Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Lucie

Pages: [1] 2
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Le quartier de la Toussaint / Au bord du caniveau (PV Diane)
« le: mercredi 19 janvier 2011, 21:52:40 »
Sur un grand tabouret trônait un vase en porcelaine. Il avait été peint en bleu, des motifs aux formes de tulipes rouges étaient gravés sur toute sa surface. Une très légère fissure zébrait sur l’un des rebords du vase, prouvant que celui-ci avait fait son temps. Mais il persistait encore à résister, à survivre, à garder son utilité première : celle de contenir des fleurs blanches en plastique.

Un bruit de cassure éclata dans la pièce. Du vase précieux, il n’en restait que de multiples morceaux épars qui vinrent s’écraser contre le mur. L’une des fleurs répandues à terre s’était brisée en deux sous le tranchant de la lourde machette. La petite Lucie poussa un hurlement de rage avant de laisser l’arme du diable s’abattre sur le tabouret. La pointe e l’objet transperça le meuble, se retrouvant ainsi coincé dans le bois verni. Malgré sa colère inexpliquée, tel un volcan furieux qui vomissait sa lave en fusion, la jeune enfant eu un mal de chien pour dégager sa machette du petit trône. Lorsqu’il y parvint enfin, elle se mit en devoir de démembrer à jamais le tabouret. Elle abattait son arme dessus, frappait de manière désordonnée, faisait craquer ses membres de bois, le réduisait en petit morceaux déformés.

De la même manière, la jeune Lucie entrepris de détruire une foule d’autres objets de son grenier. Son sol était jonché d’un millier de cadavres, allant du livre déchiré à un piano réellement méconnaissable. Lorsque l’enfant eu fini son office, sa lourde machette s’échappa de ses mains pour tomber sur le plancher d’un tintement métallique sonore.

Qu’est-ce que cela pouvait faire du bien… Détruire tout ce qu’elle trouvait dans son grenier était là la meilleure manière que l’enfant avait trouvé pour pouvoir laisser passer sa colère dévastatrice. Lucie essuya son front trempé de sueur d’un revers de la manche de son pyjama, haletante, le souffle court, le cœur battant. Sa colère avait fondu comme neige au soleil. Seul persistait désormais un grand vide dans le creux de son ventre.

Satisfaite, se sentant calmée pour quelques heures, Lucie tourna la talon et ouvrit la porte du grenier d’un grand coup de pied, ce qui lui valu un petit gémissement de douleur. Elle descendit au salon et se rendit de là jusqu’à sa chambre. Lorsqu’elle eu franchit les portes de sa demeure, éternellement vide de vie depuis près de deux ans, Lucie était habillée et lavée, les cheveux encore trempés, formant un masse sombre sur le haut de sa tête.

Au dehors, il faisait froid. Le vent s’était levé, mordant sa chaire encore détrempée par l’eau de la douche. Quelques nuages grisâtres parsemaient la voûte… mais cela ne sentait pas la pluie pour autant. Cela sentait plutôt la moisissure du début de l’Automne, tandis que les arbres commençaient à perdre leur chevelure rousse et jaune.

Marchant le long d’un trottoir vide de vie, n’accordant pas le moindre coup d’œil aux maison qui la jalonnaient. Lucie se massait le poignet car une vie et détestable douleur irradiait son muscle. Elle serrait les dents à s’en casser la mâchoire, furieuse de s’être ainsi fait mal bêtement.

Aujourd’hui, beaucoup étaient partis pour les longs jours ferries qui se succédaient, suite à d’anciennes grèves générales. Il n’y aurait pas de ces saletés de gens qui polluaient la ville et les trottoirs ! Les magasins seraient fermés ! Les écoles aussi ! Il n’y aurait pas de ces crétins de gosses qui riaient et jouaient stupidement, se frappant en rigolant, se donnant des claques, jouant bêtement à chat !

