L'Art / Re : [Sex] Take me down to the paradise city !
« le: dimanche 10 mai 2015, 16:22:31 »MAIS ! Voici la suite (et la fin) des aventures de Dexa face à la bande d'Alan !
Les prochaines aventures de la belle sont déjà dans ma tête, reste plus qu'à trouver le temps et la motivation de les écrire.
Bonne lecture !
Je sens, dans mon dos, le sourire de mes maîtres, ravis de voir en moi celle qu'ils avaient prévu : une chienne soumise, avide et insatiable. Alan passe son pouce encore humide de ma salive contre mon petit trou et j'en frissonne de plaisir. Il le laisse glisser sur mon entrée déjà trempée, fait mine de le rentrer, juste un peu, juste de quoi me tirer un petit gémissement. Je suis tellement excitée, tellement bouillante et folle de leur queue qu'il me semble qu'il pourrait tout aussi bien me toucher le coude que je gémirais tout autant. Mon corps n'a jamais été aussi réceptif et chaque caresse déclenche en moi un ras-de-marée, au sens propre comme au figuré...
J'entends qu'il défait les lacets fermant par devant son pantalon, les cordons de cuir glissent dans leurs logements, et claquent contre mes fesses. Je peux sentir, même au travers du tissu, le bout de sa verge tendue, et rien que ce contact me fait tourner la tête. Il sort son engin roide et droit, rien que pour moi. Ma bouche s'entrouvre tandis que je ferme les yeux, savourant d'avance la sensation qui envahira bientôt mon...
_Haan !
Un petit gémissement aspiré m'échappe alors que sa verge écarte encore mon sexe détrempé. Ses mains vissées sur mes hanches et cramponnant la chair de mes fesses, il s'enfonce lentement en moi. Très lentement. Je sens chaque fibre de mon intimité s'écarter et s'éveiller alors que cette verge, incroyablement longue, s'enfonce en moi. Je ne cesse de gémir, comblée, enfin. Arrivé au bout, il continue de pousser, il va plus loin que personne. Il descend au plus profond de moi et je gémis toujours comme une petite garce.
Brusquement, il se retire et je devine une nouvelle fois son sourire.
_Alors, Dexa... Par là, ou... par là... ?
Et ce disant, il enfonce avec cette même lenteur sa queue dans mon cul. Mes gémissements se font plus fort tandis que, yeux clos et sourcils froncés par le plaisir, mes ongles se crispent sur le parquet.
_Oh, oui, tu aimes ça, mh... ? N'est-ce pas Dexa ? Dis-le donc, que tu aimes te faire prendre par tous les trous, mh ? Dis-le...
Mais je ne parviens pas à articuler le moindre mot, savourant la sensation de mon cul s'écartant encore sur son passage, savourant le fait de sentir mon corps de petite pute se faire tringler par un aussi gros chibre.
Alors que je savoure sans honte cette sensation, il finit brutalement sa pénétration avant de ressortir de façon tout aussi brutale et m'administre une nouvelle claque sur mes fesses rougies.
Je me redresse alors, me rétablissant sur mes deux mains, à quatre pattes devant eux, leur présentant toujours l'arrière de ma personne. Alan rit franchement en faisant glisser son gland sur mes deux entrées qui le réclament.
_Alors, mh ? Par où ? Mh ?
Mais je ne saurais choisir, et la balade de cette queue entre les deux ne m'aide pas à tirer mes idées un tant soit peu au clair afin de choisir. Tout ce dont je suis capable sur le moment, et sans m'en rendre compte, est de bouger mon bassin d'avant en arrière pour forcer la pénétration de l'un ou de l'autre. Ce geste m'en coûte une fessée très violente.
_Dis donc ! Pourrais-je savoir qui t'as permis de ça ?! Qui décide ici ?!
_Vous... avouais-je dans un souffle, tête basse et honteuse.
_Et pourquoi ?
_Parce que... Parce que vous êtes mes maîtres...
_Et toi, tu es... ?
_Je suis votre petite chienne, votre petite pute, messire mon maître.
