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Messages - Dextra-Senestra

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Le parc et son sous-bois / Re : Charité chrétienne [Dextra-Senestra]
« le: mercredi 22 avril 2015, 11:52:15 »
Le jeune homme ne savait plus dans le fond quoi penser de tout cela, mais si il savait bien quelque chose c'est que cet instant, qu'il partageait de manière aussi passionnée avec la belle Amélie, était l'un des moments les plus puissants, les plus enivrant qu'il avait vécu, qu'il avait ressenti de toute sa courte vie, et si son corps ne pouvait plus s'arrêter, si son coeur battait autant à tout rompre dans sa poitrine à chacun des doux gémissements qu'elle poussait, c'était bien parce qu'elle était à cet instant tout ce qu'il avait de plus précieux à son goût, à tel point quand il en perdait toute notion de logique. Il se voulait à elle, il la voulait pour lui, il la possédait autant qu'elle même était en train de l'avoir pleinement seulement pour elle malgré tout ce qu'il s'était passé, et pour cela, rien que pour cela, l'homme était au comble du bonheur à mesure que le plaisir montait en lui, terrible, puissant, aveuglant, mais divin, si divin que pour rien au monde il ne pourrait cesser ce qui était en train de se dérouler, cette merveilleuse union entre elle, lui, leurs doutes et leurs sentiments sur l'instant.

Quand il sentit les jambes de sa belle s'enrouler autour de ses hanches, c'est un flot d'envie qui l'enroba, un flot de désir, un aveu de la ravissante étrangère en face de lui qui lui disait de ne plus se limiter seulement à ce qu'un amant ferait, mais à ce que pourrait offrir le seul et l'unique de sa vie, et même si le lycéen se doutait au plus profond de lui qu'Amélie, dans peu de temps, lui échapperas surement pour retourner à sa vie d'errance dans les grandes rues de Seïkusu, elle lui offrait à l'heure actuelle le droit de s'approprier tout d'elle, jusqu'à la plus infime parcelle de sa peau, jusqu'à la plus profonde parcelle de ce qu'elle ressentait. Et lui, jeune homme perdu dans ce qu'il avait de plus fort en lui, tout l'amour qu'il pouvait offrir à autrui, à la fois dans son innocence et sa pureté, ressentait enfin le bonheur en train d'effacer toute limite pour le laisser aussi simple qu'il pouvait toujours l'être, un jeune damoiseau épris, et prêt à tout pour le bonheur de celle qu'il étreignait, tandis que ses limites se faisait de plus en plus précise, et de plus en plus proche.

« Haaaa... Haaa !!
 -  Mhhn ... han ... Amélie je ... »

A quoi bon prévenir qu'il était au bord de la jouissance, au bord de ce grand bond qui mettrait tout autant fin à ce beau rapprochement qu'ils avaient, autant qu'il leur offrirait le meilleur des dénouements possible suite à ce sentiment qui les avait tout les deux embrasés et poussés dans les bras de l'autre ? Il sentit la belle jeune femme perdre de ses forces, commencer à faiblir, à se tendre tandis que son corps suivait un rythme irrégulier, fébrile, incroyable, et lui-même se mettait à connaître une telle sensation, jusqu'à ce que son esprit devienne parfaitement vide, blanchit par le soudain plaisir de sa tendre et chère, effacé soudainement par les cris de bonheur qu'elle poussa dans la petite chambre du lycéen perdu dans le bonheur et le plaisir charnel... Elle venait d'atteindre l'orgasme, elle venait de ressentir ce dont elle avait tant besoin de connaître, et Senestra sentit lui-même que son être était proche de la même explosion de sensation et de bonheur, se retenant encore un peu avant de choisir de se retirer pour ne pas créer le moindre problème...

Mais fatigué, tremblant et fébrile, le simple fait d'être "emprisonner" par les jambes de la jeune femme l'en empêchèrent, il se mordit la lèvre, incapable de se décider, pourtant incapable de se retenir plus longtemps, et de manière bien maladroite, il se rapprocha d'elle, se colla à elle, l'embrassa au passage avec une tendresse et un amour tout honnête, tout sincère, et fit le dernier mouvement qu'il se pouvait de faire, sentant dés lors le bonheur l'envahir, le surpasser, le terrasser... et la jouissance venir. Se relâchant en elle sans un mot, sans un terme, juste la sensation à la fois coupable et heureuse qui s'exprima dans son rapprochement, dans son tendre baiser, il jouit en elle sans s'arrêter, libérant son corps de ce poids monstrueux qu'était le plaisir en perdant toute maîtrise tandis que le fruit de sa jouissance se répandait en Amélie par petits jets maladroit. Et il s'écarta juste après légèrement, quelques centimètres de rien du tout, juste assez pour qu'il puisse la contempler, rouge de bonheur, encore perdue dans sa propre jouissance, et qu'il vienne avec un mouvement d'une infinie douceur caresser sa joue, et nourrir les sentiments en son coeur de la vision d'un ange qui se trouvait sous lui, et dont il était terriblement épris.

« Je... Tu es merveilleuse Amélie, tout simplement merveilleuse... »

Et il vint lui offrir un énième, toujours empli de ce sentiment d'amour qu'il ressentait, baiser.

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 -  Je rêve ou c'est Dextra qui est à poil dans le lit de notre prof ?
 -  Tu ne rêve pas.
 -  Et la petite menteuse essaye de nous faire croire qu'elle ne souvient de rien. Et ça, tu l'as eu où à ton avis ?

Non seulement elle n'avait pas crut un seul mot de ce qu'elle leur avait dit, mais en plus voilà que les jeunes filles profitaient pleinement du spectacle, semblant contempler son corps et sa fâcheuse position comme si il s'agissait d'un véritable buffet qui avait été laissée ici à leur appréciation afin qu'elles en profitent comme il le fallait. Toutefois, Dextra ne comprit pas vraiment pourquoi c'était celle qui était la plus proche d'elle dans la vie de tout les jours qui venait de se rapprocher aussi rapidement d'elle pour soulever son bras, et ce juste pour lui indiquer le maudit tatouage qui soulignait la finesse de son membre tout en lui demandant pour quels raisons elle pourrait porter de pareils fioritures sur le corps si elle ne se rappelait de rien, ce qui était débile en un sens si elle connaissait en effet la signification de pareils symboles. Attends, elle savait de quoi il s'agissait ? Comment le pouvait-elle, c'était uniquement la démone qui usait de ce genre d'artifices... Était-ce possible du coup que les trois demoiselles soient aussi comme l'horrible professeur ? Ou pire, ses complices de tout les jours ?

 - Ce ne seraient pas par hasard maîtresse Tessia qui les a fait apparaître, non ? Qu'en dis-tu Sakura ? Ça ne ressemble pas aux marques que notre maîtresse avait mises sur tes jambes pour t'empêcher de t'enfuir lors de la fois où on t'a initiée ?

Que-Quoi ? Maîtresse Tessia ? Non ce n'était pas possible, elles étaient juste toutes les trois les servantes de cette démone idiote qui, depuis le début de cette maudite fin de journée, avait prit le temps de la faire souffrir un nombre incalculable de fois uniquement pour le plaisir de se défouler, et la fausses excuses de lui faire comprendre que la gentillesse était une chose que la jeune fille ne devrait pas rejeter aussi rudement, surtout quand on la lui offre de manière parfaitement gratuite. Pour le coup, elle ne sut pas vraiment qui était les pires entre Tessia et ces trois jeunes filles, car bien que toute sa colère et son énervement soit purement adressé à cette sorcière qui avait osée la priver de son énergie, elle ne pouvait pas non plus oublier le fait qu'actuellement elle était entourée de trois abruties, qui avait osées se rabaisser assez bas pour se laisser dominer par la démone,  et qui en plus se complaisaient désormais dans ce comportement immoral entre elles, notamment envers la pauvre Sakura.

 -  Elle venait de faire apparaître une verge de vingt-cinq centimètres entre ses cuisses ! J'étais supposée le prendre comment en sachant que j'étais toujours vierge !
 -  Elle t'avais dit que c'était pour ton cul pourtant, pas pour ta chatte. Sakura veut rester vierge pour son mariage. C'est pour ça que ça fait des années qu'elle joue avec son anus à la place. Mais dès qu'elle a vu une bite elle s'est enfuie en courant ! C'était trop drôle !
 -  Rin ! Espèce de garce ! Je devrais lui dire tes fantasmes à toi auss...
 -  Je... Je ne sais pas quoi dire par rapport à tant d'informations d'un coup... A part peut-être que j'aimerais bien évi...

La fin de sa phrase mourue entre ses lèvres quand elle vit en effet les deux jeunes femmes dans une situation à la fois troublante et tendrement excitante pour le coeur de la jeune femme, contemplant dés lors la relation incestueuse des deux jeune fille s'exprimer silencieusement grâce au visage ravi de Rin qui léchouillait les doigts de sa tendre jumelle, et la dite jumelle dont le trouble semblait laisser place à un amusement croissant. Cela lui fit presque oublier ce qu'elle venait d'apprendre, comme quoi la professeur était capable de faire apparaître entre ses cuisses l'équivalent d'un gourdin de police, que les trois jeunes femmes avaient surement déjà goûtées à une telle punition des plus honteuses aux yeux de la jeune femme, mais le pire étant que si elle l'avait voulue, la succube aurait put le lui faire depuis le début de leurs rencontres, ce que pour l'instant la démone n'avait jamais fais, n'ayant réellement touché à la jeune fille en ce sens que lors de sa masturbation jouissive.

 -  Pouah ! Dites les jumelles incestueuses, vous pourriez pas profiter que vous habitez la même maison pour forniquer là-bas et nous épargner le spectacle ? Notre invitée est toute rouge, osa-t'elle dévoiler tandis que Dextra sentant en effet le feu lui monter aux joues, et pire encore quand elle vit les deux soeurs s'embrasser passionément comme seule réponse à Ayako... Je crois qu'on les a perdues pour un moment. Ça tombe bien, tu ne peux pas savoir à quel point j'ai rêvé d'une situation similaire...
 -  Hein ? Oh allons ne me dit pas que tu m'en veux parce que je t'ai mise minable à un duel de tiiiIIIIK... Aaahn...

Comment pouvait-elle réagir autrement alors qu'elle venait de lui pincer cruellement un de ses tétons, encore gorgé de plaisir et donc particulièrement sensible à l'instant présent ? En effet elle ne parvint encore une fois même pas à finir la phrase qu'elle s'apprêtait à balancer comme une sévère pique à la dirigeante du club de tir à l'arc, et pour le coup elle se demanda si elle avait vraiment voulue le faire au premier abords, ou si c'était à cause de sa provocation qu'elle s'était mise en tête de la malmener un peu en se doutant que la démone avait déjà fait bien assez pour rendre la jeune femme complètement incapable de résister à de pareils atteintes ! Plus elle lui faisait mal et plus elle se snetait incapable de faire quoi que ce soit pour s'en défendre, se métant à gémir et crier de plus en plus forts, sentant la main cruelle de sa camarade ne pas s'arrêter pour autant , jusqu'à ce que soudain elle sente qu'elle ne subissait plus le moindre outrage, notamment grâce au regard culpabilisant que les deux soeurs offraient à Ayako :

 -  Ho allez, je voulais juste me venger un peu...
 -  On ne sait pas ce que maîtresse Tessia a prévu pour elle, on devrait l'attendre.
 -  Oui, mais on peut pas la laisser comme ça, elle va chopper froid si on la réchauffe pas un peu. Je sais, et si on lui enfonçait un gode dans le cul ?
 -  Comment ? osa-t'elle prononcer d'un ton outragé, mais toutefois faible après ce qu'elle venait de connaître.

