Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Hikari Harigato

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Hikari avait depuis longtemps franchi le point de non-retour. Elle avait depuis trop longtemps goûté à ce plaisir unique, immense, et elle ne pouvait pas lutter contre ça. Nanami la dominait pleinement, et, tout ce qu’Hikari pouvait faire, c’était de subir en continu, sans avoir la possibilité de contre-attaquer. Elle était son esclave, et elle sombrait chaque jour davantage dans cette luxure inouïe et incroyable. Cette séance dans l’entrepôt s’était d’emblée annoncée comme intense, mais, même malgré ça, elle ne s’était pas attendue à tomber sur Alice Korvander, et à subir ça. Son ventre se remplissait d’eau, à tel point que Nanami commença à douter de ce qu’elles faisaient. Sans doute était-il trop tard pour éprouver des remords, après avoir violé sa professeur, mais ça, Hikari l’ignorait. La senseï cligna des yeux, les joues rouges, se tortillant lentement sur place, en sentant l’eau affluer en elle.

Réfléchir devenait de plus en plus difficile, mais Hikari comprenait ce que sa Maîtresse voulait. Sa main se tenait sur la poire, prête à appuyer, ou à arrêter... Mais était-ce un véritable choix ? Nanami avait vu Hikari enfiler des tenues osées sous sa tenue en faisant cours. Le sexe était une spirale sans fin dans laquelle Hikari ne cessait de glisser, sans pouvoir se raccrocher à quoi que ce soit. Elle ne pouvait plus revenir en arrière... Pas maintenant. Elle avait essayé pendant une semaine de penser à autre chose, mais, à chaque fois, ses pulsions venaient la trahir, sa personnalité profonde, comme une femme endormie pendant des années qui avait fini par revenir à la réalité.

Hikari observa donc la femme... Et finit par remuer la tête. Ses cheveux glissèrent, et, tout en plantant son regard dans celui de Nanami, elle souleva la tête, de haut en bas, et à plusieurs reprises. Oui, disait-elle. Oui, il n’y avait plus d’hésitations, plus de retour en arrière possible. Elle était entrée à Mishima, et, sans le savoir, les griffes du lycée s’étaient dressées autour d’elle, n’attendant plus qu’un geste, qu’un signe, pour s’abattre sur son corps. Elle n’avait pas pu lutter.

Alice sourit, et appuya à son tour sur la poire.

« Pourquoi lui soumettre ce choix, Maîtresse ? Pensiez-vous vraiment qu’Harigato-sensei fera marche arrière ? Après être venue dans cet entrepôt sinistre ?
 -  Hmmmm... »

Son ventre continua à se remplir, et, pendant plusieurs minutes, elle sentit l’eau venir, enflant dans son ventre, jusqu’à lui donner l’apparence d’une femme enceinte. Hikari était en sueur, mordillant son gag ball, et sentit alors les mains gantées d’Alice glisser sur son ventre.

« Si je veux que vous me punissiez, senseï, je vais devoir vous donner des raisons de le faire... »

Hikari sentit alors les tuyaux se retirer de son corps, puis Alice récupéra une cravache, et caressa ses fesses avec.

« Allez, senseï, recrachez tout dans le seau ! »

La femme gémit encore, et, comme pour l’encourager à faire cet acte humiliant, elle se reçut plusieurs coups sur les fesses. À chaque coup, Hikari gémissait, yeux clos, jusqu’à ce que... Dans un grand soupir, elle se relâcha finalement, et des larmes de plaisir coulèrent sur ses  joues quand elle se mit à pisser frénétiquement, crachant des litres dans le seau. Alice tapa ensuite dans ses mains, comme pour la féliciter.

« Bravo, senseï ! Maintenant, vos parois internes sont toutes trempées ! »

Elle en fit la démonstration en fourrant un doigt dans le fondement d’Hikari, qui gémit encore. Alice se retourna ensuite vers sa Maîtresse, et, pendant qu’elle remuait ses doigts dans le cul d’Hikari, son autre main pinça ses tétons, ce qui lui permit de constater qu’ils étaient tendus, durs, trahissant le plaisir que leur propriétaire ressentait à l’idée d’être ainsi traitée :

« Quel gode vous voulez que je lui mette, Maîtresse ? » demanda ensuite la belle blonde, d’une voix faussement innocente...

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Prisonnière des deux lycéennes, Hikari avait vraiment du mal à croire ce qu’elle vivait. Comment la douce Alice pouvait se trouver là, dans son dos, à lui fouetter les fesses, dans sa tenue en latex ? Elle rougit encore, gémissant en entendant sa Maîtresse lui parler de ses « exploits » au lycée. Elle en parlait si ouvertement... Y compris ce qu’Hikari avait fait contre la porte de sa classe ! Nanami le dit tout en les rejoignant, et, très gênée, Hikari ferma les yeux, n’osant pas regarder sa Maîtresse.

« Alors, comme ça, Harigato-sensei, vous vous baladez nue dans les couloirs du lycée ? Eh bien ! Quel exemple pour de jeunes filles innocentes en proie à leurs hormones et à leurs pulsions de femme naissante ! »

Hikari couina encore en secouant la tête. Non, ce n’était pas sa faute, c’était sa Maîtresse qui lui avait fait ça, qui l’avait transformé, qui...

« HMMM !! »

La professeur écarquilla brusquement les yeux en sentant l’un des doigts d’Alice s’enfoncer dans son fondement. La femme fit tourner son doigt, et en glissa ensuite un second, continuant à les remuer, tout en utilisant son autre main pour pincer les fesses d’Hikari. La tête blonde se montrait très entreprenante, et alla ensuite glisser sa langue contre la croupe d’Hikari. Celle-ci gémit encore, et les liens la retenant se mirent à serrer de nouveau. Hikari continuait vainement à se débattre, et rougit au contact de la langue de l’étudiante. Nanami s’était rapprochée, et rejoignit Alice. Celle-ci l’embrassa alors, en lui souriant doucement.