Une nouvelle claque, flatteuse, vient heurter mon séant. Mes maîtres savent reconnaître ma dévotion, mais quand bien même, le fait est que je suis incroyablement frustrée, que mon sexe dégouline d'envie au point de maculer de nouveau l'intérieur de mes cuisses, que ma poitrine est si tendue de désir et d'envie qu'elle en devient douloureuse, que l'envie me tord tant les tripes que j'en viendrais presque à ramper sur le sol pour les supplier, les suppliquer – si cela se pouvait exister – de me défoncer par tous les trous. Mon souffle haletant ne les trompe par ailleurs pas sur mon envie dévorante, mais je sens et je sais bien qu'ils veulent jouer avec moi, me rendre plus folle encore jusqu'à ce que je n'en puisse plus. Que faudra-t-il que je fasse encore pour obtenir ce qu'ils m'ont promis, que faudra-t-il que je fasse encore pour sentir mon cul et mon sexe labourés de toutes parts, sentir dans ma bouche, mon entrejambe et mon anus, leur sperme couler et me souiller... ? Sans qu'ils ne me touchent, le désir dévorant qui me hante et la frustration me tirent des gémissements proches de couinements qui déclenchent, une nouvelle fois, le rire de mes maîtres.
_Eh ! Voilà qu'elle couine comme une chienne, mes amis ! Voyons voir si elle est aussi bien dressée ! Dit Alan en riant.
Saisissant ma chevelure, il me fait tourner sur les genoux afin que je leur fasse face. M'administrant une gifle qui fait siffler mes oreilles, comme pour me rappeler qui sont les maîtres, il m'ordonne, comme à une chienne :
_Assis !
Et, baissant une nouvelle fois la tête, je m'exécute, passant des quatre pattes à la station assise, les jambes repliées sous mes fesses.
Dans un ensemble parfait, les trois autres hommes se lèvent, sortant tour à tour leur membre durci, ils les pointent vers moi. Jamais je n'avais été encerclé de sexes, et cette première expérience est, après tout, loin d'être désagréable.
Ouvrant avec une quasi-religiosité la bouche, ma langue se tend et vient s'enrouler autour de l'un de ces membres tendus vers, et pour moi. Mes mains rampent le long de deux bassins et viennent s'arrimer autour de deux autres de ces virilités que j'entreprends de caresser avec une dévotion sans pareille. Je suis encouragée dans ma tâche par leurs soupirs rauques qui contribuent à m'exciter et c'est avec une euphorie galvanisante que je m'applique d'autant plus à leur prodiguer ce plaisir. Le quatrième de ce monsieur n'est pas en reste, même s'il ne peut avoir ni ma bouche ni mes mains, et ses doigts courent sur mon corps en même temps qu'il branle son chibre devant mes yeux, me faisant étrangement davantage saliver.
Du coin de l'oeil, j'aperçois la pauvre Alazaïs qui cherche encore et désespérément à se défaire de ses liens, tout autant qu'elle tente d'apaiser le feu qui semble dévorer son entrejambe en frottant ses cuisses l'une contre l'autre, les remontant vers son intimité, la frôlant...
N'y tenant plus, Lisiard agrippe ma chevelure, et me dresse sur mes jambes, encore chancelantes. Constatant qu'il ne pourrait faire son affaire sans me soutenir, il me pousse dans les bras d'Acelin. Ce dernier, sans ménagement, me soulève de terre et, faisant reposer mon dos contre son torse, tout en maintenant mes cuisses par en-dessous et écartées, il me présente ainsi au bon vouloir de son ami. Lisiard, un sourire absolument satisfait sur les lèvres, s'approche, queue en main.
C'est une véritable torture... De là où je suis et, en dépit de l'inconfort absolu de ma position – mes bras tirent sur mes épaules et mes trapèzes terriblement – je peux voir combien ce que subit ma collègue, quoi que minime comparé à ce qu'elle avait pris précédemment, l'excite.
Je peux voir, entre ses cuisses, commencer à descendre ce même fluide qui se répand entre les miennes. Mon souffle est court, haletant, et la frustration me ronge les entrailles. Mon sexe bat de chacune des pulsations de mon cœur, et j'ai beau me tortiller dans tous les sens pour tenter d'apaiser mon buisson ardent, rien n'y fait. Cette sensation irradiant de mon bas ventre semble contaminer et gangrener mon cerveau au point que je n'arrive plus à penser.
