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Messages - The Doctor

Pages: [1] 2
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Les alentours de la ville / Re : Quoi de neuf docteur? (PV: Le Docteur)
« le: vendredi 11 octobre 2013, 15:39:11 »
Le Docteur ne semblait pas avoir été plus que cela endolori par le choc. Peut-être l'adrénaline qui filait dans son sang qui rendait cela moins douloureux. Il faut souligner que les Seigneurs du Temps avaient sur de nombreux points les mêmes caractéristiques que les humains, mis à part leurs deux coeurs, évidemment. Par ailleurs, il avait de bonnes capacités régénératrices. Donc la douleur à peine apparue s'évaporait presque aussitôt. Tout en analysant la situation, il écouta l'avis d'Arashi qui avait porté à sa bouche une paille qui lui permettait d'avaler un liquide rouge assez caractéristique. Il avait déjà remarqué sa différence avec les humains standards, et la voir boire ce liquide attisait un peu plus sa curiosité. Tout comme un ordinateur qui faisait deux calculs en simultanée, le Docteur pensait à l'endroit, aux monstres et, tout en même temps, à sa bien étrange invitée. C'était un véritable maelstrom qui se passait dans sa tête et c'était plaisant au plus haut point pour lui.

Suivant la demoiselle, ils ne mirent pas longtemps avant d'arriver à un croisement. Un bruit étrange arrivait de droite et des claquements de langue, lointains. Il était clair qu'ils allaient être vite cueillis par ces monstres s'ils devaient passer par la droite. Chuchotant doucement, il dit à Arashi :


« Ce n'est pas ce que je n'aime pas votre idée d'aller à droite sans arrêt, mais là, je garde une petite réserve cette fois-ci. »

L'idée de se faire dévorer était clairement hors de question pour lui. Il observa quelques instants, puis décida dans sa tête qu'il valait mieux prendre l'opposé total de leur idée de prépare. Il s'aventura doucement vers la gauche, avançant prudemment dans les couloirs aux nombreuses portes fermées et verrouillées. Le Docteur aurait très bien pu ouvrir ces portes, mais si cela n'était pas nécessaire, il valait mieux éviter d'attirer les créatures avec son tournevis sonique. Ils arrivèrent dans une grande salle, avec de nombreux monstres, mais immobiles. C'était étrange d'ailleurs.

Le Docteur s'approcha doucement, arrivant à proximité des créatures qui, immobiles, ne semblaient pas pouvoir ou vouloir bouger. À voir de plus près, ils étaient transparents et fendus sur leur dos. Le Docteur observa quelques instants, avant de passer sa main à l'intérieur dès la fente. Lorsqu'il ressortit sa main, elle était engluée par une sorte de gelée vert clair. Il réfléchit quelques instants, avant de se tourner vers Arashi, avant de dire, surpris :


« C'est une mue ! C'est la mue d'une de ces créatures. »

Il se redressa et observa le nombre qu'il y avait de mue dans cette salle : plus d'une trentaine de "cadavres"...

« Lorsqu'une créature mue, c'est que sa peau actuelle est trop petite pour pouvoir contenir son corps. Cela signifie que ces créatures grandissent... Dans leur taille actuelle, un simple humain serait suffisant pour les nourrir, mais s'ils grandissent, leur besoin nutritif également... Et vu le nombre de ces créatures qui ont déjà mué, cela fait déjà plus de trente humains nécessaires pour les nourrir. »

Il se tourna vers Arashi et prit sa bouteille et sa paille avant de lécher la goutte de sang qui sortant de la paille, claquant sa langue sur son palais, avant de dire, doucement :

« AB positif. Intéressant. Bien, maintenant que ça s’est fait, je peux me concentrer. »

C'était une manière de libérer les parties de son cerveau occupées : en résolvant, même rapidement, le mystère qui entourait Arashi, il pouvait penser aux monstres. Il reviendrait sans doute plus tard sur la véritable nature de la demoiselle, mais en attendant, des questions plus compliquées demeuraient.

« On peut déjà prévoir qu'il y avait au moins une dizaine d'autres de ces créatures. Si elles évoluent à leur tour, ça fait quarante humains par jour au minimum pour les nourrir. En quelques jours, une grande partie de la population de Seikusu aura été dévorée, et elles devront aller chercher leur nourriture ailleurs. »

Il se tourna vers Arashi, son sourire disparu dans une moue inquiète, alors qu'il songeait à ce qui pouvait être déduit de cela.

« Aucun scientifique sain d'esprit n'aurait laissé trente de ces créatures évoluer ainsi, en sachant les conséquences. Donc, trois possibilités : les scientifiques qui ont créé ces monstres sont stupides... »

Il haussa les épaules avant de se tourner vers les différentes sorties qui leur restaient : en face de la porte par laquelle ils étaient entrés se trouvaient sept portes, pareil sur le mur à sa droite et à sa gauche. C'était étrange, mais il décida d'oublier ce détail : ils allaient juste faire demi-tour.

« ... Deuxième possibilité, l'équipe scientifique a été tuée par ces monstres qui ont pris le contrôle du lieu. Ou troisième, et j'espère bien que ce n'est pas celle-ci... »

Il se tourna une nouvelle fois vers Arashi et déclara :

« ... ce lieu a été investi par quelqu'un qui se fichait bien des vies humains que cette expérience allait impliquer.

- Bravo, cher ami. On peut dire que vous êtes intelligent, vous. »


Dans l'encadrement de la porte d'où ils étaient venus apparurent trois hommes, armés de fusil étrange qui, semblait-il, était alimenté par de l'énergie ionique. Ils avaient la peau blanche, les cheveux tout aussi blancs, habillés de smoking et avec des yeux de lézard. Le Docteur fit quelque pas, les deux hommes armés chargèrent leur fusil dans un "clic" sonore qui stoppa le Seigneur du Temps.

