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Centre-ville de Seikusu / Re : Hungry ? (PV)

« le: jeudi 01 juillet 2021, 14:33:37 »

La bise de la nuit passant sur sa nuque humide fait frissonner Kaito. Son corps répond complètement à l'appel de celui de Cora et leurs esprits semblent synchronisés sur les mêmes désirs. Cora réagit au quart de tour et se tend sous lui pour plus de contact. Elle est forte et arrive à loger sa poitrine entre les cuisses de Kaito qui n'en peux plus. Son jean est prêt à craquer. Elle le tient fermement, l'invite à mimer ce qu'il anticipe et le tire à elle indécemment. Le jeune homme se frotte à elle, les mains ancrées à cette poitrine exceptionnelle qu'il veut baiser.

Cora relâche la pression un instant et s'étire pour retirer son top, et d'un geste précis dégrafer son soutien gorge. Kaito peut à présent mesurer pleinement l'ampleur de ces seins lourds qui mettent à mal sa volonté. Comprimés dans le top, ils paraissaient moins gros, même si déjà hors normes. la belle américaine est canon, offerte entre ses jambes et apparemment prête à tout. Son regard pétillant et malicieux promet mille délices et elle semble prendre autant de plaisir que lui à se faire traiter de cette façon. Normalement, le japonais aurait été beaucoup plus correct, l'aurait entreprise avec plus de tact et de politesse mais la manière dont elle l'allumait avait eu raison de lui. Il avait l'occasion d'appliquer maintenant tout les genres et positions qu'il matait le soir devant l'écran de son ordinateur. En l'occurrence, ce qui se profilait pour les minutes à venir était une branlette espagnole d'anthologie, fantasme qu'il idolâtrait presque plus que tous les autres. Les grosses poitrines l'attiraient irrésistiblement et Cora était un modèle dans ce domaine, fine, et dotée de mamelles énormes. Le pied!

"Oh oui, beaucoup mieux! Vraiment beaucoup mieux!" souffla t'il, ébahit devant ce spectacle grandiose.

Ce qu'elle fit ensuite fut très cochon. De l'inviter à se servir d'elle comme ça, en passant ses mains sous les fesses du jeune homme pour le guider termina d'ériger l'érection de Kaito à un niveau jamais atteint.

"Vire-moi ça, et revient te caler là ensuite."

Le message est clair, son visage exprime l'envie, l'envie de satisfaire un homme et de s'éclater tout autant. Kaito a lu un jour que certaines femmes pouvaient jouir rien qu'en suçant un homme. Il espérait que Cora soit de cette espèce rare.

Kaito se redresse et envoie son t-shirt bouler dans un coin. Il ôte en se tortillant son pantalon et arrache son boxer avant de revenir s'agenouiller au-dessus d sa partenaire. Le barman n'est pas un acteur porno mais le sexe qu'il présente à Cora pourrait figurer dans n'importe quelle production pornographique. Son membre est long et veiné sans être monstrueux non plus. Son épaisseur est raisonnable et il a l'aspect d'un sexe "neuf", pas du tout détérioré par l'emploi. Une belle sortie d'usine en somme. Néanmoins, surplombant la jeune femme, il peut lui paraitre à elle, vraiment consistant. Kaito ne respire plus. il a devant lui l'objet de ses fantaisies. Il grogne en s'abaissant et d'un geste sec vient s'emmancher entre les seins de Cora jusqu'à ce qu'il y bute son bassin. Deux coups de reins lui confirme ce qu'il vit, une extase. Kaito se cale plus confortablement et suivant la position précédente, bloque les bras le long de son corps avec ses cuisses. Elle ne peut que subir l'assaut qui se prépare.

"Mince, c'est trop bon!"

Il démarre tout de suite trop fort et ramone sans douceur dans le couleur soyeux qui l'enserre totalement. Il parvient en poussant plus fort à offrir aux lèvres de Cora son gland prêt à exposer.

"Tu ... veux bien?"

Il s'abandonne à la folle sensation qui suit, s'échappe et revient, malmène cette poitrine accueillante à grands coups de reins. il l'écrase sous son poids. La peau de la jeune femme caresse son sexe brûlant. Il n'en peut plus de baiser ses seins qui tressautent à chaque mouvement. Il les serre lui-même autour de sa queue.

"HAN! ... HAN!"

Il y va fort, ses bourses se frottent au ventre ferme de Cora, l'émoustillant encore plus. Son gland laisse filer des fluides qui lubrifient le canal qu'il possède.

"Je... J''peux pas tenir !!!"

La première décharge qu'il lâche vient frapper le visage de Cora de plein fouet, s'étalant massivement sur son expression malicieuse. Est-elle surprise? Aime t'elle? Va t'elle le rabrouer? Il n'en sait rien et n'a pas le temps d'y penser trop. Sa deuxième giclée vient combler les manques de la première et termine avec la troisième de baigner le visage de Cora dans une mare de sperme.

Kaito a crié. Il s'est avancé sur les genoux, sa queue contre les lèvres douces de la jeune femme qui dégouline de foutre.

"Y'a quelqu'un?"

Le barman se pétrifie. La voix de femme qui interpelle vient de l'accès à la terrasse. Kaito s'affaisse brutalement et pénètre sans limites la bouche de Cora. L'impression de contraction qu'il ressent lui indique que sa queue vient de passer le goulet étroit de la gorge de l'américaine. I lui saisit les cheveux à deux mains et se crispe la sentant gigoter sous lui. Le dossier du sofa les cache et il se cramponne à Cora pour ne pas basculer.

"Allo? Y'a quelqu'un?"

Pas de réponses, ils peuvent entendre les talons de la femme redescendre les marches qui mènent au niveau inférieure. Ca devait être une des serveuses recrutée pour ce soir de fête ...

Kaito se retire doucement, un peu anxieux. De longs fils de foutre se tendent de son ventre à la bouche de Cora.

"Je ... Sorry! Ca ... Je t'ai pas fait mal?"

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Prélude / Re : Yzis l'avatar d'une Déesse [Anéa]

« le: mercredi 30 juin 2021, 14:58:36 »

Re-bienvenue!

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Prélude / Re : Mes tarifs ne sont pas donnés ♡ [Vanéalidée !]

« le: mercredi 30 juin 2021, 14:58:01 »

Re-bienvenue!

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Centre-ville de Seikusu / Re : Hungry ? (PV)

« le: lundi 28 juin 2021, 23:20:33 »

Dans la demie pénombre, Kaito se dit que le destin faisait bien les choses. Depuis qu'il occupait cet emploi au bar, il avait eu maintes occasions de pouvoir profiter de filles aguicheuses et intéressées de se faire LE barman du Shibuya. D'une manière ou d'une autre, il avait toujours esquivé, généralement d'un tour de passe passe bien rôdé. Non pas qu'il n'apprécie pas de se faire harponner par de jolies nénettes mais il tenait lui-même à choisir avec qui il pouvait nouer des liens, tout types de liens ... Dans le cas présent, il ne ferait pas le difficile. Dès le début, la briseuse de cœurs avait fait montre d'une certaine complicité à son égard. Que c'eut été au bar, comme sur la piste de danse, ses manières étaient directement dirigées vers lui, à son grand plaisir bien sûr.
La réputation des américaines n'était plus à faire. Tout le monde avait en tête ces beautés californiennes décomplexées en rollers qui arpentaient les plages de Malibu. Là-bas, le contact paraissait si simple. Peut être était ce tout naturel pour Cora de l'allumer ainsi, même si entremêler ses doigts aux siens était quand même très suggestif.

La façon dont elle l'avait pris par la main au préalable, pour le tirer jusqu'à un divan était claire. Elle menait la danse et savait ce qu'elle voulait. Que son choix se pose sur Kaito était une bénédiction pour le jeune homme célibataire. Ils s'enfoncèrent dans les coussins moelleux du sofa et disparurent derrière les grands dossiers à l'anglaise.

"Euh oui ... Tout le monde peut monter ici mais comme il n'y a pas de musique, c'est souvent assez désert, d'autant plus qu'en bas il y a la grande terrasse où ils peuvent fumer."

Il assimilait en même temps ce qu'elle venait de lui dire. Cora, la bombe US était lovée contre lui et sa grosse poitrine pressait contre le bras du jeune homme. Ok, elle avait faim, et plus de burgers. Elle avait en tête de croquer Kaito en guise de dessert. Ou bien plutôt d'en faire la suite de son repas, étant donné que le burger n'avait été qu'une formalité. Elle but une gorgée de bière, Kaito en but dix.

"Parce qu’étant donné qu’il te reste encore un peu plus d’une heure de pause, je me disais qu’on pourrait en profiter pour… Approfondir nos relations ?"

