Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Pages: [1] 2 3 ... 5
1
Le parc et son sous-bois / Re : Une Furry pour chien de garde... (PV Kannan)
« le: mercredi 26 janvier 2011, 16:10:11 »
Kannan se révélait d’une compagnie très agréable. Soumise aux caresses de Lisbeth depuis quelque temps déjà, elle se montrait même coopérative et entreprenante, venant s’occuper des fesses de la jeune humaine avec ses mains.

- Haaa…Quelques chose que tu….hmmm….apprécieras sûrement…Mais,….aaah…Tu ne penses pas qu’il faut….garder les meilleures choses….pour la fin ?

Son air malicieux fit sourire Lisbeth. Un vrai délice ! Ne se formalisant pas plus que ça de la non-réponse de Kannan, la jeune humain se concentra sur ses doigts qui allaient et venaient sans répit dans l’intimité trempée de la furry. Toujours habillée, Lisbeth commençait à avoir particulièrement chaud. Son string collait à sa vulve humide. S’occuper de sa partenaire excitait la jeune femme bien plus qu’elle ne l’aurait pensé.

*Soit, j’attendrai donc pour voir mais tu vas devoir faire en sorte que mon attente soit comblée*

Retirant ses doigts du vagin de la terranide, Lisbeth la contraint à ôter ses mains de ses fesses. Attrapant l’arrière de la tête de la furry, elle l’embrassa longuement avant de la relâcher et de se lever du bord de son lit. Fouillant dans son sac à main, la jeune humaine en sortit un collier de cuir qu’elle passa au cou de Kannan. Se servant de l’anneau d’attache, Lisbeth la fit se lever doucement. Direction la chambre des invités. Une fois à l’intérieur, la jeune femme se laissa tomber sur un tas de coussins. Plongeant son regard dans celui de son amante, un sourire s’étira sur ses lèvres.

*Voyons voir… Comment vas-tu t’y prendre pour me faire patienter… Je sais…*

Se relevant, Lisbeth passa de nouveau dans sa chambre, laissant Kannan seule quelques instants dans l’autre pièce. La jeune femme prit le temps d’ôter ses vêtements, ne conservant que ses bottes. La furry allait avoir une sacrée surprise en découvrant les anneaux qu’elle portait sur ses lèvres intimes. Ouvrant un tiroir, elle en sortit un appareil qu’elle ne connaissait que trop bien, cadeau de Franz. De retour auprès de Kannan, Lisbeth lui passa le string équipé d’un vibromasseur, gardant pour elle la télécommande. Une fois en place, elle alluma l’appareil et le positionna en vitesse lente. De quoi garder l’excitation intacte chez la terranide. Lisbeth retourna s’asseoir sur le coussin avant de faire signe à sa soumise d’approcher.

*Je suis certaine que tu dois être douée…*

Attrapant l’anneau du collier, Lisbeth attira Kannan vers elle et l’embrassa de nouveau tout en caressant sa poitrine. Elle aimait le contact des lèvres de la furry sur les siennes. Relâchant son emprise, la jeune humaine fit descendre la tête de la terranide entre ses cuisses. Se servant de sa main libre, elle appuya fermement dessus jusqu’à ce que la bouche de Kannan se retrouve en contact avec sa vulve.

*Montre-moi*

S’installant confortablement contre les coussins, Lisbeth attendit que Kannan obéisse à sa demande.

2
Le parc et son sous-bois / Re : Une simple promenande... [PV Mach Bonin]
« le: lundi 17 janvier 2011, 11:17:45 »
Mach prenait finalement le contrôle de la situation pour le plaisir de Lisbeth. Pilonnée avec force par son amant, la jeune femme sentit un doigt inquisiteur venir caresser l’entrée de son cul avant de s’enfoncer lentement à l’intérieur. Elle se mordit les lèvres pour ne pas crier.

- Alors, cela te plait ?

Que répondre à une telle question… Le regard de Lisbeth parlait pour elle si bien que Mach accéléra rapidement les mouvements de son doigt, la rosette de la miss se dilatant aisément sous l’effet du plaisir. Ondulant de plus en plus vite, le sexe de son amant la pénétrait maintenant sans difficulté mais elle voulait plus. Son corps, si longtemps privé de plaisir, réclamait maintenant d’être utilisé longuement.

