Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Pere_Yves

Pages: [1] 2 3 ... 20
1
Blabla / Horloge parlante
« le: dimanche 23 janvier 2022, 14:42:01 »
14h41

En effet, Summer, vous semblez être le Diable sous sa forme la plus envoûtante.

2
Blabla / Horloge parlante
« le: dimanche 23 janvier 2022, 10:09:25 »
10h09 : c'est bientôt l'heure de la messe dominicale.
Je vous attends, pour demander pardon de vos péchés.

3
Les alentours de la ville / Bonne à tout faire (Marguerite Clairbois)
« le: dimanche 23 janvier 2022, 08:41:17 »
« … chassez mes démons », je n'ose y croire ; c'est la première fois qu'une paroissienne mêle autant le sacré et le cul. Car, au fond de moi-même, je sais très bien que la religion n'a plus rien à voir là-dedans. Enfin si, puisque j'offre le bonheur, mais quand même pas comme on me l'a enseigné.

De toutes celles que j'ai connues, Marguerite correspond à l'expression « le vice sous la pureté ». Dieu me pardonnera de dire que « on lui donnerait le Bon Dieu sans confession » comme le dit l'expression, et malgré certains décolletés bien surprenants dans sa tenue de paysanne.

Mais, une fois franchies ces barrières qui ne demandent qu'à se lever, c'est tout simplement incroyable. Elle se donne sans retenue, au point que je ne sais plus si c'est par dévotion ou par excitation.

Mais elle conserve une âme bonne, des gestes délicats, comme de m'essuyer le visage luisant de sa mouille. Avec le napperon de l'autel ! Je ne sais pas si ça relève du blasphème ; la question n'a jamais été posée en séminaire.

Je replonge avec délice dans cette offrande, ma langue explore avec douceur. Même si ses jambes tremblent un peu, je veux prendre le temps de faire monter ses soupirs pour qu'ils soient en écho aux vieilles pierres, et qu'ils expriment dans mon église la plus belle des mélodies.

Je sais que le plaisir s'empare peu à peu d'elle. Ses mains ont emprisonné ma tête. J'en sens parfois l'insistance pour que je continue, pour que j'arrête, pour que j'accélère. J'en sens parfois presque la griffure sur mon crâne dégarni par l'âge. Oui, moi si vieux et pervers, elle si jeune et fraîche.

Elle qui ose même prendre l'initiative, alors que je la sentais de plus en plus vaciller sur ses jambes. Mais quelle initiative ! Car c'est pour s'allonger sur un banc, carrément sur celui du premier rang réservé aux élites, à la place précisément de l'épouse du directeur de l'école – une vieille bourgeoise coincée soit dit en passant -, et m'offrant un spectacle divin.

Oui, divin ! Car, si Dieu a voulu m'offrir l'image de la beauté terrestre, c'est exactement cela. Marguerite, sainte innocente pécheresse, étendue nue sur feu le napperon de l'autel, les cuisses écartées sur son sexe aussi bien dessiné que luisant de mouille, et relevées tenues par ses mains pour m'en faciliter l'accès.

Une posture d'offrande ! Je bande de nouveau si fort, que je pourrais la prendre ainsi, et vraiment me libérer en elle. Elle était si brûlante sous ma langue, que ma queue rentrerait aisément, et que la jeune paroissienne ne demanderait pas davantage que d'être ainsi bourrée sur ce banc que je sais grinçant. Mais non !

Me traverse pourtant le fantasme qui, à presque chaque mariage me prend, juste avant de prononcer la bénédiction d'union nuptiale. Celui de savoir ce qu'il y a sous la robe de mariée, et même de lui offrir la dernière baise avant la vie maritale. Marguerite est plus ou moins sur cette place dédiée, elle serait sublime nue sous sa robe blanche.

Je me garde ça pour le jour où elle trouvera un villageois à marier. Pour le moment...

« Marguerite, tu es l'oeuvre de Dieu, et je vais t'honorer pour chérir son oeuvre », lui dis-je en reprenant ma posture. Mais, cette fois, je lève ses jambes sur mes épaules, je passe mes mains entre le napperon et ses fesses pour les tenir soulevées, et je reprends de plus belle mon ouvrage.

Le plat de ma langue se plaît à explorer, goûter, échauffer.
La pointe de ma langue se plaît à enrouler ce petit bouton de chair, qui n'est pas instrument du vice, mais expression du plaisir divin.
Marguerite bouge des hanches, ondule, gémit.
J'aime entendre son souffle saccadé, ses soupirs montant, ses petits cris qui en appelleront d'autres et résonneront dans toute l'église.
Je veux lui offrir ce plaisir, à elle seule, pour elle, au nom de Dieu qui est Amour.
Je me fie à ses mouvements, à ses tensions, à ses vibrations.
Parfois, ses jambes emprisonnent presque ma tête, et je ralentis un peu.
Parfois, je sens comme une moindre tension, et j'accélère sans retenue.

Mais, quand ses mains se crispent sur le pauvre napperon martyrisé, quand ses jambes se tendent à me faire mal aux épaules, quand ses cris se font désordonnés à être plus aigus que la plus aigüe des notes du vieil orgue, alors j'accélère autant que je peux, quitte à manquer d'air, comme un déshydraté voulant boire à la source tout le liquide qui lui est offert.

Marguerite n'est plus une simple paroissienne venue se confesser, mais l'expression du bonheur quand elle jouit. Je voulais cela pour elle, rien que pour elle. Je pourrais la prendre à ce moment précis, me satisfaire en elle, mais non.
Je me relève doucement, écartant ses jambes délicatement, la regardant encore agitée de soubresauts sur ce banc qui n'aura plus tout à fait la même teneur à la prochaine messe.

« Marguerite, après l'expiation de tes péchés, Dieu t'a offert tout son amour ».
Je redeviens l'homme d'Eglise, même si mon sexe est tendu sous ma tenue d'office.

« Mais je vois qu'il fait nuit. Si tes bêtes sont déjà rentrées, tu peux venir te reposer au presbytère. Tu auras de quoi te laver si tu le souhaites, et j'ai même de quoi dîner ».
Il manque une certaine dimension à cette invitation, quand même. Ça fait trop genre « je t'invite dans ma piaule, tu te douches et on remet le couvert » !
Alors j'ajoute : « Ce sera aussi l'occasion de voir tes activités d'entretien de l'église ».

4
Les alentours de la ville / Bonne à tout faire (Marguerite Clairbois)
« le: samedi 22 janvier 2022, 10:19:23 »
« T'es idiot, Yves. T'aurais dû te soulager dedans », je regrette un peu de ne pas être allé jusqu'au bout, car, vu comme elle mouillait, elle aimait cette pénitence.
Mais il ne faut pas aller trop vite en besogne, et ne pas mettre en péril mon ministère.
Si, dans neuf mois, elle annonce que le père du marmot est le curé, je suis mal barré !
Heureusement que, vu la facilité avec laquelle elle écarte les cuisses, je ne dois pas être le seul qui la saute, et il doit y en avoir quelques autres qui ont pris moins de précautions.

Elle est tellement innocente à se demander pourquoi ce qui vient de se passer, et ce qui arrivera encore c'est évident, doit rester secret. C'est facile, avec de telles oies, d'abuser de mon ministère ! Je pourrais lui demander n'importe quoi, au nom de Dieu, qu'elle le ferait. Mais j'ai des principes.
L'un d'eux est le partage ; celle qui se donne à moi, au nom du divin, doit aussi éprouver un plaisir digne du divin. El Marguerite, j'ai senti aux contractions sur ma queue qu'elle prenait sa part de plaisir. J'en suis heureux, j'en remercie Dieu.
Je suis même sûr que, vu qu'il n'y a plus aucun doute qu'elle s'est faite saillir par plus d'un villageois, elle n'a pas dû être au sommet de l'extase, avec certains jeunots et certains vieux aussi.

Je la regarde, attendri par ses gestes. Elle associe l'innocence à l'indécence.
Elle a de ces questions qui me désarment.
Prendre le napperon, souillé de mon sperme et de sa mouille, pour tenter d'essuyer les traces de mon plaisir sur sa peau si fraîche, est aussi doux qu'impudique.
Masser ainsi ses seins, caresser son entrejambe, avec un tissu pourtant dédié à une action divine, me fait remonter une chaleur satanique.
Nue, face à moi, indécente succube, elle fait remonter mon plaisir.
« Non, Marguerite, reste comme ça ! »

Sans même réfléchir, je m'agenouille, comme en dévotion. Une dévotion à sa chatte, à son sexe ! Agenouillé aux pieds de Marguerite, non pour lui demander pardon. Malgré le napperon, sa fente est encore luisante de mouille, à me demander si elle l'a essuyée au napperon ou si elle en a profité pour se caresser devant moi.
Mes doigts dessinent ses lèvres, mes yeux admirent ce coquillage parfaitement dessiné, soigneusement entretenu pour une paysanne. Aucune autre ne prend pas autant soin d'elle !
Je veux goûter ce fruit, je me moque qu'il soit défendu ou pas. Je me penche encore, ma langue effleure cette chaleur, mon nez hume ces senteurs. Si la damnation est aussi douce, je veux bien me damner à jamais pour Marguerite.
Ma langue s'insinue, dessine, fouille. Ce parfum capiteux m'enivre.
Ma langue cherche ce petit bouton de chair que Dieu a offert aux femmes, que mon ministère m'avait longtemps interdit de découvrir, dont j'adore jouer avec certaines paroissiennes qui n'ont jamais connu cela avec leur époux.
Je veux dévorer Marguerite, je veux que ses cris résonnent dans l'église, je veux sentir son plaisir ruisseler sur moi. Je ne suis plus un prêtre et elle n'est plus une pénitente.
Je m'arrête un instant, relève la tête vers elle : « Vas-y, Marguerite, libère ces démons qui sont en toi ! ».
Et je replonge au cœur d'elle. Je veux sentir son corps vibrer, ses jambes flageoler, son abandon total.