La jeune enfant souffla, le regard rivé sur le caniveau. Le caniveau était salle… Il y avait une canette de boisson gazeuse égarée… Et les mégots avaient éclos comme d’écœurantes fleurs. Les gens ne pouvaient-ils par être plus soigneux ? Qu’est-ce que cela pouvait l’énerver tout ça !

Lucie sentie une ombre passer à côté d’elle. Son sang bouillant palpita à ses tympans.

-Tu as un problème toi ?

2
Le coin du chalant / Re : quand on ne trouve pas de titre <3
« le: dimanche 16 janvier 2011, 23:46:37 »
Ah vi, je veux bien pour vous deux <3 ça serait chouettos.
Ca peut etre interessant ça, quoique cela soit plus d'ordre de la malédiction que du pouvoir… Mais j'aimerais bien voir ce que cela donne

3
Le coin du chalant / quand on ne trouve pas de titre <3
« le: dimanche 16 janvier 2011, 21:19:37 »
J'aimerais reprendre sur de bonnes bases… Histoires de m'inspirer pour mes futurs topics, j'aimerais là un RP d'entrainement qui n'a pas besoin d'avoir de crédibilité en particulier =3 A savoir qu'il peut se passer sur Terra ou Terre

Sujet du topic=> Je n'en n'ai pas la moindre idée… Histoire de vous donner des envies, ma petite Lucie est soumise chaque jour un pêché différent avant de mourrir en fin de journée. Pour plus d'informations lisez ma fiche. Voici donc vos possibilité <3
-Avarice
-Colere
-Envie
-Orgueil
-Gourmandise
-Luxure
-Paresse

Nombre de participants=>Vu que je débute, il ne vaut mieux pas aller au dela de un = (
Trame=>Ce que vous désirez, mais j'aimerais quelque chose de spécial… Un peu violent, morbide si vous le désirez, psychologique, fantaisiste, tout ce qui s'éloigne de l'habituel dans une ville de la Terre.
Qualité de post=> A partir d'une dizaine de lignes ça serait bien. En dessous, je n'arrive pas beaucoup à trouver l'inspiration = s

J'espère pouvoir trouver des participants ou participantes

4
Le coin du chalant / Re : Déesse de la luxure (cherche toujours)
« le: vendredi 14 janvier 2011, 19:10:59 »
Tu as bien raison! C'est l'intention qui compte en fait? Je suis plein de bonnes intentions = D
Alors je peux je peux je peux? dis vi, je ferais de mon mieux <3

5
Le coin du chalant / Re : Déesse de la luxure (cherche toujours)
« le: jeudi 13 janvier 2011, 23:12:22 »
J'aimerais bien essayer, pour me parfaire au rp <3 Mais je ne sais si j'ai les competences, le personnage et la qualité de post qu'il faut pour cela = s

6
Le parc et son sous-bois / Re : La forêt du Diable (PV Zekreet)
« le: mercredi 22 décembre 2010, 11:41:52 »
Une odeur de champignon  flottait dans l’air, mêlée au parfum des feuilles en décomposition. Completés par l’émanation terreuse qui provenait du sol, cela donnait le parfait arôme des bois. Lucie ce concentra sur ses odeurs, respirant à plein poumon. Etrangement, elle se mit à songer au Phallus Impidicus, le fameux champignon ressemblant à un pénis masculin. Elle se gifla violement la joue, s’insultant intérieurement de toutes les manières possibles et grattant furieusement l’écorce du chêne sur lequel son dos reposait. Respirer la forêt… Surtout… Après tout, ça sent bon, la forêt, n’est-ce pas ? Si si, cela sent royalement bon…  Un bonheur pour les narines frémissantes… Non, en réalité cela sentait incroyablement mauvais ! Sans compter qu’elle respirait maintenant une toute nouvelle odeur qu’elle n’avait pas repéré jusqu’à présent.

