Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Les terres sauvages / Re : Home Sweet Home (PV Les Amazones)
« le: mercredi 19 septembre 2018, 20:24:42 »
Elles s’étaient chauffées mutuellement, rajoutant à la longue frustration, latente depuis des mois, une frustration plus immédiate, plus vive. Persée avait en effet refusé le coït au profit d’une fellation, d’une fellation très longue, qui était passée pour Acté à la vitesse d’un éclair, mais qui avait juste échaudé leurs pulsations. Le fait est que, à l’approche du Cycle de la Fertilité, les Amazones guerrières devenaient de plus en plus insatiables, sexuellement parlant, et ce n’était pas Acté qui dérogerait à cette tradition. Allongée contre Persée, elle avait senti toute la frustration de sa belle amante quand elle lui avait mordu la lèvre... Et elle avait d’ailleurs mordu si fort qu’Acté avait senti le goût du sang en elle. Une raison supplémentaire de la fourrer sans ménagement. De fait, dès son premier coup de reins, sa queue s’enfonça presque jusqu’à la garde, son fourreau venant ravager l’intérieur de son amante amazone.

Acté frémissait sur plus, croisant son regard avec celui de sa femme, et abaissa ensuite son corps. La belle guerrière aimait souvent le sexe sauvage, brutal. Elle pouvait parfois y aller plus lentement, plus tendrement, mais, dans le fond, Acté restait une femme au sang chaud. Une femme bestiale qui baisait ses partenaires sans ménagement, sans retenue, en les faisant hurler, parfois à s’en casser la voix. Et c’est là le rythme qu’elle imposa à sa Persée, la bourrant, non seulement rapidement, mais aussi profondément. Elle se redressait donc, faisant presque ressortir toute sa verge, avant de planter de nouveau son vit en elle, faisant hurler Persée à chaque coup. Le corps d’Acté en entier suivait en effet ses mouvements, et elle s’abattait donc sur son corps, provoquant des claquements spongieux et forts.

« Hmmm... !! Hmmm... !! »

En réalité, plus Acté la prenait, et plus elle avait envie de la prendre. C’était un délicieux cercle vicieux, et, devant elle, le visage ravi de Persée était un pur régal, un spectacle indescriptible. Acté tremblait sur place, et donna encore ses coups de reins. Si la fellation avait duré une heure, il fallait s’attendre à ce que ce coït soit en proportion. L’endurance sexuelle des Amazones était tout simplement légendaire, surnaturelle, et Persée allait avoir l’occasion de se rappeler.

« Pu-Putain, hmmm... ! Deux ans que j’attends ça, haaa... Deux ans que j’attends de pouvoir... Hmmm... Pouvoir te baiser comme une truie !! »

Dans ces circonstances, il était clair qu’elle n’allait pas se priver. Les heures allaient fondre, et malheur à qui oserait croire qu’il serait possible de les arrêter. Persée eut un premier orgasme, annonciateur d’une longue série, et se rapprocha alors d’Acté, posant une main sur ses cheveux pour la forcer à amener son visage près du sien. Elle lui glissa alors qu’elle voulait sa punition, peu importe ce qu’Acté avait en tête. Elle voulait se faire baiser, se faire salement défoncer, comme une bête.

Acté frémit à ces mots... Et réagit alors en avançant sa bouche, et en allant mordre le cou de la jeune femme. Elle ne se contenta pas juste de le mordiller, d’y frotter ses lèvres ou d’y apposer ses dents, mais les planta dans sa chair, et serra pendant quelques secondes, tout en déplaçant sa main, et pinça durement le téton de Persée, tirant fortement sur son sein. L’Amazone avait une sacrée poigne, et, pendant ce temps, preuve de sa grande maîtrise, elle avait bloqué son corps dans une longue pénétration, faisant ainsi sentir à Persée, tout en baignant dans sa mouille, l’épaisse dureté de son chibre.

L’Amazone libéra alors le cou de Persée, et se redressa. Elle l’embrassa alors, et posa sa main sur le cou d’e Persée, venant caresser sa peau... Puis serra alors.

« Voilà... Voilà tout ce que tu risques, ma chérie... C’est comme ça que je baise... Hmmm... Les sales chiennes que je défonce ! Les nobles coincées du cul que je viole pour leur faire découvrir ce qu’est vraiment le sexe... ! »

Ses doigts serrèrent le cou de Persée, lui coupant la respiration, et elle maintint sa prise, tout en pinçant encore le sein de la femme avec son autre main. Acté relâcha ensuite la pression, et, avec l’arrivée d’air, les sensations allaient s’amplifier. Acté la bourra de nouveau furieusement, rapidement, profondément, donnant des coups de reins profonds, grognant et serrant les lèvres à chaque fois, tout en continuant à régulièrement insulter Persée :

« Sa-Salope, hmmm... ! Sale pute, hmmmm... !! »

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Les terres sauvages / Re : Home Sweet Home (PV Les Amazones)
« le: mardi 18 septembre 2018, 21:10:41 »
Qui aurait cru que quelqu’un puisse un jour arriver à percer le cœur de la rude Acté ? Elle était une pure Amazone en ce sens qu’elle avait la réputation, fondée, d’être totalement inflexible, d’être une femme dure et froide, qui tuait sans avoir froid aux yeux, et pouvait volontiers se montrer cruelle. Acté appartenait à cette catégorie d’Amazones qui défrayaient la chronique et effrayaient les habitants sédentarisés. Elle était la preuve que, malgré son look sexualisé à outrance, il était très dangereux de la sous-estimer. Acté était donc une femme terrible, et pourtant... Pourtant, oui, face à Persée, elle fondait sur place. Allongée contre elle, doucement lovée, elle avait beau avoir joui copieusement dans sa bouche, son érection revenait de nouveau.

Le fait est que les Amazones, outre leurs vies dures et leurs entraînements rigoureux, les Amazones prenaient régulièrement des potions et des élixirs. Leur peuple était très particulier, avec de multiples relations incestueuses, et il était donc nécessaire que, régulièrement, les Chamanes développent sortilèges et potions pour purifier leur sang, mais aussi entretenir leur fécondité et leur sécrétion d’hormones et d’adrénalines. La conséquence en était que les Amazones guerrières hermaphrodites comme Acté devenaient des partenaires sexuels très endurants. Persée avait souvent eu l’occasion de le réaliser, et, dans ce domaine, Acté était redoutable. Elle répondit avec envie aux baisers de Persée, des baisers délicieux et magiques, sensuels et intenses, où la langue de l’Amazone jouait avec la sienne.

« Hmmmm... »

Acté se serra contre elle, et frémit ensuite quand Persée l’embrassa sur le visage, déposant des baisers sur ses joues, puis contre ses lèvres, et sur son nez, déplaçant également ses mains. Elle en profita pour pincer ses seins, tandis que la queue d’Acté, devenant de plus en plus douloureuse, tapait contre les fesses de l’Amazone. Elle se pinça les lèvres sous ce contact, sous ses mains baladeuses, et déglutit ensuite quand Persée lui glissa qu’elle voulait se faire baiser énergiquement... Comme si elle voulait l’engrosser.

