Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Franz Nielsen

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Une chevelure rousse ondulante, des yeux d’un bleu aussi rare qu’envoutant, une chute de reins qui rendrait jalouse Aphrodite elle-même, et une poitrine dont l’oscillation ne laisse aucun doute sur la grosseur et le naturel de celle-ci. Je ne décris pas une héroïne de fiction, ou le dernier top model à la mode, mais bien une simple jeune femme que j’ai croisé dans une rue commerciale de Seikusu. Même si dans cette ville il y a un certain nombre de femmes d’origine étrangère, avec un sex-appeal pareil c’est déjà beaucoup plus rare, ce qui la rend d’autant plus intéressante à mes yeux.

Je l’ai donc espionné durant plusieurs jours, moi même ou mes hommes, et après des recherches j’en sais déjà beaucoup plus sur elle. C’est une prof d’Anglais au lycée de la ville (je connais des élèves qui doivent fantasmer), d’origine Irlandaise, ce que pouvait laisser supposer sa chevelure roussâtre, et visiblement célibataire, juste quelques connaissances ou histoires brèves à noter jusque-là.
Hitomi Yamagashi, voici donc le nom de ma prochaine cible, en plus de sa beauté celte, le fait qu’elle soit parfaitement bilingue m’intéresse, vu que j’ai dans l’idée d’ouvrir certaines de mes activités à l’international. Si je parviens à prendre emprise sur elle, cette prof pourrait rejoindre mes activités, mais si elle résiste trop je pourrais toujours la faire chanter pour négocier ses faveurs au prix fort.

Depuis ma mésaventure avec Melisende je n’ai pas retenté d’utiliser mon don de télépathie que j’avais découvert bien après celui de polymorphie, visiblement mon cerveau plus développé qu’un humain lambda me réserve encore quelques surprises, mais je préfère pour l’instant jouer la sécurité. C'est vrai que ce serai plus simple de sonder son esprit, pour repérer ses vices, trouver ses points faibles, mais j’ai du mal à le contrôler surtout sous une autre forme, et puis j'ai largement les moyens financiers pour en apprendre beaucoup sur cette prof.

J'ai récolté des informations sur ses goûts, ses fréquentations, son caractère, tout ce qui peut me servir pour me transformer en une personne à laquelle elle pourra difficilement résister. Mon plan consiste à intégrer le lycée en tant qu’élève, de passer du temps avec elle jusqu’à nouer une relation interdite de prof à étudiant.
Grâce à mon pouvoir ce ne fut pas difficile d’intégrer l'établissement scolaire, j’ai pris la forme de l’ambassadeur Irlandais, j’ai expliqué au directeur que je dois accueillir un riche investisseur de mon pays, et qu’il a un fils qu’il souhaite scolariser dans un lycée classique du Japon, afin qu’il apprenne la culture comme un Japonais lambda. Bien sûr tout est faux, mais sortie de la bouche d’un représentant Irlandais, c’est tout de suite très crédible. Alors pourquoi l'Irlande ? Ce n’est pas par hasard bien sûr, je pense sincèrement que ce sera un atout pour conquérir Hitomi, comme lorsqu’on mange une douceur de son pays alors qu’on en est séparé. Pour le reste, d’après les renseignements que j’ai recueilli, je sais qu’elle n’hésite pas à renvoyer sur les roses les hommes trop avenants avec elle, aussi beaux soient-ils, et à l’inverse elle semble très concerné par ses élèves en difficultés, plus introvertis.
Je vais donc jouer cette carte, je modifie mon corps pour ressembler à un étudiant maigrelet de 16-17 ans, des cheveux roux et mis long tombant sur mon front, des reste d’acné sur le visage, et vue qu’il faut tout de même laisser quelques bonnes surprises, j’ai une paire de lunettes ne mettant pas du tout en valeur des yeux pourtant d’un beau vert, et pareil pour ce qu’il y a sous le pantalon de l’uniforme scolaire, avec un sexe d’une très bonne taille, sans tomber dans l’exagération pour que ce soit crédible, mais ça reste grand, surtout pour un ado.

Ce matin-là je me présente donc à l’école, le directeur m’accueille avec un grand respect, voulant faire bonne figure pensant avoir à faire au fils d’une personne importante. Mais quoi qu’il en soit l'accueil tourne court, vu que je lui fais savoir que je ne comprends que très peu de mots japonais. Il m’accompagne en salle des professeurs et se dirige comme je l’avais prévu vers la professeur d’Anglais.