« En réalité, ces toutes ces propositions qui sont exactes. Vous n'imaginez pas combien c'était simple de convaincre les scientifiques humains d'expérimenter sur ce génome et ensuite de les tuer à l'aide de nos petits choux.

- Déclinez votre identité, planète d'origine, coordonnée galactique et désignation de votre espèce selon le Traité Universel de la Proclamation de l'Ombre. »


Les trois comparses ne purent s'empêcher de rire aux déclarations du Docteur, comme s'ils étaient hors de propos. Finalement, le seul non armé dit doucement :

« Si cela peut vous faire plaisir : je suis Galpsidian, de la planète Yurion 8, coordonnée 14-16-35-27-85 par 4-0 dans la galaxie Sigma 7. Race : les Rideions. Cela vous aide-t-il ? Non, probablement pas, après tout, nous sommes loin de Sigma 7, alors peu importe qui nous sommes, je dirais. »

Il avait raison : les Rideions étaient normalement une race peut avancée technologiquement, encore au stade de la découverte nucléaire. Il était rare d'en voir un disposer d'une technologie suffisante pour traverser les galaxies, ou même tenir en main un appareil comme un fusil à ion. Ils étaient piégés, et incapables de faire quoi que ce soit. Tout ce que pouvait faire le Docteur, était posé des questions :

« Qu'êtes-vous venu faire ici, vous et vos amis, Galpsidian ?

- Moi et mes "partenaires" sommes venus ici pour développer une nouvelle forme de vie. Une forme de vie esclave pour les Ridieons. Pour nous protéger des menaces extérieures. Bref, pour faire simple, nous avions besoin d'un élevage, et la Terre représentait l'endroit idéal pour cela. »


C'était vraiment fou, mais le Docteur comprenait déjà ce qu'il voulait dire... Arashi avait-elle deviné elle aussi ?

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Les alentours de la ville / Re : Quoi de neuf docteur? (PV: Le Docteur)
« le: jeudi 08 août 2013, 14:03:17 »
Ils étaient tous les deux dans la panade : entouré par tous ces monstres que pouvaient-ils faire, sérieusement ? Ces créatures ne semblaient pas capables de communiquer avec eux directement, ni n'en semblaient avoir l'envie. C'était vraiment problématique. Le Docteur tentait de trouver le lien, cette chose qui avait fait que ces monstres les aient attaqués, son cerveau tournant à plein régime pour découvrir ce qu'il en était de leur faiblesse. Il n'avait rien qui lui venait en tête, pourtant, ça devait être là. La jeune fille ? Non, elle semblait tout ce qu'il y avait d'ordinaire. Le lieu ? Bien différent : la ville et la forêt n'avaient rien en commun. Quoi d'autre ? Il ne trouvait pas, et ils allaient en mourir.

Soudaine, la demoiselle retira son écouteur de son oreille et lança son lecteur MP3 au loin. Les monstres, attirés par le son discret, mais présent de l'Ipod, foncèrent ensemble en direction de l'appareil. Le Docteur manqua un battement sur un de ses deux coeurs lorsqu'il les vit s'en aller droit sur le bien d'Arashi, alors qu'elle l'agrippait pour lui dire que c'était le son, leur point faible. Bien entendu, le son : ces créatures n'avaient pas d'yeux, et même s'ils n'avaient pas d'oreille, leur langue toujours tendue devait être capable de capter les sons environnants, plus que les odeurs. Il allait la prendre dans ses bras, lorsqu'elle lui demanda comment ils allaient sortir de leur trou.

En effet, pas moyen de sortir en escaladant, il n'avait pas pensé à cela en sautant dedans. Il observa autour, avant de regarder les créatures.


« Si on peut prendre notre temps, on pourra sortir en escaladant. Mais d'ici là, ces monstres auront vite compris le piège. Ils aiment la musique, hein ? Alors, on va leur offrir une mélodie qu'ils ne vont pas oublier de si tôt. Bouchez-vous les oreilles, ça risque d'être désagréable. »

Il sortit son tournevis sonique, tournant doucement quelques molettes de l'appareil. Il augmentait la puissance du signal sonique tout en exacerbant la portée. Il activa l'appareil qui émit soudainement un son strident et puissant. Les monstres, dont la langue semblait vraiment sensible, la rentrèrent en s'enfuyant. Mais à peine le dernier disparut dans les bois que le sol commença à se désagréger sous leurs pieds. Comme si la terre était happée par le dessous, ils furent avalés soudainement, tombant en flèche dans le sol.

Lorsqu'ils purent à nouveau respirer, ils se trouvaient dans un grand couloir donc le plafond était percé, juste assez pour les laisser passer. L'écoulement de la terre avait cessé. Sans doute le trou avait été rebouché. Le couloir était tout en métal, avec des lampes au plafond, et s'étendait de deux côtés, apparemment sans fin. Aucune porte aux alentours. Aucun son non plus. Angoissant ? Excitant oui. Le Docteur se releva, aidant sa partenaire à se redresser également :


« Une chance immense. À croire que quelque chose nous protège. Bon, voyons voir. Un long couloir créé par l'homme, de toute évidence. Pas un bruit dans les environs, on se croirait presque à Rotterdam durant la Grande Peste. Les rues désertes, pas même un chat pour miauler au coin de la rue, une ville fantôme. »

Il s'épousa en même temps qu'il parlait, avant de se tourner vers Arashi en ajoutant :

« Vous êtes forte, Simplement Arashi. Très forte. Ces créatures captent le son par les vibrations de l'air avec leur langue. C'est pour ça qu'elle est tout le temps sortie. Ce doit être leur capteur sensoriel principal : son, odeur, touchée. Ils compensent ainsi leur déficit visuel et l'incapacité d'utiliser leurs "pattes". »

Il lui fit un sourire en se tournant vers les deux couloirs :