Oui elle ne savait pas vraiment comment il était possible que la lycéenne n'ai put ne serait-ce que penser que la pénétrer avec un gode saurait réchauffer son corps d'une quelconque manière, elle allait bien plus surement se retrouver à gémir de douleur sans la moindre préparation, en plus de se mettre à sévèrement en vouloir à cette idiote qui osait vouloir s'en prendre à son intégrité. Bien heureusement elle espérait bien que Rin allait continuer de la défendre, car même si elle avait été la première à la contredire sur son mensonge, elle semblait encore capable de se souvenir que dans la vie de tout les jours elles étaient capable de s'entendre à peu près comme deux amie, et donc semblait la protéger en partie du comportement particulièrement outrageux de la revancharde. Toutefois il ne fallait pas rêver, elle savait que les trois personne ici présente était complètement dévouées à leur chère Tessia, et vue les plans que la femme avait fomenter pour elle, il était plus que peu probable qu'elle soit toutes les trois aussi perverses que cette dévergondée qui lui faisait connaître tant de supplices, et donc que même en son absence, les trois sauraient prendre la relève :

 -  Ayako, tu trouves pas que tu dépasse les bo...
 -  Moi je trouve que c'est une bonne idée. Mais oui, réfléchis, si l'entrejambe est stimulée, elle aura chaud partout, et même si elle veut rester vierge, c'est l'anus, pas le vagin dont on parle. Du coup pas de traces !
 -  Je ne pense pas que...
 -  Mon avis ne comptes pas ? Arrêtez de parler comme si je n'étais pas là !
 -  Ho allez, soit pas rabat-joie !

Elles l'ignoraient complètement, même Rin qui tentait de la défendre n'arrivait pas à la prendre en compte, et bien sur vu qu'elle se retrouvait bien malheureusement seule face aux deux autres demoiselles, ce n'était qu'une affaire de temps avant qu'elle ne craque, à moins qu'elle n'ai déjà craquée intérieurement suites aux doux mots que sa soeur venait de lui laisser au coin de l'oreille. En tout cas Dextra vis son "adversaire", son "ennemie" même étant donné le comportement qu'elle avait à son encontre, se relever du lit et partir vers une commode qui ne présageait rien de bon à la lycéenne, encore plus quand elle vit la jeune femme fouiller dedans avec un regard plein d'une lubricité malsaine. Allez savoir pourquoi, elle sentit le coup de pute venir, dans tout les sens du terme possible, et quand elle vit enfin Ayako sortir le fruit de ses recherches, à savoir un gode d'une trentaine de centimètre dont la largeur serait bien suffisante pour lui déchirer les entrailles, elle ne put empêcher un couinement de peur s'échapper de ses lèvres, tandis qu'elle eut un faible et ridicule mouvement de recul.

 -  Hé stop ! Faut pas abuser ! Même Sakura ne le tolère pas celui-là !

Merci Rin, bon dieu merci !

 -  Et celui-là ? Questionna-t'elle en montrant un gode de taille bien plus raisonnable.
 -  Ho ouiiiiiii !

Cette expression de joie de la part de Sakura fut surement ce qui signa la fin pour la pauvre Dextra, car Rin ne semblait décidément pas capable de résister à sa soeur, encore plus maintenant que les deux étaient aussi tendrement enlacés, et sans qu'elle ne puisse faire quoi que ce soit pour protester ou au moins demander une aide supplémentaire de la part de son amie, elle vit la revancharde fermer le tiroir des horreurs d'un petit coup de fesse avant de se rapprocher d'elle avec un air malsain au visage. Non seulement elle comptait bien la sodomiser avec cet outil, mais en plus elle allait en prendre un plaisir dantesque, Dextra le savait, et la simple idée qu'elle puisse lui faire cela était en soi assez pour que la jeune lycéenne se promette que dés qu'elle aura la possibilitée de se venger, elle sautera sans hésiter le moins du monde sur l'occasion. Mais pour l'instant non seulement elle en était incapable, mais en plus d'entendre les gémissements heureux de Rin en pleine relation incestueuse avec Sakura l'excitait tout particulièrement, si bien qu'elle s'en voulut de reconnaître que l'objet lui donnait presque envie dans l'instant.

Quand Ayako arriva à sa portée, elle sentit tout l'horrible plaisir avec lequel sa camarade de classe allait profiter de sa vengeance, et si cela eut le don de refroidir les ardeurs de Dextra, durement apparue à force de vision plus ou moins assumée du couple Rin/Sakura, cela ne lui permit en rien de se défendre face à cela, à son plus grand malheur. C'est ainsi qu'elle sentit l'horrible saleté la retourner sur le ventre et prendre ce qu'il fallait de lubrifiant sur ses doigts pour en étaler généreusement sur son petit trou, lui provoquant quelques frissons, à la fois à cause de la température du produit que par la frayeur qu'elle avait de se faire prendre aussi durement par une saloparde qui dans le fond ne le faisait que pour son propre plaisir de connasse souhaitant essuyer une cuisante défaite subit plus tôt dans la semaine. Puis elle se mit à le sentir, le bout relativement épais de ce sexe en plastique qui força lentement sa "mauvaise" entrée et qui poussa, poussa encore ...

 -  Nmmhn ... nnnh ... Haaaa Haaaa....HAAAAaaaa.

Et voilà, il venait de rentrer d'un coup, le lubrifiant ayant fait son travail pour percer son petit trou et s'enfoncer de plusieurs centimètre d'un coup grâce à la force qu'Ayako y avait mit. Son gémissement était facile à entendre, avec un peu de malchance elle avait peut être même mit les alentours au courant de ce qui était en train de se dérouler dans l'appartement de la professeur, et c'est avec une honte croissante qu'elle sentit Ayako faire rentrer le reste du jouet sexuel en elle, la faisant gémir doucement à mesure que cet objet épais écartelait ses chairs. C'était bon, beaucoup trop bon dans le fond, et elle entendit Ayako ricaner au dessus d'elle devant ce spectacle pitoyable qu'elle lui offrait bien malgré elle, la jeune femme devant surement se délecter de voir une Dextra aussi faible et jouissive au moindre petit plaisir, sans se douter qu'elle avait déjà subit tant de ces maltraitances érotiques que la moindre parcelle de son corps était en ébullition, et donc si sensible que la moindre provocation marchait à 200%.

 - Ah ah regardez ça les filles, regardez comme elle apprécie cela ! Je suis en train de la sodomisée contre son gré, et elle kiffe ça !
 -  Tu devrais arrêter, si Tessia voyait que tu faisait cela sans son accord, coupa sèchement Rin, toujours aussi mal à l'aise à l'idée qu'elles fassent une erreur en faisant connaître cela à Dextra.
 -  Mais non voyons ! Regarde, un peu plus et je croirais qu'elle aime encore plus cela que Sakura, répondit-elle alors qu'elle fit faire un rapide aller-retour au god, obligeant la lycéenne à gémir profondément.
 -  Han... C-C'est pas ça... AAAhn !

Non en effet, c'était loin d'être la raison qui la rendait aussi faible face au plaisir, il s'agissait plutôt des deux soeurs juste à coté d'elle. En effet le god en elle était délicieux, bien trop pour qu'elle puisse faire quoi que ce soit contre, mais dans le fond ce n'était pas vraiment ça qui la rendait incapable de se défendre contre ce plaisir, mais plutôt la relation incestueuse juste à coté d'elle qui était en train de lui rappeler ses propres fantasmes inavoués, des fantasmes qui de manière incontrôlée rendait le god presque aussi agréable que pourrait l'être le sexe de son propre frère, dont elle avait tant envie dans la vie de tout les jours. Mais bien sur elle ne comptait ni l'avouer, ni l'expliquer aux jeunes femmes en présence, même si elle continuait de la maltraiter ainsi, même si elle voyait bien qu'une relation telle que celle-ci avait put s'installer entre les deux soeurs qu'elle connaissait bien, même malgré tout cela elle n'avoueras jamais d'elle-même ce profond désir qu'elle a envers Senestra, et qui rend cette outrageuse pénétration aussi bonne.

 -  Ah oui, et c'est quoi alors miss sainte-nitouche ? Parce que là tu es la seule d'entre nous toute à gémir comme une salope tu sais ? Allez vas-y dis moi tout je t'écoutes, suis curieuse d'entendre ta version des faits !
 -  Ayako arrête c'est bon, tu deviens grossière en plus, on dirait un vieux pervers.
 -  Allons Rin je m'amuse juste, je ne m'arrêterais pas, et si tu veux le faire toi-même, je demande à Sakura de nous dire tout tes fantasmes, même les plus sombres ! D'accord Saku ?
 -  Hmmm oui pourquoi pas, se permit-elle avec un sourire de connivence.

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Les alentours de la ville / Re : Hotomiiiii-chaaaaan <3 (Pv Akua Hotomi)
« le: vendredi 03 avril 2015, 16:44:48 »
Attendant la réponse des autres membres de cette rencontres, il vit finalement Akua s'approcher de lui sans qu'il ne sache vraiment pourquoi, avant de la voir sautiller pour enrober ses épaule de son bras, l'obligeant à s'abaisser en avant pour que la jeune fille ne se retrouve pas suspendue dans les airs. Il ne fit pas de commentaires pour le coup mais ce soudain rapprochement l'avait mit particulièrement en joie, cela l'avait même profondément touché, et ses joues s'éclairèrent d'une ravissante lueur rosée alors que le visage souriant d'Akua se trouvait si proche du sien, Senestra se demandant pour le coup si il n'allait pas montrer à quel point il était heureux sans le vouloir. En tout cas l'annonce qu'il venait de faire, ou plutôt la fausse question, semblait avoir trouvé un écho dans les pensées de la jeune femme, et celle ci se mit donc à parler tout en le félicitant de manière détournée, ce qui eut encore une fois le don de faire rosir le lycéen, celui-ci sentant que si elle continuait il n'arriverait surement pas à cacher son engouement :

 -  C’est qu’il n’est pas con mon fan ! En plus comme ça le photographe aura tout le temps de faire le développement pendant ce temps. Allez, on go aux photos.

La séance fut un peu longue car il a fallu déménager certaines choses et une table, puis installer l'équipement du photographe, mais chacun semblant réellement vouloir leurs photos en compagnie de leurs fans ou de leurs membres favoris du groupes, tout le monde prit son mal en patience avec le sourire avant de se placer chacun leur tour selon les dires du professionnel présent pour l'occasion. A partir de ce moment, les photos s'enchaînèrent au rythme de l'homme venu pour l'occasion, sur la demande du groupe, et chacun put profiter d'un premier instant privilégié avec son partenaire, Akira semblant être au comble du bonheur avec Sue à ses cotés, Akira manquant presque l'infarctus en se positionnant auprès de June dans une position des plus dynamique, et bien sur Sen piquant un phare pas possible quand il sentit les bras d'Akua autour de son cou, son souffle près de son oreille, ou encore sa joue à quelques infimes centimètres de la sienne, même si la photo fut prise sans encombres. Et il en fut de même quand ils firent enfin la photo de groupe, même si il fallut bien cinq prises pour que le photographe semble content de lui.

