connais bien ce bandit de Bardok. Et moi j'aurais besoin de ton aide pour ça. Qu'en dis tu, on s'associe ?
La situations avait grandement changer, même si Arthur avait presque abandonner l'idée de livrer la kitsune, un si jolie minois ce serai un crime. À présent, il allait lui aussi avoir une prime sur sa tête. Une question lui traversait l'esprit, était-elle au courant de la haute prime qui avait été poser sur sa tête ? Allait-elle lui faire confiance ? Mais à présent, l'important était de ce mettre en sécurité.
-ha ha ha, non mais elle ce cr..... !!!!
un des hommes qui ce moquait ouvertement des menaces ne put finir sa provocation. Une assiette lui arriva directement dans le coin de la tête. Si le choc ne l'avait pas assommé net, la chaleur de ce dernier l'aurait, toutefois, bien neutralisé. Ce qui suivit ce déroula à une vitesse fulgurante. La jeune renarde fit un bon et passa derrière vixell laissant son pelage roux apparaître au yeux de tous.
-c'est elle ! Attra... Arg !
Malgré son allure frêle, Louane montra qu'elle était capable de dégager beaucoup de force et son coup de pied fit valser l'insupportable homme directe contre la table l’assommant sur le coup. L'action ce déroula si rapidement que personne ne compris ce qui ce venait de ce produire, ce léger moment d'absence ouvrit à Arthur une possibilité d'agir à son tour.
Il dégaina sa longue dague et ce leva de sa place pour agripper le premier homme qui ce présentait face à lui. Il lui fit un violent clef de bras et alla écraser son visage sur la table. En une fraction de seconde, il planta sa dague dans l’omoplate faisant traverser sa lame pour ressortir de l'autre coté du corps du pauvre homme le rivetant ainsi contre la table.
Arthur savait pertinemment que ces hommes feraient preuve d'aucune pitié pour eux, il était légitime pour lui d'en venir à de tel violence. Suite à cette excès de zèle, la panique s'installa dans l'auberge. Les quelque habitants ce hâtèrent pour sortir de l'établissement tendit qu'un des deux dernier hommes fit face au mercenaire. Arthur attrapa le fauchon de son premier adversaire et le mit en joue en face du nouveau. Bien que Arthur avait sa rapière à la ceinture, il fut plus rapide pour lui de s'emparer de celle du voyou qui montait des signe d’entretien vraiment pitoyable. Sa lame était légèrement émoussait et des trace de rouilles était visible dessus, mais elle ferait l'affaire face à cette adversaire qui tenait une épée longue à la meilleur porté.
Arthur engagea le combat avec le bandit. Ses mouvements était digne d'un amateur qui fit plusieurs coup dans le vide facilement esquivable pour Arthur. Du coin de l’œil, il observait la jeune Louane qui semblait bien s'en sortir avec son adversaire. Après de nombreuse esquive, le mercenaire bloqua une des attaque de l'épée longue en la coinçant entre sa lame et sa garde et dans mouvements circulaire pénétra la défense de son adversaire et lui porta un coup mortel au niveau de la gorge.
Quand il fut enfin terminer, il ce tourna vers la jeune kitsune qui venait tout juste de neutraliser son adversaire.
-et bien je suis très impressionné, tu es très doué.
Sans ce rendre compte, Vixell avait repris ses esprits et s'était éclipser en douce durant la bataille. Il courut vers les chevaux avec lesquels ils étaient arrivé et en enfourcha. Il partie au grand galop en direction des plaines. Le bruit du cheval attira l'attention d'Arthur qui ce rendit compte que Vixell était plus là « merde » s’exclamât-il tout en courant à l’extérieur de l'auberge dans l'espoir de rattraper le fuyard, mais il fut trop tard, Vixell était déjà bien loin. Le mercenaire grommela un moment, la fuite de cette homme était une très mauvaise chose. Il ce retourna vers Louane.
-vite ! Nous devons pas traîner ici plus longtemps. Tu as un cheval ?
Voyant que cette dernière allait sans doute ce montrait très méfiante. Il tenta de la persuader de le suivre avec de nouveaux arguments.
-je vois, je suppose que tu as des question et des doutes par rapport à moi ? Alors laisse moi te dire ceci, nous somme tous les deux dans même bateau à présent et je peu t'assurer que dans pas longtemps, ce village sera remplit de voyou comme toute à l'heure qui auront qu'un seul but, nous faire regretter cette plaisante bagarre. Aussi doué que tu es, tu auras besoin de moi pour t'en sortir de cette situations, je connais bien ce bandit de Bardok. Et moi j'aurais besoin de ton aide pour ça. Qu'en dis tu, on s'associe ?
La situations avait grandement changer, même si Arthur avait presque abandonner l'idée de livrer la kitsune, un si jolie minois ce serai un crime. À présent, il allait lui aussi avoir une prime sur sa tête. Une question lui traversait l'esprit, était-elle au courant de la haute prime qui avait été poser sur sa tête ? Allait-elle lui faire confiance ? Mais à présent, l'important était de ce mettre en sécurité.
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Les terres sauvages / Re : La tête d'une renarde pour contrat (PV)
« le: lundi 13 juin 2016, 21:49:49 »
La jeune renarde tourna son attention sur son assiette et repris son repas là où le mercenaire l'avait interrompu. La première étape qui était de ce rapprocher de sa cible avait été plus aisé que ce que pensait Arthur, mais cela ne veux pas dire que l'affaire était dans le sac pour autant. À son tour, le jeune bu son verre de rouge et laissa son regard ce poser avec un certain intérêt sur le visage de la jeune kitsune. Comme si il avait peur d'oublier un visage aussi jolie. « elle est mignonne » ce dit le jeune homme quand cette dernière cassa le silence.
Elle ce présenta sous le nom Louane. C'était bête, l'employeur d'Arthur avait omit de l'informer de ce détail au combien important, malgré cette oublie, Arthur était persuadé que c'était la bonne personne. Son jolie minois et ses manière la rendait attendrissante ce qui rendait la mission du mercenaire plus dure à aborder et devait faire de gros efforts pour rester concentrer et de pas oublier qu'elle pouvait être un potentielle adversaire redoutable. La curiosité de Louane ce porta sur la raison de sa présence en ces lieux. Arthur afficha son petit sourire charmeur et lui répondit le plus simplement du monde.
-on peu dire que j'ai passé ma vie à voyager. Je peu pas rester en place et comme la nuit tombait gentiment, je suis venu chercher un lieux où dormir avant de reprendre ma route.
Il porta à nouveau son verre à sa bouche et repris.
-je trouve ce monde fascinant vous ne trouvez pas ?, malgré toute ses années à voyager et à m'aventurer dans des lieux improbable, j'arrive encore à me surprendre de trouver des trésors dans des lieux reculer tel que ce modeste auberge. Et vous ? Racontez moi, aimez-vous aussi voyager ? Vous n'avez pas l'aire de faire partie de ce village. Je me trompe ?
Tendit que le jeune homme écoutait la réponse de la renarde, il ce laissa piéger par la beauté et la douceur de cette dernière. La curiosité le dévorait. C'était vraiment plus fort que lui. Soudainement, un bruit ce fit entendre provenant de ses entrailles. Avec toute ces recherches, Arthur avait pas vraiment eut le temps de manger et la voir manger ainsi son repas avait creuser l'estomac du jeune aventurier.
-houlà, je vous prit de m'excuser, « s’exclamât-il gêné » je pense qu'il serait bon que je commande aussi quelque chose à manger.