On aurait comme du souffre… Ou une étrange odeur de brûlée. Pas celle du charbon qui empeste, mais bien celle qui provient du bois doux en flamme. Oui, cela sentait quelque chose de ce type là. La respiration de Lucie ayant retrouvé un rythme régulier et simple, elle poussa un gigantesque soupir, tirant sa robe sur ses jambes pour ne pas céder une nouvelle fois à l’occasion qui lui chatouillait l’entre-jambe. Qu’est-ce qu’elle pouvait détester le Samedi… Lorsqu’elle entendit LA voix, la jeune enfant poussa un petit cri de surprise et se redressa, ses sandales glissant sur la terre boueuse. Elle dérapa et se retrouva de nouveau sur les fesses, manquant de se blesser sur sa machette restée à terre. Immobile et attentive, le cœur battant, Lucie ne répondit pas à LA voix, attentive au moindre frémissement.

Elle semblait être venue de nulle part, caverneuse. Mais la jeune enfant ne voyait rien… à part le noir complet et la silhouette inquiétante des autres arbres de la forêt. Non… C’était grotesque. Elle avait peur voilà tout. Son esprit imaginait encore d’horribles choses ! Elle devenait folle, tout simplement… Alors, elle senti comme d’infimes secousses, comme si le sol tremblait. De nouveau inquiète, Lucie cligna des yeux et regarda aux alentours. Alors la voix, plus proche que jamais, éclata une nouvelle fois dans la forêt, faisant hurler de peur la pauvre enfant effarouchée.

- A moins que tu ne te sois réservée pour un partenaire ?


Lucie mit aussitôt la main à son arme, la ramassa, se releva avec, et décampa sans demander son reste, patinant sur la terre humide. Son corps rencontra une structure qu’elle n’avait pas vu, alors qu’elle s’écrasait en arrière, sur le dos, sa lame toujours bien serrée dans le creux de sa main. Lucie massa sa joue endolorie et leva les yeux sur ce qu’il l’avait fait tomber. Alors, sa bouche s’étira de stupeur et de peur, ses yeux s’agrandir de terreur. Si c’était un homme… Il était gigantesque… et monstrueux ! Sa tête n’avait rien de la tête des autres humains ! Sa peau non plus ! Ni ses cheveux mêmes ! Et quelles quantités de muscles saillants, dont les formes s’étalaient dans le noir, menaçantes. C’était l’homme le plus grand et le plus effrayant qu’elle avait vu jusqu’à maintenant ! La peur au ventre, elle en avait complètement oublié sa libido qui frappait pourtant avec impuissance contre l’entrée de sa grotte en ébullition.

Lucie se remit droite sur ses pieds, sa machette pointée vers l’incroyable créature des ténèbres, inquiétante et pourtant bien insignifiante devant cet amas de forces et de puissances. C’était impossible… Elle ne pouvait pas mourir aussi tôt le Samedi ! Ca n’était encore jamais arrivé, le jour ne s’était pas même levé encore !

-Qu’est-ce que vous êtes ! Un monstre ? Vous allez me tuer et me manger ? Vous allez me torturer ?

Vint droit au but la pauvre petite maudite qui était désormais habituée à la violence… Mais jamais avec un homme de ce gabarit là. Non jamais. Les jambes tremblantes, elle eu ce désir soudain de décamper. Mais elle ne se sentait pas dans la capacité de tourner le dos à l’imposante créature.

7
Prélude / Re : Lucie [VAL.]
« le: mardi 21 décembre 2010, 18:42:35 »
Gracias very much, Chère Leiah N, Mor Maëlys… Je me donne pour défi de retenir ton prénom par coeur xp

