Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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[FINI] L'innocence n'existe pas [Asami Yamada]

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Mélinda Warren

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[FINI] L'innocence n'existe pas [Asami Yamada]

mercredi 23 janvier 2013, 20:20:53

Une journée passablement inintéressante se terminait. Les cours s’achevaient, et il faisait encore beau et chaud dehors. Les élèves rentraient chez eux, à la bibliothèque, à la plage, dans les cafés, et allaient s’occuper l’esprit, jusqu’à ce qu’une autre journée recommence. Quoi de plus banal et de plus morne qu’une sortie de lycée ? Un troupeau se pressait vers la sortie, formant une masse compacte d’élèves. Le constat était encore plus troublant au Japon, où les élèves devaient porter des uniformes scolaires. On avait l’impression de voir une armée désorganisée sortant de la caserne pour aller dans ses baraquements. Pour tous, cette soirée serait comme les autres. On regarderait la télé, on ferait ses devoirs, on lirait un roman, on flânerait sur Internet, on tuerait des armées de pixels sur des jeux vidéos, on écouterait la musique, on forniquerait avec sa petite amie... Pour tous, ce serait une soirée qu’on oublierait, comme tant d’autres soirées à répéter inlassablement les mêmes choses... Pour tous, sauf pour elle.

Elle. Elle n’était pas dans la même classe que Mélinda, mais cette dernière s’était intéressée à elle. Elle avait de beaux cheveux bleus, et venait normalement, d’après son emploi du temps, de finir un cours insipide. Mélinda était dans le couloir, l’attendant, la guettant. Elle fondrait sur elle, telle la prédatrice qu’elle était, car elle avait envie de jouer, et elle avait trouvé sa proie. Et, quand Mélinda avait cette envie-là, l’en empêcher était difficile. Comme une joueuse se préparant à un combat de stratégie, elle avait envisagé son plan d’attaque, réfléchi à ses coups, envisagé sa stratégie globale, et songé aux éventuelles ripostes que l’ennemi, désorganisé et surpris, serait tenté de produire. Ce soir, on lui lécherait les pieds. Au moins.

Elle. Elle s’appelait Yamada Asami, et était l’élève introvertie qu’on ne remarquait pas forcément. Elle était inscrite au club de natation, et était une élève assidue. Un modèle d’intégrité, conforme à l’idéal japonais, empreint de conformisme et de confucianisme. Un visage d’ange, mais qui, comme tout visage d’ange, se révélait être un masque masquant une réalité plus trouble. Le projecteur de son sérieux avait des zones d’ombres, des coins silencieux. Yamada voulait avoir une bonne image, une bonne réputation. Elle ne fréquentait pas n’importe qui, et les profs l’aimaient plutôt bien. Rien à lui reprocher, son bulletin scolaire devait être assorti de ces petits stupidités qui ravivaient les parents, ces appréciations inutiles et ridicules dont le seul objectif était de gonfler l’égo de jeunes élèves. Votre fille est assidue, très attentive, et participe beaucoup en classe. Les humains étaient fascinants, en ce sens qu’ils passaient leur temps à se féliciter de tout et de n’importe quoi. Mais, à force de trop employer des mots aussi forts, ils en perdaient leur valeur, et, en définitive, ne signifiaient plus rien.

Elle. Elle avait couché avec un autre élève du lycée, un élève qui, pour son malheur (ou son bonheur), était aussi liée à Mélinda par un serment contre lequel on ne pouvait que difficilement se délier. C’était un serment de vie et de mort, le serment d’une petite goule. Elle avait eu un rapport sexuel avec lui, et Mélinda l’avait su. Et, même à Mishima, c’était le genre de choses qui, ;devenues publiques, faisaient jaser. Alors, si c’était sur une petite perle, une femme parfaite au visage d’ange... La vampire allait bluffer, tout simplement. C’était ce qu’elle savait faire de mieux. Elle allait jouer la bonne vieille pioche du bâton et de la carotte, en commençant par le bâton, puis en lui amenant la carotte. Et Yamada lui lécherait les pieds. Cette perspective l’intéressait beaucoup, car elle avait vu des photos d’elle. Elle était mignonne. Très mignonne, même. La vampire n’avait pas besoin de plus.

Les élèves commençaient à sortir, et elle fit attention. Elle sentait tous ces groupes sanguins près de ses narines. Un buffet sur pattes ! Elle ne tarda pas à voir, dans la mêlée, Yamada, et entreprit de la suivre. Elle ne voulait pas lui parler avec tout ce monde. Elle préférait attendre un peu, que le groupe se dilue. Elle suivit donc la jeune femme, jusqu’à descendre un escalier. Les lycéens parlaient rapidement entre eux, sans que Mélinda n’arrive vraiment à comrpendre de quoi ils pouvaient bien parler.

« Et là, le monstre, je lui fais baaam, là, comme ça, j’te dis !
 -  Ouais, genre ! » entendit-elle ainsi.

Elle se concentra, voyant le dos de Yamada, et se rapprocha lentement, jusqu’à s’avancer dans un autre couloir qui conduisait vers la cour de sortie. Ce faisant, Mélinda se rapprocha alors très près de Yamada, jusqu’à se trouver dans le dos de la femme, et murmura dans le creux de son oreille, de manière à ce qu’elle seule puisse l’entendre.

« Je sais ce que tu as fait dans les douches avec mon esclave, petite catin. »

Pas plus, pas moins. Mélinda s’écarta ensuite, et, rapidement, plusieurs élèves passèrent devant elle, entre Mélinda et Yamada. Un esclave avait le droit d’avoir un esclave, mais, dans la continuité, le maître du maître de l’esclave était aussi le maître de l’esclave. Ce qui appartenait à l’esclave, en définitive, revenait au maître.

Remarque : Si la relation entre Mélinda et Yamada vous captive, vous pourrez en lire la suite dans ce RP.
« Modifié: mardi 10 mars 2015, 01:13:54 par Princesse Alice Korvander »

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Asami Yamada

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Re : L'innocence n'existe pas [Yamada Asami]

Réponse 1 mercredi 23 janvier 2013, 21:25:59

Asami avait par chance terminé tous ses cours du jour. En fait, celui-ci n'était pas si haïssable que cela, du moins pas plus que tout autre jour où la jeune fille devait s'instruire, mais le cours y mettant un terme - Du moins, à la partie passée au lycée - était tellement ennuyant et paraissait si interminable qu'il semblait à lui seul conformer la journée entière à son image, celle d'une insipidité indescriptible.

La sonnerie avait retenti depuis de nombreuses et longues secondes, mais la classe n'avait en réalité été levée depuis que bien moins de temps, pour encore ajouter à l'éternité que paraissaient durer ces deux heures de cours. Pouvant enfin se relâcher, Asami émit un long souffle poussif, comme si enfin elle pouvait se permettre de ne simplement rien faire, de ne penser à quoi que ce soit. Mais ce sentiment de béatitude avait beau être vrai, il le serait à n'en pas douter encore plus une fois la lycéenne chez elle, aussi, après un rangement exécuté rapidement, d'une manière mille fois répétée, prit-elle le chemin de son foyer.

Marchant calmement - De toute façon, à vrai dire, se presser à la sortie ne permettait que de stagner dans une marée humaine aussi insupportable que désorganisée - vers la sortie, Asami ne pensait quasiment à rien : Elle était d'humeur joviale et, sans même avoir de plans quant à ce qu'elle pourrait faire pour achever dûment cette journée, elle profitait simplement de l'instant présent. Malgré que ce fait ait été éclipsé par la morosité du cours précédent, cette journée était plutôt ensoleillée, et les couloirs étaient tapissés de reflets dorés appréciables en cela qu'ils étaient à la fois paisibles et magnifiques en plus qu'ils rappelaient divinement que la nuit n'était pas encore tombée.

Ainsi, son esprit rêvassant alors qu'il se contentait nonchalamment de faire avancer la jeune fille vers la sortie du lycée, celle-ci laissait son regard se perdre sur les vaguelettes mouvant doucement que semblaient dessiner les réverbérations de l'astre solaire sur le sol imparfait des bâtiments. Évidemment peu concentrée, elle ne remarqua même pas qu'une "élève" la suivait de très près, et en fait elle n'y aurait sans doute pas accordé grande attention quand vient même ç'aurait été le cas.

Là où cela n'aurait pu être qu'une banale jeune fille se trouvant par hasard dans ses pas, et où le pire pouvant arriver aurait au plus été qu'Asami soit bousculée, celle-ci avait plus d'une particularité la sortant de cette banalité, et, malheureusement pour la personne qui la précédait, leurs plans, au moins pour ce soir, étaient étroitement liés.

Sentant un faible souffle sur son cou, la lycéenne n'eut même pas le temps de réellement y porté son attention que ce courant d'air s'était transformé en une phrase directement adressée à elle. Ce murmure à son oreille était pour le moins déroutant, mais alors qu'Asami ne trouvait au départ que le moyen étrange et singulier, ce fut bientôt son contenu qui la troubla.

Qui avait bien pu apprendre cela ? Cet évènement avait été si étrange, même aux yeux de la jeune fille qui l'avait pourtant vécu, qu'elle doutait presque rétrospectivement qu'il se soit jamais réellement déroulé. Et de toute façon, il n'y avait qu'elle et...Cette "goule", qui n'aurait sans doute pas eu d'intérêt à crier cela sur les toits. Ces questions et considérations s'étaient précipitées dans l'esprit d'Asami aussi vite qu'elle en avait perdu toute joie, et, maintenant qu'elle s'était instinctivement retournée vers la jeune femme lui adressant la parole, il devenait nécessaire de lui répondre, même si la lycéenne aurait mille fois préféré fuir cette discussion.