Avec un petit sourire amusé, il leva mains en direction de l'aubergiste et l'interpella.
-aubergiste ! Sil vou !!!
un grand bruit au niveaux de la porte d'entrée coupa Arhur dans son appel. Cinq hommes venaient de faire leur apparition dans l'établissement. Il était équipé d'armure légère en cuire et certain d'entre eux portait quelque pièces d'armure tel que casque ou gantelet. Un homme petit et maigre avec une allure de fouine s'avança devant le groupe et s'adressa à toute l'assistance de l'auberge.
-toute nos excuses gente dame et beau damoiseau, nous faisons que passer. Moi-même et mes compagnons nous allons juste faire un petit tour alors faite comme si on étaient pas là.
Sa voix était à l'image de son visage, petit et fourbe surmonter d'un petit rictus parfaitement agaçant. « c'est pas vrai ! » gromela Arthur qui remplaça son visage de charmeur par celui de quelqu'un de méfiant mélangé à de la colère et pour sur, il connaissait bien le petit être.
Sans aucune forme de respect,quatre des hommes commencèrent à fouiller le lieux n'hésitant pas à mettre de la force et de la menace contre ceux qui résistaient un temps soit peu. Arthur détourna le regard essayant tant bien que mal de ce cacher de ces individus. Le mercenaire savaient que ces guerriers étaient dans ce village pour la même raison que lui d'autant plus qu'ils avaient eut quelques différents par le passé. Arthur ce tourna vers la jeune femme et lui chuchota discrètement.
-baissez la tête, ils ne doivent pas nous voir.
Arthur eut un raclement d’agacement quand l'homme au visage de fouine ce tourna vers leur table et s'exclama assez.
-mais ça alors, qui voilà donc !? Ce ne serait pas cette raclure de Del Casario ?
L'homme souriait et s'approcha de la table des deux jeunes gens. Le simple énoncement du nom du jeune bretteur attira l'attention des quatre autres hommes dont l'un vint ce placer au coté ce celui qui semblait être le chef.
-comme ça tu traine par ici par le plus grand des hasards ? Et en charmante compagnie en plus !
« merde ! » l'homme tourna son attention sur Louane et tendit son bras afin d'y découvrir son visage.
-et toi ? Vexell ? Toujours en train de ramoner le cul de Bardok ?
Cette phrase volontairement vulgaire eut l'effet d'une claque pour son opposant. Sa tête passa du plaisantin à l'homme profondément énervé par cette provocation.
-si j'étais toi je ferais pas le malin, Bardok à pas oublié que par ta faute tu lui a fait perdre des filles et il compte bien ce faire remboursé.
La main sur sa dague, Arthur fit tourner son cerveaux à mille à l'heure cherchant désespérément une solution. Il semblerait que le croisement des lames sera inévitable. Plus loin, les clients de l'auberge était malmenait par les trois derniers gardes cherchant avec insistance quelqu'un. La main à sa dague, Arthur savait que Vexell était un très mauvais combattant et que si il devait agir sa serait sur son homme de main qu'il planterait sa dague. Mais à présent, c'était la jeune renarde qui le préoccupait le plus, silencieuse jusqu'à présent, ses réactions seront totalement imprévisible.
Elle ce présenta sous le nom Louane. C'était bête, l'employeur d'Arthur avait omit de l'informer de ce détail au combien important, malgré cette oublie, Arthur était persuadé que c'était la bonne personne. Son jolie minois et ses manière la rendait attendrissante ce qui rendait la mission du mercenaire plus dure à aborder et devait faire de gros efforts pour rester concentrer et de pas oublier qu'elle pouvait être un potentielle adversaire redoutable. La curiosité de Louane ce porta sur la raison de sa présence en ces lieux. Arthur afficha son petit sourire charmeur et lui répondit le plus simplement du monde.
-on peu dire que j'ai passé ma vie à voyager. Je peu pas rester en place et comme la nuit tombait gentiment, je suis venu chercher un lieux où dormir avant de reprendre ma route.
Il porta à nouveau son verre à sa bouche et repris.
-je trouve ce monde fascinant vous ne trouvez pas ?, malgré toute ses années à voyager et à m'aventurer dans des lieux improbable, j'arrive encore à me surprendre de trouver des trésors dans des lieux reculer tel que ce modeste auberge. Et vous ? Racontez moi, aimez-vous aussi voyager ? Vous n'avez pas l'aire de faire partie de ce village. Je me trompe ?
Tendit que le jeune homme écoutait la réponse de la renarde, il ce laissa piéger par la beauté et la douceur de cette dernière. La curiosité le dévorait. C'était vraiment plus fort que lui. Soudainement, un bruit ce fit entendre provenant de ses entrailles. Avec toute ces recherches, Arthur avait pas vraiment eut le temps de manger et la voir manger ainsi son repas avait creuser l'estomac du jeune aventurier.
-houlà, je vous prit de m'excuser, « s’exclamât-il gêné » je pense qu'il serait bon que je commande aussi quelque chose à manger.
Avec un petit sourire amusé, il leva mains en direction de l'aubergiste et l'interpella.
-aubergiste ! Sil vou !!!
un grand bruit au niveaux de la porte d'entrée coupa Arhur dans son appel. Cinq hommes venaient de faire leur apparition dans l'établissement. Il était équipé d'armure légère en cuire et certain d'entre eux portait quelque pièces d'armure tel que casque ou gantelet. Un homme petit et maigre avec une allure de fouine s'avança devant le groupe et s'adressa à toute l'assistance de l'auberge.
-toute nos excuses gente dame et beau damoiseau, nous faisons que passer. Moi-même et mes compagnons nous allons juste faire un petit tour alors faite comme si on étaient pas là.
Sa voix était à l'image de son visage, petit et fourbe surmonter d'un petit rictus parfaitement agaçant. « c'est pas vrai ! » gromela Arthur qui remplaça son visage de charmeur par celui de quelqu'un de méfiant mélangé à de la colère et pour sur, il connaissait bien le petit être.
Sans aucune forme de respect,quatre des hommes commencèrent à fouiller le lieux n'hésitant pas à mettre de la force et de la menace contre ceux qui résistaient un temps soit peu. Arthur détourna le regard essayant tant bien que mal de ce cacher de ces individus. Le mercenaire savaient que ces guerriers étaient dans ce village pour la même raison que lui d'autant plus qu'ils avaient eut quelques différents par le passé. Arthur ce tourna vers la jeune femme et lui chuchota discrètement.
-baissez la tête, ils ne doivent pas nous voir.
Arthur eut un raclement d’agacement quand l'homme au visage de fouine ce tourna vers leur table et s'exclama assez.
-mais ça alors, qui voilà donc !? Ce ne serait pas cette raclure de Del Casario ?
L'homme souriait et s'approcha de la table des deux jeunes gens. Le simple énoncement du nom du jeune bretteur attira l'attention des quatre autres hommes dont l'un vint ce placer au coté ce celui qui semblait être le chef.
-comme ça tu traine par ici par le plus grand des hasards ? Et en charmante compagnie en plus !
« merde ! » l'homme tourna son attention sur Louane et tendit son bras afin d'y découvrir son visage.
-et toi ? Vexell ? Toujours en train de ramoner le cul de Bardok ?
Cette phrase volontairement vulgaire eut l'effet d'une claque pour son opposant. Sa tête passa du plaisantin à l'homme profondément énervé par cette provocation.
-si j'étais toi je ferais pas le malin, Bardok à pas oublié que par ta faute tu lui a fait perdre des filles et il compte bien ce faire remboursé.