Chacun descendant de la scène juste après, le jeune homme vit Akua discuter tranquillement avec le professionnel, pour des raisons qu'il ne comprenait pas vraiment si bien qu'il fit un signe aux autres qui partaient déjà vers les loges par duo, tout en commençant déjà à discuter dans leurs coins, apparemment trop impatient pour attendre l'intimité d'une pièce pour poser leurs questions les plus enfiévrés à leurs idoles ou leurs fans. Pour le coup le jeune homme se sentit presque attendri par un tel tableau, il serait surement particulièrement intéressant de savoir dés maintenant si les fans allaient rester de simples fans, ou avoir l'occasion de tisser des liens d'amitiés avec les membres du groupes, ce serait une bonne chose. Finalement il vit Akua venir auprès de lui et le mener jusqu'à sa propre loge, si bien qu'il la suivit sans un mot pour l'instant, étant de son coté un peu gêné à l'idée de se retrouver seul avec la belle demoiselle dont il était si convaincu de l'infini talent. Leurs pas les menèrent apparemment vers d'autres loges que celles qu'avaient choisies les camarades d'Akua, et quand ils s'installèrent finalement dans la pièce la plus éloignée, Sen observa les lieux avec un regard un peu amusé.

 - Voilà donc ma loge, enfin d’habitude je la partage avec les autre mais bon. Alors Senestra, tu t’amuses bien au moins ?
 -  Je m'amuses énormément, je suis ravi d'avoir l'occasion de te rencontrer en personne Akua, si tu savais !

Il la vit lui tendre une des bières du pack qui traînait à coté de la coiffeuse, et accepta volontiers, prenant la bouteille en main avant de l'ouvrir rapidement, ravi de remarquer que les jeunes femmes avaient prit celles qui s'ouvrent en simplement dévissant la capsule, plutôt qu'en forçant comme un boeuf avec un décapsuleur. Le faisant du coup, libérant avec un petit "pop" sonore l'ouverture de la bière, il en prit une rapide goulée tout en observant la jeune femme en face de lui, se demandant bien ce qu'il allait pouvoir faire maintenant qu'ils étaient tout les deux en tête-en-tête, la présence même d'Akua étant suffisante dans le fond pour le faire un minimum stressé, et ce même si l'amie de la demoiselle était venu le voir à l'entrée du lieu pour le tenir au courant du caractère particulier de la demoiselle. Tiens, bah en voilà un de sujet de discussion. Posant sa bière doucement sur le rebord de la coiffeuse, il observa la jeune fille et lui sourit doucement, un peu gêné tout de même, et éleva de nouveau la voix.

 -  J'y penses, mais si j'ai bien compris, une ancienne fan à toi et très bonne amie est venue ma voir juste avant que je ne rentre dans le bar, pour me dire que je devais faire attention à ne pas être trop traditionnel. Ça va j'espère, je ne crois pas être trop arriéré pour l'instant.

Il parlait sur le ton de l'ironie, du cynisme pour le coup, espérant faire sourire la demoiselle avec ce genre d'auto-dérision.

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Le parc et son sous-bois / Re : Charité chrétienne [Dextra-Senestra]
« le: vendredi 03 avril 2015, 16:15:24 »
« Hunnn… !! »

Il voyais bien qu'elle avait un peu de mal à le contenir, il ne se doutait pas vraiment de ce qu'avait connue la française, avait bien vu ses appréhensions et ses doutes, mais ne pensait pas non plus qu'il puisse s'agir d'une sainte, si bien qu'il fut étonné qu'elle ai eut autant de mal à le prendre en elle, se demandait si il faisait vraiment bien de s'unir à elle pour le coup, avant de voir le bonheur sur le visage de sa belle demoiselle. Elle était heureuse, il le voyait, et cela le rassura profondément , si bien qu'il put enfin ressentir tout le plaisir qui l'inondait une fois qu'il était en elle, qu'il pouvait enfin profiter de son corps pleinement, qu'il pouvait être avec elle, tout les deux ressentant ce terrible plaisir qui effaçait les doutes et les comblait chacun de cette joie intense. Ils avaient passés le cap, l'un comme l'autre était désormais aller au plus loin de ce qu'il pouvait espérer de l'autre, et désormais le long bal de leur corps allait s'opérer. Honnêtement, si le jeune homme pensait autrefois être obnubilé par Amélie, il découvrait désormais le vrai sens de ces mots.

Les griffures dans son dos ne furent qu'un autre rappel du bonheur de sa belle, et le jeune homme se mordilla légèrement la lèvre tandis qu'il se déplaçait en elle, tendrement, les petits gémissements de la française emplissant la pièce et ses pensées à mesure qu'il faisait bouger ses hanches pour la sentir perdre de sa maîtrise, remarquant bien que sa belle demoiselle n'en était que plus heureuse quand il oubliait de se questionner pour lui offrir tout le plaisir qu'elle attendait. leurs hanches claquaient entre elle, il avait le souffle court, il avait envie d'aller encore plus vite mais ne voulait pas non plus que les choses aillent trop vite, dégustant chacun des instant qu'ils partageaient, la sensation du corps de la belle jeune femme se lovant contre lui le faisant tout simplement trembler de désir pour cette étrangère qui avait percée son coeur. Sa peau et la sienne frottant l'une contre l'autre, la poitrine d'Amélie se pressant contre son torse, ses mains qui s'accrochaient à son dos au points que ses ongles rentraient dans sa chair... Tout cela constituait la plus délicieuse des expériences qu'ils n'avaient jamais connue.

« Aaaaah… O-Ouiii… V-Viens, Sen’… Haaaaaannnn… Haaaaaannnn !!
 -  C'est ... haa... C'est tellement bon Amélie... Haan... hmmm... Si tu savais comme je t'adore... »

Il ne sait même pas comment il arrive encore à bouger son corps tant il a du mal à respirer, et pourtant il ne cesse pas, passant et repassant en elle avec la même force, la même ardeur, la même envie qu'au premier instant où il l'avait prise, si ce n'était encore plus qu'auparavant, comme si tout son désir pour la jeune femme ne faisait que croître à mesure du temps qu'il passait contre elle. N'y tenant plus, il embrasse la gémissante française sous lui avec une passion incontrôlée, sa langue allant chercher la sienne dans un baiser enfiévré alors que ses hanches bougeaient d'elle-même, chaque passage le faisant tout autant tremblé de plaisir que lui donnant l'énergie de poursuivre, autant pour lui que pour l'ardent plaisir qu'Amélie semblait ressentir, le corps tendu et transpirant de sa belle semblant être dans une telle agonie de bonheur que le jeune homme ne pouvait que se sentir obligé de continuer. Si il avait eut peur de la blesser, tout s'était déjà envolé au loin, maintenant la seule chose qui était importante, c'était cette Amélie perdue dans ses sensations mais en pleine jouissance.

« Amélie ... haa... Ma si ravissante... Haaan... Amélie... »

Une main sur ses hanches pour l'aider à aller de plus en plus vite en elle, afin de la combler, son autre main vint sur ses seins fermes et tendus par le plaisir, qu'il massa avec désir, complètement hypnotisé par le corps de celle qu'il appelait sa belle, et si il pouvait les suçoter sans se tordre complètement il l'aurait surement déjà fait, mais il comptait attendre un peu avant de se perdre à nouveau au coeur de cette délicieuse poitrine. Continuant ainsi pendant un moment, il finit presque par se sentir limité, et attrapant les cuisses de la demoiselle, il les écarta d'autant plus, relevant presque le fessier de la belle pour amener ses jambes vers le haut de son corps, avant de reprendre ses passages en elle avec d'autant plus de puissance et de vélocité qu'auparavant, ses cheveux lui collant aux tempes suite au rythme qu'il maintenait. Et il continuait, passages après passages, à la contempler, gémissante de bonheur, tandis que lui même n'arrivait plus à contenir ses propres expressions de plaisir en l'entendait se laisser aller à ce point.

Il était fou d'elle, fou de ce plaisir, et plus que tout il sentait cette folie approcher lentement de son paroxysme, le plaisir se rependant dans tout son corps, le faisant approcher de ses limites. Ce qui ne l'empêchait toutefois pas de continuer.

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La jeune fille était exténuée, et le simple fait de parler était devenue un véritable défi dans son état, même si elle n'avait étrangement pas vraiment forcée quand elle avait eut à exprimer son avis sur la proposition de sa professeur, ayant choisit de son plein gré la poursuite des événements dans le simple but d'offrir au jeune homme quelque chose de moins traumatisant, un truc simple que l'on appelait un joli trou de mémoire, généralement gênant mais pas choquant. Comme seul réponse, elle crut entendre les essais impossibles de l'homme pour s'exprimer, sa bouche toujours disparue à cause de Tessia ne le lui permettant clairement pas de prononcer le moindre mot, puis elle sentit la main de cette dernière venir avec douceur décaler les mèches collés sur son front par la sueur avant d'y apposer ses lèvres avec la même bienveillance, laissant à Dextra un goût étrange dans la bouche, à la fois heureuse de toute cette délicatesse avec laquelle la démone la traitait actuellement, en ayant clairement besoin après ce qu'elle avait vécue, mais ressentant aussi une cuisante envie de l'envoyer chier, quelques gestes n'ôtant en rien le fait que cette femme avait tout de même orchestré la terrible expérience qu'elle venait de subir.

 -  Prenez-le comme vous voulez mademoiselle Dextra, mais je suis très fière de vous.
 -  En effet... je ne sais pas comment le prendre.

Son regard était en partie tourné vers la démone, et en partie vers le jeune homme au sol, si bien qu'elle vit relativement vite que celui-ci commençait à sentir le poids d'un sommeil non-naturel peser sur ses paupières, celle-ci se fermant lentement au fur et à mesure que le pouvoir impie de la démone se propageait dans son corps, malgré la résistance qu'il affichait pour ne pas se faire avoir par une telle force. Dextra ayant subit cette magie plusieurs fois d'affilée, elle ne pouvait que comprendre de tels efforts, tout en sachant très bien qu'il était inutile de lutter contre pareil traitement, et attendit donc, cruellement dans le fond, que le pouvoir de Tessia emporte son actuel camarade loin dans des songes qui lui feront oublier tout ce qu'il vient de se dérouler dans cette salle de classe. Plus cruellement encore, quand elle vit le jeune homme tendre autant qu'il le pouvait son bras pour venir chercher le corps de Dextra, elle rompit le regard qu'elle lui adressait, ne voulant pas qu'il ne se fasse la moindre fausse idée. C'était finit, il allait tout oublié et retourner à une vie classique sans jamais se souvenir de ce qui a put se dérouler aujourd'hui ... pour le bien de tous.

 -  Quel entêtement… En voici un qui n'était pas prêt de vous laisser lui filer entre les doigts…
 -  Les garçons sont ainsi... Ils ne savent jamais quand il faut cesser de se faire des illusions, osa-t'elle prononcer à demi-mot, la tête encore nichée contre la poitrine de Tessia, incapable de tourner de nouveau la tête vers le corps profondément affaibli d'Emya.

