Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Catalina Taylor

Pages: [1] 2 3 ... 38
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One Shot / Re : Je l'aurais un jour, je l'aurais... (PV avec CT)
« le: jeudi 18 décembre 2025, 18:28:22 »
L'héroïne blonde ne pouvait s'empêcher d'apprécier le corps de Tank a travers le reflet du miroir devant lequel elle se brossait et tressait les cheveux pour éviter les nœuds. Elle ne pouvait s’empêcher d'apprécier la puissance contenue qui émanait de lui, sa présence dans ces lieux intimes. La main du colosse contre sa hanche, couvrant une partie du dos et de son ventre en même temps, la faisait frissonner délicieusement. Regardant dans le miroir -large et haut, il pouvait aisément se voir dedans- elle lui offrit un sourire alors qu'elle énumérait ce qu'elle avait en stock pour manger. Un petit gloussement salua la claque sur son cul, et la réponse du malfrat.

« Un repas surprise, c'est noté !, ricana-t-elle, à moitié tentée de lui dire de s'allonger sur le canapé et de lui laper la chatte. »

Tandis que le géant criminel se dirigeait dans le salon, Présage termina de se sécher et enfila un petit kimono noir en synthétique. Nouant la ceinture à sa taille pour que les pans couvre sa poitrine et le devant de son corps jusqu’à mi-cuisse, elle glissa ses pieds nus dans des claquettes estivales qu'elle utilisait comme chausson avant de se pencher pour retirer tout les objets accrochés à son costume, les déposant dans un tiroir, et de jeter le tissu ruiné dans la poubelle.

Une fois dans la cuisine, elle ouvrit le frigo d'un air songeur. Puis ses prunelles s'illuminèrent alors qu'elles se posaient sur des bols en terre cuite vernie remplis de stovies préparé dans le weekend. Les sortant du frigo, elle alluma le four et arrangea les deux bols dedans.

Passant la tête dans le couloir, elle avait une vue imprenable sur le salon et constata que Tank avait trouvé la télé et s'occupait en regardant ce qui passait aux infos. Satisfaite, elle prépara des langoustines avec de la mayonnaise maison pour l’entrée, et apporta des couverts ainsi que deux petites assiettes sur la table basse.

« Langoustines en entrée, déclama-t-elle théâtralement en prenant place à ses côtés. Bon appétit ! »

Avec entrain, elle dévora les langoustines déjà décortiquées, regardant parfois la télé mais observant surtout la réaction du colosse. Quand les assiettes furent nettoyées, et que le four déclara que le repas était chaud par un petit « ding » audible du salon, elle se leva, ramenant la vaisselle sale, et ne tarda pas à revenir avec les deux bols fumants.

« Je ne sais pas si tu as déjà goûté des stovies, mais celui-là c’est la recette de ma grand-mère. Pommes de terre, oignons, agneau, mariné dans de la bière brune. Un délice ! »

Et Calamity lui pose le bol devant lui, avant d’ajouter un « Attention, c’est chaud, le bol était dans le four aussi ! » en retirant les épais gants ignifugés qu’elle avait jusque-là.

Quant au dessert, elle avait quelques glaces au congélateur, un gâteau aux quatre épices à peine entamé, de la chantilly et du coulis de chocolat dans les placards…

2
One Shot / Re : Je l'aurais un jour, je l'aurais... (PV avec CT)
« le: mercredi 17 décembre 2025, 21:46:53 »
L’idée que Tank passe la nuit chez elle -pas seulement ce soir mais à l'avenir également- fait frissonner la blonde d'un sentiment de plaisir et de désir farouche. L’idée de se lover contre ce corps puissant la nuit, de se réfugier dans la chaleur de ses bras… Elle pourrait presque s'en pâmer. Et si on ajoutait à l'équation des scènes de sexe furieux et déchaîné, des réveils coquins et copieux… La petite héroïne salope s'en réjouissait d'avance.

Le regard toujours levé vers le colosse, Calamity ne bronche pas alors qu'il lui demande -qu'il lui ordonne- d'ouvrir la bouche. Elle s'exécute, pensant qu'il voulait retourner besogner encore un peu sa gorge avant la douche, et fut bien surprise lorsqu’elle se retrouva avec de l'urine qui lui giclait contre la langue, qui coulait dans sa gorge.

Surprise, oui, mais pas dégoûtée pour autant. Elle le prouve d'ailleurs en refermant ses lèvres sur ce mandrin qui se soulage, le regard toujours levé vers Tank tandis qu'il se relâche tout à fait. Ses mains agiles s'agrippent à ses cuisses tandis qu'il la pousse à prendre son chibre plus complètement au fond de sa gorge. Le liquide chaud qui lui remplit la bouche la pousse à déglutir, avec peine, tandis que le surplus s'échappe de ses lèvres pourtant verrouillées autour de l'organe virile.

Elle n'avait jamais eu l'occasion d'expérimenter cette pratique particulière, jusque là, mais elle ne s'en plaignait pas. Elle était perverse et délurée à ce point. Elle prenait goût à se faire utiliser de toutes les manières auxquelles pensait Tank.

Quand il eut fini, et que la blonde ne se fut même pas étouffée avec cette abondance d'urine, elle ne le relâcha pas tout de suite, coulissant la trique encore un peu entre ses lèvres avides. Mais il fallait bien commencer à se doucher, aussi s'écarta-t-elle avec regret, se relevant avec l'aide du malfrat.

Se débarrassant rapidement de son costume ruinée, elle le balança hors de la douche à l'italienne. Le tintement contre le carrelage lui rappela brièvement qu'il faudrait qu'elle en retire ses accessoires, et le collier subtilisé, avant de le jeter.