Mon cœur s'arrête alors que je la vois se faire soulever du sol par Acelin, offerte et ouverte à tous les désirs de Lisiard. Le gémissement qui franchit ses lèvres au même moment où il s'enfonce en elle tord une nouvelle fois mon être dans une envie dévastatrice. Ses yeux se voilent et je vois son bassin secoué avec violence par chacun des coups de reins qu'elle reçoit, sa bouche et ses sourcils se tordent dans une moue de plaisir indescriptible et indicible. Les deux hommes se relaient dans leur porté, permettant ainsi à l'un ou l'autre de laisser courir ses mains sur le corps d'Euldexa. Je la vois perdre pied petit à petit et je sens mes seins se raidirent davantage en les regardant faire. Mon sexe me brûle presque tant mon désir est ardent et ma poitrine devient carrément douloureuse car elle est plus tendue que jamais sous l'effet de l'envie.
Alors qu'Alan et Frameric restent assis et semblent se délecter du spectacle, je ne peux m'empêcher d'implorer une puissance supérieure d'intervenir en ma faveur pour que l'un d'eux, au moins l'un d'eux, viennent soulager mon tourment.
Je passe de bras en bras comme ils se passeraient un sac de grains... Un sac de grains qu'ils baisent, assurément. La verge de Lisiard s'enfonce toujours plus violemment en moi, comme s'il tentait de me déchirer en deux, de m'empaler véritablement sur ce sexe turgescent. Acelin me soutient la plupart du temps, ne se délestant de son fardeau que lorsque mon poids lui pèse un peu trop, mais cette position est peu favorable aux mouvements de son ami. Progressivement, je sens cet engourdissement si reconnaissable s'emparer de moi. Mes muscles se contractent et se tendent sans que je ne puisse rien contrôler. Je ne suis plus guère capable de reconnaître les mains qui m'assaillent, les coups de reins qui me secouent, les lèvres qui étreignent ma gorge, ma poitrine, ma nuque, ces ongles qui s'enfoncent ici et là... Mes yeux se révulsent malgré moi, je sens mon corps se détacher de lui-même. Mes mains agrippent des avant-bras, s'y crispent, tandis que mon visage se tord dans cette expression usuelle... Un cri déchire ma gorge tandis que mon corps se secoue de spasmes de plus en plus violents. Mes ongles égratignent la chair, et chaque spasme me tire un cri un peu plus fort. Mon sexe bat de la jouissance. Et la verge turgescente ne cesse ses allers et venues. Je jouis une nouvelle fois, sans même ressentir la fatigue des ébats précédents. Je sens mon propre fluide inonder mon sexe, la preuve incontestable de mon péché mortel. Mon dos se cambre et ma poitrine heurte celle de l'homme face à moi.
Tandis que je me remets doucement, et tant bien que mal considérant que les coups de rein ne cessent pas, de cet orgasme, je sens une verge appuyer contre mon autre entrée, cette autre entrée que je savais inviolée, et que je pensais inviolable quelques heures encore auparavant.
Ma conscience revient peu à peu et je réalise que ce que je sens derrière moi n'est autre que le sexe d'Acelin qui s'apprête à me donner de sa personne, afin que je ne sois pas en reste, de quelque côté que ce soit.
Je jouis presque de la jouissance de ma comparse. Son plaisir envahit la pièce comme un feu réconfortant, faisant écho au mien. Mes gémissements de souffrance se mêlent à ses cris de plaisir tandis qu'une nouvelle fois, je sens mon mont de Vénus s'enflammer, gronder et répandre de part et d'autre une lave translucide.
Acelin embroche mon cul sans ménagement. Mes yeux s'écarquillent alors que je tente de réaliser que deux verges me labourent. S'accordant à merveille, les deux hommes me labourent à tour de rôle : lorsque Lisiard s'enfonce dans mon sexe, Acelin se retire, et inversement. Cette sensation nouvelle me tire de nouveaux gémissements proches de cris indécents. Hilares, Lisiard inverse brusquement la tendance et décide de m'empaler en même temps que son ami. Cette fois, nul mot ne serait assez fort pour refléter ce que je ressens. Je ne sens plus ma poitrine tressauter et heurter le menton de Lisiard, je ne sens plus distinctement quel membre s'enfonce où, tout ce dont je parviens vainement à avoir conscience est cette indescriptible boule de chaleur étouffante prenant forme dans mon bas-ventre, le fourmillement étrange et électrisant remontant le long de mes fesses et de ma colonne pour exploser dans ma nuque.