« Persée... »

Une étonnante rougeur perla sur les joues d’Acté. On devait sûrement compter sur les doigts d’une seule main les cas où la belle Acté avait rougi. Elle sourit encore, et caressa doucement le visage de la femme, se déplaçant ensuite doucement, afin que son sexe se retrouve bien contre celui de la femme. Elle pencha son bassin vers l’avant, et son membre chaud vint ainsi tapoter les cuisses de Persée, glissant sur ses lèvres intimes.

Persée étant partie longtemps, elle ignorait sans doute que le cycle de la félicité approchait, et lui glissa alors :

« Tu sais, la Horde va bientôt se reposer pour plusieurs semaines... Le cyclée de la félicité va commencer. »

Bien qu’étant un peuple non sédentarisé, la Horde planifiait à l’avance, et sur plusieurs mois, ses trajets. En fait, ceux-ci étaient calqués, non pas en fonction des saisons, mais en fonction de la durée des potions contraceptives qu’elles prenaient. Si une Amazone en prenait trop, elle risquaient de devenir définitivement infécondes. Partant de là, les Chamanes les distribuaient savamment, car, si ces potions renforçaient aussi la libido, il fallait tempérer leur dosage. Au bout d’un moment, l’organisme les éliminait, et il fallait alors attendre plusieurs semaines pour que les anticorps disparaissent.

Cette période était donc un moment de paix, où la Horde bivouaquait dans une forêt, une prairie, ou un grand oasis. Les Amazones en profitaient alors pour forniquer sauvagement. C’était la période menstruelle, une période de fécondation où les ouvrières étaient prêtes à recevoir la chaude semence des guerrières, donnant lieu à de vastes orgies. Le cycle de la félicité... Un moment connu comme une période de paix et d’amour.

Acté sourit encore, sa queue lui faisant encore plus mal, tant elle était tendue à l’extrême.

« Alors... Ouais, je vais te faire hurler, ma belle salope... Mais je veux que tu me regardes... Je veux que nos yeux ne se quittent pas pendant que je te baiserai. Je veux voir le bonheur irradier sur ton visage. Si tu les fermes plus de quelques secondes... Je devrais te punir... »

Acté l’embrassa alors, puis se redressa lentement, posa sa main sur sa queue, afin de la guider vers les lèvres intimes de Persée... Et s’enfonça alors d’un coup sec en se pinçant les lèvres...

Puis regarda ensuite sa chérie, tout en commençant à la besogner furieusement...

3
Andromaque sourit en voyant que Lie n’hésitait pas à prendre ses aises, pinçant fermement ses fesses, et lui mordilla le cou, arrachant à Andromaque plusieurs soupirs. La puissante Reine ferma les yeux pendant quelques secondes, savourant le contact du corps de la femme, la Celkhane qui se pressait contre elle. Elle avait enjoint la Reine de lui apprendre tout ce qu’elle savait, et renchérit ensuite en expliquant que sa tenue ne convenait pas, ce qui fit doucement sourire Andromaque.

« Parce que nous avons une tenue officielle ? De ce que je vois, ta tenue ne t’empêche pas de te battre, et met tes formes en valeur. Partant de ce constant, elle est conforme à nos standards. Mais, si tu veux en changer, il faudra aller voir les sœurs qui gèrent la couture et les uniformes. »

Il y avait des Amazones ouvrières qui étaient spécialisées là-dessus. Elles concevaient les vêtements, mais aussi les armures, les plastrons, les épaulières, les bottes, à partir des pièces et des ressources que la Horde récupérait. Lie allait vite comprendre que le fonctionnement de la Horde était très différent de ce qu’elle faisait à Caelestis. La vie ici était beaucoup plus survivaliste, et une Amazone apprenait vite à éviter autant que possible le gaspillage de ressources, ou leur dépense inutile. Chaque denrée était une denrée rare que les Amazones se devaient d’utiliser au mieux. C’était donc à Lie de voir, mais Andromaque estimait qu’une coquetterie de ce genre était un luxe dont les Amazones pouvaient se passer.

En tout cas, ça ne l’empêche pas de retourner embrasser la femme, la plaquant contre l’un des piliers soutenant sa tente. Le corps de la Celkhane se crispa encore contre le sien, et la Reine prolongea volontiers le baiser, tout en défaisant sa ceinture et le reste de ses vêtements. D’une main habile, témoignant de son expertise, elle finit ainsi toute nue, avec une verge dressée, qui se frotta contre les cuisses de la jeune femme.

« Allons-y, ma belle, passons aux choses sérieuses... »

Et, sans guère attendre plus longtemps, Andromaque écarta les vêtements de la femme, puis enfonça sa belle virilité en elle. Son sexe se perdit dans le corps de la Celkhane, et Andromaque appuya, restant bien au fond de l’intimité étroite de sa partenaire, maintenant cette position pendant une bonne quinzaine de secondes. Sa queue restait dure, tendue, coincée dans le corps de la femme, sans que son corps ne daigne vouloir remuer, vraisemblablement au grand désespoir de la jeune femme. Andromaque ne commença à remuer qu’après ces longues secondes passées, filant bien en arrière, puis remonta brusquement, d’un coup sec, s’enfonçant encore largement, puis recommença. Elle optait pour des coups de reins profonds et puissants, témoignant de son ardeur, de sa férocité, de son énergie.

« Là, voilà, hmmm... Oh, que c’est bon, putain... ! »

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Les contrées du Chaos / Re : Soeur de foudre à en devenir (ft Les Amazones)
« le: dimanche 22 juillet 2018, 23:11:13 »
Andromaque voyait déjà plusieurs fonctionnalités aux pouvoirs électriques de Lie, outre les fonctions guerrières. Elle pourrait aussi être utile aux métallurgistes pour recharger les batteries de leurs machines. Il allait sans doute falloir qu’elle y envoie Lie. Pour le reste, elle pouvait comprendre que, dans une nation technologiquement avancée comme Caelestis, l’usage de pouvoirs capables de provoquer des coupe-circuits dans les systèmes informatiques puisse poser des difficultés. Mais, ici, au sein de la Horde, et même si les Amazones disposaient d’armes avancées, la technologie restait encore très rudimentaire, très rupestre. En tout cas, Andromaque sentit Lie répondre à son baiser, et sourit doucement.

Quelques instants s’écoulèrent après son baiser, et la Reine l’écouta silencieusement, posant ses mains sur les hanches de la femme. La vie amazone pulsait doucement dans son ventre, et, rien que pour ça, Lie méritait son amour, sa protection. La Reine était toujours très proche de ses Amazones, et vieillir n’avait nullement émoussé ses pulsions sexuelles... Bien au contraire.