La douche, en elle-même, n’avait rien de remarquable. La petite blonde s’employa à aider son amant à se décrasser, ses doigts fins courant le long de sa peau nue, savonnant puis aidant à rincer. Elle lui demanda s'il pouvait s'occuper de savonner son dos pendant qu'elle faisait un shampoing rapide, et lui indiqua un placard en face de la douche où il pourrait trouver des serviettes éponges bien moelleuses pour s'essuyer.

« Mmmh, tu veux manger un truc ? Je n'ai pas dîner ce soir… Proposa-t-elle en se séchant vigoureusement les cheveux. »

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One Shot / Re : Je l'aurais un jour, je l'aurais... (PV avec CT)
« le: mardi 16 décembre 2025, 19:34:31 »
Est-ce que sa sensibilité à la suite des orgasmes déjà eu la rendait plus facilement réceptive au plaisir que le criminel lui procurait ? Probablement. Est-ce que ça la faisait atteindre un nouvel orgasme plus vite et pour plus longtemps ? Possiblement. Dans tous les cas, Calamity ne se souvenait pas avoir autant flotté au septième ciel que ce soir. La moindre sollicitation de Tank la faisait basculer. Du moins, elle en avait l'impression. Et ce ressenti ne se trouva pas démenti par la suite alors qu'elle peinait à revenir sur terre en sentant que son amant déchargeait enfin entre ses reins.

« Pu-tain…, souffla-t-elle en tremblant alors qu'elle touchait de nouveau le sol. »

Et que ses jambes hésitèrent à porter de nouveau son poids.

Ses prunelles ne quittaient pas le colosse qui se désapait finalement, lorgnant sur ses muscles puissant qu'elle avait senti à l'œuvre depuis le début de la soirée.

« Mmmh… ? Oh ! Oui. Par là, indiqua-t-elle d'un bras en gémissant de la prise dans ses cheveux. »

Elle avait été tellement obnubilé par le corps nu du malfrat qu'elle avait un peu perdu le sens du temps, de la réalité. Et la main du colosse qui ne quittait pas sa crinière -la poussant à l'accompagner, à le guider vers la salle de bain- n'arrangeait pas les choses. Distraitement, elle se dit que c'était une chance qu'elle possède son costume en triple exemplaire, parce qu'il était déjà aussi ruine qu'elle.

Se rattrapant à genoux dans la douche, la belle loucha presque sur la queue de Tank devant ses yeux. Même au repos, elle était impressionnante. Et elle sentait autant le sperme et la cyprine que l'héroïne elle-même.

Brusquée par le ton du criminel, mais pas douchée dans son enthousiasme, elle lui offrit un sourire tout à fait licencieux avant de reporter son attention sur la colonne de chair au repos. Malicieusement, elle souffla dessus un peu pour le plaisir de la voir tressauter, avant de pencher la tête et le buste afin de venir cueillir cette queue souillée par-dessous, ouvrant la bouche en grand pour la laisser glisser contre la moiteur de sa gorge et de son palais.

Verrouillant ses lèvres alors qu'elles entraient en contact avec l'aine masculine, Présage entreprit d'aspirer le membre lourd pour le débarrasser des fluides qui le rendait poisseux. Redressant le buste, elle ne tarda pas à le faire coulisser dans sa bouche affamée, sa langue frottant contre la peau délicate pour en absorber la moindre trace de leurs nectars. Encore, et encore, jusqu’à ce qu'il ne soit plus que luisant de salive lorsqu’elle l'extirpa de ses lèvres après quelques minutes.

Venant enserrer la base du sexe entre ses doigts, sa langue agile venait maintenant jouer avec le gland, se glissant sous la corolle, contre le méat, absolument méticuleuse dans son entreprise de nettoyage. Elle le torturait peut-être, lui adressant des regards scabreux alors qu’elle s’occupait de sa trique, exagérant parfois ses mimiques juste pour le plaisir de voir sa réaction. Puis elle délaissa le gland, mais commença à faire coulisser la queue dans sa main, alors qu’elle s’intéressait finalement aux joyaux qui contenait ces fluides dont il l’avait remplie. Sa bouche les happa, d’abord une par une, puis les deux en même temps. Elle suçotait, aspirait, léchait avec délectation ces réceptacles de semence fortement mis à contribution ce soir. Elle poussa même le vice à venir laper l’intérieur des cuisses de l’homme, ne manquant absolument pas une goutte de son foutre qui avait éclaboussé alors qu’il la remplissait.

Enfin, satisfaite de sa prestation, l’héroïne gourmande décida de frotter le chibre nettoyé contre ses joues, sortant la langue pour lécher quand elle le passait contre ses lèvres, et se redressa tout à fait, restant à genoux mais loin d’avoir l’air de s’en plaire.

« Est-ce assez propre pour toi, Tank chéri ? Lui demanda-t-elle langoureusement, espiègle, alors que sa main n’avait jamais relâché la hampe et que son autre main était venue masser ses bourses quand ses lèvres les eurent délaissées. »

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One Shot / Re : Je l'aurais un jour, je l'aurais... (PV avec CT)
« le: dimanche 14 décembre 2025, 20:18:55 »
Alors oui, Calamity était bruyante dans son appréciation de Tank, dans ses orgasmes. Il était possible qu'elle finisse par réveiller un voisin qui finirait peut-être par venir taper à la porte. Mais c'était un problème pour Future-Calamity.

