Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Catalina Taylor

Pages: [1] 2 3 ... 37
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One Shot / Re : Je l'aurais un jour, je l'aurais... (PV avec CT)
« le: mercredi 10 décembre 2025, 19:15:58 »
Ramener un homme chez elle, l'héroïne me l'avait encore jamais fait. Et quel homme c'était ! La blondinette ne revenait pas du changement qui s'était opéré chez lui, ce soir. Pas qu’il n'était pas assertif en temps normal, mais c’était elle qui était ordinairement l'instigatrice de ce qu'ils faisaient. Il était toujours très enthousiaste -passé les premiers instants de grognements, parce qu'il savait qu'elle allait le laisser ensuite vidé et à la merci des forces de l'ordre- mais elle devait le travailler au corps pour qu'il se laisse aller.

« Oooh, Tank…, soupira-t-elle en se penchant, suivant le mouvement intimé par sa main sur son épaule. Prends-moi dans l'ascenseur, ne put-elle s'empêcher se murmurer en sentant ses mains s'occuper de sa croupe tendue. »

Le bougre a décidé de la faire languir, cependant. Elle exprime sa frustration autant que le plaisir qu’elle prend tandis que ses doigts viennent s'inviter entre ses lèvres intimes, fouillant son cœur brûlant. Elle ne peut lui répondre verbalement, mais le regard qu'elle lui lance en regardant dans le miroir en face est probablement assez expressif. Ses mains se crispent sur la rambarde alors qu'il joue avec elle.

« Oooh, oh oui ! S'écria-t-elle en le sentant effleurer sa rondelle serrée, ne pensant pas qu'il allait un jour tenter de venir s'y introduire. »

Elle ondule sa croupe contre lui, espérant pousser suffisamment pour que son pouce y pénètre par « accident », mais il est trop adroit. Calamity est certaine qu'elle ne pourra penser qu’à ça la prochaine fois qu'elle prendra l'ascenseur. Son regard accroche la mouille qui coulent contre ses cuisses, qui vient s’échouer contre le sol, et elle gémit de plus belle en songeant aux réactions des prochains qui prendront l’ascenseur.

L'un de ses bras se lève pour essayer d'appuyer sur le bouton, mais les attentions du malfrat sont décidément trop distrayante. Ce n'est pas avant plusieurs minutes que ses doigts appuient enfin sur le bouton. Une fois qu'elle a réussi, elle se laisse alors complètement distraire par les sensations qu'il lui offre, se tortillant sans cesse sous l’effet de ses doigts.

Elle ne se rends même pas compte qu'ils sont arrivés, laissant le colosse la guider jusqu’à son appartement, ayant tout juste assez de mémoire physique pour ouvrir la bonne porte. Et elle retrouve enfin la sensation grisante de sa queue qui la pourfend, contre le mur de l'entrée, réagissant aux stimuli avec un grand cri d’extase.

« Putain, ouiii ! Défonces-moi, Tank ! Remplis-moi de foutre !, s’exclame-t-elle en arquant les reins pour mieux le sentir cogner contre l'entrée de son utérus, et contre le point sensible juste à côté. »

Elle se laisse gagner par la fièvre qui était montée autant durant le trajet dehors que dans l’ascenseur, encourageant son amant d’une voix qui s'étranglait parfois sur un gémissement. Elle voulait qu'il la prenne partout dans l'appartement. Contre le mur, dans la cuisine, dans la salle de bain, dans le salon… Dans son lit, aussi. Elle voulait se souvenir de lui à tout moment. De sa queue qui la ramonait, de ses mains qui la maltraitait avec délices…

Finalement, après autant de temps à flirter avec la limite d'un nouvel orgasme, l'héroïne finit par franchir la ligne alors que Tank cognait à un endroit particulièrement sensible, érogène, en son centre.

« Taaaank, s'exclama-t-elle d'une voix brisée, s'arquant encore plus contre lui, serrant les cuisses autour de ses hanches. »

Les yeux révulsé, ses parois compressant la trique épaisse, Présage inonda encore un peu plus son amant. Mais ce n'était que le début. L'héroïne délurée réservait encore pas mal d'endurance pour que le criminel puisse la ravager de tous les côtés. Et si besoin d'un remontant ? Le frigo et le bar étaient pleins.

2
One Shot / Re : Je l'aurais un jour, je l'aurais... (PV avec CT)
« le: lundi 08 décembre 2025, 19:00:19 »
Surfant sur les vagues de plaisir qui la ravagent, Calamity ne sait plus où donner de la tête, tirant légèrement sur les chibres de nouveau raides qu’elle tient pour venir les inciter à se frotter contre sa poitrine. Elle n'écoute que d'une oreille, ne comprenant pas forcément ce qui se dit avec l'esprit autant sollicité par son orgasme, mais comprend très vite quand Tank lui ordonne de venir se mettre à genoux par terre après s'être retiré d'elle. Lui occasionnant par la même occasion un geignement plaintif de ne plus se sentir aussi remplie.

A genoux, assise sur ses talons, la belle ne voit rien de ce qui se passe mais ressent l'approche des deux jeunes. Gémissant sourdement, elle redresse le buste pour mettre en valeur ses seins pointant avec arrogance, et ses mains viennent aider les inconnus à caler leurs chibres contre son visage. Elle pousse même le vice jusqu’à ouvrir la bouche et laper les couilles qui se présentent parfois, ou bien un gland près de ses lèvres, rendant les photos prises encore plus érotiques.

Quand ils s'écartent finalement, laissant des traînées de sperme et de liquide séminal maculant ses joues, Présage peut sentir que c'est le colosse qui se présente ensuite à sa bouche déjà ouverte pour l'accueillir. Avec moult gémissements assourdis par la queue qui coulisse rapidement entre ses lèvres, la jeune héroïne ne se prive pas pour saliver abondamment, lubrifiant le sexe qui goûte sa cyprine.

Ses mains, laissées désœuvrées, viennent alors frotter son bourgeon tandis que Tank la pousse à reculer la tête jusqu’à ce qu'elle soit bloquée par l'assise du banc derrière elle. Et si, jusque là, il ne touchait qu’à peine sa glotte, la profondeur changea rapidement. C'est une Calamity ravie qui accueillait le reste de la trique bandée au plus profond de sa gorge, , bavant toujours plus sans que ce ne soit cette fois volontaire. Elle se tortillait également, frottant frénétiquement sa perle, alors qu'il venait cogner avec ferveur contre les parois cannelées de sa trachée.

La blonde ne veut pas le laisser se retirer de ses lèvres alors qu'ils étaient si bien partis, et ses lèvres se resserrent sur le manche qui recule, tentant de le contrer en l'aspirant toujours plus. Il n'est pas faux de constater que la belle est insatiable, une fois lancée. Un petit soupir plaintif suivit le « pop » du gland qui s'échappait de ses lèvres, et Présage avait adopté une moue boudeuse.