8
Le parc et son sous-bois / La forêt du Diable (PV Zekreet)
« le: mardi 21 décembre 2010, 14:55:17 »
Lucie se réveilla en sursaut, le visage trempé d’une fine couche de sueur salée. Ses cheveux, en bataille, collaient à son visage et certaines mèches se perdaient dans la commissure de ses lèvres, comme pour abreuver la jeune fille de cette substance poisseuse et gluante. Encore sous le choc, épouvantée, la pauvre enfant calla son dos contre l’oreiller de son lit et ramena ses genoux vers elle, ses bras enlaçant ses jambes tremblantes.
Elle haletait, essayant tant bien que mal de reprendre sa respiration. Mais elle haletait, inspirant tout en poussant de petits sifflements aigus. Quel horrible, quel infecte, quel épouvantable cauchemar ! Du moins, cela ressemblait à s’y méprendre à un cauchemar. Instinctivement, Lucie releva le haut de son pyjama et tâta son ventre chaud, comme pour vérifier si celui-ci était de nouveau intact. Sa peau était douce et tendre, quoi que tout aussi poisseuse de la sueur de sa peur. Elle sentait encore ses petites choses internes se déverser hors de son abdomen, comme jaillit d’un paquet-surprise.
C’était ce qu’elle détestait le plus : quand l’agonie était long et douloureux.
Les odeurs familières de sa chambre chatouillant ses narines palpitantes, son cœur ne tarda pas à reprendre un rythme à peu près convenable.
Quel jour était-on, déjà ? La petite Lucie tourna la tête vers le réveil matin de sa commode, qui annonçait Minuit 35. Aujourd’hui était samedi. Samedi ? Lucie se mordit les lèvres, le regard embué. Le samedi… C’était le jour qu’elle détestait le plus… Et déjà, elle sentait comme de très légers fourmillements dans le bas-ventre.
-J’y crois pas… chuchota t-elle. Ca va encore recommencer !
Tenter de dormir de nouveau ne servirait à rien, elle avait déjà tenté cela les samedis derniers : Elle était toujours réveillée par cette horrible pulsion qui lui faisait alors faire n’importe quoi. Et elle n’était absolument pas en sécurité dans sa chambre ! Il était encore tôt, elle pouvait déjà s’enfuir loin des gens pour tenter de résister à cette insupportable tentation.
Très vite sur pied, Lucie se dirigea vers une chaise près de l’unique fenêtre de sa chambre. Sur le dossier reposait, comme toujours, ses vêtements propres, pliés et dans un état impeccable. Elle ôta ses vêtements de nuit qu’elle jeta à terre avec désintérêt, enfila sa petite culotte et ses collants, se glissa dans sa robe, se chaussa et se chapeauta. Elle hésita devant la machette que le diable avait la bonté de régulièrement lui laisser en début de chaque journée. Finalement, elle s’en empara et franchit le seuil de sa chambre. L’enfant dévala les escaliers de sa maison, éternellement vide depuis « l’accident » et se précipita hors de chez elle, laissant la porte grande ouverte.
La rue ne laissait apercevoir aucune jeune âme vivante. Mais ce n’était qu’une impression, elle savait ce qui rodait dans les couloirs de la ville. Elle devait s’échapper en forêt ! Marchant à petits pas rapide, préférant l’obscurité pour éviter que la lumière des lampadaires ne se reflète sur la lame aiguisée de la machette, Lucie prit le chemin du parc. Elle marcha de longues minutes, tandis que le pavé devenait petits cailloux avant de se transformer en sentier droit puis en herbe fraiche couverte de rosée. Là, elle s’appuya contre un arbre, les dents serrées, une main glissée sous sa robe pour tenter de calmer ses pulsions. Elle sentait déjà les fourmillements se transformer en petites chaleurs intenses, tandis que le fond de son sous-vetement s’assombrissait.
-Respire, Lucie… Respire… Ce n’est pas toi ! Ce n’est pas toi… Ca va se calmer si tu fais attention… Mais respire… Calme toi… Voilà… Voilà…
Et effectivement, sous ses propres encouragements, la chaleur se mit à décroitre lentement, nullement appâtée par quelques créatures qui auraient servi à assouvir ses besoins fondamentaux. En vérité, quelque chose d’autre l’inquiétait, lui faisant penser à autre chose : Elle était belle et bien seule, perdue dans une forêt noire et sombre. Et elle détestait le noir… C’était malin !
-Mince… chuchota t-elle…
Avant de se lover contre son arbre, l’arme à ses côtés, et d’attendre, les yeux exorbités, tremblante de la tête au pied.