Par égard pour le criminel, cela dit, la blonde baissa d'un ton. Elle vint même planter ses dents dans l'épaule de son amant pour étouffer les cris suivants alors que son corps ne relâchait pas la pression autour de sa queue, que les vagues de l'orgasme restaient aussi violentes que les coups de reins prodigués.

Elle redressa la tête, cependant, et écouta avec un gémissement alors que leurs bassins qui s’entrechoquaient livraient un son qui allait probablement resté gravé dans son esprit dès qu'elle passerait la porte de son appartement. Le regard plongeant dans celui de son amant, l'héroïne se sentit partir une nouvelle fois quand Tank lui expliqua qu'elle ne cesserait de penser à lui, peu importe où elle se trouvait dans son appart.

« Pu-tain…, haleta la blonde en s'accrochant désespérément à lui, ses yeux se révulsant à nouveau. Ouiii… Aaah, viens… Viens me remplir… je t'en prie… Oooh ! Remplis ta petite chienne de ton foutre délicieuuux ! »

Distraitement, Présage se dit qu’elle allait devoir sortir la serpillère pour le carrelage de l'entrée. Elle ne doutait pas qu'une mare de cyprine se formait avec la puissance de ces orgasmes que Tank lui offrait. Il ne faudrait pas qu'ils glissent, après tout.

« Mmmh, Tank…, susurre-t-elle d'une voix faible. Tu vas m'assécher si tu continues… Et inonder l'immeuble… »

Ce pour quoi elle n'émettait certainement pas de protestation. A vrai dire, il y avait peu de chose qu'elle refuserait à son amant, dans cet état. S'il lui demandait de se mettre à quatre pattes et d'aboyer, elle le ferait avant de venir lui lécher les pieds, les mains, la queue… Elle se découvrait une facette de petite salope, ce soir. Et la nuit ne faisait que commencer…

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@Séliane: Si tu n'as pas peur de risquer, disons, une guerre de gang juste au moment de cette discussion parce que Clochette a, on ne sait comment, réussi à monter deux types l'un contre l'autre... :D

@Randal: Eheheh, sans aucun doutes :D Préparez-vous quand même à l'implosion de la Terre !

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Le coin du chalant / Re : Cherchez le point commun ? (Récap' C. T. Team)
« le: samedi 13 décembre 2025, 19:46:36 »
Merci de ne pas poster à la suite. Si vous êtes intéressés, envoyez-moi un MP sur Catalina Taylor, avec lequel je me connecte le plus souvent.

(J'avais oublié de l'inclure dans ce chalant ! :o)

28. Clarity Terrazzini

MP Ma Fiche



Tekhane Mutante Possède des mains robotiques Etait une virtuose du piano avec ses mains biologiques Mercenaire à ses heures perdues

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Le coin du chalant / Re : Cherchez le point commun ? (Récap' C. T. Team)
« le: samedi 13 décembre 2025, 19:19:44 »
Merci de ne pas poster à la suite. Si vous êtes intéressés, envoyez-moi un MP sur Catalina Taylor, avec lequel je me connecte le plus souvent.

27. Clochette Tintelune

MP Ma Fiche



Fée Imaginée au Pays Imaginaire Peut prendre taille humaine Chaotique et égoïste Exilée de Neverland à cause de perturbations magiques

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Tu peux enlever le "Par Clochette Tintelune" hahaha

Merci bien eheheheh <3

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One Shot / Re : Je l'aurais un jour, je l'aurais... (PV avec CT)
« le: mercredi 10 décembre 2025, 19:15:58 »
Ramener un homme chez elle, l'héroïne me l'avait encore jamais fait. Et quel homme c'était ! La blondinette ne revenait pas du changement qui s'était opéré chez lui, ce soir. Pas qu’il n'était pas assertif en temps normal, mais c’était elle qui était ordinairement l'instigatrice de ce qu'ils faisaient. Il était toujours très enthousiaste -passé les premiers instants de grognements, parce qu'il savait qu'elle allait le laisser ensuite vidé et à la merci des forces de l'ordre- mais elle devait le travailler au corps pour qu'il se laisse aller.

« Oooh, Tank…, soupira-t-elle en se penchant, suivant le mouvement intimé par sa main sur son épaule. Prends-moi dans l'ascenseur, ne put-elle s'empêcher se murmurer en sentant ses mains s'occuper de sa croupe tendue. »

Le bougre a décidé de la faire languir, cependant. Elle exprime sa frustration autant que le plaisir qu’elle prend tandis que ses doigts viennent s'inviter entre ses lèvres intimes, fouillant son cœur brûlant. Elle ne peut lui répondre verbalement, mais le regard qu'elle lui lance en regardant dans le miroir en face est probablement assez expressif. Ses mains se crispent sur la rambarde alors qu'il joue avec elle.

« Oooh, oh oui ! S'écria-t-elle en le sentant effleurer sa rondelle serrée, ne pensant pas qu'il allait un jour tenter de venir s'y introduire. »

Elle ondule sa croupe contre lui, espérant pousser suffisamment pour que son pouce y pénètre par « accident », mais il est trop adroit. Calamity est certaine qu'elle ne pourra penser qu’à ça la prochaine fois qu'elle prendra l'ascenseur. Son regard accroche la mouille qui coulent contre ses cuisses, qui vient s’échouer contre le sol, et elle gémit de plus belle en songeant aux réactions des prochains qui prendront l’ascenseur.

L'un de ses bras se lève pour essayer d'appuyer sur le bouton, mais les attentions du malfrat sont décidément trop distrayante. Ce n'est pas avant plusieurs minutes que ses doigts appuient enfin sur le bouton. Une fois qu'elle a réussi, elle se laisse alors complètement distraire par les sensations qu'il lui offre, se tortillant sans cesse sous l’effet de ses doigts.