Elle envisagea un moment de simplement nier, mais son visage dont le sang semblait déjà entièrement s'être concentré dans ses joues l'aurait instantanément trahie, et elle décida, acculée par cette situation presque surréaliste, d'affronter ce problème de front, bien que d'une manière finalement assez pitoyable et à n'en pas douter maladroite.

Elle rassembla le peu de volonté qui n'avait pas fui son corps à la simple compréhension de la phrase qu'on lui avait chuchotée et tenta habilement de concilier la fin de cette "crise" et l'évitement de toute éternisation sur ce qu'il s'était effectivement passé dans ces douches.

« Je...Qu'est-ce que tu voudrais pour ne pas...En parler ..? »

Cette phrase laissait clairement entendre qu'Asami ne pourrait sortir gagnante de cette situation, mais au fond c'était sûrement la vérité, et se l'avouer, au moins à elle-même, était sans doute la meilleure solution.

Au premier regard, il avait semblé à la jeune fille qu'elle ne connaissait pas son interlocutrice, et même en en inspectant les traits avec tous les efforts de mémoire possibles, il semblait définitivement que ce soit le cas. Cela lui permit aussi, bien que cette réalisation n'était sans doute qu'un leurre au stress extrême qui l'envahissait, de constater que la jeune femme lui faisant face était exceptionnellement belle, en plus de posséder une allure, peut-être même une aura, qui transpirait aussi bien la domination que la séduction.

Mélinda Warren

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Re : L'innocence n'existe pas [Yamada Asami]

Réponse 2 mercredi 23 janvier 2013, 23:23:41

Yamada lui offrit rapidement le plus beau des cadeaux, la plus tentante des promesses : une séduisante excitation sanguine, probablement liée à une soudaine nervosité. Elle qui s’apprêtait à rentrer chez elle affrontant maintenant les conséquences de ses errances avec sa goule. Avouons que ce n’était pas de chance, car la plupart des élèves de Mishima avaient déjà fait l’amour dans les locaux, largement encouragés par une administration qui était plus que permissive. Bras croisés, Mélinda attendait patiemment que les élèves s’en aillent. Pressés de sortir, ils ne leur accordèrent aucune attention, continuant à parler entre eux, dans leurs étranges codes, leurs phrases dénuées de sens pour la vampire. On disait Yamada intelligente, plutôt futée. C’était le moment de le prouver. Mélinda avait affûté ses stratégies et ses plans en fonction de la manière qu’elle réagirait. Elle pouvait mentir, jouer la carte de l’ignorance, ou alors, opter pour la colère, l’indignation, ou la conciliation... Il existait plusieurs comportements-types, des schémas qu’il fallait avoir en tête pour conserver la main, le fil de la discussion.

« Je...Qu'est-ce que tu voudrais pour ne pas...En parler ..? » demanda-t-elle.

C’en était presque énervant. Elle aurait bien aimé que Yamada se défende, afin de la presser un peu, de la mettre mal à l’aise, mais on ne lui avait pas menti. Elle avait du sentir que nier serait inutile, et qu’implorer la clémence de Mélinda, sans succès. Dans la tête de Mélinda, on arriva directement à d’autres phases : celles où Mélinda avait le dessus, et pouvait exiger ce qu’elle voulait. Elle sentait la tension de Yamada. Il n’y avait plus qu’elles, et Mélinda décida d’entrer dans le vif du sujet.

« Hum... Rassure-toi, je ne veux pas de l’argent, j’en ai déjà assez comme ça... Et tu as à mes yeux des choses bien plus intéressantes que de l’argent. »

Elle faisait cette précision, car on lui demandait en effet souvent si elle ne voulait pas de l’argent, ce qui avait le don de l’énerver. Est-ce qu’elle faisait pauvre, avec cette longue chevelure si bien brossée ? Il fallait généralement deux esclaves en même temps chaque matin pour s’occuper de ses longs cheveux, les peignant avec une patience et une délicatesse extrêmes, les esclaves de Mélinda sachant très bien combien cette dernière était sourcilleuse de sa chevelure. La vampire se rapprocha de la petite Yamada, décroisant les bras, et tendit l’une de ses mains, venant caresser la joue de la lycéenne, brièvement, juste pour sentir la chaleur et la douceur de sa peau. Mélinda pouvait sentir le pouls de Yamada, son sang, une délicieuse symphonie, une invitation...

« Theorem est ma petite goule... Ce qu’il fait ne m’est donc jamais inconnu bien longtemps, car je ne serais pas une bonne Maîtresse, si je ne le surveillais pas... »

Mélinda lui sourit délicatement, révélant ses belles dents cristallines. Elle restait proche de la jeune femme. La vampire aurait presque pu l’embrasser, à vrai dire. Dieu sait que c’était tentant.

« Ce que je veux est très simple. Je te veux à mon service...  Je veux que tu m’obéisses, que tu répondes à mes exigences, que tu me sois dévouée. Je ne te le cacherai pas, je suis une femme qui adore la beauté et le contrôle. Alors, que je tombe sur une belle petite perle comme toi, je n’ai qu’une envie : la contrôler. C’est plus fort que moi. »

La vampire resta devant Yamada.

« Agenouille-toi, et jure-moi obéissance, ma belle... »

On pouvait sentir, dans la voix de Mélinda, une sorte de désir. Voir quelqu’un s’agenouiller devant elle, c’était toujours aussi bon à voir.

DC d’Alice Korvander.

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Asami Yamada

Humain(e)

Re : L'innocence n'existe pas [Yamada Asami]

Réponse 3 jeudi 24 janvier 2013, 01:13:21

Asami devenait nerveuse : La situation dans laquelle elle était ressemblait définitivement bien trop à un piège, quelle que soit la façon de laquelle elle agirait, elle ne pourrait gagner et s'en sortir "indemne", il y aurait forcément un prix, de quelque sorte qu'il soit. En vérité, il pourrait même être aussi élevé que la jeune femme le souhaitait, car peu de choses seraient aussi humiliantes et surtout néfastes pour la lycéenne que de voir son histoire des douches révélées : Elle se voyait déjà incapable de regarder quiconque dans les yeux, au lycée, évidement, mais même ses parents qui, habitant à Seikusu même, en entendraient eux aussi parler...

Elle cessa de penser à tout cela, car, finalement, quoi que demanderai la "maîtresse" de la goule avec laquelle elle s'était honteusement débauchée, elle devrait accepter, elle s'en convainquit : Elle ferait tout ce qu'il faut pour éviter ce véritable scandale. Cependant, aussitôt que son interlocutrice reprit la parole, cette confiance vacilla, non pas qu'Asami se mit à douter ou à révoquer ce qu'elle s'était promis, mais il lui était complètement impossible de rester insensible à la jeune femme lui faisant face : Elle parlait avec une assurance presque malsaine tant elle était sûre d'elle alors même que parlant d'un sujet sérieux, adulte et potentiellement grave, et sa gestuelle comme son corps n'admettait aucune faille.

Elle commença vite ses exigences : Étrangement, et peut-être malheureusement, ne faisant que plus languir Asami qui attendait résolument sa punition, elle évoqua d'abord ce qu'elle ne voulait pas, et finalement, lorsqu'elle en vint à évoquer ce qu'elle désirait, elle restait vague. La lycéenne, à l'évocation d'autre chose que l'argent qu'elle possèderait, sentit vite que ceci était son propre corps, par instinct peut-être, mais sans doute plus car d'un bout à l'autre, des douches à cet instant précis, il semblait que cette histoire ne savait être que déluré.
Cela ne faisait que renforcer l'inconfort d'Asami, et la confirmation de ses pensées ne fit que surenchérir, la jeune femme caressant brièvement sa joue et semblant s'en délecter d'une manière malsaine. Elle expliqua ensuite que Theorem était "sa" goule, qu'elle en était la maîtresse...La jeune fille craignit subir le même sort, devenant une sorte d'être plus tout à fait humain dévoué au plaisir charnel...Mais "heureusement" - Et cela dénotait déjà le changement des notions de bonheur ou de malheur d'Asami - elle sembla simplement vouloir soumettre la jeune fille à sa volonté, sans bien plus...

De même, elle avait dévoilé de véritables crocs et semblait plus proche que jamais de la lycéenne, sans doute une des visiblement multiples facettes de son don pour séduire et dominer tous ceux et celles qui l'entouraient...Mais force était de reconnaître que c'était plus qu'efficace : Asami était déjà, à ce point, convaincue que pour son propre bien, elle devait obéir, et qu'elle devrait le faire sans rechigner, du mieux qu'elle pouvait.

Durant toute l'énonciation de ses volontés, la jeune femme, désormais visiblement "Maîtresse", ne cessa de sourire, d'une façon perçue par Asami comme pire que malsaine, au moins autant que ses paroles : Elle avouait éhontément ses vices, les projetant sur la lycéenne, l'entraînant dans son jeu, en faisant son jouet, comme, à la plus grande horreur de la jeune fille, beaucoup avant elle...

Lorsqu'elle exigea pour la première fois réellement quelque chose d'Asami, celle-ci hésita à peine, alors même que ce choix semblait impossible : C'était tellement dégradant, une promesse délurée qu'elle se soumettrait totalement à sa "Maîtresse", de plus alors que quelqu'un pourrait les surprendre...Mais sa raison lui intimait d'obtempérer, et la domination déjà forte que la jeune femme exerçait sur elle faisait passer le même message, cette fois comme s'il était hurlé.

Aussi opposée à cela qu'elle put être, Asami le fit comme si elle y croyait, et, d'une façon perverse sans doute voulue par la dame aux crocs, en réalité, elle y croyait, car par cela passait la tenue de l'accord passé, et le silence de la jeune femme, et de ce fait la volonté même de la lycéenne.