Directeur : Mademoiselle Yamagashi, je vous présente Ryann Mac Carthy, tout juste arrivé d’Irlande, il ne parle quasiment pas le Japonais, donc il me faut quelqu'un de bilingue pour ses premiers pas parmi nous. Je vous nomme donc sa marraine.

Le directeur s’apprête à se retourner pour quitter la pièce, mais il stoppe son mouvement pour ajouter :

Oh et c’est l’ambassadeur Irlandais en personne qui a choisi notre établissement pour l'accueillir, donc veiller à ce que tout se passe bien.

Moi je fais semblant de ne pas comprendre un mot de ce qu’il vient de dire, alors que l’homme quitte la pièce, me laissant seul face à la superbe rousse, je me contente de la regarder, puis je lui souris timidement, avant de remonter mes lunettes d’un mouvement de l’index et de lancer dans un anglais impeccable :

Ryann : Bonjour Mademoiselle Yamagashi.

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Les alentours de la ville / Proie ou prédateur ? [Arzhela]
« le: mardi 10 avril 2012, 16:58:47 »
Que de chemin parcouru… J’ai quitté ma chrysalide d’ado perdu et frustré, pour prendre mon envol en tant qu’homme d’affaires. L’éclosion ne fut pas facile, on monte un petit bordel, puis on l’agrandit, puis on créer un site internet,  on rachète une boite de nuit… Et on se retrouve bien vite à la tête de plusieurs établissements, certains légaux, pour permettre de blanchir l’argent sale des autres.
J’ai acquis tout ça par ce qui fut d’abord une malédiction pour moi, ce qui me rendait physiquement différent des autres… Pas un être humain c’est sûr, et rien de magique là-dedans. Un jour J’ai consulté un expert du milieu, à la fois médecin et spécialiste de l’occulte, qui m’a certifié que ma différence physique, ainsi que mon don, venaient directement de mon métabolisme.
Bref… Etrangement plus mon empire prospère, moins je suis occupé, je délègue de plus en plus, j’ai formé certains de mes lieutenants à manipuler et faire chanter les jeunes femmes candides ou affaiblis par les péripéties de leurs vies. Du coup, ma dernière victime remonte à… A quand déjà ? L’été dernier je crois… A moins que ce ne soit au début de l’année… Bref, je pense que je me suis… Assagie ? Non je n’irai pas jusque-là, mais sans doute que ma haine envers les humains s’est atténuée au fil des années. Si autrefois ce qui me motivait c’était de faire souffrir les humains, les femmes, maintenant je cherche avant toute choses le profit, et peut être même qu’un jour je me déciderai à arrêter mes activités mafieuses si les légales m’assurent une belle vie.

?? : « Un petit show privé patron ? »

La voix suave d’une femme courtement vêtu me sort de mes pensées, et me rappelle que je suis dans un de mes bars dans les quartiers sud de Seikusu. Si le rez-de-chaussée est tout ce qu’il y a de plus légal et classique, avec un bar, des tables, et une petite scène où se produit un groupe de pop/jazz local, à l’étage c’est une autre histoire. Les serveuses y sont bien plus légèrement vêtues que celle du bas, et proposent des services plus… personnalisés. C’est généralement dans ce genre de cadre que j’aime recevoir des collaborateurs ou négocier des contrats, ça rend tout de suite les gens plus… détendus. Depuis quelques années j’arbore un corps d’humain que j’ai modelé à partir de ma forme originale, gommant les aspérités inhumaines, pour devenir un beau trentenaire, le teint pâle, les cheveux bruns, une barbe naissante, la musculature parfaitement sculptée, bien sûr tout ce qu’il faut dans le pantalon pour ravir même les plus exigeantes. Après tout, quitte à construire ce corps soit même, autant en profiter… Bref, j’ai bâtit l’archétype des bruns ténébreux qui en général plaisent à bons nombres de femmes, et au fil des années je me sens si bien dans ce corps, que je ne reprends ma forme originelle que dans de rares occasions.

Passant une main sous la mini-jupe de mon employée, si courte qu’elle laissait voir la naissance de ses fesses, je lui lance un sourire en allant chercher mon paquet de cigarettes de ma main libre.