« Hmmm... Tu sais, j’ai la quarantaine passée, ma chérie. J’ai une grande expérience sexuelle, et je dois admettre avoir toujours eu un faible pour les jeunes beautés comme toi, pleines d’énergie, fraîches et désirables... »

Pour elles, ce fut l’occasion d’un troisième baiser, mais Andromaque en profita pour déplacer ses mains, et les posa sur chacune des fesses de Lie, avant de les pincer fermement. Son baiser se fit alors plus mordant, car elle se mit à pincer entre ses lèvres la lèvre inférieure de la jeune femme, tirant doucement dessus, avant de fourrer ensuite sa langue dans sa bouche, jouant intimement avec elle, serrant son corps contre le sien. Lie pouvait se sentir chanceuse, car elle allait avoir l’immense honneur de coucher avec la délicieuse Reine des Amazones... Qui était effectivement d’une redoutable beauté.

La belle blonde rompit le baiser après quelques instants, mais conserva ses mains sur le cul agréable de Lie, parfaitement moulé dans sa tenue collante.

« Mais ne crois pas que je vais t’épargner, ma chérie... Je ne fais l’amour qu’à la manière sauvage et purement débridée des Amazones... »

Autrement dit, Lie allait devoir s’attendre à un sacré rodéo !

5
Andromaque avait toujours refusé d’avoir un statut trop important par rapport aux autres. Certes, elle était Reine, mais avant tout Amazone. Et la Horde était une grande famille, une société fondée sur un idéal égalitariste. Andromaque adhérait à ce système, et c’était bien pour ça qu’elle s’efforçait d’accueillir autant que possible les nouvelles Amazones. Andromaque préférait passer davantage de temps près d’un feu-de-camp, avec les siennes, plutôt que sur son trône, à dominer les autres. Elle se montra donc proche de Lie, qui lui expliqua ensuite disposer de pouvoirs spéciaux, et en fit l’illustration, faisant crépiter ses doigts.

« Oh... » commenta la Reine.

Elle resta ensuite silencieuse pendant quelques instants, comprenant qu’elle avait affaire à une ESPer, une mutante. Elle était née avec une affinité particulière, un pouvoir spécial qu’elle avait appris à contrôler et à utiliser chez les Celkhanes. Devant cela, Andromaque hocha doucement la tête.

« Ma foi, il existe aussi des magiciennes chez nous... Et des Amazones qui naissent avec des pouvoirs particuliers, comme toi. »

Andromaque se rapprocha doucement d’elle, et serra ses mains contre les siennes, avant de lui sourire tendrement, et déposa un baiser sur ses lèvres. Un tendre et délicat baiser, la Reine lui souriant ensuite tendrement.

« Tu vois, je te l’ai dit, tu n’as rien à craindre ici, Lie... »

La Reine l’enlaça ensuite, lui faisant une accolade, serrant son corps contre le sien. Elle posa ensuite ses mains sur ses épaules, puis lui sourit affectueusement :

« Alors, dis-moi... Qu’est-ce que tu peux faire avec tes capacités ? »

6
Les terres sauvages / Re : Home Sweet Home (PV Les Amazones)
« le: vendredi 19 janvier 2018, 13:56:03 »
Acté était très heureuse de revoir Persée. Passer tant de temps loin d’elle, et la revoir d’un coup... Acté avait pu s’illusionner jadis, refuser de voir les évidences, mais, en ressentant cette immense vague de plaisir en revoyant Persée... Cette fois, Acté ne pouvait plus nier. Elle ne pouvait pas nier que, dès qu’elle avait entendu dire que la belle Persée était de retour, elle avait passé les heures suivantes à s’impatienter sur place, attendant désespérément son retour. Elle avait revu en l’esprit tout ce qu’elle savait sur Persée, au point de ne penser à rien d’autre... Et là, Persée revenait vers elle. Agenouillée devant elle, elle lui suçait la queue, tout en palpant de ses mains le corps d’Acté.

« Pe... Persée, haaaa... »

Se pinçant doucement les lèvres, Acté serra les cheveux de al femme, se dandinant d’avant en arrière. Un premier orgasme ne tarda pas à la traverser, et elle jouit joyeusement dans la bouche de l’Amazone. Persée crispa ses doigts sur son corps, mais ne s’arrêta pas pour autant, et continua à la sucer. La queue d’Acté avait dégrossi, mais ce ne fut que provisoire, tant Persée se débrouillait bien. Elle suçait sa queue, creusait ses joues, la léchait, et maintenait sa queue au plus profond de sa gorge pendant de nombreuses secondes, provoquant d’obscènes, mais non moins délectables, bruits de claquement.

Et, surtout, usant de ses mains, Persée n’hésita pas à explorer le fondement de l’Amazone. Quand Acté sentit son doigt s’enfoncer en elle, elle gémit encore, et sa queue se redressa, gonflant dans la bouche de la femme, remuant encore dans son sperme. Persée était bien décidée à rattraper le temps perdu, et continua donc à s’attaquer à sa verge, sans relâche.

« Hmmmm... Persée, haaaa... !! Tu... Ma chérie, hmmm... !! »

Acté se mordillait régulièrement les lèvres, sa queue endolorie continuant à être soulagée par la femme, et les minutes défilèrent, rythmées par les jouissances d’Acté, ses mains se serrant sur les cheveux de Persée, se crispant généralement quand elle approchait de l’orgasme. Acté se relâchait alors, souvent généreusement, et s’amusait alors à remuer d’elle-même sa queue, baisant ainsi proprement la bouche de son amante. Le temps continua ainsi à filer, et Persée, sans relâche, suça bien pendant une bonne heure son amante. Le spectacle était assez impressionnant, et, lors du dernier orgasme, Acté hurla encore, en se vidant dans la bouche de sa femme.

La belle Persée se releva alors, et, les lèvres pleines, les deux beautés s’embrassèrent. Les mains d’Acté glissèrent, l’une se posant sur les cheveux de Persée, l’autre pinçant ses fesses, puis les deux femmes tombèrent au sol, et continuèrent à s’embrasser, tendrement, sensuellement, longuement, amoureusement.

« Hmmmm... !! »

Ce fut un baiser agréable, qui valait toutes les déclarations du monde, mais, quand il se termina, et que les deux femmes se faisaient face, Persée doucement lovée sur le corps d’Acté, cette dernière lui sourit. Elle remonta sa main, et caressa très tendrement son visage, avant de sourire encore.

« Je t’aime, Persée... Maintenant plus que jamais. »

Elle lui sourit encore, et l’embrassa à nouveau.

« Plus jamais tu ne me quitteras aussi longtemps, la belle... Plus jamais, mon aimée. »

Sous l’état dans lequel elle était, Acté n’avait même pas encore noté que, sous l’effet de ce baiser très humide, son érection était revenue...