« Ça vous plaît, Maîtresse ? »

Nanami semblait ravie, et Alice libéra le fondement d’Hikari, avant de se déplacer. Elle approcha ensuite une sore de meuble roulant, qui racla sur le sol. Hikari cligna des yeux, se demandant encore ce qui allait lui arriver.

« Puisque tu es une chienne qui aime tant pisser, ma chérie... »

Alice avait visiblement une idée derrière la tête, et approcha un treuil d’Hikari, avec un seau suspendu qu’elle posa en-dessous de ses cuisses, puis enfonça le bout d’un tuyau dans son fondement. Hikari couina encore, en se dandinant sur place, et se reçut un coup de cravache. Alice tenait dans le creux de sa main une poire reliée au tuyau, et appuya dessus. La poire actionna alors une sorte de pompe, et Hikari soupira encore, en sentant un liquide défiler dans son fessier, s’insinuant en elle. L’eau commença à venir, et Alice s’arrêta là, glissant un tuyau dans le seau, et le relia au gag ball d’Hikari. Celui-ci était assez particulier, car il contenait un petit dispositif qui permit d’ouvrir une petite trappe circulaire sur l’objet. Alice s’en servit pour y glisser le bout du tuyau, qui se retrouva dans la bouche d’Hikari, puis elle recommença à pomper.

Souriant malicieusement, Alice remplit le ventre d’Hikari, qui ne tarda pas à gémir. L’eau affluait de plus en plus sans que son corps n’ait le temps de la diluer. Tout en pompant d’une main, la tête blonde caressait l’estomac de la professeur avec l’autre.

« Là, là, ton ventre va bien se remplir, et, ensuite, ma petite salope, tu vas recracher tout ça dans ce seau. Ensuite, c’est notre Maîtresse qui décidera. Tu vois, cet autre tuyau comprend aussi une pompe, comme la mienne. Si elle appuie dessus, ce que tu as recraché retournera en toi. »

Hikari écarquilla les yeux à cette idée, et couina encore, secouant furieusement la tête de droite à gauche.

« HMMM-HMMMM !! »

Alice pinça sa chair en grognant légèrement.

« Allons, allons, que signifie ceci ? Ce comportement obséquieux ? Tu te crois encore en mesure de pouvoir choisir ? Maîtresse, je trouve que c’est une bien vilaine esclave, très rebelle !
 -  Hmmmm... !! »

C’était... C’était profondément humiliant. Mais aussi, en même temps, étrangement... Excitant. Hikari n’arrivait vraiment pas à comprendre ce qui lui arrivait...

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La scène était incroyable pour Hikari, totalement... Impensable ! Alice Korvander, cette élève discrète, absente, mais si gentille... Elle n’aurait jamais cru pouvoir la voir un jour ici, en compagnie de sa Maîtresse, dans une robe moulante en latex. Hikari en rougit benoîtement, prenant peu à peu conscience de son innocence, de sa bêtise. Elle avait cru que le lycée Mishima était un lycée comme les autres, mais, à bien y réfléchir, ce lycée semblait plutôt être régi par d’autres règles de fonctionnement. Nanami et Alice s’embrassèrent tendrement, et Hikari vit la main de Nanami serrer l’une des fesses d’Alice. Elle observa alors que cette dernière ne portait pas de culotte sous sa robe, et se retourna ensuite. Magnifique dans sa tenue, elle s’approcha donc, et Nanami proposa qu’Hikari raconte à quel point elle n’était pas sage... Ce qui amena Alice à lui retirer son gag ball.

« Vous, Harigato-sensei, une personne qui ne serait pas sage ? Je n’arrive pas à y croire, avec votre visage angélique... »

Alice parlait d’une voix douce, mais marquée par une certaine forme d’excitation. La situation actuelle n’était visiblement pas sans lui faire plaisir, et Hikari rougit donc, avant de voir Alice aller dans son dos. Ses mains caressèrent ses cuisses, et elle soupira encore, sentant la femme lui retirer ses vêtements.

« A-Alice..., soupira Hikari. Tu... J’ignorais que tu... »

Une main s’abattit alors sur ses fesses, la giflant.

« Tût-tût ! Pour commencer, tu me vouvoies, petite insolente ! Que tu sois professeur ne change rien au fait que c’est toi notre soumise ce soir ! »

Hikari rougit encore, et sentit ses vêtements tomber encore. Ses fesses se retrouvèrent nues, et elle sentit encore les mains gantées les caresser, et même les pincer, ce qui lui arracha d’autres soupirs.

« Je sais ce que tu fais, Harigato-sensei... Le harnais que tu portes en cours, els vibromasseurs que tu t’enfiles en rentrant chez toi... Maîtresse m’a tout raconté, tu sais...
 -  Haaaa...
 -  Tu es vilaine, Hikari ! Vilaine ! »

Alice abattit alors sa cravache sur ses fesses, et Hikari gémit encore, se dandinant sur place, se tortillant en sentant une chaleur croître entre ses cuisses. Elle poussa un nouveau soupir, et se pinça les lèvres, avant de sentir encore la cravache s’abattre sur elle. La jeune lycéenne dans son dos était une découverte inattendue, mais elle donnait de solides coups, arrachant un nouveau soupir à Hikari.