*Encore…*

Ayant quitté les lèvres de son compagnon, Lisbeth se releva lentement sur ses jambes, sortant ainsi la queue de son antre qui maintenant dégoulinait littéralement. Elle ne cessait d’onduler, le gland passant de sa vulve à sa rosette en permanence. Elle implorait Mach du regard. Le langage cru utilisé par ce dernier excitait encore plus la jeune femme. Le doigt du mercenaire ouvrait toujours son cul sans relâche arrachant des gémissements de plus en plus forts à Lisbeth. Elle sentait son anus palpiter à chaque mouvement et se dilater de plus en plus.

*Non… pas plus…*

Lisbeth attrapa la main de Mach pour qu’il retire son doigt. Redescendant au sol, elle reprit le sexe en bouche, le suçant avidement Elle voulait que son amant soit comblé. Elle coulissait sur le membre doucement, profitant de chaque instant, le gland venant buter contre le fond de sa gorge. Les gémissements de Mach l’excitait encore plus. Sa vulve réclamait d’être de nouveau remplie mais la jeune femme résistait. Sans répit, sa langue effleurait chaque centimètre de la peau gorgée de sang. Lisbeth ne pouvait contenir ses gémissements, son bassin ondulant de nouveau au rythme de sa fellation.

La jeune femme finit par se relever, faisant face au mercenaire. La musique se faisant toujours entendre, Lisbeth se remit à danser langoureusement, les yeux clos. Elle voulait que Mach profite au maximum de la vision qu’elle lui offrait. Ses mains glissaient sur son corps, accroissant son désir. Plongeant son regard dans celui de Mach, elle lui souriait. Lisbeth se sentait bien en sa compagnie et pas seulement parce qu’il l’avait libérée de ses entraves mais parce l’homme lui plaisait.

*Ma chienne…*

Parlant plus pour elle-même que pour le soldat, elle ne cessait de penser à ces mots prononcés un peu plus tôt par Mach. Le prenant par les mains, elle l’invita à se relever, se collant contre lui avant de l’embrasser fougueusement. Sa langue cherchait celle du soldat fébrilement. Comme une noyée s’accrochant à une bouée. Se détachant à regret, elle s’installa à genoux sur le canapé, les mains posées à plat sur le dossier, tournant ainsi le dos à la table et au mercenaire. Lisbeth tourna la tête en sa direction avant de cambrer ses reins au maximum, présentant son cul ouvertement au soldat, puis lui sourit malicieusement. Sa rosette s’était refermée mais la jeune femme s’en moquait. Elle le voulait entreprenant et pervers, s’offrant sans retenue à la moindre de ses envies.

3
Kannan trouvait la chambre d’amis trop luxueuse pour elle, ce qui ne fit que confirmer le fait que Lisbeth restait persuadée qu’elle était bien plus qu’une simple servante. Sa réponse quant au fait de dormir dans le panier fit naître un sourire sur le visage de Lisbeth. Elle en serait contrariée seulement si elle y était forcée… Voilà un détail que la jeune femme conserva dans un coin de son esprit.

La réponse concernant ses différences intrigua profondément Lisbeth. Que voulait-elle dire par le fait qu’elle contrôlait ses hormones ? Reprenant son étude visuelle du corps de la furry, la jeune femme chercha la réponse à cette phrase sans la trouver. Décidément, ce corps l’attirait bien plus qu’il ne l’aurait du. Lisbeth essayait de comprendre pourquoi. Certes, la nudité qu’elle avait imposée à Kannan n’y était pas étrangère mais quand même !

*Tu sembles penser que je ne devrai pas résister à mes envies te concernant… Mais tu te gardes bien de dire si toi, tu le souhaites ou pas…*

Fixant son invitée, Lisbeth lui sourit avant de saisir son mamelon gauche entre ses doigts et d’attirer la furry plus près d’elle. Son autre main s’insinua entre les cuisses de la terranide, ses doigts s’infiltrant entre ses lèvres intimes à la recherche du clitoris. Kannan ne bougeait pas, se laissant faire docilement. Sa vulve ne tarda d’ailleurs pas à s’humidifier sous les caresses de Lisbeth. Son téton n’était pas oublié pour autant. Pincé, étiré, la jeune femme le faisait durcir entre ses doigts sans quitter Kannan des yeux.

