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Messages - Zebra Sumpar

Pages: [1] 2
1
Le coin du chalant / Re : Voulez-vous jouer avec moi ce soir ?
« le: mercredi 25 décembre 2013, 22:38:48 »
Je up !

2
Le zèbre poussa un lourd soupir de plaisir en sentant Kasja venir d'elle-même à la rencontre de son sexe. L'intérieur de la belle était le plus doux des foyers pour le membre tendu de l'hybride. La largeur de l'engin lui permettait d'emplir tout l'espace qu'on lui offrait, les parois de la jeune femme agrippant le chibre du zèbre avec l'intention de le retenir, semblait-il. Zebra allait lui dire qu'elle était parfaite, que sa sensualité l'excitait plus que jamais, mais il capta son sourire lubrique. Comme s'il s'était agi d'une invitation, le Terranide sentit une pique de chaleur lui traverser le corps. Répondant à ce stimulus émotionnel, il n'y tint plus et enfonça son imposant membre dans la chatte humide de Kasja. Pas en entier, mais bien aux deux tiers.

Il jeta un rapide coup d'œil à sa partenaire mais ne se soucia guère de sa réaction. Il entamait déjà un nouveau mouvement de va-et-vient qui allait se charger de transformer les gémissements de la belle en cris, de plaisir, de douleur, de surprise, d'excitation, il n'en savait rien et ne voulait pas le savoir. Le temps des mots était passé, celui des actes avait commencé.
En même temps qu'il infligeait une nouvelle bourrade à Kasja, il vint laper ses seins avec sa langue, gobant ensuite le sein entier de la belle qu'il commença à téter avec force. Puis il se ravisa, se contentant de mordiller son téton d'ores et déjà pointant vers lui.
Et il continuait de pénétrer avec force la belle, se repaissant de son souffle fort et excité.

3
Zebra apprécia les caresses de Kasja sur son engin. Elle avait rapidement su s'adapter à la taille peu conventionnelle chez les humains du sexe chevalin, le flattant de ses mains délicates avec douceur et savoir-faire. Cependant, il sentit rapidement que leur position physique empêchait la belle de faire montrer de tout ses talents dans le domaine. Quand elle susurra une invitation non dissimulée aux oreilles de Zebra, ce dernier se tâta mentalement pour savoir ce qu'il convenait de faire ?
Démonter Kasja là, tout de suite, ou l'exciter un peu plus ? Il décida d'aviser d'une manière assez rapide mais qui s'avérerait forcément efficace. Il présenta son gland avide aux portes de la sexualité de la jeune femme et, après avoir retiré ses doigts plein de mouille qu'il commença à lécher, il enfonça la tête de sa queue dans le corps de la rousse.
Il commença à faire de petits mouvements circulaires pour faire jouer son gland sur la plus grande surface possible, encore hésitant. Il en profita ensuite pour mettre un doigt dans le popotin de Kasja.

Si la belle répondait positivement à ces traitements, il saurait à quoi s'en tenir...

4
Zebra prit les mots de la belle au pied de la lettre et s'exécuta rapidement. D'un geste de la main, il ôta les bas de Kasja et y enfonça ses gros doigts, deux pour commencer. Elle était déjà humide, chaude, confortable... Emporté dans le feu de l'action, le zèbre se surprit à littéralement pénétrer l'humaine de toutes ses forces avec ses doigts. Il fallait avouer qu'elle l'avait cherché. Il allait lui faire passer la meilleure soirée de sa vie, il voulait lui retourner le cerveau rien qu'en la prenant bestialement.

Mais il fallait d'abord la mettre en condition. Pas mentalement, elle avait l'air prête, mais physiquement. Le chibre du zèbre faisait presque la taille du bras de Kasja, mieux valait s'assurer qu'elle soit parée à ce genre de choses. Fidèle à l'adage "jamais deux sans trois", il enfourna un nouveau doigt dans l'intimité de la belle en allant lui sucer la langue.
Il effectua en même temps un petit mouvement de bassin pour faire en sorte que sa verge vienne frotter une des mains de Kasja, à la recherche d'un peu d'attention.

« Je vais bien m'occuper de toi ! » promit l'hybride en souriant, entre deux baisers langoureux.