Alors elle courba lentement les genoux, ses yeux plongés dans ceux de celle à laquelle elle se promettait, ses mains se posant au creux de ses hanches après avoir dans le même mouvement déposé son sac auprès d'elle. Ses genoux touchant le sol, elle continuait de descendre, jusqu'à ce que ses fesses atteignent ses talons : Elle était maintenant clairement en dessous de la jeune femme, devant lever le tête pour ne serait-ce qu'atteindre ses yeux du regard, car elle ne la regardait pas directement, elle maintenant sa tête juste assez levée pour que ses yeux émeraudes puissent se plonger dans le regard plein de jubilation de la femme.

Contemplant une dernière fois ses yeux pleins de désir, d'envie pour elle et sa posture dominatrice, elle ne put même pas soutenir ce regard les quelques instants durant lesquelles elle se jurait son esclave.

« Je serai votre servante...Je ferai ce que vous voudrez, tout ce que vous me demanderez...Tous vos désirs, vos moindres exigences, je les comblerai...Je suis à vous, je vous obéirai, Maîtresse... »

Asami ne savait d'où elle sortait ces paroles...Peut-être avait-elle simplement évoqué ses peurs, cristallisé tout ce qu'elle craignait et qu'il pouvait lui arriver avec cette femme...Enfin, désormais, sa Maîtresse...

Mélinda Warren

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Re : L'innocence n'existe pas [Yamada Asami]

Réponse 4 jeudi 24 janvier 2013, 11:33:20

On dit que le silence vaut acceptation. Mélinda avait toujours eu un peu de mal avec ce principe, car le silence, en réalité, pouvait être interprété par bien des manières. Néanmoins, en la circonstance, ce principe s’appliquait sans aucune difficulté, continuant à étonner un peu Mélinda. Yamada fléchit rapidement les genoux, plantant son regard dans celui de la femme, tout en posant ses chaudes mains sur ses hanches. Un petit frisson parcourut le corps de Mélinda, alors qu’elle vit la femme s’asseoir, s’agenouiller respectueusement, à la japonaise, avec les fesses sur le bout de ses talons. Elle s’asseyait en seiza, cette position délicate et difficile pour les Occidentaux, et déclara son serment, d’une voix tremblante, mais qui se voulait ferme :

« Je serai votre servante...Je ferai ce que vous voudrez, tout ce que vous me demanderez...Tous vos désirs, vos moindres exigences, je les comblerai...Je suis à vous, je vous obéirai, Maîtresse... »

Maîtresse. L’usage de ce mot fit sourire Mélinda, qui tendit ses mains, et caressa chacune des joues de Yamada, tendrement, et fermement. Elle sentait la chaleur du corps de cette dernière, sa peur, sa résignation. C’était tellement facile que Mélinda s’attendait presque à un piège, mais, à vrai dire, il arrivait parfois que l’esclavage soit bien plus rapide et plus simple que ce qu’on craignait. Il existait des femmes et des hommes qui étaient intuitivement faits pour être soumis, et il fallait croire que Yamada appartenait à cette catégorie. Pendant un certain temps, la vampire lui caressa ainsi les joues, ses doigts se glissant dans ses longs cheveux pour caresser ses oreilles. Elle ne faisait rien d’autre, ne parlait même pas, se contentant de caresser les joues de Yamada. Ce geste, en apparence anodin, servait à la Maîtresse pour reprendre ses esprits, et établir un nouveau plan d’attaque. Elle avait surtout réfléchi à al résistance de Yamada, mais, cette dernière n’ayant été que virtuelle, il était temps de passer au reste.

En définitive, la vampire dut bien lui caresser les joues pendant plus d’une minute, avant de lentement libérer ses mains. Pourquoi diable devrait-elle être surprise ? Si même sa goule, un esclave, avait réussi à faire de Yamada, sa chose, alors, face à un vrai esclavagiste, ses chances de lui résister étaient inexistantes. Elle était comme un deux qui se pliait face à un flush royal. Vaincue et résignée, avec son petit sang qui battait dans ses veines, cette invitation permanente et continuelle.

Cessant de caresser ses joues, la vampire glissa ses mains sur le menton de la jeune femme, le tenant en étau. Yamada pourrait ainsi sentir sur cette partie de son corps une certaine pression, témoignant de la puissance de la vampire.

« C’est très bien, ma belle... Relève-toi. »

Elle l’aida à se redresser, et la poussa ensuite lentement contre le mur du couloir. Il n’y avait qu’elles dans ce dernier, mais ce n’était pas là-dedans que Mélinda voulait profiter du corps de Yamada. Le dos de Yamada heurta faiblement le mur, et Mélinda se pressa contre elle, leurs jambes se croisant, leurs seins se touchant. L’une des mains de Mélinda attrapa les cheveux de Yamada, et, sans plus attendre, elle alla l’embrasser, posant ses lèvres sur les siennes. Ce fut un baiser simple, sans surprise. Mélinda pressa ses lèvres contre celles de Yamada, et caressa l’une de ses hanches. Elle goûta à la saveur de sa petite bouche, soupirant légèrement, fermant les yeux, puis approcha sa langue. Elle attrapa entre ses lèvres la partie inférieure de la bouche de Yamada, l’avalant entre les siennes, creusant ainsi un délicat espace entre les lèvres de Yamada, espace qu’elle agrandit en écartant ses lèvres, les écartant suffisamment pour glisser sa langue dans sa bouche. Partant en exploratrice, cette dernière s’enfonça dans cette bouche chaude, et titilla la langue de Yamada, avant de se redresser pour se poser dessus. Son corps continuait à maintenir fermement Yamada contre elle, empêchant à cette dernière de pouvoir faire autre chose que l’embrasser. Légèrement penchée, la tête de Mélinda permettait sans problème ce baiser assez long, son nez lui servant à respirer, caressant délicatement celui de la lycéenne.

Mélinda lui offrait un baiser dans les règles de l’art. Leurs langues se mélangeaient tendrement, et elle le prolongea pendant un certain moment, afin que Yamada comprenne bien qu’avoir était inutile, et que Mélinda comptait bien la traiter... Comme elle traitait n’importe quelle esclave docile et soumise. Dans le fond, la vampire ne demandait pas grand-chose : simplement des actes de soumission. Elle finit par rompre le baiser, et posa ses mains sur le torse de Yamada, au-dessus de son sein, et consentit enfin à lui parler.

« Je n’attends de toi qu’une chose, petite esclave... Sois-moi soumise, et je serais avec toi une bonne Maîtresse. Rebelle-toi, et je serais forcée de te punir. »

Elle tendit l’une de ses mains, et la glissa dans le dos de Yamada, allant presser, sous sa jupe, sa fesse. Elle appuya sur sa culotte, et lui lécha ensuite la joue.

« Tu seras une délicieuse esclave... Tu verras, nous allons bien nous amuser, toi et moi, et j’exaucerai tous tes fantasmes. M’avoir comme maîtresse est un honneur, je ne veux jamais t’entendre te plaindre. Sois fière d’être mon esclave. »

DC d’Alice Korvander.

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Asami Yamada

Humain(e)

Re : L'innocence n'existe pas [Yamada Asami]

Réponse 5 jeudi 24 janvier 2013, 18:13:37

Asami était fébrile après son serment : Celui-ci avait demandé une certaine forme de courage et, il faut l’avouer, était l’aveu, des propres lèvres de la lycéenne, de sa soumission totale et, elle le pensait, son plus grand malheur. Elle eut peur que cela n’ait résonné dans la tête de cette femme que comme une invitation aux pires actes dépravés, mais, à sa grande surprise, ce ne fut pas le cas.

Ses mains, dont la jeune fille éloigna légèrement le visage, presque par réflexe, dès que celles-ci se mirent à bouger, ne vinrent finalement que doucement caresser ses joues. C’était un toucher froid et assez déplaisant, bien que cela était sans doute due au cœur d’Asami qui pulsait son sang bouillant à un rythme effréné et à sa perception plus que négative des évènements, mais ce contact était pourtant doux et, en bien des manières, dénué de toute brutalité.

Les mains de la femme révélaient réellement de l’intérêt pour la lycéenne, caressant ses joues, ses oreilles et passant délicatement dans ses cheveux, comme si elles appréciaient le visage de la jeune fille. Très vite, cela dissipa quelques de ses craintes, et Asami se laissa aller à simplement apprécier cela, car sa « Maîtresse » lui en laissait étrangement l’occasion, ne soufflant mot ni ne faisant quoi que ce soit d’autre : Ce contact était paisible, et, peut-être uniquement parce qu’elle était dans une situation plus que délicate, rassurant et agréable. Cependant, après un bon moment qui passa pour une tentative de trêve, une excuse pour l’esclavagisme vitesse grand-V que venait de subir la lycéenne, la femme rassembla ses mains autour du menton d’Asami, la serrant légèrement et ramenant à sa réalité, présentement, d’esclave.
Elle la félicita, peut-être de son serment qui, jugé selon ses critères, aurait été intéressant, mais la jeune fille se demandait si tout cela ne visait pas plutôt à l’amadouer, car cette théorie était plutôt étrange, surtout que cette allégeance avait maintenant plus d’une minute. Mais surtout, sa « Maîtresse » lui ordonna de se relever, cependant pas d’une manière autoritaire, presque au contraire, d’ailleurs, à la vue de l’ordre qui ramenait Asami debout : cela ressemblait plus à une gracieuse délivrance.

Après tout cela, la pression de la lycéenne avait grandement chuté, elle se disait que peut-être, si elle se contentait de faire ce qu’elle demandait, elle s’en sortirait en fait passablement bien. Mais ces pensées réconfortantes furent interrompues par la femme qui la poussait - Bien que pas brutalement mais au contraire très doucement - contre le mur, l’y faisant légèrement se heurter, bien qu’Asami eut surtout la frayeur que ce doux traitement qu’elle avait reçu ne soit en fait qu’un piège. Elle y fut vite rejointe par le corps même de la femme, leurs jambes s’entremêlant et leurs poitrines se pressant légèrement l’une contre l’autre.

