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Les alentours de la ville / Re : L'appartement de Naisho(Nycy)

« le: dimanche 15 mai 2011, 16:34:17 »

L'apprentissage n'était vraiment pas dur, peut-être par le fait que Naisho était un bon professeur ou peut-être par le fait que je sois douée d'une faculté d'apprentissage assez impressionnante grâce à des heures et des heures à écouter mon père me faire des cours sur tout et n'importe quoi. Voilà pourquoi je n'eus aucun mal à suivre les différentes lettres composant l'alphabet et étant à la basse de toute l'écriture et lecture. En fait, tout était juste qu'une association entre un signe et un son, donc pas grand-chose de vraiment compliquer et les mots qu'écrivait mon nouvel ami me paraissaient n'être qu'une association de signes représentant des sons. D'ailleurs, plus Naisho écrivait, plus j'étais sûre de cette impression.

Quant mon professeur finit par faire une pause pour aller chercher deux verres d'eau, j'en profitais pour lui piquer la feuille de papier et le crayon et commencer à reproduire les mots qu'il avait tracés. Cela me fut plus compliqué que je le pensais, le crayon que j'avais placé dans ma main droite me paraissait ne pas être à la bonne place mais une fois dans ma main gauche, il n'eut plus de problèmes et écrire ne fut pas compliqué, la seule chose ennuyeuse fut ma vitesse, pour faire un mot, il me fallait trois fois plus de temps que mon ami.

Après un ou deux essais qui me parurent assez bon, je me retournais vers mon compagnon qui était revenu et qui s'était assis à ma gauche et lui répondait :

-Je pense avoir compris tout pour le moment, les lettres sont des signes représentant un son. On peut les associer pour donner d'autres sons qui représentante qui représente les mots. En fait, c'est très simple. Sinon pour ton histoire de virgules, accents et autres, on verra plus tard. Pour le moment, je vais continuer à m'entraîner à reproduire les lettres et mots. Pour le reste, on verra demain. Si tu veux aller te coucher, vas-y, de toute manière, je ne vais pas veiller longtemps. Je suis fatiguée, il faut dire que cette journée a été riche en événement.

C'était en partie vraie, j'étais fatiguée, mais pas encore au point de m'écrouler. je pouvais tenir encore un long moment, mais je ne voulais pas forcer mon nouvel ami à veiller, surtout que je mettais trouvé une activité qui ne nécessitait pas absolument sa présence.

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Les terres sauvages / Re : Bataille à Honur [Pv : Hardos/Harmony]

« le: mardi 05 avril 2011, 23:56:45 »

De toute la fête qui eu lieu, je n'en sus rien, pour cause, la dépense d'énergie que j'avais effectué m'avait plongé dans un profond coma. Coma du quel je ne sortis que grâce aux soins d'un guérisseur mercenaire. En effet, les gens autour de moi, voyant que je ne me réveillais pas, demandèrent l'aide de cet homme qui venait, grâce à ses pouvoirs, de me tirer de mon long sommeil. Autour de moi, j'eus donc la surprise de voir mes grands-parents, le guérisseur, mais aussi l'homme qui m'avait aidé. Son nom mit du temps à me revenir, il semblait que même sorti du coma, je sois très faible, juste le fait de penser m'était difficile. Alors je ne vous dis pas pour parler, cela me fut impossible, j'entendais les gens parler autour de moi, mais je ne pouvais pas réagir. La seule chose que je pouvais faire était bouger les yeux.

-Ne tentez rien Nycy, vous êtes en sécurité et vous et Hardos avaient sauvé le village. Le seul problème est que vous avez trop puisé dans votre énergie. Sans soins, vous auriez été condamné et encore, même avec, il n'est pas sûr que vous surviviez. Alors si vous voulez avoir une chance de vivre, il va falloir m'écouter. Actuellement, vous n'êtes pas en état de manger, alors je ne parle même pas de bouger ou autre. Juste respirer et encore, cela difficilement, donc ne tentez pas de parler, pour le moment reposez-vous, mon compagnon guérisseur et moi-même vous fournirons l'énergie nécessaire pour que vous viviez le temps que votre corps se revitalise, alors ne gaspillez pas cette énergie pour tenter de vous lever ou autre. Si vous avez compris, clignez une fois des yeux.