5
Zebra se laissa faire, appréciant les attentions qu'on lui portait. Il rendait les baisers que Kesja lui prêtait avec entrain. Continuant à jouer de ses mains sur le corps fragile de la belle, il sentait l'excitation l'envahir de plus en plus. Ses caresses se firent plus fermes, plus entreprenantes, plus sensuelles. Il faisait comprendre à sa partenaire qu'il avait terriblement envie d'elle.
Quand elle se hissa à hauteur de taille de l'hybride, le sexe palpitant du Terranide se releva, se frottant au bas des cuisses de Kesja. L'expression "monté comme un âne", c'est rien comparé à un zèbre... Et ce devait être un message très clair pour la charmante petite humaine. Les mains du zèbre lui disaient "j'ai envie de toi", sa queue ajoutait "très, très, très envie".

Cependant, il n'osa pas précipiter les choses, tout au loisir d'apprécier les réactions de Kesja. Même si elle essayait de se détourner de lui maintenant, il s'imaginait mal la laisser partir. Il attira donc encore plus fortement la rouquine contre son corps, la recouvrant de baisers.

« Tu veux faire ça ici ou plus loin ? » lui demanda-t-il en approchant ses doigts massifs des parties privées de la belle.

Il était prêt à passer l'action, où et quand elle voulait. Mais ici et maintenant lui paraissait idéal, comme ses mains baladeuses en témoignaient.

6
La façon dont Kesja lui répondit, et surtout la façon dont elle se colla davantage à Zebra fit comprendre à l'hybride qu'elle avait senti son membre au garde à vous et que, visiblement, elle n'en éprouvait aucune crainte ni aucun dégoût. Il lui sourit en entendant sa question et ne lui répondit qu'après quelques courtes secondes.

« J'ai toute la nuit devant moi. » lui dit-il en venant réchauffer des zones plus intimes de sa compagne.

Il commença par frotter le bas du dos de la belle, légèrement au-dessus de son joli fessier. Puis il fit remonter ses mains le long du corps de Kesja en la forçant à se coller contre lui. Sa barre de chair, tendue par l'excitation, vint parfaitement s'intercaler entre les jambes de la demoiselle, se collant à sa sexualité à elle.
Ses mains firent le chemin en sens inverse sur le dos de Kesja, s'arrêtant cette fois directement sur ses fesses qu'il attrapa à pleine main. Il lui adressa ensuite un sourire charmeur et s'autorisa un baiser, qui dura une demi-douzaine de secondes. Après quoi, il descella les deux paires de lèvres l'une de l'autre et se pourlécha les babines. Elle avait bon goût, cette jeune femme.

« Et toi, es-tu pressée de partir ? »

7
Zebra prit en compte la demande de Kasja avant qu'elle ne l'entraîne à l'extérieur. Elle alla se parer d'un gilet pour se réchauffer un peu. Zebra, lui, trouvait que la température était tout à fait acceptable. Le jardin était beaucoup plus sobre que l'intérieur. Les échos étouffés de la sono apportaient une ambiance festive sans qu'elle soit excessive et les lampions qui avaient été disposés un peu partout dans les arbres et sur le gazon conféraient à l'endroit une impression d'intimité presque romantique.
Le zèbre remarqua vite qu'ils étaient seuls. Trop froid pour les humains, jugea-t-il. Tout le monde fumait à l'intérieur et personne n'était encore suffisamment saoul pour se promener dehors... ou alors au contraire, ils étaient trop saouls pour bouger.

« Tu vis dans l'quartier ? Et sinon, je m'excuse vraiment d'avoir taché ce si beau costume...Si je peux me faire pardonner d'une manière ou d'une autre... »
« Non, j'habite plutôt loin d'ici. J'ai été invité à cette fête totalement par hasard. Et tu n'as pas besoin de te faire pardonner. »

Il avait omis volontairement de lui dire que ce n'était pas un costume. Il préférait éviter de lui faire peur pour l'instant, il voulait mettre toutes les chances de son côté. Il remarqua alors qu'elle semblait avoir froid, malgré la petite laine dont elle s'était vêtue avant de sortir. Le démon de son collier s'excita subitement. Il devait croire qu'une femme grelottante était une proie sans défense, et le démon aimait la vulnérabilité de ses victimes. Zebra sut néanmoins réfréner les pulsions sexuelles de l'entité maudite et s'approcha doucement de Kasja.

« Tu as froid... »

Il la prit dans ses bras et la serra, frictionnant ses bras avec douceur, simplement ce qu'il fallait pour la réchauffer légèrement. Mais cette situation couplée aux envies de son démon ne firent pas bon mélange. Le sexe chevalin du zèbre ne tarda pas à pointer, venant se frotter contre les jambes de la belle. Et inutile de préciser qu'en tant que membre de la race des équidés, le Terranide avait de quoi faire, sous son pagne.