Elle ne se rends même pas compte qu'ils sont arrivés, laissant le colosse la guider jusqu’à son appartement, ayant tout juste assez de mémoire physique pour ouvrir la bonne porte. Et elle retrouve enfin la sensation grisante de sa queue qui la pourfend, contre le mur de l'entrée, réagissant aux stimuli avec un grand cri d’extase.

« Putain, ouiii ! Défonces-moi, Tank ! Remplis-moi de foutre !, s’exclame-t-elle en arquant les reins pour mieux le sentir cogner contre l'entrée de son utérus, et contre le point sensible juste à côté. »

Elle se laisse gagner par la fièvre qui était montée autant durant le trajet dehors que dans l’ascenseur, encourageant son amant d’une voix qui s'étranglait parfois sur un gémissement. Elle voulait qu'il la prenne partout dans l'appartement. Contre le mur, dans la cuisine, dans la salle de bain, dans le salon… Dans son lit, aussi. Elle voulait se souvenir de lui à tout moment. De sa queue qui la ramonait, de ses mains qui la maltraitait avec délices…

Finalement, après autant de temps à flirter avec la limite d'un nouvel orgasme, l'héroïne finit par franchir la ligne alors que Tank cognait à un endroit particulièrement sensible, érogène, en son centre.

« Taaaank, s'exclama-t-elle d'une voix brisée, s'arquant encore plus contre lui, serrant les cuisses autour de ses hanches. »

Les yeux révulsé, ses parois compressant la trique épaisse, Présage inonda encore un peu plus son amant. Mais ce n'était que le début. L'héroïne délurée réservait encore pas mal d'endurance pour que le criminel puisse la ravager de tous les côtés. Et si besoin d'un remontant ? Le frigo et le bar étaient pleins.

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One Shot / Re : Je l'aurais un jour, je l'aurais... (PV avec CT)
« le: lundi 08 décembre 2025, 19:00:19 »
Surfant sur les vagues de plaisir qui la ravagent, Calamity ne sait plus où donner de la tête, tirant légèrement sur les chibres de nouveau raides qu’elle tient pour venir les inciter à se frotter contre sa poitrine. Elle n'écoute que d'une oreille, ne comprenant pas forcément ce qui se dit avec l'esprit autant sollicité par son orgasme, mais comprend très vite quand Tank lui ordonne de venir se mettre à genoux par terre après s'être retiré d'elle. Lui occasionnant par la même occasion un geignement plaintif de ne plus se sentir aussi remplie.

A genoux, assise sur ses talons, la belle ne voit rien de ce qui se passe mais ressent l'approche des deux jeunes. Gémissant sourdement, elle redresse le buste pour mettre en valeur ses seins pointant avec arrogance, et ses mains viennent aider les inconnus à caler leurs chibres contre son visage. Elle pousse même le vice jusqu’à ouvrir la bouche et laper les couilles qui se présentent parfois, ou bien un gland près de ses lèvres, rendant les photos prises encore plus érotiques.

Quand ils s'écartent finalement, laissant des traînées de sperme et de liquide séminal maculant ses joues, Présage peut sentir que c'est le colosse qui se présente ensuite à sa bouche déjà ouverte pour l'accueillir. Avec moult gémissements assourdis par la queue qui coulisse rapidement entre ses lèvres, la jeune héroïne ne se prive pas pour saliver abondamment, lubrifiant le sexe qui goûte sa cyprine.

Ses mains, laissées désœuvrées, viennent alors frotter son bourgeon tandis que Tank la pousse à reculer la tête jusqu’à ce qu'elle soit bloquée par l'assise du banc derrière elle. Et si, jusque là, il ne touchait qu’à peine sa glotte, la profondeur changea rapidement. C'est une Calamity ravie qui accueillait le reste de la trique bandée au plus profond de sa gorge, , bavant toujours plus sans que ce ne soit cette fois volontaire. Elle se tortillait également, frottant frénétiquement sa perle, alors qu'il venait cogner avec ferveur contre les parois cannelées de sa trachée.

La blonde ne veut pas le laisser se retirer de ses lèvres alors qu'ils étaient si bien partis, et ses lèvres se resserrent sur le manche qui recule, tentant de le contrer en l'aspirant toujours plus. Il n'est pas faux de constater que la belle est insatiable, une fois lancée. Un petit soupir plaintif suivit le « pop » du gland qui s'échappait de ses lèvres, et Présage avait adopté une moue boudeuse.

Qui s'effaça rapidement quand son amant retira la cape qui couvrait son visage et la reprit contre lui, sur sa queue veineuse toujours dressée.

« Oooh, Tank, soupira-t-elle contre son oreille. Qu’est-ce que j'aime ce que tu me fais faire ! »

Regardant autour d'elle pour se rappeler où ils étaient, la belle ondula ses reins en s'accrochant aux larges épaules de son amant et lui susurra les prochaines instructions pour se rendre à son appartement.

« La prochaine à droite. Mmmh… Au stop à gauche. Aaah, oui… La deuxième à gauche. Oooh… A droite encore une fois. Mmmh, Tank… Ah, on y est.

Descendant finalement de son perchoir, après avoir gratifié Tank de quelques minutes de twerk contre lui, sur sa queue, la blonde tape le digicode afin d'ouvrir la porte d'entrée, laissant le colosse voir qu'il s'agissait de 04567.