« Bon... il va falloir trouver comment sortir d'ici. De toute évidence, c'est désaffecté. Que diriez-vous ? Droite ou gauche ? »

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Les alentours de la ville / Re : Quoi de neuf docteur? (PV: Le Docteur)
« le: mardi 06 août 2013, 12:21:01 »
La demoiselle semblait totalement perdue dans les explications du Docteur. Il lui faisait avaler beaucoup d'un seul coup, pour aller plus vite à ce qui était passionnant pour lui. Ce n'était peut-être pas les choses les plus simples à aborder avec une inconnue, mais le Docteur avait ce talent inné pour piquer au vif la curiosité des personnes qu'il rencontrait, ou du moins, il pouvait percevoir chez certaines personnes ce goût pour l'aventure et le risque qu'il avait en lui et le faire ressortir de la vie morose des pauvres terriens. Après un instant où elle le regardait, la bouche entre-ouverte et le regard bêta, elle tourna sur elle-même, observant le TARDIS pour finalement le regarder à nouveau. Ca y est, elle avait cette étincelle dans les yeux, l'étincelle qui plaisait au Docteur.

Elle lui dit qu'il avait réussis à frapper sa curiosité, ce qui fit d'avantage sourire son interlocuteur. Sa phrase surtout le fit acquiescer : rares étaient ceux qui, prenant le risque de perdre un membre, allait au danger pour le plaisir d'étancher leur soif de curiosité et d'aventure. Elle lui demanda ce qu'elle pouvait faire pour l'aider. Le Docteur, dans un simple souffle, commença en se dirigeant vers la porte :


« FANTASTIQUE ! On va d'abord voir le site du crash, Simplement Arashi. Selon moi, même si on ne trouvera pas le vaisseau ou ses passagers, ils ne doivent pas avoir été emmené bien loin. Et avec le radar, repérer ces monstres sera simple comme bonjour ! Venez. »

Il sortit et arriva dans un lieu totalement différent de celui où ils étaient quelques minutes auparavant : c'était une grande zone isolé dans la forêt, avec au centre un immense trou de plusieurs mètres, comme un puits de terre et d'argile. Le Docteur sortit le premier avant d'activer son radar. Il observa un peu les alentours, grognant un peu, avant de dire :

« C'est pas possible, pendant plus d'un siècle tu fonctionnes, et là, tu décides que non ? Qu'est-ce qui ne marche pas cette fois-ci ? »

Il ressortit son tournevis-sonique, le poitant vers les circuits de l'appareil avant de l'activer. Cela eut pour effet de provoquer une série de bips sonores, avant que l'appareil ne se mette à fonctionner enfin. faire griller les circuits, le radar semblant avoir de petits courts-circuits qui l'enflammèrent rapidement. Surpris, le Docteur lâcha l'appareil qui tomba à terre, lancé dans son auto-combustion. Le Seigneur du Temps hésita un instant avant de dire :

« Bon, un plan ne se passe jamais comme prévu, de toute manière... Hum... essayons de trouver quelque chose dans ce cratère. Peut-être aurons-nous de la chance en trouvant quelque chose que les autorités auraient échappés. »

Il sauta dans le puits, glissant sur la pente douce jusqu'à atteindre le fond, puis se tourna vers Arashi, avant de lui faire signe de le rejoindre, entreprenant de rechercher quoique ce soit d'intéressant, se mettant à siffler tranquillement. Pendant plusieurs minutes, il retourna des petits morceaux de ferrailles extra-terrestres, sifflant doucement la musique de Blanche-Neige "Siffler en travaillant".

Mais soudain, il entendit des grognements autour d'eux, il inspecta les alentours et fut pris d'un frisson le long de son échine : en haut du cratère, une dizaine de monstres similaires les entouraient. Le Docteur se redressa doucement, arrêtant de siffler pour la peine, avant de déglutir.


« D'accord, on se calme. Euhm... réfléchit, réfléchit... Pourquoi ces monstres sont-ils venus ? Qu'est-ce qui a eu comme point commun entre notre situation et celle d'avant ? »

Il tentait de voir, mais ça lui échappait, clairement. Il espérait qu'Arashi ait une idée de comment s'en sortir vivant, parce que là, mis à part se faire déchiqueté, il ne voyait pas d'autres avenir pour eux deux.

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Les alentours de la ville / Re : Quoi de neuf docteur? (PV: Le Docteur)
« le: lundi 05 août 2013, 13:02:18 »
La pauvre demoiselle ne savait plus où en donner de la tête, alors que le Docteur continuait ses explications. Il avait l'habitude de parler seul à voix haute, mais lorsqu'il avait quelqu'un pour l'écouter parler, il était encore plus loquace. Une vraie mitraillette, surtout dans la situation actuelle. C'était bien ça le moindre de ses défauts, mais il fallait l'avouer, le mystère sur ces créatures étaient intense et il ne pouvait s'empêcher de parler à voix haute. Lorsqu'il se présenta à elle, elle tenta de s'expliquer, toujours en légèrement panique, effet de la surpris.

Il l'observa en même temps, de bas en haut : des cheveux verts clairs et des yeux légèrement violets, elle n'avait pas les caractéristiques humaines standards. Sa tenue était quelque peu voyante, mais cela ne devait par être cela qui attira les monstres, sauf s'ils étaient sexués, chose qui n'était, pour le moment, pas possible de vérifier. Il mit les mains dans les poches pendant que la demoiselle parlait, affichant toujours ce sourire mystérieux, entre l'amusement enfantin et la curiosité maladive. Son petit sourire s'étira lorsqu'elle commença à dire que la cabine était plus petite vue de l'extérieur, bien qu'elle s'interrompit, le décevant un peu. Sa phrase favorite, lorsque quelqu'un venait dans son vaisseau, était "c'est plus grand à l'intérieur qu'à l'extérieur." Il ne s'en lassa jamais, alors ne pas l'entendre restait une petite déception.