J'avais compris, le seul truc, c'est que cligner des yeux fut pour moi l'un des plus difficiles efforts que je n'eus jamais du faire dans ma vie. Jamais je n'aurais cru que quelqu'un puisse devenir aussi faible, tellement faible qu'après mon effort, je me rendormis aussi sec. Mon sommeil dura pendant un long moment et dans les rares moment ou je reprenais conscience, il y avait toujours un guérisseur qui était penché sur moi. A chaque fois, il me faisait un résumé de mon état et me rassurait en me disant que mon état s'améliorait, c'était peut-être vrai, mais ces améliorations, si elles existaient vraiment, étaient vraiment minime, négligeable même. Cependant, au bout de ce qui me parut presque une année, alors qu'il ne s'était écoulé qu'un mois, je repris enfin connaissance par moi-même.      

Pourquoi je dis par moi-même, tout simplement car il n'y avait personne autour de moi, seul Hardos était présent, ce dernier était en train de se reposer ou en tout cas, il avait les yeux fermés. Pas de soigneur penchait sur mon corps, personne qui me tenait la main, de plus, je pouvais enfin bouger, certes avec difficulté, mais je pouvais bouger la tête. Cependant, les directives du guérisseur me revinrent en mémoire, ne pas tenter de bouger tant que je n'avais pas complètement récupéré, mais après tant de temps passé sans communiquer, la tentation de parler avec quelqu'un était grande. Tellement grande que finalement, après une bonne minute à peser le pour et le contre, je prenais la parole, l'envie de savoir qu'elle était la situation du village, qui était mort et qui était vivent, si la reconstruction du village avançait vite ou s'il y avait des difficultés. En bref l'envie de savoir ce qui se passait autour de moi.

-Hardos, Hardos, réveillez-vous s'il vous plait.

Même si j'arrivais à parler, ma voix était trop faible pour être entendu par quelqu'un qui était au royaume de Morphée et cela me frustra tellement que je fis des pieds et des mains pour me lever et cela fut une grave erreur, surement la pire que je pouvais faire car à peine je sortais du lit et tentais de me mettre debout, je m'effondrais au sol dans un grand fracas. Même si j'allais mieux, je n'étais pas encore suffisamment forte pour me tenir debout. En tout cas, j'avais réussi à réveiller Hardos, le seul truc, c'est que j'avais peut-être ruiné toute la longue convalescence que j'avais eu avant.  

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Les terres sauvages / Re : Le danger est partout [Pv Don]

« le: samedi 02 avril 2011, 19:01:31 »

Ainsi Dorian Garan était un marchant qui vendait toutes sortes d'articles, plantes rares, alimentations venant d'autres contrés, armes, étoffes, métaux, même des pierres précieuses et des livres, voilà qui était plus qu'intéressant. En plus qu'il me proposait de prendre un objet parmi sa cargaison pour me remercier de l'avoir sauvé, voilà qui était généreux de sa part.

-Ainsi vous êtes un négociant qui vient marchander chez les elfes, vous avez encore du chemin à faire alors car les territoires elfes sont de l'autre côté de la montagne, il n'y juste qu'une quinzaine d'elfes à Honur, peut-être que l'un dans eux vous servira de guide pour la suite de votre voyage. En tout cas, vu tout ce que vous vendez, je suis sûre que vous trouverez des clients dans Honur, sauf pour les pierres précieuses, à Honur, personne n'est suffisamment riche pour vous en achetez. Maintenant, je comprends pourquoi les bandits vous ont attaqué, avec une telle marchandise, vous ne pouviez que les intéresser. Et puis, c'est vraiment gentil de votre part de me proposer un objet, mais vous devriez faire cette offre à Endiriel. C'est lui qui a remarqué que l'on vous attaquait.

De plus, je n'avais personnellement pas besoin de quelques choses ce qui n'était surement pas le cas de l'elfe. Peut-être que le marchant aurait une arme qui lui plairait et puis comme je le disais, pour moi, la personne qui méritait récompense était Endiriel. Personnellement, je n'avais fit que lancer une boule de feu, ce qui, pour moi, n'était pas grand-chose. Enfin bon, maintenant, il ne restait plus qu'à attendre que mon ami revienne avec des chevaux, d'ailleurs, en y repensant, il allait devoir prendre tous les chevaux du village pour que l'on puisse déplacer toute la caravane. Enfin bon, cela n'allait pas trop être difficile, en leur disant que c'était pour aider une caravane, tout leurs possesseurs les prêteraient de bonne grâce, tout cela dans l'espoir d'avoir une réduction auprès du marchant.