5
Les alentours de la ville / Bonne à tout faire (Marguerite Clairbois)
« le: dimanche 16 janvier 2022, 00:49:04 »
« Cette Marguerite est une brave petite. Il n'y a pas de malhonnêteté en elle, un peu de perversité, et encore ce mot est-il peut-être excessif. C'est une brave petite qui fera tout ce que je lui dirai. Qu'elle aille se faire sauter par la moitié du village ne me dérange pas, du moment que je l'ai pour mon usage personnel. »
Il est donc temps de lui témoigner ma confiance.

« Marguerite, tu es digne de la confiance du Seigneur, et, vu ta dévotion en ce moment, je te confirme que tu seras affectée à l'entretien de l'église, avec la rémunération de ton travail bien entendu ».
Je marque un temps d'arrêt, pour juger de l'impact de mes mots, tandis que ses seins entretiennent toujours la vigueur de ma queue.
Et je poursuis.
« Bien sûr, cela signifie aussi que tu t'occuperas de moi. Rassure-toi, je te laisserai vaquer aux occupations de ta maison. Mais tu devras être disponible pour mes besoins personnels, sans poser de questions, sans aller en parler au village ».
Je marque à nouveau un temps d'arrêt. Je ne doute pas qu'elle a compris, qui plus est vu ce qui se passe en ce moment. Mais il est bon de lui rappeler que ce n'est pas que pour expier ses péchés passés.
« Tu te confesseras aussi souvent que je le jugerai utile, et je t'informerai à chaque fois du châtiment que le Seigneur m'ordonnera de te faire subir ».
Elle semble avoir tout écouté, tout compris.

Je me dois de l'en remercier, et de sceller cet accord.
Posant ma main sous son menton, je la fais se relever. A temps, car le soin apporté à cette caresse allait avoir raison de mon endurance.
Debout, nue hormis sa petite croix, Marguerite est à la fois la féminité, la candeur, la jeunesse, la soumission.
Sans hésiter, je la soulève dans mes bras. Certes, elle a des rondeurs, mais je parviens à la porter jusqu'à l'autel, où je la dépose, l'allongeant.
Premier geste attentionné de ma part.
Son sexe est face au mien, sa nudité s'offre à la mienne. Je relève ses jambes, les pose sur mes épaules, ouvrant davantage l'antre de son plaisir, où mon gland se pose à l'entrée.
Elle est mouillée, elle est chaude, ce qui vient de se passer lui a donc fait de l'effet. C'est assurément la plus douce et la plus sensuelle des paroissiennes que j'ai prises ici.

Au fur et à mesure que j'enfonce mon sexe en elle, je la sens s'ouvrir, je la sens m'enserrer. Douceur, peur, soumission, je ne sais que dire. Saisissant ses hanches, je commence à accélérer. Ce qu'elle a déjà prodigué à ma queue m'a beaucoup excité, et son abandon actuel renforce cela.
J'en oublie le lieu, j'en oublie ma mission, j'en oublie les circonstances. J'ai juste envie de baiser une femelle nue qui se donne à moi sans retenue. Alors, j'accélère. Le rythme devient plus rapide. Les coups de reins deviennent plus forts.

Le napperon blanc posé sur l'autel en est tout froissé, mais peu importe ; Marguerite veillera désormais à ce qu'il soit toujours impeccable. D'ailleurs, sentant le plaisir monter en bouquet final, je me retire d'elle, et tenant mon sexe à deux mains, laisse enfin jaillir ce plaisir, aspergeant de mes jets aussi bien la poitrine de Marguerite que le napperon blanc.

Je ne me suis occupé que de mon propre plaisir. Pourtant, je regarde Marguerite, cherchant sur son visage quelque expression.
Mais il ne me faut pas oublier les fondamentaux !
Aussi peu crédible que je sois dans cette posture et dans cette tenue, la regardant toujours : « Tu es pardonnée, Marguerite, mais n'oublie pas que tu es désormais à ma disposition, et que cela implique de ta part une grande fidélité, une grande disponibilité. Dieu ne te pardonnerait pas de ne pas honorer tes engagements ».

6
Blabla / J'offre mon corps à....dix
« le: lundi 10 janvier 2022, 13:47:16 »
5 : il est temps de remettre un peu d'ordre moral ici.

7
Les alentours de la ville / En quête des esprits (Shikimurami Nagata)
« le: lundi 10 janvier 2022, 13:44:26 »
Je suis sous le charme ! Le charme essentiel, celui par lequel un ensemble de qualités rend une personne irrésistible, et Madame Shi est de celles-là. Il règne, à sa seule initiative, une telle sérénité dans cette demeure, que j'en comprends d'autant moins les rumeurs insistantes sur la présence d'esprits.
Mais je sais trop combien le Diable peut prendre les figures les plus imprévisibles, engendrer les actions les plus dévastatrices, pour demeurer un peu sur mes gardes. J'ai néanmoins du mal à croire que Madame Shi serait une entité diabolique. C'est donc ailleurs que je dois chercher cela.
Mon expérience m'a appris bien des choses. Arriver dans une bicoque lugubre n'est pas certitude d'un contexte hautement diabolique. Arriver dans une maison bourgeoise n'est pas certitude d'un contexte apaisé.

Le plaisir de cette collation est de savourer également les mots de mon hôtesse.
« vous bichonner », jamais une aussi troublante femme ne m'avait proposé cela.
« à n'importe quelle heure de la journée », voilà mon premier regret, que ceci ne concerne que la journée.
« m'avoir pour vous tout seul », je ne sais si mon hôtesse mesure le double sens de ses propos dans un esprit aussi aiguisé que le mien.
« il faut en profiter »,, voilà sans doute la plus belle des conclusions, des invitations.
C'est étrange ce qui m'arrive. Je ne suis un saint homme que selon mon ordination, et pas vraiment selon mon mode de vie. Je réalise que, depuis des années, je mène une vie dissolue, contraire aux préceptes primordiaux. Je le réalise d'autant plus que Madame Shi est différente de certaines femmes qui me firent rompre mes vœux de chasteté.
L'adage ne dit-il pas que « quand le Diable veut une âme, le mal devient séduisant » ?
D'ailleurs, son kimono qui s'entrouvre à nouveau, alors qu'elle se lève, semble le confirmer.

J'ai toujours gardé ma lucidité en toutes circonstances, ou presque. Mais jamais je n'ai connu ça ! Alors que Madame Shi s'est éclipsée pour aller chercher son fameux cake, des tremblements agitent la pièce, un tableau, la table. Bon, ça, je connais ; mais l'étrangeté est que ça survient quand Madame Shi a quitté la pièce, comme si elle s'était dissimulée pour engendrer ça. Toujours est-il qu'il y a bien quelque esprit dans cette demeure paisible en apparences seulement.

Un esprit pervers, me dis-je soudain, quand ma nuque est effleurée par un souffle, une sensation. D'une main négligente je balaie ce courant d'air, mais c'est un bout de tissu que ma main saisit. D'où vient-il ? Je ne le sais pas.
Ce que je sais, c'est que c'est une culotte, une jolie culotte toute blanche, presque diaphane, et surtout odorante ; aucun doute n'est permis, cette culotte s'est imprégnée de l'odeur intime d'une femme. Madame Shi, je ne sais pas, mais je le suppose. Comment sa culotte s'est retrouvée là ? Je ne le sais pas davantage. Pas plus que le petit papier qui l'accompagne, avec le simple mot « pervers ». Cette fois, c'est une chose que je n'ai jamais vécue. Comment l'esprit des lieux peut-il savoir ma vie ailleurs ? Certes, le Malin voit tout, sait tout, peut tout. Mais pourquoi me viser ainsi ? Pour me faire partir ? Alors, je reste !
D'autant qu'au dos du petit papier, le doute n'est plus permis : les fesses de Madame Shi sont exquises, moulées par cette culotte, qui est donc bel et bien la sienne.

Chez un prêtre aussi, quand une photo met le trouble, la réaction se dessine sous la taille. Encore heureux que la position assise m'évite de montrer combien mon pantalon prend une silhouette sans équivoque, que je tente de dissimuler e posant ma veste par dessus.