Franz : « Pas ce soir Taki. Je suis satisfait de ta journée, va donc voir si le monsieur là-bas n’a pas envie d’une de tes… spécialités. Et puis tu pourras rentrer chez toi. »

Après une petite tape affectueuse sur la fesse droite de la "serveuse", je la regarde partir en direction de la table du client, alors que je porte à ma bouche une cigarette, que j’allume aussitôt. Tout en expulsant un nuage de fumée je balaye l’ensemble du bar du regard, la position de la table qui m’est réservée me permettant d’avoir une vue d’ensemble de l’établissement.

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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: samedi 12 février 2011, 23:16:56 »
Pour ceux qui s'ennui ce soir, vous pouvez venir sur le chat et tapez /join #lgj , pour rp en live ^^

Bonne soirée

23:15


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Les alentours de la ville / Re : Une vieille connaissance [PV : Franz Nielsen]
« le: mercredi 26 janvier 2011, 17:35:39 »
Le corps de Shylee est un vrai plaisir pour les yeux, mais aussi pour ma verge qui va et vient dans son antre humide. Je souris alors qu’elle dit que ce que je lui fais est bien meilleur qu’avec son petit ami, et j’ai l’impression qu’elle le pense réellement, il faut dire qu’a force d’abuser de jolies filles on prend rapidement un certain doigté pour leur prodiguer du plaisir. C’est ça qui me distingue des autres violeurs de bas étage, jamais je ne fais du mal à mes victimes, je leur donne même du plaisir, les tortures que je leur inflige son psychologiques, tout comme celles que j’ai reçu durant mon enfance.

Après avoir pressé à nouveau ses seins avec ma main gauche, je la ramène vers ses fesses, me relevant afin d’accentuer mes coups de reins, qui m’arrache un gémissement de plaisir. Ma main droite, elle, continue de stimuler son clitoris, allant parfois affreusement lentement, pour mieux la rendre sensible quand mes caresses deviennent plus vives sur ce bout de chaire. Ma main gauche maintenant sur la croupe de la prof de Maths, je malaxe ses fesses vigoureusement, avant de commencer à déposer des petites claques sur celles-ci, technique bien connu pour contracter d’avantage ses muscles du bassin.

MMMH ! Ouais ! Shylee ! J’me doutais pas que je prendrais autant mon pied, t’as vraiment un corps de rêve !

Au bout de quelques minutes je sens mes muscles se contracter, signe d’une jouissance imminente, mes doigts se resserrent sur la fesse gauche de Shylee, tandis que ceux de mon autre main pressent son clitoris un peu plus fermement. Un profond soupire de plaisir s’extirpe de ma gorge tandis que je plaque mon gland tout au fond de son sexe, et que je l’emplis avec abondance de ma semence chaude. Je donne des petits coups de bassin entre plusieurs salves de sperme, pour mieux stimuler ses parois qui reçoivent mon liquide brulant. Je ne sais pas si Shylee prend un contraceptif, à vrai dire à cet instant je m’en fiche complètement. Mon éjaculation dura de longues secondes, ma verge faisant maintenant office de bouchon retenant une quantité impressionnante de semence.

Je remonte ma main droite vers le fessier de la prof de Maths, laissant en paix son clitoris que je sais trop sensible après une jouissance, je peux maintenant caresser plus tendrement et doucement ses fesses avec mes deux mains. Je reprends mon souffle quelques secondes, avant de retirer mon membre de son sexe, qui est vite suivit par un flot de sperme qui dégouline le long des jambes de Shylee. Je souris devant cette scène, avant de rallumer le jet d’eau chaude, puis je saisis ma « protégée » par les hanches, et je la fais se redresser pour l’entrainer avec moi sous l’eau. Je prends une fleur de douche que j’imbibe de gel, et je commence à caresser doucement le dos de la prof de Maths avec, pour la laver, après tout c’était le but premier d’une douche nan ? Tout en faisant ça, je viens murmurer à son oreille :

J’espère que ça t’a plus autant qu’a moi ma petite Shylee… Si on se lavait maintenant ?