Qui s'effaça rapidement quand son amant retira la cape qui couvrait son visage et la reprit contre lui, sur sa queue veineuse toujours dressée.

« Oooh, Tank, soupira-t-elle contre son oreille. Qu’est-ce que j'aime ce que tu me fais faire ! »

Regardant autour d'elle pour se rappeler où ils étaient, la belle ondula ses reins en s'accrochant aux larges épaules de son amant et lui susurra les prochaines instructions pour se rendre à son appartement.

« La prochaine à droite. Mmmh… Au stop à gauche. Aaah, oui… La deuxième à gauche. Oooh… A droite encore une fois. Mmmh, Tank… Ah, on y est.

Descendant finalement de son perchoir, après avoir gratifié Tank de quelques minutes de twerk contre lui, sur sa queue, la blonde tape le digicode afin d'ouvrir la porte d'entrée, laissant le colosse voir qu'il s'agissait de 04567.

« 6éme étage. Avec ascenseur. Et à cette heure-ci, soit les voisins sont en soirée, soit ils dorment. Il ne devrait y avoir personne pour nous déranger si on retient un peu l'ascenseur…, sourit-elle, taquine. »

Après l’ascenseur, le numéro de la porte de son appart était le 33. Juste en face des portes de l'ascenseur. Et elle laissait toujours sa porte déverrouillée, ne craignant pas vraiment de se faire dévaliser sans que son instinct le sente.

3
Catalina se retrouvait déjà haletante alors qu’ils avaient à peine commencé. Mais la main dans ses cheveux, sur son crâne, faisant danser dans son esprit les images de ce qui s’était produit dans la voiture. Elle brûlait de désir depuis tout à l’heure et ce feu ne s’éteignait pas. Il se décupla, au contraire. Et quand elle grimpa sur le bar, exposant sa féminité gorgée d’envie, qu’elle l’invita à s’y installer…

« Ooooh, Vance… Soupira-t-elle en adossant ses épaules contre le miroir, offerte, ouverte, palpitante à l’idée de le sentir en elle. Alors ne te retiens pas, encouragea-t-elle dans un gémissement, flattée, avide. »

Et ses gémissements montèrent crescendo tandis qu’il envahissait sa fleur, qu’il s’insérait jusqu’à ce que leurs corps soient parfaitement emboîtés. La brune s’agrippait aux rebords du bar, fermement maintenue contre le miroir, les traits défaits tandis qu’elle se laissait gagner par la délicieuse chaleur du plaisir. Par l’impression d’être complète avec cette trique fichée au fond de ses reins.

Ses lèvres s’ouvrirent de nouveau pour lui répondre, pour l’encourager à la remplir, à la démonter comme il le fallait, mais ce ne furent que des gémissements qui s’en échappèrent, des halètements d’extase alors qu’il entamait ses mouvements, coulissant entre ses cuisses avec ferveur.

« Oooh, put-ain… Oui… Ravages-moi, remplis-moi…, parvient-elle finalement à prononcer tandis que ses parois intimes se contractaient autour du vît. »

Elle n’avait pas trop de latitude, ainsi perchée sur le meuble. Elle pouvait subir -avec délice- et l’encourager. Ses mains relâchèrent les rebords auxquels elle se tenait pour s’agripper aux avant-bras qui la maintenaient, y laissant probablement la marque de ses ongles quand il touchait un point particulièrement sensible au cœur de sa féminité. La tête appuyée contre le miroir, le chemisier ouvert dévoilant sa poitrine qui bougeait au rythme des coups de reins, la veuve devait être la vision de l’indécence personnifiée. Elle ne recherchait la validation de personne et se montrait telle qu’elle était, ne craignant pas de s’exhiber au regard de l’ancien athlète qui la remplissait si bien. Ses lèvres avides formaient des sons de délices alors qu’elle ne croyait pas être capable d’articuler autre chose.

Toute à ces émois, l’ancienne tueuse ne prêtait aucune attention aux ombres qui se dessinaient sous la porte d’entrée. Focalisée sur la silhouette imposante de Vance qui s’affairait entre ses cuisses, qui lui offrait la réalisation de fantasmes pourtant enterrés depuis longtemps, elle n’entendait pas les murmures de l’autre côté de la porte. Et ses gémissements devaient les couvrir également pour l’ex-catcheur devenu homme d’affaire.

« Oooh, c’est si…. Mmmh… Bon ! S’exclama-t-elle en tentant d’arquer ses reins le plus possible pour mieux le recevoir en elle. Encore… Meilleur… Que dans… Mes fantasmes… Halète la trentenaire dont le corps tremblait d’euphorie. »

Ainsi lancée, ainsi embrasée, Catalina en voulait toujours plus. Toujours plus fort. Plus profond. Plus obscène et indécent. Elle détacha l’une de ses mains pour la glisser contre son pubis, descendant un peu plus et frottant son bourgeon de sa paume tandis que son index et son majeur s’installaient de chaque côté du chibre qui allait et venait en son sein. Elle resserrait les doigts contre la chair lubrifiée qui lui faisait ressentir autant de plaisir, le comprimant à chaque entrée et sortie tandis que les mouvements de sa paumes étaient presque frénétiques.

Au moment où elle atteignait l’apogée, l’extase de l’orgasme, la porte de la suite s’ouvrit en trombe pour laisser passer trois hommes armés qui leur hurlèrent de lever les mains tout en refermant la porte d’un coup de pied.

Prise par surprise, le premier réflexe de la brune fut de balancer l’un des verres pleins dans leur direction tandis que son corps était secoué de spasmes d’un plaisir si intense qu’elle n’était pas certaine de ne pas avoir halluciné l’intrusion. Qu’elle se verrouillait autour de la trique qui la pourfendait avec ardeur, le compressant autant de ses cuisses que de ses chairs.

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One Shot / Re : Je l'aurais un jour, je l'aurais... (PV avec CT)
« le: dimanche 07 décembre 2025, 18:06:39 »
L’héroïne blonde n’avait clairement plus l’air aussi glorieuse. Martelée d’un côté par le chibre épais du malfrat, faisant bouger son opulente poitrine qui servait à branler un jeune geek face à elle pendant qu’elle branlait le second à ses côtés, le tout avec une cape violette lui couvrant le visage. Mais la jeune femme adorait ce traitement et elle se donnait à fond. Ses gémissements se transformaient peu à peu en cris, tandis que l’orgasme s’approchait. Les mouvements frénétiques entre ses seins ne faisaient rien pour calmer le jeu, surtout quand des jets de foutre jaillir de ce gland qu’elle ne pouvait qu’apercevoir sous les mouvements de sa cape.