Ce qui ne s'arrange pas ! Ce papier est maléfique, mais je ne parviens pas à le lâcher. C'est comme une tablette qui fait défiler des photos. Sur la plupart, Madame Shi semble affairée – oui je reconnais un cake sur le plateau qu'elle tient – mais les photos qui se succèdent, comme un diaporama en direct, montrent sous divers angles une culotte bien plus légère, bien plus sexy, plutôt même un string dont la ficelle me permet d'apprécier deux jolis globes fessiers.
Instinctivement, je porte la main à mon pantalon, comme pour jauger de l'effet que ça me fait, oubliant que ce doit être l'oeuvre d'un esprit du Malin, et ôtant ma main in extremis alors que Madame Shi revient.
Sauf que, là, je sais qu'elle porte une culotte bien menue sous son kimono, que la ficelle doit lui coulisser être les fesses à chaque fois qu'elle remue, et que c'est peut-être pour ça que certaines de ses postures me surprenaient juste avant.

« un gros bout », si elle pouvait savoir le gros bout qui s'agite entre mes jambes.
« un petit », c'est un petit trou à peine caché d'une ficelle qui occupe mon esprit.
« il ne faut pas se gêner », c'est sûr que je risque de ne pas me retenir longtemps.
Je ne sais pas si Madame Si se rend compte du double sens que peuvent prendre ses mots. D'ailleurs, je me demande si ce sont ses propres mots ou si le Malin a pris possession de con corps et de son âme, et vise la perdition de la mienne.

De plus en plus évident car, alors que l'avenante Madame Shi coupe une part de cake, sa garde-robe commence à virevolter dans son dos. Garde-robe ? Je rirais plutôt tiroir à dessous ! Il y en a de toutes sortes. Petite cachotière ! Ça va de la très sage culotte en coton comme issue de sa grand-mère, jusqu'à des ensembles soutien-gorge et string arachnéens, que ne refuseraient pas certaines péripatéticiennes que je vis dans les vitrines d'Anvers.

Mais c'est comme si mes garde-fous tombaient, malgré la prudence de rigueur. Je ne regarde même plus Madame Shi, je suis concentré sur cette danse endiablée. Je sens mon excitation atteindre le point de non-discernement.
Je ne regarde pas Madame Shi alors que, de nouveau penchée sur la table, elle me gratifie d'un kimono bien entrebâillé, avec une vision plongeante sur ses seins.

C'est donc en regardant, par dessus son épaule,, la danse endiablée de ses sous-vêtements, que je lui réponds : « oh, mais je compte bien profiter de tout ce que je vois ; je suis sûr qu'il y en a encore plein à découvrir ».

Puisque cet esprit malin a décidé de jouer, je vais en faire de même ; on va voir jusqu'où il osera aller, me défier même.
Va-t-il laisser ces dessous continuer leur ballet, et faire se retourner Madame Shi, qui devrait en devenir rouge écarlate ?
Va-t-il me défier aussi ? Après tout, je suis là pour le neutraliser et, s'il s'amuse pour le moment, il pourrait changer de registre.
Je ne mets pas longtemps à savoir. Alors que je ne fais pas le moindre geste, c'est comme si un violent courant d'air fait tomber à terre ma veste, posée sur mes genoux pour masquer mon trouble. Penchée comme elle l'est sur son cake, Madame Shi ne peut ignorer cela.

Il faut vite faire diversion !
A mon tour, je me lève, me penchant en avant pour prendre l'assiette, le morceau de cake.
Je me penche si fort, que le parfum de Madame Shi envahit mon odorat.
Je me penche si fort, que la poitrine de Madame Shi m'apparaît plus grosse encore.
Je me penche si fort que, par dessus la table, je vois, sur le coussin où était assise Madame Shi, un objet ovoïde et joliment décoré, que j'identifie aussitôt pour en avoir vu sur le Net : un œuf vibrant ! Encore un effet de cet esprit qui a l'air d'être très joueur, ou un oubli de la tenancière des lieux ?
Je me rassieds, aussitôt, mais cette vision ne m'a pas calmé du tout, bien au contraire !

8
Le métro et la gare / Forgive me Father for I have sinned (PV)
« le: lundi 10 janvier 2022, 08:36:23 »
Tout va trop vite, à l'opposé de mon magistère, qui doit être serein, prendre le temps, écouter.
Ecouter, justement !
Pourquoi ai-je accepté d'écouter ?
Pourquoi ai-je accepté de remplacer mon confrère ?
Pourquoi ce même confrère a-t-il réellement renoncé à cette écoute ?
Tout va très vite, trop vite, la réalité bousculant mes souvenirs pourtant récents !

Que sont vingt-quatre heures dans une vie ?
Que sont vingt-quatre heures face à l'éternité ?
Pourtant, les vingt-quatre heures que je viens de vivre sont incroyables.
Et, vu ma situation en ce moment, je n'augure rien des prochaines vingt-quatre heures.

J'étais arrivé, hier au soir, dans la ferme où chacun de nous peut s'isoler, pour mener une retraite spirituelle, indispensable vu notre charge émotionnelle. Comme d'habitude, j'ai pris les clés chez la voisine, Madame Hoang, que l'Eglise paye aussi pour l'entretien de la ferme. Toujours souriante et affable, Madame Hoang. Toute ainsi, quand elle est venue sonner hier soir, juste après mon souper, vers dix-neuf heures de mémoire. Toujours aussi élégante dans son long manteau noir. Je songeais déjà à la prière du soir, avant de me plonger dans les Saintes Ecritures, mais elle avait insisté pour me parler, et je l'avais faite entrer. Les talons de ses bottes martelaient étrangement le carrelage, j'aurais dû me méfier. Sitôt entrée, elle se retourna vers moi, ouvrit son manteau qu'elle jeta à terre aussitôt. Ce n'était pas la Madame Hoang habituelle, j'en restai bouche bée. Les bottes noires n'étaient rien, prolongées par des bas noirs, accompagnées d'une guêpière tout aussi noire, sans oublier sa crinière noire débarrassée du chignon habituel. Une harpie ! Le Diable dans sa plus ostensible luxure !
« Mon Père, mon mari n'est pas là ce soir, alors il va falloir le remplacer ! »

J'étais tellement sidéré que je ne bougeais pas. Aucun souci pour Madame Hoang, elle maîtrisait parfaitement la situation, apparemment très habituée. Sans que je ne réalise, elle était à genoux devant moi, mon pantalon noir ouvert et ma queue glissant entre ses lèvres.
Oh certes, je ne prétends pas avoir toujours respecté mes vœux de chasteté, mais jamais ainsi, face à une telle ogresse. Et ce n'était que le début !
Combien de fois ai-je léché, mordillé, sucé, pénétré, baisé ? Je ne le sais pas.
Combien de fois ai-je fait jaillir ma semence en elle ? Je ne le sais pas.
Tout au plus me rappelle-je que j'ai enfreint les règles, en la sodomisant.
Et je me rappelle aussi de ses mots, en me quittant au matin, épuisé, vidé, sur ce lit en désordre : « Vous êtes encore bien résistant pour votre âge, Père Yves, mais nous ferons plus encore la prochaine fois ».

Il m'avait fallu la matinée pour retrouver ma lucidité, remettre le lit en état, nettoyer certaines traces, récupérer des forces. Quoique les propos de Madame Hoang me rassuraient ; ma virilité était toujours vigoureuse. Tout occupé à cela, puis à essayer de rattraper mon retard de travail, j'avais ignoré mon téléphone sonnant souvent. Le numéro de l'église revenait ; j'avais pourtant confié à Soeur Augustine le soin d'assurer le quotidien, d'accueillir les fidèles, de me prendre des rendez-vous même en cas d'urgence.

Midi sonnant, j'ai enfin effacé les traces de la nuit, rattrapé tout mon retard, et savouré cette délicieuse soupe que Madame Hoang avait laissée au réfrigérateur.
Madame Hoang, justement ! Quand la sonnette de l'entrée tinte, je sursaute. Nul ne savait que j'étais ici. Ce ne peut donc être qu'elle. On ne va pas recommencer ? Certes, j'ai récupéré, et ma libido est au beau fixe. Mais non ! Je fais mine de ne pas être là. Elle sait que je pars parfois me promener dans les chemins alentours, paisibles, pour méditer sur la beauté de la nature.
Pourtant, la sonnette insiste. Je n'arrive pas à me concentrer. Un rien énervé, je finis par aller ouvrir. Et là, le choc ! Plus fort que celui d'hier soir avec Madame Hoang ? Peut-être, quoique oui, en fait. Encore une visiteuse, mais...

Si c'était un démon qui me visita hier soir, alors là c'est un ange. Un ange blond, dans une si légère robe blanche dont le bustier est en partie dissimulé sous une jolie veste en cuir noir, presque aussi noir que de jolis escarpins. Comme si la pureté de cette vision efface d'un coup le vice de celle de la nuit passée.
Madame Hoang m'avait coupé la voix par son audace, mais cette visiteuse me coupe la voix par sa fraîcheur. Par son babillage aussi ! A peine s'est-elle assurée de mon identité qu'elle se met à me déclamer tout un laïus, dans un énervement manifeste, un mélange de malédiction, de curé assassiné, de sexe malgré elle. Malgré elle ? Certes, sa tenue est d'une exquise élégance, et son maquillage d'une subtile délicatesse ; mais je ne peux pas dire qu'une telle jeune femme laisse indifférent, me laisse indifférent.