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La croupe de cette fraiche et belle jeune femme m’est offerte, et je ne boude pas mon plaisir, me cambrant à chacun de mes coups de reins, pour mieux plaquer ma verge tout au fond de son sexe. Mes bourses claque contre sa peau, alors que je fais glisser mes mains pour venir empoigner ses seins fermement. Je les malaxe vigoureusement à pleine main, mes doigts venant jouer avec ses tétons, que je pince de temps à autre. J’aurais bien voulu voir la tête de son petit ami, en nous voyant faire ça, mais… peut être que je la verrais, vue que tout ceci est filmé. D’ailleurs je compte bien continuer de la faire parler, pour que la vidéo soit encore plus dérangeante pour elle vis-à-vis de son petit ami. Je viens déposer des baisers dans sa nuque, puis je murmure près de son oreille.

Dis moi que tu veux que je te prenne plus fort, dis moi que c’est bien meilleur qu’avec ton petit ami…

Sur la vidéo on ne remarquera pas et on n’entendra pas ce que je viens de lui dire, ainsi quand elle va le répéter, on pourra penser que c’est elle qui le dit spontanément. Pour la motiver à dire ce que je lui ordonne, je descends ma main droite le long de son ventre plat, et je viens caresser son clitoris du bout des doigts. J’alterne caresses rapides, et lentes, alors que ma verge continue de pénétrer avec force entre ses parois,  soulevant le bassin de Shylee sous la force du mien.

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Finalement tout se passe encore mieux que je l’espérais, Melisende semble croire dur comme fer que je suis son amant, et je vais pouvoir abuser de ses sentiments comme bon me semble. Elle me demande quelles affaires sont plus importantes que nous, et qu’elle aimerait partir dès que possible. C’est loin d’être dans mes plans, mais elle ne le sait pas encore, tandis que je soupire de plaisir en sentant sa bouche glisser dans mon cou, puis venir taquiner le lobe de mon oreille. Elle a le don de faire naitre le désir chez les hommes, c’est sûr, mon membre se dresse doucement sous ses attentions, alors qu’elle me dit que je lui ai manqué.

J’ai encore des amis qui m’ont beaucoup aidé lorsque tu m’as trahit, que j’aimerai te présenter.

Je joue encore un peu avec ses fesses, avant de remonter mes mains pour venir englober ses seins, et les pétrir doucement, puis je murmure.

Si je t’ai tant manqué que ça… Prouve le moi… Et peut être que je penserai à l’idée de partir plutôt.

Melisende a vraiment un corps sublime, et je compte bien en profiter à fond, maintenant que le risque que je sois découvert est écarté.

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Les alentours de la ville / Re : Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)
« le: samedi 04 décembre 2010, 15:34:05 »
Je souris en voyant les yeux de l’adolescent s’écarquiller alors que sa voisine qu’il pensait si sage, vient prendre sa verge dressée entièrement en bouche. Elle commence à le pomper alors que je vois sa cyprine dégouliner le long de ses jambes, le gosse gémit de plaisir, ce doit être sa première fellation, et il s’en souviendra longtemps. Au bout d’un moment Lisbeth s’arrête et lève les yeux vers moi, semblant m’implorer de la prendre comme la petite chienne qu’elle est. Puis elle recommence à sucer son voisin, qui gémit de plus belle et vient saisir les seins opulents de la jeune femme pour les pétrir. Elle ne tient plus, et approche ses mains de ses fesses pour commencer à doigter son petit trou, avec un doigt, puis un deuxième.

Je souris devant cette scène, elle sait qu’elle fait quelque chose de mal, c’est son voisin, beaucoup plus jeune que lui, mais elle est tellement dévorée par le désir qu’elle a perdu la notion des choses. Je viens me placer derrière elle, et ouvre mon pantalon, descend mon boxer pour libérer ma verge, puis j’agrippe les poignets de Lisbeth pour l’empêcher de se doigter, et je commencer à frotter mon membre dur et chaud contre sa croupe. Je tiens ses mains à l’aide d’une seule des miennes, pour que de l’autre je vienne agripper ses cheveux, pour relever sa tête et lui faire cesser sa fellation.

Alors Lisbeth… Dis à ton voisin à quel point tu aimes sa queue et que tu veux le sentir jouir dans ta petite bouche ?

Je viens presser mon gland contre son anus, pour lui faire comprendre que si elle ne dit pas ce que je viens de lui demander, je ne la prendrais pas. Une fois qu’elle a satisfait ma demande, je mets à rire, et j’appuie sur sa tête pour lui faire engloutir à nouveau le sexe de l’adolescent. J’enclenche le vibro qui bouge à l’intérieur de son vagin à la position maximal, puis je relâche ses mains pour venir agripper ses fesses avec fermeté. Mon gland se met à pousser contre son orifice avant de s’y engouffrer, puis d’un coup de bassin puissant je fais entrer le reste de ma hampe et je commence à ramoner son anus. Je soupire de plaisir en sentant ses parois si étroites presser contre mon membre imposant, alors que mes bourses commencent à claquer contre son bassin sous la puissance de mes allers et venus.