7
Lie Matoï était face à la personne la plus puissante de la Horde, la Reine. Andromaque, malgré& sa beauté, était une femme assez âgée, approchant de la cinquantaine. Elle approchait aussi de la fin de son règne, mais personne ne souhaitait le voir se  terminer. Sous son autorité, la Horde avait retrouvé de sa superbe. Andromaque avait mis fin à certaines pratiques barbares et désuètes de son peuple, comme l’abandon des nouveau-nés de sexe masculin dans le désert. Andromaque avait aussi veillé à se rapprocher d’autres États, notamment en construisant une alliance diplomatique avec Sylvandell. Des méthodes inattendues, modernes, s’éloignant de la cruauté habituelle de la Horde, mais qui avaient porté leurs fruits. Le peuple des Amazones allait maintenant mieux, même si la situation n’était pas encore idyllique.

Face à Andromaque, il y avait donc Lie, cette courageuse Celkhane, qui avait découvert la Horde par l’intermédiaire de Silke, la « Red Sonja ». C’était une excellent recommandation, et Lie était visiblement motivée. Toutefois, il était rare qu’une Celkhane vienne, d’elle-même, choisir de rejoindre la Horde. La question de la Reine était donc tout à fait légitime, et, face à elle, l’intéressée ne tarda pas à se présenter. Lie lui expliqua être venue sur Terra depuis un Portail, et, si elle aimait bien Caelestis, elle ne s’y sentait pas à sa place, et voulait donc rejoindre les Amazones.

Il fallait bien avouer que ses motivations n’étaient pas très pertinentes. Vu comment elle se présentait, elle risquait aussi bien de quitter la Horde... Mais Andromaque se contenta d’un léger sourire, et se redressa lentement. Elle se rapprocha de la femme, et posa ses mains sur ses épaules, venant les caresser.

« Je vois... Tu as soif d’aventure, c’est ça ? Explorer le monde, pour découvrir ce que tu veux, et ce que tu es... C’est une philosophie que je partage. Vois-tu, la Horde met en avant la liberté par-dessus tout. C’est aussi pour ça que, malgré les siècles, notre peuple reste toujours non sédentarisé. Tu es libre de quitter la Horde, Lie... Et de la rejoindre. Silke t’a recommandé, alors, je ne vois aucune raison de refuser ta présence en notre compagnie. »

Les choses étaient-elles aussi simples que ça ? La Horde restait un peuple peu formaliste, avec une tradition orale.

« J’annoncerai ta présence ce soir, lors du souper. »

Est-ce qu’une Celkhane arriverait à se faire à la dure vie amazone ? Tout le confort technologique auquel elle était habituée était inexistant ici. La Horde vivait à la dure, ce qui permettait aussi de se forger une mentalité de guerrière. Comprenait-elle ce à quoi elle s’engageait en les rejoignant ? Si ce n’est pas le cas, elle le comprendrait bien vite.

« Est-ce que tu as des questions ? Pour l’heure, même si tu rejoins la Horde, tu n’es pas encore une véritable Amazone. Tu ne le deviendras qu’en faisant tes preuves, et à l’occasion d’un rituel destiné à sacraliser ton statut. »

C’était des éléments importants à préciser. À Lie de se montrer curieuse, maintenant !

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Les contrées du Chaos / Re : Tractations internationales [Ysice Jadescath]
« le: lundi 18 septembre 2017, 00:42:46 »
Mythilène avait expliqué à Ysice les grandes lignes du fonctionnement de son peuple. Comme quoi, la Horde était bien loin de ressembler à ce troupeau barbare et sauvage comme certains aimaient à les décrire. Après tout, si la Horde n’était pas un minimum structuré, elle n’aurait jamais survécu à l’écoulement de l’Histoire. La Horde était en réalité l’un des plus vieux peuples du monde, un peuple qui n’avait jamais ressenti le besoin de se sédentariser, restant ainsi un peuple de fières et puissantes guerrières. C’était là le secret de leur force, et pourquoi elles étaient si redoutées. En tout cas, ses explications avaient véritablement captivé Ysice, ce qui ne manqua pas de faire sourire la Chamane. Au sein de la Horde, elle avait un peu le rôle de transmettre aux générations antérieures, non seulement son savoir-faire magique, mais aussi culturel et politique. Le rôle des Chamanes était central au sein de la Horde, car elles étaient ce qui s’assimilait le plus à des savants.

La Reine Ysice avait en tout cas libéré toute sa journée pour la délégation, et leur proposa d’aller voir leur chambre, ou de visiter les jardins. Les Amazones hésitèrent un peu, avant de brièvement discuter entre elles. Finalement, Sélène, qui était après tout la Princesse des Amazones, se retourna vers leur hôte, et lui expliqua ce qu’elles avaient en tête :

« Tamara, Pirène et Calypso vont vaquer à leurs occupations, si cela ne vous dérange pas. Quant à Mythilène...
 -  Bien que j’aime bavarder avec vous, Majesté, enchaîna Mythilène, je serais très intéressée par l’idée de consulter votre bibliothèque, si vous en avez une. Les livres sont ma grande passion, et, si nous devons discuter d’une alliance, c’est le meilleur moyen pour que je me renseigne sur vos pratiques et sur l’histoire de votre royaume. »

Mythilène n’était pas une érudite pour rien, mais, au-delà de ça, les Amazones voulaient surtout laisser les deux femmes en tête-à-tête : la Reine et la Princesse. C’était un bon moyen de leur permettre de se rapprocher, car, après tout, Sélène était la seule habilitée à engager la Horde. Ceci fit qu’elle se retrouva seule avec Ysice. Sélène lui demanda alors de la conduire aux jardins, et le duo marcha donc, s’aventurant le long des couloirs du Palais, jusqu’à s’approcher d’une terrasse surplombant l’entrée des jardins. Ils étaient plutôt agréables, avec des fontaines ici et là, et de belles allées fleuries avec des bancs. Les jardins royaux étaient manifestement très bien entretenus, et de délicieuses senteurs s’en dégageaient.

Fermant les yeux pendant quelques secondes, Sélène, ses mains posées sur le rebord de la terrasse, huma l’air, avant de rouvrir les yeux, et de regarder la jeune Reine.

« Sortez-vous souvent de votre château, Ysice ? Chaque fois que je rencontre des Princesses ou des Reines, je suis étonnée de voir combien elles sont consignées chez eux, et n’osent pas sortir, comme si elles avaient peur de leur propre peuple. Je l’ai vu à Nexus, quand ma mère était venue porter réconfort à la jeune Reine à son retour de Nexus... Mais aussi à Sylvandell, quand mon peuple a conclu un pacte avec cette nation, et où j’ai pu voir que leur Princesse ne sortait que très peu du château avant d’atteindre sa majorité... Qu’en est-il de vous ? »

C’était aussi pour ça que les Amazones se méfiaient des sociétés sédentarisées. Pour elles, bâtir des murs entre les gens n’incitait qu’à la méfiance, la suspicion... Et, peu à peu, entraînait une dégradation du lieu social, jusqu’à conduire à une rupture. C’était une situation qu’elle trouvait profondément regrettable, et elle était donc curieuse de voir comment, à Jadescath, les choses se passaient...