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Dortoirs et douches / Re : [PV Lucie] Installation.
« le: mardi 21 décembre 2010, 14:52:43 »
« Moi, quand je t’ai aperçue, j’ai vraiment été très surprise. Même comme teinture, ce n’est déjà pas courant. Peut-être que tes parents ont des origines sylvestres si ça se trouve, et que les gènes commencent enfin à ressortir ! J’espère que tu restera avec cette couleur toute ta vie, ça te va si bien… »

Souffla t-elle avec envie. Lucie pensa… devait-elle tenter de se faire une teinture ? Est-ce que cela lui irait seulement ? Non, finalement elle avait reçu un très beau compliment sur ses cheveux, ce n’était vraiment plus la peine de leur faire changer de couleur. Peut-être dans quelques mois… De plus, avec quoi pourrait-elle se les teindre ? Et qu’est-ce qui prouvait que sa nouvelle couleur n’allait pas disparaître dès le levé du soleil, après qu’elle eu été… tuée ? Une nouvelle fois ? Elle avait déjà mainte fois tenté de changer de vêtements, sans succès. Elle était également condamnée à porter ceux d’hier, d’aujourd’hui et de demain, encore et encore, sans but final, sans but ultime. Alors à quoi bon songer à se faire une teinture ? C’était ridicule… Tout simplement et stupidement ridicule…

La bonne humeur de la jeune enfant s’échappa avec son sourire, s’écoulant comme le sang d’une plaie béante. Ses lèvres se pincèrent, ses yeux se rivèrent sur ses poignets, tandis que ses doigts s’entrelaçaient et se tordaient doucement. Brusquement, elle avait très envie de parler de sa peine, de sa détresse. Elle hésitait entre s’exprimer en terme de sous-entendus ou encore avouer toute une vérité qui pesait sur son être depuis deux ans et demi déjà, au risque de passer pour une folle. Elle ouvrit grand la bouche avant de la refaire prestement, sceptique sur ses propres envies et désirs. Elle d’habitude plus bavarde que cela, se sentait maintenant désespérée. Elle n’avait aucune envie de parler de peine et de tristesse, mais l’envie de l’exprimer, de lui donner des mots, lui brulaient la langue et le fond de sa gorge. Elle laissa tomber, affichant un sourire faux sur le coin des lèvres.

« Tu as vécu à la campagne ? Je ne sais pas si ça me plairait beaucoup, je suis beaucoup trop habituée à la…hum… facilité de la ville. Eh puis la campagne, c’est loin ! Ca ne serait pas pratique pour moi. Ca correspond bien à l’image de la fille des bois ça ! » se mit-elle à rire joyeusement, retrouvant malgré tout un soupçon de bonne humeur. « Mais si tu aimes la nature autant que ça, pourquoi tu n’es pas restée à la campagne ? Moi, c’est ce que j’aurais fait… je crois… »

avoua t-elle avant de regarder plus intensément le visage de Yôko. Elle ne l’avait pas remarqué auparavant, certainement encore émotive, mais la jeune fille n’avait pas que de beaux cheveux… C’était aussi un joli nez, de jolis yeux, une jolie bouche, un joli menton. En résumé, un très beau et joli visage. Elle avait vraiment beaucoup de chance, cette Yôko, et semblait être une fille simplement adorable !

« On te l’as sûrement déjà dit… Mais moi je te trouve vraiment très jolie dans l’ensemble ! »

C’était ses manières à elle : aller droit au but, sans arrières pensées, le regard très sérieux. Elle ouvrit grand les paupières avant d’esclaffer devant sa propre remarque. Qu’est-ce qu’elle pouvait agir bêtement parfois !