Honnêtement, elle n'aurait peut-être pas dit la même chose normalement, mais là les mots sortaient tout seul étant donné qu'elle était elle-même proche de l'extinction, son corps malmené se rappelant à elle pour lui faire savoir qu'il avait un intense besoin de repos, tellement intense qu'il devenait nécessaire qu'elle puisse enfin retrouver un chez elle rapidement pour y dormir, même si elle savait qu'elle était bien loin de pouvoir en profiter. Après tout n'avait-elle elle-même pas prononcer sa décision de poursuivre les sévices qui lui étaient infligées ? Tessia semblait être heureuse du déroulement des choses, mais ce n'était pas pour autant une raison pour qu'une démone fasse soudainement preuve d'un peu de compassion et la laisse s'en sortir à bon compte, si bien que Dextra ne put qu'imaginer où elle allait finir quand elle sentit la femme la déplacer pour l'emporter plus loin, ayant bien en tête l'idée qu'après un jeune homme, elle pouvait bien la lâcher comme lot de consolation pour toute l'équipe sportive qui devait à cette heure-ci prendre leurs douches après l'entraînement...

Et de façon bien surprenante, elle sentit à la place la main large d'Emya être posée sur la sienne, doucement.

 -  Jusqu'au bout il a cherché à vous protéger. Et tout ça pour quoi ? Pour un simple geste de gentillesse non ? Une simple preuve que vous avez eu, ne serait-ce qu'un instant, pitié de lui et n'avez pas pensé à vous mais à quelqu'un d'autre. C'est idiot la gentillesse hein ?
 -  Profondément débile tu veux dire... Voilà bien où la gentillesse me mène...

On ne pouvait pas dire que la jeune fille ne restait pas coincée sur ses idées, même si elle avait fait preuve de gentillesse un poil plus tôt, elle continuait à répugner cette façon de faire, témoignant de vive voix que si la gentillesse pouvait être une belle chose, comme le laissait cyniquement dire Tessia, il n'empêchait pas que le moindre soupçon de douceur menait toujours à un résultat décevant, ou blessant. Les joues roses, elle sentait cette main chaude sur la sienne sans même comprendre comment cela pouvait la toucher malgré tout ses à-priori, mais étrangement cette pogne large qui englobait l'entièreté de la sienne, fine et mince, cela la troublait plus que de raison, elle n'arrivait pas à accepter pareille chose. Surement aurait-elle ôté sa main d'elle-même pour ne pas se faire plus de mal moralement, mais la force encore une fois lui manquait, et finalement elle resta dans cette position pendant un instant plutôt long, jusqu'à ce que la démone fasse le choix en tout cas de les séparer tout en chuchotant à son oreille :

 -  Allez. C'est l'heure de remplir votre part du contrat.

Elle ne répondit pas ce coup-ci, se laissant juste transporter au loin par la femme qui avait clairement une force surnaturelle pour la soulever sans le moindre souci. Non pas qu'elle soit lourde ou pas, bien au contraire, elle était clairement de ces femmes que l'on pouvait caractérisée de légère, tout en finesse de corps, et bien moins d'esprit justement afin de se protéger au vu de sa frêle apparence, mais cela restait quand même surprenant de la part de Tessia de pouvoir la soulever avec aussi peu de difficultés. En tout cas, elle fut déplacée par la femme qui se mise dés lors à faire quelques signes en l'air, déchirant l'espace pour finalement créer un chemin direct entre deux endroits bien éloignés dans la réalité, et le regard de la lycéenne se posa sur une chambre aux airs les plus érotiques possibles, du rouge un peu partout, quelques couleurs chaudes pour souligné un peu plus l'aspect torride des lieux, et enfin un lit qui était surement des plus agréable pour se vautrer dedans et y subir les pires outrages. Discrètement la lycéenne déglutit doucement, espérant très honnêtement qu'elle n'avait pas sous-estimer toute la vilenie de sa démone de professeur jusqu'à maintenant.

 -  Soyez sage pendant que je vais faire un peu de ménage.

Sitôt déposée dans les draps délicats, Dextra avait vu la femme repartir en arrière, sans bien comprendre ce qu'il se déroulait, et c'est même avec étonnement qu'elle aperçut le portail menant à la salle de cours disparaître, la laissant seule dans cette grande chambre aux airs de décor de film érotique, et sans vraiment pouvoir se maîtrisée, elle se laissa s'enfoncer profondément dans le lit sur lequel la démone l'avait installée, ayant définitivement besoin de se reposer. Observant légèrement les alentours d'un oeil distrait, elle sentait le sommeil la gagner de plus en plus à mesure que le silence s'installait dans la pièce, et il ne manquerait pas grand chose pour qu'elle pique définitivement du nez, seule sa nervosité la tenant éveillée à l'heure actuelle, ainsi qu'une certaine dose de crainte vis-à-vis d'une attaque qu'elle ne pourrait pas voir venir si elle se trouvait sans défenses, en train de dormir. Finalement, et par le plus grand des bonheur, le bruit d'une clé tournant dans la serrure la surprit soudainement, le remettant immédiatement en état d'alerte alors qu'elle tendit l'oreille.

 -  Madame Alexanders ? Madame ? Vous êtes là ?
 -  Ses chaussures ne sont pas là.
 -  Pourtant, elle nous a donné rendez-vous à cette heure !

Trois voix, trois qu'elle connaissait en plus particulièrement bien, celle de ses camarades de classes les plus proche en cours, un peu comme Emya d'ailleurs, exception faites qu'elle avait l'habitude de discuter avec elles. Si Sakura n'était clairement pas le genre de fille avec laquelle elle avait put échanger, les deux ayant eut un petit problème à l'époque du collège ensemble, et ne voulant plus en reparler, Dextra avait souvent tendance à échanger avec sa soeur jumelle Rin, qui était d'ailleurs l'une des quelques personnes qui arrivait à passer au dessus de l'irascibilité de la lycéenne de manière naturelle. Quand à Ayako, c'était peut-être même pire que pour Sakura, étant donné qu'il y avait moins de deux semaines, Dextra avait osé dire qu'elle était capable de la vaincre au tir à l'arc sans même faire partie du club, ce que la jeune femme avait en effet accomplie, en bonne petite génie sure d'elle. Résultat, rien qu'avec les voix, elle s'imaginait déjà dans quelle situation elle se trouvait : une camarade de classe, mais pas vraiment une amie, et deux potentielles ennemies, qui allaient en plus la trouver dans sa plus grande faiblesse. Une catastrophe.

 -  Elle a dû être retardée. Ce n'est pas grave, on a qu'à se préparer pour l'atten… dre…

Oh merde elle ouvrait la porte de la chambre.

 -  Hé les filles, venez voir ça vous n'allez pas en croire vos yeux ! Il va pleuvoir des billets de mille Yens demain !
 -  P-Pas la peine de le crier sur tout les toits, exprima rageusement la demoiselle rouge de honte. Aides moi plutôt, je me suis réveillée ici et je n'ai plus la moindre force...

Bon et d'un mensonge inventer sur le tas ... Après tout elle n'allait pas non plus raconter ce qu'il venait de lui arriver, surtout pas à des camarades de classes, encore moins quand elle se retrouvait ainsi livrée sans la moindre force, à la vue de ses collègues, et au beau milieu de la chambre de sa professeur.

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Le parc et son sous-bois / Re : Charité chrétienne [Dextra-Senestra]
« le: lundi 30 mars 2015, 12:12:47 »
Il la sentait de plus en plus anxieuse, un peu mal dans le fond et même si il se doutait des raisons il savait tout comme elle qu'il allait être bien compliquée de s'arrêter à ce stade là de leur relation, aussi cherchait-il une façon de la rassurer, et la question qu'il avait posé prenait un peu ce parti, l'homme cherchant dans le fond à s'assurer qu'elle puisse se sentir bien si ils allaient plus loin. Après tout, comme elle l'avait pensée plus tôt, l'homme était surement plus tendre qu'un ours en guimauve, et en ce sens il ne pourrait pas lui faire le moindre mal, si bien qu'il ne se sentirait surement pas capable de faire quoi que ce soit si il sentait Amélie comme bloquée par la possibilité qu'ils s'unissent, alors il restait interdit pour l'instant, attendant que la jeune femme lui offre la réponse fatidique qui allait, ou non, leur permettre d'aller chercher ce plaisir mutuel vers lequel ils tendaient tout les deux. De manière peu étonnante, il n'eut pas du tout de réponse immédiate quand il posa sa question, et c'est donc avec tendresse qu'il attendit, cherchant dans les yeux de sa belle demoiselle une quelconque décision.

L'un contre l'autre, tout les deux en suspend entre le désir de le faire et leurs appréhensions personnelles, c'était surement un tableau aussi tendre qu'excitant qui se dépeignant dans la chambre du jeune homme, et quand Senestra vit le premier élan de la demoiselle pour lui répondre, il eut presque du mal à respirer, ne sachant pas vraiment où donner de la tête dans la situation actuel. Il sentit la douce main de sa belle parcourir ses cheveux et rougit un peu, ne s'attendant pas à ce geste tendre à ce degré là de leur désirs, et finalement quand elle vint chercher ses lèvres avec les siennes, le jeune homme ne put résister, l'embrassant avec ce fond d'amour qui naissait en son coeur alors qu'elle même venait chercher sa langue de la sienne pour faire renaître au fond de l'homme ce désir supérieur à tout doute. Ils s'embrassèrent longuement, d'un seul mais passionné baiser, et quand finalement il se séparèrent, le jeune homme avait le souffle d'autant plus court que son coeur battant à tout rompre dans sa poitrine l'empêchait de maîtriser sa respiration, tout comme sa belle dont il ressentait le vif souffle sur ses lèvres.

« Oui… Oui, je le suis, Sen’…
 -  D'accord... ma toute belle.. »

Lentement il se redressa, étant un peu déçu d'avoir à se séparé du corps de celle qui faisait battre de plus en plus son coeur, et l'observant dans son ensemble à la fois aussi frêle que touchante, il se sentit comme absorbé par l'apparente fragilité de son amante, ne sachant vraiment comment elle avait put lui paraître si forte plus tôt maintenant qu'il la voyait dans toute sa vulnérabilité. Et ça le troublait autant que cela lui donnait envie d'être là pour elle, ne comprenant pas vraiment comment son coeur fonctionnait pour le coup. Enfiévrée par son observation, à genoux devant elle, il prit son sexe en main et le plaça bien devant l'intimité de la jeune fille, encore un peu hésitant malgré tout, surtout en voyant toute la maîtrise que pouvait présenter la jeune fille pour ne pas avoir peur de lui, de sa masculinité, mais finalement il se fit une raison et se rappela des doux mots qu'elle lui avait répondue : oui elle était prête, et ce serait un comble si c'était lui désormais qui hésitait juste parce qu'il voulait la préserver de ses craintes. Au loin les doutes, il avait désormais bien plus important à offrir à la belle française.