9
Les terres sauvages / Re : Home Sweet Home (PV Les Amazones)
« le: mardi 22 août 2017, 10:30:53 »
On disait souvent des Amazones qu’elles étaient de redoutables amantes sexuelles. Les raisons découlaient, non seulement de leur éducation, où le sexe était une matière qu’on enseignait aux jeunes Amazones, mais aussi de leurs multiples voyages et quêtes initiatiques, qui leur permettaient de voir de multiples pratiques sexuelles variées et diversifiées. Et Persée, visiblement, s’était grandement améliorée de ce point de vue. Acté le sentit au bout de quelques minutes, en constatant que la jeune fille ne se retirait pas de son membre, et le constata surtout quand elle s’immobilisa, tout simplement, en en profitant pour relever l’une de ses mains, et palper son sein.

« Haaaa… Je vois… Un pincement pour ‘‘Non’’, deux pincements pour ‘‘Oui’’ ? »

Elle soupira encore, les joues rougies, et crispa ses doigts sur les cheveux de Persée. C’était à elle d’agir, mais, à la voir immobile comme ça, Acté commençait à sentir une puissante frustration croître en elle, remontant lentement dans sa poitrine, et lui donnant une envie de plus en plus furieuse de la baiser. Des mois et des mois sans pouvoir coucher avec Persée, sans pouvoir profiter de son corps parfait, frotter son visage contre ses cheveux, la baiser à même le sol… Oh, comme tout ça lui avait manqué ! Persée délaissa finalement son sein, et reprit ses mouvements, d’avant en arrière. Acté soupira à nouveau, et relâcha la pression sur les cheveux de Persée, afin de la laisser plus librement la prendre.

Avant, arrière, mouvements rapides ou profonds entraînant des bruits de claquement spongieux… Acté se pinça les lèvres en la regardant faire, comme absorbée. Elle voyait cette masse de cheveux blancs filer d’avant en arrière, s’accompagnant des soupirs et des gémissements de Persée, qui allait parfois jusqu’à frotter ses dents sur le chibre d’Acté, la faisant gémir. Celle-ci se pinçait les lèvres, et relevait parfois le regard, pour mieux gémir. Son dos heurta la poutre en bois située derrière elle, qui permettait de soutenir la tente, et elle soupira encore.

« Hooo… Per… Persée, hmmm… !! »

Tenir à la fois sur la longueur et sur la durée, la chose n’était guère aisée, mais Persée, indéniablement, y arrivait avec un indéniable talent. Elle continuait à jouer sur sa hampe de chair, prodiguant à Acté mille délices… Jusqu’à ce que cette dernière ne se pince les lèvres. Persée devait alors sentir l’orgasme approcher, que ce soit dans la manière dont les muscles d’Acté se bandèrent, ou dont ses mains se posèrent sur les cheveux de la femme, se crispant sur ses longs cheveux blancs. Fermant les yeux, elle gémit encore… Et jouit.

Ce qui, chez Acté, n’était pas un moindre mot. Elle avait toujours cette habitude de jouir généreusement et intensivement, et, ici, ça ne manqua pas. En sentant l’orgasme la traverser, Acté soupira longuement, hurlant même, tout en remuant son corps d’avant en arrière, baisant la belle petite bouche de Persée, et serrant ses doigts sur ses cheveux, bien décidée à répandre tout son jus en elle… Ou, du moins, autant de foutre que possible.

« HMMMMMMMM… !!! »

À chaque fois qu’Acté pensait en avoir terminé, elle sentait encore des reflux venir dans sa queue, et balançait de nouvelles giclées de sperme. Néanmoins, et de manière surprenante, alors que, peu à peu, les joues de Persée se gonflaient sous l’abondance de foutre, elle ne repoussait pas sa queue, et, au contraire, maintenait fermement sa main sur la base de ce chibre, conservant la queue plantée dans sa bouche, avalant ainsi tout son sperme. Acté finit par enfoncer ses ongles contre les cheveux de la femme, et se répandit encore en elle, balançant d’ultimes filaments de foutre.

« Haaaaaaa… !! »

Acté reprit peu à peu sa respiration, retrouvant ses esprits… Et, alors que Persée avalait son sperme, et que la queue d’Acté avait bien dégrossi… Persée reprit alors.

« Hmmm… Q-Quoi… Je n’ai pas assez joui en toi, hein, petite… Hmmm… Gourmande, haaaa… !! »

Sa queue avait diminué sous l’effet de cet orgasme, mais Acté faisait pleinement confiance à Persée pour réveiller son ardeur. De plus, il y avait encore du sperme qui baignait dans sa bouche, offrant à Acté des sensations exquises, comme si sa queue trempait dans un délicieux bassin amniotique. Fermant les yeux, elle gémit encore, toujours aussi excitée, et commença petit à petit à accompagner les mouvements de bouche de Persée, en accélérant de plus en plus vite, au fur et à mesure que le désir croissait en elle…

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Les terres sauvages / Re : Home Sweet Home (PV Les Amazones)
« le: vendredi 28 juillet 2017, 00:34:26 »
Pour comprendre le fonctionnement de la Horde et la mentalité des Amazones, il fallait partir d’un postulat simple : le sexe n’était pas une chose taboue. Tout simplement. Il en résultait que Les Amazones, non seulement copulaient fréquemment, mais en parlaient aussi très librement. Et il en résultait aussi que le sexe était vu, non pas comme une sorte de plaisir profane et coupable, mais comme une discipline à part entier. Pour la Horde, il ne faisait aucun doute que le sexe était une discipline, une notion fondamentale des relations communautaires et humaines. De fait, on devait surtout à la Reine Andromaque d’avoir développé l’éducation sexuelle, et il était indéniable que, depuis lors, les Amazones se montraient moins cruelles. On leur enseignait le sexe, et Persée avait appris. Sur ce point, Acté avait été une rude formatrice. Elle était devenue une Amazone hermaphrodite bien avant elle, car elle était plus vieille. Elle lui avait donc appris l’art délicat de la fellation, et de la gorge profonde. Et, en réalité, Persée avait eu bien du mal. Acté se rappelait des nombreuses fois où elle s’étouffait, ce qui faisait que, à terme, avant de sucer sa queue, Persée avait pris l’habitude de l’embrasser et de la lécher longuement, ce qui la rendait plus lisse... Mais aussi, paradoxalement, plus grosse. Et, venant d’Acté, ce n’était pas peu dire, car elle avait un sacré membre.

En réalité, si Acté était si patiente dans le sexe, c’était aussi parce qu’elle avait formé sexuellement beaucoup de jeunes Amazones. Dès qu’elle savaient leurs floraisons, elles apprenaient. Autrement dit, la queue d’Acté s’était glissée dans bon nombre de bouches, et, comme on pouvait s’y attendre, Persée avait été, là aussi, son élève la plus douée, la plus énergique, et celle avec laquelle elle pratiquait le plus. Il était donc normal qu’elle commence par une fellation, car c’était une manière d’honorer leur rituel, et, surtout, pour Persée, de montrer à Acté combien elle avait grandi.