Ce n'est pas la priorité du moment ! Je la fais entrer, car je n'ai pas envie que le voisinage sache que j'accueille des hystériques ; d'ailleurs, je rappellerai à Soeur Augustine que je lui avais demandé qu'on me foute la paix. Et, sitôt la porte fermée, ça repart, l'intonation, les délires, les suppliques.
« Stop ! », je m'accorde un répit, pour essayer de faire une synthèse.
Mais elle repart de plus belle, me coupant la parole, me suppliant de l'aider.
« Non ! », ma réponse claque, plus forte que je ne l'aurais imaginée.
Mais ça ne l'arrête pas, et elle continue de m'implorer en s'agenouillant.

Il n'en faut pas davantage pour faire gamberger mon imagination ! Un ange blond, agenouillé devant moi, ce ne sont pas des pensées vraiment pures qui envahissent mon esprit. Pas le sien, hélas ! Elle est tellement dans son état de panique que rien d'autre ne peut l'atteindre. Et c'est ainsi qu'elle vient à bout de mes réticences.
« Bon, c'est d'accord. Calmez-vous, et allons nous asseoir sur la terrasse, pour que vous m'expliquiez cela. Je verrai ce que je peux faire ».
Une confession en plein air, comme publique, ça ne l'avait même pas interloquée. Il faut dire que je ne trimballe pas un confessionnal portable, et que cette ferme n'est adaptée qu'au repos et pas à la messe. Je sais cette terrasse paisible, et surtout hors de portée des oreilles médisantes et des regards inquisiteurs.

Quand je reviens avec le plateau, elle est enfin assise, tapotant nerveusement sur la table. Mais j'aurais dû prévoir des litres de thé ! Car, une fois lancée, elle ne s'arrête plus. En essayant de mettre bout à bout ce qu'elle me raconte de réel, ce qu'elle me murmure d'inexpliqué, ce qu'elle m'affirme de déduction, se monte une étrange confession.
Je lui en fais néanmoins un résumé : « Donc, depuis que vous avez offert votre virginité à l'élu de votre cœur, du moins je le suppose comme tel, vos nuits sont le théâtre de comportements inadaptés, qui ne sont pas de votre volonté et donc d'une puissance extérieure, ce qui fait que vous les attribuez au Diable, et ce qui pourrait expliquer pourquoi mon prédécesseur y a laissé sa vie ».
Aussi surprenant que cela pourrait paraître aux non-initiés, je prends ces faits très au sérieux, même si je ne suis pas certain que la perte de sa virginité n'ait été aussi sérieuse que nécessaire. Si je me fie à elle, pourquoi ne pas croire à une de ces facéties du Diable ? Je dis facéties, car, si je dois combattre ces horreurs du Malin, elles n'ont, pour le moment, tué personne, du moins rien ne le prouve pour mon prédécesseur. Mon souci est que le blouson de mon invitée, étrangement prénommée Charity ce qui est peut-être un signe, s'est régulièrement ouvert pendant notre discussion, plutôt que confession d'ailleurs, et que la vue ainsi de son bustier n'était pas celle d'une femme disons prude. Qu'elle sorte le soir et que l'alcool lui fasse oublier ses écarts n'aurait rien de surprenant, et ne devrait rien à une quelconque malédiction, mais plutôt à une bipolarité, bourgeoise la journée et putain la nuit.

Pourtant, en sa présence, quelque chose me dit qu'il y a une anomalie. Je passe sur le fait que je ne sais pas pourquoi j'accepte sans hésiter de la raccompagner. Parce qu'il est tard et qu'elle pourrait faire une mauvaise rencontre dans le train de retour ? Parce que je crois à son histoire de malédiction, et que je veux effacer le Malin de son chemin ? Parce que, quand ses yeux me l'ont demandé, j'ai été incapable de refuser ? Peut-être un mélange des trois.
Il me faut juste le temps de me doucher, et je l'abandonne quelques instants sur la terrasse. Mais c'est là que ça ne va pas ! Laissant couler l'eau tiède sur mon torse, tout en faisant quelques allers et retours sur ma queue dressée afin de vérifier que la nuit passée ne l'a pas éteinte à jamais, je perçois une présence dans la pièce. Je ne peux pas ouvrir la porte de la cabine de douche, au risque d'éclabousser le vieux parquet. Mais il me semble voir une ombre, une silhouette. Je ne peux pas croire que Charity, malgré tous les démons qui lui engendreraient ces nuits de folie sans autre souvenir que du supposé sperme sur son corps fatigué d'avoir été souillé, ait aussi des réactions aussi imprévisibles en journée. Au delà de son énervement en arrivant puis en racontant, elle m'avait paru lucide. Sexy, aussi ! Et, rien que de penser à sa silhouette assez sagement dissimulée, ma queue se redresse, gonfle sous l'anneau coulissant de mes doigts. « Bonne nouvelle, j'en ai encore pour elle ! », c'est horrible de profiter de sa détresse, à moins qu'une tentation incontrôlable ne s'en mêle. Le Diable serait-il vraiment de la partie ?
Ça me poursuit alors que, de frais vêtu et parfumé, je rejoins Charity sur la terrasse. Elle est toujours assise à la même place, mais c'est comme si sa nervosité d'avant avait fait place à une autre forme d'excitation. Je ne saurais décrire, mais ses yeux me semblent briller très fort.

Dès qu'on devine la main du Diable, le cerveau perd certains repères. Ce doit être cela. Le soleil tend à s'effacer à l'horizon, quand le train s'ébroue enfin. Une demi-heure de trajet en agréable compagnie, un petit tour chez elle pour essayer de comprendre, et puis retour à l'église pour me reposer davantage que pendant cette retraite.
Etrange retraite où, entre une nuit avec une maîtresse femme en dessous sexy, et un retour avec une jeune femme ô combien jolie et ô combien troublante, je n'ai obéi à aucun précepte de notre Eglise.
Allons Yves, un peu de sérieux ! Je regarde au dehors, le soleil rougeoie, la nuit s'annonce, plus paisible j'espère.

C'est Charity qui rompt mon évasion contemplative.
« Mon père, je voulais vous remercier... »
Sa voix a changé, elle aussi. Plus aucun énervement, avec les bégaiements et les mots confus, mais une voix très douce, presque timide. Elle semble si loin la jeune femme exigeant que je la reçoive, allant jusqu'à me saisir par le col. Là, c'est comme une femme fragile, pas inquiète, mais comme quémandant.
Quémander quoi ? On rentre ensemble, j'irai voir, point final !
« Je vous en prie, Charity. Je n'ai fait que mon devoir d'homme d'Eglise à vous écouter dans une confession qui restera entre nous et Dieu, et je me dois de vous raccompagner chez vous afin de m'assurer que le Malin ne vous guette pas ».

Mais elle ne semble pas à son aise, elle se tortille, serrant les jambes à presque se retenir de je ne sais quoi. Elle n'est plus celle d'il y a quelques secondes ! Le Diable ? Impossible que je n'aie pas vu cela. Il doit y avoir une autre explication.
« Charity, que se passe-t-il ? Qu'avez-vous ? »
J'ai soudain la sensation qu'une chaleur nouvelle a envahi le compartiment. Je ne saurais l'expliquer, je défais un bouton de mon col.

Charity est toujours assise face à moi, les yeux baissés, tremblante, les mains comme figées juste avant d'ouvrir sa veste de cuir. Le Diable, je ne sais pas. Mais une apparition, c'est certain ; ce bustier, sous la lumière blafarde du compartiment, comprimant des seins qui captivent mes yeux. Ai-je un jour vu une poitrine aussi parfaite, aussi galbée, aussi altière ?
Oui ou non, la réponse se fait sous ma taille ; je sens mon sexe changer de volume, me faire savoir son regret d'être comprimé.

J'essaie de désamorcer la tension, je relève la tête vers Charity, pour cesser ma fascination envers ses seins, qui est indigne d'un homme d'Eglise. Elle a les yeux baissés, comme lorsqu'elle me confessait les démons qui, malgré elle, rendaient ses nuits aussi orgiaques qu'inconnues. Son maquillage est un peu défait, mais son visage est à la fois étincelant et étrange, peut-être est-ce dû au seul spot éclairant le compartiment.
Je fixe ce visage, guettant une expression je ne sais laquelle, alors qu'elle lève les yeux vers moi. Je n'avais pas vraiment fait attention à l'intensité de leur bleu, aussi profond que peut l'être le gouffre entraînant vers l'Enfer. Son regard est comme un étau qui emprisonne ma tête, enserrant mon cerveau à ébranler ses certitudes. Elle semble moins apeurée qu'en arrivant à la ferme, mais c'est comme si je ne la reconnaissais pas.