Ca, ça voulait dire baiser en se moquant de ce qui se passerait autour. Le barman en frémit tant les promesses cachées dans ces paroles lui paraissaient délicieuses. Elle continuait, ses mains posées sur son torse, l'attrapant pour le tirer plus à elle. C'était perdu ... son corps, son odeur, son regard planté dans le sien, son haleine tiède et toute la tentation qu'elle dégageait eurent raison de l'étudiant. Commencer par un baiser? Que serait la suite ? Elle est trop proche de lui, trop ancrée à lui, il fond tandis qu'une énorme érection distend le denim de son jean. Répondre serait inutile. Kaito saisit d'une main Cora par la nuque et l'embrase fougueusement, écrasant ses lèvres contre les siennes. Il s'agenouille sur le sofa, la dominant légèrement de sa taille pour profiter plus encore de cette sensation folle. les mains jointes derrière la nuque de la jeune femme, il se délecte de son odeur et de son goût. Sa langue danse un ballet endiablé autour de celle de Cora et il lui suce les lèvres outrageusement. Ce n'est pas un baiser d'amoureux mais plutôt la libération d'une envie trop longtemps retenue. L'acte est aussi érotique que charnel et pesant de son poids, fait basculer sa partenaire sur le dos. Il s'écrase sur sa poitrine et sans aucuns remords, glisse ses mains sous le top pour venir saisir ses seins arrogants. Il les pétrit tandis qu'il l'embrasse, s'attarde à tirer les tétons, dessine le contour de cette poitrine avec ses doigts. Agenouillé au-dessus du ventre de Cora, il est courbé sur elle, complètement absorbé dans la délectation de cette bouche vraiment trop tentante. Elle voulait un baiser, c'est un ouragan qu'il lui donne. La poitrine de Cora l'empêche d'avancer plus, il y heurte son bassin par à coups. Vue par une autre personne, ça pourrait paraitre obscène mais il brûle de désir pour ce corps parfait.

Il s'arrête un instant et la contemple. Ainsi couchée, entre ses cuisses, elle parait lui être offerte et son esprit s'emballe en une myriade de scènes où aucunes ne présentent un romantisme élégant. Cora sait ce qu'elle veut, à l'instant présent Kaito aussi. Il a faim.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Hungry ? (PV)

« le: lundi 28 juin 2021, 05:15:29 »

Cora? Mais qu'est ce que c'est joli comme prénom ça Cora. Papa, maman, je vous présente Cora! Kaito s'évade un court instant, mais revient vite, ramené par la voix excitée de l'américaine, en extase devant son burger. Elle l'entame avec vaillance et à nouveau les pensées de Kaito dévient tandis qu'elle referme sa bouche sur le pain moelleux. D'ordinaire, ça n'aurait rien de sexy mais Cora EST sexy, donc ... tout est sujet à déformation dans l'esprit du jeune homme. Bien malgré lui d'ailleurs. Kaito est un jeune homme courtois qui jamais ne manquerait de respect à qui que ce soit mais l'enthousiasme et la proximité de Cora l'encourage dans ses déviances. Il sourit à nouveau devant l'engouement de la jeune femme pour son assiette et manque tressaillir quand elle s'essuie la sauce au coin de la bouche. Mais elle le fait exprès ou quoi ??

Le barman est heureux qu'elle pose une question personnelle en premier. Lui, s'y serait difficilement attaché. Au japon, questionner sur un sujet comme la vie de chacun est généralement mal vu. C'est un point que les étrangers mettent du temps à saisir tant les relations des japonais sont protocolaires.

"je suis étudiant à l'université principale de Seikusu. Je cherche à me spécialiser dans la biologie en vue d'un cursus prochain en génétique appliquée. C'est du boulot et ... ça coûte cher donc je viens bosser ici quelques soirs par semaine pour financer mes études. Le patron me prévoit le planning au mois où m'appelle parfois quand y'a un coup de bourre prévu."

Kaito avait été recruté après un entretien où il avait excellé dans la réalisation de cocktails. Même si il s'était préparé avant, il avait déjà de l'expérience en service, ayant aidé son père dans le débit de boisson familial alors qu'il était plus jeune.

"Oui c'est un club extra. C'est très familial, le staff s'entend bien. Et quand l'ambiance est bonne, tout déroule. Maintenant, faut aimer le métal hein ..."

Quand Cora avala son deuxième bout de burger, Kaito fit les yeux ronds. C'en était presque obscène! Il comprenait presque la remarque de leur voisine tant le spectacle était étonnant mais adora la manière dont Cora la rembarra. L'autre se renfrogna et leur tourna le dos en grommelant un commentaire sûrement pas sympa. Néanmoins, la main de la jeune femme sur la cuisse de Kaito provoqua une réaction que le jeune homme tenta de dissimuler le mieux qu'il put. Décidemment, elle faisait tout pour le faire fondre. Enfin, là c'était plutôt le contraire.

"Euh ... présume donc, présume tant que tu veux, ce n'est pas moi qui vais t'en empêcher, surtout pas!"

C'était vrai! Et presque dit sur le ton de la provocation.

"Bah ... ne t'occupe pas d'elle, elle crève de jalousie."

L'instant suivant, Kaito pensa décerner la médaille d'or de la plus grande vorace à Cora. Lui-même n'était jamais venu à bout d'un "super Shibuya burger". La rasade de bière qu'elle s'envoya par la suite finit de l'impressionner. Mais c'est quoi cette fille?? D'autant plus que pas une miette ne lui échappa.

"J'ai encore 40 minutes et ..."

"Kaito, je t'offre ma pause si tu me fais un récit détaillé de ce qui suivra." lança Kelly en passant.

"Merci Kelly! A charge de revanche! T'es un coeur! Et bien, il me reste une heure quarante. Oui on peut aller danser un peu."

Kaito guida Cora sur la piste et l'entraina dans l'enfer du death metal. Alors techniquement, on danse pas vraiment sur ce genre de musique. C'est plus du head-banging et un pétage de plomb, le tout résultant en un amalgame indescriptible ou on manque prendre un coup de boule à chaque instant. Kaito apprit à Cora le signe universel du bon métalleux: bras tendu, index et auriculaire pointé vers la cible. Ils rirent et se démenèrent un moment jusqu'au ce que Terry passe le NOTHING ELSE MATTERS de Metallica. Là les couples se formèrent, et la foule passa de déchainée à amoureuse. Naturellement, Kaito se retrouva à tanguer tout contre Cora. L'assemblée de fêtard les pressaient l'un contre l'autre et il put profiter de toute la volupté de sa poitrine fantastique. Il la tenait par les hanches et sa peau souple et chaude invitait ses doigts à s'y ancrer sans vergogne. A se frotter à elle, il développa une érection qu'il tenta bien de cacher mais membré comme il l'était, il ne fut pas sûr qu'il réussit vraiment. Cora n'était pas petite et son visage adorable flottait tout contre le sien. Quelle attirance! Les dernières notes de guitare conclurent le slow et tous se séparèrent de leur partenaire après quelques secondes de torpeur. L'atmosphère était étouffante.

"Viens! On va respirer un peu!"

Il la prit par la main , la ramena au bar et après avoir attrapé deux pintes, la guida jusqu'à un escalier en colimaçon qui les emmena jusqu'à la vaste terrasse aménagée sur le toit de la Boîte. La nuit bien avancée offrait un calme absolu et la bise soufflant sur Seikusu fut bienvenue. Le jeune homme avala une gorgée de bière un peu amère.

"j'espère que ça te plait toujours. J'ai adoré danser avec toi. You rock Girl!"

Peu de monde était sorti, peu en fait connaissaient l'accès à cet endroit. Une serveuse débarassa quelques verres sur une table et disparut. De grands sofas profonds permettaient aux clients de s'asseoir et profiter de la vue de la ville illuminée. Seikusu by night, c'était sympa.
Kaito loucha sur le décolleté de Cora et sourit, pensant qu'elle ne le verrait pas.

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One Shot / Re : Bachelorette party [PV]

« le: dimanche 27 juin 2021, 21:11:29 »

Oh ça oui c'était sa soirée à Katya, et ce qui se préparait resterait dans les esprits de tout le monde pour un moment. Les stripteaseurs en avaient vu beaucoup revenir discrètement vers eux, de ces participantes d'un soir. Certaines devenaient accrocs et bien que mariées et mères de famille, revenaient se faire déboiter par ces hommes virils tandis que leur maris les croyaient de sortie chez des amies ou au travail.

Katya n'avait pas fuit et avait attentivement suivi chaque étape de cette soirée à regarder ses amies se faire ravager une à une. Tyron avait capté son regard et savait qu'elle ne rechignerait pas. Les plus timides peuvent être les plus cochonnes. Au centre de la pièce était disposé une sorte de matelas haut, recouvert de draps confortables. Le staff du club avait dû le mettre là pendant leurs ébats sur ordre de Noémie. Yahiko y avait amené son amie et la future mariée se tenait nue devant tout le monde. Les filles s'étaient attroupées, certaines encore nues et dégoulinantes de plaisir comme Salomé. D'autres comme Clarisse gisaient toujours, là où elles s'étaient faites sauvagement baisées.

Il était temps d'agir. les trois garçons vinrent un à un déposer un baiser galant sur la main fine de Katya. Ils laissèrent leurs grosses paluches se balader sur ce corps fin et profiter de la douceur de sa peau. Sandro et Chris guidèrent ensuite les doigts de la jeune femme sur leur membre raide pour qu'elle commence à les branler. Ainsi entourée des garçons, elle paraissait toute petite. Tyron lui caressa la poitrine et excita les tétons jusqu'à ce qu'elle gémisse et se tortille. Les garçons frottèrent ensuite leurs queues contre sa peau mimant une danse latino.