« 6éme étage. Avec ascenseur. Et à cette heure-ci, soit les voisins sont en soirée, soit ils dorment. Il ne devrait y avoir personne pour nous déranger si on retient un peu l'ascenseur…, sourit-elle, taquine. »

Après l’ascenseur, le numéro de la porte de son appart était le 33. Juste en face des portes de l'ascenseur. Et elle laissait toujours sa porte déverrouillée, ne craignant pas vraiment de se faire dévaliser sans que son instinct le sente.

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Catalina se retrouvait déjà haletante alors qu’ils avaient à peine commencé. Mais la main dans ses cheveux, sur son crâne, faisant danser dans son esprit les images de ce qui s’était produit dans la voiture. Elle brûlait de désir depuis tout à l’heure et ce feu ne s’éteignait pas. Il se décupla, au contraire. Et quand elle grimpa sur le bar, exposant sa féminité gorgée d’envie, qu’elle l’invita à s’y installer…

« Ooooh, Vance… Soupira-t-elle en adossant ses épaules contre le miroir, offerte, ouverte, palpitante à l’idée de le sentir en elle. Alors ne te retiens pas, encouragea-t-elle dans un gémissement, flattée, avide. »

Et ses gémissements montèrent crescendo tandis qu’il envahissait sa fleur, qu’il s’insérait jusqu’à ce que leurs corps soient parfaitement emboîtés. La brune s’agrippait aux rebords du bar, fermement maintenue contre le miroir, les traits défaits tandis qu’elle se laissait gagner par la délicieuse chaleur du plaisir. Par l’impression d’être complète avec cette trique fichée au fond de ses reins.

Ses lèvres s’ouvrirent de nouveau pour lui répondre, pour l’encourager à la remplir, à la démonter comme il le fallait, mais ce ne furent que des gémissements qui s’en échappèrent, des halètements d’extase alors qu’il entamait ses mouvements, coulissant entre ses cuisses avec ferveur.

« Oooh, put-ain… Oui… Ravages-moi, remplis-moi…, parvient-elle finalement à prononcer tandis que ses parois intimes se contractaient autour du vît. »

Elle n’avait pas trop de latitude, ainsi perchée sur le meuble. Elle pouvait subir -avec délice- et l’encourager. Ses mains relâchèrent les rebords auxquels elle se tenait pour s’agripper aux avant-bras qui la maintenaient, y laissant probablement la marque de ses ongles quand il touchait un point particulièrement sensible au cœur de sa féminité. La tête appuyée contre le miroir, le chemisier ouvert dévoilant sa poitrine qui bougeait au rythme des coups de reins, la veuve devait être la vision de l’indécence personnifiée. Elle ne recherchait la validation de personne et se montrait telle qu’elle était, ne craignant pas de s’exhiber au regard de l’ancien athlète qui la remplissait si bien. Ses lèvres avides formaient des sons de délices alors qu’elle ne croyait pas être capable d’articuler autre chose.

Toute à ces émois, l’ancienne tueuse ne prêtait aucune attention aux ombres qui se dessinaient sous la porte d’entrée. Focalisée sur la silhouette imposante de Vance qui s’affairait entre ses cuisses, qui lui offrait la réalisation de fantasmes pourtant enterrés depuis longtemps, elle n’entendait pas les murmures de l’autre côté de la porte. Et ses gémissements devaient les couvrir également pour l’ex-catcheur devenu homme d’affaire.

« Oooh, c’est si…. Mmmh… Bon ! S’exclama-t-elle en tentant d’arquer ses reins le plus possible pour mieux le recevoir en elle. Encore… Meilleur… Que dans… Mes fantasmes… Halète la trentenaire dont le corps tremblait d’euphorie. »

Ainsi lancée, ainsi embrasée, Catalina en voulait toujours plus. Toujours plus fort. Plus profond. Plus obscène et indécent. Elle détacha l’une de ses mains pour la glisser contre son pubis, descendant un peu plus et frottant son bourgeon de sa paume tandis que son index et son majeur s’installaient de chaque côté du chibre qui allait et venait en son sein. Elle resserrait les doigts contre la chair lubrifiée qui lui faisait ressentir autant de plaisir, le comprimant à chaque entrée et sortie tandis que les mouvements de sa paumes étaient presque frénétiques.

Au moment où elle atteignait l’apogée, l’extase de l’orgasme, la porte de la suite s’ouvrit en trombe pour laisser passer trois hommes armés qui leur hurlèrent de lever les mains tout en refermant la porte d’un coup de pied.

Prise par surprise, le premier réflexe de la brune fut de balancer l’un des verres pleins dans leur direction tandis que son corps était secoué de spasmes d’un plaisir si intense qu’elle n’était pas certaine de ne pas avoir halluciné l’intrusion. Qu’elle se verrouillait autour de la trique qui la pourfendait avec ardeur, le compressant autant de ses cuisses que de ses chairs.

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One Shot / Re : Je l'aurais un jour, je l'aurais... (PV avec CT)
« le: dimanche 07 décembre 2025, 18:06:39 »
L’héroïne blonde n’avait clairement plus l’air aussi glorieuse. Martelée d’un côté par le chibre épais du malfrat, faisant bouger son opulente poitrine qui servait à branler un jeune geek face à elle pendant qu’elle branlait le second à ses côtés, le tout avec une cape violette lui couvrant le visage. Mais la jeune femme adorait ce traitement et elle se donnait à fond. Ses gémissements se transformaient peu à peu en cris, tandis que l’orgasme s’approchait. Les mouvements frénétiques entre ses seins ne faisaient rien pour calmer le jeu, surtout quand des jets de foutre jaillir de ce gland qu’elle ne pouvait qu’apercevoir sous les mouvements de sa cape.