La main sur sa dague, Arthur fit tourner son cerveaux à mille à l'heure cherchant désespérément une solution. Il semblerait que le croisement des lames sera inévitable. Plus loin, les clients de l'auberge était malmenait par les trois derniers gardes cherchant avec insistance quelqu'un. La main à sa dague, Arthur savait que Vexell était un très mauvais combattant et que si il devait agir sa serait sur son homme de main qu'il planterait sa dague. Mais à présent, c'était la jeune renarde qui le préoccupait le plus, silencieuse jusqu'à présent, ses réactions seront totalement imprévisible.
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Les contrées du Chaos / Re : Le réconfort après la guerre.(PV)
« le: mardi 18 août 2015, 19:57:07 »
Le corps de cette femmes était si désirable et sa peau si douces à tel point que le jeune mercenaire prenait un grand plaisir à jouer avec et à la faire réagir de ses doigts. Elle se laissait faire et réagissait d'excitation du aux caresses du jeune hommes. Arthur sentait que le désire de cette belle femme montait en flèches et qu'elle ne désirait plus que tous passait au choses sérieuses. Une petite torture dans lequel le jeune bretteur ce délectait avec délice.
Lors de ces furieux baisés remplit d'intensité. La jeune femme exprimer ses envies sauvages en plantant ses ongles sur les omoplates du guerrier ce qui augmenta chez lui son envie de passer plus de ce lâcher enfin sur ce magnifique corps. De plus, la jeune femme refermer de ses jambes son étreinte afin que son bassin puisse, à l'aide de frictions précis, augmentait l'excitation du jeune homme.
L'envie d'aller plus de la jeune femme ce manifesta encore plus. Elle retira alors son haut dévoilant ses seins. Cette magnifique poitrine si parfaite au regard cachait bien son jeu sous ce vêtement plus serrer. Elle détacha ensuite ses cheveux ce qui lui donna un aire plus sauvage. Finit la femme militaire qui marche droit dans les rangs, non là on avait une femme sauvage. Une beauté sauvage prête à passer une nuit inoubliable. C'est alors qu'elle lui chuchota sensuellement à l'oreille qu'elle ne croyait que les faits et qu'il était préférable au jeune amant qu'il ce lâche sur ses fantasmes tandit que ses mains expertes agissait à excité le membre tendu par l'envie.
Tel un donné à un soldat, Arthur ne tarda pas à à s'exécuter. Il agrippa de ses puissantes mains les deux magnifiques seins de la soldate et ce mit alors à les malaxer, les tripoter. Tant il allait fermement, tantôt il jouait avec les tétons mais ne tarda pas à passer à un autre outil avec lequel il adore jouer, sa bouche. Il fondit sur un des seins ce couchant presque entièrement sur la jeune femme et attrapa ce sein qu'il suça avec gourmandise. Jouant de la langue sur le tétons et malaxant fermement l'autre sein de son autre main. Il joua un moment de la sorte. Puis, doucement, il mordilla le téton de son amante afin de la faire réagir. Il adorait entendre les plaintes et les gémissements de ses partenaires et il savait comment y faire.
Après de longue minute de torture, il ce retira enfin de la poitrine et descendit doucement tout en laissant un sillage de baisé sur le ventre de la jeune femme. En passant le nombril, il continua sa descente et arriva vers le dernier vêtement de cuir et le détacha.
Il fit tomber le short de cuire brun le long de ses jambes et remonta alors vers le sexes trempé par l'excitation de la jeune femme. Le bras droit du mercenaire ce posa sous le genou et d'un mouvement vers le haut, souleva la jambe de la soldat afin de ce laisser le champ libre. Sa tête ce rapprocha de l'entrejambe et sa langue vint alors à ce poser sur les lèvre de plaisir de son amante. Il lécha cette entré faisant rentrer sa langue dans la jeune femme. Il y dénicha son clitoris avec lequel il joua avec. Tantôt un doigts vint en aide, s'enfonça dans la jeune femme et fit des mouvements de va-et-vient. Il s'amusa un petit moment de la sorte avant d'y ajouter un doigts supplémentaire et d'accélérer la vitesse de sa masturbation. Il voulait la faire réagir voir. Il voulait l'entendre gémir et souffler et il savait comment le faire.
Lors de ces furieux baisés remplit d'intensité. La jeune femme exprimer ses envies sauvages en plantant ses ongles sur les omoplates du guerrier ce qui augmenta chez lui son envie de passer plus de ce lâcher enfin sur ce magnifique corps. De plus, la jeune femme refermer de ses jambes son étreinte afin que son bassin puisse, à l'aide de frictions précis, augmentait l'excitation du jeune homme.
L'envie d'aller plus de la jeune femme ce manifesta encore plus. Elle retira alors son haut dévoilant ses seins. Cette magnifique poitrine si parfaite au regard cachait bien son jeu sous ce vêtement plus serrer. Elle détacha ensuite ses cheveux ce qui lui donna un aire plus sauvage. Finit la femme militaire qui marche droit dans les rangs, non là on avait une femme sauvage. Une beauté sauvage prête à passer une nuit inoubliable. C'est alors qu'elle lui chuchota sensuellement à l'oreille qu'elle ne croyait que les faits et qu'il était préférable au jeune amant qu'il ce lâche sur ses fantasmes tandit que ses mains expertes agissait à excité le membre tendu par l'envie.
Tel un donné à un soldat, Arthur ne tarda pas à à s'exécuter. Il agrippa de ses puissantes mains les deux magnifiques seins de la soldate et ce mit alors à les malaxer, les tripoter. Tant il allait fermement, tantôt il jouait avec les tétons mais ne tarda pas à passer à un autre outil avec lequel il adore jouer, sa bouche. Il fondit sur un des seins ce couchant presque entièrement sur la jeune femme et attrapa ce sein qu'il suça avec gourmandise. Jouant de la langue sur le tétons et malaxant fermement l'autre sein de son autre main. Il joua un moment de la sorte. Puis, doucement, il mordilla le téton de son amante afin de la faire réagir. Il adorait entendre les plaintes et les gémissements de ses partenaires et il savait comment y faire.
Après de longue minute de torture, il ce retira enfin de la poitrine et descendit doucement tout en laissant un sillage de baisé sur le ventre de la jeune femme. En passant le nombril, il continua sa descente et arriva vers le dernier vêtement de cuir et le détacha.
Il fit tomber le short de cuire brun le long de ses jambes et remonta alors vers le sexes trempé par l'excitation de la jeune femme. Le bras droit du mercenaire ce posa sous le genou et d'un mouvement vers le haut, souleva la jambe de la soldat afin de ce laisser le champ libre. Sa tête ce rapprocha de l'entrejambe et sa langue vint alors à ce poser sur les lèvre de plaisir de son amante. Il lécha cette entré faisant rentrer sa langue dans la jeune femme. Il y dénicha son clitoris avec lequel il joua avec. Tantôt un doigts vint en aide, s'enfonça dans la jeune femme et fit des mouvements de va-et-vient. Il s'amusa un petit moment de la sorte avant d'y ajouter un doigts supplémentaire et d'accélérer la vitesse de sa masturbation. Il voulait la faire réagir voir. Il voulait l'entendre gémir et souffler et il savait comment le faire.