*Ce n’est pas la première fois que quelqu’un use de ton corps selon son bon vouloir… Et à constater ton taux d’humidité, tu aimes cela.*

Simple constatation de la part de Lisbeth bien décidé à continuer ses caresses sur ce corps offert avec autant de bonne volonté. Elle ne cherchait pas à vexer Kannan, loin de là, mais il fallait bien avouer que la soumission affichée de la furry ne laissait planer aucun doute quant au fait que c’était une habitude chez elle d’être dans cette position. Lisbeth embrassa de nouveau son invitée, sa langue allant chercher la sienne, pendant que deux de ses doigts s’introduisaient lentement dans la vulve de la terannide, sans rencontrer de résistance particulière, entamant de lents va-et-vient dans son intimité.

Même si Lisbeth l’avait souhaité, elle ne pouvait plus nier son envie du corps de Kannan. Son désir avait fait taire ses dernières réticences, dues au fait que la terranide n’était pas humaine. L’embrassant à pleine bouche maintenant, ses doigts s’enfonçaient plus profondément à chaque fois dans la vulve de sa partenaire tandis que son autre main s’occupait de ses seins, alternant de l’un à l’autre sans répit. Les mamelons, pincés, tirés, tournés entre ses doigts, durcissaient de plus en plus. Kannan ne cherchait pas absolument pas à se soustraire à ce traitement d’ailleurs. Elle semblait même l’apprécier vu la cyprine qui coulait sur les doigts de Lisbeth. Quittant la bouche de la furry, la jeune femme plongea son regard dans le sien.

*Et que te permet donc ce contrôle des hormones dont tu parles ma soumise ?*


Souriant, Lisbeth attendait la réponse de Kannan, tout en s’occupant de ce corps splendide qui s’offrait à elle.

4
Les alentours de la ville / Re : Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)
« le: vendredi 24 décembre 2010, 11:50:26 »
Qu’elle haïssait Franz de lui imposer une telle chose ! Honteuse, Lisbeth suçait son jeune voisin dans l’espoir que l’homme qui la regardait faire viendrait enfin la remplir une nouvelle fois. L’adolescent, lui, ne se posait plus de questions, profitant de ce qui lui était offert : sa voisine. Les doigts de la jeune femme allaient de plus en plus vite dans son cul. Du coin de l’œil, elle vit Franz se lever et venir se positionner derrière elle. Avant de bloquer ses bras, l’empêchant ainsi de se satisfaire elle-même. Gémissant de frustration, Lisbeth sentit rapidement la verge de Franz venir se frotter contre sa croupe. Dieu qu’elle voulait qu’il la prenne ! Mais au lieu de ça, il lui attrapa les cheveux et la força à relever la tête.

Alors Lisbeth… Dis à ton voisin à quel point tu aimes sa queue et que tu veux le sentir jouir dans ta petite bouche ?


La jeune femme ferma les yeux quelques instants. Elle ne pouvait pas… Mais le membre qui coulissait contre ses fesses eut raison de ses réticences. Rouge de honte, elle leva son regard vers le jeune garçon et répéta les mots imposés, humiliée encore un peu plus par Franz. Qui ne tarda pas à l’obliger à reprendre sa fellation, enclenchant dans le même temps la vitesse maximum de son vibro. Sous l’effet du plaisir, Lisbeth abandonna et suça avec ardeur la queue qu’elle avait en bouche. Son cul fut brutalement ouvert, forcé, par le membre imposant de Franz. A chacun de ses coups de boutoir, le membre de son jeune voisin venait heurter le fond de sa gorge. Ce dernier d’ailleurs avait repris les cheveux de Lisbeth pour l’empêcher de relever la tête. Au bord de la jouissance, la jeune femme sentait le sexe palpiter de plus en plus.

*Putain, ça vient ! Avale salope !

