Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Zord

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Place publique / Re : N'oublie pas ton caddie ! [PV Zord]
« le: mardi 09 juillet 2013, 14:15:40 »
Ce que Zord avait compris à propos de Seïna, c'était qu'elle était  certainement doté du QI de la motte de beurre et qu'elle ne se laissait pas faire. Donc, c'était une parfaite conquête barbare qui méritait de finir en gaine à gourdin avant de donner naissance à ses petits barbares tout aussi forts que leur(s) père(s) et aussi peu malin(s) que leur mère. Seïna était donc une bien belle acquisition à ramener au village et même Crom le dirait sûrement en faisant pleuvoir de la pisse sur les récoltes des cités ennemies ! L'esclave avait toutefois cette étrange habitude de parler seule, mais Le Méga parvenait à l'excuser. Après tout, lui-même parlait parfois à son mandrin afin de lui tenir compagnie lors des rares nuits qu'il passait hors de tout orifice étranger. Et quelques fois, quand la bière avait coulé dans le gosier par tonneaux entiers... Le mandrin semblait répondre, se dressant seul pour venir discuter avec son maître. Alors, une bonne femme qui parlait au vent n'était pas pour faire douter Zord d'une quelconque santé mentale.
On ne demandait pas aux barbares d'être psychologiquement viables pour exister, après tout. Sinon, ils auraient depuis longtemps disparus.

Zord s'arrêta d'un coup après que Seïna eut donné de la répartie à son interlocuteur tout aussi invisible qu'un pet de faucon. Quelque chose l'avait fait tilté et le colosse comptait bien corriger le tir, parce qu'une monture de barbare -et surtout la sienne- se devait de savoir comment user de sa langue et pas uniquement sur une queue présentée par politesse ou nécessité de vidange.
Il saisit sa petite chose aux gros flotteurs sous les bras pour la tenir face à lui, les pieds battants à quelques centimètres au-dessus du sol alors qu'elle lui faisait face. Sourcils froncés, Zord entreprit de commencer son éducation.

- Non, La Bavarde ! Si tu veux imposer le silence et la domination à quelqu'un d'autre, tu dois être plus ferme dans tes mots. Tu voulais faire taire un esprit, Seina-les-belles-mamelles ? Zord va te donner un exemple.

Il marqua une pause pour réfléchir -du moins ce qui pouvait, chez lui, s'en approcher le plus. Son vocabulaire devait être étudié pour que Seïna (qui n'était pas bien plus maligne qu'une goutte de foutre) puisse le comprendre et le réutiliser facilement. Alors son visage se déforma sous l'effort mental, avant qu'il ne s'illumine de ce sourire incroyablement franc et lumineux que seul Zord savait offrir au monde.

- Tu aurais pu dire "GARDE TA SALIVE POUR QUE MON DARD ET SES GROSSES COUILLES VELUES GLISSENT DANS TA GORGE JUSQU'A TES POUMONS, LÉCHEUR DE CUL !". Souviens toi de ça quand nous serons au village, La Bavarde-aux-mamelles. Tu dois être digne de Zord !

Et sans plus de cérémonie, le Méga ramena la belle sur son épaule avant de reprendre sa route d'un pas assuré et rapide qui le fit avaler quelques mètres de pavés crasseux avant qu'une fois arrivé sur une petite place, les choses ne chavirent. Sans prévenir, le chêne à côté duquel le Méga passa l'attrapa d'un coup pour l'entraver de ses branchages et racines, le maintenant ainsi à terre. Un peu sonné -cela avait été brutal, comme un viol de petite bourgeoise- Zord resta sagement en place avant de tester la résistance du bois. Bon. En forçant, il aurait put se libérer mais Seïna semblait avoir quelque chose à dire. Pourquoi l'écouter ? Tout simplement parce que Zord craignait ceux qu'il appelait les "Suce-Magie" depuis qu'une rumeur du village avait laissé entendre qu'ils pouvaient empêcher une verge de se raidir. Et quel pire fléau pour un procréateur comme Zord que celui-là ?