Enfin, Tyron s'allongea sur le matelas et fit à signe à Chris. Le danseur blond glissa un doigt entre les cuisses de Katya pour venir préparer son vagin en prévision de sa pénétration prochaine. Elle avait mouillé et il n'eut aucune difficulté à l'investir. Il la doigta rapidement arrivant immédiatement à insérer un deuxième doigt en elle. Tyron fit signe qu'il fallait continuer et Chris la guida au-dessus du braquemart noir tendu. Cette queue paraissait monstrueuse entre les jambes de Katya qui s'en avoir le temps de réagir ou protester fut pousser vers le bas, le gros gland lui écartant les lèvres. Yume porta ses mains devant sa bouche pour étouffer une exclamation. Le poids de Katya la fit s'empaler jusqu'à mi-membre. Chris et Sandro la prirent par les cuisses et les épaules et l'utilisèrent sur cette grosse queue jusqu'à ce qu'elle la prenne en entier. La jeune femme ne semblait plus respirer, arquée en arrière, la peau du ventre distendue par ce qui s'y trouvait. Elle tremblait ... de plasir et avant qu'elle puisse crier, Sandro lui tourna la tête pour s'engouffrer dans sa bouche. Lui, n'en pouvait plus, et après avoir baisé les jumelles devait se vider. Après quelques coups de reins et sans qu'il réussisse à s'enfoncer dans sa gorge, il se répandit en grognant et en la tenant fermement. Après toute cette baise, il avait besoin de se vider les couilles de tout le foutre qu'il y accumulait et la bouche de Katya en fit les frais. Il y en avait tellement qu'elle s'étouffa en avalant ce qui ne refluait pas sur son menton. Elle venait de passer de toute mignonne à bouche à foutre. Le ton était donné. De son côté, Chris s'était enduit la queue de lubrifiant et il poussa Katya en avant. Elle s'écrasa sur le torse musclé de Tyron et aussitôt, Chris vint presser son sexe contre la petite rondelle vierge. De toute manière, elle aurait mal, mais avec le grand black qui lui malmenait la chatte, ça passerait, peut être, un peu mieux. les yeux de la jeune femme s'arrondirent quand Chris força le sphincter et pesa sur elle. Son petit cul encaissa l'intrusion dans la douleur mais rapidement, les deux hommes purent bouger en elle assez facilement. Elle ne pouvait pas résister. Les deux gros sexe frottaient l'un contre l'autre dans son corps. Ils tapaient dur et loin. Chris la tenait par les bras et elle couinait à chaque cop de reins. La bouche ouverte, ahanant, elle laissa des filets de sperme couler le long de son menton. Sandro revint à la charge et lui prit la bouche à nouveau, plus fort cette fois-ci. il ne lui laissa pas le choix et s'introduisit enfin dans sa gorge jusqu'à ce que les lèvres de Katya se referment à la base de sa queue. Il ramona furieusement tandis qu'elle hoquetait, le cou gonflé par ce membre épais.

A trois, il la prirent de longues minutes sans qu'elle puisse faire un seul geste. Bien que Yahiko est demandé à ce qu'ils soient "tendres", le corps de Katya était tellement réceptif qu'ils s'abandonnèrent à un rut sauvage. Ils la baisèrent furieusement, lui cassèrent le cul, lui écartelèrent la chatte et lui remplirent la bouche. Ils y passèrent tous les trois, s'échangeant les places pour tous profiter de chaque trou. Elle restait pantelante, rarement capable de pouvoir crier ou s'exprimer tant les queues la bourrait en rythme. Plusieurs fois, elle trembla, exprimant avec des gargouillements le plaisir qu'elle y prenait et les orgasmes successifs qui la secouait. Elle fut prise couchée, à quatre pattes, debout, à l'envers. Quand les trois hommes n'en purent plus, elle était déjà presque inanimée. Ils s'agenouillèrent autour de son visage et tandis qu'elle gisait sur le dos, ils se branlèrent jusqu'à  ce qu'ils se vident sur sa gueule. Il la noyèrent littéralement sous des cascades de sperme. son beau visage n'était plus qu'un réceptacle à foutre et quand ils eurent terminé, une épaisse couche de semence la recouvrait. Elle ne bougeait plus, ses yeux papillonnant à peine.

Les garçons se levèrent et applaudirent autour de Katya. Elle n'était pas celle qui avait le plus ramasser ce soir mais elle avait enduré ces trois queues massives jusqu'au bout. Quel exploit!

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Centre-ville de Seikusu / Re : Hungry ? (PV)

« le: dimanche 27 juin 2021, 17:59:31 »

Il y a 66 millions d'années, toutes les créatures vivantes de notre planète avaient levé la tête vers le ciel quand la météorite qui devait les anéantir était entrée dans l'atmosphère. Ce soir au "Shibuya Club Escape", tous les hommes, tout comme les puissants dinosaures d'antan, tournèrent leur même regard intrigué vers l'entrée du club où venaient d'apparaitre une magnifique surprise. Les métalleux présents sur la piste de danse cessèrent leur head-banging, appréciant les courbes féminines qui venaient de se dévoiler à eux, tandis que leur copines les ramenaient à l'ordre l'instant d'après d'un grognement bref.

Kaito, comme les autres, n'avait pu que flashé sur le corps de la jeune femme qui présentait tous les atouts qui l'attirait. A l'abri derrière son bar, il l'avait reluqué, remerciant la mode actuelle d'exposer autant de peau. Elle était canon et se fondait parfaitement dans l'esprit heavy metal du club, toute parée de cuir noir. Il l'avait suivi du regard tandis qu'elle descendait les quelques marches qui l'intronisait officiellement comme cliente fêtarde métalleuse super sexy. Les enceintes géantes crachaient à ce moment-là un PAINKILLER old school pour le plus grand plaisir des connaisseurs mais qui empêcha Kaito d'entendre le charmant "salut" qu'elle lui lança en s'installant devant lui. Elle lui avait tendu sa veste qu'elle avait ôté d'un geste fluide et le biker assit à côté d'elle avait perdu ses yeux dans le décolleté outrageant qu'elle exposait. Oui, décidemment elle était superbe. Après avoir donné la veste de cuir de l'inconnue au service de salle, il s'occupa de sa conso et lui servit une pinte de bière blonde et posa le jeton du vestiaire sur le repose verre. Jecko, le responsable du bar, avait un jour décidé qu'on ne servirait les bières qu'à la pinte parce que dans un club métal, "on est pas des guignols". Tous avaient approuvé gravement ce jour-là et la lubie du grand irlandais était finalement restée. Le staff du club était principalement composé d'étrangers et Kaito faisait figure à part avec son sang 100% nippon. Maintenant, sa crinière blonde et ses traits fins le faisaient souvent passer pour un sang-mêlé. Il cultivait d'ailleurs ce look quand il officiait au club en accentuant ses traits anguleux d'un coup de crayon et en portant la tenue règlementaire du personnel de salle. Un Levi's noir classique et un t-shirt aux couleurs d'un groupe de hard rock à succès des années 90. Il parait que ce groupe avait un jour joué au Shibuya Club, selon le patron, mais personne n'était capable de s'en souvenir ...

Japonaise, l'inconnue aux cheveux roses ne l'était sûrement pas. Kaito pariait sur une américaine, à son accent craquant. Ce n'était pas surprenant, les investisseurs étrangers affluaient en masse à Seikusu ces dernières années. Des sociétés en tout genre s'installaient dans les faubourgs proches et la population de la ville devenait l'une des plus cosmopolite du pays. Ce soir particulièrement, Kaito s'en satisfaisait pour son plus grand plaisir. Les quelques mots qu'il avait échangé avec la fille le désignait comme l'ennemi numéro 1 de la gente masculine présente, aussi, quelques lourdauds comme quelques Apollons gominés s'étaient rués sur l'étrangère mais bien qu'elle ait flirté un peu, aucuns n'avaient réussi à se l'accaparer plus de deux minutes. Alors qu'elle dansait, Kaito l'avait détaillée sans vergogne. Son corps parfait était une invite à s'y lover. Et cette poitrine ........

Elle consomme, elle danse, elle profite de sa soirée. Lui, bosse, s'active, jongle avec les shakers et les bouteilles.  Comme toujours, il y a foule. Kaito est mignon, les filles le kiffe. Certaines l'allument gentiment, l'ambiance est sympa ... jusqu'à ce que Terry, le DJ, lance le BLEED ravageur de Meshuggah. Un hurlement d'approbation accueille la musique démentielle et le bar se vide d'un coup, la famille Métal se regroupant en scandant sur la piste.
L'inconnue lui fait signe à ce moment-là. Il se dirige vers elle en souriant et pour contrer le hurlement du chanteur du groupe suédois, il se penche au dessus du bar pour l'écouter. Elle fait de même, exposant ainsi sa poitrine volumineuse qui manque jaillir du top. Kaito marque un temps d'arrêt, perdu dans sa contemplation. Il adore les grosses poitrines, c'est l'un de ses gros fantasmes, et là, c'est difficile de faire mieux.