Alors, elle fit le tour du vaisseau du regard, avant de se retourner vers lui et de reprendre, calmement, mais avec une petite voix nerveuse, ses questions. Elle voulait des explications, alors c'était parti. Il tourna sur lui-même pour prendre son trench-coat, tout en parlant :


« Moi, je suis le Docteur. Et vous avez deviné juste : ceci est bien un vaisseau spatial. Le TARDIS, "Temps A Relativité Dimensionnelle Inter-Spatiale". Et ce n'est pas de la magie, rassurez-vous, c'est juste une compression dimensionnelle. L'explication serait trop longue et pas amusante, alors je vais revenir sur ce qui est intéressant. »

Il se tourna vers le radar qu'il prit et sortit son tournevis sonique qu'il régla avant de le pointer sur l'appareil, apportant des modifications sur les circuits internes pour rendre le radar plus performant. Il avait vu les problèmes de distance, en plus de celui du ciment, et il pouvait régler le premier problème, si le second demandait une analyse plus poussée. Or, il n'avait pas le temps :

« Car ce qui est intéressant, c'est ces monstres. Elles sont apparues il y a quelque temps maintenant, quelques mois après l'atterrissage en catastrophe d'un vaisseau cargo au nord-est de la ville. Vous en avez entendu parler, je pense, ils parlaient sans doute d'une météorite ou d'un vieux satellite. »

Il se tourna vers elle en prenant le radar, pointant son tournevis sonique vers le ciel, tout en ajoutant :

« Mais voilà, ce vaisseau, mis à part ses trois pilotes, transportait des séquences ADN d'une civilisation inconnue, retrouvée il y a pas longtemps dans une zone de quarantaine. En temps normal, il s'agit de conteneur protégé, avec un plan de vol précis, mais il se peut que ce vaisseau n'ait pas vraiment eu le droit de voyager dans les zones commercial, au risque de se faire prendre par les autorités. »

Il termina quelques réglages sur son appareil, trifouillant dans les fils à l'arrière. Il augmentait la portée du signal en fournissant plus d'énergie.

« Maintenant, trois mystères à résoudre : qui étaient les pilotes de ces vaisseaux, qu'est-ce qui a été fait de son chargement et, surtout, pourquoi ces monstres vous ont suivis, vous personnellement. Je suis sorti pour tester le radar avant d'aller directement dans la gueule du loup, le site du crash, et repérer plus facilement où se trouve la zone où sont créées les créatures. De cette manière, on n'aura pas à fouiller trop longtemps pour les trouver et résoudre tous ces mystères. »

Il la regarda avec un grand sourire, comme un enfant partant pour une chasse au trésor, avant d'ajouter une nouvelle fois, rangeant son tournevis dans la poche intérieure de sa veste :

« Vous êtes au centre d'un de ces mystères, Simplement Arashi. Aussi, j'aimerai que vous veniez avec moi. Ça risque d'être dangereux, on pourrait peut-être même perdre des membres ou la vie. Mais imaginez ce qu'on pourrait découvrir derrière cette porte. Ça vous tente ? »

Son sourire à moitié aliéné et à moitié empli de passion pour l'aventure aurait intrigué n'importe quelle personne, en temps normal. Après, cela variait d'une personne à une autre, mais il sentait que la demoiselle n'était pas trop du genre à vivre une existence tranquille, et que cette escapade lui ferait plaisir au plus haut point.

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Les alentours de la ville / Re : Quoi de neuf docteur? (PV: Le Docteur)
« le: lundi 05 août 2013, 01:39:55 »
C'est dans cette situation précaire et clairement dangereuse que sortis d'une des portes de la rue, non loin de la femme, un homme avec un trench-coat brun, tenant dans ses mains un petit appareil étrange, l'observant comme si tentait de comprendre tout ce qui apparaissait sur l'écran de ce petit objet semblable à un gros radar, émettant des petits "bips" caractéristiques. À peine arrivé dans la rue, il dit, inconscient de ce qui l'entourait alors :

« Ah, voilà ! Tu fonctionnes enfin. Il me faudra vraiment pallier au problème avec le ciment. Bon, d'après ce radar, ils sont juste à côté. »

Il leva les yeux vers la femme à côté de lui, en souriant, ajoutant un simple :

« Oh, bonjour. Auriez-vous vu des créatures avec des griffes de la taille d'une tête moyenne ? »

Il fixa la demoiselle avec son sourire, puis lentement se tourna vers l'écran de son radar, puis après quelques secondes, releva les yeux vers les deux côtés de la rue, apercevant les créatures étranges, à l'apparence d'humain, sans yeux, avec un cerveau visible et des pattes capables de décrocher le crâne de n'importe quel être vivant en ce monde. Pendant quelques secondes, il hésita en observant les créatures grognant dans leur direction, avant de dire :

« Ah, je vois... hum... Bon, je crois que le terme le plus adapté maintenant... hum... »

Il se tourna vers la demoiselle avant de dire, sur un ton plus pressant :

« Courrez ! »

Il l'attira vers la porte par laquelle il était passé, les créatures fonçant dans leur direction. Aussitôt entré, il ferma la porte derrière eux, avant que ces monstres ne puissent entrer. Il sortit son tournevis sonique, pressant sur la porte avec son épaule, les monstres tapant dedans avec fureur. Il régla le petit appareil sur la fréquence adapté, puis visa la serrure béante qui cliqueta soudainement. Il fonça dans le couloir, avant d'arriver dans une cage d'escalier. Un peu essoufflé, il se tourna vers la femme, s'adressant à elle comme il le pouvait :

« Alors, nous avons deux monstres dévoreurs de chair à nos trousses, des créatures capables de défoncer un mur de brique avec un coup de patte unique, et seule une porte en fer les retient de nous poursuivre. La situation peut sembler désespéré, mais je vous assure, ça pourrait être pire. »