« Alors, pourquoi viens-tu t’installer ici ? Ce sont ton papa et ta maman qui le voulait ? Tu espere quoi en venant ici ? Tu vas rester longtemps ? »

10
Le coin du chalant / Re : Le samedi, ça ne me dit pas trop…
« le: mardi 21 décembre 2010, 14:43:38 »
Ben écoute, c'est même parfait tout cela =)
Est-ce que ça t'embete que j'utilise le même post utilisé que pour War? On a finallement laissé tomber

11
Le coin du chalant / Le samedi, ça ne me dit pas trop…
« le: mardi 21 décembre 2010, 14:12:36 »
Voili voilou, j'aimerais bien faire un sujet spécial =D Enfin spécial pour moi, puisque je n'ai encore jamais écris sur des scènes de haute sexualité >_<. Et j'aimerais bien tenter l'aventure.

Sujet du topic=>Hentai brutal… voir trés
Nombre de participants=>1 en plus de moi, que ce soit garçon ou fille. Pas encore assez compétente pour le faire avec plus de personne
Trame=>Une personne violente de préférence =D. Ca se passerait le samedi, journée où Lucie subit la torture de la Luxure. Il est prudemment conseillé de lire un peu ma fifiche pour comprendre tout cela. Ne vous en faites pas, j'en ferais de même
Qualité de post=>Je m'adapte, mais j'aime les détails. Je ne me sens pas l'âme d'une grande competente… Mais j'aimerais bien essayer tout de même avec quelqu'un qui fait de bons gros paragraphes =)

12
Dortoirs et douches / Re : [PV Lucie] Installation.
« le: lundi 20 décembre 2010, 23:03:21 »
Lucie emberlificota une bonne grosse mèches de cheveux autour de son indexe, perdu dans la contempla de cette chevelure voisine qui la perturbait étrangement. Il était finit le temps de la torture et de mauvais traitement. Elle ne pensait qu’à ces cheveux verts, fin et luisant comme s’ils avaient été cirés avec le meilleur produit du monde. Le soleil couchant produisant de bien beaux reflets à leur surface, leur donnant un aspect brillant et vivant à la fois. Elle en était réellement intriguée.

« J’en ai vue de drôles de choses dans ma vie… Mais jamais encore d’aussi beaux cheveux verts ! Et tu dis qu’ils sont naturels ? J’aimerais avoir les mêmes… » chuchota t-elle avec… Envie…

La jeune enfant cligna plusieurs fois des yeux avant de sourire piteusement avec un petit rire de gorge. Après avoir haussé les épaules, elle lâcha ses propres cheveux avant de glisser son pouce entre ses fines lèvres, ses yeux plongés dans ceux de son interlocutrice.

« Mais attention, ne le prend pas mal, d’accord ? Ca veut dire que j’aime beaucoup ! Et même que j’adore ! Oui, j’adore vraiment tes cheveux ! Vraiment, beaucoup beaucoup, c’est vrai ! »

Le rouge empourpra ses joues rondes avant qu’elle ne détourne le regard, le pouce toujours coincé entre ses dents, rongeant un misérable ongle qui donnerait bientôt piètre allure. Ses cheveux ? Comme une forêt d’automne ou une flamme rougeoyante ? Quel curieux compliment… Un compliment qui lui allait droit au cœur. C’était le premier depuis des semaines. Malgré tout, elle ne pu que chuchoter un timide « Merci » en guise de remerciement. Instinctivement, elle attrapa de nouveau une mèche de cheveux et la porta à son regard, sceptique, avant de sourire radicalement. Une flamme… Oui, pourquoi pas ! Des cheveux de feu !

« Enchantée Yôko ! Je suis ravie. Et merci de me proposer de m’asseoir… J’espère tout de même que je ne me ferais pas attrapée… Oh, eh puis tant pis après tout ! »

Et tout aussi joyeuse, elle s’écroula sur le fauteuil que la jeune Yôko avait tiré vers elle. Mains sur les genoux, elle jeta la tête en arrière, poussant un profond soupir, avant de se redresser et de croiser les doigts sur ses genoux, radieuse.