« Oh, oooh, oui ! Haletait Présage alors que le liquide sirupeux collait au tissu indigo, atterrissait même contre sa gorge dévoilée. Aaaah, plus fort, encore ! Suppliait-elle d’une voix entrecoupée de petits couinements de jouissance. »

Le second type sembla prendre ses encouragement à la lettre, emprisonnant la main sur son chibre pour donner de violents coups de reins, exaltés, jusqu’à ce qu’il se décharge lui aussi dans un grognement de satisfaction. L’héroïne pouvait sentir les jets poisseux alourdir le tissu contre son visage, le collant à sa peau sur ses joues, ses lèvres, son menton. Le foutre coule le long des pans de la cape, goutte sur sa poitrine offerte, tandis que les deux jeunes hommes halètent, finalement vidés.

« Aaah, m’sieur, merci !, s’exclame l’un d’eux en utilisant la main toujours sur son chibre pour essuyer le sperme qui macule son gland.
- Ouais, c’était super ! Vous faites ça souvent ? Ajoute le second en s’essuyant sur les lambeaux de l’uniforme de la belle. »

Et pendant ce temps, Calamity atteint enfin l’orgasme. Tout son corps se crispe, vibre, alors qu’elle redresse la tête en criant. Ses mains agrippent la première chose qu’elles peuvent -les deux chibres encore sortis qui commençaient à mollir- tandis que sa fleur dégouline contre ses cuisses tant le plaisir qui s’en échappe est abondant.

« Haaa, putain, ouiii… Couine-t-elle manquant de faire basculer la cape quand elle rejette sa tête en arrière. »

Heureusement, le sperme refroidissant colle le tissu contre sa peau. Tout juste les deux jeunes peuvent-ils apercevoir sa gorge pâle, son menton volontaire et ses lèvres pulpeuses.

« Merde… Qu’est-ce que je donnerais pas pour fourrer ma queue entre ses lèvres de suceuse ! S’exclame l’un deux d’une voix étranglé à cause de la main qui comprime délicieusement sa queue vidée. »
- On aurait dû filmer… Jamais personne nous croira… Ajouta l’autre en se rapprochant pour gifler sa poitrine arrogante à pleine main, assez peu dérangé par la prise ferme contre sa trique. »

5
One Shot / Re : Dalton Brothers Kidnap Local Banker's Daughter Calpurnia Tanner!
« le: dimanche 07 décembre 2025, 16:48:03 »

Calpurnia Tanner était le joyau de la famille. Fille unique, mais pas par la volonté de ses parents, elle se voit passer tous ses caprices. A 23 ans, sa réputation dépasse les frontières de sa petite ville natale du nom de Chastity Falls. Surnommée parfois « La fleur du désert » ou « L’ange de Chastity Falls », la jeune femme était en effet toute en beauté. Une silhouette menue mais pourvue d’attributs féminins généreux, une crinière d’or que le soleil entretient, une peau pâle qui bronzait facilement, un visage d’ange avec ses grands yeux dont ont dirait que la teinte de ses iris ressemble à la couleur de la lavande et ses lèvres rosées, pulpeuses… Elle suscitait l’envie et la jalousie.

Malgré son âge « avancé », la belle était toujours célibataire. Elle aurait pu être considéré comme une vieille fille si l’on ne savait pas qu’elle entretenait des liaisons avec certains hommes qui passaient en ville. Bien sûr, ces rumeurs n’atteignaient pas les oreilles de son père, Lucius, ou de sa mère, Boetia. Les commères les plus puritaines n’en savaient rien non plus, où elles se seraient empressées de traîner le nom de cette libertine dans la boue. Si elle n’était toujours pas mariée, toutefois, c’était parce qu’aucun de ses « prétendants » n’obtenait l’approbation parentale. Autant Boetia était encline à la laisser épouser le fils du shérif, un grand gaillard aux épaules carré appelé Colton Lockwood, autant Lucius aurait préféré quelqu’un comme un autre banquier qui ne venait pas d’une petite ville perdue dans le désert. Incapable de s’entendre sur le choix du futur époux de la belle, ils rejetaient donc toutes les demandes.

Pendant que Lucius se délassait au saloon, dans les bras de la ravissante Andrea Plower, Boetia tenait la boutique en flirtant innocemment avec Marshall McCready, l’un des gardes de la banque, et Calpurnia faisait des avances au révérend Gideon Fairlove, sa dernière proie en date. Une bonne petite famille dysfonctionnelle comme il en existait tant.

Le jour du braquage, alors que la diligence repartait, Lucius se disputait encore une fois avec Boetia -tout en rangeant l’argent dans le coffre- au sujet du futur époux de leur fille unique. Calpurnia tenait compagnie au cow-boy boiteux -Buck Weaver- en l’entretenant de sujets variant de la meilleure manière de dresser un cheval jusqu’à l’arme la plus indiquée pour chasser les vautours d’une carcasse de vache. Elle voulait retirer un peu d’argent pour aller boire un coup au saloon, mais son père insistait pour qu’elle attende l’ouverture comme les autres.

Adossée au chambranle de la porte, habillée d’une robe corsetée de couleur sable dont les boutons dorés brillaient au soleil, la blonde levait les yeux au ciel en entendant la discussion de ses parents sur les attributs que devaient avoir son époux. Elle enfoui ses mains dans les poches de ses jupons -longs pour l'instant, tant qu'elle était en vue de ses parents- et échangea un regard amusé avec Buck pendant que Marshall aidait son père à vider les sacs d'argent dans le coffre.

« Il vaut mieux une tête bien faite qu’un corps de barbare, répétait Lucius pour la millième fois. A quoi ça va lui servir d’avoir un époux musclé s’il ne peut pas aligner deux pensées et faire fructifier l’argent de sa dot ?
- Et à quoi ça lui servirait d’avoir un gros cerveau s’il n’est pas capable de protéger ma petite fleur des dangers du désert ? Tu crois que réciter du Whitman lui permettra d’éviter de se faire rançonner par des bandits ? Je maintiens que Colton Lockwood est le parti le plus intéressant de cette ville. Et je refuse que mon bébé s’éloigne pour aller vivre à des milliers de kilomètres de moi ! Elle aura besoin de mon aide quand elle aura des enfants à son tour !
- Même si elle vit loin, elle aura du monde pour l’aider ! Le fils de mon ami banquier, Dale Whitmore, est très proche de sa mère et de ses sœurs. Elle ne sera pas toute seule !
- C’est non ! Et si tu ne veux pas que ton repas soit trop salé ce soir, je te conseille d’arrêter de proposer ce petit prétentieux qui ne saurait pas reconnaître sa queue de la crosse d’un révolver, Lucius. »

Bien que très puritaine, Boetia n’hésitait pas à utiliser un langage plus vulgaire quand elle était furieuse. Et son époux savait très bien qu’il devait abandonner la lutte quand elle commençait, au risque de se retrouver affamé et avec des affaires trouées sur le dos. Quand il fermerait la banque, ce soir, il lui laisserait le temps de se calmer en allant se détendre dans les bras d’Andrea.