Il chercha quelques instants ce qui pouvait être pire, jusqu'à finalement dire, en affichant un immense sourire :

« Il pourrait ne pas y avoir de porte entre eux et nous, ce qui les ferait venir plus rapidement jusqu'à nous et, par la même occasion, réduisant encore nos chances de survie. Cela nous donne le temps de nous enfuir. »

Aussitôt, venant du couloir d'où ils venaient, un bruit retentit, comme une explosion. Il se tourna vers le couloir, apercevant les monstres qui tentaient de franchir le couloir, se bousculant l'un l'autre. Il prit la demoiselle par la main et l'emmena jusqu'à l'escalier, montant jusqu'au toit alors que derrière eux résonnaient les grognements des créatures non loin derrière eux. Arrivant en haut, il ferma la porte en fer du toit de la même manière qu'il l'avait fait. Au sommet du toit, il ne semblait y avoir aucun accès pour s'enfuir. C'était sans compter la présence du TARDIS, son vaisseau à l'apparence d'une cabine de police londonienne bleue.

Il se dirigea tranquillement vers la cabine, tout en sortant sa clé. Ils étaient en sécurité dans cette cabine, quoique la demoiselle put penser.


« Venez, on sera en sécurité là-dedans. Fermez la porte derrière vous. »

Il pénétra dans le TARDIS, l'intérieur étant bien plus grand que tout ce que la femme pouvait imaginer. Il la laissa entrer, retirant son trench-coat qu'il lança sur une des rambardes et posant le radar sur le tableau de bord.

« Ces radars, un vrai problème. J'avais à peine fini de régler le détecteur que j'entrai dans un bâtiment en ciment. Le problème c'est que ça passe presque tout, sauf le ciment. Un coup de chance, je suis tombé sur ce que je cherchai à peine arrivé dehors. »

Il tourna quelques manivelles sur la machine centrale, tirant sur un levier, faisant bouger le vaisseau comme si la terre elle-même tremblait, dans un bruit étrange, indescriptible et extrêmement bruyant. Finalement, le tout s'arrêta brusquement, alors que le Docteur s'approchait de la femme :

« Mais voilà, je ne voulais pas tomber directement sur ceux, mais apparemment, quelqu'un ou quelque chose les ont guidé jusqu'à cette rue précise. Et à part l'odeur des poubelles, je vois difficilement ce qui les amènerait là, sauf la jeune demoiselle que j'ai croisé en même temps dans la rue, apparement un magnifique repas pour ces petits monstres. Alors, maintenant, j'ai besoin de savoir pourquoi ils vous ont suivi vous et juste vous, et c'est là que les choses se compliquent... votre nom ? »

6
Base Spatiale / Re : It's bigger on the inside [PV Nintendo Girls (Samus)]
« le: dimanche 04 août 2013, 19:44:15 »
Ils étaient à l'abri et c'était l'essentiel. Le TARDIS avait bien travaillé. Mais l'appareil du docteur n'avait pas encore fini son labeur. Pendant que le Seigneur du Temps dansait, il analysait le vaisseau de la chasseuse de prime, trouvant les différents dégâts qui lui avaient été infligés. La demoiselle arriva dans le vaisseau, le Docteur lui disait d'entrer, de ne pas faire sa timide. Il continuait ses petits pas de danse, alors qu'elle ricanait doucement.

« Voilà un spectacle des plus coquasses ... Docteur ! »

Il continua de danser, en la regardant tout en fronçant les sourcils. Il n'était pas habitué à cette phrase. Généralement, en arrivant la première réaction était "C'est plus grand à l'intérieur qu'à l'extérieur." L'effet était toujours comique, et il aimait voir la réaction des gens lorsqu'il découvrait le TARDIS. Mais là, elle avait juste parlé d'un spectacle... coquasse ?

« Vous voulez rire ? C'était l'un des tubes far des années cinquante ! Vous n'imaginez pas combien de personnes ont dansé là-dessus ! »

Il s'approcha de la demoiselle, alors que la musique se répétait en boucle, comme sur repeat. Il continuait ses pas de danse, jusqu'à arriver vers la porte du TARDIS qu'il referma. Il se tourna vers elle, inspectant son armure. Il avait déjà compris quelle technologie c'était, de quelle civilisation on devait cette armure de combat. C'était une chasseuse de prime, de toute évidence. Il retourna à ses machines en disant :

« Vous n'avez pas besoin de cette armure, ici. Vous êtes en sécurité, le TARDIS est l'endroit le plus sûr du monde, vous pouvez me croire. Une chance que j'ai capté votre signal radio pendant que je faisais le plein de carburant. Dans d'autres circonstances, j'aurai sans doute loupé. Mais heureusement, je suis arrivé et les pirates sont loin, à présent. »

Le TARDIS émit un signal sonore, ressemblant au cor d'un navire, assourdissant. Il se précipita vers un levier qu'il leva, le signal prenant fin. Il observa l'écran qui indiqué dans sa langue natale les différentes avaries que subissait le vaisseau. Il crispa ses dents et son cou : ce n'était pas beau à voir.

« Aïe aïe aïe... vous n'allez pas être contente. Je crois que le trou de ver n'a pas fait du bien à votre appareil. Pas mal d'avaries notées : le séquenceur radio a flambé, les réacteurs internes ont surchauffé durant le trajet, et apparemment, votre bouclier n'a pas aimé la sortie. En fait, je vous aurai laissé cinq minutes en plus avec vos poursuivants qu'ils n'auraient pas faits plus de dégâts. Vous n'allez pas pouvoir repartir de suite pour le faire réparer. »

Il se frotta l'arrière de la tête, mettant une main dans sa poche, pensif. Puis, il se tourna vers elle en souriant :

« Mais j'ai deux bonnes nouvelles : premièrement, le bac à glaçon est plein. »

Il ouvrit une petite porte qui contenait un petit frigo, avec de quoi boire et un minicongélateur avec des glaçons.