"Hey, sexy guy ! Y a moyen d’avoir aussi à manger ? J’commence à avoir sacrément faim !"

il lui faut quelques longues secondes pour revenir à la réalité, le temps d'être happé par la voix de l'inconnue, aussi sexy que son corps. il reprend néanmoins ses moyens et sourit de toutes ses dents. Si elle l'a capté ... bah ... pas grave ...

"Hey, pretty Lady ! On fait les meilleurs burgers de Seikusu ici! Si tu me fais confiance, je te sers un truc comme t'en a jamais vu!"

A ce moment-là, Kelly l'autre barmaid passe derrière lui et s'arrête faussement interloquée.

"Kaito, pas d'exhib au bar! Ton truc monstrueux, tu le déballeras plus tard!" ... avant de repartir à l'autre bout de la desserte.

"Euuuhh ... elle voulait juste dire ... enfin ... bref quoi. Alors tu le veux ce burger?"

Les enceintes vomissent un son effroyable et il n'entend pas sa réponse. kaito lui fait signe d'attendre et fait le tour du bar pour venir se "coller" tout contre elle, lui présentant son oreille. Il peut sentir son odeur qu'il aime instantanément. Il se dit l'espace d'un instant qu'il n'aurait pas trop de deux mains pour pouvoir l'explorer.

"Ok! C'est parti !". Il lance la commande à partir de sa tablette et tire un tabouret face à elle. Kelly peut gérer le bar toute seule avec son apprenti. Ils emboitent leurs genoux pour se rapprocher et pouvoir s'entendre.

"Moi c'est Kaito! Tu es américaine? Ton japonais est extra, bravo! Ca fait plaisir d'entendre une étrangère s'exprimer aussi bien! Ton accent est adorable, si les japonais avaient le même, on aurait la plus langue au monde!"

En cuisine, le chef préparait un "Super Shibuya Burger", gigantesque masse de bouffe qui pouvait nourrir une famille normale pour deux jours. Un type avait dit une fois que ca ressemblait à une pagode impériale mais qu'en tout cas, c'était drôlement bon. Le plat fut disposé devant eux alors qu'ils parlaient. sur la piste, la chanson se termina dans un rugissement et le DJ passa à plus calme. L'odeur de la viande grillée fit peut être revenir les fêtards au bar mais épuisés par cinq minutes de furie, ils se posèrent tranquillement, attendant leur commande. Kelly siffla Kaito.

"Prend ta pause! on gère ici!"

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Centre-ville de Seikusu / Streets of rage - Protect me my Lady (PV KIMIKO R.)

« le: mercredi 23 juin 2021, 21:22:12 »

La journée s'annonçait maussade et tout les immeubles se ressemblaient dans ce quartier là de Seikusu. Mêmes teintes grisâtres et même architecture sans âmes de ces  quartiers trop populaires pour que la mairie y investisse  sans pertes. C'est dans ces coins là que s'émancipait une faune bien différente que celle que l'étranger se fait du japonais moyen. Ces territoires étaient contrôlés massivement par la mafia japonaise et on y recensait autant de tripots de jeu, les pachinkos, que des établissements de passe ou encore des locaux souterrains où se concoctaient autre chose que des boissons vitaminées.

C'est aussi là qu'étaient établies la plupart des enseignes aux néons flashy et explicites qui indiquaient les boutiques de l'industrie du sexe, du bouge immonde au magasin super moderne d'un grand nom du porno. Et c'est précisément dans ce quartier là que Kaito avait à faire aujourd'hui. Fan de hentai, il avait trouvé une véritable pépite où se vendait les œuvres les plus rares. Le patron le connaissait bien maintenant et quand il recevait un article intéressant, il en informait l'étudiant par sms. C'est donc d'un pas pressé que Kaito se rendait à sa boutique favorite. Il haïssait ce quartier, lui qui était plutôt discret, pas exubérant pour deux sous et bien loin de ce monde là. Ses derniers mois, il avait réussit à économiser un peu sur son salaire de barman de nuit à temps partiel au club, et il comptait dépenser un peu d'argent aujourd'hui en s'achetant quelques revues érotiques.

Il s'était rendu dans ce quartier en métro et s'était habillé de manière à ne pas attirer l'attention. Un jean bleu délavé, ses vieilles sneakers, un sweat à capuche pour cacher sa tignasse blonde et c'est ainsi qu'il arpentait le trottoir, la tête baissée et les mains dans les poches.

La transaction fut rapide. Il ne passa pas plus de 10 minutes dans la boutique et en ressortit avec un paquet anonyme où il serrait trois magazines pornos. La rue lui paraissait agitée, ça arrivait parfois quand un évènement souterrain secouait la communauté criminelle ou marginale de Seikusu. Il ignora l'appel d'une prostituée, camouflée dans l'ombre d'un porche et pressa le pas.

Un cri lui fit lever la tête. Arrivant face à lui, un groupe de jeunes marginaux, occupant tout le trottoir, braillaient, bouteilles d'alcool à la main. La poisse! Kaito ne souhaitait aucune confrontation quelle qu'elle soit. Impossible de traverser la chaussée à cet endroit. Par réflexe, l'étudiant bifurqua dans la première rue à gauche et courut quelques mètres pour se glisser dans le renfoncement d'un hall d'immeuble miteux. Super Kaito! T'as le don de te mettre dans des situations vraiment nulles. Le malaise était palpable. La rue déserte et sale était sordide. Le jeune homme attendit un moment et s'apprêtait à rejoindre la voie principale quand le ronronnement d'un moteur résonna tout proche. Kaito osa jeter un discret coup d'œil. Une Nissan GTR flambante s'était engagée dans l'allée et venait s'arrêter tout proche de son perron. L'étudiant se tassa derrière un vieux placard abandonné là et aperçut entre deux lattes un type sortir de la voiture. Grand, massif, la tête rasée, couvert de tatouages indiquant son appartenance aux yakuzas et un pistolet passé à sa ceinture, il devint instantanément le cauchemar de Kaito. L'étudiant se mit à transpirer et osait à peine respirer. De l'opposé de la rue arriva un autre type, à pied, avec un profil de fouine et portant tous les vices du monde sur son visage. Le grand l'apostropha sèchement et l'autre s'approcha pour lui tendre un sac pesant apparemment un certain poids. Ils étaient trop proches pour que Kaito puisse détaler. Il se liquéfiait sur place.
Et manque de bol, c'est à ce moment-là que le smartphone de l'étudiant hurla sa sonnerie si identifiable, Highway to hell d' AC/DC. Kaito manqua décéder sur le champ.

Les deux types se retournèrent d'un bloc vers le renfoncement.

"Putain mais y'a quelqu'un là."
"T'inquiètes j'vais régler ça." lâcha le colosse.

Kaito fit sa dernière prière. Le grand type avançait, un rictus mauvais aux lèvres. il pouvait voir Kaito à présent, dissimulé dans l'ombre.

"Tiens tiens ... Qui va cracher toutes ses dents?"

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Centre-ville de Seikusu / Re : Qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse [PV Kaito]

« le: lundi 21 juin 2021, 18:24:47 »

Il était rare que l'un ou l'autre n'offrent pas, pour la forme, une petite résistance rituelle marquant le début de leurs ébats. Kara ouvrit donc le bal et les quelques secondes qu'elle prit pour le faire patienter terminèrent de porter Kaito à un état de liquéfaction avancé. Comme toujours, il tremblait, frétillait, et soufflait de ne plus pouvoir attendre de profiter d'elle ... et de sa bouche. La bouche de Kara, c'était souvent le début de leurs jeux et maintes fois, il s'y était répandu sans avoir pu passer à la suite. Il y était bien, pouvait s'y satisfaire de longs moments et de toutes les manières qui soient. Elle ne rechignait jamais et bien qu'il ne lui ai jamais posé la question, il la suspectait de véritablement aimé ça. Elle était une suceuse hors pair et bien qu'elle eut eu du mal au début, elle pouvait à présent l'avaler en entier sans préparatifs. Ils variaient leurs plaisirs passant d'une petite fellation coquine au coin du canapé en regardant un film, à lui baiser la gueule de la plus sale des façons. Et c'est précisément ce qui se profilait étant donné la manière dont elle lui avait agrippé les fesses pour imposer son rythme au jeune homme.