8
Le quartier de la Toussaint / Re : Le temps d'un Bal Masqué [PV Zebra Sumpar]
« le: vendredi 11 octobre 2013, 17:26:43 »
Lorsque la jeune demoiselle se mit sur la pointe des pieds, elle arrivait tout juste à hauteur du cou de l'hybride. Il sentit malgré tout les paroles se nicher confortablement dans son oreille, un léger frisson lui parcourant l'échine. L'orange ne tachait pas tant que ça, pensa le zèbre en gardant ses réflexions pour lui.

Au fait moi c'est Kasja. Enchantée. Tu veux que je t'aide à détacher ?[/b]

La proposition était alléchante, Zebra devait en convenir. Il n'avait pas encore eu d'idées salaces en tête mais les paroles de la jeune humaine se chargèrent de réparer cette erreur. Il fit semblant de réfléchir, pour éviter de paraître trop assoiffé, et finit par acquiescer d'un geste théâtral.

« Puisque c'est proposé si gentiment, je ne vois aucune raison de refuser. Je me prénomme Zebra, ravi de faire votre connaissance, mademoiselle Kasja. Nous devrions peut-être aller dans un endroit plus tranquille, j'ai peur que la communication ne soit pas optimale ici. »[/b]

Il rajouta mentalement : "Et si jamais je venais à vous tripoter les éléments les plus charnus de votre enveloppe corporelle, je pourrais être pris pour un pervers et chassé par le reste des convives." Mais il se garda bien de dire quoi que ce soit à l'oral, offrant son bras à Kesja pour qu'ils puissent s'éloigner ensemble.

Zebra repéra une porte qui donnait sur un jardin, qu'il indiqua d'un signe de la main à sa nouvelle amie. Le temps était frais mais restait supportable... Tout du moins du point de vue d'un Terranide doté de fourrure. Il n'avait même pas envisagé que la jeune femme puisse avoir froid s'ils se rendaient à l'extérieur.

Il attendit donc la réponse de Kesja.

9
Les soirées humaines n'avaient jamais été le fort de Zebra. Du bruit, du monde, de l'alcool, des lumières agressives... Pour un explorateur comme lui, qui aimait la solitude des temples anciens perdus dans la jungle ou fes vestiges de pyramides enterrées sous des tonnes de sable, fricoter avec autant de monde ne lui allait pas. Pourtant, au-delà de ces détails fortement gênants, quelque chose lui allait parfaitement : la gente féminine. La fête d'Halloween était, pour beaucoup d'entre elles, un prétexte pour dévoiler ses formes sans passer pour une dévergondée. Zebra avait envie de leur hurler de faire ça tous les jours, de ne pas se soucier des gens bien pensant. Mais la musique qui beuglait à tue-tête aurait couvert sa voix, de toute façon.

Il avait atterri ici par hasard, pour être honnête. Des gens dans la rue avaient trouvé son costume "trop génial" et l'avaient invité. Il avait accepté, n'ayant rien d'autre à faire de sa soirée. Et pour l'instant, tout se passait bien. Il avait déjà été tripoté plusieurs fois, il avait déjà tripoté également plusieurs fois, mais jamais il n'avait pensé à conclure. Le démon de son talisman semblait perturbé par autant de paires de seins et de fesses. Il semblait presque contenté de la proximité d'autant de femelles. Peut-être que Zebra pourrait enfin passer une soirée sans être importuné par sa malédiction...

Le zèbre avait songé à cela jusqu'à ce que quelqu'un lui renverse un verre sur le torse. Une petite demoiselle aux cheveux ardents et aux yeux pétillants, vêtue comme une poupée. La boisson qu'elle venait d'égarer était un mélange de vodka et d'orange, comme en témoignait l'odeur qui venait de gagner les narines de Zebra.

- Holaa...! Ca va, je t'ai pas blessé ou taché ?

« Il faut plus qu'une petite bousculade pour me blesser, mademoiselle. Et cette tache partira facilement en frottant un peu. Je prends extrêmement soin de mon pelage. Mais vous-même, n'êtes-vous pas blessée ? »

Et il abaissa son visage à hauteur du sien pour mieux l'ausculter.

10
Le coin du chalant / Re : Voulez-vous jouer avec moi ce soir ?
« le: mercredi 09 octobre 2013, 17:44:06 »
Je up !

11
Place publique / Re : Une promenade de beau matin.
« le: mardi 20 août 2013, 14:19:56 »
L'équidé ricana en entendant la réplique acerbe de la jeune femme. Non, il n'aimait pas faire peur aux gens, et encore moins pour une "putain de babiole". Il lui répondit en prenant une voix mielleuse, bien différente de celle avec laquelle il avait parlé au vieillard.