D'un geste lent, il fit glisser l’extrémité de son gland en elle, commençant un long mouvement de hanche pour faire avancer progressivement son membre entre les chairs délicieuses de la jeune femme, gémissant doucement en sentant peu à peu son chibre enveloppé par l'intimité délicieuse d'Amelie. S'arrêtant à mi-chemin pour laisser un peu de temps à la demoiselle pour s'habituer, se doutant qu'elle n'avait clairement pas l'habitude de le faire, il vient avec délicatesse se pencher sur elle pour revenir lui offrir un tendre baiser, sa main allant ce coup-ci dans la belle chevelure de la jeune femme pour mener sa tête à la sienne, de manière un peu mimétique avec ce qu'elle avait fait plus tôt. Et il se remit à avancer ses hanches doucement à mesure que leur doux baiser se prolongeait, allant pour s'enfoncer jusqu'au bout, peut-être un peu maladroitement dans le fond, mais avec tout la douceur qui le caractérisait. Quand il se sépare de ses lèvres, c'est pour donner un dernier mais subit coup de hanche, cherchant à la surprendre, et ainsi bute au fond d'elle en gémissant. Il a chaud, il tremble un peu, mais se sent bien, et regarde Amélie et ses joues rouges avec une tendresse toute amoureuse.

« Ah... ah... bon... j'y vais... ma si douce Amélie. »

Posant l'une de ses mains sur les hanches de sa belle demoiselle, il commence à bouger son membre en elle dans de lents vas-et-viens alors que ses lèvres descendent dans le coup de la belle, venant déposer baisers après baisers, flattant son corps de la tendresse que l'homme ressent pour elle, cherchant à la combler de toute cette douceur pour qu'il n'y ai pas la moindre crainte capable d'atténuer le bonheur du moment aux yeux de la belle. Lui en tout cas nage en plein bonheur, son coeur bat comme il n'avait jamais battu, et tout son corps est ardent, attiré par celui de la charmante demoiselle qu'il étreint et cherche à combler de multiples caresses et attentions. Des mouvements lents, mais profondément amoureux, peut-être un aveu à demi-mots de ce qu'il ressent envers cette femme tout contre lui, après tout, il ne cherche plus vraiment à se comprendre après tout. Il souhaite tout simplement la combler, cette amante toute aussi forte que fragile, toute aussi piquante qu'attendrissante.

22
Elle était ... épuisée ? Complètement vidée de toutes ses forces en tout cas, et en même temps ce n'était guère étonnant vu qu'elle venait de cramer à peu près tout ce qui lui restait au vu des sorts dont elle était la victime, ce qui la laissait complètement inerte au sol et incapable même de tenter de se redresser, la laissant dans une position peu enviable que beaucoup trouverait même tout à fait honteuse, Dextra la première si elle faisait encore attention à la honte qu'elle pouvait ressentir après avoir été utiliser comme un jouet pour adulte deux fois d'affilée. Mais voilà, pour l'instant elle était juste sur le sol, haletante, et pouvait tout juste voir la femme devant elle enroulée le fouet qu'elle avait levée plus tôt pour le poser sur la table la plus proche, tandis que le jeune homme derrière elle devait surement la regarder comme si le plus grand des miracles venait de se produire. En effet, voir une jeune femme connue comme étant des plus intransigeante et mauvaise envers autrui lui sauver la vie, ça devait faire un sacré choc, quoiqu'on en dise.

Toutefois la jeune femme ne fut pas vraiment préparée à l'élan de tendresse dont fit preuve son enseignante, et quand elle se sentit récupérée par la femme elle put presque voir la suite des événements se faire devant ses yeux, elle mise à l'écart pour ne plus pouvoir réagir, et celui qui avait voulue si courageusement la sauver en train de se faire fouetter jusqu'à ce que mort s'ensuive par cette succube aux abords terriblement troublant. Mais non, elle vit Tessia l'attirer à elle, puis la poser lentement tout contre son corps et sa poitrine dénudée, posant son visage sur ces opulents orbes de chair avant de la dorloter comme si elle était un nourrisson qui avait passer trop de temps à jouer dehors et qui désormais n'avait même plus la force nécessaire pour se retenir de s'endormir. Elle était non seulement stupéfaite pour le coup, mais ne comprenait pas non plus ce chaud sentiment de bonheur qu'elle venait à ressentir face à un pareil comportement, manquait-elle donc tant de "gentillesse" pour réagir ainsi alors que c'était bien sa violeuse qui la prenait entre ses bras ? Elle ne savait pas trop quoi en dire...

 -  Et vous osez prétendre que la gentillesse ne sert à rien mademoiselle Dextra ? Pourtant regardez, votre gentillesse vient de sauver la vie de votre camarade...

Elle n'osa même pas répondre pour le coup, en faite elle n'avait rien à répondre à de telles paroles pour plusieurs raisons, la première étant que face à tout cela, elle se sentait désormais complètement démunie, et ne savait même plus si elle avait un quelconque rôle là-dedans, où si la femme en face d'elle parvenait au fur et à mesure à la manipuler comme un vulgaire pantin. Quand à la deuxième raison, elle s'appelait Emya. Elle n'osait pas dire quoi que ce soit parce que dans le fond elle ne voulait pas que ses mots aux abords tranchant puisse le blesser dans l'état actuel des choses, et c'était encore plus gênant de se dire cela qu'elle savait pertinemment qu'en temps normal, elle n'aurait pas hésitée une seconde pour rugir face à la professeur, sans même imaginer que ce qu'elle allait dire avait une chance de troubler son camarade de classe. Non seulement elle ne se comprenait pas pour le coup, mais en plus tout cela la frustrait profondément. Et elle en avait marre, si marre de ne pas être capable de se reconnaître, de ne pas être capable de se révolter, alors même qu'il s'agissait de tout ce qu'elle avait put toujours haïr et détester.

 - Je pense que c'est votre tour de faire un choix miss Dextra. Je peux effacer de la mémoire de ce jeune homme tout ce qu'il s'est passé ici et il pourra partir immédiatement. Il ne se souviendra plus de vous avoir vue dans une position aussi humiliante, mais il ne se souviendra plus non plus de votre gentillesse et de votre geste courageux et chevaleresque à son encontre. Si je fais cela, je vous conserve pour continuer à abuser de votre corps le temps qu'il me plaira. Ou alors, je vous enferme tous les deux dans un petit espace hors du temps avec votre liberté de mouvement et ne vous en laisse sortir que lorsque vous aurez librement choisis tout deux de faire l'amour comme deux adolescents qui ont fini de se cacher qu'ils s'aiment. Par contre vous garderez tous deux le souvenir de ce qu'il s'est passé ici.

Comme à son habitude de succube joueuse et ravie de ce qu'elle avait réussit à mettre en place entre les deux adolescents, Tessia avait tournée la tête de la jeune Dextra pour lui permettre de contempler son camarade affaiblit au sol, et le regard qu'il lui adressa fut assez pour troubler la jeune fille qui ne savait pas quoi faire face à cette proposition que la démone venait de lui faire, de manière tout à fait ignoble d'ailleurs. Pourquoi la regardait-il si doucement, si tendrement ? Il ne fallait pas pourtant, elle était un monstre et elle restait un monstre, elle en avait toujours eut conscience et dans le fond elle en avait toujours été fière, c'était sa défense, c'était son arme, c'était son bouclier pour ne pas devenir quelqu'un d'insignifiant et d'hypocrite, et pour tout cela, cela sonnait incroyablement faux quand le jeune homme osait poser sur elle ce regard à la fois attendri et charmé. Voulant répondre, mais ne sachant quoi dire, la jeune fille baissa son propre regard vers le sol, ou tu du moins ce qui pouvait occuper sa vision, donc le corps de sa professeur quasiment entièrement dénudé, quand elle entendit la voix d'Emya de manière fugace.

 -  Dextra ne...

Ne quoi ? Elle n'allait pas non plus le laisser avec ce genre de souvenir ignoble d'être dans un état lamentable, obligé de suivre les ordres d'une professeur surement tout aussi abominable que sa nature le laisse présupposé, malgré ce qu'elle essayait de lui apprendre à grand renfort de tortures et de comportement déplacée envers elle ! Non elle n'arrivait tout simplement pas à se faire à l'idée que pour son propre sort elle puisse faire connaître à un autre l'ordre de son jugement, c'était quelque chose à laquelle elle n'arrivait pas à se conformer, elle détestait peut-être suivre les règles des autres, mais plus que tout, et c'était d'autant plus vrai dans cette situation, elle se refusait à faire ce qu'elle avait toujours désirée ne pas faire, ça veut dire passer la barrière des mots pour passer à l'acte, aller de la blessure moral en critiquant quelqu'un à la blessure physique en l'obligeant à sauter du balcon, pieds joints, et à grand renforts de poussée de sa part. Non elle n'arriverait jamais à embarquer quelqu'un dans ses souffrances pour se savoir désormais libre et loin de tout problèmes, et plus que tout elle ne le désirait pas.

Elle était d'ailleurs tellement concentrée qu'elle ne vit pas la prof venir, et couina quand celle-ci glissa de manière bien vicieuse sa main entre ses cuisses frêles, venant du coup caresser avec douceur son intimité détrempée, et bien sur gémir de plaisir sans qu'elle ne fasse quoi que ce soit pour retenir ce petit cri qui s'échappa tendrement de ses lèvres, lui collant un phare au visage comme peu en serait capable sans s'évanouir sous l'afflux soudain de sang. C'était à peine exagéré ! Et plus la professeur continuait à le faire, plus elle avait du mal à réfléchir, son corps étant devenu clairement trop sensible pour résister à une pareille approche, et c'est bien pour cela qu'elle rageait, qu'elle n'avait qu'une envie c'était de lui résister, de la repousser au loin pour enfin pouvoir exprimer son jugement, alors que finalement tout ce qui s'échappait de ses lèvres était de petits couinements maladroits... Et finalement elle finit par se mordre la lèvre, se retenant de gémir pour conserver sa respiration, puis répondre enfin à Tessia, tremblante, mais avec le regard dur de celle qui ne veut pas être un jouet, et qui est encore capable de prendre des décisions.

 - Il... Il a subit assez, laisse le se barrer !

Peut-être qu'elle allait le regretter, peut-être que la femme avait prévue encore bien pire pour plus tard ... Mais tant pis, elle ne pouvait pas amener quelqu'un d'autres dans ses emmerdes.

23
La démone semblait ... satisfaite, incroyablement satisfaite, à un point qui donnait vraiment envie à Dextra de lui mettre son poing dans la figure et de réduire son joli minois à un bel éclat de chair et d'os broyés, tout à fait inapte à l'expression facial et à toute tentatives de provocations que pouvait déjà ressentir la lycéenne au visage couvert de sperme. Elle sentait les railleries venir, les mots troublants, les mots blessants, ce qu'adorait prononcer la professeur depuis qu'elles s'étaient toutes les deux retrouvées dans une position de maîtresse à soumise, bien en désaccord avec ce que la dite soumise souhaitait ardemment dés qu'elle avait sentit la situation venir, à savoir la liberté la plus immédiate et profitable, en espérant que la connasse qui voulait la réduire à néant soit trop lente pour réagir. Elle la vit s'approcher et se pencher au niveau du sexe de son camarade, et la vit la regarder avec cet air immonde de contentement et de plaisir, puis elle entendit sa voix s'élevée dans les airs, véritable atrocité pour son ouïe de plus en plus sélective, avec ce fiel mielleux qui s'en écoula de manière écoeurante :

 -  Ho ? Ça alors... On jurerait que vous n'avez pas mordu le brave m. Shirou... Peut-être faut-il que je change de lunettes ? Non, non, il est entier... Il ne saigne même pas, osa-t'elle dire en quittant des yeux le sexe pour s'affichée face à sa victime, satisfaite. Mademoiselle Dextra, serait-il possible que vous ayez épargnée ce jeune homme ? Que vous ayez été gentille avec lui ? Serait-il possible que dans cette poitrine, il y ait un cœur capable de compassion ?
 - Tais-toi tu veux, je n'ai pas de raisons de répondre, railla-t'elle avec rage !