Précision inutile, Lisbeth n’ayant pas vraiment le choix si elle voulait que Franz continue à ramoner son cul avec vigueur. Ce dernier d’ailleurs ne se gênait pas pour faire d’elle une vraie chienne lubrique. Son anus la brûlait à force d’être utilisé ainsi et pourtant, ses hanches allaient au devant de Franz. L’adolescent finit par éjaculer dans sa bouche par saccades. Lisbeth n’avala pas sa semence, la gardant en bouche dans l’attente des ordres de Franz. Elle ne cessait de gémir, prenant garde à ne pas perdre le liquide qu’elle avait en bouche, ne sachant pas comment son tortionnaire réagirait si c’était le cas. La jeune femme n’en pouvait plus. Son cul déchiré et sa chatte remplie par le vibro finirent par avoir raison d’elle. Son corps tout entier se tendit brutalement au moment de sa jouissance. Lisbeth n’ouvrit pas la bouche, laissant juste échapper un long gémissement avant que ses jambes ne puissent plus la soutenir, la laissant sans force entre les mains de Franz, sa queue plantée dans son cul et le vibro toujours en marche.

5
Le quartier de la Toussaint / Re : Sacrilège... (PV Père Carmody)
« le: mardi 21 décembre 2010, 18:35:25 »
Le révérend entraîna Lisbeth à sa suite jusque dans un endroit minuscule où se trouvait juste un banc. La tournant face au mur, John se colla à elle, sa queue glissant que sa vulve détrempée. Au grand désespoir de la jeune femme qui n’attendait qu’une chose : qu’il la prenne et vite. Elle n’en pouvait plus d’attendre. L’homme d’église finit par s’enfoncer en elle avec force puis la pilonna fermement.

- Oh, quelle cul tu as ! Tu aimes ainsi te faire ramoner par de gros engins

Les mains posées à plat contre le mur, Lisbeth accompagnait les coups de boutoir de John, gémissant sans discontinuer.

*Oui… quel que soit l’endroit…*

Défoncée par un homme dont elle ne savait rien, Lisbeth en voulait encore plus… Ses cuisses étaient trempées mais elle n’en avait pas assez. Profitant d’un moment où le révérend ressortait sa queue pour mieux la reprendre, elle baissa son bassin et d’un seul coup, empala son cul sur la queue dressée. Dieu qu’elle aimait se faire déchirer ainsi.

*Dé…foncez-moi…*

Sans savoir ce qu’en pensait John, Lisbeth coulissait le long de la hampe, son cul enserrant la verge à la perfection. L’intérieur de ses entrailles la brûlait tant son cul était serré. Visiblement, le révérend n’était pas contre. Ses coups de reins collaient la jeune femme contre le mur, l’empêchant de bouger. Crucifiée sur place par la queue d’un homme d’église ! Lisbeth s’était mise à genoux sur le banc pour être plus à l’aise malgré tout et de ce fait, était à la bonne hauteur pour que John use et abuse d’elle comme il le voulait et aussi longtemps qu’il en aurait envie. Bouche ouverte, les gémissements de la jeune femme résonnaient dans l’édifice sacré comme une offense. Son cul, ouvert à souhait, avalait la queue de John sans souci maintenant. Descendant l’une de ses mains, elle se mit à se branler la chatte en même temps.

6
A peine de retour à son poste qu’un étudiant s’approcha en lui demandant de lui montrer une série de livres. De plus en plus assistés ces idiots. Levant les yeux vers le garçon, elle soupira. Pianotant quelques instants sur son clavier, elle chercha la localisation des ouvrages en question avant d’écrire le résultat sur un papier qu’elle tendit à l’étudiant.

*Je suppose que vous savez lire… Le plan des lieux se trouve à l’entrée donc repérez-vous et soyez gentil, agissez en adulte…*

-Encore un qui obéit à ses hormones-

Relevant la tête, elle fixa la demoiselle réprimandée plus tôt.

-Si tu penses que je vais me laisser faire… J’ai bien vu ton petit jeu-


Laissant son esprit vagabonder, Lisbeth se surprit à penser à Mach. Son compagnon était absent depuis plusieurs jours déjà. Un boulot à faire lui avait-il dit, rien de plus. Et la jeune femme ne souhaitait pas en savoir plus. Le bruit la ramena à la réalité. Son regard se porta sur les travées. Visiblement, il y avait une explication houleuse entre l’idiot aux livres et celle qui semblait être sa petite amie. Lisbeth soupira. Quel manque de savoir-vitre ! Quelques têtes se tournaient vers les deux tourtereaux passablement agacées par le raffut. La jeune femme se résigna donc à se lever et à se diriger vers eux.