J'en aurais presque oublié cette poitrine soudain révélée, si ce n'est que ce même incendie décuple, alors qu'elle passe sa langue sur ses lèvres, avec une sensualité que seules maîtrisent les actrices porno, dont les vidéos parfois meublent mes soirées au presbytère. Elle ne doit pas voir combien mon sexe est soudain très à l'étroit dans mon sobre pantalon noir ! Instinctivement, je tends la main pour attraper ce qui passe à portée. J'aurais préféré trouver ma fidèle Bible à la reliure de cuir ornée de lettres dorées, mais je trouve juste mon long manteau que, grossièrement, je tire sur mon pantalon distendu.

« avoir pris mon pied », j'ai l'impression que les mots de Charity sont la plus violente des caresses, comme de l'une de mes paroissiennes de Seikusu qui, se croyant elle aussi possédée par je ne sais quelle force démoniaque, s'était soudain mise à me branler avec une vigueur sans commune mesure jusqu'à presque entrer en transe de recevoir mon foutre sur elle comme si c'était je ne sais quelle eau bénite de la main même de Dieu. Là, ce n'est pas la tournure que ça prend, d'autant plus que je ne veux nullement souiller ce beau tissu blanc de pureté.

Mais je ne sais pas quelle tournure ça prend vraiment. « Voyons, Charity, il ne faut pas... ». En fait, je ne sais plus ce qu'il faut ou pas. En sus de son regard brillant, de ses prunelles qui dardent leur lumière sur moi comme si elles exploraient au plus profond de mes pensées soudain impures, sa voix a changé. L'intonation ? Le timbre ? L'élocution ? Les mots, peut-être ? Après son regard, c'est sa voix qui me transperce, me brûle. Comme un épieu qui pourfend mon cœur, lui fait perdre toute rigueur ecclésiastique.

Ce n'est plus la paroissienne en confession, affolée, inquiète. « Tu t'en fous, Yves, tant que tu peux te la faire, tellement tu en crèves d'envie ». Cette voix intérieure, qui ne fait que me rappeler mes travers interdits, cogne dans ma tête. Face à moi n'est plus l'ange blanc, même la crinière blonde semble avoir pris une forme échevelée, s'éparpillant davantage lorsque Charity semble glisser de sa banquette jusqu'à terre.

J'en ai déjà eu des paroissiennes agenouillées devant moi, des bigotes, des grenouilles de bénitier, des piliers d'église, mais jamais nulle ne posa ses mains sur mes chevilles.
« Charity, que faites-vous ? »
Pas un mot de réponse, juste ses mains qui remontent au long de mes tibias, aussi certainement que mon sexe grossit encore.
Je suis perdu ! « Charity, il ne faut pas », mais même ma voix faible me trahit.
D'ailleurs, ses mains ont franchi mes genoux, glissent sur mes cuisses.
« vous montrer ma gratitude », oui et non, je ne sais plus, j'aurais été flatté de son attitude parce qu'elle me trouve encore bel homme pour mon âge, mais là ce n'est qu'un remerciement bien matériel comme si c'était tout ce qu'elle avait à m'offrir.
« faut-il que je me trouve un autre confesseur, encore ? », je ne veux pas laisser partir un tel petit lot, mais soudain me revient la question sur la vraie raison de la disparition de mon prédécesseur.

C'est alors que je prends conscience que la nuit est vraiment tombée, tandis que le train file dans la campagne, offrant aux rares voyageurs des gares que nous traversons ainsi, le visage d'un prêtre perdu dans ses contradictions, masquant à ces mêmes regards celle qui, agenouillée devant lui, a jeté le manteau à terre pour caresser une bosse coupable à travers le dernier rempart du pantalon noir.
Plaisir ou malédiction, ai-je encore envie de savoir ?

9
Les alentours de la ville / Bonne à tout faire (Marguerite Clairbois)
« le: dimanche 09 janvier 2022, 08:43:31 »
Ce fourreau de chair palpitante est un délice. Peu m'importe combien y sont passés et combien y passeront, du moment que j'y ai accès à ma guise.

Oh Seigneur, oui, je sais que mes pensées ne sont pas très pures, mais au moins garde-t-elle sa peur de toi. Tu ne l'as pas fait aussi jolie pour l'empêcher de séduire, tu ne m'as pas donné un sexe pour m'empêcher de baiser.

Je sens Marguerite tendre son corps, comme si je n'étais pas assez profond en elle – oui je me doute qu'elle a déjà reçu des queues plus longues ou plus grosses, mais plus inexpérimentées sans doute – alors, tenant fermement ses hanches, je me mets à la gratifier de plusieurs allers et retours, sortant presque du brûlant fourreau de chair, m'enfonçant avec une force qui serait presque de la violence, la regardant ainsi partir vers l'avant, s'accrochant comme elle le peut aux grilles.

Trois... quatre... cinq... dix peut-être... je prends le temps, entre chaque coup de reins, de savourer ce plaisir. Ce n'est qu'un début !

Je me penche à son oreille, presque dans un murmure : « Il y a beaucoup à faire, pour expier tes fautes, Marguerite. Je vais te détacher. J'ai confiance en toi. Et Dieu te regarde aussi. Sans te retourner, tu vas enlever ces inutiles jupe et jupon. Puis, tu vas te retourner face à moi, et tu vas ôter le haut suffisamment pour que tes seins apparaissent à la vue du Seigneur. Car je sais que, pour toi, ce sont aussi des instruments du vice. Gros comme ils sont, je suis sûr que tu y as déjà fait coulisser des sexes d'hommes. Alors, tu vas me montrer jusqu'où tu as poussé ce vice. »

Je me retire d'elle, j'ai tout mon temps. Je vais faire durer. Je détache avec délicatesse ses poignets. Elle tient toujours fermement la grille. Je suis désormais persuadé que, même sans être attachée, elle se serait laissée prendre. Aucun doute, elle était prête pour la saillie. Mais pas question de la mettre enceinte, quoique, après tous ceux qui lui sont déjà passés dessus, bien malin qui pourra dire quel est le père.

Et puis loin de moi tout ça ! Je dirige, j'ordonne, elle exécute. Elle doit expier, je ferai sortir tous ces démons, du moins leur permettrai-je de s'exprimer.

10
Les alentours de la ville / Bonne à tout faire (Marguerite Clairbois)
« le: samedi 08 janvier 2022, 09:33:08 »
Il semble que j'ai vraiment tiré un bon lot, aujourd'hui. Peu m'importe tous ceux qui lui sont passés dessus ; elle a une telle trouille que j'en ferai ce que je veux. Et puis, rien que pour toucher une obole à entretenir l'église, elle en acceptera encore davantage. Finalement, si Lynette est vraiment une sacrée cochonne, je pense que cette Marguerite me satisfera davantage.

« je n'ai pas péché par cette entrée interdite, pas depuis ma dernière confesse », tiens, je me demande à qui elle était allée se confesser. Un curé de passage, qui l'a lui aussi tringlée dans sa bergerie ou dans un chemin voisin ? Ou bien mon remplaçant, lors de mon dernier voyage, ce jeune séminariste encore puceau ? En tout cas, si elle lui a dit s'être fait sodomiser, soit il en a viré écarlate dans le confessionnal, soit il s'en est tripoté toute la nuit. Avec l'expérience, il verra que, quand une paroissienne t'avoue sa sexualité, tu dois profiter de ton ascendant pour la purifier par là où elle a péché. Donc, je ne m'occupe pas de son cul !

« C'est bien, Marguerite. Tu dis avoir retenu les leçons de ton expiation. Je suis fier de toi, tu es une brave fille, tu trouveras un bon mari. Mais, pour le moment, tu m'inquiètes quand même un peu ».

Avec une délicatesse fort peu divine j'avoue, je pousse de la pointe de ma chaussure pour écarter ses cuisses serrées. Elle tremble trop pour que ce ne soit que de la peur.

« Je vais m'assurer de ta contrition ».

Un doigt de chaque côté de la culotte, bien jolie pour une bergère, je la fais glisser au long de ses jambes.

Hum, cette peau, comme elle est douce. Incroyable de découvrir ça chez une paysanne !

Ses fesses apparaissent, jolis globes dessinés. Elle prend soin d'elle.

J'aime faire durer. Elle est sous mon emprise. D'ailleurs, après que j'aie descendu la culotte à ses chevilles, elle lève d'elle-même un pied puis l'autre, pour m'aider à lui enlever. Elle n'a aucune gêne à s'offrir cul nu au regard de Jésus sur la croix!

Je la porte aussitôt à mon nez.
« Hum, Marguerite, il me semble percevoir certains fluides. Je pensais que tu venais ici pour faire pénitence de tes dérives, mais il apparaît que tu es plutôt venue pour m'ajouter à la liste. J'en suis très déçu. »
Sans hésiter, ma main claque sur un globe fessier généreusement offert, et ma surprise est de taille, non à voir combien elle réagit à cette claque, mais plutôt combien ma main laisse une trace rouge sur sa peau blanche ».

Yves, stop !