La lycéenne se sentait assez oppressée, retournant à un sentiment écrasant de domination, ou plutôt en ce qui la concernait, de soumission. Malgré que l’empoignement de ses cheveux lui fit craindre le pire, ce fut finalement un geste de tendresse qui mit fin à ses doutes : La femme l’embrassait, d’abord assez simplement, leurs lèvres pressées ensemble dans la plus grande douceur, et une main se posa paisiblement sur sa hanche, la faisant légèrement sursauter. Asami avait fermé ses yeux, profitant de tout cela et s’abandonnant - Après tout, c’était maintenant sa « Maîtresse » - à elle. Elle sentait ses joues se gorger de sang alors qu’elle prenait un plaisir qu’elle aurait bien elle même put juger malsain à se faire ainsi embrasser.

Mais ce baiser n’en resta pas là : La femme lui fit ouvrir la bouche, d’un ordre plus qu’agréable puisque prenant la forme d’une embrassade, et y glissa sa langue. Au départ, celle de la lycéenne était restée au fond de sa gorge, mais au fur et à mesure des effleurements qu’elle subissait, elle finit par se laisser apprivoisée par l’organe de la « Maîtresse », et se plaça docilement sous celui-ci, esquissant parfois quelques soubresauts, ne parvenant pas à simplement rester en place. Asami finit par apprécier chaque seconde de ce contact doux et chaud se livrant totalement à cette valse de leurs langues, rougissant honteusement, et lorsque tout se finit, elle fut presque déçue et laissa maladroitement échapper un bien léger gémissement à la séparation de leurs lèvres, priant que celui-ci passerait pour une quelconque expiration maladroite, ce baiser ayant après tout duré assez longtemps.

Ceci fait, la femme déclara solennellement qu’elle n’attendait d’Asami que de l’obéissance, ce qui la rassura presque, car cela lui offrait au moins l’assurance qu’elle pouvait, si elle respectait sa parole, au moins, s’en sortir. S’attendant à d’autres paroles, même un ordre, la lycéenne fut finalement surprise de sentir la main de sa Maîtresse, l’autre étant déjà légèrement au dessus de sa poitrine, lentement glisser du bas de son dos, ce qui l’avait déjà faite légèrement tressaillir, jusqu’à ses fesses, allant même jusqu’à s’introduire sous sa jupe, pressant sa culotte contre sa peau dans un toucher qui la fit rougir presque autant de honte que d’un certain plaisir. Quant à la langue de la dame, elle put vite à nouveau sentir son agréable toucher, celle-ci lui léchant brièvement la joue, mobilisant, par réflexe, une main, qui vint se porter à l’endroit encore mouillé.

Presque comme une incarnation de ce que venait de ressentir Asami, qui était finalement fait d’une dose honteuse de plaisir, sa Maîtresse lui promit beaucoup de bonheur avec elle, au moins charnel, et exigeait en retour qu’elle ne se plaigne jamais. Ne sachant trop si elle devait répondre ou non, ni ce que tolérait réellement cette femme en terme d’autonomie, la lycéenne se laissa  aller à lui fournir une réponse, cependant pas uniquement formulée avec des mots.

« Oui, je ne me plaindrai pas, Maîtresse... »

Sur ce, elle déplaça une de ses mains de sa joue vers celle de sa Maîtresse, l’autre, restée collée au mur depuis le début, ne sachant quoi faire, alla se placer sur sa hanche, et les lèvres nécrées d’Asami vinrent cueillir un baiser sur celles de sa Maîtresse, la lycéenne osant même caresser les lèvres de la jeune femme de sa langue, comme une invitation à une nouvelle valse.

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Re : L'innocence n'existe pas [Yamada Asami]

Réponse 6 vendredi 25 janvier 2013, 15:59:46

On pensait, à tort, que la peur était le moyen le plus facile d’obtenir la soumission des gens. C’était une approche rapide, facile, et simpliste. En réalité, de toutes les prisons qui existaient, il n’y avait rien de plus efficace que l’amour. La peur était un très bon moyen de soumission, très efficace, mais, justement, trop efficace. La peur plaçait le soumis en position de force, l’amenant à deus comportements : une sorte d’annihilation totale, qui le conduirait à être un esclave servile et inepte, ou la résistance, qui conduit à un rapport de force constant. Inversement, un lien d’amour changeait les choses, car le soumis voulait délibérément faire plaisir au dominant. Il se sentait dépendant de lui, et, à partir de là, tout était possible. L’amour, en ce sens, était une chose terrible. Que ne faisait-on pas par amour ? On pouvait se sacrifier par passion... Mélinda adorait ça, quand ses esclaves l’aimaient. Elles s’écrasaient volontairement, spectacle aussi pathétique qu’agréable à regarder. C’est ainsi qu’elle voulait Yamada, en une espèce d’amante dévouée qui se soumettrait volontairement à elle, qui verrait comme un immense honneur le fait de lui faire l’amour.

Pour l’heure, Mélinda était bien partie. Elle sentait le sang de la jeune femme l’enivrer délicieusement, une invitation à la mordre. C’était de plus en plus tentant, et la vampire, pour l’heure, devait se retenir, et ce malgré les invitations interminables de la jeune femme. Sa timidité furieuse était une invitation. Les timides, pour ça, étaient une plaie. Non seulement les voir rougir était un spectacle ravissant pour les yeux, mais c’était aussi un appel supplémentaire pour planter ses belles dents. Après que Mélinda lui eut léché la joue, elle avait vu Yamada, instinctivement, caresser cette dernière, avant de déplacer sa main pour la poser sur celle de sa Maîtresse. Cette dernière sentait le trouble, la nervosité, l’anxiété, et, peut-être même, une certaine forme de soulagement. Certais signes ne mentaient pas, comme cette lueur dans les yeux de Yamada, ou le délicat soupir qu’elle avait poussé, ou encore la manière dont elle l’avait embrassé, voire même cette perturbation sanguine quand elle avait pressé ses fesses... A aucun moment, pourtant, Yamada ne lui avait annoncé qu’elle avait envie d’elle. Mais, quand on était une esclavagiste, quand on faisait affaire avec les corps humains, il fallait savoir lire toutes les formes de langage. Or, le langage ne se limitait pas qu’aux sons. Le corps avait sa propre langue, ses mots, ses gestes, ses expressions. Et elles étaient parfois bien plus criantes que les mots.

« Oui, je ne me plaindrai pas, Maîtresse... » promit cette dernière, et Mélinda la croyait.

La timide jeune femme alla alors à l’assaut des lèvres de sa maîtresse, qui la laissa faire. Elle sentit la langue de Yamada s’approcher de ses lèvres, les titillant légèrement, comme une espèce d’invitation implicite. Le langage du corps... Mélinda ferma les yeux, soupirant faiblement, et envoya sa propre langue, avant de caresser celle de Yamada, puis elle rétracta la sienne, écartant lentement ses propres lèvres, afin d’amener celle de Yamada dans sa bouche. Tout se déroulait à la perfection. Inconsciemment, en l’embrassant, Yamada scellait sa destinée, celle où elle se construirait avec le besoin d’être avec sa Maîtresse. Tout était pour elle très logique. Amour et peur semblaient être indissociables l’un de l’autre, mais, en réalité, ils étaient en réalité très liés, car ils répondaient tous les deux à la même logique : la solitude. On voulait aimer pour vivre avec quelqu’un, et pour ne pas se coucher seule, et vieillir dans son coin, une situation effrayante. Par conséquent, on se raccrochait aux autres, l’esprit se créait un nouveau désir, le besoin d’une personne, afin de combler le vide. C’était logique. L’être humain n’était pas fait pour vivre seul, mais en groupe, au sein d’une collectivité. Tout se recoupait, donc. C’était ça, la logique, quand on retombait toujours sur ses pattes.

Ce baiser fut plus long que l’autre, car Mélinda sentait bien que la belle petite Yamada était très désireuse de baisers. Tout en l’embrassant, Mélinda avait toujours une main sur ses fesses, et la faisait lentement remuer, attrapant sa culotte, la coinçant entre deux doigts pour tirer lentement dessus, avant de la relâcher, la faisant claquer contre le fessier de l’adolescente. Elle retournait ensuite caresser ses fesses, du bout des doigts. On pouvait dire, sans trop se tromper, que Mélinda était une véritable fétichiste du cul. Elle lui pelotait ses petites fesses, lentement et tendrement, tandis que son autre main caressait longuement les cheveux de Yamada, la main contre sa nuque. Ce baiser dura un certain nombre de minutes, Mélinda laissant à Yamada le soin d’explorer sa bouche, sans la presser. Elle finit par rompre lentement ce baiser, et frotta le bout de son nez contre celui de la petite lycéenne.

« Ma belle petite esclave... Tu as vraiment des lèvres magnifiques... Et ton sang... Hummmm, il me hante... »

Elle l’embrassa alors sur la joue, puis sur le menton, et descendit ainsi lentement vers son cou, posant ensuite ses deux mains pour défaire quelques boutons de chemise, afin d’embrasser la nuque de Yamada, optant pour une espèce de suçon, caressant avec ses dents la peau de Yamada. Elle releva alors la tête, et embrassa sa joue à nouveau, puis se rapprocha de son oreille :

« Tu as fait connaissance avec ma goule, alors je suppose que tu dois savoir ce que je suis. Tu rougis tellement fort que tu m’excites terriblement... Alors, je vais te délester un peu de ton généreux sang, ma chérie. Tu as le droit de caresser mon corps. »

Elle lui faisait une bonne offre. Mélinda enfonça alors lentement ses canines dans la nuque de Yamada, et atteignit rapidement sa veine, faisant deux légères fissures, avant de rétracter ses canines, et de commencer à sucer son sang, s’écrasant un peu plus fermement contre elle.