« Calpurnia, chérie. Tu voulais retirer combien ? Et attention, je ne veux pas que tu boives autre chose que du thé ! Madame Marlowe m’a mis au courant pour la bouteille de whisky de la semaine dernière ! Ce n’est pas digne d’une jeune femme de bonne famille !
- Pèèèère !, Geignit la blondinette en ajustant la ceinture de cuir qui ceignait sa taille fine. Je ne suis plus une enfant ! Je sais ce que je fais ! Tu as bien vu que j’ai réussi à atteindre toutes les cibles à l’exercice de tir ce week-end !
- Ton père a raison, jeune fille. Tu n’es pas l’une de ces catins du saloon, tu dois te comporter avec grâce et élégance ! Complètement ivre n’est pas un état flatteur. Et si j’entends que tu nous as désobéi, je te confisque ce révolver et j’annule tes sessions d’entraînement ! Est-ce que je me suis bien fait comprendre, Calpurnia Rosalie Tanner ? »

Baissant la tête à la mention de son nom complet, la jeune femme masque le roulement de ses yeux en murmurant d’une voix penaude mais absolument pas sincère.

« Oui, mère. C’est compris. Je peux avoir 2$ ? »

Avec un soupir, sa mère se retourna en direction du coffre que son père venait de refermer. Aucun des trois -des cinq si l’on comptait les deux gardes- ne se doutaient que les choses allaient bientôt dégénérer.

6
One Shot / Re : Je l'aurais un jour, je l'aurais... (PV avec CT)
« le: samedi 06 décembre 2025, 20:03:39 »
Décidément, cette attitude qu’il avait la rendait toute chose. Cette autorité qu’il dégageait… Et ses doigts ! Présage gémissait contre lui alors qu’il les faisait explorer son antre encore trempée, gorgée de foutre, de cyprine et d’envie. Ses reins accompagnaient les mouvements, son souffle se faisait court, et elle allait sûrement avoir un autre orgasme d’ici pe-

Un geignement plaintif s’échappa de ses lèvres entrouvertes tandis qu’il retirait ses doigts. Elle était si proche ! Ce geignement fut toutefois vite remplacé par un petit couinement de plaisir tandis qu’il la portait pour la faire s’empaler sur sa trique. La blonde sourit contre l’épaule de l’homme, s’accrochant à ses épaules et serrant les cuisses autour de ses hanches pour venir nouer ses chevilles dans son dos. Ainsi arrimée, elle ne tomberait pas !

Ils sortent du tunnel, et elle lui donne la direction générale de son appartement pour commencer. Tandis qu’il marche, elle profite du balancement de son bassin contre le sien, de ce sexe qui est confortablement installé entre ses cuisses. Elle s’efforce de ne pas gémir et ne fait que soupirer contre son épaule, exploitant sans vergogne les mouvements de ses pas pour contracter ses chairs autour de lui.

Quand il s’arrête, elle fronce les sourcils. Mais ses paroles effacent bien vite cette expression. Elle n’a absolument rien contre de petites pauses sur le chemin, et elle s’exécute sans broncher. Le bruit mouillé et obscène de sa queue épaisse qui quitte son fourreau humide l’enchante, de même que le chuintement qui se répète quand il revient se caler entre ses reins. La blonde ne fait pas gaffe à ce qui les entoure, et son sixième sens ne voit pas l’intérêt de la prévenir de l’arrivée des deux passants. De toute manière, Tank se charge de couvrir son visage pour qu’elle ne soit pas reconnue. Elle lâche quelques petits gémissements tandis que l’idée de se faire prendre ainsi devant des passants devient réalité. Elle pousse même l’audace jusqu’à redresser le buste afin d’exposer sa poitrine arrogante.

Calamity n’a rien contre un peu d’exhibitionnisme. Faire participer ces deux passants, en revanche ?

Ah, ça passe aussi, à en juger les frémissements de son corps quand le malfrat propose que les deux jeunes sortent leurs queues afin qu’elle se charge de les branler. Ils sont d’ailleurs prompts à accepter, et la blonde ne tarde pas à sentir deux sexes masculin glisser dans les mains qu’elle a ouvert à leur intention. Ses doigts se referment sur ces tiges qui durcissent à vue d’œil -même si elle ne les voit pas- avant de changer de position pour que ce soit plus confortable.

« Ces biscuits chinois avaient raison ! Marmonne l’un deux tandis qu’elle le branle vigoureusement. "Une rare opportunité va se présenter à vous", qu’il disait. Ha ! J’a-dore ! »

L’autre répond par un grognement, observant Tank un instant avant de saisir la main qui le branle pour s’en servir lui-même. Présage ne rechigne pas, le laissant utiliser ses doigts fins enroulés autour de sa queue comme il l’entendait.

« J’vais lui recouvrir les seins de foutre, mec ! S’excite-t-il, son autre main venant agripper l’un des généreux seins aux tétons érigés. Ça ne vous dérange pas si j’libère ses loches, hein m’sieur ? Mais, visiblement, le contact avec le tissu ne lui plaisait guère. »

Il n’attendit d’ailleurs pas la réponse de Tank pour arracher le fin tissu élastique qui moulait sa poitrine. Avec un gémissement approbateur, il se rapprocha en retirant la main de l’héroïne de sa trique. Il attrapa sa poitrine à pleine main, la forçant à redresser la tête pour que la cape sur son visage ne le gêne pas, et vint caler son chibre entre les deux monts féminins.

« Aaah, ouais, beaucoup mieux ! Si tu veux en profiter, mec, va falloir que tu m’dise avant que j’y jute ! Pu-tain, elle est trop bonne ! »

Et il se déhanche en serrant les seins opulents de la mutante contre sa queue veineuse. Un fantasme à lui devenu réalité.

Son pote ne tarda d’ailleurs pas à émettre le souhait d’en profiter, et il se recula pour lui laisser la place. Et Calamity, pendant qu’ils se faisaient plaisir contre son corps ? Elle gémissait comme une petite chienne sous la cape qui masquait ses traits. Elle ondulait pour répondre à chaque coup de reins de Tank. Elle se sentait partir vers l’orgasme à vitesse grand V. Sentir les deux jeunes hommes lui éjaculer dessus sera probablement la goutte qui la fera passer de l’autre côté.

7
Le regard clair de la veuve avait en effet bien remarqué l’approche silencieuse de l’ancien athlète. Avec un sourire en coin, elle n’avait pourtant pas cessé d’onduler : un appel clair et sans équivoque.