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Je joue le rôle du grand frère protecteur et à l’écoute de sa petite sœur, alors qu’elle me demande de ne pas se mêler de cette histoire, sans doute aussi qu’elle a un peu honte de ce qui s’est passé, être forcé d’avoir des rapports avec un autre homme devant son petit ami, c’est loin d’être une chose dont on se vante. Elle vient essuyer ses yeux avec le coin de la manche de sa chemise, en disant qu’un jour elle se débrouillera seule, qu’elle arrivera à se sortir des pires situations sans aucunes aides. Elle est tellement adorable comme ça, puis jetant un coup d’œil vers moi, elle vole à nouveau mon verre et prend une lampée de whisky, avant de le reposer sur la table, puis me demande ce qu’on fait maintenant.

J’ai bien vue toute la rancœur qu’elle a pour son nouveau chef et j’ai dans l’idée de la contraindre à devoir se soumettre à lui, mais je ne sais pas encore de quelle manière, et pour la première fois, l’idée de laisser un autre homme approcher ma proie ne m’enchante pas plus que ça… De toute façon, j’ai la nuit pour méditer, et je compte bien profiter de la présence d’Adelheid pendant ce temps. Je la regarde avec un sourire joueur et je viens prendre la bouteille de whisky avant d’en descendre une bonne gorgée, et de remplir à nouveau le verre posée sur la table.

Ce soir on fête mon retour petite sœur.

Je passe un instant ma main sur sa cuisse gauche, couverte par le seul pan de ma chemise blanche trop grande pour elle, dans un geste plus fraternel qu’autre chose, même si secrètement pour moi, cela avait le don de m'exciter.

On reste un peu sur cet alcool de fillette, ou tu vas nous chercher quelque chose de correct ?

Je lui souris à nouveau devant l’exagération de mes propos, je sais qu’Adelheid à l’habitude de consommer des alcools forts et des stupéfiants, je ne sais pas vraiment l’effet que cela aura sur moi, mais je sais que mon sang est différent du commun des mortels, et puis, le corps de Théodor que j’arbore cache un gabarit colossal. Tout en prenant une nouvelle gorgée du breuvage ambré, je dépose une petite tape affectueuse sur la cuisse de Frig, pour lui faire signe d’aller chercher autre chose.

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Les suppliques de Lili ne font qu’exciter d’avantages tous les mâles autour d’elle qui pensent qu’elle joue un jeu. Les doigts, les mains, les verges qui se pressent contre sa peau se font plus chaudes, son vagin reçoit de plus en plus de doigts, tandis que son anus en accueille un nouveau pour le dilater d’avantage. Le geek continue de masturber son membre entre les seins de Lili et visiblement, il est terriblement excité si bien, qu’il accélère ses allers et venus, et gémit de plus en plus fort.

Geek : Petite salope ! J’ai toujours rêvé de baiser tes seins MMMMH !

Après un nouveau passage de son petit sexe entre les seins de l’étudiante, il jouit, libérant plusieurs jets de sperme chaud sur sa bouche et son cou, commençant à dégouliner sur ses seins. Il n’est pas le seul à ne pas réussir à se retenir plus longtemps, deux des 4 autres étudiants qui frottent leurs verges sur le visage de Lili, lancent un râle de plaisir avant d’éjaculer quasi en même temps sur son visage, répandant leur semence gluant sur ses joues, son front. L’un d’eux vient même pincer le nez l’adolescente pour la forcer à ouvrir la bouche, mais ayant peur qu’elle le morde, il se contente de laisser jaillir ses derniers jets de sperme dans sa bouche, sans y engouffrer son membre.

Etudiant : MMMMH ! Régales toi de mon foutre petite putain…

Je regarde la scène avec le sourire aux lèvres, mais il est temps de passer aux choses sérieuses, il y a 43 hommes à satisfaire, et le temps passe vite en compagnie de Lili.