« Deuxièmement, le TARDIS peut remettre votre appareil sur pied. Ça va juste prendre du temps, d'où les glaçons. J'adore les martinis pomme, pas vous ? On va juste faire entrer votre vaisseau dans le hangar... »

Il tourna une manette et leva ensuite un levier, faisait disparaître le vaisseau de la chasseuse de prime qui alla dans une des zones perdues du TARDIS, signalé par un gros bruit de métal chutant lourdement au sol.

« Voilà, j'ai activé la séquence de réparation. Bon, sur un vaisseau de la Fédération, cela prendre... deux ou trois bonnes heures, en temps normal. Alors, détendez-vous, prenez un siège et profitez de la promenade. J'avais justement l'intention d'aller visiter la grande Nébuleuse Verte. Magnifique, vous devriez voir ça ! La légende raconte que ceux sont des cristaux d'arendium laissé derrière par un vaisseau cargo. »

Il commença à jouer avec les manettes, calculant les distances entre leur lieu actuel et la Nébuleuse Verte, avant de s'arrêter et de se tourner vers la femme qu'il avait laissée un peu en plan, pour le coup :

« Au fait, comment vous vous appelez ? Qui êtes-vous et que faisiez-vous dans une zone contrôlée par les Pirates de l'Espace ? »

7
Base Spatiale / It's bigger on the inside [PV Nintendo Girls (Samus)]
« le: samedi 27 juillet 2013, 12:02:40 »
Le TARDIS, vaisseau et dernier représentant de la connaissance et du savoir-faire des Seigneur du Temps. Son apparence était celle d'une simple cabine de police d'Angleterre des années 50, mais à l'intérieur, l'immense vaisseau prends une dimension toute différente, puisqu'elle abrite tout un monde dimensionnel compressé grâce à la science de Galifrey, la planète d'origine de son utilisateur, le Docteur. Assez grand pour accueillir plusieurs personnes, sa salle de pilotage, donnant directement sur la sortie, est reliée au reste du vaisseau par une série de couloirs labyrinthiques que le TARDIS change en fonction des besoins, raccourcissant ou allongeant les distances vers un des lieux du vaisseau, créant des boucles dimensionnelles ramenant les personnes à leur point d'origine, bref, toute une aventure au sein même du vaisseau.

La technologique du TARDIS est telle qu'elle offre de nombreuses possibilités, outre voyager dans le temps et l'espace. Et le Docteur, avec son savoir presque infini, était clairement capable d'exploiter toutes les possibilités du vaisseau. Mais comme tout vaisseau, il avait besoin de carburant, et pour cela, le Docteur s'était stationné à quelques kilomètres d'une étoile naine en pleine expansion. Ouvrant les valves de stockages externes du TARDIS, la machine se rechargeait tranquillement, alors que le Docteur inspectait les environs. Nous étions en 2013 environs, dans une galaxie proche de celle de la Terre. Relativement proche, bien entendu.

C'était une zone hostile, mais heureusement, les boucliers du TARDIS et les réflecteurs empêchaient toute détection. Il pouvait pour sa part observer les signaux émis à plusieurs années-lumières, sans problème. C'est d'ailleurs grâce au radar qu'il captait un signal de détresse d'urgence. Intrigué, le Docteur s'approcha des commandes et observa : c'était dans une zone contrôlée par des créatures humanoïdes violentes et agressives, nommées Pirates de l'Espace. Ces créatures étaient réputées pour attaquer aussi bien les cargos que les vaisseaux de guerres de la Fédération Galactique. Il y avait peut-être des voyageurs en danger.

Aussitôt, le Docteur ferma les valves de stockage et lança le TARDIS en mode pilotage, voyageant à travers l'espace par un trou de ver, arrivant jusqu'à la destination du signal. Il activa l'écran de visionnage et observa les alentours, jusqu'à repérer d'où provenait ce signal : un vaisseau, assez grand pour accueillir un seul passager, était pourchassé par des Troopers des Pirates de l'Espace. C'était dangereux, surtout pour la personne à l'intérieur du vaisseau. Il fonça en direction du vaisseau, avant de se placer à sa hauteur, alors que les Troopers le prenaient également pour cible. Les boucliers arrêtaient les projectiles, mais ils ne tiendraient pas éternellement. Il activa la radio du TARDIS en se branchant sur la fréquence des récepteurs du vaisseau attaqué qui semblait être un vaisseau de la Fédération réservée à ses chasseurs de primes. Il fit rapidement une recherche de code d'identification qu'il lia à son signal radio, le code ciblant un vaisseau de la Fédération. Cela éviterait les soupçons de la part de la personne en question.


« Vaisseau de la Fédération, ici le Docteur. Code d'identification : 588947-Delta-14. Je vais prendre les commandes de votre appareil et vous mener en lieu sûr. Accrochez-vous et surtout, ne criez pas pendant la traversée. »

Il activa le grappin magnétique, le faisceau de lumière agrippant le vaisseau à ses côtés. Puis, l'emportant avec lui dans un trou de ver, ils traversèrent quelques années-lumières, avant d'arriver dans une zone protégée par la Fédération Galactique. Arrivé sur place, il activa le stabilisateur du TARDIS qui le maintenu dans sa position. Il étendit la bulle d'oxygène autour de son vaisseau pour créer un couloir entre ce dernier et celui du chasseur de prime. Il alla vers la porte et l'ouvrit, observant le vaisseau.