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Les contrées du Chaos / Re : Le réconfort après la guerre.(PV)
« le: dimanche 16 août 2015, 15:24:55 »
La chaleur et la tension grimpait petit à petit sous cette tente alors que le jeune bretteur défaisait les lacets du corset de la jeune femme. Cette dernière ce laissa faire ce qui lui incita à continuer son actions. C'était clairement pas la première fois que Arthur ôtait par lui même ce genre de vêtement et il n'eut aucune difficulté à délier les lacets pour ensuite faire tomber le corset. Ce fut ensuite le tour de la charmante jeune femme. Elle déboutonna la chemise du jeune homme tout en prenant bien son temps. Elle aussi semblait adorer jouer avec les envies et le prouva en s'approchant de lui afin de venir effleurer ses lèvres avec celui du jeune homme. Arthur joua le jeu et résista à l'envie de l'embrasser pour lui aussi venir caresser ses lèvres alors que la jeune femme ce mit sur la table de façon à ce que ses jambes pièges Arthur pour qu'il ce retrouvent l'un contre l'autre.
La jeune amante d'un soir fit alors une remarque sur la température qui augmentait petit à petit tout en appréciant du regard et surtout au toucher le torse bien bâtie du mercenaire des qu'elle finit d'ouvrir la chemise. Ses mains étaient très douces et ses caresses contraster à merveille avec son autre image de dirigeante.
-en effet. Hum.... et j'ai comme l'impression que ça pas arrêter de ce réchauffer par ici.
Répondit-il d'un aire joueur et complice. Suite à ça, la jeune femme lâcha son étreinte au grand regret du guerrier puis pris légèrement de la distance. Arthur ne regretta pas la suite des événements. La soldate ce mit à enlever ses habilles pour ne laissait que de très court vêtement en cuir ainsi que des bas qui lui donnait un aspect encore plus désirable. Elle avait un magnifique corps qui était sans doute très bien entretenue. Sans doute dut aux batailles passé.
Elle se rapprocha de l'homme et défie le haut de ses chausses pour il glisser sa main à l'intérieur. C'est avec un aire de défie quel commença à toucher le membre qui était déjà bien tendu à travers le sous-vêtement. Elle savait visiblement comment faire et hésitait aucunement à provoquer le jeune homme. Il sourit à sa question posé mais ne dit rien. Montrer les choses était toujours mieux que de quelque paroles inutiles.
Il laissa alors ses mains venir sur le corps de la jeune femme ce rapprochant davantage d'elle. Il caresser divers endroit passant des hanches pour remonter jusqu'aux fesses. Son visage ce rapprocha de celui de la soldate et vint à son tour jouer avec ses lèvres tout en les frôlant comme si il voulait l'embrasser et détourna subitement son attention. Il plongea alors dans le creux du cou pour lui déposer des baisers et aussi jouer avec sa langue sur sa douce peau. Une main qui caressait les fesses de la jeune femme vint alors agripper fermement ces derniers. Il remonta du cou tout en laissant un sillage baisé pour finir par ce retrouver en face d'elle.
-doutez-vous de mes prouesses?!
Il ne lui laissa pas le temps de répondre et fondit sur ses lèvres pour enfin l'embrasser. Au même moment, sa main descendit vers la jambes et la souleva pour que la jeune femme ce retrouve assise à nouveau sur la table tout en restant collé contre lui tendit qu'ils s'embrassaient fougueusement. Sa main finit par ce glisser sous son haut et agrippa un des seins qu'il malaxa venant jouer de index avec le tétons caché sous ce vêtements.
La jeune amante d'un soir fit alors une remarque sur la température qui augmentait petit à petit tout en appréciant du regard et surtout au toucher le torse bien bâtie du mercenaire des qu'elle finit d'ouvrir la chemise. Ses mains étaient très douces et ses caresses contraster à merveille avec son autre image de dirigeante.
-en effet. Hum.... et j'ai comme l'impression que ça pas arrêter de ce réchauffer par ici.
Répondit-il d'un aire joueur et complice. Suite à ça, la jeune femme lâcha son étreinte au grand regret du guerrier puis pris légèrement de la distance. Arthur ne regretta pas la suite des événements. La soldate ce mit à enlever ses habilles pour ne laissait que de très court vêtement en cuir ainsi que des bas qui lui donnait un aspect encore plus désirable. Elle avait un magnifique corps qui était sans doute très bien entretenue. Sans doute dut aux batailles passé.
Elle se rapprocha de l'homme et défie le haut de ses chausses pour il glisser sa main à l'intérieur. C'est avec un aire de défie quel commença à toucher le membre qui était déjà bien tendu à travers le sous-vêtement. Elle savait visiblement comment faire et hésitait aucunement à provoquer le jeune homme. Il sourit à sa question posé mais ne dit rien. Montrer les choses était toujours mieux que de quelque paroles inutiles.
Il laissa alors ses mains venir sur le corps de la jeune femme ce rapprochant davantage d'elle. Il caresser divers endroit passant des hanches pour remonter jusqu'aux fesses. Son visage ce rapprocha de celui de la soldate et vint à son tour jouer avec ses lèvres tout en les frôlant comme si il voulait l'embrasser et détourna subitement son attention. Il plongea alors dans le creux du cou pour lui déposer des baisers et aussi jouer avec sa langue sur sa douce peau. Une main qui caressait les fesses de la jeune femme vint alors agripper fermement ces derniers. Il remonta du cou tout en laissant un sillage baisé pour finir par ce retrouver en face d'elle.
-doutez-vous de mes prouesses?!
Il ne lui laissa pas le temps de répondre et fondit sur ses lèvres pour enfin l'embrasser. Au même moment, sa main descendit vers la jambes et la souleva pour que la jeune femme ce retrouve assise à nouveau sur la table tout en restant collé contre lui tendit qu'ils s'embrassaient fougueusement. Sa main finit par ce glisser sous son haut et agrippa un des seins qu'il malaxa venant jouer de index avec le tétons caché sous ce vêtements.
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Les contrées du Chaos / Re : Le réconfort après la guerre.(PV)
« le: jeudi 13 août 2015, 21:03:07 »
Les festivités battait de son plein gré tandis que les hommes et les femmes des deux camps festoyer leur victoires de la journée. Pour Arthur, c'était une soirée de détente grandement mérité. Il hésitait pas à boire et à festoyer en compagnie des vainqueurs. Malgré grande quantité d'alcool qu'il avait ingurgité, le jeune bretteur était bien réveillé et conscient de ses actions. C'était pas la première fois qu'il fêtait une victoire et sans pas la dernière. L'ambiance était vraiment malgré deux trois petits accrochages sans aucune importance. La seul prise de tête qui lui restera dans sa mémoire ce fut au moment où s'exprima son ressentie par rapport aux armes à vapeurs.
Arthur n'aimait pas cette avancé technologique dont faisait preuve l'Empire de la vapeur. Ces nouvelles armes pouvait tuer un hommes juste en levant le petit doigts. Cette faciliter de combattre faisait perdre aux soldats toute formes de respect à son adversaire. Mais les points qui mit le plus en avant, c'était la fiabilité de ces armes. Un tel fusil peu sans doute tomber en panne au mauvais moment contrairement à une bonne vieilles épée bien aiguisé. Bien évidemment, ce débats de sourd ne dura pas long tant son interlocuteur était ivre mort.
Suite à cette mésaventure, Arthur ce dirigea vers le point où l'on pouvait ce procurer à boire et à manger quand il fut intercepté par deux camarade mercenaire. Il ne put refuser leur invitation à ce joindre à eux. C'était une petite tablé composé de mercenaire et de soldat dont ces derniers ce racontaient leur aventure.
Alors qu'il se vantait de la victoire sur un groupe de barbare terranide, une voix ce manifesta dans son dos. Surpris Arthur ce tourna et découvrit qu'une femme ce tenait avec une certaine assurance. Cette dernière le félicita pour ses actions lors de la bataille en renchérie avec une invitation à boire un verre pour le moins forte intéressante.