Franz : Allons Messieurs… Je crois qu’elle meurt d’envie que vous la preniez…

Le prof de sport de Lili vient s’allonger sous elle, en dévoilant un membre plutôt impressionnant, puis il vient frotter son gland gonflé contre son petit sexe.

Prof de sport : Moi d’abord… Ca fait un moment que j’attends de défoncer tes petites pattes arrières ma belle Lili…

Vue sa carrure aucun des autres hommes présent dans la salle ne lui conteste le droit de prendre l’étudiante en premier, et il ne s’en prive pas. Il vient prendre appuie de ses bras musclé sur les hanches de Lili, et presse sur son bassin pour la faire s’empaler sur son gros gourdin. Il entame tout de suite des coups de reins vifs et puissants, son corps musclé se contractent pour permettent à sa grosse verge de ramoner avec force les parois vaginales de Lili, tandis que plusieurs doigts continuent de jouer sur son clitoris et le piercing qui s’y trouve. Pendant ce temps l’élève qui se trouve derrière elle, continue de faire aller et venir deux ses doigts dans l’anus de l’étudiante, mais nul doute qu’ils vont bientôt être remplacés par quelque chose d’autre.

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J’ente dans la chambre de Saori sous ma forme de servante, alors qu’elle m’indique de poser son thé sur un petit guéridon, j’acquiesce en inclinant respectueusement la tête.

Bien Mademoiselle Kido.

Je viens poser le plateau sur le meuble, et je me retrouve dos à Saori, donc tout en préparant le thé, j’ai tout le loisir de prendre la télécommande de sa ceinture et d’activer d’abord à faible vitesse les vibros se trouvant autour de sa vulve.

Quel genre de thé voulez vous ce soir maitresse ?

Je fais comme si de rien était, le jeu ne faisait que commencer, et Saori allait pouvoir constater que ce n’était que les prémisses de ce que pouvait faire sa ceinture.

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Les alentours de la ville / Re : Une vieille connaissance [PV : Franz Nielsen]
« le: samedi 06 novembre 2010, 13:46:22 »
Je continue de prendre Shylee contre la paroi de la douche, avec toujours plus de force, mes mains se resserrant autour de ses cuisses pour la maintenir plus fermement. Mes lèvres se pressent sur la peau de son cou tandis que je sens son vagin se contracter sur ma verge, avec plusieurs sortes de spasmes, accompagné de longs gémissements. Elle a très certainement jouit, je l’espérais en tout cas, mes lèvres viennent chercher les siennes et je l’embrasse doucement. Je relâche l’étreinte de mes mains pour qu’elle puisse reposer pieds à terre, puis j’écarte mon visage.

Visiblement ça t’a plu… Mais ce n’est pas finit…

Je n’avais pas encore jouit et j’avais bien l’intention de donner un deuxième orgasme à Shylee, histoire qu’elle n’oublie pas ce moment de sitôt. Je l’incite à se venir se mettre à 4 pattes dos à moi, offrant une magnifique vue à l’objectif de ma caméra, toujours dissimulée grâce à la serviette. Je viens agripper ses petites fesses avec mes mains et tout en les malaxant je passe mon gland chaud et couvert de cyprine contre le sexe de la prof de Maths. Puis d’un coup mes mains se resserrent sur sa croupe, et je la pénètre avec puissance. Je commence à la prendre en levrette, tirant sur son bassin pour accompagner les mouvements du mien.

Alors Shylee… Tu en veux encore ?...

 Toujours dans l’optique de la vidéo qui est entrain de tourner, j’attends sa réponse alors que ma verge tendue comme jamais continue de frotter contre ses parois vaginales, la position permettant d’aller plus en profondeur et plus vite.

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Les alentours de la ville / Re : Un nouveau patient... | PV Franz Nielsen
« le: samedi 06 novembre 2010, 12:03:24 »
La fois où j’ai essayé d’aborder Adelheid sous une forme qui m’était propre, au début je dois avouer que ça s’est plutôt bien passé, que j’ai apprécié d'être avec elle. Mais au vue de la manière dont cela s’est terminé, je ne vois pas l’intérêt de recommencer si c’est pour que je me rende compte à nouveau qu’elle est avec un autre. Puis Dylan en vient à me demander si je la vois toujours, et c’est d’ailleurs ce que mes derniers mots laissaient entendre.

En effet… J’ai retravaillé une fois avec elle par la suite. Je dois avouer qu’elle m’avait manqué.