- Par les cent filles de Crom, soulager les burnes de Zord est un honneur, Suce-Magie ! Ma semence tapissera tes entrailles et te rendra forte. C'est un cadeau digne d'une déesse !

Il n'aurait pas précisé que les barbares ne croyaient pas aux divinités féminines. Après tout, pourquoi un fourreau à verge serait-il digne de siéger aux côtés des hommes ? Néanmoins, Zord se disait que Seïna serait peut-être flattée. Après tout, se faire (dé)monter par lui était une chance à la hauteur de la douleur et tout ce que Terra comptait de féminin devait bien le savoir !
Elle s'agenouilla et recommença à monologuer, parlant de bête sauvage, de loup voulant lui faire du mal. Et cela ne plut pas à Zord, qui n'entravait de toutes façons pas la moitié de ce que Seïna débitait.

- Aucun loup ne te fera du mal ni ne te saillira, Seïna-aux-mamelles-bovines ! Tu es chienne de roi et nul ne posera ses mains sur toi tant que je ne l'aurais pas autorisé. FAIS CONFIANCE A ZORD LE MEGA, FEMELLE CHANCEUSE, CAR TU ES SOUS SA PROTECTION !

Il beuglait comme un veau, emporté dans son élan. On ne déconnait pas avec l'honneur de Zord, non mais. Estimant que c'était son petit laïus qui avait fait son effet, Zord constata avec plaisir que ses liens ne le retenaient plus trop. Aisément, il se défit des branches et autres racines noueuses pour se dresser de toute son imposante stature devant Seïna qui, dans sa position, avait le plaisir de voir face à elle la bosse surhumaine sous le pagne de peau de son sauveur. La pauvre aurait eu deux sous de jugeote, elle serait peut-être partie en courant à l'idée de ce qui allait lui élargir tout ce qu'elle avait d'élastique. Mais elle n'en fit rien, se confondant en excuses. Quand elle avait précipité la tête de l'homme dans son imposant décolleté, lui avait profité de l'aubaine pour apposer un coup de dent et quelques passages de langue. Pourquoi perdre le nord ? Elle était à lui.

- Zord pardonne, car il lui tarde de tâter tes mamelles, dit il en hochant la tête solennellement.

Ainsi, la saillie la faisait trépigner d'avance ? Cette nouvelle fit surgir de nouveau le sourire inimitable du monarque, qui apposa sa main sur les fesses de Seïna dans un claquement sec, pétrissant la chair entre ses gros doigts.

- Voilà qui est parlé, Bavarde ! Il est temps que je te saillisse, tu es réclamée par la meilleure partie de ton roi !

Et, qu'elle le vit ou pas, le Méga attrapa la masse de son gourdin à travers le pagne pour le désigner en un geste vulgaire qui, au camp, tenait du plus grand des raffinements.

- Il serait profitable que tu danses avant, Seïna-à-la-langue-agile. Après, tu ne pourras peut-être plus. Trouvons un coin tranquille, à présent. IL EST TEMPS DE SAILLIR, PAR CROM !

De nouveau, Zord l'attrapa pour la mettre sur son épaule et se mit en quête de la première sortie de la ville. Le Méga était certes décidé à vite trouver les bois les plus proches, mais plus les minutes passaient moins il se voyait attendre d'y arriver pour enfin monter cette belle petite pouliche dont il espérait qu'elle saurait se dilater correctement pour ne pas être blessée par son passage. A ces pensées, le Méga ne put empêcher une érection féroce de le prendre. Et son pagne sembla se relever comme par magie entre ses jambes. Voilà que la marche en devenait désagréable, en plus ! Même Crom lui mettait des bâtons (c'était le cas de le dire, ah ah) dans les roues ? Jaloux, probablement. Qu'à cela ne tienne, il restait une solution d'urgence.
Si Seïna ne pouvait être remplie en pleine rue car cela ne convenait pas à son rang de gourde royale, elle pouvait toujours le soulager un peu. Ainsi fut fait et le duo trouva les traverses d'une petite rue à l'écart, que Zord se mit à arpenter tout en faisant basculer son bien léger fardeau.
Elle se retrouva alors dans une curieuse position : tête en bas, bassin sur l'épaule de Zord, elle avait libre accès à la raideur chevaline encore couverte du pagne. Le désir du barbare aurait peut-être été évident pour tout autre personne, mais connaissant Seïna, mieux valait lui expliquer un peu quand même.