Arthur l'observa rapidement. bien évidemment la première chose qu'il remarqua était sa beauté. Mais plus attentivement, il ce rendit compte que ses habits était bien différent de tous les autres soldats qu'il avait croisé. Son accoutrement ainsi que sa posture assuré laisse facilement penser au jeune mercenaire que cette devait avoir un poste plus important qu'un simple soldat. Tous dans son regard et son petit sourire laissa facilement comprendre que cette gente demoiselle désirait plus que seulement boire un verre en tête à tête. Arthur lui retourna un sourire complice, signe qu'il avait compris le sens de la question et lui répondit.
-je vous en remercie et j'accepte avec un grand plaisir votre invitation.
Sur ces mots, il ce mit à suivre la charmante jeune femme sous les remarques de ses compagnons de table parfois compatissant parfois jaloux. Dans certaine circonstance, Arthur ce serait méfié de ce genre d'invitation (bien qu'il aurait quand même suivit) mais pas là. En effet, il est relativement courant que des soldats ait des rapports entre eux. En particulier chez les mercenaires.
Il suivit la jeune dame jusqu'à une tente plus grande et plus fournit que celle des soldats dont l'intérieur éclairé par une bougie rendait la scène plus excitante. C'était pour Arthur un autre signe que la gente demoiselle ne devait pas être qu'un simple soldat.
Une fois à l'intérieur, Arthur vit la jeune femme prendre un verre de vin le siroter avant de le reposer sur la table derrière elle. Dans son regard, le jeune homme pouvait lire sans difficulté le désire que cette jeune femme avait et il décida d'en jouer un peu.
-cela ne vous dérange pas trop si je me mets à l'aise ? Il fait vraiment chaud par ici.
Dit-il en ôtant son veston qu'il accrocha dans un coin avant d'adresser un petit sourire complice à la jeune femme. Cette dernière lança sa question.
- Rassurez-moi, vous n'êtes pas trop fatigué j'espère. Ce serait dommage de devoir écourter cette petite fête.
Cette question fit tirer un petit rire amusé de la part du jeune homme. Elle le mettait au défie et ça lui plaisait. Il s'approcha alors gentiment de la jeune pour venir le plus près possible d'elle sans pour autant ce coller contre. Son visage viens tout près de celui de la jeune femme. C'était comme si il s'approcher pour l'embrasser. De là où il était il pouvait sentir le souffle de la jeune femme et plongea son regard dans le siens et répondit enfin à la question de la jeune femme.
-si cela vous rassure, je suis en pleine forme et je suis même très motivé pour prolonger les festivités si vous le désirez.
Il termina avec un petit clin d’œil. Puis dans il ce permit de ce rapprocher de la femme afin de venir ce coup ci contre et dans un geste calculé attraper le verre de la jeune femme qui était posé sur la table derrière son dos. Il but une brève gorgé et simula une gaffe de sa part afin qu'un très léger filet de vin tombe de son verre jusqu'au décolleté du corset de la jeune femme.
-ho mince ! Je suis vraiment navré. Je vais vous nettoyer tous ça !
Rigola t-il. Son timbre de voix sonnait d'un aire amuseur. Il attrapa un mouchoir et commença à éponger les taches de vins qui coulait sur la peau sans montrer la moindre gêne. Il hésitait pas à balader son mouchoir dans les recoins du décolleté tentant même de s'y enfoncer dans le vêtement.
-je m'en excuse encore. Mais dite voir, vous n'avez pas chaud avec ces habilles ?
Pendant qu'il épongé le vin, son autre main vint sur une des partie du corset et commença à délier délicatement l'un des nœuds.
-vous devriez vous mettre à l'aise. Qu'en pensez-vous ?
Arthur n'aimait pas cette avancé technologique dont faisait preuve l'Empire de la vapeur. Ces nouvelles armes pouvait tuer un hommes juste en levant le petit doigts. Cette faciliter de combattre faisait perdre aux soldats toute formes de respect à son adversaire. Mais les points qui mit le plus en avant, c'était la fiabilité de ces armes. Un tel fusil peu sans doute tomber en panne au mauvais moment contrairement à une bonne vieilles épée bien aiguisé. Bien évidemment, ce débats de sourd ne dura pas long tant son interlocuteur était ivre mort.
Suite à cette mésaventure, Arthur ce dirigea vers le point où l'on pouvait ce procurer à boire et à manger quand il fut intercepté par deux camarade mercenaire. Il ne put refuser leur invitation à ce joindre à eux. C'était une petite tablé composé de mercenaire et de soldat dont ces derniers ce racontaient leur aventure.
Alors qu'il se vantait de la victoire sur un groupe de barbare terranide, une voix ce manifesta dans son dos. Surpris Arthur ce tourna et découvrit qu'une femme ce tenait avec une certaine assurance. Cette dernière le félicita pour ses actions lors de la bataille en renchérie avec une invitation à boire un verre pour le moins forte intéressante.
Arthur l'observa rapidement. bien évidemment la première chose qu'il remarqua était sa beauté. Mais plus attentivement, il ce rendit compte que ses habits était bien différent de tous les autres soldats qu'il avait croisé. Son accoutrement ainsi que sa posture assuré laisse facilement penser au jeune mercenaire que cette devait avoir un poste plus important qu'un simple soldat. Tous dans son regard et son petit sourire laissa facilement comprendre que cette gente demoiselle désirait plus que seulement boire un verre en tête à tête. Arthur lui retourna un sourire complice, signe qu'il avait compris le sens de la question et lui répondit.
-je vous en remercie et j'accepte avec un grand plaisir votre invitation.
Sur ces mots, il ce mit à suivre la charmante jeune femme sous les remarques de ses compagnons de table parfois compatissant parfois jaloux. Dans certaine circonstance, Arthur ce serait méfié de ce genre d'invitation (bien qu'il aurait quand même suivit) mais pas là. En effet, il est relativement courant que des soldats ait des rapports entre eux. En particulier chez les mercenaires.
Il suivit la jeune dame jusqu'à une tente plus grande et plus fournit que celle des soldats dont l'intérieur éclairé par une bougie rendait la scène plus excitante. C'était pour Arthur un autre signe que la gente demoiselle ne devait pas être qu'un simple soldat.
Une fois à l'intérieur, Arthur vit la jeune femme prendre un verre de vin le siroter avant de le reposer sur la table derrière elle. Dans son regard, le jeune homme pouvait lire sans difficulté le désire que cette jeune femme avait et il décida d'en jouer un peu.
-cela ne vous dérange pas trop si je me mets à l'aise ? Il fait vraiment chaud par ici.
Dit-il en ôtant son veston qu'il accrocha dans un coin avant d'adresser un petit sourire complice à la jeune femme. Cette dernière lança sa question.
- Rassurez-moi, vous n'êtes pas trop fatigué j'espère. Ce serait dommage de devoir écourter cette petite fête.
Cette question fit tirer un petit rire amusé de la part du jeune homme. Elle le mettait au défie et ça lui plaisait. Il s'approcha alors gentiment de la jeune pour venir le plus près possible d'elle sans pour autant ce coller contre. Son visage viens tout près de celui de la jeune femme. C'était comme si il s'approcher pour l'embrasser. De là où il était il pouvait sentir le souffle de la jeune femme et plongea son regard dans le siens et répondit enfin à la question de la jeune femme.
-si cela vous rassure, je suis en pleine forme et je suis même très motivé pour prolonger les festivités si vous le désirez.