« Oh, oooh, oui ! Haletait Présage alors que le liquide sirupeux collait au tissu indigo, atterrissait même contre sa gorge dévoilée. Aaaah, plus fort, encore ! Suppliait-elle d’une voix entrecoupée de petits couinements de jouissance. »

Le second type sembla prendre ses encouragement à la lettre, emprisonnant la main sur son chibre pour donner de violents coups de reins, exaltés, jusqu’à ce qu’il se décharge lui aussi dans un grognement de satisfaction. L’héroïne pouvait sentir les jets poisseux alourdir le tissu contre son visage, le collant à sa peau sur ses joues, ses lèvres, son menton. Le foutre coule le long des pans de la cape, goutte sur sa poitrine offerte, tandis que les deux jeunes hommes halètent, finalement vidés.

« Aaah, m’sieur, merci !, s’exclame l’un d’eux en utilisant la main toujours sur son chibre pour essuyer le sperme qui macule son gland.
- Ouais, c’était super ! Vous faites ça souvent ? Ajoute le second en s’essuyant sur les lambeaux de l’uniforme de la belle. »

Et pendant ce temps, Calamity atteint enfin l’orgasme. Tout son corps se crispe, vibre, alors qu’elle redresse la tête en criant. Ses mains agrippent la première chose qu’elles peuvent -les deux chibres encore sortis qui commençaient à mollir- tandis que sa fleur dégouline contre ses cuisses tant le plaisir qui s’en échappe est abondant.

« Haaa, putain, ouiii… Couine-t-elle manquant de faire basculer la cape quand elle rejette sa tête en arrière. »

Heureusement, le sperme refroidissant colle le tissu contre sa peau. Tout juste les deux jeunes peuvent-ils apercevoir sa gorge pâle, son menton volontaire et ses lèvres pulpeuses.

« Merde… Qu’est-ce que je donnerais pas pour fourrer ma queue entre ses lèvres de suceuse ! S’exclame l’un deux d’une voix étranglé à cause de la main qui comprime délicieusement sa queue vidée. »
- On aurait dû filmer… Jamais personne nous croira… Ajouta l’autre en se rapprochant pour gifler sa poitrine arrogante à pleine main, assez peu dérangé par la prise ferme contre sa trique. »

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One Shot / Re : Dalton Brothers Kidnap Local Banker's Daughter Calpurnia Tanner!
« le: dimanche 07 décembre 2025, 16:48:03 »

Calpurnia Tanner était le joyau de la famille. Fille unique, mais pas par la volonté de ses parents, elle se voit passer tous ses caprices. A 23 ans, sa réputation dépasse les frontières de sa petite ville natale du nom de Chastity Falls. Surnommée parfois « La fleur du désert » ou « L’ange de Chastity Falls », la jeune femme était en effet toute en beauté. Une silhouette menue mais pourvue d’attributs féminins généreux, une crinière d’or que le soleil entretient, une peau pâle qui bronzait facilement, un visage d’ange avec ses grands yeux dont ont dirait que la teinte de ses iris ressemble à la couleur de la lavande et ses lèvres rosées, pulpeuses… Elle suscitait l’envie et la jalousie.

Malgré son âge « avancé », la belle était toujours célibataire. Elle aurait pu être considéré comme une vieille fille si l’on ne savait pas qu’elle entretenait des liaisons avec certains hommes qui passaient en ville. Bien sûr, ces rumeurs n’atteignaient pas les oreilles de son père, Lucius, ou de sa mère, Boetia. Les commères les plus puritaines n’en savaient rien non plus, où elles se seraient empressées de traîner le nom de cette libertine dans la boue. Si elle n’était toujours pas mariée, toutefois, c’était parce qu’aucun de ses « prétendants » n’obtenait l’approbation parentale. Autant Boetia était encline à la laisser épouser le fils du shérif, un grand gaillard aux épaules carré appelé Colton Lockwood, autant Lucius aurait préféré quelqu’un comme un autre banquier qui ne venait pas d’une petite ville perdue dans le désert. Incapable de s’entendre sur le choix du futur époux de la belle, ils rejetaient donc toutes les demandes.

Pendant que Lucius se délassait au saloon, dans les bras de la ravissante Andrea Plower, Boetia tenait la boutique en flirtant innocemment avec Marshall McCready, l’un des gardes de la banque, et Calpurnia faisait des avances au révérend Gideon Fairlove, sa dernière proie en date. Une bonne petite famille dysfonctionnelle comme il en existait tant.

Le jour du braquage, alors que la diligence repartait, Lucius se disputait encore une fois avec Boetia -tout en rangeant l’argent dans le coffre- au sujet du futur époux de leur fille unique. Calpurnia tenait compagnie au cow-boy boiteux -Buck Weaver- en l’entretenant de sujets variant de la meilleure manière de dresser un cheval jusqu’à l’arme la plus indiquée pour chasser les vautours d’une carcasse de vache. Elle voulait retirer un peu d’argent pour aller boire un coup au saloon, mais son père insistait pour qu’elle attende l’ouverture comme les autres.

Adossée au chambranle de la porte, habillée d’une robe corsetée de couleur sable dont les boutons dorés brillaient au soleil, la blonde levait les yeux au ciel en entendant la discussion de ses parents sur les attributs que devaient avoir son époux. Elle enfoui ses mains dans les poches de ses jupons -longs pour l'instant, tant qu'elle était en vue de ses parents- et échangea un regard amusé avec Buck pendant que Marshall aidait son père à vider les sacs d'argent dans le coffre.