Son sexe vint s'écraser contre le palais de Kara, sans pouvoir s'enfoncer plus loin. C'était déjà brûlant. La mâchoire de la jeune femme ne s'écarta pas suffisamment, il se douta que c'était voulu, et ses dents raclèrent le long de son membre, l'irritant douloureusement. Il adorait ça! En réponse, il se fraya un passage plus profondément, en une succession de mouvements rapides destinés à détourner l'attention de sa Belle, puis sans prévenir, et tandis que les doigts de Kara serraient ses fesses, il se rua sur la luette qu'il tassa pour investir la gorge tant désirée. Ce ne fut pas propre et les quelques secondes qu'il passa à se caler dans ce goulet furent ponctuer d'éructations étouffées et baveuses de sa partenaire. Il savait ce qu'elle pouvait endurer et ils ne faisaient que commencer. Sans se retirer, il glissa ses doigts dans les fins cheveux de sa chérie et vint fermement saisir l'arrière de sa tête. Ainsi prise, il la força plus encore contre lui, écrasant son nez contre son ventre et son menton en butée sur ses attributs surchargés. Il joua a la tourmenter en maltraitant ce joli visage contre lui, la tordit, pressant et pressant de toutes ses forces avant de se retirer d'elle, laissant se répandre des torrents de salive. Un coup d'œil le rassura quand à la dévastation qu'il venait de commettre. A la seconde inspiration de Kara, il la reprit à nouveau, guidant sa queue dans cette gorge déjà bien abusée et martela comme un fou, le plus loin possible, offrant à l'immonde spectateur le show tant attendu. Comme prévu, l'élan les emportaient et le spectacle qu'ils offraient aurait fait fuir n'importe quel amateur d'érotisme élégant.

Kara glissa et se retrouva assise, les fesses dans la mare de salive qu'elle avait produite. La queue de Kaito s'était échappée de sa gorge, bien malgré lui. Ils respiraient aussi fort l'un que l'autre et s'observaient comme des gladiateurs dans une arène. Elle le contemplait, il la dominait.

"Ouvre la bouche, tire la langue!" aboya t'il!

Kaito fit un pas en avant et fléchit les jambes pour venir à nouveau s'emboîter dans ce coffre au trésor humide. Cette deuxième partie fut aussi hard que la première. Le jeune homme tenait Kara et par la gorge, ses pouces épousant les maxillaires, et par la nuque. C'est fou le plaisir qu'il pouvait éprouver à la prendre comme ça. L'instinct de prédation qui s'éveillait en lui quand il la côtoyait devenait de plus en plus probant, semaines après semaines. Il se demandait parfois si c'était normal, ce besoin d'ardeur virile, si c'était nécessaire d'être aussi cru. Mais ses pensées disparaissaient dès qu'elle lui lançait ce regard qui signifiait tout. il en était de même pour elle. Rares étaient les fois où les câlins restaient tout simplement des câlins. Kara était un volcan en perpétuelle évolution et elle n'aimait rien de mieux qu'une action râpeuse et intense. Il ne s'en plaignait pas non plus.
Le haut-le-cœur violent qu'elle eut quand le gland de l'étudiant écarta son œsophage de manière disproportionné le ramena à l'instant présent. Elle bavait massivement, son maquillage était un lointain souvenir et ses yeux humides trahissaient la dureté de l'exercice.

"Tu as faim?"



Daisuke avait décroché le gros lot. D'abord frustré par le comportement agressif du couple, il se satisfaisait à présent de la scène qui se déroulait devant lui. Avec son langage limité, il décrirait le show comme une pute se faisant déboiter la gueule par un bâtard. C'est le genre de scénario qu'il recherchait tous les soirs sur le net en tapant les mots clés pute, salope, violence. Il avait déjà classé la brunette dans les deux premières catégories et il espérait que ça irait plus loin encore. Son oeil vitreux luisait d'une malfaisance extrême et ca faisait déjà un moment qu'il se paluchait en les matant. Pour son premier orgasme, il se releva et introduisit à nouveau son sexe dans le trou de la paroi. Il éructa un couinement de coyote blessé et lâcha trois jets de sperme gras et épais qui s'écrasèrent comme une pomme pourrie à côté de la fille.

"Sale pute!"

C'est par ces mots qu'il salua la prestation avant de glisser un nouveau billet, à la somme moins conséquente que l'autre par l'orifice souillé.

"Suce le plus fort!"

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One Shot / Re : Bachelorette party [PV]

« le: dimanche 13 juin 2021, 15:19:01 »

"J'en dis que Chris n'a aucunes manières et que je vais corriger le tort qu'il t'a fait." répondit Tyron à la belle blonde.

Il l'avait observé discrètement et elle détonait au milieu de cet attroupement de femelles en chaleur. De par sa taille déjà car elle était grande, mais aussi de par son attitude qui en aurait impressionné plus d'un. Ses tatouages ajoutaient beaucoup à l'aspect autoritaire qu'elle diffusait. Elle savait ce qu'elle voulait et ne s'encombrait pas de subtilités quand à ce qu'elle voulait obtenir. Sa petite remarque malicieuse donnait à Tyron tous les éléments dont il avait besoin pour la satisfaire. Mais lui aussi était du genre dominateur et briser une femme pareille l'excitait encore plus. Elle le branlait, son corps chaud contre son dos puissant, ses doigts ne faisaient pas le tour de sa queue. Les pilules qu'il prenait étaient efficaces, complètement illégales mais efficaces. Il était aussi raide qu'un tronc centenaire. L'homme hocha la tête  et prit une serviette sur une table toute proche. Il se retourna et fit faire à Tatiana un demi tour pour lui nouer les poignets dans le dos. Puis lui faisant face, il la saisit par le cou et la poussa le dos contre un mur recouvert d'une tenture rouge écarlate.

Le stripteaser fléchit sur ses jambes, força la fille à écarter les siennes et remonta brutalement le long de ses cuisses pour la pénétrer d'une seule et  longue poussée. Tyron était un colosse et il souleva ainsi Tatiana dont les jambes cherchèrent le sol en vain.

"Tu voulais être portée, ne résiste pas alors."

Il ponctua sa phrase d'un coup de rein violent qui  termina de loger son sexe dans le ventre de la blonde. Pour marquer plus le coup, il pressa sur ses épaules pour qu'elle sent toute l'épaisseur de son membre en elle. Il ne lui laissa aucune liberté et ramona dans sa chatte comme un affamé. Il prit soin de jamais s'arrêter ni d'écouter aucunes de ses répliques. Il la défonça jusqu'à ce qu'elle reste toute pantelante, verrouillée entre ce mur et cette bête de sexe. Tyron lui ruina la chatte, détruisit tous les paliers en elle. Sa queue laboura les chairs tendres et en fit de la bouillie. Elle saignait autant qu'elle jouissait, et quand elle hurla trop, il lui couvrit la bouche. Manquant d'air, elle gigota et s'évanouit au moment où elle jouissait en un orgasme démentiel. Tyron  se retira d'elle, comme il l'avait fait des autres et la laissa glisser au sol où elle s'affala. Elle n'avait plus du tout l'air d'une maîtresse dominante, seulement l'aspect d'une bonne salope bien baisée.

Total filles brisées : 8

Tyron claqua dans ses mains.

"Je crois que le grand final  approche non?"

Il lança à Katya un regard de prédateur mais il lui fallait l'accord de l'organisatrice de la soirée pour aller plus loin. Yahiko se remettait difficilement de la double pénétration qui  l'avait déboîtée mais il lui fit quand même un signe discret qui signifiait "et maintenant?"

Plus salopes que les jumelles? Ca n'existait pas. Quand Inès se glissa sous rose, tout indiqua que la suite serait particulièrement hard. Elles n'avaient pas de limites, ça tombait bien, celles des garçons étaient restées au vestiaire. Et comme effectivement, ils se gardaient bien de jouir pour laisser à Katya le privilège de se faire crémer, ils passèrent un anneau pelvien qui leur permettrait de tenir encore un peu. Chris se plaça d'un côté des deux salopes et Sandro de l'autre. Le latino fut le plus salaud des deux et déchira le cul Inès sans la prévenir ni le lubrifier. Il râpa méchamment le sphincter comprimé et écartela la fille qui eut un spasme déroutant. Elle hurla, arc-boutée mais gênée par sa sœur au-dessus. Chris profita qu'elle est la bouche grande ouverte pour y introduire sa queue et l'étouffa, emplissant sa gorge déformée de sa asse de chair tendue. Les garçons bourrinèrent de concert, tapant dur dans ses trous à bites. Chris fut le premier à sortir et la queue dégoulinante de salive, passa un niveau plus haut et écarta les fesses de Rose.

"A ton tour!"

Aussi chiennes qu'elles puissent être, les stripteasers étaient hors normes et toute pénétration était une épreuve avec eux. Le beau gosse pesa de tout son poids, Sandro en fit de même et martelant comme des sauvages, comprimèrent les jumelles sous leurs corps massifs. Ces petits corps n'étaient pas faits pour accueillir des sexes aussi énormes et très vite, le spectacle se mua en une destruction méthodique et planifiée de ses deux petits trous d'balles. De cette soirée, ce furent les jumelles qui reçurent la baise la plus monstrueuse qui les laissa dans un état pitoyable. Rien ne fut meilleur pour les garçons que prendre plaisir à les déboiter. Ils les enculèrent comme promis, allant au delà de leurs espérances et ils ne s'arrêtèrent pas, même quand elles ne purent plus les supporter. Au début, elles participèrent en se titillant le minou mais sous les coups de boutoirs violents n'eurent très vite d'autre choix que de subir cet anéantissement. Ce fut aussi le coït le plus sale, à un moment, elles ne purent plus se contenir et se répandirent tandis qu'elles se faisaient toujours marteler. Inès fit les frais de sa sœur et eut le visage maculé. Les stripteasers ne faiblirent pas et sortirent victorieux, n'ayant pas lâcher une seule goutte de semence. A la fin, les jumelles ne parlaient plus, recluses l'une sur l'autre, l'anus béant.