« Vous allez bien, là-dedans ? Vous pouvez ouvrir votre cockpit, j'ai créé une bulle d'air autour de nous, aucun souci. Venez à l'intérieur, on va pouvoir faire le diagnostic de votre vaisseau et on verra si on peut vous laisser partir jusqu'à la station d'amarrage la plus proche. »

Il prit une sorte de corde et la lança vers le vaisseau. La magnétite au bout s'accroche d'elle-même au châssis du vaisseau, tandis que le Docteur retournait à l'intérieur, laissant la porte grande ouverte pour laisser son invité entrer. Pendant ce temps, il s'affairait aux machines, activant divers appareils pour analyser le vaisseau : il était pas mal endommagé, mais rien de trop grave. Il mit une petite musique d'ambiance, très vintage (même si c'était relatif pour le Docteur) En même temps qu'il activait les autres appareils du TARDIS pour aider au diagnostique, il semblait faire quelques pas de danse en ricanant. La scène était aussi loufoque qu'étrange, pour quelqu'un d'extérieur.

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Le coin du chalant / Re : Quelques idées de RP vaguement esquissées...
« le: samedi 06 juillet 2013, 23:30:24 »
Alors comme ça, on traverse le temps en passant de corps en corps ? Ca nous fait quelques points communs ! Fantastique ! Que diriez-vous de nous retrouver à une époque de votre choix ? Ca peut être drôle.

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Le Docteur observa le garçon se présenter, parler du concepteur de ces rollers, le menton légèrement levé et tendu vers l'avant, les yeux légèrement froncé. Il se redressa lorsqu'il parla de pièces qu'il attendait, décidant qu'il devait faire un essai. Le Docteur se pinça la lèvre inférieure en niant de la tête, émettant un petit gémissement indiquant quelque chose entre le mécontentement et la lassitude :

« C'était une erreur : pas mal des pièces ont grillé avec la surchauffe, surtout après avoir glissé sur la rambarde. La chambre d'air n'était pas suffisante pour aider à l'extraction de la chaleur lors de l'arrêt du moteur, sans ventilateurs ni liquide de refroidissement. Cette Zaya ne devait pas s'attendre à ce que vous utilisiez le moteur à une telle puissance. Vous avez de la chance qu'elle ait pensé tout de même à ce système d'arrêt d'urgence. C'était comme vous donner une bombe déjà activée dans les mains. Mais relancer le moteur dans ces conditions et c'est l'explosion assurée. »

Il alla voir la rambarde et observa les traces laissées par le rolleur. L'acier avait souffert, il devait être allé à environ au moins 40km/h, voir plus. Le Docteur renifla l'odeur, hésita, puis murmura :

« 42,5km/h... pas mal. »

Il se tourna vers l'humain qui lui demanda si son centre avait déjà étudié la mise en place de roller motorisé. Il mit les mains dans les poches en haussant les épaules, répondant :

« Oh... c'était un projet intéressant, mais on s'est confronté au même problème que vous. Pas mal de personnes ont flambé sur place à cause d'explosions. C'était à imaginer, mais on ne s’attendait pas à de tels résultats. Donc le projet a été laissé de côté et on s'est plus intéressé à l'augmentation de puissance des moteurs de véhicules à deux roues. Les vélos sont l'avenir, vous devriez investir dessus. »

Le Docteur observa les alentours. Il n'avait rien de bien intéressant à faire, en tout cas rien de plus intéressant que d'aider ce garçon à concevoir un appareil plus puissant pour ses rollers. Et puis, il fallait bien s'occuper et avoir un peu de compagnies : cela faisait longtemps qu'il n'avait pas eu l'occasion de profiter de la compagnie d'un humain. Il se tourna vers lui avant de demander :

« Vous vous appelez Léon Shimizu, c'est bien ça ? Hé bien, Léon Shimizu, vous avez de la chance : j'aime aider les amateurs en quête de frissons. Vous avez bien un atelier personnel, quelque chose ? Pour ce qui est des pièces, une décharge publique ou un centre de pièces automobiles sera bien suffisant. »

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Prélude / Re : Non !! Nous ne sommes pas des succubes !!
« le: vendredi 24 mai 2013, 11:15:24 »
Deviluke... Il y a rarement des planètes qui ne m'intriguent pas, et celle-ci en fait partie. J'ai quand même eu de bons souvenirs avec votre ancêtre, le troisième souverin de la planète. Il aimait beaucoup les panacotas et les sucre-d'orges. Un grand gourmand. Bref, j'espère avoir l'occasion de discuter d'ingénérie robotique avec vous, Princesse Momo Satalin Deviluke.

Bievenue !

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Le coin du chalant / Re : Hello, I'm the doctor !
« le: jeudi 23 mai 2013, 12:39:20 »
Petit Up, je recherche toujours des participants :)

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Les alentours de la ville / Re : Une rencontre profitable (PV The Doctor)
« le: vendredi 17 mai 2013, 12:00:44 »
C'est au milieu du parc de la ville que les gens pouvaient voir apparaître une cabine téléphonique de police londonienne bleue, au milieu des champs de fleurs, non loin d'un immense lac. Sortant de cette cabine, un grand homme aux cheveux bruns et portant un pardessus brun sortie, prenant une grande bouffée d'air frais.

« Aaaaaaaahhh ! Japon ! Et au vingt-et-unième siècle ! Quel bonheur ! »

Il disait cela pour lui, bien entendu. Cela le désolait d'ailleurs. Pourquoi ? Parce qu'il avait pas de compagnons, quelqu'un pour partager ce plaisir de débarquer dans un autre temps et un autre lieu. Le Docteur n'aimait pas être seul, mais parfois, il le restait, et découvrait lui-même l'univers, tel un enfant qui arrive dans un magasin de jouet. C'est d'ailleurs dans cette attitude qui partit, les mains dans les poches, dans les rues de Seikusu. Il ouvrait de grands yeux pour découvrir tout ce qui était à sa portée : des friandises, des gadgets, rien d'extraordinaire en soit lorsqu'on sait ce qu'il a pu voir en plus de sept siècles.