- Soulage moi, Seïna-au-corps-baisable. Ainsi, lorsque ma douleur sera dissipée, nous pourrons nous rendre plus vite au lieu de la saillie. ET PRESSE TOI, PAR LES COUILLES DE CROM !

2
Prélude / Re : Green Grass and the Seven Dwarfs - { Validée }
« le: dimanche 23 décembre 2012, 23:31:05 »
Zord le Méga ne drague pas, Frig-à-la-peau-de-foutre.

Il saillit, il remplit, il casse et il jette. CAR TELLE EST LA VOLONTÉ DE CROM, ET ELLE ARRANGE BIEN ZORD !

*se marre*

LA CHANCE NE TE SERVIRA A RIEN AVEC LE MANDRIN TAURIN DE ZORD, FEMELLE ! L'élasticité et la tolérance à la douleur pourraient éventuellement t'aider un peu, par contre.

3
Prélude / Re : Green Grass and the Seven Dwarfs - { Validée }
« le: dimanche 23 décembre 2012, 23:25:09 »
Elles disent toutes ça avant de finir noyées dans les flots de foutre de Crom. Mais j'aime ton courage, Grass-la-verte ! Je ne te casserais pas les vertèbres quand je te saillirais ! Pas toutes, disons.

Tu m'as l'air étroite, Grass-la-verte !

4
Prélude / Re : Green Grass and the Seven Dwarfs - { Validée }
« le: dimanche 23 décembre 2012, 23:17:55 »
SOIT LA BIENVENUE, GRASS-LA-VERTE !

BIENTÔT, TU SUCERAS LE GROS MANDRIN DE CROM, COMME TOUTE FEMELLE SE RESPECTANT !

5
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: jeudi 22 novembre 2012, 23:45:58 »
C'était un plaisir, mais y'avait toute la clique aussi ^^

Nenuit all !

23h46

6
Blabla / Re : Otaku land - Le paradis des gamers
« le: jeudi 22 novembre 2012, 02:11:46 »
C'pour ça que j'ai rien dis, banane ^^

Oui, Khimari était pas mal aussi. Je ne détestais pas Tidus mais je préférais Auron et Jecht o/

7
Blabla / Re : Otaku land - Le paradis des gamers
« le: jeudi 22 novembre 2012, 02:04:39 »
Si tu as tout fait correctement, elle siffle et il se passe quelque chose x)

Mais le X était mieux, oui ! Et puis bon... LULU ♥

8
Blabla / Re : Otaku land - Le paradis des gamers
« le: jeudi 22 novembre 2012, 01:53:53 »
Ah mais tout à fait, hein ! Je respecte ça ^^

Mais je n'ai pas aimé, y'avait pas grand'chose à sauver. A part peut-être la fin, quand Yuna siffle et....  ;D

9
Blabla / Re : Otaku land - Le paradis des gamers
« le: jeudi 22 novembre 2012, 01:28:41 »
Le X2 ? Sérieusement... Rooooh, non. Ce truc était naze, mis à part le système des Vetisphères. Et Paine, que j'ai bien aimée :p