Total filles brisées : 10

"On y est peut-être allé un peu fort non?"

"Bah, c'est ce qu'elles voulaient!"

"Ouais ... bon ... Hey Tyron! On en est où là?"

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One Shot / Re : Bachelorette party [PV]

« le: vendredi 11 juin 2021, 18:04:43 »

Les deux sœurs avaient tout d'une paire de salopes accomplies. Rose vint porter l'évidence à Chris qui avait bien prévu de la baiser et de ne pas s'occuper que de sa bouche. De son côté, Sandro ne frissonna même pas quand Inès lui introduisit un doigt dans l'anus. Il avait déjà tourné, il y a longtemps, dans des productions gays et il avait déjà pris bien plus gros qu'un doigt si fin. Et quand les deux jumelles s'en prirent toutes les deux à lui, il rigola.

"Doucement les frangines, d'abord on s'occupe de cette future maman, et ensuite on vous détruira le cul, c'est juste une petite question de temps, ne soyez pas pressée."

Oh oui, qu'elles allaient en prendre pour leur compte. Tyron était un maître de sexe mais les deux plus jeunes stripteasers étaient des animaux quand ils décidaient de se lâcher. Ils recroisèrent leur regard et d'un commun accord silencieux, se mirent d'accord. Les deux soeurs seraient le gros spectacle de la soirée. Elles finiraient détruites à un point qu'elles ne pourraient plus marcher correctement pendant des jours. Bien sûr, le véritable clou du spectacle serait la mariée mais ce serait le final et il restait encore quelques affamées à combler. En ce sens, Chris se retira sèchement de Lilas qui laissa échapper un "beuaaark" baveux. Son visage si mignon disparaissait sous des torrents de salive et même si Chris n'était pas resté longtemps dans sa gorge, ça avait suffit pour lui ruiner le visage. Le danseur la retourna sur la table, toujours sur le dos et pressant son gland contre son vagin, en écarte les lèvres pour la pénétrer sans compassion pour son état. Il farfouille immédiatement dans ses entrailles et ne fait aucun cas qu'elle soit enceinte. Une fois bien en elle, il la prend par les hanches et la baise sauvagement, heurtant son gros ventre à chaque mouvement. Sa petite chatte est complètement dilatée autour de sa queue et il s'en échappe tellement de jus qu'il a l'impression de pomper dans un seau. Il fait un geste à Sandro et abandonne la fille pour laisser sa place à son pote qui l'embroche de la même manière, un long moment. Ils alternent l'un et l'autre leur passage sur le corps de la fille et en profite sans limite. Elle gémit et se tord sans s'arrêter et à chaque soubresaut, les garçons accélèrent brièvement. Elle libère une flaque de plaisir entre ses jambes et après s'être faite démontée pendant 20 minutes, elle hurle son plaisir et s'écrase dans un orgasme violent. Abandonnée sur la table les jambes ballantes dans le vide, elle accuse le coup, et reste ainsi toute maculer de sa propre lubricité.

Total filles ruinées : 5

Les deux potes se tournent vers les jumelles.

"Je crois que c'est à vous. Les règles sont simples, on ne veut entendre ni non, ni arrêtez!" précise Sandro qui choisit Inès. Chris, lui, attrape Rose, la retourne et la pousse à quatre pattes juste devant lui, dans la flaque de plaisir de Lilas.

Tyron, tout proche, ne perd pas de temps non plus et ce qui l'attend le réjouit. La petite pause sexuelle qu'on lui propose est parfaitement bienvenue. Ces deux femmes n'étaient pas des gamines. Encore une fois, il connaissait bien Noémie et il savait qu'il allait devoir lui faire mal pour la combler. Quand à Yume, sa discrétion à elle aussi cachait une véritable chienne. Se faire déboiter le cul par ses deux gros poings? Pas de problèmes. Il serait le marteau et elles, les enclumes.

"A genoux! Fesses en l'air!" commanda t'il.

Elles obéirent et il se plait à regarder ces deux belles paires de fesses voluptueuses. Bon ... il aurait bien aimé baiser les nibards de Yume mais il était payé pour les combler, elles. Qu'a cela ne tienne! Il s'enduit les mains et les avant-bras de lubrifiant, à outrance, il fallait que ça glisse. Après, comme apparemment elles étaient habituées à ce genre de traitement, il ne perdit pas de temps à les préparer. Trois doigts pour chacune entrèrent comme dans du beurre par l'entrée de service. Il pivota ses poignets et inséra un quatrième doigt. C'était déjà un exploit pour une femme d'en arriver là. Une nénette normale se tordrait déjà de douleur. Le pouce suivit rapidement et les anneaux rigides de leur anus cédèrent pour qu'il passe en elles. Les sphincters se refermèrent sur ses poignets et il s'entendit murmurer.

"Putain de salopes!"

Avant qu'elles ne fassent un commentaire, il s'enfonça dans ses canaux serrés, élargissant le passage et fouaillant dans les chairs saignantes. Elles pouvaient toujours gueuler mais il n'arrivait pas à deviner celle qui encaissait le mieux. il alla plus loin et sentit les corps chauds comprimés ses avant-bras. Les rondelles explosées paraissaient prêtes à craquer dans le diamètre d'extension qui leur étaient imposé était énorme. Le grand Black martela comme une furie, activant ses pistons en rythme dans les culs de ces femelles en chaleur. Il cogna dur et loin, butant dans leurs limites. Les deux réussirent à le prendre jusqu'aux coudes. Il aurait put les soulever comme des trophées mais c'était trop bon de leur massacrer le ventre. Les mains grandes ouvertes à présent, il s'agrippait à ce qu'il pouvait et leur fit vivre, il l'espérait, un supplice divin. Vue par quelqu'un d'autre, on aurait pu croire qu'il boxait dans ces fions démolis. C'était particulièrement dégueulasse mais il s'en foutait. Yume craqua la première, il lui sembla, et alors qu'elle tombait en avant, son visage heurta le sol tandis qu'elle bavait comme une démente. Il sortit d'elle, il était sale. Ca avait été trop pour Yume et elle n'avait pas pu se retenir. Son anus aurait pu accueillir une balle de tennis sans qu'elle en touche les bords. Quand à Salomé, c'est avec une expression vicieuse qu'il l'investit de sa seconde main. Il força comme un dingue, usant presque de méchanceté pour la faire couiner, c'est ce qu'elle voulait. Aucune pitié! Il bourrina dans ce gros fion comme un sadique et écarta même les bras pour l'écarteler. Là aussi, il cogna dur sans s'arrêter, et quand enfin elle craqua, peut être de plaisir ou bien de douleur, il ne s'arrêta pas. Les filles survivantes vinrent en spectatrices, horrifiées pour certaines, jalouses pour d'autres, et l'une d'elle confirma à voix haute que Noémie s'était évanouie. Tyron se rétracta et en s'essuyant les bras avec une serviette vint voir le visage de la beauté bronzée. Elle portait un masque indéfinissable. Elle lui dirait plus tard si c'était allé. Son cul à elle aussi saignait, et un tour à l'hôpital serait peut être nécessaire.

Total filles ruinées : 7

Le grand Black fit ensuite un clin d'œil à Katya. La future mariée l'attirait follement mais il faudrait attendre la fin pour s'en occuper.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Petite dispute qui finit en punition dans les toilettes [Kaito Nakajima]

« le: mercredi 09 juin 2021, 17:35:57 »

Ouais bien évidemment, c'est le genre de réponse à laquelle il fallait s'attendre. Mais à ce stade, qu'il lui gicle au fond du cul ne changerait pas grand chose à l'état de déchéance dans lequel elle se trouvait. Qu'elle s'inquiète qu'il la prenne par la chatte pour s'y purger était une idée saugrenue puisque depuis le début il ne s'en était pas soucié. Le fait qu'elle en parle fut ce qui le décida, si elle s'était tue, il lui aurait sûrement craché la purée au visage mais non, finalement il irait jusqu'au bout de sa punition et il vivrait ce calvaire jusqu'à la fin.

Les derniers coups de reins qu'il donna furent les plus violents de cette session de baise dégueulasse. Il voulut lui faire mal et y parvint parfaitement. Quand il se retira de son cul explosé, celui-ci resta grand ouvert et déversa une quantité massive de fluides immondes. La fille glissa du lavabo mais il la retint juste pour terminer ce qu'il avait à faire. Il l'empala sans pitié, détruisant immédiatement cette petite chatte jusqu'alors préservée. Il gueula aussi fort qu'elle, la peau de son sexe étirée en arrière alors qu'il rippait contre les premières muqueuses sèches. Ca ne fit que l'énerver et il rua dans la salope, la pénétrant le plus loin possible. Il heurta durement le cervix et s'y ficha. Il pressa de toutes ses forces sur les épaules de la fille et dans un dernier effort titanesque, se cambra pour lâcher dans ce corps souillé tout le foutre dont il était capable. Il la remplit outrageusement, cessant d'appuyer seulement quand la dernière goutte de sperme fut aspirée hors de son urètre.  Il haleta, suant, sale et enfin, se retira brusquement d'elle, la laissant choir au sol, sa semence coulant abondamment de son vagin. Kaito fit quelques pas en arrière pour s'adosser à une cabine. Il soufflait et sourit à la catin.