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Re : L'innocence n'existe pas [Yamada Asami]

Réponse 7 vendredi 25 janvier 2013, 17:40:44

Asami eut au départ presque peur que son baiser ne fut rejeté ou même puni, et elle avait embrassée la jeune femme avec hésitation, n’osant d’ailleurs que l’inviter à mêler leurs langues. Mais finalement, la vampire reçut cela avec plaisir, accordant ce cadeau avec plaisir : Elle répondit d’abord faiblement aux caresses du muscle rose de la lycéenne, faisant à peine de même, mais vite elle lui ouvrit sa bouche, permettant à celle-ci de s’engouffrer timidement dans sa bouche, inversant les rôles pris lors de leur précédent et à vrai dire premier baiser. Asami ne brusquait aucunement sa Maîtresse, ou plutôt ne se brusquait pas elle-même, étant de toute évidence la moins à l’aise, et sa langue se mouvait lentement dans la bouche de la jeune femme, allant doucement chercher la sienne pour les faire tendrement se caresser.

Durant tout cela, la jeune fille avait gardé les yeux fermés et légèrement penché la tête, profitant de l’instant qui s’avérait en fait plus qu’agréable : La vampire continuait de jouer avec elle - sans doute en manipulant et se divertissant d’abord de ses désirs et envies, mais cela, elle ne le ressentait pas - mais surtout lui caressant doucement les fesses, parfois les effleurant simplement de ses doigts fins, d’autres fois en tirant sa culotte puis la relâchant, avec à chaque fois le même effet, de légers gémissements étouffés par leur embrassade et des tressaillements accompagnés d’une rougeur toujours plus vive des joues de la lycéenne. En même temps, sans doute pour entretenir le climat surprenant de désir qui les liait, elle passait sa main dans ses cheveux, les faisant cycliquement retomber lentement sur ses épaules et semblant par la même d’autant plus s’occuper d’elle.

Ces instants où Asami était prise dans son désir pour sa Maîtresse semblèrent durer longtemps, bien entendu pour son plus grand plaisir, tant même qu’elle finit par ne plus se préoccuper de personnes pouvant arriver ou quoi que ce soit d’autre : La seule personne qui saurait la priver de ce délice serait la vampire. Lorsqu’elle le fit finalement, la jeune fille fut évidemment déçue, mais elle n’en dit mot, respectant sa promesse, et, plongeant ses yeux dans ceux de sa Maîtresse, elle attendit de savoir ce qui l’avait faite interrompre ce si beau moment. Elle la complimenta puis lui parlant, comme si celui-ci lui semblait délicieux, de son sang. Asami eut légèrement peur, tressaillant faiblement alors que les lèvres de la jeune femme descendaient divinement le long de son visage et de son cou. Elle savait qu’elle était une vampire, mais pas réellement ce que cela signifiait exactement , et, bien que sa dernière rencontre avec un être fantastique - Theorem - fut magnifique, elle angoissait légèrement. Voir son sang bu ne la transformerait pas en vampire, ne la tuerait pas ?

Durant ces interrogations, la vampire n’avait pas perdu de temps et libéré la poitrine de la lycéenne de quelques boutons tout en la graciant de baisers doux et agréables. Cependant, elle n’alla pas plus loin, comme si elle avait besoin de faire quelque chose avant, et remonta vivement, couronnant sa joue d’un dernier baiser avant de lui glisser des paroles à l’oreille.

« Tu as fait connaissance avec ma goule, alors je suppose que tu dois savoir ce que je suis. Tu rougis tellement fort que tu m’excites terriblement... Alors, je vais te délester un peu de ton généreux sang, ma chérie. Tu as le droit de caresser mon corps. »

Elle savait, mais maintenant mieux : Si elle pouvait lui ponctionner un peu de son sang aussi facilement, sans doute cela n’était-il pas mortel, bien que cela lui faisant un peu peur, en vérité tout autant qu’une piqure. Reprenant ses embrassades le long de sa peau, elle atteint finalement sa nuque, Asami n’ayant osé bougé depuis son annonce, et y planta « délicatement » - Autant que l’on pouvait l’être avec une paire de crocs - ses canines avant de sucer le liquide d’un rouge profond qui en sortait. La perforation fut douloureuse, et la lycéenne laissa échapper un léger cri de douleur, mais, sans doute était-ce l’action de sa salive ou de ses lèvres, comme pour la piqure de certains insectes, la douleur se résorba vite, laissant place à un doux sentiment, presque agréable, d’une aspiration tout le long de son cou, d’autant qu’après tout, c’était un baiser unique en son genre que lui donnait sa Maîtresse. Se laissant quelques instants absorber par cette sensation, Asami reprit vite ses esprits, ou plutôt se souvint de l’autorisation généreuse de la vampire. Ses mains s’étant tétanisées le long de son corps, légèrement dans les airs, à cause de sa peur et de la légère douleur de la morsure, la lycéenne en reprit vite le contrôle. Elle décida premièrement de placer une de ses mains sur une hanche de la jeune femme, la faisant doucement glisser vers sa jupe, effleurant sa peau à chaque instant, quant à l’autre, elle prit la liberté, inspirée par l’exemple de sa Maîtresse, de la placer sur ses fesses. La lycéenne eut vite les deux mains sous la jupe de la vampire, celle ayant agréablement remonté sa jambe élancée la contourna pour elle aussi se retrouver sur son postérieur, et, des deux mains, elle le massa.

Elle effleurait d’abord simplement sa peau, peu couverte par sa culotte, ce qui était de toute évidence une volonté de la jeune femme que d’ainsi se dévoiler, mais vite elle arrivant aux bords de celle-ci, et infiltra ses doigts fins en dessous. Saisissant par intermittence chaque fesse à pleine main, interrompant des caresses circulaires, Asami profitait des formes généreuses de sa Maîtresse, et, son action une nouvelle fois dictée par son expérience avec celle-ci, elle entreprit parfois de soulever la culotte, ne laissant qu’un doigt sous celle-ci puis levant simplement la main, attirant à elle la pièce de lingerie et par la même exerçant une pression sur les fesses de la vampire. La tête de la lycéenne ne pouvait cependant rien faire, à son plus grand regret, un quelconque mouvement gênant sans doute la jeune femme qui lui suçait le sang, aussi celle-ci semblait simplement dédiée à profiter de cet instant : Penchée en arrière, ses cheveux coulaient dans son dos, son beau visage exprimait tout le plaisir qu’elle ressentait, ses yeux fermés, se concentrant pleinement sur les sensations qui la harcelaient, et sa bouche mi-ouverte laissant de faibles gémissements de plaisir s’échapper de ses lèvres nacrées.

Mélinda Warren

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Re : L'innocence n'existe pas [Yamada Asami]

Réponse 8 dimanche 27 janvier 2013, 15:06:28

Elle aurait pu la rassurer. Elle aurait pu lui dire que boire son sang ne ferait pas d’elle une vampire, qu’on ne devenait pas un seigneur supérieur aussi facilement. Elle aurait pu lui dire qu’il aurait fallu que Mélinda lui prenne tout son sang, à la limite du point de non-retour, puis lui faire boire ensuite le sien, afin de créer une sorte de réaction en chaîne, qui aurait abouti à la transformation de l’humaine. Elle aurait pu la rassurer, la consoler, lui ôter ses doutes, mais, dans ce cas, Yamada n’aurait pas eu peur. Sa frayeur était comme une délicieuse valeur ajoutée, excitant encore plus Mélinda, qui enfonça ses dents en elle. La douleur vint, mais fut ensuite rapidement remplacée. Les deux coupures n’étaient pas très profondes, et, en absorbant le sang, Mélinda provoquait une sorte d’anesthésie, voire d’euphorie. Plusieurs réactions étaient possibles lors d’une morsure, dépendant du comportement de la personne mordue. Elle pouvait paniquer, parce qu’elle craignait qu’elle allait mourir, ou se détendre, et profiter de ce moment. Avec plaisir, Mélinda constata que Yamada appartenait à la seconde catégorie. Son sang se régulait, et la jeune femme soupirait lentement. Son sang était de grande qualité, témoignant d’une femme qui prenait effectivement soin de son corps. Une délicieuse petite humaine avec un sang comme on les aimait. Mélinda le suçait lentement, très lentement, afin de ne pas épuiser la jeune femme. Une première morsure, ou étreinte, pour le terme poétique, était toujours surprenante, la première fois.

Suivant les demandes de sa Maîtresse, Yamada ne tarda pas à poser ses mains sur les fesses de cette dernière, continuant à exciter cette dernière, qui gémissait langoureusement. Mine de rien, le sang avait cet effet sur Mélinda d’agir sensiblement sur sa libido, accroissant fortement cette dernière. Le sang était quelque chose de terrifiant pour elle, d’exquis, et Mélinda continuait à se presser contre le corps de Yamada, tout en sentant quelque chose la titiller entre ses cuisses. Le sang affluait par ici, et elle ferma lentement les yeux, faisant sortir de son corps son attribut masculin. Un beau sexe vint heurter la jupe de la lycéenne, et Mélinda la frotta, tout en continuant à boire le sang de Yamada, l’avalant goulument.

Elle finit par arrêter, retirant ses lèvres, puis secoua lentement la tête, tout en remuant son bassin, de manière à mieux apprécier les mains de la lycéenne sur ses fesses. Cette dernière attrapait sa culotte pour toucher sa peau, et Mélinda frotta son nez contre sa joue.

« Ton sang est succulent, Yamada... Il m’excite énormément. »

Elle lui sourit, et l’embrassa brièvement sur les lèvres, avant de rajouter quelques explications supplémentaires :

« J’adore qu’on s’attaque à mes petites fesses... Et j’ai une petite surprise pour toi, que tu dois sentir taper contre tes cuisses... »

Elle lui sourit, et leva l’une de ses mains pour caresser sa joue, avant de glisser son doigt sur ses lèvres, remuant son ongle griffu le long de ses lèvres, commençant par celle du haut, descendant ensuite sur celle du bas, glissant ainsi tout le long de sa bouche. Elle déposa ensuite ses mains vers la jupe de Yamada, et releva les ourlets de sa jupe, afin de les retourner, la coinçant dans la ceinture. Elle fit ensuite glisser sa propre jupe, ainsi que sa culotte, suffisamment pour faire sortir à l’air libre son sexe.