Il termina avec un petit clin d’œil. Puis dans il ce permit de ce rapprocher de la femme afin de venir ce coup ci contre et dans un geste calculé attraper le verre de la jeune femme qui était posé sur la table derrière son dos. Il but une brève gorgé et simula une gaffe de sa part afin qu'un très léger filet de vin tombe de son verre jusqu'au décolleté du corset de la jeune femme.
-ho mince ! Je suis vraiment navré. Je vais vous nettoyer tous ça !
Rigola t-il. Son timbre de voix sonnait d'un aire amuseur. Il attrapa un mouchoir et commença à éponger les taches de vins qui coulait sur la peau sans montrer la moindre gêne. Il hésitait pas à balader son mouchoir dans les recoins du décolleté tentant même de s'y enfoncer dans le vêtement.
-je m'en excuse encore. Mais dite voir, vous n'avez pas chaud avec ces habilles ?
Pendant qu'il épongé le vin, son autre main vint sur une des partie du corset et commença à délier délicatement l'un des nœuds.
-vous devriez vous mettre à l'aise. Qu'en pensez-vous ?
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Les contrées du Chaos / Le réconfort après la guerre.(PV)
« le: mercredi 12 août 2015, 18:14:17 »
C'était courant que des émissaires de royaume isolé ou trop petit pour être bien connu des hommes pratiquant l'armée de métier fassent le tour des plus grande citée afin de guérir les offices de ces mercenaires chevronné, et ce fut le cas pour Arthur. Alors qu'il venait de sortir d'une bonne bagarre dans un des nombreux bar mal famé d'Ashnard, bagarre qu'il avait déclenché par le faite qu'il ce montrait un peu trop prévenant auprès de l'épouse du chef de garde, il fut accosté par deux hommes portant un accoutrement pour le moins bizarre. Ces hommes avaient entendu les bravoures de l'homme qu'on surnommait « la Danse Écarlate » et était venu lui proposer une contrat.
Ils lui demandèrent de rejoindre une troupe de mercenaire qui allait ce battre au nom du puissant Empire de la Vapeur. Apparemment, leur objectif était une mine dans un endroit éloigné tenu par un puissants groupe de brigand qui devait, selon les fameux émissaires, avoir le soutient d'un autre empire et de ce faite ils disposaient d'une importante force de frappe. Le plan devait ce passer sur une route escarpé au milieux d'un canyon. Les mercenaires devaient attaquer de front et au bout d'une certain nombre de perte faire marche arrière et ainsi amener les forces ennemies dans un pièges que l'empire devrait tendre positionné au dessus de la rocaille.
L'Empire de la Vapeur ?! Ce nom ne disait vraiment rien du tout au jeune mercenaire de plus, ce plan avait des relent d'attaque suicide. L'empire allait sacrifier les mercenaires comme des vulgaires pions. Mais telle était la triste vérité du mercenariat. Ça bien longtemps que Arthur avait accepté cette destiné mais à chaque que des employeurs montrait si peu de respect pour les mercenaires, le jeune bretteur s'offusquait et arrivait toujours à prouver à faire en sorte d'être au cœur de l'action et de tirer son épingle du jeu de façon assez arrogante.
Les jours passa et Arthur rejoint finalement les nombreux mercenaires engagé dans cette attaque suicide. Il ignorait tous de ce que cette empire avait comme force mais fut surpris de voir que les troupe impérial portait de drôle d'armure et surtout le manque flagrant d'arme d'hast telle que hallebarde ou encore arbalète. Au lieu de ça, il portait des armes d'une conception étrange.
Mais ces questions fur vite balayé quand les mercenaires ce lancèrent à l'assaut de la troupe ennemie. Comme prévu et malgré leur grand nombres, ils ce heurtèrent au murs de piques et de bouclier que formait ces deniers et un très grand nombres des camarades de Arthur périrent dans cette assaut suicides. Et toujours comme selon le plan, les mercenaires firent demi-tour avec les forces ennemie à leurs trousse qui ne désiraient plus que tout en finirent avec cette assaillant désorganisé. La traque ne dura pas long et au moment ou Arthur commençait à ce demandait si cette empire de la vapeur les avaient finalement pas abandonné qu'une énormes détonation fit entendre au dessus de leur tête. C'étaient les soldat de l'Empire qui firent feu de leur étrange armes aussi assourdissante que mortel. Les troupes des brigands tentèrent tant bien que mal de faire demi-tour mais ils tombèrent comme des mouches sous les tirs des armes à vapeurs et les quel que fuyard fut rattraper et massacré par les mercenaires enivrés par ce retour de situation.
Bien que Arthur fut agréablement surpris, il garda toutefois la tête froide et ce rendit vite que les brigands avait prédit ce pièges et une force importantes sortirent de leur cachette et ce dirigeait inexorablement en direction des force impérial. Bien que leur armes avant-gardistes leurs donnait un avantage certain, ils n'étaient malheureusement pas assez pour contenir cette assaut surprise.
Conscient de cela, Arthur agrippa un des chevaux survivant et monta dessus. Il eut suffisamment de charisme pour rallier les quelques cavaliers restant et lancèrent leur monture dans un sprintes effréné. Ils remontèrent le chemins au grand galop pour arriver à la même hauteur que les soldat impériaux et ainsi faire un énorme détour pour attaquer la troupe de brigand par un flan. Quand il arrivèrent contre leur cible, ses derniers étaient déjà en contacte avec les troupe impériaux mais forte heureusement les dégâts subit furent minime pour eut.
Lors cette contre attaques, Arthur avait particulièrement brillé en démontrant que sa réputation n'était point un mensonge. L'une de ses actions forte fut le moment ou il sauta de son cheval et dans de grandes attaques circulèrent tua plusieurs soldats ennemie.
Malgré cette attaques surprises, cette bataille fut une grande victoire. L'Empire installa alors un campement et amenèrent des renforts supplémentaires afin de sécuriser cette imposante mine. Les mercenaires furent grassement payé et furent inviter à festoyer en compagnie de soldats au sein même du campements. Une invitation que Arthur accepta avec grand plaisir.
L'alcool coulait à flot et les mercenaires pactisaient avec les soldat des cette étrange empire. Arthur qui n'avait inaperçu lors de cette bataille ce retrouva bien souvent en leur compagnie ne cessant racontait victoire passait et expérience de mercenaire. L'humeur était à la fête ce soir.
Ils lui demandèrent de rejoindre une troupe de mercenaire qui allait ce battre au nom du puissant Empire de la Vapeur. Apparemment, leur objectif était une mine dans un endroit éloigné tenu par un puissants groupe de brigand qui devait, selon les fameux émissaires, avoir le soutient d'un autre empire et de ce faite ils disposaient d'une importante force de frappe. Le plan devait ce passer sur une route escarpé au milieux d'un canyon. Les mercenaires devaient attaquer de front et au bout d'une certain nombre de perte faire marche arrière et ainsi amener les forces ennemies dans un pièges que l'empire devrait tendre positionné au dessus de la rocaille.
L'Empire de la Vapeur ?! Ce nom ne disait vraiment rien du tout au jeune mercenaire de plus, ce plan avait des relent d'attaque suicide. L'empire allait sacrifier les mercenaires comme des vulgaires pions. Mais telle était la triste vérité du mercenariat. Ça bien longtemps que Arthur avait accepté cette destiné mais à chaque que des employeurs montrait si peu de respect pour les mercenaires, le jeune bretteur s'offusquait et arrivait toujours à prouver à faire en sorte d'être au cœur de l'action et de tirer son épingle du jeu de façon assez arrogante.