10
Les terres sauvages / Re : Sanglantes retrouvailles (Zord)
« le: jeudi 22 novembre 2012, 00:40:16 »
Peu lui importait l'enfant-loup, peu lui importait les bruits humides et écoeurants que produisaient les chairs qu'il remuait sans hésiter, ses bras puissants fouillant l'intérieur du lézard sur-dimensionné à la recherche de l'acier de sa fidèle lame. La déclaration de Gráinne le fit sourire et fusa alors que ses doigts rencontraient le métal de Fer-sanguin, qu'il extirpa d'un geste presque triomphal. Zord se retourna vers la rousse en lui souriant, amusé et excité, comme en témoignait la rigidité un peu plus marquée de sa queue presque bovine. Lui et Gráinne se connaissaient bien et le plus souvent ne s'encombraient pas de mots pour se donner ou prendre l'autre. Combien de fois l'avait il fourrée de ses centimètres contre la première table venue, lors d'un festin en l'honneur de sa présence ? Combien de nuits blanches partagées à la demande de la rouquine, combien d'orgies provoquées par leurs attouchements publiques au village ? Personne ne les comptait plus. Mais parfois, ils prenaient le temps et se montraient aussi tendres qu'ils le pouvaient et ne partageaient ce moment avec nul autre, comme si ils avaient eu besoin de se retrouver un peu plus "humainement", loin de la bestialité qui animait leur drôle de complicité.
Aujourd'hui était un moment oscillant entre ces deux eaux, entre intimité et obscénité. Même pour eux, ce n'était pas courant.

Zord ressorti, sa peau plus écarlate et suintante qu'avant, sa main serrant son épée. Il capta la lueur dans le regard de la rouquine et planta l'arme en terre pour la recevoir au mieux, acquiesçant à ses mots tout en la laissant prendre possession de son corps. Le Méga souria à la main qui flatta son membre pendant que la sienne délestait la lourde poitrine de Gráinne de son carcan de métal afin de prendre l'un de ses seins pleins entre ses doigts, pressant la pulpe des chairs avec force et envie, réaffirmant en de grandes empoignades impérieuses sa prises sur elle.

- Rien me m'a jamais autant excité, moi, que la vision de ton corps recouvert de sang alors que tes cuisses ruissellent de nectar. Je te baiserais dans ces organes encore chauds.

Flattée par la présence de Gráinne, excitée par la main qu'elle avait posée sur lui, sa queue ne tarda pas à prendre ses proportions animales. Entre les doigts de la guerrière se dressait puissamment la verge dure et enflée du monarque qui s'était laissé repousser sur le corps, mais peu lui importait. Sa langue était repartie chasser celle de son amante à grands renforts de coups larges et profonds, ses mains pétrissant avec fureur les rondeurs mammaires tendues de désirs. Les doigts du colosse marquaient la chair qu'ils malaxaient, l'abandonnant parfois pour que les pointes deviennent la cible de ses attentions voraces. En effet, Zord les prenaient entre deux doigts afin de les faire rouler, les étirant au maximum avant de les relâcher.
Une main abandonna son office pour passer entre les jambes de la guerrière, le majeur se faufilant rapidement vers son abricot suintant pour y chercher ses lèvres intimes qu'il frotta, tantôt pour les écarter, tantôt pour stimuler le petit bouton de la belle. Mais le sein abandonné ne le resta pas longtemps, puisque le baiser avait cessé et que la langue de Zord était venue lécher la surface charnue et ronde, dessinant de petits cercles autour du mamelon avant que ses lèvres ne viennent aspirer la pointe érectile tendue un long moment.

- Suce la ou entre la en toi, ma reine, glissa t'il entre deux succions prononcées, mais dépêche toi. Je veux te souiller et t'entendre gémir, crier... J'ai envie de toi et Crom lui-même ne saurait me calmer.

11
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mercredi 21 novembre 2012, 23:27:58 »
Prime himself, tu peux t'agenouiller et me servir un chocolat :3

23h28

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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mercredi 21 novembre 2012, 23:21:49 »
Y'a plus de deux ans maintenant, en fait, Lyan-le-balafré  ;D

J'fais pas d'effort pour me camoufler, pourtant... ^^

23h22

13
Les terres sauvages / Re : Sanglantes retrouvailles (Zord)
« le: mercredi 21 novembre 2012, 23:07:57 »
Le baiser fut rendu avec allégresse et les bras menus de Gráinne s'enroulèrent contre le cou du barbare qui en réponse apposa sans gène ses larges mains sur les fesses fermes et musclées, les faisant siennes le temps que dura le baiser fièvreux et presque obscène auquel les deux combattants se livrèrent.
Les lèvres se séparèrent sous l'impulsion de l'affolante rousse mais les corps ne se quittèrent pas et de loin, malgré le dragon et ses organes roulant dans la poussière, on eut dit deux amoureux se racontant leur journée.