Acté lui avait toujours dit que, dans une fellation, il n’y avait pas que la bouche, mais aussi les mains. Et là...

« Ho... Hmmmm... »

Acté avait une queue grosse, trop grosse pour l’engloutir d’un coup, mais elle comprit très rapidement, à la manière dont la tête de Persée filait d’avant en arrière, que cette dernière avait travaillé sa pratique. Elle en sourit, ravie... Et sentit même ses joues s’empourprer. Elle s’était jurée de tenir aussi longtemps que possible, mais...

« Ha... Tu... Tu me mets à l’épreuve, ma chérie, hmmm... Ouii... »

Persée s’enfonça alors d’un coup sec, et Acté écarquilla les yeux, sous cette gorge profonde subite, et poussa un léger cri inaudible... Mais en crachant un peu de salive de ses dents. Son autre main se crispa nerveusement sur la tête de Persée, qui sentit la femme rester immobile, avec sa queue qui tapait contre sa gorge. Cinq secondes... Dix... Quinze... Acté gémit alors, et sentit Persée se reculer, maculant sa verge de sa magnifique salive, mais en respirant par le nez, de sorte que son membre resta toujours niché en elle, sa main venant alors caresser son sexe.

Sa queue pulsait chaudement, et Acté baissa les yeux, regardant son amante en souriant, les joues rougies par un désir furieux et puissant. Usant de ses mains, Persée masturbait la base de sa queue avec l’une, et utilisait l’autre pour gratter sa peau, glissant sur elle. La jeune Amazone continua ainsi, malmenant délicieusement le corps d’Acté.

« Hmmmm... Ah, Persée, tu... Tu t’es bien améliorée, ma chérie, hmmm... Mais... Pourras-tu tenir sur la longueur ? »

Elle devait respirer par le nez, et, quand on n’habituait pas le corps à respirer par la bouche, il était important de savoir réguler sa respiration.

« Mais continue, haaaa... Vas-y... »

Acté serra encore les dents, gémissant une nouvelle fois.

D’ici quelques minutes à ce rythme, Persée allait recevoir son premier cadeau...

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Les terres sauvages / Re : Home Sweet Home (PV Les Amazones)
« le: jeudi 27 juillet 2017, 21:39:08 »
Enfin, elles se retrouvaient. Enfin, elles étaient l’une face à l’autre. Tout le monde, au sein de la Horde, savait combien Persée et Acté avaient été proches. Acté, avec son tempérament de petite brute, avait rapidement su s’attirer la sympathie de Persée, et lui apprendre à avoir confiance en elle... En n’hésitant pas à taper sur celles qui osaient se moquer d’elle, à garder toujours la tête haute, et à savoir se battre. Leur relation aurait pu évoluer avec une ayant un rôle de dominante, et l’autre un rôle de soumise, mais c’était mal les connaître. Persée se faisait toujours un malin plaisir à « jouer » avec le sexe d’Acté, et, très rapidement, en sentant al langue de la belle femme aux cheveux blancs sur sa verge, Acté sentit un plaisir furieux remonter en elle, qui se concrétisa quand sa verge sortit. Et, pour le coup, elle avait une très belle érection. Sa queue remontait fièrement, dure, grosse, et recouverte de sa cyprine, la rendant plus humide, et plus glissante.

Agenouillée devant elle, Persée était l’image de la perfection. Les Amazones étaient toutes belles, mais Acté avait toujours trouvé que Persée était au-dessus du lot. Une beauté tout simplement surréaliste, et là, alors qu’elle se tenait accroupie devant elle, sa main la masturbant, avec sa longue chevelure blanche descendant en cascade sur son corps pâle aux formes langoureuses, Acté ressentit, encore une fois, d’immenses vagues la traverser. C’était avec elle qu’elle avait le plus souvent fait l’amour, avant que Persée n’entame son pèlerinage. Acté lui avait ôté sa virginité, toutes ses virginités, et elles avaient pris l’habitude de faire l’amour très longtemps.

« Hmmmm... Tu vas voir, Persée, que j’ai bien gagné en endurance depuis la dernière fois... »

Elle rajouta rapidement, les jambes écartées, serrant ses poings :

« J’en ai défoncé beaucoup, des culs et des chattes... Mais, paradoxalement, plus je les baisais, et plus ton corps me manquait... Je n’ai jamais trouvé une amante qui t’arrive à la cheville, ma chérie, alors... Tu as intérêt à bien te rattraper, et à me sucer bien comme il faut. »

Ce qui tombait bien, puisque c’était le plan de la femme. Persée le lui annonça, sur un ton très sérieux, après avoir déposé un délicieux baiser sur sa queue, faisant se dresser encore plus douloureusement cette dernière, provoquant une série de frissons dans le corps de l’Amazone. Acté respirait lourdement, ayant très mal à sa queue, comme rarement auparavant... Surtout quand Persée lui glissa qu’elle allait la sucer longuement, comptant la faire jouir à plusieurs reprises, et qu’Acté ne devrait rien faire d’autre. Mine de rien, l’entendre parler ainsi, l’entendre exposer son programme sans honte, amena le sexe d’Acté à se roidir, et à lui faire terriblement mal.

« Hmmm... Pu-Putain, haaaa... »

Et, finalement, Persée ouvrit les lèvres, et sa bouche se posa sur son sexe. Un gémissement s’échappa des lèvres d’Acté, qui ferma les yeux, et sentit une vague de plaisir la traverser de part en part, lui arrachant un soupir supplémentaire.

« Haaaa... Persée... J-J’espère que tu n’as pas oublié... Combien je jute généreusement... Haaaa... »

Son secret, c’était qu’elle faisait tout simplement durer le plaisir. Elle se retenait de jouir aussi longtemps que possible, et, ainsi, non seulement avait-elle appris à être endurante, mais aussi à jouir généreusement... Et ça, sa belle Persée allait pouvoir le voir. Et, même si elle avait ordonné à Acté de ne rien faire, cette dernière finit malgré tout par poser une main sur sa tête, accompagnant ainsi ses mouvements, sentant surtout ses cheveux, et commença à remplir l’espace de ses soupirs et de ses gémissements, tandis que, en fermant les yeux, elle se délectait des bruits de claquement de chair quand la bouche de son amante glissait et ondulait le long de son chibre...