-Monsieur Garan, je peux vous demander où vous achetez ces marchandises et d'où vous venez. Je vous pris de me pardonner mais je suis curieuse de tout et comme c'est la première fois que je peux parler longuement avec un marchant, je me permets de le questionner. Bien sûr, si cela vous gène, dite le moi et j'arrêterais de vous poser des questions. On m'a très souvent dit que j'étais encore plus curieuse qu'un pot de chambre alors je comprendrais que je vous agace.

Si je continuais à questionner Dorian, c'était certes parce que j'étais curieuse de son métier, mais c'était aussi pour passer tout simplement le temps, le temps justement que mon compagnon elfe revienne avec les chevaux.

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Les terres sauvages / Re : Le danger est partout [Pv Don]

« le: vendredi 01 avril 2011, 16:59:04 »

Apparemment, il y avait encore des survivants, presque la moitié des personnes qui avaient composé la caravane en à juger par le nombre de personnes qui se montraient et le nombre de cadavres à terre. De toutes ces personnes qui composaient la caravane, une seule attira vraiment mon attention, c'était un grand homme de près deux mètres de haut et battit comme un roc. Une montagne de muscle à la peau bronzée et aux cheveux noirs, mais ce n'est pas cela qui attira le plus mon attention, à la manière dont il s'avança et pris la parole pour nous remercier de notre aide, il se montrait comme chef de cette caravane. Voilà ce qui m'étonna le plus, avec son physique, il m'aurait plus fait penser à un garde du corps qu'à un marchant. Comme quoi, comme le disais mon père, il ne faut pas se fier aux apparences. Cet homme qui me faisait penser à une grosse brute devait être en fait intelligent, en tout cas suffisamment pour faire ce métier. Cet homme donc, Dorian Garan, nous demanda nos noms et c'est en toute hâte que mon compagnon elfe répondit à sa demande, serrant avec entrain la main que lui tendait le négociant.

-Je me nomme Endiriel Loucyan et cette jeune fille est Nycy, fille du phénix qui habite sur la montagne que vous pouvez voir là-bas. Et pour répondre à votre question, Nycy n'est pas une magicienne, elle maitrise que le feu, mais à ce jour, je n'ai rien vu qui résistait à ces flammes, surtout quand elle est énervée.

L'elfe avait dit cela avec un petit rire et en faisant un grand sourire qui mettait destiné, pour ma part, je ne faisais qu'un petit sourire en réponse et lançait, tout en descendant du cheval :

-Merci Endiriel, mais tu sais, je suis suffisamment grande pour me présenter toute seule. Enfin bon, maintenant que les présentations sont faites, tu pourrais retourner au village et allait chercher quelques chevaux supplémentaires, histoire de les atteler aux caravanes de Monsieur Garan pour qu'il puisse mettre ses marchandises à l'abri dans notre village. Moi je reste ici, aux cas improbables que d'autres bandits montrent leur nez.

Sur un hochement de tête, l'elfe salua une dernière fois le marchant et sans plus de formalité, repartit au petit trop en direction d'Honur. Pour ma part, je me retournais vers le marchant et sans plus de cérémonie, commençais à le questionner, ma curiosité maladive arrivant au grand galop.

-Alors Monsieur Garan, que venez-vous vendre qui pourrait intéresser les gens qui vivent dans les terres sauvages. En tout cas, quoique ce soit, vous avez du courage parce que presque aucun marchant n'ose venir dans ces lieux si inhospitalier. Surtout qu'ici, les gens ne sont pas très riches alors vous devez surement passez par plusieurs villages pour écouler tout votre stock non ?

Et voilà, à peine avais-je rencontré Dorian que je commençais par l'harceler de questions mais que voulez-vous, je suis curieuse.

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Blabla / Re : Horloge parlante

« le: mercredi 30 mars 2011, 23:35:14 »

Certains doivent être déjà entrain de dormir, d'autres travaillent à te faire une réponse ( d'ailleurs tu l'auras surement demain car là, j'ai le cerveau en compote, j'ai mal dormir hier).

Donc je ne peux que te conseiller de patienter.^^

23h34

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Blabla / Re : Horloge parlante

« le: mercredi 30 mars 2011, 21:14:45 »

Bof, il est gentil le feu, par contre un violeur terroriste heu........

*saute de la boule de feu.*

Bon je vais rentré chez moi, les gens d'ici sont trop dangereux.

21h14

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Blabla / Re : Horloge parlante

« le: mercredi 30 mars 2011, 20:18:00 »

*voit un type bizarre arrivait sur une boule de feu*

Oui, lui c'est un gentil, je l'ais vu la dernière fois, il a fait comme mon papa, il s'est immolé.