- Qui d'autre ? Ma femme, si j'en avais une. Ou ma fille. Ou moi, si j'avais eu des mamelles plutôt qu'une grosse queue pleine !

Son rire goguenard et franc parti dans l'air avec joie et Zord étreignit Gráinne un peu plus, collant son bassin au membre imposant contre le corps effilé comme une lame de la rouquine, qui lui présentait son curieux compagnon. Un chien de magie - presque littéralement - que le colosse ne salua que très vaguement du regard avant de revenir à sa compagne, un air contrarié sur le visage.

- Crom crache sur les sorciers, ma Vierge-putain. Je n'égorgerais pas ton compagnon par respect envers toi, mais qu'il reste au loin. Quant à cette malédiction... Par l'acier, j'aurais tôt fais de la lever si tu le souhaitais. Et tu régnerais déjà à mes côtés, portant la nouvelle génération dans ton ventre !

Zord aurait depuis longtemps put défier Gráinne en duel et -il en était sûr- la vaincre. Pourtant, jamais il n'avait levé son épée contre elle. Le sentiment fraternel qu'il lui portait, qui se mâtinait d'un peu d'amour et d'élans sexuels bestiaux, l'empêchait de forcer Gráinne à l'affronter. Le souverain avait la conviction que le jour où elle le désirerait comme époux, elle viendrait lui faire savoir. Peut-être que la belle ne voulait pas trop brusquer les choses, ou peut-être que Zord n'était pas à son goût. Après tout, le Méga savait que l'ancien compagnon de Gráinne avait été un barbare d'une incroyable envergure, un des rares souverains qu'il ait jamais respecté et considéré comme son égal. Autant dire qu'il n'était pas évident de songer à prendre sa place aux côtés de la terrible guerrière, tout Zord et tout Méga qu'il fut.

- Un quartier de dragon grillé ? Soit ! Je partagerais avec plaisir mon repas avec toi, Vierge-putain. Passons la nuit tout les deux pour fêter nos retrouvailles !

Gráinne congédia le dit Conall qui s'en alla donc, laissant les amants à leurs jeux. La guerrière s'occupa donc de contempler son compagnon avant de le taquiner et de reprendre ses lèvres de sa propre initiative avec la même ferveur que la première fois et Zord n'hésita pas. Sa langue vint lutter contre celle de la belle, envahissant son palais tantôt pour le conquérir, tantôt pour repousser sa jumelle ou la caresser. La danse sensuelle et nerveuse était pleine d'un appétit qui serait bientôt insatiable et à la commissure de leurs bouches, la salive se mêla au sang qui commençait à sécher.
Zord torturait les fesses de sa guerrière, les ouvrant parfois, les pétrissant toujours. Leurs bassins frottaient et la verge du souverain enflait sous son pagne, flattant la cuisse de Gráinne. Pourtant, il n'allait pas plus loin et à contre-coeur se sépara d'elle.

- Veux tu que je te prenne avant ou après la viande, Vierge-putain ? Ma queue te réclame mais peut-être veux tu autre chose que des entrailles pour m’accueillir en toi ?

Il s'extirpa des restes du dragon et fit quelques pas, se dénudant en laissant tomber ses parures de fourrures lourdes de sang sur le sol. Alors qu'il tendait la main, la hache y revint, rappelée mentalement à son maître. Ce fût à ce moment que Zord s'aperçut que quelque chose manquait : son épée Fer-sanguin était restée dans le ventre du dragon. Sans mot dire, le colosse replongea dans les entrailles chaudes et sanglantes pour en fouiller les chairs à la recherche de son arme.

14
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mercredi 21 novembre 2012, 22:11:55 »
Zord se posait la même question, Lyan-le-balafré. C'est moche...