Un peu honteux d’avouer ça, de reconnaitre que je me suis attachée à une femme, à quelqu'un qui devrait être une proie et rien d’autre.

Par contre, au vue de la manière dont ça s’est terminé la fois où j’ai décidé d’être franc avec elle, je ne suis pas certains de vouloir réitérer l’expérience.


Le manque de confiance qu’elle évoque venait en majeur partie du fait de mon physique inhumain, mais ça je ne pouvais pas lui dire, alors autant essayer d’écarter ce point là.

On n’a pas besoin de travailler sur mon manque de confiance, je m’en fiche, ce que je veux c’est juste l’oublier.

Ma première heure de séance arrive à sa fin, pile à l’heure de l’apéro, et il me vient une bonne idée pour essayer de poursuivre cet entrevue, après tout plus je passe de temps avec elle, plus je pourrais guérir vite. J’esquisse un léger sourire à Dylan en me redressant de mon siège.

Je crois que la séance arrive à sa fin… Donc… La semaine prochaine même heure ?

Je regarde un instant ma montre, puis repose mon regard sur la psy, avec mon sourire le plus charmeur.

Au vue de l’heure qu’il est, je vous propose de m’accompagner boire un verre.

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Les alentours de la ville / Re : Une vieille connaissance [PV : Franz Nielsen]
« le: dimanche 31 octobre 2010, 12:33:38 »
Peu à peu mon membre glisse avec plus de facilité dans le sexe de Shylee, et je décide donc d’augmenter la cadence de mes mouvements de bassin, qui plaque le dos de la jeune femme contre la paroi de la douche. Je commence à laisse échapper quelques gémissements, c’est toujours un régal de pouvoir prendre une si belle jeune femme, de profiter d’un tel corps. Et bien sûr la caméra ne rate rien de cet homme d’une quarantaine d’année faisant l’amour à cette jeune d’une vingtaine d’années, encore une vidéo qui va être bien lourde à porter pour la belle. D’ailleurs si la précédente était déjà bien dérangeante, celle-ci l’est plus encore vue qu’elle présente clairement l’acte et donc l’adultère de Shylee.

Je fais varier la cadence de mes coups de reins, tantôt j’en enchaine plusieurs vifs, tantôt plusieurs lents mais plus forts et profonds. Les minutes défilent, puis je resserre l’étreinte de mes mains sur ses fesses, je commence à rassembler mes forces pour prendre Shylee avec une rare intensité. Mes lèvres glissent dans son cou, ma langue joue avec sa peau, je veux la faire jouir, la faire crier de plaisir, et pas qu’une seule fois.

Alors… MMMH ! Ca te plait Shylee ?!

Evidemment que ça devait être très loin de déplaire à la jeune femme, mais je veux l’entendre dire, surtout pour la caméra qui est entrain de filmer. J’ai beaucoup d’expérience dans le domaine, en tout cas, plus que la moyenne des hommes, et je sais très bien, quand il le faut, tout donner pour le plaisir des ces dames... Mais... Toujours pour servir mon interêt.

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Le show avait commencé, et la quarantaine d’hommes présents comptent bien en avoir pour l’argent qu’ils ont dépensé. Les mains continuent de passer et repasser sur le corps de Lili, toutes différentes, toutes plus ou moins ferme sur sa peau douce d’adolescente. Certains commencent déjà à insinuer des doigts sur son sexe et son anus, malgré les suppliques de l’étudiante, que je me presse à faire passer comme un jeu pour les exciter d’avantage.

Alors vous voyez ?! Elle joue bien la petite étudiante effarouchée ! Mais c’est une belle petite salope vous allez voir, et je suppose que vous avez tous vue ces piercing et dont celui à son clito ! Si c’est pas être une belle petite chienne ça ?!

Les ricanements et les paroles salissantes vont bon train, tous semblent persuadés que Lili aime ce qu’ils sont entrain de faire, et qu’elle fait exprès de jouer la petite étudiante apeurée. Les mains sur son corps se font tellement pressantes que les vêtements de Lili commencent à se déchirer. Son string ne tient pas longtemps, et à force d’être tiré il rentre dans sa petite fente jusqu'à se déchirer. Un prof le récupère le string en lambeaux, et lance :

Prof : Aha ! Je garderais ça en souvenir de cette belle petite putain !

