Salles de cours et bibliothèque / Re : L'innocence n'existe pas [Asami Yamada]
« le: jeudi 07 février 2013, 23:15:00 »Cette « routine » - Car celle-ci était installée depuis déjà quelques minutes - fut brisée par un sentiment de brûlure sur ses hanches, pas bien douloureux, mais assez remarquable pour qu’Asami y accorde son attention malgré son occupation actuelle, soit profiter de ce dont sa Maîtresse la graciait. Ces faibles douleurs coïncidaient très exactement avec les doigts de celle-ci, et il ne fallait pas beaucoup d’imagination pour deviner qu’elle la griffait, cependant la raison était laissée à celle de la lycéenne. Était-ce simplement une sorte de crispation, le plaisir qu’elle ressentait étant sans doute au moins aussi délectable que celui que prenait sa servante ? Ou peut-être voulait-elle la réveiller, lui rappeler le rôle d’esclave qu’était le sien, et, le choix lui étant libre, c’est ce que choisit de croire Asami, car c’était en fait bien la version qu’elle trouvait la plus intéressante, elle se voyait bien comme son esclave, simplement son jouet, bien consentante, et elle prit réellement conscience de sa soumission, ou plutôt le plaisir qu’elle y prenait, et cette simple réalisation décupla tout ce qu’elle ressentait, lui faisant apprécier les ongles lacérant faiblement sa peau, la pression sur celle-ci, les pénétrations légèrement douloureuses, et bien entendu la force que lui implorait la vampire, la plaquant contre le mur.
Son plaisir montant en flèche, le temps lui aussi aidant, la lycéenne commençait à en montrer les signes, ses mains, placées au dessus de sa tête, ses bras la surmontant, posés contre le mur, se crispant alors que ses lèvres faisaient le contraire, se séparant toujours plus pour pousser des cris plus forts et ô combien délicieux tant ils exprimaient son plaisir. Son corps lui, ne pouvant faire plus, ne faisait qu’accentuer les signes de son excitation, ce que devait d’ailleurs savourer sa Maîtresse. Peut-être pour la même raison, la vampire ne cessait d’être plus violente, de mettre toujours plus d’énergie dans ses coups de reins, allant jusqu’à se plaquer contre Asami, la coinçant d’autant plus contre le mur et, intentionnellement ou non, la dominant exquisément pour son plus grand bonheur, leurs corps communiant presque, son souffle chaud et rapide caressant son cou. Celle-ci finit d’ailleurs par sortir des griffes - Ce qui n’étonna qu’à peine la jeune fille, étant donné ce qu’elle était en train de vivre, tant en étrangeté qu’en plaisir : au fond elle s’en moquait presque - qui se plantèrent alors immédiatement dans sa peau, lacérant les hanches de la jeune fille qui en gémit d’autant plus, la sensation de brûlure persistant bien plus cette fois, celle de plaisir l’imitant alors qu’une longue et délicieuse vague de tressaillement traversait son corps à chaque griffure.
Cette scène délicieuse dura de longues minutes, qu’Asami aurait souhaité pouvoir prolonger voire rendre éternelles, tant elle en savourait chaque seconde, chaque instant, mais sa Maîtresse décida d’en changer, et il était après tout peut-être temps, ses jambes commençant à faillir, même si pour rien au monde elle n’aurait laissé cette simple gêne la priver de tout cela. La main de la vampire vint entourer son cou, un signal qui la rappela immédiatement à l’obéissance qu’elle lui devait, et elle suivit docilement les mouvements du bras qui la saisissait, la jeune femme n’ayant au plus qu’à la guider pour la mouvoir. Haletante, et la lycéenne l’aurait sûrement été si elle avait voulu parler, mais elle ne souhaitait que profiter, d’autant que sa position de servante ne s’y prêtait pas réellement, l’hermaphrodite temporaire la jeta presque au sol, n’ayant qu’à légèrement incliner sa tête vers celui-ci pour que la jeune fille s’y précipite.
Ses genoux heurtèrent lourdement le sol, de même que ses avant-bras quelques instants après, mais le membre qui l’avait quittée ne suivit pas instantanément. Asami était ainsi, cambrée, son cul relevé, bien présenté à sa Maîtresse, son anus dilaté par les longues minutes de pénétration, palpitant sous le regard de celle qui l’avait élargi, alors que son sexe, un peu en dessous, faisait de même, de la cyprine coulant le long de ses fines jambes et perlant parfois avant de tomber en gouttes sur le sol. La posture de la lycéenne, maintenant plus acculée sur un mur, la plaçait bien plus dans la lumière : Sa peau renvoyait légèrement les traits du soleil, la sueur y perlant par endroit, et on pouvait voir les marques rouges des griffures de la vampire, bien que son sang, lui, ne coulait pas, bien qu’elle priait pour, car peut-être cela aurait pu lui attirer les faveurs de la langue avide de sang...Globalement, Asami était ainsi complètement soumise, ses fesses marquées de la sodomie présentées royalement à sa Maîtresse alors que son corps transpirait le désir et le plaisir, en plus de porter des marques de fatigue, suant, haletant, et bien entendu celles des doigts de la vampire qui avait ainsi marquée sa servante pour quelques jours, alors que l’empreinte des crocs de Theorem, encore relativement fraiche, était bien visible.
Mais ce calme tout relatif ne pouvait durer, surtout pas alors que la Maîtresse était excitée par de longue minutes de pénétration, et son membre retourna bien vite dans le cul de son esclave, lui arrachant un cri de plaisir qui rompit le bref silence qui avait régné jusqu’ici, et il ne reviendrait pas avant un moment, car Asami gémissait maintenant à chaque pénétration, soit très souvent. La tête de la lycéenne touchait presque le sol, ses cheveux ondulant au gré des coups de reins de la vampire, quelques mèches alourdies par la sueur qui y perlait. La jeune fille ne parlait pas, ses cris de plaisir signifiant bien plus que tout ce qu’elle pouvait dire, mais la déclaration de sa Maîtresse ne pouvait la laisser insensible et était sans doute un appel à son propre ressenti, aussi parvint elle à réprimer quelques gémissements pour lâcher :