« Un whisky, c’est noté, a-t-elle susurré en tirant un verre et la bouteille de whisky cachée au fond du minibar. »

Et tandis qu’elle s’affairait à verser un Macallan de dix-huit ans d’âge dans le verre à whisky, Vance avait fini son approche et se tenait contre sa croupe. Catalina ferma les yeux un instant, exhalant avec délice quand il la gratifia d’une claque sur son fessier offert, et les rouvrit avec un petit rire tandis qu’elle frottait son séant contre l’éveil d’une nouvelle érection.

« Peut-être… Après ce second round ? Souffla-t-elle en attrapant un autre verre afin de le remplir aussi, pour elle-même cette fois. Pour nous désaltérer avant de repartir pour un tour ? »

Elle se redressa finalement, les verres à la main, se frottant indécemment contre lui. Posant les verres sur le bar, refermant le battant avec le genou, l’ancienne tueuse pivota son buste sans se dérober à la sensation du membre qui s’érigeait contre elle. Les trois boutons de son chemisier semblaient tenir par l’opération du Saint-Esprit, le tissu luttant pour rester fermé contre l’opulente poitrine qui n’était plus emprisonnée dans son carcan de dentelle.

« Après cette mise en bouche, j’ai bien envie de tester la suite, murmura-t-elle en levant le visage vers le sien. De profiter pleinement de l’expérience qui s’offre à moi, ajouta-t-elle en saisissant l’une des mains de Vance pour la guider vers les courbes qui étiraient le tissu de son chemisier. »

Elle se retourna finalement complètement, laissant ses doigts agiles faire leurs affaires pour débarrasser l’ancienne star du catch de tout ce tissu superflu qui masquait son torse puissant. Aussi près du bar, il n’avait qu’à tendre la main s’il voulait boire une gorgée tandis que la veuve s’affairait à faire glisser ce qui couvrait son torse pour venir déposer des baisers lascifs contre sa peau nue.

« La soirée ne fait que commencer, de toute manière. On aura amplement le temps de… boire un verre… Mmmh ? »

Ses iris d’azur commençaient de nouveau à être mangées par le noir de ses pupilles. On pouvait dire beaucoup de chose de Catalina. L’une d’entre elle étant qu’elle était une amante insatiable. Ou que sa gourmandise n’avait probablement pas de limites une fois réveillée. Tout cela, Vance en ferait l’expérience ce soir.

Libérant une main pour décaler les verres sur le mini-bar, la sulfureuse brune esquissa un sourire taquin en reculant pour ensuite s’y hisser, écartant ses cuisses pâles pour l’inviter à revenir se coller contre elle. Et s’il ne le faisait pas assez vite, la veuve pourrait faire preuve d’impatience en venant le tirer par la ceinture de son pantalon. Ceinture et pantalon qu’elle s’employa d’ailleurs à déboucler et faire glisser pour libérer l’attirail qui ne manquera pas de la combler pour la nuit.

« Pour le moment, je n’ai soif que de toi, Vance…, susurra-t-elle en lui offrant ses lèvres avides. »

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One Shot / Re : Je l'aurais un jour, je l'aurais... (PV avec CT)
« le: jeudi 04 décembre 2025, 19:25:10 »
Si, en temps normal, c’est Présage qui mène la danse, la situation est toute autre ce soir. Et la blondinette n’est absolument pas contre ce changement. Elle adore sentir la poigne solide de Tank contre son corps, alors qu’il serre son cul si fort qu’elle en aura probablement un bleu le lendemain. Elle se complaît dans cette attitude dominante qu’il a adopté. Chacun de ses mots la laisse tremblante, soupirante, alors qu’il ne cesse de venir marquer son passage dans sa petite chatte trempée. Elle ne peut que murmurer, gémir, soupirer… Crier son nom. Comme une ode à sa virilité. A la manière dont il cogne aux portes de son utérus à chaque coup de rein.

Calamity n’a presque plus de souffle pour démontrer son enthousiasme. Heureusement, voilà qu’elle le sent se ficher profondément en elle. Encore. Et encore. Et elle ressent chaque tressautement de son chibre qui tapisse son intérieur de ce foutre épais, gluant, qu’elle a goûté précédemment. Ses ongles griffent ses épaules, sur le costume qu’il porte encore, tandis qu’elle sent un autre orgasme -moins puissant- faire s’étrangler un cri dans sa gorge. Apparemment, rien que le fait de le sentir la remplir suffit à ce que l’extase dévaste ses sens.

« Fiou, marmonne-t-elle en essayant de reprendre ses esprits alors qu’il s’était finalement retiré, laissant des coulées de fluide sirupeux descendre le long de ses cuisses rougies. Te détacher, mmh ? »

Elle sourit, adossée au mur alors que ses jambes ont du mal à retrouver leur stabilité. Elle peut toujours sentir sa chaleur qui se propage à son corps alors qu’il reste à proximité. Son regard clair reste attiré par le chibre qui luit dans la faible luminosité des lieux. Elle ne l’en détache que lorsqu’il attrape son menton pour la forcer à lever la tête vers lui. Un frémissement la fait se tortiller contre le mur alors qu’il ne perd pas cette attitude autoritaire. Elle en perd presque le souffle, ses lèvres s’entrouvrant d’elle-même tandis que le sens de ses paroles est enfin compris par son esprit prompt à la distraction.

« Oh, si tu insistes… Lâche-t-elle finalement dans un soupir, un sourire amusé luttant pour ne pas se montrer sur ses lippes rougies. »

Son corps, cela dit, trahissait le trouble qui l’agitait alors qu’elle se sentait incapable de lui refuser quoi que ce soit dès lors qu’il lui parlait de la sorte, qu’il la dirigeait de cette manière. Sans que ses prunelles bleues ne quittent celles du malfrat, Calamity glissa une main légère à sa ceinture pour en retirer les clés des menottes. A tâtons, elle chercha la serrure des petits bracelets d’argent pour y insérer la clé. Après un clic signifiant l’ouverture, elle tira sur la paire de menottes pour libérer le poignet de son amant les raccrochant à sa ceinture.

« Je veux bien t’emmener chez moi, mais tu me portes ! S’exclame-t-elle finalement en retrouvant un peu de ses esprits. »

Un sourire salace étira cette fois franchement ses lippes tandis qu’elle levait les bras pour qu’il la prenne contre lui, contre son torse, afin qu’elle noue ses chevilles dans son dos et revienne s’embrocher sur sa queue pour toute la durée du trajet. Rien n’empêchait, en effet, de lier l’utile à l’agréable.