- C'était davantage une requête qu'une tentative d'intimidation, pour tout vous dire. Et puis, ça fait depuis des heures que je tourne en rond dans ce trou perdu sans trouver ce que je recherche. Je suis épuisé et j'ai perdu le contrôle pour une broutille. La goutte d'eau qui fait déborder le vase, en quelque sorte.

Il marqua une pause, sans vraiment savoir s'il devait justifier la nature de ses recherches. Il décida de jouer l'honnêteté et étaya ses dires.

- Des objets anciens, notamment. Je suis explorateur, archéologue à mes heures perdues, et j'adore tout ce qui se rapporte aux époques antiques.

Il hésita une nouvelle fois. Dire qu'il cherchait de quoi assouvir sa soif de sexe n'était peut-être pas un choix avisé non plus. Aussi se garda-t-il d'apporter cette précision. Les dieux lui avaient peut-être envoyé une femme, il n'était pas encore assuré de copuler avec. L'entité supérieure qui l'observait n'allait quand même pas lui offrir une femelle facile, le zèbre devait se battre un peu pour l'avoir.

- Vous invitez à prendre un verre maintenant serait sans doute malvenu, même si je vous disais qu'il s'agirait d'une façon de me faire pardonner. Je préfère donc vous demander votre nom et entamer une discussion civilisée avec vous.

Zebra se préoccupait peu des passants qui, encore aux alentours, gardaient les yeux écarquillés devant cette scène insolite. Le soleil avait lentement gravi quelques échelons dans le ciel et il serait bientôt midi. L'estomac de l'équidé gargouilla, indiquant sans méprise possible qu'il avait faim. Il adressa un regard appuyé à son interlocutrice, désireux d'obtenir une réponse rapidement.
Si elle devait refuser, soit. Il n'avait pas l'intention d'insister plus que cela. Les intentions de Zebra étaient plus ou moins limpides, de toute façon. Il venait de crier qu'il recherchait une femme, après tout. Si elle déclinait son offre, il n'allait quand même pas employer la force, tout de même. L'épisode certes malheureux du vieillard ne s'était produit que suite à l'accumulation de frustration et de fatigue, rien de plus. À présent qu'il avait laissé sa colère éclater, il était plus calme et plus réfléchi.

12
Prélude / Re : Zèbraibien RP avec vous ! (zébriletempsdevalider)
« le: vendredi 16 août 2013, 11:46:09 »
Merci !

Avalon : ah, mon p'tit frère... Il est un peu débile, désolé :/

Lucrecia : c'est fait avec du cheval, pas avec du zèbre !

Silence : Merci :3

13
Place publique / Re : Une promenade de beau matin.
« le: vendredi 16 août 2013, 11:43:44 »
Les bégaiements terrorisés du vieillard ne trouvèrent une pause que lorsqu'une voix féminine s'éleva de l'assistance. Le museau de Zebra se tourna dans la direction de la nouvelle arrivante. Une belle femme brune, au style un peu sombre. Le zèbre leva un sourcil intéressé avant de se retourner vers sa victime proche des sanglots.

- Eh bien, on dirait que tu t'es révélé plus efficace que prévu, grand-père, dit-il en le déposant au sol.

Il entreprit ensuite de l'épousseter et lui donna une pièce, en guise de remerciement pour les services qu'il venait de lui rendre. Interloqué, le vieil homme remercia l'homme-zèbre brièvement et s'éloigna, partagé entre un étonnement tout à fait compréhensible et un reste de frayeur qui agitait ses membres de petits tressaillements bien visibles.
Zebra reporta son attention sur la belle inconnue qui venait de l'interpeller. D'après sa voix, il était évident qu'elle était en colère, et qu'elle lui en voulait. Qu'à cela ne tienne, il avait demandé une femme et les dieux lui en avaient envoyé une. Il voulut cependant s'assurer d'une chose, aussi demanda-t-il sur le ton de la conversation, comme si rien ne s'était passé :

- Vous ne possédez rien qui soit ancien sur vous, n'est-ce pas ?