Bien vite, la mini jupe puis le haut de Lili subissent le même sort et finissent en lambeaux par terre, laissant son corps quasi nu, seul son soutient gorge emprisonnant ses seins. Les doigts, les mains, les membres durs et chauds repartent à l’assaut de sa peau. Trois doigts de différentes tailles s’engouffrent dans son vagin et commence à y faire des allers et venus, tandis que deux autres viennent jouer avec son clitoris et l’anneau qui s’y trouve. Un élève vient coincer sa queue entre les fesses de Lili et commence à s’y masturber, sa hampe brulante frottant contre son anus. Un autre élève au look de geek, petite lunettes rondes, et chemise blanche, fait partit des 5 hommes faisant face à Lili, et celui-ci, il y a quelques semaines, s’est fait rejeter par Lili lorsqu’il lui a fait des avances et compte bien se venger maintenant. Il vient passer sa petite verge dressé entre le lien reliant les deux bonnets de son soutif et le creux de ses seins, s’offrant ainsi une belle branlette espagnole.

Geek : Ah petite trainée ! Tu ne voulais pas de moi hein ?! Tu vas voir maintenant !

Les 4 autres hommes ne sont pas en reste et devant le refus de l’adolescente de s’occuper d’eux ils viennent frotter leur membre contre son visage. L’un d’eux, sans doute puceau, gémit un peu plus fort après seulement quelques frottements de son gland sur la joue de Lili, et libère des jets de foutre sur son visage, sous le rire des autres hommes.

Geek : Tu vas voir c’est loin d’être les derniers jets de spermes que tu vas prendre, on est plus de 40 et on va tous jouir minimum deux fois… Tu vas te régaler...

Voila qui pouvait donner une belle idée à l’étudiante de ce qui allait se passer, tandis qu’elle peut sentir la verge qui passe entre ses fesses se contracter, et le gland venir se poser contre son anus alors que la semence chaude de l’homme se répand dessus. Il s’en sert comme lubrifiant pour venir enfoncé un doigt dans son petit trou et commence à le faire aller et venir tout en écartant ses parois.

Pendant ce temps, les mains de Lili passe de gourdins en gourdins, de bourses en bourses, tous veulent sentir ces petites mains d’étudiante sur leur sexe, certains sous l’excitation, ne tiennent pas très longtemps et libèrent leur semence bien chaude sur sa main et son bras. Malgré tout cela, tous ne peuvent pas en profiter, et certains s’impatientant derrière, viennent déchausser Lili, et déchire ses bas pour dévoiler ses pieds. Deux d’entre eux commencent à se masturber contre la voute plantaire de l’étudiante, elle peut être sûr qu’aucune partie de son corps ne sera épargnée ce soir.

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Les alentours de la ville / Re : Un nouveau patient... | PV Franz Nielsen
« le: samedi 30 octobre 2010, 16:43:09 »
Comme je le craignais Dylan me dit qu’elle ne sait pas combien de temps cela pourrait prendre avant que je sois remis, avant que je parvienne à la chasser de mon esprit. Elle dit qu’il faut qu’on continue à en parler, et me demande donc comment je la perçois quand je pense elle, c’est vrai que je m’étais jamais vraiment posé la question, je pensais à elle c’est tout.

Hmm… En fait... Je ressens comme un manque. Comme si j’avais besoin de la voir, besoin d’être avec elle.

Je fixe la psychologue et je me dis que je dois lui laisser une chance de m’aider, au moins quelques séances, mais si ça ne s’arrange pas d’ici là, je lui ferai payer, et je trouverai bien un autre psychologue.

Quand je « travaille » avec elle… Je joue un rôle, je ne suis pas vraiment moi-même… Je pense que ça vient du fait que lorsque j’ai essayé d’être franc, j’ai été vraiment déçu. Vous pensez que je devrai essayer de ne plus jamais la revoir ?

A certain moment, j’ai envie de reprendre l’apparence de Théodor, le frère d’Adelheid, juste pour passer du temps avec elle, pour me sentir aimer d’elle. Mais a coté de ça, je laisse mon travail de côté, et je m’enlise dans un personnage qui n’est pas le mien, alors que d’habitude je prends soin de changer régulièrement d’apparence, sauf pour les personnages fictifs que j’ai construit à mon image, comme la forme que j’ai actuellement et qui est juste une représentation de moi-même sans mes traits disgracieux inhumains.

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