« Caresse-le, Yamada... Sens ce membre qui va te pénétrer... Ton sang m’excite énormément. »

La vampire ne lui mentait pas. Elle voulait la pénétrer, et elle comptait le faire. Là, contre le mur, avec ses vêtements. Mais, avant ça, elle voulait que Yamada sente la taille de son membre, son excitation. Elle ne se donnerait même pas la peine de la déshabiller. Mélinda lui avait ôté très peu de sang, afin que la femme reste pleinement consciente. Elle était d’une telle beauté... La vampire avait vraiment envie de lui faire longuement l’amour, de la conduire chez elle, et de passer sa nuit avec elle. C’était très certainement ce qu’elle allait faire.

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Asami Yamada

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Re : L'innocence n'existe pas [Asami Yamada]

Réponse 9 dimanche 27 janvier 2013, 17:47:25

Asami gardait la tête relevée depuis le début, se concentrant sur les sensations qui l’envahissaient, que ce soit les lèvres de la vampire lui arrachant son sang ou ses propres mains massant les fesses de celles-ci pour le plaisir des deux jeune filles. De ce fait, lorsqu’elle sentit quelque chose se presser contre sa cuisse et y bouger, elle assuma simplement que c’était une main de la jeune femme - Cette possibilité aurait sans doute pu être éliminée avec un peu de cogitation, car les mains de sa Maîtresse s’affairaient déjà à autre chose, mais la lycéenne avait d’autres priorité que cet effort de réflexion.

Après quelques instants passés ainsi, dans un silence seulement interrompu pas les bruits des uniformes et autres tissu se frottant ou même se claquant ainsi que de faibles gémissements, la vampire interrompit sa ponction de sang, libérant Asami d’une douleur qu’elle ressentait à peine et faisant perler son sang rouge à la lumière du jour. La lycéenne n’arrêtant cependant pas son massage, sa Maîtresse la taquina, faisant quelques mouvements pour mieux presser ses mains sur son postérieure, avant de lui parler d’une manière littéralement érotique de son sang, quelque chose de sans doute lié à sa nature de buveuse de sang.

Elle déposa ensuite un court baiser sur les lèvres de la jeune fille, s’accordant toute son attention, celle-ci déposant ses yeux émeraude dans les siens, ce qui fut vite suivi d’un indice quant au fait que ce qui se frottait contre sa cuisse n’était pas une main. Baissant son regard pour découvrir la surprise de la vampire, Asami, en plus de sentir le toucher agréable d’une main sur sa joue, put constater que quelque chose déformais largement la jupe de celle-ci, et, alors que sa curiosité lui demandait de questionner sa Maîtresse quant à ceci, celle-ci fit lentement parcourir ses lèvres à un de ses doigts, lui intimant un silence qu’elle trouvait sans doute amusant.

Sa curiosité piquée mais insatisfaite, la lycéenne fut frustrée que la vampire ne fasse que relever sa jupe alors que ses mains frôlaient pourtant cette bosse, avant de la coincer dans cette position, dévoilant les longues et fines jambes d’Asami, le bas de son corps maintenant couvert uniquement d’une culotte déjà mal en place, malmenée par les mains de la jeune femme, et de ses bas bleus foncés. Mais, enfin se dit-elle, sa Maîtresse se débarrassa de - Ou du moins, écarta de ce qui l’intéressait - sa jupe et sa culotte, dévoilant un membre masculin en complète érection et, accessoirement, de taille plus que satisfaisante. Réprimant un cri de surprise, la jeune fille eut le réflexe de chercher sur le visage de la vampire une forme de réponse quant à cela, mais sa seule réaction fut un ordre, celui de s’occuper de ce membre, ajoutant d’ailleurs que celui-ci se retrouverait sous peu en elle.

Légèrement troublée, Asami ne se fit cependant pas prier et tomba vite à genoux, sa tête en face du sexe de sa Maîtresse. Elle se demanda un instant quoi faire, plus car cette situation était pour le moins étrange qu’autre chose, mais elle fit vite remonter ses mains aux cuisses de la jeune femme, achevant de lui ôter ses habits maintenant inutiles par la même occasion, et exécuta finalement l’ordre qu’on lui avait donné. Ses deux mains posées sur les hanches de l’interessée, elle en fit lentement glisser une le long de son sexe, puis, arrivant presque au gland, saisit le membre et commença à le caresser. Après quelques instants à ne pas faire grand-chose hormis cela, elle décida de joindre sa bouche au plaisir de sa Maîtresse, d’abord effleurant seulement le gland de sa langue, puis y collant ses douces lèvres et le harcelant toujours de son muscle rose.

Levant parfois le regard pour croiser celui de sa Maîtresse, y cherchant à la fois une sorte d’approbation, de contentement, Asami s’affairait ainsi, heureuse que celle-ci ne puisse voir sa culotte qui commençait à porter les signes, en plus du désordre témoin de l’excitation de la vampire, de la sienne, lâchant parfois quelques faibles gémissements alors que ses joues s'empourpraient à nouveau de sang.

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Re : L'innocence n'existe pas [Asami Yamada]

Réponse 10 dimanche 27 janvier 2013, 21:59:24

Tomber sur une vampire dotée d’un sexe masculin, ce n’était pas banal. Mélinda estimait cependant que Yamada réagissait plutôt bien. L’étreinte avait été délicieuse, la petite lycéenne savourant cette morsure, ayant même été jusqu’à peloter les fesses de sa Maîtresse. Dans son parcours d’esclave, elle accomplissait pour le moment un véritable sans-faute. La surprise, l’étonnement, pouvaient logiquement se lire dans ses yeux, alors qu’elle sentait la protubérance de Mélinda caresser ses cuisses. La vampire, encore une fois, aurait pu lui expliquer que ce membre lui avait été greffé suite à une opération magique et chirurgicale il y a de cela des années. Elle aurait pu lui dire qu’elle avait jadis détesté ce membre, une espèce de sordide aberration, qu’elle avait plusieurs fois envisagé de se le trancher, dans la mesure où la simple vue de ce membre lui rappelait sa position de faiblesse, où elle était torturée par son père. Elle aurait pu le lui dire, mais elle préférait la laisser dans l’ignorance. Elle adorait lire ça dans les yeux de Yamada.

La petite lycéenne alla plus loin que ce que la vampire souhaitait. Fléchissant les genoux, elle se mit devant le membre tendu de Mélinda, et avança ses mains, écartant un peu plus les vêtements de sa Maîtresse, afin d’avoir une belle vue sur son membre. Un sourire sur les lèvres, la vampire la regardait. Ce sexe étant d’origine magique, elle pouvait accroître sa taille, mais, dans la mesure du possible, elle essayait de conserver une apparence normale. Plus le sexe était gros, et plus il pompait de sang. S’il était trop gros, elle risquait ainsi de finir rapidement épuisée. Son membre avait donc une taille normale. Mélinda sentit les mains de Yamada se poser dessus, se mettant à le caresser, et un frisson la parcourut. Une fellation... Elle adorait sucer les queues, tout comme se faire sucer. Tête baissée, elle admirait sa soumise... Pour être l’esclave d’une esclave, il fallait vraiment qu’elle soit dominée, et la vampire réalisait à quel point Yamada l’était.

Ses lèvres se rapprochèrent de son membre, ce bâton de chair qui se dressait face à elle. Bien que surprise, Yamada agissait avec un certain sang-froid. Une bonne esclave, vraiment... Parfois, il existait des perles rares. Des femmes naturellement soumises et terriblement belles. Le genre de femmes qui redonnaient espoir à n’importe quelle esclavagiste. Elle caressait son membre entre ses doigts, faisant pousser de discrets soupirs à Mélinda, avant de poser ses lèvres, la regardant, comme pour voir si ceci ne la dérangeait pas. En théorie, la vampire ne lui avait pas demandé une fellation, mais elle n’allait pas reprocher à son esclave de faire du zèle. C’était la preuve qu’elle était excitée.

*Peut-être a-t-elle l’impression de vivre une espèce de rêve merveilleux... J’aime cette idée.*

La langue de la jeune femme titilla le gland de Mélinda, avant qu’elle ne s’enfonce progressivement, s’attaquant à cette grosse sucette. Mélinda s’appuyait contre le mur, soupirant et haletant, ses cheveux tombant le long de sa tête. Il n’y avait personne pour les déranger, rien d’autre qu’elles dans ce couloir. Secouant la tête, la vampire posa ensuite ses mains sur les joues de Yamada, les caressant, avant de les poser sur l’arrière de son crâne, veillant ainsi à ce que sa tête reste bien contre elle, et que cette fellation ne se termine pas. Elle commença ainsi à donner des mouvements avec son corps, son bassin remuant d’avant vers l’arrière. Yamada goûtait à sa délicieuse queue, et la vampire se permit un sourire.

« Hum... Ma belle, c’est si bon... Goûte à ma grosse queue, vas-y... Je te sens si chaude, si excitée, si désireuse, si impatiente... Ohhhh, je te pénétrerai avec joie, crois-moi ! »

C’était une promesse, et Mélinda les tenait toujours. Elle sentait une concentration sanguine sur l’entrejambes de Yamada, signe explicite que cette dernière était en train de mouiller. Mélinda continuait à enfoncer son sexe dans sa bouche, plaquant ses mains sur sa tête. Elle prenait tout son temps, afin que le plaisir soit à son comble, son sexe s’enfonçant de plus en plus, jusqu’à opter pour quelques gorges profondes. Sa verge tapait dans le fond de sa bouche, avant qu’elle ne la retire, lentement. Ce petit manège dura ainsi un certain temps, Mélinda hésitant. Jouir ? Ne pas jouir ?