« Dis-le, sale chienne ! Dis que tu es vilaine, et que tu aimes ça, SALOPE !! »

Et la cravache frappa encore ! Hikari hurla alors, et, tout en serrant nerveusement les poings, lâcha alors, yeux clos :

« Oui... Hmmm... JE SUIS VILAINE, haaaann... !! »

Et, tout en se confiant, Hikari était en train de mouiller, de la cyprine coulant de ses lèvres intimes pour tomber au sol.

19
Hikari se demandait clairement ce que sa Maîtresse avait en tête. Elle était nerveuse, inquiète, autant angoissée qu’excitée, car elle savait de quoi Nanami était capable. Et elle savait aussi que la femme ne l’avait pas emmené ici sans avoir quelque chose de bien précis en tête. Un endroit reculé, isolé, désaffecté, qui devait probablement servir de refuge pour elle et sa bande. Hikari s’était renseignée sur Nanami auprès du secrétariat, et avait appris que la jeune fille avait fait l’objet de plusieurs signalements, non seulement pour son outrage en refusant de porter l’uniforme scolaire, mais aussi parce que certains de ses amis avaient eu des ennuis avec la police. Et Hikari savait que Nanami était derrière tout ça. À sa manière, elle était donc complice, et elle se demandait d’ailleurs si ce n’était pas dans cet entrepôt que Nanami entreposait les objets qu’elle volait.

Entendant du bruit, Hikari sursauta, mais conserva les yeux clos, avant de frémir en sentant les mains de sa Maîtresse sur son corps nu. Cette dernière lui mit autour du corps un vêtement frais et moulant, qu’Hikari analyse comme étant du latex, et commença àa voir chaud entre les cuisses. Ses mains partirent ensuite en arrière, et elle sentit quelque chose s’accrocher, et comprit qu’elle portait un harnais. Un harnais de soumission, et elle frémit, sans que sa Maîtresse ne lui mette un gag ball. Elle accrocha à une boucle située dans le dos du harnais, au milieu de ses bras, un crochet métallique, qui permit de la soulever. Hikari se mit à gémir. Le harnais comprenait également des liens à hauteur des chevilles, relativement souples, mais qui lui permirent, tout en étant suspendue, de garder les jambes suspendues, sans qu’elles ne pendent et ne lui fassent mal. L’appareil sophistiqué permettait toutefois, en appuyant sur un bouton, de rétracter les cordes maintenant les jambes d’Hikari.

« Haaaa... »

Une fois suspendue ainsi, Hikari cligna des yeux à plusieurs reprises, sa Maîtresse lui ayant donné l’autorisation de le faire, le cœur tambourinant lentement dans sa poitrine. Elle sentait ses muscles l’étire, et soupira une nouvelle fois, sentant une pointe d’excitation la traverser.

« Ohh... Maî-Maîtresse... »

Nanami lui avait parlé d’une seconde surprise, et Hikari entendit une porte s’ouvrir à côté d’elle. Difficile de voir d’où cela venait, mais elle entendit des bruits de talons claquant sur le sol, dans son dos. Des mains posèrent alors un collier sur son visage, et elle gémit, ouvrant toutefois la bouche en sentant un gag ball se poser sur ses lèvres, l’empêchant de parler. Hikari rougit en couinant, et vit ensuite la femme ayant posé le sex toy la contourner et s’approcher de Nanami, avec une belle chevelure blonde, embrassant tendrement et longuement sa Maîtresse. Elle lui tournait le dos, mais Hikari reconnaissait cette silhouette.

*Non !*

C’était... Alice Korvander ! Une élève de sa classe, calme et pudique, très curieuse, et plutôt douée. Hikari n’aurait jamais cru qu’elle puisse être là, portant une tenue en latex comprenant une robe, des gants et des collants. Dans cet ensemble, elle s’agenouilla alors devant Hikari, et déposa un chaste baiser sur ses lèvres, avant de lever solennellement les mains.

« Maîtresse... Donnez-moi votre cravache, et autorisez-moi à punir cette professeure catin... »

Hikari déglutit en gémissant, sentant une forte chaleur pointer, bien malgré elle, entre ses cuisses...

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Hikari était une inconnue pour elle-même. Si elle rembobinait le temps, et se regardait avec les yeux de l’ancienne Hikari, elle n’aurait jamais pu y croire. Elle, en train de se masturber devant Nanami, lui confiant ses fantasmes, ses désirs… Comment cette simple élève avait-elle pu la marquer à ce point ? La toucher autant ? Elle avait fissuré le calme d’Hikari, révélant au grand jour la frustration de cette dernière, et Hikari baignait dedans. Nanami était sa Maîtresse, et le simple fait de prononcer ce mot suffisait à l’exciter. Avoir une Maîtresse… Là, elle mouillait encore ! Se caressant encore, elle aurait tout à fait pu jouir dans ces conditions, mais Nanami finit par le lui interdire. Hikari se pinça alors les lèvres, et arrêta ses mouvements, se maintenant debout, silencieuse, excitée… Et rougit de plaisir quand Nanami indiqua avoir « quelques surprises » pour elle.

*Des surprises…*

Ce mot avait suffi à faire bondir son cœur dans sa poitrine, et elle laissa Nanami tourner autour d’elle, puis la suivit ensuite. Hikari avait effectivement un petit peu froid, mais, en réalité, les frissons qui la traversaient venaient surtout de la profonde excitation qu’elle ressentait, de cette vague d’émotions qu’elle ne contrôlait clairement pas.