« Alors comme ça, tu viens d’arriver ici ? J’ai toujours voulu profiter du pensionnat mais je n’ai… pas le droit… Tu vas certainement te faire des amis ici, et tu suivra des cours. Moi je n’en suis plus, et j’aimerais parfois retourner en classe ! Les gens à qui je dis ça trouve parfois bizarre mes envies, mais je suis sincère. Le pensionnat, ça doit être comme une seconde famille, non ? »

Et Lucie leva alors les yeux au ciel, les mains désormais callées derrière sa nuque. Elle discuta, ou plutôt parla, donnant son avis, critiquant la nourriture de la cantine qui devait être écœurante vu les odeurs épouvantables qui se dégageaient parfois des cuisines, réclamait le cours idéal à ses yeux, désirant avoir une chambre à deux ou à trois et expliquant ce qu’elle y entreposerait. Elle parla pendant de longues minutes ainsi, avant de stopper sa course. De nouveau gêné,  la jeune fille se mit à mâchonner sa langue, perturbée.

« Je m’excuse d’avoir monopolisé cette conversation… C’est que… j’adore parler… Tu veux bien me parler de toi ? »

13
Prélude / Re : Mori Yôko (Valithée)
« le: lundi 20 décembre 2010, 22:47:39 »
Ouiii! J'adore, je vais le conserver précieusement =D

14
Dortoirs et douches / Re : [PV Lucie] Installation.
« le: lundi 20 décembre 2010, 21:51:17 »
Lucie était à cran. La semaine avait été épouvantable, elle sentait encore la marque des divers supplices subis au cours des jours derniers. De plus, elle s’était fait un épouvantable ennemi sans le vouloir… un policier qui s’était senti gravement insulté et qui avait fait preuve d’une grande violence morale. Malgré son envie de vivre, Lucie avait très mal profité du Mercredi, n’avait parlé à personne et avait passé une grande partie de son temps à errer dans le bâtiment à l’insu des surveillants et des élèves. Aussi eu t-elle le reflexe de glisser sur le côté du mur lorsque l’intruse avait commencé à s’approcher, un grand sourire aux lèvres… Un sourire qui l’inquiétait éperdument.

« Oh, je… vous… Alors tu es étudiante ici ? Je… non, non, c’est bien moi qui m’excuse, j’ai simplement été… surprise… Voilà, j’ai été surprise ! »

Et la jeune fille aux cheveux verts s’arrêta net à quelques pas de Lucie, le sourire toujours aussi resplendissant. A l’annonce de la vue à l’extérieur, la jeune enfant tourna son visage rond vers la vitre salie par de multiples empreintes de doigts sales. Elle contempla les lampadaires s’allumer un par un, baignant les rues de grosse mottes de lumière rassurante et incandescente. Les larmes menaçaient derrière les yeux de la jeune fille qui cligna plusieurs fois des paupières, essayant de les chasser, des les refouler, de les enfermer au plus profond de son être maltraité.

« Oui… Oui, oui la vue est belle. En fait, c’est la première fois que je regarde la ville du haut du bâtiment. C’est… Oui, c’est très beau. »

A présent calmée, Lucie respirait calmement, sa poitrine se soulevant au rythme de ses inspirations et s’abaissant en harmonie avec ses profondes expirations. Elle cligna des yeux et se tourna vers cette jeune arrivante, souriant de toutes ses dents blanches. Elle lissa sa robe très légèrement poussiéreuse avant de placer ses mains derrière le dos, se balançant d’avant en arrière sur la pointe et le talon de ses petits pieds.