*Hum...*

Il était tentant de le faire, et c’est sur cette idée qu’elle se mit à se mouvoir de plus en plus rapidement dans sa bouche. Elle lui caressait les cheveux, ses mains crispées sur sa tête, et finit par jouir. Yeux clos, Mélinda gémit longuement, et s’abandonna dans la bouche de la petite Yamada, crachant plusieurs giclées de sperme en elle. Elle soupira ensuite longuement, rouvrant les yeux, la petite bouche de Yamada remplie de son sperme.

« Avale tout, ma belle... Jusqu’à la moindre petite goutte. »

Son sexe restait toujours planté en elle, bien planté, au chaud. Elle n'avait nullement envie de le retirer pour le moment.

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Asami Yamada

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Re : L'innocence n'existe pas [Asami Yamada]

Réponse 11 dimanche 27 janvier 2013, 22:52:35

Asami prenait presque du plaisir dans ce que lui faisait faire sa Maîtresse, et en tout cas, cela lui donnait largement envie d’en prendre, ce qu’elle osait à peine s’avouer bien que son corps le lui criait haut et fort, lui envoyant une douce sensation de chaleur, de désir et, ce qu’elle tentait de cacher à la vampire, sa culotte mouillant de plus en plus. De ce fait, elle faisait tout cela d’elle-même, et à son rythme, relativement lent. Mais cela ne dut pas plaire à sa Maîtresse, aussi celle-ci lui caressa doucement les joues, et la lycéenne, levant le regard sur son sourire, interpréta tout cela comme une sorte de récompense, de preuve de contentement.

Mais très vite, ses mains glissèrent derrière sa tête et l’empalèrent sur le membre déjà dans sa bouche, avant que son bassin n’imprime des mouvements de vas-et-viens dans Asami. Désormais plus en contrôle de quoi que ce soit, la lycéenne laissa lentement retomber ses bras le long des jambes de sa Maîtresse, qui lui confirmait oralement, alors que son sexe le faisait, pulsant en elle, tout le plaisir qu’elle prenait dans sa bouche, en même temps de lui énoncer les sensations qui l’habitaient, qui, malgré qu’elles embarrassaient la jeune fille, n’étaient que vérité. Elle lui promit aussi, sans doute pour assouvir les envies et désirs qu’elle venait de citer, de la pénétrer plus tard. Cette déclaration faite, la vampire amplifia ses mouvements, poussant son sexe jusqu’au fond de la gorge d’Asami, ce qu’elle eut peine à croire, bien que cela ne faisait que renforcer son désir, lui faisant constater plus que jamais tout ce qui se dégageait de ce membre, sa chaleur, sa puissance...Aussi ne put-elle résister à l’envie de faire remonter à une de ses mains sa propre cuisse avant de commencer à lentement se toucher à travers sa culotte déjà mouillée, caressant son sexe dans des mouvements de haut en bas.

Pour ajouter à cela, la vampire accéléra vite la cadence, mettant son esclave à l’épreuve, celle-ci finissant presque par mal supporter tout cela, tout cela lui coupant régulièrement le souffle et, à la longue, l’essoufflant alors qu’elle gaspillait déjà son énergie à gémir incontrôlablement. Mais alors que cet effet atteignait son paroxysme en même temps que la vitesse que lui imposait sa Maîtresse, la lycéenne sentit un liquide chaud et légèrement épais gicler dans sa gorge en quelques salves. Cela étant arrivé alors que les lèvres d’Asami n’arrivaient qu’à une «petite » moitié du membre, la bouche entière de la jeune fille se retrouvait couverte de sperme, une partie s’étant d’ailleurs écoulée hors de ses lèvres, lui donnant une impression délicieuse de chaleur dans toute celle-ci et lui permettant, de sa langue qui la parcourait avidement, de constater que ce liquide avait une texture et un goût presque agréable et en tout cas, délicieusement excitante.

Reprenant lentement son souffle alors qu’elle profitait de ce moment, Asami put entendre sa Maîtresse lui ordonner d’avaler, d’absolument tout avaler. Malgré qu’elle hésita à le faire quelques instants, la jeune fille entreprit finalement d’obéir, avalant d’abord une grosse partie très simplement, puis rassemblant lentement de sa langue, qui caressa du coup le gland de la vampire, le reste du délicieux liquide pour avidement finir de s’exécuter. Ayant goûté tout le sperme de sa Maîtresse, la lycéenne poussa un léger gémissement après tout cela, sentant la douce chaleur de celui-ci descendre sa gorge après avoir habité sa bouche, et regarda ensuite la vampire, espérant pouvoir être libérée de cette posture, la fixant d’un regard qui réclamait une récompense et l’approbation alors qu'un long filet de sperme descendait toujours de ses lèvres. Elle se touchait d’ailleurs toujours, son clitoris maintenant dressé et qu’elle effleurait pleine de désir lors de chaque caresse, continuant cette action comme si cela ne pouvait que ravir sa Maîtresse.
« Modifié: dimanche 27 janvier 2013, 23:59:34 par Asami Yamada »

Mélinda Warren

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Re : L'innocence n'existe pas [Asami Yamada]

Réponse 12 lundi 28 janvier 2013, 11:29:50

Yamada était excitée. Mélinda le sentait, le percevait, à travers ses ondulations sanguines.  Elle se touchait, caressait son intimité discrètement. La vampire se mit à légèrement sourire, lui caressant les cheveux. Son sexe baignait dans son sperme, et Yamada se mit à le boire rapidement, avalant de grandes gorgées. La vampire soupirait longuement, des frissons de plaisir la traversant, remontant le long de son corps. Elle ressentait des sensations superbes et merveilleuses sur son sexe. Bien qu’elle ait joui, Mélinda était toujours excitée, avec une belle érection. L’un des avantages d’avoir un sexe magique. Ses mains caressaient les cheveux bleus de la femme, glissant le long de sa nuque, grattant sa peau. Elle glissait vers ses oreilles, les frottant également, sachant que cette partie du corps était assez érogène. Son membre continuait à lentement remuer, au fur et à mesure que Yamada le léchait pour le nettoyer. Sa langue glissait sur sa queue, et ce petit manège, délicieux et sensuel, dura plusieurs secondes. Mélinda finit par retirer son sexe, lentement, puis amena Yamada à se relever.

Elle avait vu dans le regard de la jeune femme un désir flamboyant, une demande implicite et silencieuse. La relevant, Mélinda alla l’embrasser à nouveau, sentant le goût du sperme sur les lèvres de la lycéenne. Un filet de sperme blanc s’était échappé de ses lèvres, glissant sur son menton, et elle entreprit de lécher cette partie de sa peau, remontant sa langue vers ses lèvres, pour un autre et bref baiser. Ses mains, quant à elles, caressaient les joues de Yamada.

« C’est bon, hein ? »

Mélinda frotta son nez contre le sien, son sexe caressant sa culotte trempée. Elle fléchit ensuite les genoux, posant sa tête près de la culotte de Yamada. Comme elle s’y attendait, cette dernière était trempée, ce qui la fit sourire. La petite devait commencer à comprendre qu’elle serait heureuse en étant son esclave. La vampire ignorait ce que Theorem lui avait fait subir, mais sa petite goule avait du bien se débrouiller, car Yamada était une vraie soumise, tout en étant plus perverse que ce qu’elle avait initialement cru. Comme quoi, il ne fallait jamais se fier aux apparences. Elle lécha sa culotte, lentement, savourant sur sa langue le contact de sa mouille. Elle porta ensuite ses mains sur sa culotte, les glissant à travers, et fit descendre cette dernière. Son sous-vêtement glissa légèrement le long de ses jambes, jusqu’à tomber sur le sol.

La vampire approcha alors ses lèvres de l’intimité de Yamada, et s’amusa à la renifler, tout en approchant ses lèvres, déposant quelques coups de langue dessus, savourant ce contact humide.

« Hum... Ma pauvre, il est temps que j’agisse, ton trou doit être en feu... »

Mélinda se releva à nouveau, replongeant son regard dans celui de Yamada, et posa l’une de ses mains sur sa nuque, s’en servant comme appui, tout en posant l’autre sur son sexe.

« Je sais que tu te poses des questions, glissa-t-elle près d’elle, leurs seins se caressant, qu’il y a des choses que tu ne comprends pas... Mais l’heure n’est pas encore aux explications... »

La vampire enfonça, suite à ces paroles, son sexe dans l’intimité de Yamada, et ferma les yeux, un frisson de plaisir remontant le long de son corps, alors que ce dernier vint commencer à s’enfoncer sans aucune réelle difficulté. A dire vrai, son membre ne faisait qu’explorer ses lèvres. Mélinda avait eu un brusque sursaut, une idée subite, et s’arrêta là, dans une position de grande frustration, surtout pour Yamada, vu qu’elle venait déjà de jouir.