Cette main sur son sein avait manqué de raviver le plaisir en elle, de la faire gémir, elle en tremblait et sentait déjà les doigt de la femme palper sa chair avec autant de délicatesse que possible, rendant peut-être le plaisir infime, mais aussi particulièrement dur à résister dans le fond, encore plus quand la jeune fille manquait cruellement de tendresse depuis un moment. Sans parler des questions qu'elle venait de lui poser ! Elle gentille ? Surement pas, elle savait qu'elle était mauvaise, blessante, et elle ne voulait pas modifier ce trait de son caractère, alors pourquoi osait-elle dire cela, parce qu'elle avait épargnée le sexe que beaucoup auraient déchirés entre leurs dents pour se libérer. C'était faux, assurément, il n'y avait rien en elle qui ait put faire preuve de compassion tout à l'heure, elle était simplement ... non enfin, elle n'avait rien à voir avec la moindre gentillesse, ça c'était sur et certain. Surtout envers lui, surtout contre son propre bénéfice ... Il n'y avait pas la moindre chance pour cela ... Et pourtant elle sentait qu'elle avait tort, c'était juste ignoble !

 -  Impensable ? Impossible ? Et pourtant, si vous preniez la peine de sourire un tout petit peu et de montrer un brin cette gentillesse, je suis sûre que le jeune Emya aurait été dans les premiers à vous proposer ses bras pour vous protéger de ce monde qui vous fais si peur ou son oreille pour confier vos craintes, vos doutes et pourquoi pas, avec le temps, vos envies ? Pourquoi avoir gâché tout ça mademoiselle Dextra ? Pour vous retrouver ici ? Les gens sont des égoïstes qui ne pensent qu'à eux dites-vous ? Pourtant, ne venez-vous pas de vous soucier de ce jeune homme ? Couchez-vous à terre sur le dos monsieur Shirou !
 -  Que ... non ! Que comptes tu lui faire ?

Elle n'eut pas de réponses quand elle tenta de se rebiffer, et fit un effort intense pour se retourner en partie afin de voir ce qu'il se passait vraiment derrière elle, au lieu de tout voir à l'envers. Elle ouvrit de grands yeux horrifiés en contemplant ce qu'il se passait lentement sur le corps d'Emya, les longs serpents d'ombres enveloppant son corps de manière à le priver de la capacité de bouger normalement, comme pour la pauvre Dextra qui subissait ce sort depuis maintenant un bon moment, et observait désormais cela se faire sur son camarade avec une colère et une sincère envie d'étriper sa professeur dans les quelques secondes qui allaient suivre, si encore elle en avait la force. A la place, le sort s'installa profondément sur le corps du jeune homme qui se trouvait au sol, suite aux ordres de la maudite succube, et elle le libéra juste à temps de son emprise pour que le lycéen reprenne le contrôle de son être, et puisse contempler avec désastre que ses forces l'avaient abandonnées, le laissant dans le même état que celle qu'il avait violer sans sommation plus tôt.

 -  Qu'est-ce que vous...
 -  Je vous donne trente secondes pour vous décider jeune Emya. Je peux vous tuer ici d'une manière particulièrement lente et horrible et mademoiselle Dextra est libre de partir sans que je la touche plus. Ou alors, je peux aussi la garder ici et continuer à la violer jusqu’à ce qu'elle ne soit plus jamais la même et à ce moment vous sortez tous les deux vivant de là. Que choisissez-vous ?

QUE QUOI ? Elle trouvait cela ... abominable, tout à fait inconcevable, c'était une punition pour elle, pourquoi elle impliquerait la vie ou l'état d'une autre personne dans l'équation, c'était tout à fait absurde et proprement intolérable, elle n'avait pas le droit de faire ça, elle même si elle en avait le droit, qu'elles pouvaient bien être les raisons d'une pareille bêtise ! La faire culpabiliser ? Alors ce serait normalement à elle de faire ce choix, mais pas à cet idiot dont elle connaissait déjà la réponse, tellement évidente qu'elle lui tailladait le coeur rien que d'y penser et lui donnait envie de se mordre les poings de frustration en imaginant l'instant où il allait répondre. Elle croisa le regard du jeune homme à ce moment là et sut qu'elle ne s'était pas tromper un seul instant sur ce qu'il allait répondre, la faisant se mordiller la lèvre, énervée, alors qu'elle le vit se tourner vers Tessia avec toute l'assurance qu'il pouvait tenter de montrer en sa position actuel, exprimant gravement son choix en face de sa professeur malheureusement méconnue en tant que succube ensorceleuse :

 - Laissez-là partir, je vous donne ma vie en échange.
 -  Mais t'es complètement débile ? Abruti, tête de noeud, dis moi que t'as pas dis ça !
 -  Soit.
 -  Putain !

Ah non ça n'allait pas se jouer ainsi, et elle vit bien la femme partir vers son fouet, quelques tables plus loin, avant de revenir avec un air sadique sur le visage, déroulant le fouet lentement à mesure que se dessinait sur ses traits le plaisirs malsains de voir quelqu'un baigné à son sang à ses pieds. La jeune fille sentit l'horreur couler dans ses veines, incapable d'accepter qu'une telle chose se produise, et quand elle vit la femme lever son fouet haut vers le ciel, prête à l'abattre lourdement sur les épaules du jeune homme, elle fit un effort inconsidéré pour se déplacer de la rangée de table sur laquelle elle avait été couchée plus tôt... Et déclencha un fracas de tout les diables en s'écrasant en partie sur une chaise, puis sur le sol, réussissant par un miracle impossible à prévoir à se placer entre les deux protagonistes, et à se redresser un peu sur ses jambes en ouvrant ses bras dans un signe bien compréhensible d’interdire à la démone de toucher au lycéen paralysé au sol. Regardant rapidement par-dessus son épaule, elle fusille du regard le jeune homme, avant de gronder, pourtant avec inquiétude et crainte dans le fond de sa voix :

 -  Est-ce que tu es débile ? Tu files pas ta vie pour quelqu'un d'autre, idiot, quoi qu'il se soit passé bon sang... Et toi, dit-elle en décalant son visage pour faire face à la démone, pas touche espèce de résidu de viol démoniaque sur brebis !

La façon dont elle avait agit avait un certain panache, toutefois elle avait agit sur le coup de la colère et de l'inquiétude, ayant bien sur réussit à puiser dans ses forces scellées pour pouvoir se déplacer pour le coup et se redresser, mais désormais qu'elle avait réussit ce tour de folie, elle n'avait plus du tout de carburant. Ses jambes flanchèrent, se mir à trembler sous le poids du corps de la jeune fille, même si elle n'était encore qu'à peine agenouillée dans cette position, et finalement elle se mit à perdre le contrôle de ses membres avant de s'écraser, 6 secondes plus tard, sur le sol, épuisée et sous les regards des deux autres personnes présentes dans la pièce, surement incrédule devant une telle scène. Encore une fois, la honte et la gêne avaient empourprés son visage, mais au moins elle avait arrêtée le fouet de l'autre cruchasse, même si c'était peut-être ce qu'elle avait tant attendue qu'elle face, et au moins elle n'avait pas laisser un abruti se faire taper parce qu'il était trop con ... oui c'était ça, il avait été trop con et on ne tire pas sur les ambulances, c'est ainsi... Ou du moins se persuadait-elle qu'elle avait agit pour une raison de la sorte, et pas par charité.

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Blabla / Re : Trombinoscope
« le: mercredi 25 mars 2015, 22:22:28 »
Ca vient avec le temps mon cher Konrad ^^
Et ça dépends des gens, persos ma barbe a pas finit de pousser pourtant je crois me souvenir que je suis plus vieux que Kyo-chan et sa jolie barbouze

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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mercredi 25 mars 2015, 22:04:22 »
J'ai un super style qui tâche sa race o/
Merci Connor pour cette première moitié de travail, la bannière est super !

(Oui je fais sa pub et je montre mon boule à l'occasion !)

22:04

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 -  Je ne parlais pas de vous réconcilier avec lui. Je parlais de le réconcilier avec vous. Car même s'il n'est plus très maître de ses actes maintenant, il se souviendra de tout ce qu'il fera ici. Alors même si c'est dans le cadre d'un viol, le pauvre est malheureusement aussi forcé que vous de participer. Croyez-le ou non, moi pour ma part je vous garanti que ça créé des liens.
 -  Vous êtes complètement fêlée ! Franchement ça pousse à l'admiration !

Le toucher qu'elle lui avait offert durant ses longues explications la fit trembler, frissonner d'un sentiment mêler d'excitation et de dégoût, et elle aurait bien continuer ses provocations si elle ne sentit pas la verge du jeune homme forcer l'entrée de ses lèvres, ne lui laissant même pas le temps de répondre qu'elle se retrouvait déjà assaillie par la forte odeur du sexe du jeune homme, ainsi que de sa présence un poil suffocante dans sa bouche. C'était gros, difficile à prendre en bouche dans le fond, mais elle n'avait clairement pas le choix et gémissait en sentant ce damoiseau se déplacer dans cette première antre chaude et mouillée, tandis que l'autre avait malheureusement prit la mauvaise habitude de particulièrement aimer cette situation, la rendant toujours plus détrempée au niveau de l'entre-jambe. Pourquoi y était-elle sensible ? Non franchement pourquoi son corps continuait à chauffer alors qu'elle était ouvertement en train de se faire violer par un de ses camarades de classe ? Elle n'avait aucune réponse, mais ce qu'elle savait, c'est qu'elle était loin de pouvoir nier tout le plaisir qui l'envahissait.

Même si le dégoût l'emportait largement, ce dont la démone semblait se délecter, assise sur son bureau pour les observer tandis qu'Emya passait rapidement dans sa gorge avec le même air absent que plus tôt, toujours sous les effets du sort de cette pouffiasse qui prenait un malin plaisir à observer ses élèves se vautrer dans une luxure qu'elle leur avait imposée. Oui tout cela dégoûtait profondément Dextra, qui avait tendance à haïr la professeur... tout comme elle haïssait le comportement qui l'avait mise dans cette situation, à savoir SON comportement de réduire tout le monde à l'état de poussière sur le plan moral, chose que la démone avait sut lui rendre avec toute l'expertise dont sont capable les êtres particuliers du monde infernal. Voyant les yeux de sa prof sur son corps couvert de sueur à cause de son excitation, elle lui rendit un regard plein de colère et de hargne, ce qui sembla faire rire la femme, qui lui répondit alors dans des termes qui posèrent un terrible dilemme à la demoiselle au corps utilisé comme un jouet.

 -  Vous pouvez mordre vous savez ? Vous pouvez même y aller jusqu'au sang si vous voulez. Il n'échappera pas à mon contrôle pour autant, mais si vous réussissez à lui infliger des blessures suffisamment graves, il ne pourra plus bander. Peut-être même pour le reste de sa vie. La Dextra que vous montrez à tout le monde n'hésiterais pas un seul instant. Après tout, qu'importe le pauvre Emya ? Qu'il reste donc impuissant pour le reste de sa vie puisque son sacrifice vous permettrais de conserver un peu de dignité, non ?