« C’est drôle, mais les gens sont si petits vu d’ici ! On dirait des fourmis ! De minuscules petites fourmis qui vont et viennent sur un grand plateau ! Et les voitures sont de gros scarabées ! Ce sont des insectes très bruyants, même à cette distance, c’est fou ! J’essaye de trouver la reine des fourmis, je suppose qu’elle doit être bien cachée ! Et ses gardes la protègent ! Des fois, j’aimerais être une vraie géante et pouvoir me pencher, m’approcher, et les regarder à la loupe ! J’aimerais aussi être une déesse ! Tu crois que les vraies déesses existent ? »

Et lucie se mit à pouffer de sa propre bétise, les yeux plissées et une main sur la bouche. Voilà qu’elle parlait déjà. Elle allait sans doute ennuyer sa nouvelle amie. Car oui, elle voulait déjà faire de cette fille aux cheveux verts sa nouvelle amie ! La pauvre enfant s’approcha doucement d’elle, les sourcils levés, avant de tendre la main pour venir toucher une mèche de cheveux de la nouvelle arrivante.

« C’est de la teinture ? On croirait que c’est naturel… C’est vraiment très bien fait ! Moi je n’aime pas mes cheveux roux… Tu crois que ça irait du vert sur moi ? »

Elle ouvrit grande la bouche, surprise, avant de dodeliner de la tête avec gène, ses mains retournant leur place derrière son dos.

« Pardon, Pardon… Je ne me suis même pas présentée… Moi, c’est Lucie ! »

15
Dortoirs et douches / Re : [PV Lucie] Installation.
« le: lundi 20 décembre 2010, 20:53:18 »
« Déjà la fin de l’après-midi… » pensa Lucie. Le vent sifflait à ses oreilles et mettait le bazar dans sa crinière pourtant déjà si désordonnée. Ses pieds se balançaient dans le vide, comme cherchant un point d’appuie sans parvenir à en trouver. Sur les routes, les voitures, scooters et autres camionnettes se perdaient dans les veines de la ville, tandis que les passants achevaient de donner vie à cette étonnante fourmilière. Lucie bailla.
Un coup de vent plus fort que les autres la frappa de plein fouet. La jeune fille s’agrippa au rebord de la fenêtre sur lequel elle était installée, tandis que son béret se faisait souffler sans pitié, retombant dans la cours, plus. La rousse jeta un coup d’œil vers le sol.

Diantre… Qu’est-ce que c’était haut à cette hauteur. Quel effet cela ferait de s’écraser en contrebas ? Cela, elle n’en avait pas encore eu le droit… Fallait-il tester tout de suite ? Lucie se donna une violente gifle, les larmes aux yeux. C’était complètement stupide ! Aujourd’hui était sa journée, pourquoi pensait-elle déjà à y mettre fin ? Autant rentrer à l’intérieur, au chaud. Un accident était si vite arrivé. Surtout pour elle…

La jeune fille tata le loquet de la fenêtre derrière elle et le souleva de la paume de ses mains. L’ouverture se fit béante, comme une bouche qui permettait d’atteindre une gorge chaude et reposante. Elle se glissa par l’ouverture en marche arrière, rentrant un pied, puis un autre. Une fois revenue à l’intérieur du foyer de l’établissement scolaire, elle se retourna pour étirer ses bras endoloris par le froid. Là, son cœur rata un battement.

Elle venait d’apercevoir une nymphe aux cheveux verdâtre par l’entrebâillement de la porte, au sourire joyeux et radieux. Lorsque leur regard se rencontrèrent, Lucie poussa un cri d’épouvante, manquant de basculer en arrière par la fenêtre encore grande ouverte. Elle se rattrapa de peu au mur avant de se redresser de toute sa hauteur, ses mains s’agitant en tout sens.

-Pardon ! Pardon, je m’excuse, je suis désolée ! Je sais oui, je n’avais pas le droit d’être là ! Mais je ne faisais que passer ! Je n’ai rien volé et je n’ai rien cassé c’est promis ! J’avais juste aperçu quelque chose par la fenêtre, et j’ai voulu vérifier ! Ne me balancez pas au rectorat ou  la directrice ! Je m’en vais tout de suite d’ailleurs, et je ne reviendrais plus, c’est promis ! Pardon, pardon !

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