Les jours passa et Arthur rejoint finalement les nombreux mercenaires engagé dans cette attaque suicide. Il ignorait tous de ce que cette empire avait comme force mais fut surpris de voir que les troupe impérial portait de drôle d'armure et surtout le manque flagrant d'arme d'hast telle que hallebarde ou encore arbalète. Au lieu de ça, il portait des armes d'une conception étrange.
Mais ces questions fur vite balayé quand les mercenaires ce lancèrent à l'assaut de la troupe ennemie. Comme prévu et malgré leur grand nombres, ils ce heurtèrent au murs de piques et de bouclier que formait ces deniers et un très grand nombres des camarades de Arthur périrent dans cette assaut suicides. Et toujours comme selon le plan, les mercenaires firent demi-tour avec les forces ennemie à leurs trousse qui ne désiraient plus que tout en finirent avec cette assaillant désorganisé. La traque ne dura pas long et au moment ou Arthur commençait à ce demandait si cette empire de la vapeur les avaient finalement pas abandonné qu'une énormes détonation fit entendre au dessus de leur tête. C'étaient les soldat de l'Empire qui firent feu de leur étrange armes aussi assourdissante que mortel. Les troupes des brigands tentèrent tant bien que mal de faire demi-tour mais ils tombèrent comme des mouches sous les tirs des armes à vapeurs et les quel que fuyard fut rattraper et massacré par les mercenaires enivrés par ce retour de situation.
Bien que Arthur fut agréablement surpris, il garda toutefois la tête froide et ce rendit vite que les brigands avait prédit ce pièges et une force importantes sortirent de leur cachette et ce dirigeait inexorablement en direction des force impérial. Bien que leur armes avant-gardistes leurs donnait un avantage certain, ils n'étaient malheureusement pas assez pour contenir cette assaut surprise.
Conscient de cela, Arthur agrippa un des chevaux survivant et monta dessus. Il eut suffisamment de charisme pour rallier les quelques cavaliers restant et lancèrent leur monture dans un sprintes effréné. Ils remontèrent le chemins au grand galop pour arriver à la même hauteur que les soldat impériaux et ainsi faire un énorme détour pour attaquer la troupe de brigand par un flan. Quand il arrivèrent contre leur cible, ses derniers étaient déjà en contacte avec les troupe impériaux mais forte heureusement les dégâts subit furent minime pour eut.
Lors cette contre attaques, Arthur avait particulièrement brillé en démontrant que sa réputation n'était point un mensonge. L'une de ses actions forte fut le moment ou il sauta de son cheval et dans de grandes attaques circulèrent tua plusieurs soldats ennemie.
Malgré cette attaques surprises, cette bataille fut une grande victoire. L'Empire installa alors un campement et amenèrent des renforts supplémentaires afin de sécuriser cette imposante mine. Les mercenaires furent grassement payé et furent inviter à festoyer en compagnie de soldats au sein même du campements. Une invitation que Arthur accepta avec grand plaisir.
L'alcool coulait à flot et les mercenaires pactisaient avec les soldat des cette étrange empire. Arthur qui n'avait inaperçu lors de cette bataille ce retrouva bien souvent en leur compagnie ne cessant racontait victoire passait et expérience de mercenaire. L'humeur était à la fête ce soir.
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Les terres sauvages / Re : La tête d'une renarde pour contrat (PV)
« le: mardi 11 août 2015, 00:38:31 »
Arthur passa un bon moment dans cette taverne. Il y but deux trois pinte de bière et comme à son habitude, entreprit de faire plus ample connaissance avec la population local. Les villageois étaient principalement composé de de terranides de toute espèce et de toute forme. Le jeune bretteur avait pas l'habitude de côtoyer ce peuple. Ces affaires ce passait généralement entre Aschnard et Nexus et la quasi totalité de ses employeurs avait été de simple être humain. Bien sur, lors des ses très nombreuses campagne, Arthur en avait croisé beaucoup de ces être mi-homme mi-animal. Mais il ne restait jamais suffisamment longtemps pour discuter avec eux et ainsi faire connaissance.
Arthur n'avait aucun préjugé pour ce peuple. Il suivait un principe très simple qu'était « tu me laisse en paix et je n'aurais point d’animosité envers toi » malgré tous, il ce devait d'avouer que ces être intriguait particulièrement le jeune homme. Il savait qu'il existait beaucoup de terranide différents. De celui qui possédait un aspect et un pelage bien flagrant jusqu'aux attribut plus discret tels que les oreilles ou les queues. Il ce remémora un des de ses adversaires qu'il avait eut à affronter sur les champs de bataille. C'était un lion d'une taille et d'une férocité inégalable. Ce puissants guerriers devait faire deux à trois fois sa taille et son acharnement au combat aurait put coûter la vie au jeune mercenaire. Mais ce dernier put le vaincre non sans mal.
En discutant avec les habitants, Arthur remarqua que les villageois avait une certaine méfiance pour l'humain mais ce montrait tout de même très ouvert. Il apprit aussi que des festivités allait avoir lieu. Cette nouvelle ne réjouissait pas trop le mercenaire, il est toujours plus dure de trouver une cible particulière quand les ruelles sont bondés. Il discuta un moment avec les villageois mais n'eut pas plus de nouvelle sur la fameuse renarde qu'il devait trouver. Il quitta alors cette taverne pour ce poser ailleurs et recommençait son investigation.
En ce baladant, il trouva alors une auberge qu'il n'avait pas vu avant. Voilà un nouvel endroit ou il pourrait tenter de trouver des info sur sa cible. Il en profiterait aussi pour voir si ils avaient une chambre pour la nuit. Un bon lit ça reste nettement mieux que dormir dans la paille d'une grange.
Il y entra et recommença à s'installer au comptoir et commanda une pinte de bière. C'était sa quatrième de la soirée et il commençait à sentir la fatigue de sa longue journée. Il tenait plutôt bien l'alcool. Il recommença à faire connaissance avec les habitants des lieux. Ce coup, c'était plutôt des voyageur, marchand ou habitant des villages voisins venu pour participer aux festivités. La de nouveau, il ne trouva aucune info sur sa cible. Mais le destin réserve bien des surprise par moment.
Un moment dans la soirée, l'entrée d'un individue encapuchonné attira l'attention du mercenaire. Tout en continuant de participer au conversations de sa tablé, il garda un œil discret sur cette étrange ombre. Pourquoi cette dernière attirait son attention ? Avait-il sentit quelque chose ou était-ce du faite que cette personne cachait son visage à la vu de tous ? Quoi qu'il en soit, il fut surpris par cette observation.
L'étrange individue finit par ôter son manteau laissant paraître une terranide à la chevelure d'un roux flamboyant et d'un visage d'une délicatesse qui ne laissa pas de marbre le jeune homme. La personne en question ne pouvait être que celle qu'il cherchait depuis plusieurs jours, il n'y avait aucun doute la dessus. On lui avait pourtant dit qu'elle était belle mais il fut surpris que ce fut à ce point. Le point faible du jeune homme était était sans aucun doute qu'il était très sensible à la beauté féminine. Mais il devait gardait sa mission à l'esprit.
Il l'observa un bon moment du coin de l’œil et plus le temps passait plus le jeune homme ce demandait comme elle aurait put détourner à elle seul un convoi en tuant ses gardes. C'était tout aussi possible que ce soit pas elle qu'il cherche ou bien que son employeur ne lui avait pas tout dit. Il balaya vite cette dernière idée de la tête. C'est un mercenaire et il était pas payer pour réfléchir de plus si c'était bien cette personne qu'il recherchait, alors il avait beaucoup de chance de l'avoir trouver en premier. Mais d'autre chasseurs de prime pourrait bien apparaître un moment ou un autre.