« Le vice est plus profond en toi que je ne le pensais. J'ai quelque chose à faire. »

Et je la laisse plantée là, allant vers l'entrée de l'église. Mes talons claquent sur la pierre nue, résonnant dans l'église ; j'ignore si elle sait ce que je vais faire, mais j'imagine qu'elle doit cogiter. Oh, c'est pourtant simple. Je ferme la porte de l'église ; à cette heure, ça ne surprendra personne. Et surtout, ça évitera que l'autre folle de Madame Sankui ne me fasse la même scène que lorsqu'elle m'avait surpris avec Lynette dans mon lit. Ça n'aurait jamais dû arriver, si ce n'est que je n'avais pas fermé la porte à clé, que Lynette braillait fort quand je la bourrais, que Madame Sankui était aussi bigote que jalouse. Heureusement, je n'ai pas perdu au change, puisque je me suis fait Madame Sankui chez elle, dans son lit conjugal, après avoir écouté sa peine due à l'infidélité de son mari. J'étais le bras vengeur envoyé par le Seigneur, j'en avais été honoré. Mais, aujourd'hui, je n'ai pas envie qu'elle m'emmerde ! Marguerite est un beau petit lot, je ne la veux qu'à moi pour le moment. Enfin, qu'à moi, tout est relatif, après tous ceux qui lui sont passés dessus. Au moins elle ne fait pas la pimbêche. Mais un doute m'étreint. Ai-je encore des petites pilules bleues ?

Porte fermée, je reviens à ma jolie paysanne, claquant des talons. Elle n'a pas bougé, elle ne tourne même pas la tête vers moi. Je regarde ce fessier offert, je me penche. Mon doigt inquisiteur ne fait que confirmer. Son sexe est béant, humide, chaud, impudique. La tension n'est pas du tout retombée.

Tout comme en moi. Je déboutonne ma soutane, et mon sexe dressé témoigne de mon excitation, également. Hum, une bonne levrette, ici ; ça me rappelle quand j'avais fait pareil à Shani Stevens. Mais elle, pas besoin de l'attacher, tant elle en demandait. Alors que Marguerite, faut voir si ça deviendra comme une évidence chez elle.

Je murmure : « Oh mon Dieu, donnez-moi la force d'effacer, pour vous, toutes les souillures que cette âme pécheresse a fait subir à sa chair »
C'est pratique la religion; j'ai la justification à tous mes démons.
Mes mains à sa taille, je m'enfonce d'un coup sec dans son sexe béant.

« Marguerite, repens-toi, repens-toi de tes péchés ! », je reste enfoncé en elle, savourant cet étui chaud, brûlant même, et aussi très accueillant. Tout au plus s'est-elle un peu cabrée sous l'attaque soudaine - quoique je suppose qu'elle devait un peu s'y attendre – mais elle ne manifeste aucune désapprobation. Après s'être tapé des jeunes et des vieux, des inconnus et des voisins, et même plusieurs à la fois, se faire sauter par un curé ne doit pas la déranger !

11
Les alentours de la ville / Bonne à tout faire (Marguerite Clairbois)
« le: vendredi 07 janvier 2022, 22:13:19 »
Vraiment pas farouche cette petite paroissienne. C'est sûr que toutes ses aventures sexuelles ne me laissaient pas le moindre doute. Mais qu'elle soit si goulue pour gober ma queue, c'est comme si elle n'en avait pas eu depuis des mois.
Et elle sait y faire ! Ses propos n'étaient pas que des affabulations. Il faut juste la modérer en la tirant pas les cheveux pour la ralentir, mais parfois appuyer sur sa tête parce qu'elle ne gobe pas assez profond.
C'est sûr que de ne se contenter que de jeunes sexes qui n'ont qu'un désir, gicler au plus vite, elle n'en a pas appris le plaisir de faire durer. Au moins, là, je sais que je pourrais lui apprendre, tout en en profitant bien sûr.

Mais le plaisir est de lui maintenir la tête avec ma queue bien au fond de la gorge, de voir son corps se tendre, de voir ses yeux presque se révulser, de percevoir son souffle qui peine à se stabiliser. Juste ce qu'il faut, pas qu'elle en meure, mais qu'elle s'y perde.
Elle sait faire une gorge profonde, et je dois admettre que, sur ce point, elle bat Lynette.

Vu comme elle serre les cuisses – d'ailleurs, je suis sur qu'elle les frotte l'une contre l'autre pour faire monter son excitation – c'est que son corps réagit, c'est que son cerveau ne voit pas cela comme un souci.

« C'est bien, mais on ne va pas s'arrêter à ça ! »

Je remets un peu d'ordre dans ma tenue, puis me saisis de ses beaux cheveux, un peu malmenés depuis qu'ils me servent à donner le rythme de la fellation, pour justement faire cesser celle-ci.
« On va passer à autre chose ».
La tenant ainsi « Reste à genoux, et avance avec moi ! », je l'oblige à avancer jusqu'à la petite chapelle de Sainte Gudredunde, paraît-il sainte patronne des filles de joie.
A cette heure, pas de danger d'être vu, il n'y a jamais personne.

J'ai toujours dans ma poche des lacets, pour attacher aux grilles les fleurs que les fidèles déposent dans les petites chapelles. Mais, là, ils vont me servir à autre chose.
Je prends un poignet de marguerite, et, d'un geste ferme, je l'attache à la grille aux pieds de sa sainte patronne.
« Ne dis rien, tu as péché, tu dois subir ! »
Je ne lui laisse pas le temps de réagir, et fais de même avec son autre poignet.
« Ainsi, tu regarderas ta sainte patronne, en subissant le châtiment ! »

Je relève sa robe, le jupon, les maintenant à sa taille coincés par son corset.
Joli fessier, encore caché par une culotte bien ouvragée pour une paysanne sans le sou.
C'est sûr qu'avec tous ceux qui lui sont passés dessus, il doit bien en avoir un qui lui a offert une culotte un peu plus sexy!
« Dis-moi, Marguerite, as-tu aussi péché par cette entrée interdite ? »
Interdite ou pas, je m'en moque ; c'est juste pour savoir si je serai le premier.

12
Les alentours de la ville / En quête des esprits (Shikimurami Nagata)
« le: mercredi 05 janvier 2022, 10:18:50 »
J'en ai pourtant fait, des retraites dans des bâtisses loin de tout, des séminaires de toutes sortes, de ceux où on se faisait chier à écouter des sermons à longueur de journée, mais aussi certains où il y avait des distractions avec les jolies serveuses. Je ne me suis jamais fait prendre, tant mieux ! Mais sauter une jolie minette dans une froide cellule monacale met une de ces chaleurs dans les lieux ! Seul souci : elle ne pouvait pas crier. Pourtant, je recommencerais volontiers.

Bon, là, c'est tout autre. Mon hôtesse a un charme exquis et une rigueur extrême, mis à part quand même cette tenue certes élégante mais quand même troublante, et elle ne se vautrera pas dans la chambre qu'elle m'a préparée, avec toute la fougue d'une jeunette en manque de sexe, même si je cache le crucifix pour pas que Dieu nous voie.

Là, c'est sûr qu'il doit voir mon trouble. Mon pantalon règlementaire de prêtre en déplacement doit masquer mon excitation, mais je ne peux nier que je bande. Le kimono de Madame Shi n'est pas des coutumes du pays d'où je viens, mais elle porte cette tenue traditionnelle avec une élégance rare. Je ne saurais dire avec certitude si je devine ses tétons dessous, mais rien que d'y penser ne calme pas mon excitation.

« je suis très heureuse de vous accueillir »
Même sa légère courbette respectueuse n'apportera pas, hélas, la réponse à mes yeux en quête de la naissance de la ligne entre ses seins.

Tout prêtre et toute hôtesse que nous soyons, je refuse qu'elle porte mes valises.
« Merci, Madame Shi, pour cet accueil. Je sens que je serai très bien ici, mais je n'en oublie pas que je souhaite profiter de ce temps pour réaliser certaines actions ».

Etrange comme tout est apaisant en ces lieux, pourtant réputés habités par des esprits malfaisants. Ça me rappelle un exorcisme précédent, officieux bien sûr, où la maîtresse des lieux s'est avérée être une succube habilement déguisée.
Elle aussi, j'étais tombé sous son charme.
Avec elle aussi, je m'étais retrouvé au lit.
Et ce n'est que parce que le crucifix s'est soudain mis à trembler en cognant contre le mur, que je me suis réveillé en pleine nuit, son corps nu au dessus du mien, son visage métamorphosé, ses yeux injectés de sang. Disparue la douce hôtesse ! Ce n'est qu'en empoignant le crucifix pour la frapper de toutes mes forces que j'en ai réchappé.