22h12

15
Les landes dévastées / Re : Bienvenue dans le monde (presque) perdu.
« le: mercredi 21 novembre 2012, 21:20:15 »
Le géant ne s'était pas endormi. Allongé dans l'immense couche, il avait croisé les bras derrière la tête et ses jambes l'une contre l'autre et avait simplement clot les paupières pour retrouver la paix que le petit évènement du bain avait troublé en lui. Zord s'en étonnait, à vrai dire. Quand bien même Circé aurait été reine, il n'aurais pas hésité à la saillir à même le banquet. Le colosse l'aurait faite se pencher en avant et l'aurait prise ainsi pour soulager son bon plaisir et ses bourses pleines, se moquant bien de l'indignation ou des pleurs que la magicienne aurait put laisser passer. Respect... Oui, mais pourtant. La fatigue, peut-être. Ou Circé elle-même, qui lui laissait une impression qu'en vérité Zord ne parvenait pas à appréhender correctement. Oh, non, ce n'était pas de l'amour ou un quelconque sentiment approchant ! C'est plus intime, sans qu'il ne sache pourquoi.
C'était ça, en plus des convenances barbares auxquelles il se pliait par respect pour son dieu, qui avait épargné à Circé les assauts brutaux et libidineux du colosse. Et c'était surtout cela plus que l'excitation sexuelle qu'il cherchait à chasser de son esprit.

La rousse le rejoignit finalement dans la chambrée et Zord rouvrit les yeux alors qu'elle passait les peaux et faisait chemin vers lui afin de s'approcher de son corps étendu, lui présentant le dos et refusant d'abord de le regarder. Le roi avait profité de la tenue qu'elle avait passée, qui ne la rendait que plus désirable, mais n'avait pas bougé. Et quand Circé s'était mise à parler, lui n'avait été qu'oreille attentive, fixant le toit de la tente et respirant tranquillement. Des aveux vinrent, puis des excuses avant qu'elle ne se retourne et ne se colle tout contre lui en le regardant.
Les doigts gracile de Circé se mirent à vagabonder timidement sur son poitrail et pour toute réponse, le roi descendit l'un de ses bras pour le passer dans le dos de la sorcière, sa main s'abattant sur une de ses fesses qu'il s'appropria dans un massage clair mais finalement peu insistant. En fait, la douceur n'était pas dans les habitudes de Zord et si il semblait malhabile en cet instant, c'était parce qu'il se montrait... Doux. Elle devrait faire avec.

- Je puis t'apprendre, Circé-à-la-belle-poitrine. Zord peut t'enseigner à manipuler une arme ou ton corps afin que lorsque ta magie t'abandonnera encore tu puisse lutter et ne plus jamais être vulnérable. Il te suffit de le demander et je ferais de toi une combattante. Mais tu es une guerrière. Tu te bats pour te faire valoir face à moi malgré tout, non ? Crois moi, nombre de femmes n'ont pas osé me tenir tête ou me parler ainsi. Nombre de femmes auraient tendus leurs culs pour que je les prenne en espérant s'attirer mes bonnes grâces. Il la fessa mollement, ce qui fit plus de bruit qu'autre chose, et lui accorda un petit sourire léger. J'aime ça. Tu serais une bonne barbare !

Appuyant de sa main posée sur sa croupe, Zord la fit remonter un peu plus vers lui. De là, le colosse vint glisser ses lèvres sur les siennes pour y apposer un baiser long qui fut accentué par le massage déjà plus ferme qu'il infligeait à sa fesse. De son autre main, le souverain se saisit de la jambe de la magicienne pour la faire passer sur son ventre, collant son bassin tout contre la peau de son corps. Rapidement, sa langue chercha à se frayer un passage vers celle de Circé, mais son corps témoignait d'une chose à cet instant : elle avait encore le choix. La prise qu'avait le barbare sur elle (à part ses fesses, prise entre ses doigts qui jouaient sur les rondeurs avec insistance) était faible et Circé pouvait s'en dégager aisément.
Zord lui offrait la dernière chance de cette nuit de se refuser à lui.

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