*Connaissez-vous la signification du mot « silence » ?*


L’arrogance et le mépris de Lisbeth pointaient dans sa voix mais elle en avait cure. Un regard appuyé envers la fiancée et celle-ci battit en retraite. Elle reporta donc son attention sur le garçon.

*Quant à toi, si tu ne veux pas être interdit ici, je te conseille de bien veiller à ne plus créer un seul incident.*

Sans rien ajouter de plus, Lisbeth fit demi-tour pour retourner à son poste.

7
Le parc et son sous-bois / Re : Une simple promenande... [PV Mach Bonin]
« le: lundi 20 décembre 2010, 21:49:42 »
Depuis leur arrivée au club, le plaisir de Lisbeth n’avait cessé de croître. Elle s’offrait sans retenue à son compagnon, s’enivrant de ses caresses. Ce que semblait particulièrement apprécier ce dernier vu comment il jouait avec sa poitrine. A cheval sur ses genoux, la jeune femme s’était en partie empalée sur la verge durcie, laissant à Mach le choix du moment où il la prendrait. Ecartant les fesses de Lisbeth avec ses mains, il continua à la faire descendre lentement le long de son membre avant de la pénétrer de toute sa longueur. Gémissant doucement à cause de la douleur, la jeune femme n’eut pas le temps de souffler, son amant ne laissant aucun répit à ses seins. Devenus hyper sensibles, le simple fait de les effleurer excitait encore plus Lisbeth.

- Tu aimes autant que moi ?

Ondulant à présent au même rythme que les mouvements de Mach, Lisbeth sentait sa verge ouvrir sa vulve de plus en plus, coulissant maintenant sans difficultés en elle.

*Je… oui…*

Lisbeth avait du mal à parler tant le plaisir la submergeait. Libérant ses seins de l’emprise de Mach, elle se laissa aller en arrière sur les jambes. Dans cette position, chaque pénétration de son amant était intensifiée. La jeune femme se caressait maintenant la poitrine, espérant offrir un spectacle agréable à son compagnon. Le bassin de la jeune femme ondulait de plus en plus vite à mesure que le plaisir grandissait en elle. Sa vulve trempée allait et venait sur le membre luisant sans répit. Son corps tremblait et ses gémissements envahissaient tout l’espace.

Se redressant, sa bouche chercha celle de Mach fiévreusement. D’elle-même, elle écartait maintenant ses fesses avec ses mains pour que son amant la pénètre profondément. Lisbeth voulait qu’il prenne les choses en main, qu’il la fasse sienne à sa convenance, qu’il comble tous ses orifices. Qu’il fasse d’elle sa maîtresse, sa chienne ou sa chose, peu lui importait à partir de moment où elle lui appartenait. Elle quitta la bouche de Mach à regret pour plonger son regard dans le sien, un regard à la fois suppliant et excité. La jeune femme voulait l’entendre lui dire qu’elle était à lui désormais.

8
Le parc et son sous-bois / Re : Une Furry pour chien de garde... (PV Kannan)
« le: lundi 20 décembre 2010, 21:48:26 »
Kannan se leva pour se mettre nue avant de se réinstaller sur le coussin. Lisbeth en profita pour observer son corps dans son ensemble. A peine à terre, la furry s’adressa à elle.

- Vous ne semblez pas très honnête sur vos envies, et choisissez des voies détournées pour les assouvir. Je me trompe ?

Elle ne semblait pas en colère. Elle faisait une simple constatation en fait. Lisbeth lui sourit doucement.

*Tu es la première non-humaine que je rencontre… C’est assez perturbant… Mais tu as raison sur un point, il est des envies qui sont difficilement admissibles.*

Tout en parlant, la jeune femme s’était levée. Elle fit signe à Kannan de la suivre puis prit la direction de la chambre d’amis. Une fois la porte ouverte, la furry découvrit une vaste pièce au centre de laquelle trônait un immense lit à baldaquins. Des coussins posés un peu partout et de lourdes tentures conféraient une atmosphère chaleureuse à l’ensemble. Toute la pièce était dans les tons mauve, tout en dégradé. Au fond à gauche, une porte donnait sur la salle de bains privative, dotée d’une baignoire à bains bouillonnant. La faïence et la décoration de couleur dorée faisait de cet endroit le lieu idéal pour se prélasser.