Pourtant, Madame Shi est encore plus douce, encore plus posée, encore plus belle aussi. Si radieuse même, sur ces coussins posés au sol. Nous sommes tout proches, près de cette table basse. Des gâteaux, du thé, des fruits, c'est tellement à son image.
Encore plus aux antipodes de l'image des lieux. Je n'ai encore ni vu ni entendu un esprit. Pourtant, ils sont là. J'ai acquis ce réflexe, cette prudence. Il y a même quelque chose de plus. Les esprits malins, ceux de moindre importance, il y en a dans bien des endroits, et ceux-là ne m'inquiètent pas.
Mais, ici, je ressens autre chose. Il y a come une espèce de chose qui semble mener tout ça, un peu comme un général qui envoie ses troupes au front sans intervenir lui-même, sauf si le combat venait à nécessiter sa force propre. Et là, plus je hume l'atmosphère, plus je le perçois.
Je venais pour frapper un grand coup, acquérir enfin mon statut d'exorciseur ; il se peut que ça aille au delà de mes attentes.

Mais bon, je n'ai pas que ça comme attentes.
«  Merci, chère Madame, pour cette collation. J'aime le calme de votre demeure. »

Je regarde autour de moi ; tout est à son image, les couleurs, la décoration, à la fois épurée et présente, comme si c'était un écrin bâti autour d'un bijou.

Yves, tu divagues, ressaisis-toi !

D'une drôle de façon !

Le haut de son kimono s'est entrouvert, et le doute n'est plus permis : non seulement cela augure de jolis seins cachés dessous, mais ça confirme que nul soutien-gorge ne les tient. Une aussi jolie poitrine qui se tient droite sans rien, voilà qui laisse rêveur. Sait-elle l'effet que ça fait ? Et est-elle aussi sans culotte ? Ces questionnements surpassent ma quête du démon.

« Ces pâtisseries sont délicieuses. Est-ce vous qui les avez faites ? »

Je me dois de faire diversion, car ma posture sur les coussins risque de révéler mon excitation.

« Mais je ne voudrais pas vous importuner, si vous avez à faire ».

Je me rends surtout compte que j'ai plutôt envie de me la faire. Clairement ! Si c'est le diable qui m'envoie la tentation pour me damner, c'est foutu. Pourtant, Madame Shi est différente de ce que j'ai pu baiser depuis ma prise de fonction à Seikusu. Elle est élégante, quand d'autres étaient vulgaires. Elle est douce, quand d'autres étaient gueulardes. Trop polie pour être honnête ! Une succube sous une apparence de sainte ?

Et je me rends aussi compte que, si je me lève des coussins, elle risque de remarquer une bosse bien incongrue vu mon statut.

13
Les alentours de la ville / Bonne à tout faire (Marguerite Clairbois)
« le: mercredi 05 janvier 2022, 09:35:10 »
« je jure que je ne l'ai pas touché », donc soumise avec le boulanger.

« C'est assez de détails... ? »
« Oui, Marguerite, Dieu t'a entendue. »
Et ma queue aussi, sortie de ma soutane, avec mes mains qui lui donnent de la vigueur.
Pourvu qu'elle ne remarque rien !

« j'ai avalé autant que j'ai pu, même si la tige du vieux François n'était pas vaillante... »

Hum, parfait, voilà qui va me servir avec l'évêque. Si elle lui fait une bonne pipe, et ce vieux machin doit bander mou et vite cracher quelques gouttes, ça le mettra en de bonnes dispositions pour signer le devis de réfection du presbytère. Quitte à y tringler les vieilles bigotes, autant y avoir du confort.

Plus elle en raconte, et plus ma respiration s'accélère.
Une semaine à se faire tringler par le chevalier. J'avoue que je devrai prendre des petites pilules bleues pour faire pareil. Mais la baiser dans tous les recoins de l'église, une semaine durant, ça me tente.
Puis en trio avec les deux frères. C'est comme si elle devinait mes pensées. Quand on se retrouve pour une belote, avec les trois servants de messe, elle serait un bon amusement. Tringler la dame de cœur en dix de der, voici une nouvelle règle.

« Ah, sa tache de naissance ? », Marguerite ne s'est pas interrompue à ma surprise. Mais je ne peux pas lui dire que je l'ai découverte, quand j'ai baisé Lynette sur l'autel. Oui, c'est clair qu'elle n'a pas froid aux yeux. Mais, elle, dans les mêmes circonstances, elle avait compris que sa confession m'excitait, et elle était venu me soulager. Se faire sucer par une jeunette, lui balancer tout dans la bouche et la voir tout avaler, se faire nettoyer la queue pour rebander, et la tringler en levrette sur l'autel pour la première fois que je la voyais, c'était un pied mémorable. Pas sûr, petite Marguerite, que tu feras mieux !

« Je vous jure que je ne sais pas quoi dire de plus mon Père », le récit est clos, mais pas mon excitation. Je reste muet un instant, j'ai du mal à rassembler mes pensées, trop d'entre elles se bousculent. Je ne peux pas sortir du confessionnal dans cet état, impossible de rentrer ma queue sous la soutane, ou alors ça va se voir.

Gagner du temps !

« Dieu t'a entendue, Marguerite ». Je marque un temps d'arrêt. « Je pense que la badine ne s'imposera pas. Mais, si tu venais à me mentir, je n'hésiterais pas. Et l'Eglise nous l'impose en place publique. Pour être certain de son efficacité, je demanderais au bourreau de lui-même chasser, comme homme de Dieu, le démon de ton corps, et de soigner le mal par le mal ». Hum, rien que de penser au vieux Charles qui la tringlerait en public, ça m'excite encore plus. « Certains de mes confrères vont même plus loin, en sollicitant de vigoureux paroissiens pour, à leur tour, faire ainsi taire le feu du démon chez celles qui ont péché ». Voilà que je trouve une justification religieuse à une partouze, mais, au point où j'en suis...

Si elle est aussi chaude qu'elle le sous-entend, elle doit avoir la culotte mouillée. On va voir...

J'essaie de retrouver une voix posée.
« Pourtant, Marguerite, il me semble que tu as oublié quelque chose ».

Je marque un temps d'arrêt, j'imagine son doute.
« M'avouer tout cela ne t'a-t-il pas perturbée ? »

Seul un silence me répond ; j'ai fait mouche.
« Marguerite, Dieu me dit que tu oses être excitée dans ce lieu saint ».

Elle était diserte sur ses frasques, elle est muette désormais.
« Ceci est inadmissible, et tu le sais. »

Sans bruit, je me lève, écarte mon rideau, sors du confessionnal, écarte le rideau qui la protège aussi. Je ne cache rien, ma queue sort, dressée, de ma soutane.
« Tu sais ce que tu dois faire ! »
Et, comme si le Diable prenait soudain place en moi :
« Et, si une seule goutte de ta mouille ou de mon foutre coule à terre, je te la ferai lécher à quatre pattes, avec le cul nu bien en l'ai pour recevoir la badine »

14
Les alentours de la ville / Bonne à tout faire (Marguerite Clairbois)
« le: dimanche 02 janvier 2022, 20:54:16 »
Grand nettoyage, vérification de tout, jamais mon église ne fut aussi clinquante ; c'est d'autant plus absurde alors que j'ai sollicité une jolie donzelle pour en assurer l'entretien !

Avant même que 10 heures ne sonnent au clocher, Marguerite apparaît. Le soleil rayonne, et met en valeur sa silhouette aux jolies proportions. Le vent donne à la fois de l'allant à ses cheveux, et de la suggestion à sa longue jupe de tissu si léger. Dieu m'envoie un signe : voici de la chair fraîche et innocente.

Heureusement que je ne porte rien sous mon long habit de curé, car, vu comme mon sexe se tend à l'idée de prendre un pucelage, cette excitation se serait vue ! Tiens, ça me rappelle quand, lors d'un mandat précédent, j'avais dépucelé deux copines d'école le même soir. Elles étaient venues à confesse, car embarrassées de s'aimer l'une l'autre et souhaitant néanmoins passer à plus charnel, et je leur avais proposé de leur faire découvrir ce qu'est le coït avec un homme, pour qu'elles puissent ensuite décider.

« Bonjour Marguerite. Tu es à l'heure, c'est bien. Le confessionnal est là-bas, allons-y. Passe devant, je te prie ». C'est une évidence : « Hum ce joli cul, bien proportionné ; celui-là, je lui prendrais bien son pucelage aussi ! ».

Marguerite semble connaître, s'installe à genoux sur le prie-Dieu, tandis que je referme ma porte. « A genoux, voilà une pose déjà bien adapté, ma petite cochonne ».

Hélas, les quelques premières phrases m'ennuient, des défauts de pacotille, des trucs dont je me fous, qui me font débander en me disant que je me suis trompé, que c'est une simplette qui n'aura jamais d'attirance pour le cul, même en insistant lourdement. « Bon, vu comme ça tourne, je la dépucèle, puis je la renvoie à sa bicoque ! Pas de temps à perdre avec les niaises. Autant s'amuser avec la salope de Lynette, qui doit avoir le même âge ».