Ses yeux se révulsent de nouveau tandis que son visage perd toute contenance. Son corps s'agite dans tous les sens, secoué de toutes parts, les bruits s'échappant de sa gorge deviennent de plus en plus animal, sa langue pend de sa bouche, la bave coule de la commissure de ses lèvres comme si elle devenait... elle devenait folle de sexe. Oui, une folle de bites, voilà à quoi elle ressemble précisément.
Avec un cri triomphant, Acelin me tire hors de la portée de son ami et me jette sur le sol. J’atterris avec un couinement de bête alors qu'il est déjà sur moi. Écartant sans ménagement chacune de mes fesses, il y replonge avec une brusquerie inédite. Je sens mon entrée si délicate frémir à chacun de ses passages. Goguenard, il se retire un moment, y passe deux doigts pour tester l'ouverture.
_Tu aimes ça, mh ? Dis-le. Dis-le, chienne !
_Oui, monseigneur, oui, j'aime ça !
_Qu'est-ce que tu aimes ?
_Que vous... que vous m'enculiez ! Reconnais-je pas même honteuse.
Avec un grognement animal et satisfait, il enfonce de nouveau sa lame dans ce nouveau fourreau. Ses pénétrations sont toujours plus violentes, toujours plus profondes et toujours plus rapides. Une petite flaque de bave se forme sur le parquet, à la commissure de ma bouche presque écrasée contre le sol.
Je sens enfin son chibre secoué de vibrations bien connues alors que ses grognements se font plus sourds et plus sauvages. Dans un tremblement viril, il déverse en moi sa semence.
Je sens mon cul vibrer de cette idée tout autant que de cette sensation. Je ne peux m'empêcher d'imaginer mon fessier blanchit de cette verge salvatrice et, presque malgré moi, je murmure, « encore, encore... ! »
Mais j'ai à peine le temps de terminer cette supplique que je suis jetée avec une violence sans pareille contre le corps d'Azalaïs, toujours clouée au mur. Je sens le sperme d'Acelin dégouliner de mes fesses, le long de mes cuisses. Le visage presque écrasé contre celui de ma collègue, incapable de voir qui m'a de nouveau attrapée, je peux discerner son regard apeuré et dans le même temps si envieux.
Lisiard, jaloux de voir son ami jouir avant lui, sans doute, saisit la pauvre Dexa par la nuque, l'arrachant sans autre forme de cérémonie à cette queue bénie des dieux. Il la plaque contre moi. Le regard de mon amie me trouble. Elle semble à peine conscience de ce qu'il lui arrive au fond de sa pupille brille une étrange lueur, une lueur de... folie. Ce regard achève de me convaincre que les verges de ces hommes ont quelques dispositions magiques. Par-dessus l'épaule de Dexa, je peux voir la face de Lisiard, tordue par une rage et un désir brutaux. De ses mains, il écarte le cul de ma collègue, et s'y engouffre sans difficulté, l'entrée facilitée par le foutre de son ami qui la macule. Les yeux de ma comparse perdent toute apparence humaine tandis qu'elle jouit comme une chienne, comme une vraie garce. Elle psalmodie des paroles dont la vulgarité, loin de m'effrayer, m'échauffe davantage. Elle l'encourage à lui défoncer le cul, à la prendre comme une bête, à la ravager et la bénir de sa semence salvatrice.
Je vois, petit à petit, Lisiard disparaître derrière l'épaule de Dexa alors qu'il semble améliorer son angle de pénétra...
