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« le: mardi 22 décembre 2009, 18:50:11 »
Se faire tirer dans les couloirs était franchement douloureux quand ce n,est pas par le bras qu'on se fait tirer mais par les cheveux. Pour éviter d'en rajouter à sa souffrance, Émilia suivit la demoiselle en gémissant de douleur, faisant comme si elle ne comprenait pas ce qui arrivait. Il n'était pas rare qu'elle se fasse agresser après une crise de colère, mais de là à la trainer de force dans les couloirs d'un poste de police, on pourrait presque croire qu'elle allait se faire torturer par la policière. Elle se sentit alors poussée dans les toilettes pour femmes, tombant sur le sol. L'agente ficha les autres femmes à la porte et la condamna avec les serrures. Elle tenta de la menacer, mais elle avait terriblement chaud, ca se voyait à l'œil nu qu'elle était vraiment allumée. La jeune femme fut presque étonnée de la taille de la belle poitrine de sa probable prochaine partenaire.
Il n'en fallut guère plus que le sexe et les mamelons pointant de la demoiselle pour faire réagir la belle professeur. Fascinée et excitée par le désir ardent et perceptible de la jeune femme, elle s'approcha d'elle en faisant rouler sensuellement ses hanches, retirant à son tour sa veste et son débardeur, souriant avec un désir. Sans même qu'elle les eut léchées, ses lèvres s'humidifièrent, devenant miroitantes sur son rouge à lèvres. Tout comme sa victime, elle avait beaucoup de mal à se contenir. Tout doucement, elle saisit dans sa main le sein droit de la demoiselle, bécotant l'autre avec tendresse. Oh, cette poitrine était souple et très invitante aux massage. Elle glissa alors tout doucement une main sur le beau fessier de l'agente et le pétrit également. Tout doucement, elle détacha son propre soutien-gorge, dévoilant une poitrine sublime et magnifique. Le visage de la professeur, rougissant, lui donnait un air de vierge en chaleur, de la manière dont elle avait reculé contre le mur.
(Désolé, très court encore ><)