« J’te guiderais, t’en fais pas, rassura-t-elle avec un clin d’œil. »

S’il acceptait, si effectivement il consentait à la prendre dans ses bras pour qu’elle puisse profiter de son chibre pendant qu’il marchait, elle le guiderait. Elle lui ferait prendre les ruelles où l’on ne croise jamais personne. Elle lui ferait prendre des raccourcis, jusqu’à finalement arriver en vue de l’immeuble dans lequel elle avait un petit appartement de quatre pièces. Elle lui donnerait le code de la porte d’entrée, et le numéro de l’étage. Ainsi que le numéro de son appartement. Elle lui dirait absolument tout ce qu’il devait savoir pour finalement pénétrer dans son intimité, figurativement parlant. Elle ne craignait pas que ça lui retombe dessus sans qu’elle ne le voit venir, après tout. Et elle se demandait même si, connaissant son adresse, il ne s’arrêterait pas « à l’improviste », de temps à autres, pour venir la remplir comme elle aimait si bien.

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One Shot / Re : Je l'aurais un jour, je l'aurais... (PV avec CT)
« le: mardi 02 décembre 2025, 21:11:00 »
L’héroïne ne lâchait pas sa prise sur Tank, enivrée par le plaisir qu'il lui offrait. Elle était tout à fait partante pour finir incapable de marcher, pour peu qu’il la ramène chez elle -ou chez lui- afin de remettre le couvert autant de fois qu’il le pourrait. Elle n’avait peut-être qu’un pouvoir de prédiction, mais son organisme mutant était malgré tout plus endurant qu’une simple humaine.

Mais la seule chose qui sort quand elle ouvre la bouche, ce sont des gémissements, des cris d’extase alors qu’il prend possession de son intimité à grands coups de triques, qu’il la secoue sans ménagement sur son chibre épais. Présage n’est plus qu’un amas de nerfs électrisé par chaque coup de rein donné. Elle n’a plus rien d’héroïque ainsi malmenée, appréciant chaque instant de cette étreinte sauvage, brutale. Et elle ne peut que l’encourager, encore et encore, d’une voix qui se brise parfois alors que ses chairs se contractent autour de son amant.

« Aaa-aah, oui, Tank ! En-Encore ! Halète-t-elle avec difficulté. Remplis-moi, aaaah, partout ! »

Et alors qu’il commence à tenir sa croupe, à malaxer de sa main libre, la petite blonde s’arque contre le colosse, sa tête venant cogner le mur sans qu’elle ne s’en rende compte. L’orgasme est arrivé sans prévenir, à l’écouter lui dire à quelle sauce elle allait être mangé. Fulgurant, étourdissant. Le cri de jouissance s’étrangle dans sa gorge tandis qu’elle semble verrouillée contre le criminel, accrochée autant avec ses cuisses qu’avec ses bras.

« Haaa, Tank, putain… Exhale-t-elle finalement alors que son corps s’assouplissait de nouveau. Et d’un, mmh ? Plaisanta-t-elle, le souffle court, en ramenant son front contre le torse de son amant. »

Mais un orgasme était loin de la rassasier, bien entendu. Surtout avec le programme alléchant que lui avait promit l’homme. Et son regard clair, empli de lascivité alors qu’elle levait les yeux vers lui pour l’observer entre ses cils, l’indiquait tout aussi clairement que la manière dont ses reins repartaient déjà pour contrer chaque mouvement du malfrat, pour faire s’entrechoquer leurs bassins à chaque coups, tandis que sa cyprine coulait contre lui, gouttant au sol.

« Je vais tellement jouir que ton costume sera bon à changer, susurre-t-elle avec un sourire en coin, ses yeux roulants parfois dans leurs orbites alors que ses chairs sensibles étaient sollicitées encore et toujours. »

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Bon. Pour ne pas polluer le récap et que je puisse continuer à poster derrière à chaque nouveau compte...  ;D

Donc ! S'il y en a qui seraient tentés d'incarner les frères Dalton alors que ces derniers viennent de braquer une banque et tente d'échapper au shérif, je peux proposer un tout nouveau personnage qui n'a pas de fiche mais qui bravera la section des One-Shot pour se faire kidnapper par ces mécréants. Je vous présente donc Calpurnia Tanner, qui préfère qu'on l'appelle Callie, la fille du shérif judicieusement en train de retirer des fonds au moment du braquage.

Pour ce sujet, j'accepte les réponses à la suite ou les MPs, ou même sur Discord. Je signalerais ici quand la place sera prise.

EDIT : La place est prise !


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One Shot / Re : Je l'aurais un jour, je l'aurais... (PV avec CT)
« le: lundi 24 novembre 2025, 18:56:43 »
Un frémissement d'anticipation courant contre sa peau, la jeune femme sourit de toutes ses dents en écoutant la réponse de Tank. Elle ne se fait pas prier quand il soulève sa cuisse pour la caler contre ses hanches, et elle s'accroche à ses épaules afin de l'y aider. Un petit halètement d'impatience souligne le moment où sa culotte se retrouve arrachée, ruinée par la force du criminel, et c'est un gémissement d'extase qui glisse hors de ses lèvres entrouvertes pour saluer l'introduction du chibre dans sa fleur trempée.

« Oooh, oui… Souffle-t-elle en se hissant complètement sur lui à l'aide de ses mains, venant enrouler ses jambes autour de sa taille alors qu'il est calé bien au fond de son intimité. Et si vraiment je ne peux plus marcher… Mmh, alors peut-être que je te détacherais pour que tu me ramènes chez moi… »

Lui offrir ainsi de découvrir où elle habitait ne lui faisait pas peur. Son sixième sens, verrouillé sur sa personne, la préviendrais bien vite de toutes « représailles » qu'il pourrait avoir envie d'exécuter. Le pire qui pourrait arriver serait de dévoiler son identité civile. Mais même ce détail ne l'embêtait pas.

Le genre qui… aaah, oui ! Qui aime vraiment ça ! S'exclama-t-elle dans un gémissement tandis que ses reins accompagnent les mouvements de bassin du colosse. Le genre… Ooh, oui, comme ça ! Le genre qui n'a pas peur de te supplier de la ravager avec ta grosse queue, Tank, mmmh… »

Oui, peut-être bien que Calamity était nymphomane sur les bords. Elle n’avait en tout cas aucun scrupules à se montrer docile et obéissante quand il s'agissait d'avoir ce qu'elle voulait. Ou agressive et déterminée. Peut-être que ce n'était pas très héroïque de sa part, mais elle était humaine avant tout.

Ses hanches se balançaient, cognant contre le bassin de l’homme, tandis qu'elle l'aidait à la ruiner comme une petite chienne en chaleur. Elle profita de sa position, accrochée aux épaules et à la taille de Tank, pour pousser contre le mur, l'incitant à se tourner et à la coincer contre le mur auquel il était attaché. A la plaquer contre la roche pour mieux lui casser les reins avec ses coups de butoir brutaux.