Un cri s'échappe brusquement de ma gorge, bien malgré moi. Le fourbe salaud s'est ainsi déplacé de sorte à ce que je sens battre ses bourses contre mon clitoris à chacun de ses mouvements. Le sexe de mon amie écrasé contre mon bas-ventre je peux sentir ruisseler sur moi sa mouille de putain, tout autant que le foutre d'Acelin. Le mouvement du corps de Dexa, soumis aux allées et venues de son maître, contre mon corps, ainsi que les frappes violentes et répétées des bourses de l'homme contre mon intimité me rongent progressivement. Comme dépossédée d'elle-même, Dexa commence à me dévorer le cou et les seins. Ces lèvres chaudes, couvertes d'une salive brûlante ajoutent à mon délire. Il ne m'en faut pas davantage pour jouir à mon tour, vite rejointe par Lisiard qui ne peut visiblement pas tenir davantage en entendant les cris de deux femmes.
Alan s'avance vers nous alors que Lisiard est secoué des derniers spasmes de son orgasme. Posant une main sur l'épaule de son ami, il l'écarte du corps tremblant de ma comparse. Elle glisse sur le sol, toute gémissante. Elle n'a pas même la force de se relever et semble aussi molle qu'une poupée de chiffon. Son visage est méconnaissable. Les traits finalement détendus, son regard porte au loin, elle semble ailleurs, comme si les coups de reins répétés avaient fini par l'emmener dans un monde merveilleux. Une petite flaque de cyprine et de sperme se forme entre ses cuisses, sur le parquet, les fluides dégoulinant de part et d'autre de son corps. La langue pendante telle une chienne, elle gratte le parquet, comme pour se relever, ou en demander davantage, encore et encore... Ou bien peut-être veut-elle se relever pour recevoir son dû une nouvelle fois.
Alan me regarde en souriant. Il passe une main douce et caressante contre ma joue, la fait descendre le long de mon corsage déchiré laissant paraître ma poitrine tendue. Elle glisse encore le long de mon ventre et vient effleurer ma fleur, ce qui me tire un frisson assorti d'un petit gémissement. Son sourire s'élargit.
_Oh oui, tu aimerais bien, toi aussi, que nos glaives Salutaires purifient ton corps de pêcheresse, mh... ?
Je plonge mes yeux dans les siens avec un regard de coupable supplique. Pour toute réponse, il éclate de rire.
Avec habileté, il défait les liens qui me maintenaient au mur et un soupir de soulagement m'échappe lorsque je sens les muscles de mon dos, de ma nuque et de mes bras se relâcher. Il ne délivre pas, pour autant, mes poignets, qu'il maintient dans mon dos.
Sans se préoccuper de Dexa, qu'il enjambe négligemment, il me traîne par les bras jusqu'au centre de la pièce, où il me fait asseoir sur mes genoux, les pieds repliés sous mes fesses. Une petite tape sur la tête, comme s'il flattait un chien, me fait comprendre que je suis une bonne fille, et que je ne dois pas bouger. J'espère toujours qu'ils finiront par m'honorer à mon tour, d'autant plus maintenant que Dexa semble complètement hors d'usage... Mais il ne semble pas de cet avis. Traînant ma collègue par les cheveux jusqu'à moi, aidé de Frameric, ils la maintiennent au-dessus de moi, de sorte que j'ai une vision sans pareille sur le dessous de leur petite garce. Alan saisit Dexa par l'arrière, comme l'avait précédemment fait Lisiard. Il découvre son chibre et je tente d'y approcher ma bouche, mais Frameric me retient aussitôt par les cheveux, me tirant un couinement de frustration et de surprise mêlées. Alan sourit et enfonce sa queue si volumineuse dans le cul de mon amie. Jusqu'alors inerte et silencieuse, elle se cambre brusquement en se rattrapant aux épaules de Frameric, qui lui fait face. Levant les yeux, j'observe cette trique de chair empaler mon amie. Je suis aux premières loges et cette vue me fait saliver. Frameric toujours la main dans mes cheveux, pousse ma tête vers l'entrejambe de Dexa, avant de s'y frayer un chemin de sa verge turgescente. Me voilà la tête coincée sous Dexa, léchant bourses, sexe, anus, sans distinction, tandis que ces sacoches recelant cette précieuse semence heurtent sans ménagement mon visage. J'entends mon amie hurler, ne sachant plus que faire pour soulager ses tourments de plaisir. Je perçois le bruissement de ses ongles sur les épaules de Frameric, ceux de ses cheveux s'étalant dans le dos de Alan. Son corps cambré est scié en deux par ses deux entrées. Jamais elle ne les aura autant ouvertes.