« Il vaut mieux une tête bien faite qu’un corps de barbare, répétait Lucius pour la millième fois. A quoi ça va lui servir d’avoir un époux musclé s’il ne peut pas aligner deux pensées et faire fructifier l’argent de sa dot ?
- Et à quoi ça lui servirait d’avoir un gros cerveau s’il n’est pas capable de protéger ma petite fleur des dangers du désert ? Tu crois que réciter du Whitman lui permettra d’éviter de se faire rançonner par des bandits ? Je maintiens que Colton Lockwood est le parti le plus intéressant de cette ville. Et je refuse que mon bébé s’éloigne pour aller vivre à des milliers de kilomètres de moi ! Elle aura besoin de mon aide quand elle aura des enfants à son tour !
- Même si elle vit loin, elle aura du monde pour l’aider ! Le fils de mon ami banquier, Dale Whitmore, est très proche de sa mère et de ses sœurs. Elle ne sera pas toute seule !
- C’est non ! Et si tu ne veux pas que ton repas soit trop salé ce soir, je te conseille d’arrêter de proposer ce petit prétentieux qui ne saurait pas reconnaître sa queue de la crosse d’un révolver, Lucius. »

Bien que très puritaine, Boetia n’hésitait pas à utiliser un langage plus vulgaire quand elle était furieuse. Et son époux savait très bien qu’il devait abandonner la lutte quand elle commençait, au risque de se retrouver affamé et avec des affaires trouées sur le dos. Quand il fermerait la banque, ce soir, il lui laisserait le temps de se calmer en allant se détendre dans les bras d’Andrea.

« Calpurnia, chérie. Tu voulais retirer combien ? Et attention, je ne veux pas que tu boives autre chose que du thé ! Madame Marlowe m’a mis au courant pour la bouteille de whisky de la semaine dernière ! Ce n’est pas digne d’une jeune femme de bonne famille !
- Pèèèère !, Geignit la blondinette en ajustant la ceinture de cuir qui ceignait sa taille fine. Je ne suis plus une enfant ! Je sais ce que je fais ! Tu as bien vu que j’ai réussi à atteindre toutes les cibles à l’exercice de tir ce week-end !
- Ton père a raison, jeune fille. Tu n’es pas l’une de ces catins du saloon, tu dois te comporter avec grâce et élégance ! Complètement ivre n’est pas un état flatteur. Et si j’entends que tu nous as désobéi, je te confisque ce révolver et j’annule tes sessions d’entraînement ! Est-ce que je me suis bien fait comprendre, Calpurnia Rosalie Tanner ? »

Baissant la tête à la mention de son nom complet, la jeune femme masque le roulement de ses yeux en murmurant d’une voix penaude mais absolument pas sincère.

« Oui, mère. C’est compris. Je peux avoir 2$ ? »

Avec un soupir, sa mère se retourna en direction du coffre que son père venait de refermer. Aucun des trois -des cinq si l’on comptait les deux gardes- ne se doutaient que les choses allaient bientôt dégénérer.

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One Shot / Re : Je l'aurais un jour, je l'aurais... (PV avec CT)
« le: samedi 06 décembre 2025, 20:03:39 »
Décidément, cette attitude qu’il avait la rendait toute chose. Cette autorité qu’il dégageait… Et ses doigts ! Présage gémissait contre lui alors qu’il les faisait explorer son antre encore trempée, gorgée de foutre, de cyprine et d’envie. Ses reins accompagnaient les mouvements, son souffle se faisait court, et elle allait sûrement avoir un autre orgasme d’ici pe-

Un geignement plaintif s’échappa de ses lèvres entrouvertes tandis qu’il retirait ses doigts. Elle était si proche ! Ce geignement fut toutefois vite remplacé par un petit couinement de plaisir tandis qu’il la portait pour la faire s’empaler sur sa trique. La blonde sourit contre l’épaule de l’homme, s’accrochant à ses épaules et serrant les cuisses autour de ses hanches pour venir nouer ses chevilles dans son dos. Ainsi arrimée, elle ne tomberait pas !

Ils sortent du tunnel, et elle lui donne la direction générale de son appartement pour commencer. Tandis qu’il marche, elle profite du balancement de son bassin contre le sien, de ce sexe qui est confortablement installé entre ses cuisses. Elle s’efforce de ne pas gémir et ne fait que soupirer contre son épaule, exploitant sans vergogne les mouvements de ses pas pour contracter ses chairs autour de lui.

Quand il s’arrête, elle fronce les sourcils. Mais ses paroles effacent bien vite cette expression. Elle n’a absolument rien contre de petites pauses sur le chemin, et elle s’exécute sans broncher. Le bruit mouillé et obscène de sa queue épaisse qui quitte son fourreau humide l’enchante, de même que le chuintement qui se répète quand il revient se caler entre ses reins. La blonde ne fait pas gaffe à ce qui les entoure, et son sixième sens ne voit pas l’intérêt de la prévenir de l’arrivée des deux passants. De toute manière, Tank se charge de couvrir son visage pour qu’elle ne soit pas reconnue. Elle lâche quelques petits gémissements tandis que l’idée de se faire prendre ainsi devant des passants devient réalité. Elle pousse même l’audace jusqu’à redresser le buste afin d’exposer sa poitrine arrogante.

Calamity n’a rien contre un peu d’exhibitionnisme. Faire participer ces deux passants, en revanche ?