« Ah, putain, oui ! Défonce-moi Tank, gémit-elle en arquant ses reins. Remplis-moi jusqu’à ce que j’en dégouline, s’écria-t-elle crûment alors qu’elle griffait les épaules de l’homme en s’accrochant férocement à lui. »

A cet instant, elle ne pensait plus du tout au collier qu’elle lui avait subtilisé. Elle ne songeait qu’à la sensation absolument délicieuse, indécente, de son chibre qui la fourrait sans merci. Elle ne pouvait penser qu’à la sensation de son corps contre le sien, à la manière dont ses hanches cognaient contre les siennes, la faisant se sentir remplie, complète et absolument décadente.

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One Shot / Re : Je l'aurais un jour, je l'aurais... (PV avec CT)
« le: dimanche 23 novembre 2025, 11:42:43 »
Diligemment, Calamity avalait et flattait la trique de Tank qu'elle s'était appropriée sans demander. Elle savait qu'il aimait qu'elle s'en occupe comme elle le faisait, même s'il appréciait moins la partie où elle le laissait prêt à être cueilli par les flics. Mais elle attendait encore qu'il réveille son côté dominateur pour profiter pleinement de l'expérience.

Elle n'eut pas à attendre longtemps, cela dit. Il sorti finalement de son hébétude pour prendre les rênes. Et le regard brillant qu'elle dirigeait à son encontre semblait le remercier alors même qu'il venait cogner durement contre sa gorge, prenant un rythme plus brutal que ce qu'elle avait initié.

La main contre son crâne se faisait ferme et autoritaire. A genoux devant lui, les cuisses écartées et sa fleur suintant du plaisir qu'il déclenchait chez elle, Présage laissait entendre à quel point elle aimait ça, à quel point elle voulait sa queue effectivement, à grands renforts de gémissements qui s'étouffaient contre la masse de chair qui venait déformer sa gorge, ses joues.

Elle sentait la salive s'amasser au coin de ses lèvres, mousser devant la puissance et férocité des coups de reins dont Tank la gratifiait. Elle sentait ces fluides couler contre son menton, goutter contre son décolleté. Respirant par le nez, par à-coups, l’héroïne ne pouvait que subir alors que ses mains s'agrippaient aux hanches masculines pour se maintenir ou continuaient à flatter les bourses pleines qu'elle espérait bien vider cette fois-ci. Mais elle subissait avec délice cet assaut sauvage entre ses lèvres, contre sa gorge.

 Ses grands yeux de saphir, mouillés de larmes mais si expressifs, s'efforçaient de ne pas le lâcher du regard. De communiquer à quel point il la comblait en ravageant sa gorge accueillante. Et à quel point elle brûlait de le sentir se déverser en elle.

Ce qui ne tarda pas à arriver, d'ailleurs. Le nez bloqué contre son aine, Calamity eut la joie de sentir des jets de foutre chaud couler dans sa gorge alors qu'elle peinait à déglutir autour de la queue plantée en elle. Il était généreux avec la dose et la blonde sentait le sperme qui venait jusqu’à couler à la commissure de ses lèvres, joignant les épais filets de salive qui s'y trouvaient encore.

Quand, enfin, le flot se tarit, quand la blonde sentit le criminel relâcher la pression de sa main contre son crâne, elle releva la tête. Libérant enfin le chibre épais après en avoir aspiré la moindre parcelle à mesure qu'elle redressait la tête, la jeune femme haletait mais paraissait très heureuse d'avoir reçu toute cette attention. Avec un sourire en coin, la belle récolta même la salive mêlée au sperme qui avait coulé et suça ses doigts avec un air des plus salaces.

Indécente, avec ses lèvres rougies, ses yeux larmoyants et ses cheveux emmêlés par la main de Tank, Calamity n'en avait pourtant pas fini avec lui. La dernière fois, ils avaient été interrompus alors que les flics se montraient plus efficaces que prévu. Cette fois, dans ces tunnels oubliés, il n'y avait pas ce risque. Et elle comptait bien en tirer avantage pour se retrouver remplie par le criminel de tous les côtés et de toutes les façons imaginables.

« Tu en avais bien besoin, mmh ? Ronronna-t-elle après s’être nettoyée de façon tout aussi obscène qu'elle avait été souillée. Ne t’inquiètes pas, c'est loin d’être fini. Les flics ne risquent pas de débarquer alors que l'apéritif est à peine commencé. »

Et, avec un petit sourire prédateur, elle vint se coller à lui, ses mains parcourant le corps mâle tout en défaisant habilement les attaches qu'elles pouvaient trouver pour dévoiler le colosse dans toute sa splendeur, tel Adam au premier jour. Ses lèvres venaient le taquiner tandis qu'elle faisait glisser le fourreau de l'immense épée pour le poser délicatement par terre.

« Comme c'est de ma faute si tu t'es retrouvé ainsi plein la dernière fois, je vais me vais me faire pardonner. Je te laisse choisir l’ordre et la manière dont tu vas me remplir. Ça te conviens, mon cher Tank ? »

Quand elle eut fini de le mettre à nu comme elle le pouvait, la blonde lui offrit un sourire radieux. Elle se hissa sur la pointe des pieds pour venir lui mordiller le lobe de l'oreille.

« Je te laisse même le choix de si tu me veux en tenue d'Ève ou bien si tu préfères me souiller avec ma tenue. Ne suis-je pas généreuse, mmh ? »

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One Shot / Re : Je l'aurais un jour, je l'aurais... (PV avec CT)
« le: samedi 22 novembre 2025, 15:05:38 »
Le regard brillant, Présage sent la queue durcir entre ses lèvres à mesure que sa langue la flatte. La main qui maintient sa tête contre l’aine masculine ne la gêne pas. Pas encore du moins. Tant que la trique s’obstrue pas sa gorge, la belle peut facilement respirer par le nez. Et quand elle déglutit, sa langue presse la chair en cours de rigidification contre son palais. Ses mains ne sont pas en reste, flattant les derniers membres du service trois pièces. Elle le sent paradoxalement se détendre au fur et à mesure qu’il durcit. Et ça l’excite.

Enfin, la pression de la main diminue. Calamity ne tarde pas à commencer à faire coulisser le sexe de Tank entre ses lèvres. D’abord d’un rythme lent, langoureux, se laissant le temps de flatter le chibre veineux de sa langue. Se laissant l’opportunité d’aspirer délicatement la peau sensible. Puis plus vite. Sa tête pousse contre la main qui résidait toujours dans sa crinière blonde à chaque fois qu’elle recule jusqu’à ce que seul le gland demeure au chaud entre ses lèvres. Et elle le tourmente du bout de sa langue, traçant la corolle et le méat, avant de la caler de plus belle au fond de sa gorge. Toujours plus profondément, toujours plus vite.