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Les terres sauvages / Re : La sorcière et les amazones (PV)
« le: mercredi 19 juillet 2017, 01:19:14 »
En ratissant large, l’Ordre Immaculé regroupait de tout. De fait, l’Ordre Immaculé était une très vaste religion, regroupant quantité de fractions et de mouvances diverses, qui s’opposaient parfois entre elles. Des croisés aux Paladins, en passant par les monastères et les pèlerins, on trouvait vraiment de tout. Ces types, vu leur allure, devaient visiblement être des Croisés. Autant dire qu’ils n’avaient de religieux que le nom. Il s’agissait généralement de pauvres types incultes ou ayant un gros casier judiciaire, et qui, pour éviter une condamnation à une peine d’emprisonnement, ou pire, choisissaient la voie de la rédemption en prenant le chemin de la croix. En échange de plusieurs années de service dans des terres dangereuses, ils bénéficiaient du rachat de leurs péchés. La magie de la religion... Xyla, comme bien des Amazones, avait une tendance naturelle à détester l’Ordre Immaculé, et encore plus les individus comme ça, qui attaquaient, sans vergogne, les femmes, simplement parce qu’elles étaient belles.

Xyla était prête à intervenir, mais quelque chose lui disait d’attendre encore un peu. Son instinct, peut-être... Ou le fait qu’elle n’avait jamais été une Amazone qui fonçait tête baissée dans le tas, contrairement à d’autres. Xyla était méthodique, calculatrice, prenant toujours le temps d’analyser son environnement avant d’attaquer ses cibles. Elle était une spécialiste de l’infiltration. Normalement, elle avait avec elle une sacoche comprenant des armes à distance, comme des shuriken, mais, comme elle prenait son bain juste avant l’attaque, elle n’avait pas eu le temps de les récupérer.

Discrète, elle restait dissimulée, et vit un homme passer à l’action, embrassant la femme... Et Xyla perçut alors, comme les autres, une étrange magie agir.

« Hnnnnnnnnn... !! » sem mit à hurler à l’homme.

Il écarquilla les yeux, et posa ses mains sur les hanches de la femme, se crispant dessus en cherchant à la repousser. Xyla vit les jambes de la femme se serrer autour de sa taille, appuyant plus fort, tandis qu’une espèce de vigueur nouvelle semblait envahir son corps.

« Mais qu’est-ce que c’est que ce bordel ?!
 -  Elle a de l’obsidienne, elle peut pas faire ça !
 -  HNNNNNNNNNNNNNNN... !! »

Xyla vit l’homme se ratatiner sur place, gagnant des années à toute allure, son corps se creusant de rides, ses cheveux blanchissant, avant de tomber... Et elle comprit ce qu’était cette femme quand elle relâcha la carcasse de l’homme, qui s’écroula sur le sol, toute son énergie vitale ayant été aspirée. Avec de l’obsidienne aux mains, il ne pouvait s’agir que d’une faculté génétique, et non d’un sortilège magique.

Les deux Croisés, bien qu’idiots, en arrivèrent à la même conclusion, et brandirent des épées.

« Démone !
 -  Une succube !
 -  Tu vas mourir, sale monstre ! »

La situation commençait à devenir critique pour la femme, qui se déplaça alors... De telle sorte que les deux hommes se retrouvèrent dos à Xyla. Et l’Amazone n’était pas dupe, elle avait vu le regard de la mystérieuse femme à la peau basanée se diriger vers elle.

*Elle a dû sentir ma présence... L’obsidienne annule la magie, mais ces menottes ont l’air assez usées, les cristaux ne doivent plus fonctionner aussi bien qu’auparavant.*

Xyla se redressa lentement, pendant que les deux tueurs cherchaient comment aborder cette femme... Puis l’Amazone bondit brusquement, et frappa rapidement. Son wakizashi décapita l’un des Croisés, faisant voler sa tête. Surpris, l’autre se retourna vers elle.

« Mais que... ?! »

L’Amazone aurait pu le tuer, lui aussi, mais elle préféra opter pour un impressionnant coup de pied retourné, atteignant son visage, et le clouant au sol dans un gémissement. Xyla se retourna alors vers la femme.

« Montre-moi ton dos. »

Dès que la femme obtempéra, l’épée frappa encore... Et coupa les menottes en deux, libérant ses poignets. Elle avait son pied posé sur la tête de l’autre homme, qui gémissait.

« Je pourrais le tuer... Mais je trouve ta manière de les mettre à mort beaucoup plus excitante. »

Les Amazones n’étaient pas très connues pour leur sens de la miséricorde ou du pardon...

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Xyla lui sourit. Elle savait qu’il existait bien des Amazones qui se montraient assez hésitantes à l’idée de rejoindre la Horde, alors que, inversement, d’autres acceptaient presque spontanément la nouvelle vie qui s’offrait à elles. Et Lie, visiblement, appartenait à la seconde catégorie. Xyla, elle, n’avait jamais eu à se poser cette question. Sa mère l’avait abandonné auprès des Amazones, et elle avait toujours grandi en ne connaissant que la Horde. Autant dire qu’elle ne se sentait pas particulièrement dépaysée en étant ici. C’était une Amazone dans les veines, redoutable guerrière, qui avait pour habitude d’être très dénudée. Enfin, de manière générale, on ne pouvait que reconnaître que les Amazones étaient franchement peu vêtues. C’était un style, tout simplement, à se demander comment elles pouvaient être d’aussi redoutables guerrières. Et, pour autant, nul n’aurait osé remettre leurs compétences en doute.

L’Amazone sourit donc, et caressa encore le ventre de la femme.

« Il n’y a pas que ta fille qui sera une Amazone, Lie. Toi aussi, tu le seras. Tu en as déjà l’envie, et c’est la principale chose qui importe. »

Le reste, l’entraînement, la discipline, les principes de vie de la Horde, tout ça s’apprenait sur le tas. La Horde, de fait, ne pouvait se suffire à elle-même, et avait donc toujours besoin d’enrôler des forces extérieures... Des personnes comme Lie, autrement dit. Xyla lui sourit donc à nouveau, se montrant chaleureuse. Certes, la Celkhane venait avec une fille, mais elle apportait aussi sa valeur ajoutée, elle-même.

Fanis profita de ce moment pour répondre à la femme sur ce qui se trouvait dans la grande tente :

« C’est ici que siège le Conseil, mais tu as raison, il n’y a pas que ça. On y trouve aussi toutes les structures indispensables, notamment un dortoir, et le centre d’accouchement. Pour des raisons évidentes, les nouveau-nés ne peuvent pas gambader librement dans la nature, et restent les premières semaines au chaud. »

C’était une évolution liée à la Reine Andromaque. Lie aurait le temps de le réaliser, mais, pendant des siècles, la Horde avait vécu de manière très archaïque, pour ne pas dire barbare, avec un taux de mortalité à la naissance bien trop élevé. La Reine avait tâché de moderniser les pratiques de la Horde, bien consciente que son peuple ne pouvait pas continuer à ce rythme. L’une de ses décisions notables avait notamment été d’interdire la pratique de l’abandon de nouveau-nés jugés trop faibles pour la Horde, une pratique qui avait divisé la Horde en de multiples occasions. La lucidité de la Reine Andromaque avait été proprement salutaire pour la Horde, car c’était elle qui avait réalisé à quel point ce peuple était un anachronisme voué, à terme, à disparaître.