"Et bien voilà, ça te fait quel effet d'être traitée comme une merde? C'est sympa hein? Tu réfléchiras peut-être deux fois la prochaine fois avant de mal parler au gens."

La pression retombait. Une dernière fois, le barman sortit son smartphone de sa poche et prit un shot de la salope explosée les jambes écartées et couvertes d'humeurs dégueulasses.

"Un petit souvenir de notre rencontre hein? Tu comprends que tu me feras pas chier j'espère? Allez, maintenant tu dégages!"

Kaito farfouille dans une autre poche et sort un petit trousseau de clés et à l'aide de l'une d'elle, ouvre une porte dans le fond des toilettes. Un petit sas et il pousse une clenche d'une autre porte qui donne sur une ruelle derrière le club. Personne n'y traine à cette heure à part le clodo aviné du coin. Le barman revient dans la pièce pour trainer la salope par les cheveux jusqu'au milieu de la ruelle et l'y abandonne. Elle ressemble à une loque et se fond parfaitement dans le décor. Une ordure parmi celles qui jonchent le bitume.

"Allez, dégage avant qu'un autre moins sympa prenne le relais!"

Puis il claque la porte, satisfait de ne pas s'être laissé faire pour une fois.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Knock out sexuel ! Tiens parole petite chienne ! [ PV SKYLER ]

« le: mercredi 09 juin 2021, 07:45:58 »

On ne change pas un pitbull en caniche. Mais qu'est-ce qui lui est passé par la tête quand il a décidé de la faire chanter? Bien évidemment, Skyler ne se laisse pas faire même si dans sa colère elle s'est exhibée. C'est peut être le seul point positif de la situation puisque Kaito n'avait eu qu'à déclencher l'enregistrement vidéo qui affichait une allumeuse entrain de le teaser sous la douche. Après ... le son, ça se travaillait ... Pour Skyler, rien n'était allé non plus. Elle se tenait à présent assise sous ce jet d'eau froide qui les aspergeait tous les deux. C'était l'occasion ou jamais. Spécialiste, comme tous les jeunes, de l'emploi d'un smartphone, Kaito s'activait à prendre le plus de photos possibles, en gros plans, de vues générales, des mimiques de la fille ... Il lui fut simple de se les envoyer et pour clôturer le problème, il tourna l'écran vers la boxeuse pour afficher l'accusé d'envoi et faire défiler les photos les plus osées, notamment celles où elle exposait son intimité. Sur certaines, on croirait même qu'elle y prenait plaisir. Kaito n'était pas bête.

"Maintenant tu arrêtes. Si ces photos sont diffusées, tu perds tout. Et à la manière dont tu m'as agressé publiquement et gratuitement aux yeux de tous, je pourrai me défendre sans difficultés. Tu as beaucoup plus à perdre que moi."

 C'était du bluff aussi mais sa position dominante à cet instant lui donnait un air particulièrement serein. Luttant pour ne pas trembler sous le jet glacé, il récupéra le pommeau de la douche au sol et n'eut aucune difficulté à le revisser sur sa base. Il coupa l'eau et baissa les yeux sur la sportive couverte de chair de poule. Elle était déjà beaucoup moins bien impressionnante dans cet état.

"Donc on disait, tu vas mettre beaucoup d'ardeur à me faire plaisir, et moi, je te rendrai la pareille après. C'est un peu donnant donnant hein?"

A l'extérieur, le type, sûrement du même calibre que le coach, braillait dans son téléphone en s'esclaffant régulièrement. Il n'avait pas l'air décidé de quitter les lieux. Bon, ça n'avait que trop duré. D'un pas, Kaito avance et colle son sexe devant le visage de Skyler. Il lui attrape la tête fermement et profitant de sa surprise et de sa jolie petite bouche ouverte sur un début de protestation, il s'engouffre entre ses lèvres délicieuses bien que fraîches et sans attendre commence à lui baiser la face.

"Oublie pas les photos, faut pas déconner là, vraiment."

Très vite, il s'excite follement. Autant avec Kitty, tout était facile, autant avec Skyler, la sensation est différente. Elle est beaucoup plus ... difficile à investir. L'étudiant passe plus de temps à s'enfoncer dans ses joues, les faisant gonfler sous la pression de sa queue, que bien droit dans sa bouche. Elle gigote trop et il craint un instant devoir subir une morsure fatale. Décidant lui aussi de montrer qu'il pouvait avoir de la poigne, il avance encore un peu, la dominant de sa taille et se place bien au-dessus d'elle. Ainsi assise entre ses jambes, elle n'offre que sa tête en extension qu'il bloque avant d'un coup sec, s'enfoncer dans la gorge sans protection. Il manque jouir sur le champ tant c'est serré. Il est complètement comprimé en elle et elle ne peut que s'étouffer. Il se retire de ce goulet sans pour autant quitter l'écrin de sa bouche et la laisse reprendre son souffle au milieu d'un flot de salive qui s'épanche. Stop! Ca suffit maintenant de trainasser. Fermement, c'est lui qui la fait pomper sur sa queue. Il ne bouge pas, de sa prise solide, c'est lui amène la tête de Skyler contre son corps pour l'empaler sur son sexe tendu. Il ne lui laisse pas le choix même si c'est toujours aussi dur de prendre cette gorge. A chaque intrusion, il lui faut forcer, ajuster l'angle, écarter le conduit derrière la luette. Skyler ne doit pas y être habituée car rapidement, ça devient sale et ses haut-le-cœur s'intensifient.

"Mets-y du tien bon sang!"

Disparu le gentil jeune homme pacifique. L'excitation mêlée à une bêtise sans nom l'a fait franchir un cap. Et sa dernière expérience avec Kitty l'a conforté dans son expérience sexuelle. Il va plus vite et les gargouillements sonores de Skyler ajoutent du piquant à la situation. Il pompe maintenant sans relâche dans cette gorge qu'il ne quitte plus. il la sent tendu, cambrée, arc-boutée sous lui mais il ne cède pas. Il lui baise la gueule tout simplement.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Knock out sexuel ! Tiens parole petite chienne ! [ PV SKYLER ]

« le: lundi 07 juin 2021, 21:53:41 »

Qu'est-ce qui pourrait être plus détestable que de passer pour un abruti devant tout le monde? Pas grand chose selon Kaito qui avait en horreur de se faire remarquer. Comme prévu, cela avait bien été une mauvaise idée d'accepter de venir. Depuis le début de la séance, rien n'allait et apparemment ça ne changerait pas. La tigresse farouche qu'il avait en face de lui paraissait vouloir le bouffer tout cru. Skyler a l'air d'avoir bu un litre de Red Bull tant la tension est palpable. Adoptant une position de guerrière qui parait effrayante au novice qu'est Kaito, elle lève les poings et lui décroche un direct meurtrier qui vibre jusque dans ses épaules. Le pao déséquilibré glisse de côté et le boxeur en herbe à tout juste le temps de bien le replacer que le deuxième coup arrive, aussi brutal et précis que le premier. Kaito peine à ne pas reculer devant l'assaut féroce qu'il subit. S'en suit une véritable avalanche qu'il ne peut pas contenir et il est obligé de se blottir derrière sa protection quand soudain un vrombissement l'effleure, lui donnant même la chair de poule. Ses yeux plissés voient passer tout proche et très vite un gant massif qui frôle ses mèches. Il en a le souffle coupé. Si elle l'avait touché, il finissait à l'hôpital.

Le coach la recadre immédiatement, vertement, et sa grosse voix qui braille attire l'attention de toutes les personnes présentes. Kaito est rouge de honte tandis que Skyler se prend une réprimande sévère. Ca se voit qu'elle est furax quand elle quitte le gymnase. Le colosse se tourne à présent vers l'infortuné pour le chasser poliment, ou tout du moins sans lui mettre avec un tact tout relatif genre -bon t'es nul, va te remettre de tes émotions plus loin- Malgré tout, personne ne se cache pour rigoler au nez de l'étudiant qui d'un coup se vexe, sentant la moutarde lui monter au nez. Bien sûr il ne prend pas le risque de faire un commentaire, les mecs sont tous taillés comme des dieux. En revanche, l'image du regard meurtrier de Skyler lui revient à l'esprit. Lui n'avait rien fait d'autre que de subir, si elle avait été plus cool, rien ne serait arriver. Si seulement .....

