Les contrées du Chaos / Re : Soeur de foudre à en devenir (ft Les Amazones)
« le: jeudi 02 août 2018, 10:28:39 »« Parce que nous avons une tenue officielle ? De ce que je vois, ta tenue ne t’empêche pas de te battre, et met tes formes en valeur. Partant de ce constant, elle est conforme à nos standards. Mais, si tu veux en changer, il faudra aller voir les sœurs qui gèrent la couture et les uniformes. »
Il y avait des Amazones ouvrières qui étaient spécialisées là-dessus. Elles concevaient les vêtements, mais aussi les armures, les plastrons, les épaulières, les bottes, à partir des pièces et des ressources que la Horde récupérait. Lie allait vite comprendre que le fonctionnement de la Horde était très différent de ce qu’elle faisait à Caelestis. La vie ici était beaucoup plus survivaliste, et une Amazone apprenait vite à éviter autant que possible le gaspillage de ressources, ou leur dépense inutile. Chaque denrée était une denrée rare que les Amazones se devaient d’utiliser au mieux. C’était donc à Lie de voir, mais Andromaque estimait qu’une coquetterie de ce genre était un luxe dont les Amazones pouvaient se passer.
En tout cas, ça ne l’empêche pas de retourner embrasser la femme, la plaquant contre l’un des piliers soutenant sa tente. Le corps de la Celkhane se crispa encore contre le sien, et la Reine prolongea volontiers le baiser, tout en défaisant sa ceinture et le reste de ses vêtements. D’une main habile, témoignant de son expertise, elle finit ainsi toute nue, avec une verge dressée, qui se frotta contre les cuisses de la jeune femme.
« Allons-y, ma belle, passons aux choses sérieuses... »
Et, sans guère attendre plus longtemps, Andromaque écarta les vêtements de la femme, puis enfonça sa belle virilité en elle. Son sexe se perdit dans le corps de la Celkhane, et Andromaque appuya, restant bien au fond de l’intimité étroite de sa partenaire, maintenant cette position pendant une bonne quinzaine de secondes. Sa queue restait dure, tendue, coincée dans le corps de la femme, sans que son corps ne daigne vouloir remuer, vraisemblablement au grand désespoir de la jeune femme. Andromaque ne commença à remuer qu’après ces longues secondes passées, filant bien en arrière, puis remonta brusquement, d’un coup sec, s’enfonçant encore largement, puis recommença. Elle optait pour des coups de reins profonds et puissants, témoignant de son ardeur, de sa férocité, de son énergie.
« Là, voilà, hmmm... Oh, que c’est bon, putain... ! »