Tout ça, les Amazones auraient l’occasion d’en parler plus longuement à la belle Celkhane. Pour l’heure, la priorité était de la présenter au Conseil.

« Allons-y, Lie, tu pourras parler avec Xyla plus tard. »

Les deux femmes rentrèrent dans la grande tente. On pouvait en réalité parler d’un chapiteau, et, à l’intérieur, il y avait un couloir central, avec, à gauche et à droite, des ouvertures. La salle du Conseil se trouvait droit devant, et ce fut par là que Fanis se rendit. Aucune porte, tout était accessible. La Reine n’entretenait aucun secret avec son peuple, tout simplement, et, en parlant de la louve, les deux femmes tombèrent finalement sur la Reine en personne : Andromaque. Elle était assise à la table du Conseil, et écrivait quelques notes.

« Salutations, ma Reine. »

Fanis s’inclina respectueusement, et lui présenta sommairement Lie, sans lui cacher que la jeune femme attendait une fille de Silke.

« Oh... Voilà qui est intéressant. Et tu souhaites faire partie de notre famille, donc ? Pourrais-je savoir pourquoi une Celkhane chercherait à nous rejoindre ? »

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Une véritable vie champêtre, sauvage, ancestrale. Pas de grands bâtiments derrière lesquels se réfugier et s’isoler. Au sein de la Horde, tout le monde vivait en harmonie. Les ouvrières travaillaient en surveillant leurs enfants, qui gambadaient librement dans la Horde. Ici, la filiation ne fonctionnait pas de la même manière que dans les autres sociétés. Une mère biologique était certes proche de sa fille, mais toutes les Amazones étaient les « grandes sœurs » des « petites sœurs », ce qui faisait que chaque Amazone avait le devoir de veiller sur elles, de les aider, de les éduquer, et de les guider. Lie comprendrait vite que, dans la Horde des Amazones, il n’y avait pas de cellule intermédiaire entre l’individu et la société.  Ce qu’on appelait la « famille » n’existait tout simplement pas, car la famille se confondait avec la société, de sorte qu’il n’existait pas non plus d’inceste.

Les jeunes sœurs se rapprochèrent de Lie, intriguées par cette femme aux longs cheveux roux. Gênée, elle les remercia poliment, caressant quelques têtes, avant de marcher, et parla de nouveau à Fanis, lui confiant ses doutes et ses appréhensions.

« Ce que tu es ? C’est-à-dire ? Une Celkhane ? »

Fanis haussa les épaules.

« Crois-moi, c’est sans importance. Que tu viennes de Caelestis, d’Ashnard, de Nexus, ou de Sylvandell, peu nous importe. La Horde recueille énormément de personnes comme toi, venant d’autres contrées, et qui ont décidé de rejoindre notre communauté. »

Partant de là, le parcours de Lie n’avait rien d’exceptionnel, même si la Celkhane devait se sentir un peu honteuse à l’idée de renier sa patrie natale. Fanis s’avança donc.

« Ton bébé, c’est ton argument le plus sacré. Les lois sont claires. Toute femme portant un enfant amazone devient une Amazone, sauf cas de trahison. »

Et, à ce que Fanis sache, Lie n’avait jamais trahi la cause amazone. Elle n’avait donc, en soi, aucun souci à se faire. L’Amazone remontait la route menant à la tente centrale, et passa près de terrains d’entraînement, où des Amazones s’entraînaient entre elles, croisant le fer. Fanis esquissa un léger sourire, et se rapprocha d’une Amazone asiatique qui était presque nue, portant sur le dos un long tatouage en forme de dragon.

Xyla se retourna vers Fanis, et les deux femmes partagèrent un baiser passionné, la langue de Fanis filant rapidement dans la bouche de la femme, qui lui répondit avec plaisir, pressant son corps contre le sien.

« Heureuse de te revoir, Xyla...
 -  Et moi donc... »

Xyla regarda brièvement Lie, et Fanis fit les présentations. L’Amazone orientale se rapprocha de la Celkhane, et l’embrassa à son tour, blottissant son corps contre le sien.

« Bienvenue au sein de la Horde, ma sœur. Tu portes l’une des nôtres. »

La main de Xyla caressa brièvement le ventre de Lie, là où un fœtus était en train de se développer et de croître.

« Prends-en grand soin, nos enfants sont notre bien le plus précieux. »

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Fanis sourit devant la sagacité de Lie, et caressa tendrement son visage suite à sa réflexion sur son opportunisme affiché.

« Il y a de ça... Mais il faut aussi m’assurer que tu es prête à tisser des liens avec la famille que tu souhaites rejoindre. »

La famille... C’était bien comme ça que les Amazones se voyaient. Elles étaient autant une communauté qu’une grande famille, et Lie avait pu en avoir un aperçu. La mignonne rouquine avait largement aimé ce traitement, cette intronisation, mais se montrait cependant lucide. La Celkhane caressa à son tour la joue de Fanis, qui sourit, et glissa ses mains sur ses hanches, venant l’embrasser tendrement, plaquant son corps contre le sien. Elle profitait encore des formes agréables de la Celkhane, et l’embrassa une nouvelle fois pendant plusieurs secondes.

Ceci fait, Lie reprit, en indiquant qu’elle savait que Fanis n’était pas la chef, et que son avis ne serait pas déterminant.

« N’en sois pas si sûre, je suis une Amazone, Lie, mon avis sera pris en compte. »

Pour l’heure, Fanis se déplaça, et fit signe à la Celkhane de la suivre. Elles avaient fait l’amour en pleine nature, sans que l’Amazone ne s’en émeuve. Les deux femmes passèrent le long d’un petit sentier serpentant entre deux gros rochers. Elles arrivèrent ainsi devant une vaste vallée, qu’elles voyaient depuis les hauteurs.

« Et voici... La Horde ! »

Devant elles, un magnifique spectacle avait lieu. S’étalant à perte de vue, on pouvait voir un vaste camp, avec de multiples tentes plantées ici et là, ainsi que des caravanes, des chariots, des clôtures abritant des animaux, ou des chevaux. Une vaste population qui s’étalait dans une grande vallée fleurie.

« Allons-y. La tente de notre Reine Andromaque est au milieu de la Horde. C’est celle avec les drapeaux. »

Elles continuèrent à suivre le chemin, rejoignant ainsi la Horde, peuplée de femmes. Il y avait de jeunes filles, et des femmes plus adultes, occupées à s’entraîner, à jouer, ou à faire des tâches ménagères, veillant sur les animaux, ou nettoyant les vêtements ou les équipements militaires des Amazones guerrières. Beaucoup de jeunes filles saluaient Fanis, lui faisant des câlins, ce qui était la preuve qu’elle était très populaire au sein de la Horde.

Lie avait donc trouvé une bonne guide, et certaines filles venaient aussi vers elle, pour la saluer, lui demandant si elle était, elle aussi, une Amazone...

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