*saute sur la boule de feu*

En avant !

20h17

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Blabla / Re : Horloge parlante

« le: mercredi 30 mars 2011, 19:51:36 »

*Ni comprend plus rien*

Euh ben merci madame alors.^^
 
*saute du dos d'Harley et cour à côté d'elle*

19h51

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Les terres sauvages / Re : Bataille à Honur [Pv : Hardos/Harmony]

« le: mercredi 30 mars 2011, 19:49:22 »

Bien, mon compagnon semblait sûr de pouvoir nous amener au beau milieu de la masse ennemie. C'était une bonne chose, car plus le temps passez, plus les mercenaires faiblissaient, pour preuve de ce que j'avançais, il venait d'y avoir un mort parmi eux, hors, depuis le début de la bataille, il n'avait encore aucune perte, de plus, j'entendis un des soigneurs criait à ces compagnons qu'il n'avait quasiment plus d'énergie pour les soigner. Alors oui, notre situation était catastrophique et il nous fallait vite agir car je le sentais, notre action ou notre inaction déciderait du sort de la bataille. Mes dires nous glorifiaient Hardos et moi, mais de ce que j'avais pu voir, c'était moi qui avait la plus grosse puissance magique et c'était lui le meilleur guerrier. Je ne pouvais donc pas me permettre de rester dans l'auberge pour me reposer si ce n'est-ce que quelques secondes de plus comme me l'avait proposé Hardos. J'avais choisi d'ignorer sa proposition, ne préfèrent même pas répondre car hélas, j'étais encore très lasse et une petite heure de sommeil m'aurait fait le plus grand bien mais bon, je devais aider les combattants, quittent à me mettre en danger. Voilà pourquoi, une fois que celui qui allait jouer le rôle de mon garde du corps fut près, je le suivis à travers la horde de créatures.

Pendant que nous avancions, je pus voir que mon compagnon avait subi quelques transformations physiques mineures, ces transformations se firent surtout aux niveaux de ses yeux, leurs pupilles se fendirent à nouveau et ils reprirent la teinte rougeâtre qu'ils avaient au moment où Hardos m'avait secouru. Apparemment, ils ne prenaient cette apparence que pendant les combats, c'était une chose intéressante qui attisait ma curiosité, si nous survivions à la bataille, il fallait que je l'interroge.  Cette marque de curiosité que j'eus pour Hardos faillit me couter la vie car alors que je faisais plus attention à mon compagnon qu'aux monstres, un me sauta dessus par surprise mais heureusement, mon sauveur veillait et le cueillie en plein vol par un superbe coup de poing qui l'envoya voulait au loin dans un nuage de fumée noire qui semblait venir du corps de la créature, voilà encore un autre truc bizarre qu'il fallait demander à Hardos. Enfin pour le moment, il fallait que je reste concentré pour ne pas gêner mon compagnon et pour ne pas me faire bêtement attraper. Surtout qui fallait que je résiste à l'envie d'aider mon compagnon par de petits langues de flammes, l'envie était forte mais il fallait que je garde toute mon énergie pour l'attaque que je contais effectuer plus tard, le moment arrivait et il ne fallait pas le gâcher. Voilà pourquoi je suivais Hardos impuissante, cependant, autour de nous, la température commençait à monter en flèche et mes yeux, devenus rouges, annonçais l'arrivée de la tempête.

C'est pour cela que dès que mon compagnon m'annonça que c'était le moment, je lui fis signe que j'avais compris de la tête et sans dire un mot, me collait contre lui. Cette action était faite dans le but de le protéger, car dans la seconde qui suivait, nous étions au centre d'un malstrom de flammes qui ravagèrent tout sur leurs passages, réduisant instantanément maison et monstres en cendre, seul le grand montre résistât à cette attaque. Cependant, il ne sens tira pas indemne, tout son corps était couver de cloques et il hurlait de souffrance. Pour ma part, je m'effondrais au sol et dans un dernier effort de volonté qui me coûta mes dernières réserve d'énergies, je détournais mes propres flammes du chemin de l'auberge. Tout autour de moi, il n'y avais que cendres sur près d'un demi-kilomètre, seul Hardos, les mercenaires, l'auberge, le monstre et moi contrastaient avec ce paysage et c'est sur cette vision que je perdis connaissance.   

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Blabla / Re : Horloge parlante

« le: mercredi 30 mars 2011, 19:44:17 »

Youpi, un sauveur !!!!