« Bien, Maîtresse… »

Elle aurait pu marcher à quatre pattes, mais elle obtempéra. Le duo se retrouva ainsi rapidement dans une autre pièce de l’entrepôt, et Hikari put voir plusieurs matelas, des néons, un barbecue, des cartons de pizzas, des cannettes de sodas dans un coin, avec plusieurs sacs poubelles. Un véritable squat’, aménagé, probablement le refuge de Nanami et de sa bande. Pourtant, Nanami avait des parents. Hikari avait consulté son dossier scolaire pour s’en assurer. Elle retint plusieurs questions, et s’avança un peu, sachant très bien quelle était sa place.

Nanami lui donna ses ordres, et Hikari ferma les yeux, et écarta les jambes.

« Comme ça, Maîtresse ? »

Désobéir ne lui venait bien évidemment pas à l’esprit. En fait… Il était en réalité très excitant de suivre ainsi des ordres, d’obéir et de se laisser porter. Sans trop pouvoir se l’expliquer clairement, Hikari y ressentait une joie profonde et grisante, et n’avait qu’une envie en tête : savoir ce que sa Maîtresse avait prévu pour elle…

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Centre-ville de Seikusu / Re : Corruption & Tentation [Jeremiah Spencer]
« le: lundi 12 février 2018, 01:07:51 »
Elle avait bien le sentiment de manquer de la plus élémentaire des prudences en la matière. Mais comment devait-elle réagir avec ce qu’elle avait entre les cuisses ? Avec Nanami, Hikari réalisait à quel point il était dur de se sentir vide, et à quel point elle aimait sentir quelque chose en elle. Elle aimait quand sa Maîtresse lui faisait l’amour, et quand elle sentait une verge en elle, la remplissant, la complétant, et lui prodiguant un bonheur immense. Oui, s’il y avait bien quelque chose à retenir, c’est qu’Hikari aimait être remplie. C’était ce bonheur que sa Maîtresse lui offrait, et c’est celui-là qu’elle ressentait en ce moment. Malheureusement, elle manquait de discrétion, car elle n’était pas habituée à ça, et ce regard insistant la gênait. Elle aurait bien aimé que l’individu face à lui descende à un arrêt, mais il semblait manifestement plus concerné par le fait d’embêter les femmes que par suivre sa petite vie habituelle !

Nerveuse, la belle professeur se pinçait les lèvres, peinant à dissimuler ses rougeurs. Il suffisait de la voir pour constater que son fonctionnement n’était pas normal, même pour quelqu’un vivant au Japon. L’homme se mit alorsà lui parler, et Hikari sursauta sur place, avant de le regarder, les lèvres entrouvertes.

*Que... Que veut-il ? Qu’est-ce qu’il a dit ?!!*

Elle avait sûrement dû mal entendre... Puis l’homme poursuivit, en évoquant son « gémissement », et elle se pinça les lèvres, avant de se reculer, prenant conscience qu’il n’y avait aucun doute possible. La panique se dilua brusquement en elle, faisant ventiler son cœur. Que dire ? Que faire ? Pouvait-elle vraiment nier le plaisir qui croissait en elle ? Hikari n’en savait rien, et se pinça donc les lèvres, avant de répondre rapidement :

« Qu’est-ce que vous racontez ? Je... Je suis juste malade, et... Et contagieuse ! Vous devriez me laisser... Monsieur... »

Le vibromasseur ne tenait pas compte de ses émois, et continuait à remuer en elle. Elle serra les cuisses, ou, plutôt, tenta de le faire, mais dut les desserrer bien vite, une onde de plaisir supplémentaire remontant en elle. Maîtresse Nanami la préparait bien, alternant entre des séances de sexe intense et de longues semaines de frustration, empêchant ainsi Hikari de se préparer efficacement au plaisir sexuel, et de pouvoir ainsi avoir un corps qui y résisterait.

Ses rougeurs s’étaient d’ailleurs accentuées, comme si, inconsciemment, la présence de ce regard pervers la perturbait. Elle ferma d’ailleurs les yeux, mordant ses lèvres, refoulant de nouvelles vagues de plaisir.

*Non, je ne peux pas jouir maintenant, calme-toi, Hikari !!*

C’était, hélas, bien plus facile à dire qu’à faire ! Le plaisir était là, et n’avait pas envie de partir !

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Centre-ville de Seikusu / Re : Corruption & Tentation [Jeremiah Spencer]
« le: lundi 05 février 2018, 01:13:12 »
Le doux ronronnement des vibromasseurs en elle la faisait rougir, la conduisant à régulièrement se mordiller les lèvres. Le plus effrayant, c’était de voir à quel point son corps finissait par s’habituer à ça. La première fois qu’elle avait porté ce sex toy, et où elle avait été contrainte de traverser plusieurs quartiers, elle avait cru s’effondrer sur place, le plaisir la submergeant à chaque fois par l’effet de vagues intensives. Et là, si elle était certes secouée, en se pinçant régulièrement les lèvres,  elle arrivait à tenir. Le métro finit par arriver, et Hikari grimpa à l’intérieur, puis s’assit. Elle frémit encore en s’installant, sentant les godes s’enfoncer un peu plus en elle, et se pinça les lèvres, sentant sa culotte s’humidifier...

*Et ce n’est pas de l’urine...*

Hikari soupira encore, se ratatinant sur place, et releva brièvement les yeux en voyant un homme avec des lunettes s’approcher d’elle, et s’asseoir doucement à côté de la jeune femme.

*Qu’est-ce qu’il me veut, lui... ? Il... Il ne voit quand même pas, si... ?*

L’homme la regardait fixement, et Hikari détourna la tête, rougissant encore, fixant le paysage. Le métro venait de rejoindre une longue partie aérienne, mais sa maison était encore assez éloignée... Et personne d’autre, à cette heure, ne se pressait dans le métro. En fait, c’était d’ailleurs pour ça qu’Hikari avait emprunté le tram’ à cette heure, espérant ne tomber sur personne... Et surtout pas sur quelqu’un qui la fixait avec une insistance toute déplacée ! Que lui voulait-il donc ?! Confuse, Hikari se mordilla doucement les lèvres.