Ah, ça passe aussi, à en juger les frémissements de son corps quand le malfrat propose que les deux jeunes sortent leurs queues afin qu’elle se charge de les branler. Ils sont d’ailleurs prompts à accepter, et la blonde ne tarde pas à sentir deux sexes masculin glisser dans les mains qu’elle a ouvert à leur intention. Ses doigts se referment sur ces tiges qui durcissent à vue d’œil -même si elle ne les voit pas- avant de changer de position pour que ce soit plus confortable.

« Ces biscuits chinois avaient raison ! Marmonne l’un deux tandis qu’elle le branle vigoureusement. "Une rare opportunité va se présenter à vous", qu’il disait. Ha ! J’a-dore ! »

L’autre répond par un grognement, observant Tank un instant avant de saisir la main qui le branle pour s’en servir lui-même. Présage ne rechigne pas, le laissant utiliser ses doigts fins enroulés autour de sa queue comme il l’entendait.

« J’vais lui recouvrir les seins de foutre, mec ! S’excite-t-il, son autre main venant agripper l’un des généreux seins aux tétons érigés. Ça ne vous dérange pas si j’libère ses loches, hein m’sieur ? Mais, visiblement, le contact avec le tissu ne lui plaisait guère. »

Il n’attendit d’ailleurs pas la réponse de Tank pour arracher le fin tissu élastique qui moulait sa poitrine. Avec un gémissement approbateur, il se rapprocha en retirant la main de l’héroïne de sa trique. Il attrapa sa poitrine à pleine main, la forçant à redresser la tête pour que la cape sur son visage ne le gêne pas, et vint caler son chibre entre les deux monts féminins.

« Aaah, ouais, beaucoup mieux ! Si tu veux en profiter, mec, va falloir que tu m’dise avant que j’y jute ! Pu-tain, elle est trop bonne ! »

Et il se déhanche en serrant les seins opulents de la mutante contre sa queue veineuse. Un fantasme à lui devenu réalité.

Son pote ne tarda d’ailleurs pas à émettre le souhait d’en profiter, et il se recula pour lui laisser la place. Et Calamity, pendant qu’ils se faisaient plaisir contre son corps ? Elle gémissait comme une petite chienne sous la cape qui masquait ses traits. Elle ondulait pour répondre à chaque coup de reins de Tank. Elle se sentait partir vers l’orgasme à vitesse grand V. Sentir les deux jeunes hommes lui éjaculer dessus sera probablement la goutte qui la fera passer de l’autre côté.

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Le regard clair de la veuve avait en effet bien remarqué l’approche silencieuse de l’ancien athlète. Avec un sourire en coin, elle n’avait pourtant pas cessé d’onduler : un appel clair et sans équivoque.

« Un whisky, c’est noté, a-t-elle susurré en tirant un verre et la bouteille de whisky cachée au fond du minibar. »

Et tandis qu’elle s’affairait à verser un Macallan de dix-huit ans d’âge dans le verre à whisky, Vance avait fini son approche et se tenait contre sa croupe. Catalina ferma les yeux un instant, exhalant avec délice quand il la gratifia d’une claque sur son fessier offert, et les rouvrit avec un petit rire tandis qu’elle frottait son séant contre l’éveil d’une nouvelle érection.

« Peut-être… Après ce second round ? Souffla-t-elle en attrapant un autre verre afin de le remplir aussi, pour elle-même cette fois. Pour nous désaltérer avant de repartir pour un tour ? »

Elle se redressa finalement, les verres à la main, se frottant indécemment contre lui. Posant les verres sur le bar, refermant le battant avec le genou, l’ancienne tueuse pivota son buste sans se dérober à la sensation du membre qui s’érigeait contre elle. Les trois boutons de son chemisier semblaient tenir par l’opération du Saint-Esprit, le tissu luttant pour rester fermé contre l’opulente poitrine qui n’était plus emprisonnée dans son carcan de dentelle.

« Après cette mise en bouche, j’ai bien envie de tester la suite, murmura-t-elle en levant le visage vers le sien. De profiter pleinement de l’expérience qui s’offre à moi, ajouta-t-elle en saisissant l’une des mains de Vance pour la guider vers les courbes qui étiraient le tissu de son chemisier. »

Elle se retourna finalement complètement, laissant ses doigts agiles faire leurs affaires pour débarrasser l’ancienne star du catch de tout ce tissu superflu qui masquait son torse puissant. Aussi près du bar, il n’avait qu’à tendre la main s’il voulait boire une gorgée tandis que la veuve s’affairait à faire glisser ce qui couvrait son torse pour venir déposer des baisers lascifs contre sa peau nue.

« La soirée ne fait que commencer, de toute manière. On aura amplement le temps de… boire un verre… Mmmh ? »

Ses iris d’azur commençaient de nouveau à être mangées par le noir de ses pupilles. On pouvait dire beaucoup de chose de Catalina. L’une d’entre elle étant qu’elle était une amante insatiable. Ou que sa gourmandise n’avait probablement pas de limites une fois réveillée. Tout cela, Vance en ferait l’expérience ce soir.

Libérant une main pour décaler les verres sur le mini-bar, la sulfureuse brune esquissa un sourire taquin en reculant pour ensuite s’y hisser, écartant ses cuisses pâles pour l’inviter à revenir se coller contre elle. Et s’il ne le faisait pas assez vite, la veuve pourrait faire preuve d’impatience en venant le tirer par la ceinture de son pantalon. Ceinture et pantalon qu’elle s’employa d’ailleurs à déboucler et faire glisser pour libérer l’attirail qui ne manquera pas de la combler pour la nuit.

« Pour le moment, je n’ai soif que de toi, Vance…, susurra-t-elle en lui offrant ses lèvres avides. »

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