« Hum... Ma petite goule aurait-elle commis l’affront de ne pas t’ôter ta fleur ? »

Il est vrai que, maintenant qu’elle s’en rappelait, Theorem était plutôt du genre à aimer le sexe oral ou anal, mais pas forcément vaginal. Il était donc possible que Yamada soit toujours vierge. Pour l’heure, son sexe n’était pas assez enfoncé pour percer quoi que ce soit. Elle attendait, à un instant fatidique.
« Modifié: lundi 28 janvier 2013, 18:58:07 par Mélinda Warren »

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Asami Yamada

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Re : L'innocence n'existe pas [Asami Yamada]

Réponse 13 lundi 28 janvier 2013, 21:18:30

Asami se laissait aller à la routine que la vampire laissait s’installer, qui devait satisfaire les deux femmes, l’une léchant affectueusement le membre de l’autre tout en se masturbant. Mais cela du vite lasser l’« hermaphrodite » puisqu’elle relâcha la tête de la lycéenne alors qu’elle en extrayait son sexe encore couvert salive. Elle lui intima dans le même mouvement de se relever, lui faisant abandonner sa masturbation, et, une fois à sa hauteur, fit mine de l’embrasser, mais les gouttes de sperme qui coulaient de ses lèvres la firent s’arrêter lui donnèrent une bien meilleure idée, celle de les lécher avant de les partager avec sa servante. Via un baiser langoureux, la langue couverte de semence put étaler le liquide sur l’autre alors qu’elles s’entremêlaient, le lui faisant à nouveau goûter dans un délice accentué par la façon dont la Maîtresse nourrissait son esclave.

Ce baiser fut bref, et les mains avaient à peine eut le temps de venir caresser les joues d’Asami que leurs langues se séparaient, permettant par ailleurs à la jeune fille d’avaler sa part de la semence. Ne pouvant que tomber d’accord avec la vampire, elle répondit simplement à sa question :

« Oui, c’est très bon... »

Cette remarque lui fit réaliser tout le plaisir que lui avait apporté sa Maîtresse, et peut-être pour la première fois depuis sa rencontre, elle lui sourit, agrémentant son visage d’une joie qu’elle n’avait pas encore pu exposer et qui la sublimait bien plus que toute autre chose. Dans ce que la lycéenne interprétait comme un geste d’affection, la jeune femme frotta, pleine de tendresse, leurs deux nez, ce qui rassurait Asami en plus de la lui faire prendre en affection, bien que cet effet soit sans doute assez pervers et calculé par la vampire. D’ailleurs, au même moment, son sexe, déjà encore, ou plutôt toujours en érection, car même quelques instants après avoir joui, il était encore dure dans la bouche de la lycéenne, effleurait délicatement la culotte de la jeune fille, sa Maîtresse ayant sans doute remarqué l’intérêt qu’elle y réclamait.

Inversant alors les rôles, la vampire s’abaissa, sa tête arrivant, comme si la taille des deux femmes était parfaite pour leurs unions charnels, pile au niveau de son sexe qu’elle entreprit vite de lécher à travers le sous-vêtement déjà largement mouillé. Pour mieux apprécier tout cela, Asami appuya son dos sur le mur, y collant par ailleurs ses mains, dont l’une était d’ailleurs encore légèrement humide pour la même raison que sa culotte, et ferma les yeux pour apprécier les divines caresses de sa Maîtresse. Après quelques instants ainsi dûment savourés dans un silence à peine rompu par quelques très faibles gémissements de la jeune fille, la vampire décida de découvrir le sexe de son esclave. Cela la fit légèrement rougir, mais la vampire semblait ne pas être affectée le moins du monde, l’habitude l’ayant sans doute lassée, et elle commença aussitôt à s’en approcher, n’interrompant jamais ses délicieux coups de langues qui arrachaient maintenant clairement à la lycéenne des gémissements de plaisir qu’elle tentait en vain d’étouffer. Même amusée par l’excitation de celle-ci, elle se permit de lâcher une remarque quant à cela, mais elle ravissait en fait la jeune fille puisque lui promettant de mettre fin à cette attente.

Se relavant à son niveau, la vampire ne lui accorda cependant aucun baiser, tout au plus un regard, et plaça une main sur sa nuque, clairement un appui puisqu’en réalité quasiment pas appréciable, alors que l’autre caressait lentement son sexe. Tout cela, en plus de l’affirmation de sa Maîtresse, qui justement lui refusait pour l’instant toute explication, les repoussant à plus tard, semblait confirmer l’imminence de l’acte. Elle initia alors un mouvement dans son bassin qui fit adroitement se coller son membre au sexe d’Asami, résolument prêt à le pénétrer, la légère pression suffisant d’ailleurs à faire gémir la jeune fille, le sexe de sa Maîtresse épousant parfaitement le sien. Mais cela n’alla pas plus loin, étrangement, frustrant absolument la servante qui, faisant déjà ruisseler de la cyprine sur le sexe de sa Maîtresse, pouvait sentir le moindre des soubresauts de son membre qui semblait se répercuter dans tout son corps, lui arrachant de petits gémissements.
Cherchant l’explication sur le visage de la vampire, Asami la trouva vite, enfin, sous la forme d’une interrogation mêlée de surprise : Peut-être ne voulait-elle pas la déflorer ainsi, l’occasion étant peut-être légèrement précaire et peu adaptée à ce moment qu’on voulait souvent délicieux. La jeune fille ne put que répondre.

« Non...Il ne m’a pas pénétrée là...Mais...Mes fesses sont à vous si vous voulez, Maîtresse... »

La mention de Theorem l’avait ramenée à tout ce qu’il lui avait fait, dont s’occuper presque à outrance de ses fesses qui semblaient d’ailleurs grandement intéresser la vampire, aussi Asami eut-elle l’idée de proposer cette idée de manière un peu maladroite mais en aucun cas dénuée d’envie et, car il était vrai que le lieu et l’ambiance n’étaient peut-être pas idéaux, lui évitait de perdre sa virginité, au moins tant qu’elle serait ici.
« Modifié: mercredi 30 janvier 2013, 17:32:10 par Asami Yamada »

Mélinda Warren

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Re : L'innocence n'existe pas [Asami Yamada]

Réponse 14 jeudi 31 janvier 2013, 12:21:55

« Non...Il ne m’a pas pénétrée là...Mais...Mon cul est à vous si vous voulez, Maîtresse... »

Mélinda esquissa un léger sourire, commençant à comprendre ce que sa petite goule lui avait fait. Theorem était un fétichiste du cul. Mélinda avait d’ailleurs toujours eu un doute. Était-ce à cause d’elle, ou avait-il toujours aimé les sodomies ? Il avait demandé à être privé de sexe, pour pouvoir être uniquement pénétré par le cul, après tout. Visiblement, il avait partagé cette passion avec Yamada, car elle préférait se faire sodomiser, plutôt que perdre sa virginité... En même temps, Mélinda ne voulait pas la déflorer ici, dans ce couloir. La virginité était quelque chose de sacrée, et elle se demandait pourquoi Theorem ne la lui avait pas ôté... Une marque de respect ? Ou une espèce de perversion ? Plusieurs fois, elle s’était dit que l’élève avait dépassé le maître... Dans le fond, il n’était pas étonnant qu’il se fasse ses propres esclaves. Mélinda écarta donc son sexe des lèvres intimes de Yamada, et retourna brièvement l’embrasser, avant de commencer à lui ôter ses derniers vêtements. La vampire ne dit rien, portant ses mains sur les boutons de son chemisier, et la déboutonna, avant de la faire tomber. Mis à part ses collants, Yamada n’avait dès lors plus que son soutien-gorge.

« Et bien, ma foi... Je ne vais pas refuser une telle offre... Retourne-toi, Yamada. »

Elle parlait d’une voix douce, mais ferme et autoritaire. La vampire aida Yamada à se retourner, l’invitant à fixer le mur, et baissa naturellement les yeux vers cette partie de son corps. Yamada avait de délicieuses petites fesses rebondies, rondes et attirantes. Elle se mit à les caresser avec ses mains, une sur chaque fesse, les pressant longuement. Elle les malaxait, les remuait, frottant avec ses pouces sa croupe, prenant tout son temps. Mélinda s’accorda bien plusieurs minutes à les pétrir ainsi, savourant cette peau douce et chaude. Elle était tendre et magnifique, et la vampire s’amusait à les caresser pendant un certain temps, embrassant dans le cou Yamada.

Mélinda finit par retirer ses mains, frottant ensuite sa queue contre sa croupe. Elle faisait volontiers prolonger le plaisir, afin que Yamada s’impatiente encore plus. Oui, c’était un brin cruel, mais, quand on était vampire, on se devait bien avoir un zeste de sadisme. Le temps passait ainsi volontiers, devant être assez long pour Yamada, dont son sang, délicieux, continuait à s’affoler, tentant à nouveau Mélinda. Retourner la mordre ne serait toutefois guère prudent.

« Hum... Quel délicieux cul... Il est temps que j’aille voir si l’intérieur est aussi attirant que l’extérieur... »

La vampire secoua la tête, rabattant ainsi ses longs cheveux en arrière, puis posa une main sur son membre, et s’en servit pour le guider vers le fessier de Yamada. Si elle avait pris soin de frotter ainsi ses fesses, c’était aussi pour pouvoir mieux guider son membre. Son anus était un petit trou serré, discret et timide, dans lequel elle alla lentement s’enfoncer. Elle enfonça sa queue en elle, devant forcer le passage. Le bout de son gland tapa contre son anus, ne parvenant pas, au début, à rentrer. Elle dut insister, forcer, utiliser ses reins et ses muscles, pour élargir le trou, ce dernier glissant sur le bout de sa queue. Elle soupira, grognant de frustration, retenant ses doigts pour bien rester contre les fesses de la femme, dilatant progressivement son trou.

*Allez, allez !!*

Fermant les yeux, elle soupira, et posa son autre main sur l’un des seins de Yamada, lui arrachant pour le coup son soutien-gorge, se servant de son sein comme appui, tout en continuant à forcer. Au bout d’un moment, sa queue réussit enfin à se glisser dans le fondement de Yamada, s’enfonçant dans son trou, et un long soupir de plaisir s’échappa des lèvres de Mélinda, un petit cri de satisfaction. Son membre était endolori, mais le plus gros était fait : le début était passé. Il ne restait plus qu’à faire entrer le reste, maintenant.

Comme pour réveiller Yamada, elle déposa une petite gifle sur son postérieur.

« C’est... C’est intense, hein, ma chérie ?! »

DC d’Alice Korvander.

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