Elle déglutit encore, et le train s’arrêta brusquement. Le cœur d’Hikari battait furieusement la chamade, en espérant que ce singulier voyeur finirait par regarder ailleurs ! Mais, loin de ça, l’homme semblait se complaire de la vue, restant sur place ! Le train repartit à nouveau, et Hikari sentit un frisson supplémentaire la traverser. Elle tenta alors de se relever, mais s’arrêta en sentant, au moment du déplacement, le gode niché en elle remuer encore, lui arrachant un nouveau frisson... Et même un léger soupir !

« Hm ! »

Hikari rougit furieusement, espérant que l’homme ne l’ait pas entendu, et espérant surtout qu’il s’en aille, qu’il sorte un bouquin, son portable, quelque chose ! Elle était tombée sur une sorte de stalker, et... Hikari était très gênée ! Elle n’osait toujours pas le regarder, par peur qu’il n’y voie là l’occasion de se ruer sur elle...

23
Hikari ne fut même pas offusquée d’entendre Hikari l’appeler, sans hésitation, et sur le ton le plus naturel du monde, « ma belle esclave ». Elle sentit même un léger frisson la traverser, et, bien qu’elle put encore en sentir une relative gêne, l’excitation dominait surtout. Sa Maîtresse était là, dans une grande pièce sombre et un peu froide, et lui ordonna tout simplement de se déshabiller, tout en expliquant en quoi elle était une « mauvaise esclave ». Encore une fois, le mot « esclave » résonna agréablement dans son esprit, déclenchant en elle un nouveau frisson, et un léger pincement dans son cœur.

La professeur hocha finalement la tête, et commença à retirer ses vêtements, obéissant religieusement.

« J’ai essayé de tenir, Maîtresse, je vous assure, mais... »

Elle abaissa la minijupe, puis déboutonna sa veste, la faisant tomber au sol, et enleva ensuite son chandail, finissant en sous-vêtements. Pas de harnais, cette fois, mais elle avait aussi ôté son écharpe, permettant à Nanami de voir le délicieux collier, avec une boucle. Hikari tremblait sur place, les joues rougies, aussi bien par le froid qui faisait grelotter ses muscles que par une série de frissons qui l’amenaient à se tortiller nerveusement.

« J’ai repensé à... À cette soirée avec vous, Maîtresse, dans le lycée, à... À t-tout... »

Elle serrait nerveusement ses cuisses, et dégrafa rapidement son soutien-gorge, exhibant son corps généreux. Il y a encore quelques semaines, elle aurait eu de grandes difficultés à se dénuder ainsi, sans trop savoir qui pouvait la regarder, mais, en ce moment, elle était très excitée. Elle posa ensuite sa main sur sa culotte, et tira lentement dessus. Nanami put ainsi voir que l’intimité de la femme était parfaitement épilée, tandis qu’elle poursuivait :

« Je n’ai pas pu m’empêcher de me caresser en repensant à ça, Maîtresse... Vous me traitant comme une chienne, me forçant à forniquer en plein public, et même... »

Hikari se mordilla les lèvres, tout en caressant le pourtour de ses lèvres intimes avec le bout de ses doigts, avant de les y glisser lentement, soupirant profondément et se pinçant les lèvres.

« Quand vous... Quand vous m’avez forcé à... Hmmm... À u... U-Uriner, haaaaa... »

De la mouille s’échappait le long de ses doigts, glissant lentement, et elle poursuivit, le cœur battant lentement la chamade :

« Oui, Maîtresse, je... Je suis vilaine, hmmm... Et... C’est pour ça que... Haaaa... J’ai besoin de v-Vous, Maîtresse... Pitié, Maîtresse, venez soulager... Votre petite chienne... »

Elle gémit encore, longuement, joyeusement... Et très excitée.

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Centre-ville de Seikusu / Corruption & Tentation [Jeremiah Spencer]
« le: lundi 29 janvier 2018, 01:11:34 »
Depuis sa rencontre avec Nanami Seikyo*, la petite vie bien rangée d’Hikari avait bien changé. Avant ça, Hikari avait toujours été une femme assez isolée, refusant de se marier, se vouant à son métier, et ne sortant que très peu. Elle menait une vie bien tranquille qui lui avait toujours convenu, jusqu’à ce qu’elle réalise qu’elle pouvait avoir bien plus. Nanami était normalement censée être une simple élève, mais c’était aussi une dominatrice qui s’amusait à torturer Hikari à sa manière, en jouant sur sa frustration, étalant leurs relations dans la durée. Hikari ne l’avait pas vue depuis plusieurs jours, maintenant, et, ce soir, alors qu’elle rentrait chez elle, la tentation avait finalement été trop forte. La jeune femme se retenait depuis des jours, essayant de lutter contre les mauvaises pulsions que Nanami avait déclenché chez elle. Elle-même peinait encore à croire ce qu’elle avait été amenée à faire avec elle... Comme lui faire l’amour dans le hall du lycée, puis agir en chienne en urinant devant la porte de sa salle de cours...

*Mais qu’est-ce que je peux faire ? Je n’arrive pas à me retenir...*

Enfin, elle y arrivait, mais c’était comme une lutte perpétuelle. Plus le temps passait, et plus son corps semblait vouloir la faire souffrir. Elle rêvait de ça, de fantasmes avec Nanami particulièrement osés, et absolument inavouables. Pour elle, qui avait toujours été une femme bien rangée, se refusant de céder aux avances des autres, sans pour autant être considérée comme une sorte de bigote fanatique, ces sensations étaient assez éprouvantes. Comment y lutter efficacement ?