Mon corps et mon esprit ne m'appartiennent plus. Je ne discerne plus rien sinon des éclairs blancs et jaunes, des éclairs éblouissants, à chaque fois que, d'une nouvelle poussée, ces hommes s'enfoncent en moi. Mon corps s'écarte à leur passage, les entoure d'une chaleur moite. Mon bassin se soulève à chaque fois qu'ils entrent en moi. Je peux sentir leurs verges se cogner au travers de la paroi séparant mes deux orifices. Mon cul se tend vers mon con, et inversement. Mon corps se tord. J'étouffe, je jouis, je meurs, je ne sais plus. Mon Dieu que c'est bon. Je ne sais plus où est l'envers, où est l'endroit, à qui sont ces épaules que je laboure de mes griffes, à qui sont ces queues bénies des Cieux qui me tronchent, à qui est cette langue qui va de l'un de mes trous à l'autre, de qui viennent ces cris perçants et dépourvus de toute dignité ou d'humanité. Je ne sais plus rien, et, dans un flash plus lumineux et éblouissant que les autres, je sombre finalement dans un noir absolu.
La suite des événements devient confuse. Frameric et Alan poursuivent leur œuvre avec une férocité sans pareille tandis que je m'applique toujours davantage à lécher, sucer leurs bourses, le con de mon amie... Attrapant l'une des jumelles de Frameric entre mes lèvres que j'entreprends immédiatement de contenter en suçotant, léchant, celles d'Alan viennent heurter ma joue avec une violence inouïe. Les cris de Dexa se perdent dans le tumulte de cet ébat incongru. Ce n'est que lorsque je sens les efforts des deux hommes redoubler que je réalise qu'elle s'est à demi écrouler sur eux, sans doute inconsciente.
Alan grogne à Lisiard et Acelin de venir les aider. Ils s'emparent du corps inerte de mon amie et je me retrouve face aux deux verges encore humides de ses fluides. Avant que je n'ai eu le temps de réaliser quoi que ce soit, avec un lourd grognement rocailleux, ils se vident de concert sur mon visage et dans ma bouche. Alan s'amuse à promener sa verge contre mon face afin d'étendre au maximum la substance.
Chacun des hommes remontent sa culotte et achèvent de s'habiller. Ils rient, se bousculent en se charriant, l'air satisfait. Leur mine sadique ne me repousse même pas, et j'espère toujours, en vain, qu'ils me prendront. J'essuie mon visage contre le tissu de ma robe déchirée. Me voyant faire, Lisiard se dirige à grand pas vers moi, me plaque le visage au sol et me traîne jusque là où Dexa se tenait quelques instants auparavant, me force à lécher le foutre et sa mouille, sa bave, qu'elle a répandu sur le parquet.
Satisfait, il rejoint ses amis qui l'attendent, goguenards, à la porte. Sans un mot, sans un regard de plus, ils sortent en claquant la porte derrière eux.
Je reste un moment, à moitié étalée sur le sol, sonnée. Je reprends peu à peu mes esprits et regarde autour de moi. On peut sans mal dire que c'est le bordel au bordel. C'est seulement à cet instant que je remarque Dexa, posée sur une cathèdre, dans une position improbable. Toujours inconsciente, je remarque alors que son corps est couvert de foutre, et rouge en plusieurs endroits où les claques se sont abattues, où les cordes l'ont emprisonnée.
Encore un peu tremblante et hagarde, je me lève et vais jusqu'à elle. Ahanant sous l'effort, je la traîne jusqu'au grand lit qui trône dans la pièce – et qui n'aura pas beaucoup servi... ! Je la couche du mieux que je peux, la recouvre d'un drap.
Les images de ce qu'il s'est passé ce soir défilent alors dans mon esprit. Le désir bondit en moi comme une bête sauvage qui aurait attendu longuement le moment d'attaquer. Mes tremblements redoublent, cette fois davantage dus à mon envie dévorante. Je lance un regard vers la porte, puis vers Dexa. Nul bruit. Nul mouvement.
Honteuse, je me glisse à ses côtés sous les draps et, gémissante et ruisselante, ma main finit par me donner ce que je désirais tant.
Enfin.