*Voici ta chambre… La mienne se trouve à côté…*

Entraînant Kannan à sa suite, Lisbeth entra dans sa chambre. De même composition que l’autre, seul un imposant dressing avait été rajouté… ainsi que l’immense panier à chien posé au pied du lit. En l’apercevant, Lisbeth rit doucement puis regarda Kannan.

*Je doute que tu acceptes d’y dormir… Je l’avais acheté pour avoir mon chien de garde en permanence à mes côtés.*

Malgré tout, l’idée d’y voir dormir la furry s’infiltra dans le cerveau de la jeune femme. Comment son invitée pouvait-elle autant l’attirer ? Certes, Kannan était dotée d’une plastique hors norme mais elle n’était humaine ! Pourtant, Lisbeth avait envie de ce corps, de le posséder entièrement.

*Dis-moi, hormis ton apparence, il y a d’autres détails chez toi qui te différencient des humains ?*

Simple curiosité de la part de Lisbeth qui venait de s’asseoir sur le bord de son lit. D’un geste, elle invita Kannan à venir s’installer à ses pieds.

9
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: jeudi 25 novembre 2010, 08:44:09 »
8h46

D'excellente humeur ce matin et pleine d'inspiration pour mes rps, journée écriture :)

10
De retour de vacances. Après un peu de repose bien mérité, Lisbeth avait repris son travail le matin même. Pour une fois, elle portait un tailleur-jupe blanc dont la jupe ultra-courte laissait voir le haut de ses bas retenus par des porte-jarretelles. Elle avait pris soin de coordonner sa lingerie avec sa tenue : une magnifique guêpière en dentelle dont le soutien-gorge s’arrêtait au milieu de ses seins, laissant libre ses mamelons. Le frottement de ces derniers contre l’intérieur de sa veste excitait la jeune femme qui adorait cette sensation.

Le début de la matinée avait été calme. Quelques ouvrages à ranger, des clients à renseigner mais rien de trop pénible. Une journée comme Lisbeth les aimait. Seul un homme avait eu toutes les peines du monde à enlever son regard de son décolleté mais il n’avait fait aucun commentaire. Fidèle à son habitude, la jeune femme promenait son regard arrogant sur toute personne qui se trouvait dans la bibliothèque. Elle, qui avait reçu une éducation privée, ne pouvait s’empêcher de les trouver insignifiant.

La porte d’entrée s’ouvrit. Lisbeth jeta un bref regard sur la personne. Une femme, aucun intérêt. Jolie mais sans plus. Il est vrai que la demoiselle ne supportait pas la concurrence. Elle s’en désintéressa sur le champ, sans même se rendre compte de l’effet que la nouvelle venue semblait produire sur les hommes. Jusqu’à ce que cette dernière s’installe de la façon la plus bruyante qu’il soit.

-Encore une qui n’a aucune éducation-

Lisbeth quitta son poste et se dirigea vers la jeune femme, la foudroyant du regard. Elle s’arrêta face à elle, la toisant avec mépris.

*J’ignore ce que tes parents ont bien pu t’apprendre mais ici, tu dois respecter le silence.*

Sans rien ajouter d’autre, Lisbeth fit demi-tour. Pas de temps à perdre avec une petite idiote de ce genre.

11
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: lundi 22 novembre 2010, 14:02:49 »
14h04

*se fait chier en réunion*

12
Le parc et son sous-bois / Re : Une Furry pour chien de garde... (PV Kannan)
« le: vendredi 19 novembre 2010, 13:22:41 »
Kannan. Ainsi donc sa visiteuse avait un nom. Tout aussi étrange qu’elle mais Lisbeth n’en fit pas cas. Elle observa la furry pendant que celle-ci venait s’installer à ses pieds.

- En effet, mais serai je libre de sortir ou faire autre chose quand je ne vous servirez pas ?


La question de Kannan fit sourire Lisbeth. Elle réfléchit quelques instants avant de lui répondre.

*Faire autre chose, sans souci mais sortir… Il faudra te trouver une tenue qui te permette de passer inaperçue dans ce cas.*

Lisbeth n’était pas dupe. Permettre à Kannan de sortir revenait à prendre le risque qu’elle ne revienne pas. Mais elle se voyait mal la contraindre à passer ses journées dans la cage. Et puis, la femme-chien ne semblait plus en colère de se trouver ici. La proximité du corps de la furry troublait Lisbeth. Il lui suffisait de bouger légèrement pour que ce dernier soit à portée de ses mains.