Que devait-il faire ? Il allait quand même pas l'attaquer comme ça sans raison et l'interroger après. Il pourrait la filer un moment et attendre le bon moment l'attraper aussi. Puis finalement, une autre idée lui vint tout naturellement. Il guetta le meilleur moment, lors du repas de la jeune femme, puis s'excusa auprès de sa tablé et ce leva. Il emporta avec lui une bouteille de vin non ouverte et s'avança vers la table de la jeune renarde. Il prit son plus beau sourire charmeur.
-bien le bonsoir. Excusez moi de vous déranger. Je n'ai pas pus m'empêcher de remarquer que vous étiez seul. Si je peu me permettre, je trouve dommage qu'une gente demoiselle ce trouve seul en cette soirée. Si vous me permettez, j'aimerais beaucoup vous offrir un verre.
Il l'observa rapidement constata qu'elle avait visiblement fait beaucoup de route. Il enchaînât directe avec cette conclusion.
-vous avez l'aire d'avoir fait une longue route et j'ai pensais qu'un peu de compagnie vous ferez du grand bien. Étant moi même voyageur je ne peu que comprendre votre ressenti. Un peu de vin vous ferez plaisir ?
Il attendit que la jeune femme réponde à son invitation pour savoir si il pouvait s'installer et lui remplir un verre de vin. Bien qu'il jouait les enjôleurs dans le but de rapprochait d'elle et en savoir plus, il le faisait sans mentir. Il était persuadé que dans d'autre circonstence il l'aurait quand même aborder. Non seulement elle était jolie mais maintenant qu'il engageait la discutions, il remarqua que chez la jeune femme ce dégageait une sorte d'impression de mystère qui intriguait d'avantage le jeune homme et qui attiser sa curiosité.
-ho je vous pris de m'excuser. Quel impolie je fais. Je me présente, les gens m'appelle Arthur.
Arthur n'avait aucun préjugé pour ce peuple. Il suivait un principe très simple qu'était « tu me laisse en paix et je n'aurais point d’animosité envers toi » malgré tous, il ce devait d'avouer que ces être intriguait particulièrement le jeune homme. Il savait qu'il existait beaucoup de terranide différents. De celui qui possédait un aspect et un pelage bien flagrant jusqu'aux attribut plus discret tels que les oreilles ou les queues. Il ce remémora un des de ses adversaires qu'il avait eut à affronter sur les champs de bataille. C'était un lion d'une taille et d'une férocité inégalable. Ce puissants guerriers devait faire deux à trois fois sa taille et son acharnement au combat aurait put coûter la vie au jeune mercenaire. Mais ce dernier put le vaincre non sans mal.
En discutant avec les habitants, Arthur remarqua que les villageois avait une certaine méfiance pour l'humain mais ce montrait tout de même très ouvert. Il apprit aussi que des festivités allait avoir lieu. Cette nouvelle ne réjouissait pas trop le mercenaire, il est toujours plus dure de trouver une cible particulière quand les ruelles sont bondés. Il discuta un moment avec les villageois mais n'eut pas plus de nouvelle sur la fameuse renarde qu'il devait trouver. Il quitta alors cette taverne pour ce poser ailleurs et recommençait son investigation.
En ce baladant, il trouva alors une auberge qu'il n'avait pas vu avant. Voilà un nouvel endroit ou il pourrait tenter de trouver des info sur sa cible. Il en profiterait aussi pour voir si ils avaient une chambre pour la nuit. Un bon lit ça reste nettement mieux que dormir dans la paille d'une grange.
Il y entra et recommença à s'installer au comptoir et commanda une pinte de bière. C'était sa quatrième de la soirée et il commençait à sentir la fatigue de sa longue journée. Il tenait plutôt bien l'alcool. Il recommença à faire connaissance avec les habitants des lieux. Ce coup, c'était plutôt des voyageur, marchand ou habitant des villages voisins venu pour participer aux festivités. La de nouveau, il ne trouva aucune info sur sa cible. Mais le destin réserve bien des surprise par moment.
Un moment dans la soirée, l'entrée d'un individue encapuchonné attira l'attention du mercenaire. Tout en continuant de participer au conversations de sa tablé, il garda un œil discret sur cette étrange ombre. Pourquoi cette dernière attirait son attention ? Avait-il sentit quelque chose ou était-ce du faite que cette personne cachait son visage à la vu de tous ? Quoi qu'il en soit, il fut surpris par cette observation.
L'étrange individue finit par ôter son manteau laissant paraître une terranide à la chevelure d'un roux flamboyant et d'un visage d'une délicatesse qui ne laissa pas de marbre le jeune homme. La personne en question ne pouvait être que celle qu'il cherchait depuis plusieurs jours, il n'y avait aucun doute la dessus. On lui avait pourtant dit qu'elle était belle mais il fut surpris que ce fut à ce point. Le point faible du jeune homme était était sans aucun doute qu'il était très sensible à la beauté féminine. Mais il devait gardait sa mission à l'esprit.
Il l'observa un bon moment du coin de l’œil et plus le temps passait plus le jeune homme ce demandait comme elle aurait put détourner à elle seul un convoi en tuant ses gardes. C'était tout aussi possible que ce soit pas elle qu'il cherche ou bien que son employeur ne lui avait pas tout dit. Il balaya vite cette dernière idée de la tête. C'est un mercenaire et il était pas payer pour réfléchir de plus si c'était bien cette personne qu'il recherchait, alors il avait beaucoup de chance de l'avoir trouver en premier. Mais d'autre chasseurs de prime pourrait bien apparaître un moment ou un autre.
Que devait-il faire ? Il allait quand même pas l'attaquer comme ça sans raison et l'interroger après. Il pourrait la filer un moment et attendre le bon moment l'attraper aussi. Puis finalement, une autre idée lui vint tout naturellement. Il guetta le meilleur moment, lors du repas de la jeune femme, puis s'excusa auprès de sa tablé et ce leva. Il emporta avec lui une bouteille de vin non ouverte et s'avança vers la table de la jeune renarde. Il prit son plus beau sourire charmeur.
-bien le bonsoir. Excusez moi de vous déranger. Je n'ai pas pus m'empêcher de remarquer que vous étiez seul. Si je peu me permettre, je trouve dommage qu'une gente demoiselle ce trouve seul en cette soirée. Si vous me permettez, j'aimerais beaucoup vous offrir un verre.
Il l'observa rapidement constata qu'elle avait visiblement fait beaucoup de route. Il enchaînât directe avec cette conclusion.
-vous avez l'aire d'avoir fait une longue route et j'ai pensais qu'un peu de compagnie vous ferez du grand bien. Étant moi même voyageur je ne peu que comprendre votre ressenti. Un peu de vin vous ferez plaisir ?
Il attendit que la jeune femme réponde à son invitation pour savoir si il pouvait s'installer et lui remplir un verre de vin. Bien qu'il jouait les enjôleurs dans le but de rapprochait d'elle et en savoir plus, il le faisait sans mentir. Il était persuadé que dans d'autre circonstence il l'aurait quand même aborder. Non seulement elle était jolie mais maintenant qu'il engageait la discutions, il remarqua que chez la jeune femme ce dégageait une sorte d'impression de mystère qui intriguait d'avantage le jeune homme et qui attiser sa curiosité.
-ho je vous pris de m'excuser. Quel impolie je fais. Je me présente, les gens m'appelle Arthur.