Pour l’aider, Nanami lui avait offert une culotte spéciale, une belle culotte en rose comprenant deux vibromasseurs, orientés vers l’intérieur. Et, ce soir, alors qu’elle comptait rentrer chez elle, Hikari observait ce jouet, l’esprit confus et partagé. Évidemment, sa première tentation avait été de rejeter cette culotte, et c’était d’ailleurs ce qu’elle avait initialement fait... Avant de venir la récupérer, en se rappelant la séance où Nanami lui avait fait traverser la moitié de la ville dans une tenue indécente, et où elle avait été furieusement excitée. Il y avait toute une facette de sa personnalité qu’Hikari ne reconnaissait pas, une personnalité qui l’effrayait et l’excitait en même temps.

*Mais je ne peux pas porter ça... Ou alors...*

La tentation fut finalement la plus forte. Hikari devait passer par le tramway pour aller chez elle, et, fort heureusement, à cette heure, il n’y avait pas grand-monde... Ce qui fit que personne ne devrait la remarquer. Avançant lentement, elle s’arrêtait parfois, se pinçant les lèvres, essayant de contrôler au mieux son corps... Pendant que les godes vibraient en elle, remuaient dans son corps, et lui prodiguant un plaisir aussi jouissif qu’horrible.

Tout ce qu’elle espérait, maintenant, c’est que personne ne la remarquerait...



* : Cf. RP « L’étrange soirée d’Harigato-senseï ».

25
Quand Hikari reçut la réponse de Nanami, son cœur manqua plusieurs battements. Elle relut même le SMS à plusieurs reprises, comme pour se persuader qu’elle ne rêvait pas, et s’arrêta un bref moment. Pourquoi ressentait-elle une telle joie ? N’était-elle pas en train de réaliser dans quelle voie glissante elle était en train de se glisser ? Oui, bien sûr, mais… Eh bien, elle ne pouvait rien faire contre ça. Elle sombrait, tout simplement. Hikari était comme à bord d’un navire, en train de foncer vers l’iceberg, et en sachant qu’elle ne pouvait pas tourner à temps pour éviter le choc. Nanami l’avait touché en plein cœur, avait brisé quelque chose en elle, une digue, et, maintenant, tout se relâchait. Elle ne pouvait pas lutter, tout simplement, et n’en avait d’ailleurs même pas envie. Elle se contenta donc de répondre rapidement qu’elle y serait, puis se leva, en se demandant si elle devait enfiler une tenue particulière.

Fébrile, Hikari se sentait inhabituellement excitée, un peu comme une adolescente sur le point d’aller en soirée, et qui venait d’apprendre que le beau garçon de la classe, celui avec qui elle avait envie d’offrir sa virginité, serait présent. Elle trépignait nerveusement sur place, relisant encore le SMS, se demandant ce qu’elle devait enfiler. Elle inspecta sa garde-robe « spéciale », celle qu’elle ne montrerait jamais à ses parents, mais finit par se dire que sa Maîtresse aurait sans doute quelque chose pour elle.

*Et puis, elle m’a déjà vu dans une tenue érotique… Si elle me voulait comme ça, elle me l’aurait dit, non ?*

En toute logique… Mais peut-être était-ce un piège ! Une manière de voir si la jeune professeur viendrait naturellement à elle en étant habillée comme une soumise ou non… Mais, après ce qu’elles avaient fait au lycée la dernière fois, le simple fait qu’elle la relance était suffisant, non ? Confuse, la jeune femme hésitait, se pinçant les lèvres, tout en voyant le temps défiler. Tenue spéciale ? Elle finit par opter pour une tenue normale, urbaine, en enfilant sa veste rose, et une minijupe noire, avec une seule surprise… À savoir un collier de soumise avec une boucle qu’elle se mit autour du cou. Ainsi vêtue, Hikari rehaussa ses lunettes, se pinça les lèvres. Elle avait mis un peu de gloss sur les lèvres. Très peu, suffisamment pour que ses lèvres brillent un peu.

*Bon, eh bien… En piste, ma grande !*

L’entrepôt en question se situait le long de la zone portuaire. Un endroit assez sinistre, accessible par une ligne de bus. Hikari sortit donc, sentant le vent frais de la nuit agiter ses cheveux. Elle attendit ensuite le bus, et grimpa. La jeune femme était plutôt seule dans le bus, qui en était à ses dernières heures. Fort heureusement, le Japon était un pays plus sûr que les États-Unis, Hikari pouvait encore sortir sans trop d’inquiétude, y compris au sein de la zone portuaire. Elle envoya un nouveau message à Nanami, lui annonçant qu’elle arrivait… Et termina en écrivant « Maîtresse ».

Maîtresse… Hikari gloussa un peu. Elle portait un foulard autour du cou, et, sous ce dernier, caressa délicatement la boucle de son collier. Elle avait encore du mal à se dire que tout cela était vrai, et à prendre cette histoire folle avec sérieux. Nanami l’avait quand même fait uriner contre la porte de sa salle de classe… Et Hikari en avait été aussi choquée qu’étrangement excitée.

*Il y a vraiment quelque chose qui cloche chez moi…*

Elle descendit de l’arrêt, toujours très excitée. Hikari avait pris la liberté d’enfiler des bottes en cuir avec des talons, le tout lui allant plutôt bien. Se rapprochant de l’entrepôt, elle déglutit, en se demandant quand même ce que Nanami avait en tête. Enfin, elle se l’était déjà demandée, mais, là, tandis qu’elle approchait, les doutes se mirent à croître. Elle croisa plusieurs individus, qui lui sourirent en lui faisant signe d’avancer. Hikari déglutit, rougissant légèrement. Nanami disposait d’un véritable petit gang sous ses ordres. Elle avait souvent tendance à l’oublier, même si elle avait pu voir ce gang à l’œuvre il y a quelques semaines, lors de sa traversée dans la ville.