*Je te montrerai ta chambre tout à l’heure, ainsi que la mienne… Dis-moi, tu as déjà servi quelqu’un ?*


Tout en parlant, Lisbeth avait commencé à caresser le cou de Kannan, descendant lentement vers ses seins. La jeune femme n’en revenait toujours pas qu’ils soient aussi imposants. De nouveau couverts par le haut de la robe, Lisbeth les effleurait sans se presser. Elle était fascinée par le corps de Kannan. Cette dernière ne cherchait pas à se dérober par ailleurs, ce qui fit que l’arrogante demoiselle s’enhardit quelque peu. Reculant de nouveau dans son fauteuil, elle fixait Kannan intensément.

*J’émets par contre une condition non négociable. Si tu entres à mon service, tu devras être nue en permanence en ma présence*

La docilité de Kannan ne pouvait signifier qu’une seule chose, elle avait déjà été soumise. Et si tel était le cas, Lisbeth ne voyait pourquoi elle se gênerait d’utiliser un corps fait pour le plaisir comme le sien.

*Si tu acceptes alors enlève ta robe et remets toi sur le coussin.*


Clair et direct. Lisbeth était ainsi et détestait perdre son temps. Elle patientait en attendant de voir ce que Kannan allait faire.

13
Le parc et son sous-bois / Re : Une Furry pour chien de garde... (PV Kannan)
« le: jeudi 18 novembre 2010, 14:12:59 »
Lisbeth écoutait Kannan. Effectivement, elle ne connaissait pas Terra. Quel était donc cet endroit ? La femme-chien sortit doucement de la cage, aucune trace d’agressivité chez elle. Lisbeth frissonna. Le temps avait fraîchi. Elle se leva puis entra dans son salon. Se retournant vers Kannan, elle lui sourit.

*Tu n’es sans doute pas frileuse mais moi si… Viens, nous serons mieux à l’intérieur pour discuter.*

Lisbeth parcourut du regard la pièce avant d’aller chercher un grand coussin dans sa chambre. Après tout, elle ignorait si Kannan connaissait l’usage d’un canapé. Elle le posa donc au sol puis alla s’installer, les jambes repliées sous elle. Kannan l’avait suivie mais restait debout pour le moment.

*Ne m’en veux pas mais j’ai eu pas mal de souci ces derniers temps et je cherchais un chien pour me défendre. Et honnêtement, tu y ressembles de près. Ton corps… il est… étrange. Et il donne envie de jouer avec*


Lisbeth détaillait Kannan sans retenue. Elle savait déjà qu’elle ne rebutait pas sa visiteuse mais l’envie de la faire sienne commençait à s’imposer doucement.

*Je ne connais pas Terra en effet. A l’occasion, je veux bien que tu me fasses visiter l’endroit.*


La jeune femme se releva pour s’approcher de Kannan. Sans geste brusque, elle l’attira contre elle avant de venir poser ses lèvres sur celles de la femme-chien. Un baiser doux pour ne pas l’effrayer.

*Tu es si douce…*

Lisbeth recula pour regarder Kannan, avant d’installer le coussin au pied du canapé. Elle retourna s’asseoir puis fit signe à son invitée de s’installer sur le coussin.

*Tu as un nom ?*

Kannan be bougeait toujours pas.

*Ce que j’ai dit tout à l’heure est vrai. Si tu te promènes en ville, tu auras des soucis. Je te propose de te prendre à mon service. Tu seras logée, nourrie et bien entendu payé, cela va de soi. En contrepartie, tu devras m’obéir en tout. Le marché me semble honnête… Tu en penses quoi ?*

Calée au fond du siège, Lisbeth attendit la réponse de Kannan.

14
Le parc et son sous-bois / Re : Une Furry pour chien de garde... (PV Kannan)
« le: lundi 15 novembre 2010, 11:16:58 »
Lisbeth tentait de contenir sa fureur. Sa prisonnière ne savait pas se battre ! Qu’allait-elle bien pouvoir en faire maintenant. Histoire de se donner le temps de réfléchir, elle se dirigea vers la cuisine puis remplit un bol d’eau fraîche qu’elle fit glisser dans la cage à son retour.