Mais, alors que l'ennui me guette, les mots changent.
"lever mon jupon et délacer mon corsage"
"utiliser mes mains pour le soulager"
"j'ai un peu utilisé ma bouche"
"j'ai été plus hospitalière que j'aurais dû"

et un autre... et des frères... et un vieux

« Je crois que c'est tout », la phrase me saisit alors que, caressant ma queue à travers ma soutane, je sentais une force invraisemblable monter dans mes reins, en attendant qu'elle cite avec force détails la suite, les autres.
« Ah ? », c'est tout ce que je parviens à lui répondre.
Je serais presque déçu de ne pas pouvoir lui prendre son pucelage, mais, vu son expérience, elle ne risque pas d'être une chieuse au plumard ! « Si elle est aussi ouverte ; jeunes comme vieux, voire plusieurs à la fois, je vais m'éclater ».
« Est-ce que Dieu va me pardonner ? », voilà bien la dernière question à laquelle je m'attendais.
« Euh ? », là aussi, ma réponse est brève, tant je suis pris de court. Si je lui dis oui, elle se barre et c'en est fini. Si je lui dis non, je pourrais la retenir.

Mais, là, elle est dans un état d'innocence, il faudrait que je la fasse un peu monter en pression ! « Si je sors de ma place pour venir lui montrer ma queue à sucer, pas sûr qu'elle s'y mette !. On va jouer encore un peu ; ce sera plus facile, quand elle sera bien chaude ».

Rassemblant le peu de concentration qui me reste, une main au menton visible par la grille du confessionnal, l'autre main astiquant ma queue sortie à travers deux boutons défaits de ma soutane, je prends un air grave, une voix solennelle.

« Eh bien, Marguerite, Dieu est satisfait que tu t'exprimes aussi sincèrement. »
J'imagine son sourire d'avoir passé l'épreuve aussi facilement.
« Mais Dieu est déçu, car tu résumes ça très sommairement, comme si c'était des choses insignifiantes, vite faites, sans que tu y prennes du plaisir. Dieu doit penser que tu me caches des choses. »
Je guette, à travers la grille, une réaction sur son visage. « Ne crois pas t'en tirer si facilement, ma petite dévergondée ! »

« Alors, dis-moi. Le boulanger n'a-t-il fait que mater et te tripoter, ou me caches-tu qu'il t'a prise ? »
Première estocade, je lui laisse le temps d'encaisser.

« As-tu avalé ce que le vieux François a craché dans ta bouche ? »
Rien qu'à lui dire ça, j' pense à sa pose agenouillée, à lui mettre ma queue en bouche.

« Est-ce toi qui a osé tenter le chevalier que tu as accueilli ? »
Les chevaliers ne sont pas tous courtois, mais, s'ils sont invités, ils en profitent.

« Etais-tu dans un lit avec les deux frères ? »
Rien qu'à l'imaginer prise en double, penser à sa petite rondelle me fait bander plus fort encore.

Aucune réponse ne s'est glissée dans mon énumération. Je vais en rajouter un peu ; « Sais-tu que j'ai le droit divin de te fouetter, si tu me caches des choses ? J'ai une badine, et je n'hésiterai pas à m'en servir, s'il faut de punir de tes péchés? ».

Je ne parviens pas, dans ce confessionnal peu éclairé, à percevoir son regard. Mais sa respiration semble s'être accélérée. Il est temps de porter l'estocade : « Une des filles du village, dont le prénom commence par L, m'en a dit bien plus que toi, et ses fesses se rappellent encore de ce que je leur ai mis ! ».

Va-t-elle fuir ? Ou a-t-elle peur de Dieu, au point de rester, avouer, et... ?
Je suis sûr de la (re)tenir avec la promesse de s'occuper de l'entretien de l'église.

15
Les alentours de la ville / Bonne à tout faire (Marguerite Clairbois)
« le: samedi 01 janvier 2022, 20:45:15 »
C'est défilé, aujourd'hui. Je n'aime pas ces parades, ces humains fiers d'aller tuer d'autres humains, mais aussi cette foule humaine qui les salue, les admire. C'est contraire à ce qu'on m'a enseigné. C'est contraire à ce que j'enseigne. La violence ne fera pas la société ; elle ne fera que des victimes, des veuves et des orphelins. Je ne suis debout sur le parvis de mon église que par obligation.

D'ailleurs, je ne regarde pas ces soudards, car je n'oublie pas que, dans le feu de la mort qu'ils sèment, trainent les dépouilles des femmes qu'ils ont violées, et les larme des enfants qu'ils privent d'avenir. Même ma propre Eglise s'est fourvoyée dans ces immondices, et, alors qu'elle prend peu à peu conscience de ces horreurs passées, je ne peux pas en applaudir d'autres.

Hélas, cette foule est aussi coupable d'ainsi encourager. Une foule où il y a peu d'hommes, parce ceux qui restent se font traiter de lâches. Une foule où il y a beaucoup de femmes, les plus nombreuses qui pensent que guerre rime avec virilité et qu'un homme en armure a la bite aussi dure que sa lance, et les plus rares qui pleurent leurs maris partants.

Mais il y a un autre groupe d'admiratrices qui attire mon regard. Des jeunettes ! A peine sorties de l'adolescence. Et plus excitées qu'une puce qui a trouvé un élevage de chiens. On dirait qu'elles sont à un spectacle musical, à hurler envers quelque idole, alors que seul Dieu doit être adoré. C'est sûr que, si un soldat met pied à terre, ces harpies se jettent sur lui pour le violer !

Parmi elles, il en est une qui retient mon attention, plus que toutes les autres. C'est cette petite brunette de Marguerite Clairbois. Il y a un moment que je l'ai repérée, lors d'une de mes promenades méditatives. Une jeune femme courageuse, qui vit dans une maisonnette toute simple.
Je dois avouer que ce qui m'avait distrait de ma rêverie était ce jupon qui avait volé au vent, juste avant que sa posture penchée vers l'avant ne me gratifie de la vue délicieuse d'une poitrine ample et corsetée.
Je ne savais pas qui elle était, alors. Je l'avais juste gratifiée d'un sourire, comme tout bon prêtre qui se respecte. Mais, sitôt revenu à l'église, j'avais activé mes contacts, afin d'en savoir davantage, son identité, le décès de ses parents, sa solitude, son courage, sa pauvreté.
Puisque Dieu m'en fut témoin, je peux même avouer que, le soir-même dans mon strict lit du presbytère, je me suis donné du plaisir dans des rêves lubriques. Je ne l'ai forcée à rien, il n'y a donc pas lieu de m'en condamner. « Hum, Marguerite, comme tu étais bonne ! ».

Mais, là, le spectacle a le don de m'énerver. Marguerite est de celles qui piaillent le plus au passage des soldats. Tout pour se faire remarquer ! A sauter comme une hystérique, j'en vois même sa poitrine tressauter à vouloir s'échapper de son corsage.
C'en est trop ! Je vais y mettre bon ordre. « Je vais t'apprendre, petite salope ! ».

J'ai dû ronger mon frein jusqu'à la fin du défilé, mais à peine est-elle rentrée chez elle, que je suis sur ses traces.
Elle ne semble même pas surprise que j'arrive à sa maisonnette. Sans doute ma tenue sacerdotale est-elle un gage de sécurité pour une jeune femme vivant dans l'isolement.
Si sécurisée qu'elle n'a nul scrupule à ostensiblement afficher sa poitrine bien serrée à en être plus pigeonnante encore ! Heureusement que ma soutane cache l'effet que ça me fait. Je dois absolument garder ma sérénité.

« Bonjour Marguerite. Je t'ai vue, tout à l'heure au défilé. Tu avais l'air bien excitée ; je t'entendais crier jusqu'à l'église ».

Je marque un temps d'arrêt, guettant sa réaction.

« Ne crois-tu pas que, à ton âge, tu devrais plutôt te chercher un mari parmi les jeunes du village, fonder une famille, avoir des enfants, et travailler à aider ton mari ? »

Je retrouve mon esprit de sermon, je dois lui en imposer.
« Ouais, en fait, je n'ai pas envie qu'un de ces ploucs de villageois tripote ces gros nibards ! »
L'intonation est là, je la poursuis.

« Tu viendras demain te confesser. Sois là à dix heures, et ne me fais pas défaut. Tu sais que Dieu t'observe, et qu'il te punira si tu ne le sers pas. »

« Ce que Dieu ne te dira pas, c'est que j'ai aménagé le confessionnal à ma manière. Les règles de l'Eglise sont parfois dépassées ; il faut savoir les moderniser. »
Je suis surpris de sa passivité ; on m'avait dit qu'elle était simple, pas très lettrée, mais sa quasi crainte envers ma fonction est un atout.

« Et, si tu es digne de ma confiance, je te prendrai par... euh je te prendrai pour l'entretien de l'église, en te payant bien sûr ».
Je sais qu'elle a du mal à avoir de quoi vivre ; ça devrait l'appâter. Heureusement qu'elle est trop simple pour ne pas avoir compris quand j'ai bafouillé !
« Quitte à entretenir, tu viendras aussi entretenir la vigueur de ma queue ; gratuitement, bien sûr, mais ça, on le verra en temps nécessaire ».

« N'oublie pas, Marguerite, demain à 10 heures ».
Et je tourne les talons.
Il me faut tout préparer, configurer le confessionnal, et remettre de l'ordre dans le presbytère.

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