Hikari entra donc dans l’entrepôt, et respira lentement, s’avançant vers le milieu de la pièce. Elle était là, portant de nouveau son uniforme scolaire, comme pour la narguer, elle qui avait l’habitude de défier le règlement du lycée en enfilant son survêtement blanc… Hikari se rapprocha lentement, se pinçant les lèvres, et, mue par un instinct subit, fléchit les genoux, s’agenouillant devant elle, et parla d’une voix faible, marquée par le doute, mais aussi par une pointe lancinante d’excitation :

« Bon… Bon-Bonsoir, Maîtresse… »

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Hikari connaissait les règles posées par Nanami :

  • C’était à Hikari de faire appel à Nanami dans un délai maximal de deux semaines après leur dernière rencontre ;
  • Si elle ne faisait rien au-delà de ce terme, alors leur relation très particulière serait terminée.



Plusieurs jours après cette rencontre, Hikari reprit son rôle normal de professeur. Elle avait proprement nettoyé le sol à l’aide du matériel de nettoyage rangé dans un placard de la salle de classe, et, au lendemain, rien ne permettait de voir ce qu’Hikari et Nanami avaient fait, comme une parenthèse dans leur existence. Hikari ne vint pas voir Nanami la première journée, ni la deuxième, ni la troisième... Et ce jusqu’à la fin de la semaine. Un changement assez impressionnant. Signifiait-il qu’elle avait réfléchi, et qu’elle avait estimé que sa relation avec Nanami était beaucoup trop dangereuse pour perdurer ?

Difficile à dire. Décrire ce qui se passait dans l’esprit d’Hikari n’était pas une chose aisée, mais les règles étaient faites ainsi, et, tant qu’Hikari ne relançait pas Nanami, celle-ci n’était pas supposée intervenir. C’est ainsi que la semaine se termina, Hikari remettant à ses élèves des copies suite à un devoir à faire à la maison, et mit de l’ordre dans ses affaires. Elle retourna ensuite chez elle. Habituellement, ses week-ends étaient plutôt studieux. Elle lisait des romans, regardait le soir des débats politiques, des émissions historiques. Très rarement, elle mettait un film pornographique. Elle pensait que tout allait bien, que sa séance avec Nanami avait permis d’exorciser de son esprit la redoutable élève.

Puis Hikari fit un rêve dans la nuit du Vendredi au Samedi. Un rêve étrange, qui la laissa pantoise, où elle se retrouve agenouillée dans la salle de classe, et se faisait bourrer par Nanami... Avec cette particularité qu’Hikari était déguisée en chienne, aboyait, avant d’uriner dans une gamelle, et de lécher dans cette dernière. Ce rêve la réveilla en sursaut, en sueur, et Hikari, plutôt que de se masturber, attrapa son vibromasseur (qu’elle avait pris depuis sa rencontre avec Nanami) et se masturba avec, jouissant en hurlant sur son lit.

La journée de Samedi fut très déstabilisante. Généralement, elle l’utilisait pour faire du sport le matin, et travailler l’après-midi. Mais, ce matin, tandis qu’elle faisait son footing dans le parc, Hikari ressentit le manque entre ses cuisses. Elle se rappelait encore de la fois où elle avait dû traverser une bonne partie de la ville avec deux godes en elle. Le manque la frappa de plein fouet, et elle mit précipitamment fin à son footing, se dépêchant de rentrer chez elle pour se masturber à nouveau.

« Nanami... Nanami... Maîtresse... !! »

Elle se mit à jouir une nouvelle fois, et commença à regarder son téléphone, espérant et redoutant recevoir un message de Nanami... Mais rien n’y faisait. L’impatience la dominait, la frustration aussi, et elle commença à corriger ses copies. La passion n’y était malheureusement pas, son esprit était ailleurs, son corps en proie à des pulsions irrésistibles. Elle déambula ensuite, essayant encore de chasser les pensées néfastes qui s’insinuaient en elle.

*Pourquoi est-ce qu’elle ne m’appelle pas ? Pourquoi est-ce que je veux qu’elle m’appelle ?!*

Hikari déglutit donc, et ferma les yeux, se reprochant sa bêtise, sa folie. Là, face à elle-même, elle comprenait pourquoi elle avait feint l’ignorance, pourquoi elle s’était montrée si calme envers Nanami. C’était le schéma classique de l’amoureux refusant de révéler ses sentiments, afin d’amener l’autre à agir le premier. Et là, maintenant qu’Hikari constatait l’échec de son stratagème, elle s’impatientait, tournoyant sur place.

Finalement, Hikari s’empara du téléphone, appela une fois, raccrocha au bout de quelques secondes, puis rappela encore. Elle tomba sur le répondeur, et soupira, avant de parler, yeux clos :

« Maîtresse... J’ai été une mauvaise esclave toute la semaine, qu’attendez-vous pour venir me punir ? »

Elle raccrocha ensuite, n’arrivant pas à croire qu’elle venait de faire ça.

Hikari avait goûté au fruit défendu, et voulait le sentir à nouveau contre elle...