Pourtant, le Docteur aimait particulièrement découvrir, et c'est ainsi qu'il arriva au hasard d'une rue, percevant un bruit sourd que les humains ne percevaient pas. Qu'est-ce que c'était ? Sa curiosité le démangeant, il se mit à courir dans la direction du bruit. Il put entre-apercevoir un garçon sur des rollers qui fonçait à vive allure. Sur le coup, en le voyant passer, l'expression du Docteur était surprise, subjuguée par la vitesse des rollers. Il resta quelques secondes immobiles, avant de courir à toute vitesse dans la même direction que le garçon, afin de le rattraper.

Heureusement, il s'était arrêté quelques mètres plus loin, à peine. Il s'approcha plus tranquillement, constatant que le jeune homme n'allait pas bouger, vu l'odeur de soufre et d'acier brûlé qui se dégageait de ses patins. Il s'accroupit non loin de lui observa avec lui le moteur, en silence, avant de dire, complètement sûr de lui :


« Pas mal du tout, comme moteur ! Surtout avec le matériel utilisé, beaucoup de pièces de récupération ! La compression du gaz en utilisant un piston avec une base de silicone pour réduire la chaleur due au frottement, plutôt que d'utiliser de l'huile de moteur, c'est impressionnant ! Et le tout soutenu par une armature en polyuréthane, c'est ingénieux. »

Il prit l'un des rollers qu'il observa sous toutes les coutures : il fait rouler légèrement les roues, caressa l'acier, alla même jusqu'à lécher l'intérieur du tube de réservoir. C'était de l'essence basique, ce qui le fit grimacer et frémir :

« Mais voilà le problème : le type de combustible que vous utilisez est trop instable. C'est ça qui a fait griller la machinerie interne. La chaleur dégagée ne touche pas le silicone, mais en contrepartie, la majorité de l'armature chauffe. D'où l'odeur de soufre et d'acier blanc. »

Il sortit son tournevis sonique et pointa sur la partie fine du moteur, et observa le petit écran qui indiquait des résultats dans une langue étrange, tout du moins pour les humains, mais qui parlait clairement au Docteur.

« Aaaah c'est bien ce que je pensais : le système à explosion n'est pas adapté sur des appareils aussi petits. C'est extrêmement bien conçu, mais il n'existe pas encore de distributeur d'énergie capable de tenir la distance sans faire chauffer le tout. C'est dommage, la conception est pourtant idéale ! »

Il observa le jeune homme, qui devait le regarder d'un air ahuri, et lui fit un sourire en riant jaune :

« Ah, pardon, je ne me suis pas présenté, je suis du Centre de Recherche pour les Articles de Sports de Vitesse. On m'appelle le Docteur. »

Il sortit son papier psychique qu'il présenta à Léon, lui montrant qu'il était ingénieur mécanicien spécialisé dans les appareils miniatures à roues libres ou motorisées. C'était du flan, bien entendu, mais le papier psychique donnait l'air d'être un document officiel. Il rangea son papier psychique et rendit le roller à son propriétaire.

« Vous êtes le concepteur de cet appareil ? C'est du beau travail. Du très beau travail même. Il faudrait changer quelques pièces, autrement vous n'irez pas loin avec ça. Enfin, si, vous irez loin, mais vous allez vous griller les jambes rapidement. Votre système de sécurité ne tiendra pas la route, votre refroidisseur est trop peu puissant, vous devez ajouter au moins un système de refroidissement à liquide isotransmetteur. Évitez l'eau, ce n'est pas ce qu'il y a de mieux. Essayer d'utiliser du silicone naturel plutôt que du synthétique, vous obtiendrez un meilleur rendement lorsque le moteur passe en chauffe. Comment vous appelez-vous, mon garçon ? »

Bien entendu, le Docteur n'était pas un spécialiste, mais il était un véritablement génie, même pour ce qui était des conceptions primaires. Il était aussi passionné par la mécanique, c'était un de ses plus grands plaisirs. Il savait bien entendu de quoi il parlait, même s'il pouvait sembler parler dans une langue étrange. De quoi perdre le garçon avec qui il discutait.

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Le coin du chalant / Re : Hello, I'm the doctor !
« le: jeudi 16 mai 2013, 10:34:27 »
Avec grand plaisir. J'imagine que l'appareil en question se trouvera être ta paire de roller motorisé ? En tout cas, j'ai hâte :)
Je te laisse commencer, si tu veux bien.

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Le coin du chalant / Hello, I'm the doctor !
« le: lundi 13 mai 2013, 21:43:46 »
Je recherche des gens pour lancer le docteur dans le jeu ! N'hésitez pas à demander, je recherche de tout. Pour tout MP, transmettez à Jad Kyotsuke. Merci !

Type de sujet recherché : Social (voir hentai)
Nombre de topic désiré : 2 (voir 3)
Nombre de personnes par topic : 1 (voir 2)
Qualité de post : Tout (voir plus)
Lieu pour les trames : Terre (voir Espace)

Trames disponibles :
  • Trame 1 (tout personnage) : Vous êtes face à des créatures étranges et risquez de mourir à tout instant. Soudainement, un inconnu vous prend la main et vous dit de courir. Instinctivement, vous le suivez, afin d'échapper à vos agresseurs, sans savoir que vous êtes en compagnie d'un extraterrestre.
  • Trame 2 (tout personnage) : Vous avez un problème avec un appareil électronique. Heureusement, le Docteur passait par là et vous propose de le réparer pour vous. Son génie vous épate, et vous souhaitez en savoir plus.
  • Trame 3 (personnages non violents uniquement) : Le Docteur vous a aidé auparavant, et vous le recroisez. Comme vous lui avez fait forte impression, il vous propose de voyager à travers le temps et l'espace. Mais ce n'est pas sans risque : qui sait ce que votre destination vous réserve comme surprise.

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Prélude / Re : Doctor... Who ? [Valawdé]
« le: mercredi 08 mai 2013, 22:52:08 »
Merci merci ! Au plaisir de vous voir à bord !

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