Elle se troubla, choquée, cessant pour le coup de gémir sur l'instant avant de sentir à nouveau le sexe s'enfoncer en elle, lui rappelant pour le coup qu'elle ne pouvait même pas répondre à la femme de se taire et de cesser de prononcer de telles paroles, alors que le gland de l'homme passa longuement sur sa langue, lui faisant goûter pleinement ce morceau de chair aussi hypnotisant qu'écoeurant. Elle aimerait vraiment pouvoir répondre, mais pour le coup elle sentait comme un doute s'instiller en elle, parce qu'elle se posait finalement vraiment cette questions des plus sordides, des plus idiotes dans le fond : Était-elle vraiment capable de faire une chose pareille, de taillader ce morceau de chair et de le réduire en morceau de manière violente pour ne plus avoir à subir le moindre assaut de ce genre ? Si c'était capable de faire taire la démone en face d'elle, de lui faire comprendre que la jeune femme ne reculerais devant rien pour avoir le droit à sa liberté, qu'elle était immuable dans ses sentiments et son âme, cela corrigerait-il ses actions ? C'est alors qu'elle sentit des gouttes tomber sur son visage.

 - Il a peur mademoiselle. Peur car il est persuadé que vous allez le faire, que vous n'hésiterez pas à le mutiler pour vous épargner ça. Mais je suis vraiment curieuse de voir si vous le ferez vraiment... Emya, ne vous arrêtez que si vous jouissez dans la bouche de votre camarade, je vous prie.
 -  Oui... Madame...

En faite elle avait déjà la réponse mais n'avait de toutes manières pas put la dire, la bouche bloquée par l'objet de torture qui allait et venait à tout vitesse, et de toutes manières se doutant qu'elle ne parviendrait pas à s'exprimer, le coeur gros comme elle l'avait, et la tête bien trop mise à sac après ce qu'elle avait connue pour qu'elle réussisse encore à mettre quelques mots à la suite les uns des autres. Mais ce qu'elle savait c'est qu'en effet elle avait de la dignité, une dignité énorme, dû à un orgueil monumentale, et que même si actuellement les fondements de tout cela était en train de s'écrouler lentement, elle en gardait un haut sens de ce qu'elle pouvait appeler la vertu, et ainsi ne pouvait même pas s'imaginer mordre dans ce barreau de chair qui allait décidément de plus en plus vite et de plus en plus loin dans sa bouche, lui donnant envie de tousser à cause de la gêne. Et tout ce qu'elle réussit à faire pour rassurer le jeune homme, c'est de le regarder avec ce qu'elle pouvait de douceur, avant de faire fuir son regard de coté avec gêne, les joues cramoisies de honte.

Est-ce que cela avait enclenché quelques chose ? En tout cas l'homme se pressa soudainement, ses hanches prenant un rythme beaucoup plus rapide que la jeune femme eut du mal à soutenir, gémissement, à la fois par ce plaisir abject que par le désir de tenter de faire comprendre à l'homme que c'était bien trop là, et que c'était très compliquée pour elle de tenir se sexe dans sa bouche à ce rythme. Il allait trop loin et ça faisait mal, surtout qu'il n'était pas bien fin le salaud, et que ses passages trop profond lui coupait le souffle de court instant avant de la libérer sans qu'elle n'est trop le temps de respirer. Et elle gémissait, encore et encore, sentant cette maltraitance l'exciter malgré elle, son corps étant de toutes manières un traître à ses yeux depuis que les caresses de la démones l'avait mise dans le meilleur des états possibles pour un violeur non-consentant. Et puis il vint jouir dans sa gorge... De manière un peu pressée d'ailleurs, surement n'avait-il pas l'habitude, mais il gicla à profusion, remplissant la gorge de la pauvre Dextra qui crut se noyer tout à coup, avant qu'il ne sorte et lui lâche sur le visage ce qu'elle n'était en train de recracher en toussant, le majorité ayant quand même finit dans son bide...

 -  Aaah .... Aaah ... putain *kof kof*... putain de merde, parvint-elle à prononcer, haletante, sa poitrine sautillant à chaque vive inspiration.

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Le parc et son sous-bois / Re : Charité chrétienne [Dextra-Senestra]
« le: mercredi 25 mars 2015, 18:41:21 »
« Hmmm… C’est… Agréable. Surtout sur des draps aussi confortables… »

Il souriait, heureux de l'entendre dire cela, le rassurant aussi un peu étant donné que la femme semblait perpétuellement sur un fil tendu, naturellement, Et finalement il n'en prit qu'une peu plus ses aises au dessus d'elle, frottant sensuellement leurs corps à mesure qu'il prenait plaisir à se placer au dessus d'elle, à prendre possession du corps de celle qu'il convoitait. Son coeur battait la chamades, et étant donné les réactions et les propos de celle qui se trouvait en dessous de lui, il ne doutait pas qu'elle était bien de le même état de fébrilité que lui, tiraillée entre ce désir si profondément ancré en elle, et cette crainte de ce qui allait se produire quand ils allaient enfin faire le pas pour s'unir, surement l'une des choses qui rendait Dextra particulièrement hésitant à l'instant. Mais comme il l'avait assumé plus tôt, il comptait bien mené lui même la danse pour le coup. Il voulait être celui qui allait la conforter, la mettre en confiance, puis la ravir de toutes les façons dont elle pouvait l'espérer. Il était dédié corps et âme à elle, et allait tout faire pour ne pas la décevoir.

C'était aussi un peu pour cette raison qu'il avait demandé si elle avait encore quelques questions à lui poser, si elle était encore hésitante sur quelques points et qu'elle désirait en parler avant qu'ils ne passent vraiment tout les deux à l'acte, encore une fois pour la simple et bonne raison qu'il était prévenant envers celle qu'il appréciait tant. Il avait commencé à la comprendre un peu mieux depuis qu'ils étaient tout les deux dans cette chambre, c'était quelqu'un d'aussi forte et fière que fragile, même si tout cela était clairement bien caché derrière une bonne dose d'orgueil et d'estime de soi, rendant le tout bien difficile à voir au premier regard, c'était une chose qui une fois découverte rendait la jeune femme encore plus touchante qu'auparavant, et c'était notamment ce qui donnait tant envie au jeune homme de la protéger, de la combler aussi. Elle était précieuse, quelqu'un qui ne cherchait pas la protection mais la méritait, une protection émotionnelle, à la solitude, ou aux durs maux qu'elle devait connaître au dehors.

Et un nouveau baiser vint effacer tout sa belle pensée bien structurée, la rappelant à l'ordre :

« Hmmmm… »

D'accord, il avait compris le message, l'heure n'était plus aux questionnements, ni encore à la moindre petites demande à peine insinuée, le temps était à l'acte, et comme il l'avait lui-même si bien dit, il était de son devoir d'être celui qui engagerait le mouvement. Toutefois il ne coupa clairement pas court au baiser au profit de ce rappel à l'ordre silencieux qu'elle lui faisait, profitant avec envie et désir de cette chair goût cerise qu'elle venait si tendrement de lui offrir, répondant aux passions de la belle sans hésitation tandis qu'il usa de sa main libre pour commencer à se libérer de son pantalon tout aussi maladroitement qu'il avait put le faire avec le string d'Amélie, semblant clairement avoir du mal à déshabiller d'une seule main. Quand enfin ils se séparèrent l'un de l'autre pour se regarder sans un mots, le jeune homme crut encore une fois qu'elle allait le happé dans son doux regard, et son coeur ne fit qu'un bond dans sa poitrine pour un court instant, laissant le jeune homme entre deux mondes le temps que la française lui réponde.

« Je crois en avoir fini avec les miennes, Sen’…
 -  Alors je crois que je n'ai qu'une question à posé dans mon cas, mon adorée Amélie... »

Il se redresse pour le coup et finit d'ôter ses vêtements, rejetant d'abord au loin son pantalon des plus banales pour le laisser choir au sol lourdement, puis d'enlever de la même manière son caleçon, libérant son sexe de ce carcan de tissu pour finalement apparaître tout à fait nu devant sa  belle compagne. Dans le fond, il était plutôt pas mécontent de ne pas être un de ceux qui complexait énormément sur leurs capacités sexuelles, n'ayant du coup pas de problèmes à se révéler devant la charmante française, et ne doutant pas des prouesses qu'il allait pouvoir mettre en oeuvre pour elle, sachant q'il fera de toutes manières tout ce qu'il peut pour le bonheur de celle chère à son coeur. se rapprochant d'elle comme plus tôt pour aller lui parler à l'oreille, il préféra même jouer un tout petit peu avant, venant mordiller gentiment ce petit bout de chair à portée de ses lèvres tout en passant le bout de sa langue dessus, puis chuchotant avec tout le désir qu'il avait en lui de prendre possession d'elle.

« Te sens tu prête pour ce qui va suivre, ma belle ? »

28
 -  Que vous êtes mignonne mademoiselle Dextra. Nous avons à peine touché les amuses-bouches que vous voudriez quitter la table avant même que l'on serve l'entrée ?
 -  Senseï je suis barbouillée là, je crois que les amuses-gueules ont été amplement suffisant.

Toujours dans le jeu de paroles qu'elles avaient entamées au début de cette punition des plus sévères, la jeune fille continuait de jouer avec les allusions de Tessia mécaniquement, comme une sorte de rejet de ce qu'elle faisait en s'amusant à briser les jolis sous-entendus de la femme, et pourtant ce coup-ci elle avait bien eut du mal à y mettre du coeur, car elle avait définitivement l'impression d'être vaincue depuis quelques instants. Pas tant par la professeur au comportement tout à fait immoral, mais bien par elle même, qui n'avait pas réussit à contenir son sang-froid et avait finit par s'abandonner au plaisir coupable qui avait envahi sa chair, comme la dernière des traînées incapable de se retenir dés que quelqu'un prenait possession de son corps et de son âme. Elle se savait charmée par les démones, les entités non-naturelles, les fantômes et autres étrangetés si particulières, et pour cela elle avait crut pouvoir se défendre contre ses propres pulsions, mais voilà ou en était le résultat, elle était à moitié vautrée au sol, l'intimité ruisselante, et gémissant comme une petite chienne qui venait de se faire prendre pour la première fois.

C'est là qu'elle entendit le bruit de l'échafaud, de cette lame aiguisée qui s'abattit avec violence sur le sol pour venir y trancher les derniers espoirs d'honneur de la jeune fille, la réduisant soudainement au yeux de tous comme la petite pute nue au milieu de la salle d'anglais. Enfin c'est ainsi qu'elle le perçue, la vérité étant surtout que la guillotine et son bourreau était représentés par un de ses camarade de classe, Emya, qui était d'ailleurs un jeune homme qui se trouvait relativement prêt d'elle en classe, et qui ainsi avait souvent droit à ses propos acerbes lorsque la jeune femme avait quelques besoins de se défouler sur autrui. Quand à la lame ayant réduit en morceau son honneur, il s'agissait du sac du jeune homme qui était venu s'écrasé au sol, répandant une mare d'affaire de classes en face de lui, alors que son visage s'était empourpré à la vue de la professeur en courte tenue, et de la soumise de celle-ci, parfaitement nue et gémissante. Pas besoin de préciser que le visage de Dextra s'alluma d'une lueur cramoisie.