Kaito range son pao et tout penaud va récupérer un gobelet en plastique pour boire à la fontaine à eau. Évidemment, elle est vide ... Autant aller boire et vestiaire et puis, discrètement disparaitre de ce gymnase. Le sportif au destin brisé prend le couloir pour rejoindre la pièce dédiée aux hommes, passe plusieurs portes dont une entrouverte. Un coup d'œil bref, il continue et quelques pas plus loin s'arrête brusquement. La chose lubrique qui sommeille en lui s'éveille en sursaut. A t'il bien vu? Très discrètement il revient sur ses pas et utilise la technique du ninja pervers pour mater ce qu'il pense avoir vu. En effet, un joli petit fessier bien ferme s'expose à lui. Il repose sur de très jolies jambes tandis qu'un dos musclé battu par une crinière mouillé fait vibrer son entrejambe. Skyler se douche porte ouverte, sa chaussure bloque sa fermeture et la jeune femme ne s'en est pas rendue compte. La seconde suivante, smartphone en main, il a enregistré la scène aussi bien en photo qu'en vidéo. il se rince l'œil et les mouvements de Skyler qui se prélasse sous le jet d'eau chaude attisent son imagination. Un type normal dans un hentai normal n'hésiterait pas à la faire chanter pour s'approprier ses faveurs mais lui n'est presque pas comme ça.

Un bruit de pas derrière lui le fait bondir, voire frôler l'arrêt cardiaque. Quelqu'un approche qui va le surprendre, pas le temps de fuir!! Kaito entre dans la pièce en virant la chaussure et claque la porte derrière lui, en ébullition. Il lève les yeux, Skyler s'est retournée. C'est donc bien ça voir la mort en face .... D'instinct il lève son smartphone.

"Je me suis tout envoyé, si tu veux pas faire la Une des réseaux sociaux, tu la fermes!"

Oh? Tiens ... Lui aussi peut être désagréable et ... ça marche en plus.

De l'autre côté de la porte, il entend un type parler, sûrement au téléphone. L'homme s'assoit sur un banc qui cogne contre le mur du petit vestiaire. C'est là que les enfants licenciés posent leur affaires avant de rejoindre le gymnase. Au ton de l'homme, Kaito devine qu'il n'est pas pressé et que ça pourrait s'éterniser. Une mauvaise idée germe dans son esprit. Il est en position de force alors autant en profiter ...

"Pourquoi tu te caches derrière ta serviette? Je suis venue chercher ma récompense? T'es une fille de parole ou non?"

Il agite son téléphone. Skyler ne peut pas savoir s'il s'est réellement envoyé les photos mais il se donne l'air du mec sûr de lui. Son cœur bat à fond.

"Prends un peu la pose et arrête de faire la gueule, je vais me fâcher."

Il adore ce qu'il voit et ne pense même pas à cacher son érection naissante. Le fait de ne pas prendre une raclée le rassure et petit à petit, un nouveau Kaito émerge, guidé par sa science du hentai et les centaines d'heures passées à regarder des animes tous plus tordus les uns que les autres. Ouvertement, il prend quelques clichés de plus, pas inquiet. Si elle avait dû réagir, elle l'aurait déjà fait. Dans le couloir, le type éclate de rire et annonce à son interlocuteur que oui, il a le temps. Parfait!

Sans un mot et en faisant -chuuuut!- du doigt à la boxeuse, il se désape et apparait nu devant elle, le sexe tendu. C'est sa fierté et même si jusqu'à présent, seule Kitty en a vraiment profité, il sait que sa taille ferait de l'effet à n'importe qu'elle fille.

"Fallait pas être désagréable avec moi. C'est ta faute donc pour t'excuser, tu vas commencer par me sucer ... et pas gentiment. En avant!"

Pour faire bonne mesure, il agite une nouvelle fois son smartphone devant cette superbe sportive.

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One Shot / Re : Bachelorette party [PV]

« le: lundi 07 juin 2021, 16:16:34 »

Contrairement à Clarisse, Lola avait accueilli Tyron avec plaisir bien qu'elle se fasse littéralement écartelée et les longues minutes qu'il avait passé à ravager son vagin avait été aussi intenses que pleines de surprises. Lola encaissait méchamment bien et c'est pour cela que le grand Black décida de passer un cran au-dessus. Il se retira d'elle sans élégance laissant la chatte de la fille béante et irritée. Il s'en écoulait autant de fluides que d'un seau renversé. Il attrapa un flacon de lubrifiant et s'en enduit massivement le sexe. C'était nécessaire pour ce qu'il s'apprêtait à faire. Une fois prêt, il ramena les bras de la jeune beauté bronzée et la tint fermement par les poignets. Au moment où il allait présenter son gland gonflé contre le tout petit anus, l'image de ce sexe démesuré s'étendant jusqu'au milieu du dos de la fille lui parut grotesque. Elle aussi allait souffrir, quoique ... si elle était aussi réceptive ... à voir.

La première pression contre la petite rondelle la fit tressaillir mais maintenue, elle n'eut qu'à subir l'inévitable. Tyron ne fut absolument pas doux quand il s'enfonça en elle des trois quarts. Les petites fesses s'écartèrent grotesquement sous l'énorme intrusion et Lola hurla si fort que tous s'interrompirent un instant, sauf Tyron qui pesa de tout son poids pour continuer. La sensation autour de sa queue était délirante, il avait l'impression d'être coincé dans un étau tant c'était serré. D'un violent coup de bassin, il entra en elle de moitié, posant ses grosses mains sur les fragiles épaules pour la clouer contre Clarisse. Deux nouvelles impulsions tout aussi brutales terminèrent de le faire entrer et le petit cul détruit de Lola fut totalement saccagé. Ca en était même sale tant elle ne pouvait plus rien maitriser. Tyron fit un pas en arrière, emmenant sa victime, fichée sur lui. Elle ne touchait pas terre, ses jambes pendants mollement le long des cuisses musclées du stripteaser. Ainsi prise à l'équerre, elle était coincée sur cette queue monstrueuse. Tyron la prit par les hanches et la déboita jusqu'à force de hurler, elle eut une extinction de voix. Tous ceux qui prêtèrent attention à cette sodomie sans limite purent voir le sexe du danseur distendre le ventre parfait de Lola. Elle passa par toutes les réactions avant de finalement perdre connaissance et de s'affaler, toujours plantée sur ce pieu de chair. L'homme la retira et contempla son œuvre. L'anus de la jeune femme saignait aussi et il aurait facilement put y fourrer son poing fermé sans difficulté. Il la déposa ensuite sur un canapé tout proche et se tourna vers les filles restantes.

"A qui le tour mesdemoiselles?"

Total filles ruinées : 3

Pas très loin, Chris et Sandro démontent méthodiquement Salomé. Elle les a chauffés et les a même encouragé à se lâcher plus encore. Du coup, la double pénétration anale qu'ils lui inflige n'a pas d'autre but que de la mener à l'extase la plus totale. C'est plus que violent, c'est indescriptible. Non seulement elle supporte ce coït mais en plus elle s'éclate. Ecrasée entre les deux garçons qui la labourent, son corps se plie à chaque assaut et tandis que Chris, sous elle, lui attrape les chevilles pour l'écarteler, Sandro lui bourrine comme un fou en lui serrant le cou. L'effort est intense, les deux gars n'en reviennent pas, personne ne peut résister à ça. Aussi le latino se tord t-il pour récupérer une bouteille de champagne vide pour l'insérer par le goulot dans le vagin de leur partenaire. D'une parfaite synchro avec Chris, ils donnent tout ce qu'ils ont. Leurs corps claquent contre celui de cette superbe salope mature et ils leur faut un long moment de besogne pour qu'enfin il sente jouir et se relâcher. Chris note mentalement qu'il faut absolument qu'il prenne son numéro pour la revoir! Ils se retirent d'elle et la laisse s'avachir sur le côté pour récupérer. Son cul parfait est aussi dilaté que celui de Lola, toujours pas remise.

"Putain, cette nana est une machine de guerre" s'exclame Chris!

"Ouais j'en pouvais plus, j'ai eu un mal fou à pas me vider dans son cul" renchérit Sandro!

Total filles ruinées : 4

"Ok, on continue!"

Les garçons prennent juste le temps de prendre des serviettes pour s'essuyer, boire un cou, avaler une nouvelle pilule qu'ils se dirigent tous les deux vers Lilas. La jolie blonde aux yeux bleus et au ventre gonflé les attend le sourire aux lèvres. Une salope cachée derrière un minois adorable. A la manière dont elle les a apostrophé, ils ont deviné que ses manières délicates dissimulaient quelque chose de beaucoup plus cochon. Sandro, de ses grosses mains, la couche sur le dos, sur une table, s'enduit le sexe de crème chantilly et sans prévenir, alors qu'elle a la tête en arrière, embroche son braquemart dans la gorge gracile après avoir forcé sa bouche. Le haut-le-cœur qu'elle a à cet instant indique qu'elle ne s'y attendait pas et un liquide malodorant s'écoule de la commissure de ses lèvres. Chris, lui, déverse une crème anglaise sucrée sur la poitrine de la future mère et l'étale en pétrissant ces seins magnifiques entre lesquels il s'apprête à se branler.