Euh, merci Monsieur. Vous pouvez me lâcher maintenant. Il faut que je retourne chez moi^^

19h44

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Blabla / Re : Horloge parlante

« le: mercredi 30 mars 2011, 19:39:04 »

*Prend son air le plus Kawaï possible*

Au secours, on m'enlève !!!!

19h38

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Blabla / Re : Horloge parlante

« le: mercredi 30 mars 2011, 19:32:14 »

Hé, mes belles flammes, fallait pas les éteindre.

Et avant de vendre mon âme, je demande un avocat, si la pyromanie est punie par la loi, j'ai droit à un procès équitable et dans les règles. J'ai raison non, Monsieur le procureur^^

*regarde les tentacules qui l'enferment et se demande comment sortir de là.*

19h32

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Blabla / Re : Horloge parlante

« le: mercredi 30 mars 2011, 19:24:43 »

*Arrive en courant sur l'horloge, met le feu partout et repart en courant*

Voilà, bêtise accomplit.^^

19h24

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Les terres sauvages / Le danger est partout [Pv Don]

« le: mercredi 30 mars 2011, 00:11:22 »

-Nycy, Nycy, vient vite, on a besoin de ton aide, des brigands attaquent une caravane de marchants qui se trouvent non loin de la ville.

Cette phrase, énonçait par un chasseur elfe, résonna dans le silence de l'auberge où je me tenais en compagnie de mon grand-père. Vous me direz qu'une taverne silencieuse c'est rare, et bien pas à Honur, surtout quand nous étions au beau milieu d'un après-midi particulièrement chaux. Dans des après-midis comme cela, les gens du village faisait la sieste et c'est pour cela qu'à par moi, mon grand-père et l'aubergiste, il n'y avait personne.

-Très bien, j'arrive, grand-père, on reparlera de maman plus tard.

En effet, si je me trouvais à l'auberge avec mon ainé, c'était pour parler de ma mère car il n'y avait qu'avec lui que je pouvais en parler, dès que j'évoquais ma mère devant ma grand-mère, cette dernière fondait en larmes et il était impossible de lui parler et pour mon père, et bien il se fermait complètement et ne disais plus aucun mot jusqu'à que je change de sujet. Autant dire que quand j'avais remarqué que mon grand-père devenait bavard avec l'alcool, je n'avais pas hésité à le pousser à boire pour qu'il me parle enfin de sa génitrice. J'avais appris d'ailleurs pas mal de choses sur cette dernière mais bon, je ne suis pas là pour vous parler de ça.

Je suivais donc le jeune elfe jusqu'au portes du village et sans un commentaire, je montais à la suite du chasseur sur son cheval qu'il fit partir d'un coup de talon au calot. Personnellement, je ne pensais pas que nous arriverions à temps pour défendre les marchants, même si l'elfe poussait à font sa monture, les brigands auraient quand même tout le temps de tuer les marchants et de filer avec leurs marchandises. Hormis, bien sûr, si les commerçants avaient suffisamment de gardes pour les retenir, ce qui, j'espérais pour eux, était le cas.

Hors, je ne me trompais pas, les marchants avait des gardes car quant nous arrivâmes enfin sur place, je pus voir une dizaine de morts et du côté de la caravane comme du côté d'un regroupement de rochers, je pouvais voir des flèches s'élevaient pour retomber inefficaces au sol. Les seuls dégâts de ces flèches étaient d'avoir tués les cheveux des caravanes, ce qui étaient en soit très idiot mais bon passons, je n'étais pas là pour juger des capacités mentales des bandits, j'étais là pour les éliminer. Ce que je fis donc en lança une énorme boule de feu dans la direction des rochers, cette dernière, particulièrement puissante, fit littéralement explosé les rochers et les pauvres êtres qui si trouvaient furent réduis en quelques secondes en cendres.       

Une fois cela fait, je me laissais aller contre le dos du chasseur car le contre coup de cette boule se faisait ressentir, cependant, j'étais encore alerte, certes cette boule de feu était importante et m'avait vraiment fatigué, mais je pouvais encore en lancer une dizaine de ce types avant de m'effondrer. Enfin bon, après que j'eus accomplis ma tâche, l'elfe nous rapprocha de la caravane qui semblait quand même bien touché.

-C'est bon, vous pouvez-vous détendre, le danger est passé, vos adversaires ne sont plus que cendres : criât ce dernier.

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Blabla / Re : Horloge parlante

« le: mardi 29 mars 2011, 22:27:18 »

Oh, une autre personne qui fait comme mon père !

*Court vers la torche vivante*

22h27