*Bois, cela te fera du bien.*

La jeune femme réfléchissait tout en observant Kannan. Que pouvait-elle bien être au juste ? Son corps excitait Lisbeth. La femme-chien avait un corps particulièrement développé, surtout au niveau de sa poitrine. Confortablement installée dans un fauteuil, Lisbeth laissait son regard glisser sur Kannan, sans même chercher à dissimuler le fait que son invitée l’excitait quelque peu. Se relevant, elle alla déverrouiller la cage sans en ouvrir la porte puis se réinstalla tranquillement.

*Tu ne sais pas te battre, soit… Mais je suis certaine que tu sais faire autre chose…*

Laissant sa phrase en suspens, Lisbeth souriait doucement à Kannan.

*Je ne sais pas ce que tu es… En fait, je n’ai jamais rencontré quelqu’un comme toi… Je sais que tu as aimé que je te touche dans le parc, j’ai senti ta vulve s’humidifier… Tu ne peux pas te promener dans la ville sans risquer de te retrouver exposée comme un animal de foire, tu en as conscience tout de même…*

La jeune femme modulait sa voix, sans savoir si cela avait une quelconque prise sur Kannan. L’idée d’avoir un chien de garde l’avait quitté pour faire place à celle de faire de la femme-chien sa servante.

*Ici, tu es en sécurité…*

Lisbeth rit doucement. Pas certaine que sa prisonnière voit cela du même angle qu’elle.

*Je te propose de rester chez moi… en tant que servante. J’ai envie d’en apprendre un peu plus sur toi… tu veux bien me dire qui tu es… Et ne reste pas dans la cage, sors et approche.*

La jeune femme se tut puis attendit de voir comment Kannan allait réagir.

15
Le parc et son sous-bois / Re : Une simple promenande... [PV Mach Bonin]
« le: lundi 15 novembre 2010, 10:39:00 »
Mach s’était penché vers Lisbeth, obligeant cette dernière à cesser sa fellation mais elle continuait à masturber son amant. Le soldat s’empara de sa bouche de façon impérieuse pour le plus grand plaisir de la jeune femme. Elle sentit l’une des mains de Mach s’emparer de sa poitrine. Le plaisir la submergea aussitôt. Les doigts de son amant faisaient monter le désir en elle. Les contractions de son vagin étaient de plus en plus violentes et Lisbeth avait l’intérieur des cuisses recouvert de cyprine.

*Mmmmmmm… Mach… C’est si bon…*

La jeune femme se redressa doucement, offrant ainsi tout son corps aux caresses de Mach. Elle avait envie de le sentir en elle, de se perdre dans un tourbillon de plaisir. Se réinstallant sur les genoux de son amant, elle lui ôta son haut avant de couvrir son torse de baisers enflammés. Lisbeth sentait le sexe de Mach frôler l’entrée de son intimité par moment. Ses mains n’en oubliaient pas pour autant la hampe dressée qu’elles ne cessaient de caresser sur toute la longueur.

*Tu ne peux pas savoir comme je suis heureuse de t’avoir rencontré... Je me sens enfin libre !*

Les lèvres de Lisbeth cherchèrent celles de son amant avec une certaine frénésie. Enivrée de bonheur, la jeune femme se collait contre Mach tout en frottant l’entrée de sa vulve contre son gland.

*Je veux… je veux te sentir en moi…*

Lentement, Lisbeth se laissa descendre le long de la hampe dressée, sentant celle-ci pénétrer sa vulve trempée. La jeune femme s’arrêta sous l’effet de la douleur qui ne tarda pas à s’estomper. Reprenant ses mouvements, elle allait et venait doucement sur le sexe de son amant, lui laissant le loisir de décider de quand il allait s’enfoncer entièrement en elle. Elle n’en oubliait pas son amant pour autant, l’embrassant à pleine bouche passionnément. Les mains de Mach sur son corps faisaient des merveilles, Lisbeth sentait l’excitation monter de plus en plus au creux de ses reins. Les pointes durcies de ses seins l’électrisaient à chaque contact avec la peau ou les mains de Mach, la faisant gémir de plus en plus de désir.

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