Ce disant, le topaze maudit sur son front se mit à miroiter légèrement, comme si l'esprit hanté qui l'occupait était conscient qu'il pourrait peut-être bientôt se repaître. C'était une sorte d'avertissement à Zebra : ne te rate pas, ou ressens ma colère. Mais bon, il était habitué aux transformations en équidé-momie, il n'y prêta donc pas attention. D'ailleurs, l'éclat de la pierre précieuse était presque imperceptible pour toutes autres personnes que lui. Il n'y aurait rien eu de surprenant si cette jeune demoiselle n'avait rien vu. Le contraire, en revanche, l'aurait été davantage.

Zebra continuait d'observer l'inconnue sous toutes ses coutures. Elle était belle, et c'était une femme, aucun doute à ce sujet. Il pouvait légitimement espérer, après avoir passé deux longues heures à marcher sans rien trouver, à se faire bousculer et insulter par nombre de personnes, que cette femme lui apporte également des artefacts... Ce ne serait qu'une compensation, rien de plus.
Enfin, mieux valait éviter de se plaindre, les dieux avaient eu le mérite de lui envoyer une compagnie fort charmante, et pour cela Zebra leur en était reconnaissant.

Il attendit donc la réponse de la belle, ainsi que la suite des évènements.

14
Place publique / Une promenade de beau matin.
« le: jeudi 15 août 2013, 22:23:07 »
Le ciel était clair et sans nuage. L'azuré qui s'étalait au-dessus du crâne de Zebra annonçait une belle journée, mais peut-être un peu trop chaude. Déjà, le soleil dardait furieusement ses rayons chauffants sur la place. Ce qui n'empêchait nullement les marchands de hurler et de gesticuler dans tous les sens, essayant d'attirer les passants devant leurs étals. On pouvait trouver de tout : nourriture, vêtements, esclaves, bibelots en tout genre... Le zèbre détourna la tête de ces piètres marchandises. Il était à la recherche d'antiquités, d'objets anciens de valeur. Et il cherchait depuis près de deux heures, en vain.

Le bruit de ses sabots sur le sol pavé attirait les regards étonnés des marcheurs. Zebra le savait, les créatures hybrides comme lui étaient sujettes à des mises en esclavage pures et dures mais, pour l'instant, personne ne l'avait importuné. Bien au contraire, la foule s'éclaircissait à son passage. Il trouvait cela agréable, puisque il pouvait avancer tranquillement, mais d'un autre côté il ne risquait pas de faire des rencontres. Le topaze qui brillait sur son turban lui rappelait sans cesse qu'il devait calmer la colère de la malédiction, par une bonne partie de jambes en l'air.
Il avait déjà copulé deux jours plus tôt, avec une femelle relativement imbibée d'alcool, et il n'avait pas nécessairement besoin d'apaiser dans l'immédiat l'esprit qui le hantait. Mais mieux valait se montrer prudent. S'il en avait l'occasion, il se devait de forniquer.

Il n'avait donc que deux souhaits fort simples à réaliser : une femme avec qui passer du bon temps ou des articles suffisamment vieux pour l'intriguer. Et, en deux heures de marche et d'errance, aucun des deux n'avait été exaucé. Il poussa un profond soupir, las et fatigué, agacé par la foule grossissant de minute en minute, à tel point que même sa carrure imposante était insuffisante à écarter les enquiquineurs.
Alors que le soleil gravissait lentement les échelons invisibles du ciel pour s'approcher du zénith, le zèbre fut bousculé pour la première fois. Un petit homme encapuchonné dans un vieux tissu vert kaki, rapiécé de part en part et sali par la poussière qui s'accumulait dans les fibres du vêtement.
Il dégagea l'intrus d'un simple tournemain et repartit en quête d'artefacts. En moins de dix minutes après ce premier incident, il fut bousculé plus d'une vingtaine de fois. Au bout d'un moment, il craqua et agrippa le malheureux qui venait de lui rentrer dedans. Il le leva au-dessus de sa tête d'une seule main, les muscles de son bras gagnant en volume sous le coup de la contraction. L'homme qu'il venait d'attraper, un pauvre bougre qui tremblait de la tête aux pieds, tenta de balbutier des excuses.

- Je commence à en avoir ras le cul de cet endroit de merde. Toi, le vieux, donne-moi soit une femme, soit un objet antique. Tu as trois secondes pour calmer mon courroux avant qu'il ne s'abatte sauvagement sur ta gueule, sous la forme de mon poing dans tes dents.

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Le coin du chalant / Re : Voulez-vous jouer avec moi ce soir ?
« le: jeudi 15 août 2013, 21:59:18 »
Ben va pour du hentai alors ^^ Pour l'endroit, tu veux faire ça sur Terre ? Ailleurs ?

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