Place publique / Re : Retrouvailles !
« le: mercredi 11 mai 2011, 21:49:56 »S'appliquant comme elle pouvait, et comme elle voulait, les quelques efforts d'Alice étant insignifiant pour elle, elle avançait toujours plus lui donnant du plaisir. Et sa langue, sensible lui donnait presque autant de plaisir à toucher les douces parois de ce qu'elle explorait follement, était presque complètement enfoncée, pliée, en un mouvement continue désordonné. Elle se rappelait bien, elle aussi cette nuit où son viol le plus cher de sa fille fut mis en place. Elle voulait recommencer, même. Sa langue toujours occupée à l'intérieur, elle leva la tête pour observer avec amour les efforts d'Alice pour se retenir jusqu'à l'instant suprême.
Qu'elle était belle son amour, complètement abandonnée à ses soins... Mais malheureusement pour elle, elle ne comptait en rien la laisser s'amuser et se faire plaisir jusqu'au bout ainsi. Il n'en était pas question. Après tout, la leçon qu'elle voulait lui donner, c'est à dire de rester la maîtresse, mais en n'oubliant pas qu'elle restait sa mère, ne se ferait pas ainsi. Elle l'empêcherait de se donner du plaisir s'il le fallait, mais non, tant qu'elle n'aurait pas trouver comment montrer à sa mère qu'elle avait compris, Alice ne jouirait pas. La manière forte ne rebutait absolument pas Rebecca, bien habituée à une violence quotidienne.
C'est pourquoi elle s'arrêta juste avant la délivrance, se retirant d'un coup, et veillant à ce que ce geste soudain ne s'accompagne pas de la jouissance attendue. Puis, déroulant sa queue, elle lança Alice contre mur qui trembla sous le choc. Rien de bien méchant pour une Lamia, tout au plus la tête un peu sonnée. Lui souriant d'un air rêveur en contemplant son corps, elle s'avança vers sa fille et lui parla.
-Ma douce Alice, ma rose exquise, tu sais très bien que certaines limites se doivent de ne pas être franchie. Mon absence t'as fait oublier certaines choses, on dirait. En tant que mère, et non plus amante, je refuse que tu atteignes n'importe quel plaisir jusqu'à la délivrance tant que tu ne m'auras pas fait comprendre que la leçon que je viens te faire a été comprise et complètement assimilée. Après quoi je recommencerais et t’emmènerais vers des cieux magnifique.