Ses grands yeux bleus se mettent à larmoyer alors qu’elle pousse jusqu’à ce que ses lèvres touchent la base du sexe érigé et s’y verrouillent tandis qu’elle contracte sa gorge autour de la tête qui s’y niche tout au fond. La belle adore sentir le criminel abandonner la lutte tandis qu’elle l’avale jusqu’à la garde. Le voir rendre les armes face à la fellation qu’elle lui impose, ça l’excite encore plus. Et comme il est endurant, Présage ne craint pas de le faire venir repeindre sa gorge avec son foutre. Elle sait qu’il y en aura une autre fournée après.

Décidée à lui offrir un moment détente inégalé, et à le sentir exploser au fond de sa gorge, l’héroïne redouble ses efforts pour lustrer sa queue. Elle augmente la cadence, invitant subtilement l’homme à s’accrocher de plus belle à ses boucles blondes, et fait buter ses lèvres contre son aine. Encore, et encore, et encore. Son étreinte sur les bourses pleines se fait plus ferme mais toujours aussi délicate. Et son regard… Oh, son regard ! La blonde garde les yeux levés vers le colosse, lui offrant un regard empli de désir. Elle est obscène et indécente, à saliver abondamment autour du chibre qu’elle dévore.

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One Shot / Re : Je l'aurais un jour, je l'aurais... (PV avec CT)
« le: jeudi 20 novembre 2025, 13:04:28 »
Pirouette sur la gauche, lui dit son instinct. Et Calamity ne réfléchit pas plus loin. Elle tourne sur elle-même, se rapprochant du mur, tandis qu'elle descend deux marches de plus. L'imposant criminel plonge, passant à quelques centimètres de ses hanches, et dévale l'escalier tête la première. L'héroïne s'arrête er s'accoude à la rambarde, toisant l'homme qui termine sa chute en bas. Un petit rire lui échappe. Elle ne s’inquiète pas, Tank est résistant. Il lui faudrait bien plus que ça pour se retrouver blessé.

« Tu n'es pas joueur aujourd’hui, mon chaton, soupire la facétieuse blonde. Il faut te détendre un peu. Regardes-moi ça, cette posture rigide… Mais ne t'en fais pas, je sais exactement ce qu'il te faut ! »

Passant une main à sa ceinture, Présage descend quelques marches d'un pas lent, ne semblant pas craindre le moins du monde une quelconque perfidie. Arrivée presque à portée de main du colosse, elle lui offre un sourire qui n'augure rien de bon.

D'un bond, la main qui était à sa ceinture se lance vers celle -tendue- du criminel tandis qu'elle lui saute dessus. Ses jambes s'enroulent autour de la taille masculine, un bracelet métallique bien spécial cliquète au poignet offert de Tank, et l'impulsion donnée par son corps pousse l'homme à reculer de quelques pas. Juste assez pour que la blonde, profitant de l'effet de surprise, parvienne à refermer le second bracelet des menottes contre un anneau fixé sur le mur de pierre derrière lui, juste à hauteur de ses épaules.

Ils ont fier allure, ces deux-là. Elle, arrimée à la taille de son adversaire avec une main contre son épaule et l'autre encore sur la paire de menottes. Lui, une main menottée au mur et une séduisante petite créature collée à son torse. Calamity rit soudainement, sa poitrine se soulevant avec sa cage thoracique et cognant probablement contre le menton masculin alors qu'elle rejette la tête en arrière.

Même s'il récupérait le collier, à cet instant précis, il ne pourrait rien en faire. Elle ne se sent donc pas particulièrement menacée dans cette position qu'ils ont. Elle ne relâche pas son emprise sur lui, remontant sa main doucement contre le bras du colosse pour venir emprisonner sa mâchoire alors qu'elle redresse la tête.

« Tu vas voir, tu seras aussi détendu qu’après de longues vacances quand j'en aurais fini avec toi, susurra-t-elle contre ses lèvres avant de venir l'embrasser voracement pendant de longues minutes, ne rompant le baiser que lorsque le besoin d'air se fit pressant. »

Lestement, elle détacha ses jambes pour se laisser glisser au sol. Ses mains caressent son torse encore couvert et se dirigent diligemment vers une partie bien précise de son costume, défaisant agilement les attaches qu'elle commence à bien connaître pour libérer l'épais mandrin qu'elle sait s'y cacher.

Avec un regard mutin, l'héroïne se laisse glisser jusqu’à ce qu'elle se retrouve à genoux devant le sexe libéré. Elle le ne lâche pas du regard pendant qu'une main vient s’enrouler autour du vît, que ses lèvres s'arrondissent pour venir happer le gland violacé. Elle lui a laissé une main de libre à dessein : pour qu'il l'arrête s'il en avait vraiment envie, ou pour accompagner les mouvements que ferait sa tête pendant qu'elle le sucerait avec appétit. N'était-elle pas aimable de lui laisser ce choix ?

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One Shot / Re : Je l'aurais un jour, je l'aurais... (PV avec CT)
« le: mercredi 19 novembre 2025, 13:23:06 »
Un sourire amusé flottait sur les lèvres de la blondinette. Ses prunelles claires ne quittaient pas le criminel tandis qu'il la reconnaissait et grimaçait.

« Allons, allons, Tank, darling. Est-ce une manière de saluer une amie ? Je t'ai connu plus… affectueux. »

Elle se lève alors qu'il se dirige vers l'escalier camouflé. D'un pas léger, Présage se glisse dans le dos de l’homme, sa main droite venant malicieusement donner une tape affectueuse sur son fessier.

« Ne me dis pas que tu n'as pas apprécié notre dernière… joute, mh ?[/color] »

Un petit rire lui échappe alors que sa main gauche -suivant cet instinct quine la trompait jamais- venait agilement, discrètement, subtiliser le collier volé.

« Tu ne peux pas dire que je ne me suis pas bien occupée de toi. J'ai souvenir d'avoir eu droit à une explosion de joie de ta part, continua-t-elle pour le distraire. Si les flics n'étaient pas arrivés aussi vite, tu aurais été presque décent pour les accueillir… »

Menotté, mais décent. Un sourire narquois orne ses lèvres alors qu’ellese remémore l'instant. Puis elle s'écarte, aussi vive qu'une anguille, pour se retrouver directement devant l'entrée des souterrains, le collier subtilisé accroché à sa ceinture comme un trophée. D'un geste, elle déverrouille l'accès et s'y engage en lançant par-dessus son épaule, d'une voix moqueuse : « Tu viens ? »

Et elle fit tinter le collier en descendant les escalier d'un pas assuré, agile et d'une démarche volontairement aguicheuse.

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