 -  Ne... Ne regarde pas, abruti !
 -  Ho, monsieur Shirou... Vous êtes en avance de dix bonnes minutes.
 -  Je... Heu... M'excuse...
 -  Ce n'est pas grave. Vous tombez même plutôt bien...

Elle voulut le prévenir que c'était la pire des idées au monde de faire confiance à cette horreur à la langue de serpent nommée Tessia, mais elle n'eut malheureusement pas vraiment le temps de le faire, le jeune homme s'étant fait avoir en beauté dés lors qu'il était rentré dans la pièce pour les contempler toutes les deux dans une situation des plus tendancieuses. Au final, il se retrouva complètement sous l'emprise de la femme en un instant, Dextra reconnaissant très bien cet état pour l'avoir déjà vu quand Inuko avait prit son frère sous son contrôle, et elle ne put pas du tout s'empêcher de penser que si la démone avait parlée "d'avance" plus tôt, c'était bien parce qu'elle avait prévue cela dés le début, ce qui faisait que, très honnêtement, la lycéenne se sentait parfaitement piégée par la succube, à courir frénétiquement dans la paume de sa main. Elle sentait que cette histoire n'était pas terminée, et s'imaginait bien malgré elle toutes les horreurs que la femme avait préparée en tant que "plat de résistance".

 -  Mademoiselle Dextra me faisait justement part de la profonde envie qu'elle a toujours eu de vous montrer son affection...
 -  T'es ... T'es pas sérieuse là ?
 -  Ha ? C'est gentil de sa part...
 -  QUOI !? Arrêtes de rêver, résidus de poubelles !
 -  N'est-ce pas ? Mais je vous en prie monsieur Shirou, déshabillez-vous donc, elle meurt d'envie de voir ce que vous cachez dans votre pantalon.

C'en était trop, elle ne pouvait pas se permettre cela, c'était trop dégradant, trop infâme, et pourtant sa professeur semblait trouver un enivrant plaisir à faire à ce que cette "affection" se dévoile en de parfaits auspices pour elle, si bien qu'elle insistait comme il faut pour être bien certaine que le jeune homme hypnotisé se devait de prendre la jeune lycéenne affaiblie. Et en parlant d'affaiblissement, cette saloparde en remit une couche en faisant de même pour ses bras que pour ses jambes, la rendant à peine plus capable que de bouger ses hanches, le haut de son corps, et sa tête, ce qui ne laissait rien présager de bon si la lycéenne devait tenter de se protéger d'un viol malheureusement plus qu'imminent. Elle se sentit posée sans douceurs sur les tables alignées et fronça les sourcils en regardant la démone fière d'elle, au dessus de son visage, l'air paradoxalement aux anges. Et voilà qu'elle se remettait à la provoquer de manière directe, sans faire attention à ce que la poupée de ses désirs pouvait en ouïr, de toutes manières bien trop influencé par l'effet de ses sorts.

 -  N'est-ce pas une excellente manière de vous réconcilier ?
 - Je ne crois pas qu'orchestrer un viol puisse réconcilier qui que ce soit... Arrêtez, je ne peux même pas me défendre, et je me doutes que vous avez prévue encore pire après...

Elle craquait un peu, n'en voulais plus, mais malheureusement quelque fut la réponse de sa professeur, elle ne fut pas celle que pouvait espérer la jeune fille en plein désarroi, les yeux légèrement embués de larmes et les membres tremblotants, à la fois à cause de la peur de la jeune femme d'être à nouveau prise contre son gré, pour sa deuxième fois avec un homme, mais aussi tout les efforts qu'elle mettait à tenter de faire bouger ses membres tatoués par les soins de Tessia. Elle aurait put s'enfuir qu'elle n'aurait même pas hésité à sauter depuis les fenêtres de l'étage, ce qui lui aurait au moins permit de se séparer de la présence immonde de sa professeur, quitte à se faire un peu mal, mais là il n'était même pas question d'avoir le choix : Elle était là, offerte sur ces tables et la tête dans le vide, et quand elle vit enfin sa prof partir, c'est pour qu'une vision des plus perverses et gênantes lui parvienne... Et avant qu'elle n'ai put protester, elle sentit le sexe de son camarade presser ses lèvres, puis rentrer dans sa bouche sans son accord, la lycéenne gémissant une fois le morceau de chair en bouche, les joues cramoisies et cet horrible plaisir affluant de nouveau dans son corps réduit à un vulgaire jouet pour adulte.

29
Prélude / Re : J'aurai la tête de Tek_Neko ! [Validoralapinisé !]
« le: dimanche 22 mars 2015, 17:08:12 »
Bienvenue parmi nous !
Et oh un adversaire à Tek, pauvre minette
Mais il est mignon le lapin aussi
matou.
lapin..
minette...
lapinou....
neko.....
bunny......

Trop difficile de faire un choix.

30
Les alentours de la ville / Re : Hotomiiiii-chaaaaan <3 (Pv Akua Hotomi)
« le: dimanche 22 mars 2015, 15:37:22 »
A vrai dire, la question des photos fallacieuses ou non était vraiment une chose qu'il désirait aussi vérifier, mais il pensait plus oser le demander en privé, une fois qu'il se serait retrouvé seul avec Akua par exemple, pour prononcer un sujet fâcheux qui ne risquait pas d'affliger les autres membres de cette réunion inter-fan. Finalement il y avait ici quelqu'un de bien plus direct que lui et qui semblait être plutôt en désaccord avec le fait qu'elles puissent être vrai, ce qui après tout était largement compréhensible étant donné qu'il ne fallait jamais heurté un fan sur ce qu'il avait de plus cher, encore plus quand il s'agit de personnes réelles, qui méritent un minimum de politesse et de privacité dans leur vie de tout les jours. Ainsi, c'est peut-être avec une dose de gêne, mais aussi avec grand intérêt que le lycéen ouvrit ses esgourdes pour ne pas perdre une miette de ce qu'allait prononcer June, étant donné qu'apparemment, c'était elle qui se décidait à se prononcer en première sur le fâcheux sujet :

 -  Ces rumeurs sont bien sûr toute fausses. Yoko nous a quittés à cause d’un déménagement. J’ai eut des photos tendancieuses, mais elles ont clairement été retouchées derrière. Je n’ai jamais été aussi loin, de plus c’est photo était personnel et n'ont rien avoir avec le groupe. Par contre, les photos nous montrant toutes les trois à nous embrasser chacune sont bien vraies. On avait prévue de faire de ça une sorte de marque du groupe, mais finalement l’image fofolle d’Akua à suffit pour ne pas en arrivé là, puis Sue n’était de toute façon pas très emballée par ça.
 -  Pour ma part, il y a peut-être des photos de moi avec mon ancien groupe qui sont peut être réelle. On était du genre à boire beaucoup et ça finissait rarement sans que je me fasse prendre par l’un des mecs. A la fin le batteur n’arrêtait même plus et ça devenait pratiquement du viol, c’est pour ça que je les ai quitté. Tarés comme ils étaient, il n’est pas impossible qu’ils aient des photos de tout ça qui traîne sur internet. Mais tout ça c’est du passé.

Il avait été au courant de tout cela, et pour tout avouer il était parmi ceux qui avaient demander à ce qu'il y ait une vrai enquête sur les activités de l'ancien groupe d'Akua, pas mal de rumeurs étant montés au fur et à mesure que le groupe évoluait dans la sphère des petits groupes de salles. Finalement l'enquête avait été lancée après le départ d'Akua, mais le résultat n'avait pas été bien fameux pour le groupe, dont deux membres avaient prit quelques années de prisons pour un sujet que le jeune homme n'arrivait même plus à se rappeler, étant donné que dés lors que son idole avait été en sûreté, il avait complètement mis de coté cette histoire pour se contenter de regarder avec satisfaction la remontée en flèche de la jeune fille dans le tableau de popularité général du Japon. En tout cas il ne semblait pas que l'ancienne membre du groupe en soit au courant, et ce n'était peut-être pas plus mal, vu qu'elle rayonne désormais dans d'autres hémisphères sans avoir à se forcer à faire quoi que ce soit.

 -  Akua tu veux dire que tu faisais l’amour comme ça après le concert ? Avec la fièvre et l’énergie de la scène ça devait être intense.
 -  Oh C’était carrément énorme à vrais dire…OH ! Sue du calme.
 -  Si vous voulez vous aurez qu’a en parler toute les deux après, mais là on est dans une rencontre officielle, alors gardez un minimum de tenue sur les sujets. Et avant que tu ne te pose la question Frida, elle n’a pas gardé cette habitude avec nous.

Il était en effet presque comique de remarquer que celle qui s'énerva le plus pour le coup était celle connue pour être la plus tendancieuse au niveau des propos parfois, encore une autre de ces rumeurs qui courent sur le net à propos de n'importe qui ou n'importe quoi. De ce qu'ils en avaient vu pour l'instant, Sue était de loin la plus prude, et du coup Senestra avait presque de la compassion pour elle, connaissant bien les difficultés multiples que cela représentait d'être doté d'un minimum d'innocence et de retenue sur certains sujets, généralement par timidité ou manque de confiance en soi. En tout cas si il y en avait deux qui s'en donnait à coeur joie quasiment tout le temps, il imaginait très bien la torture psychologique que cela pouvait créer pour la pauvre jeune fille, le lycéen ayant pour lui qu'une soeur, mais qui était déjà bien suffisante pour le faire sursauter ou frémir de gêne. Enfin, sur un ton plus léger, il posa sa question, et en écouta la réponse de Sue, souriant doucement en écoutant les explications.

 -  Nos chansons sont écrite par June, elle s’inspire pas mal de nos vies, mais surtout de l’univers héroïque fantaisie que nous adorons. Etant aux dernières nouvelles toute les trois célibataires, je doute que ça parle directement de nos petit amis. Pour ce qui est de l’amour.
 -  En fait l’une d’elle parle de Sue, je vous laisse méditer pour deviner laquelle.
 -  Hein c’est vrai ? Je ne savais pas. C’est laquelle ?
 -  Elle a dit de méditer, réfléchis et toi aussi tu devineras.

Sweet Time of Princesses and knights, surement.
- - -

Les discussions continuèrent pendant pas loin de trois bon quarts d'heure, et même si à l'origine un ordre avait été apposé pour que chacun puisse questionner les membres du groupe à la suite, ce devint vite une simple mais très agréable discussion, toute naturelle entre les fans et les joueuses, si bien que Senestra ne vit pas le temps passer. Finalement, c'est l'invitée de June qui réagit à cela en regardant sa montre, toujours avec cette air plein d'énergie, et qui avait fait part à toute la tablée que ça faisait un sacré moment qu'ils étaient là à discuter, commençant par là à installer l'envie de tout le monde de se retrouver enfin en tête à tête avec l'invité(e)/la joueuse de son choix. Résultat, les questions se firent plus rare, et chacun finit par s'accorder à bouger, les chaises commençant à se déplacer pour libérer leurs occupants de la table qui était devenue moins intéressante désormais. Une rapide pensée traversa le jeune homme du coup, et avant que tout le monde ne parte, il demanda un peu d'attention par un mot vite-fait puis s'exprima :

 -  Attendez... Du coup, ne ferions nous pas la photo maintenant ? Je ne sais pas pour vous, mais je crois que c'est dur d'avoir un temps fixe pour discuter en tête à tête, peut-être que certains ou certaines de nous partirons plus tôt ou plus tard, donc bon.

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