Ce que je suis en train d'écouter: Kashmir de Led Zeppelin. Ma version préférée. Ou quand un groupe de légende qui n'a rien à prouver s'éclate et entraine tout le monde avec lui.
http://www.liveleak.com/view?i=011_1238351570Paroles:Oh let the sun beat down upon my face, stars to fill my dream
I am a traveler of both time and space, to be where I have been
To sit with elders of the gentle race, this world has seldom seen
They talk of days for which they sit and wait and all will be revealed
Talk and song from tongues of lilting grace, whose sounds caress my ear
But not a word I heard could I relate, the story was quite clear
Oh, oh.
Oh, I been flying... mama, there ain't no denyin'
I've been flying, ain't no denyin', no denyin'
All I see turns to brown, as the sun burns the ground
And my eyes fill with sand, as I scan this wasted land
Trying to find, trying to find where I've been.
Oh, pilot of the storm who leaves no trace, like thoughts inside a dream
Heed the path that led me to that place, yellow desert stream
My Shangri-La beneath the summer moon, I will return again
Sure as the dust that floats high in June, when movin' through Kashmir.
Oh, father of the four winds, fill my sails, across the sea of years
With no provision but an open face, along the straits of fear
Ohh.
When I'm on, when I'm on my way, yeah
When I see, when I see the way, you stay-yeah
Ooh, yeah-yeah, ooh, yeah-yeah, when I'm down...
Ooh, yeah-yeah, ooh, yeah-yeah, well I'm down, so down
Ooh, my baby, oooh, my baby, let me take you there
Traduction:Oh, laisse le soleil taper sur mon visage, les étoiles remplir mon rêve.
Je suis un voyageur du temps et de l'espace, pour me retrouver là où j'ai été.
S'asseoir avec les Anciens de la noble race, ce monde a rarement vu ça.
Ils parlent de jours durant lesquels ils s'assaient et attendent, et tout sera révélé...
Paroles et chants de langues à la grâce musicale, dont les sons caressent mon oreille.
Mais pas un mot que j'entendis puis-je le raconter, l'histoire était très claire.
Oh, je me suis envolé... maman, c'est indéniable...
Je me suis envolé, c'est indéniable, indéniable...
Tout ce que je vois devient brun, quand le soleil brûle le sol.
Et mes yeux s'emplissent de sable, quand je scrute cette terre aride,
Tentant de retrouver, tentant de retrouver là où j'ai été...
Oh, Guide de la tempête qui ne laisse aucune trace, comme des pensées dans un rêve,
Fais attention au chemin qui me mena à ce lieu, la piste jaune du désert.
Mon paradis terrestre sous la lune d'été, j'y reviendrai à nouveau,
Sûr comme la poussière qui flotte haut en juin, traversant le Kashmir...
Oh, père des Quatre Vents, gonfle mes voiles, d'un côté à l'autre de la mer des Ages,
Sans provisions mais le visage ouvert, le long du Détroit de la Peur.
Quand je suis, quand je suis sur ma route...
Quand je vois, quand je vois le chemin, tu restes.
Quand je suis bas...
Mon bébé, laisse moi t'emmener là-bas !
Laisse moi t'emmener là-bas !