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Ce qui se passait entre elles était... Indescriptible. Hikari avait sombré totalement, et pénétrait maintenant sa Maîtresse à même le sol, tout en gémissant et en la léchant. La langue pendante, elle revenait régulièrement embrasser et lécher le visage d’Hikari. Impossible de voir en elle une simple élève, elle était maintenant sa Maîtresse, sans aucun doute possible. Chaque fois qu’Hikari n’allait pas assez vite, ou semblait ralentir le rythme, Nanami tirait sur la laisse, ramenant ainsi le visage d’Hikari contre elle, chaque secousse étant comme un coup de fouet l’incitant à amplifier le rythme. Hikari la pénétrait donc, très excitée, heureuse, follement heureuse, sans pouvoir s’expliquer rationnellement l’origine de tout ce bonheur, qui déferlait en elle. Rien ne semblait devoir l’arrêter tandis qu’elle approchait de l’orgasme à toute allure.

« Haaaaaaaaaa... !! »

Hikari cessa d’aboyer pour hurler, serrant les dents, en sentant le plaisir croître, encore et encore, jusqu’à atteindre le point névralgique... Et sentit sa mouille affluer le long de la culotte. Elle se mit à jouir, et ferma les yeux, les joues rouges, crispant ses mains sur le carrelage. Tout son corps se détendit, parcouru d’immenses et joyeuses sensations de plaisir. Un relâchement total et absolu, une sorte de félicité et de plénitude qu’elle ne pensait pas pouvoir atteindre un jour. Mais... En vrai, ça faisait du bien !

Se reprenant peu à peu, Hikari avait la respiration haletante, et sentit ensuite Nanami la tirer avec la laisse. Elle aussi, elle ne verrait plus ce hall de la même manière, dorénavant. Impossible, en effet, de ne pas regarder l’endroit où elle s’était adonnée à la luxure sans crainte, sans hantise, mais, au contraire, avec un plaisir immense et envahissant. C’était vraiment très perturbant ! Hikari fut donc à nouveau traînée, jusqu’à retourner devant sa salle... Où Nanami lui proposa alors de « marquer son territoire ». Hikari écarquilla les yeux en comprenant ce que la femme voulait, la regardant avec effroi... Avant d’observer la porte, et de rougir.

Nanami lui avait ôté sa culotte-gode, faisant couler sur le sol sa mouille. La jeune prof’ se pinça les lèvres, silencieuse.

*Je n’arrive pas à y croire...*

Elle ferma les yeux lentement, avant de les rouvrir, et se redressa un peu, avant de plier et d’écarter les genoux. Elle posa sa main contre la porte, et se pinça les lèvres.

*Je ne vais pas le faire... Non, je ne vais pas le faire !*

C’est ce qu’une voix dans sa tête lui disait... Mais son corps réagit différemment.

Et elle se mit à uriner sur le sol, juste devant la porte, et sous les yeux de Nanami...

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Hikari était vraiment transformée en ce moment. Face à Nanami, elle n’en menait pas large, et s’était totalement écrasée devant elle. Elle se soumettait sans aucune résistance, et même en y ressentant un grand et immense plaisir. Toute excitée, elle avançait à quatre pattes vers Nanami, qui se coucha sous elle, allongée au milieu du hall, et demanda à ce que, non seulement Hikari la pénètre, mais aussi qu’elle... Qu’elle aboie ! Autrement dit, qu’elle se comporte comme une véritable chienne... Des propos infamants, qui firent confusément rougir Hikari, mais ne manquèrent également pas de l’exciter. C’était très pervers, bien sûr, mais, très étrangement, une telle proposition ne faisait que l’exciter. Au point où Hikari en était, elle n’était tout simplement plus en état de pouvoir lutter contre cette femme. Hikari déglutit donc lentement, et hocha la tête, avant d’approcher son vibromasseur des cuisses de son élève, de sa Maîtresse.

« Oh... W-Wouf... Wouf-wouf... !! »

Se comporter comme ça, là, en plein milieu du hall d’entrée, c’était vraiment dégradant, humiliant... Mais ça l’excitait aussi énormément. Qui aurait cru qu’elle puisse, un jour, se comporter ainsi ? Qu’avait-il bien pu arriver ? Même Hikari n’était pas en mesure de le comprendre. Quoi qu’il en soit, elle s’enfonça dans les cuisses de Nanami, et gémit lentement, en sentant le corps de la femme se coller au sien, et commença à remuer, de haut en bas, soupirant à nouveau, ses lèvres se mettant à trembler sur place.

« Hmmmm... !! »

Plutôt que d’embrasser Nanami, Hikari choisit de... La lécher. Sa langue partit à l’assaut de ses joues, glissant sur cette belle peau, remontant d’avant en arrière, filant sur le menton, et sur les lèvres. C’était comme si une force extérieure à Hikari contrôlait son corps, sans pour autant qu’elle ne puisse croire à une manipulation externe. C’était bien elle... Mais sans être elle ! Une situation véritablement atypique qui la mettait dans une position très particulière.

Se pinçant les lèvres, elle continuait à s’attaquer au corps de Nanami, tout en la pénétrant de plus en plus, s’enfonçant en elle, s’allongeant sur tout son corps, et continua à la lécher, et à aboyer.

« Wooouufff... !! Wooooouufffff... !! »

Il était effrayant de voir à quel point il était facile de s’abandonner au plaisir, et à des fantasmes osées et tordus... Et, le plus effrayant encore, c’était d’adorer ça !

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Hikari était littéralement transportée par sa Maîtresse. Plus aucune honte, plus aucune gêne. Elle savait que sa Maîtresse ne la trahirait pas, et qu’elle avait brisé quelque chose en elle, qu’elle avait fait s’envoler toutes les digues qui retenaient sa raison et l’inhibait. La jeune professeur se mit donc à marcher devant, à quatre pattes. La démarche était lente, et parfois mal assurée, car elle avait après tout une queue plantée dans les fesses, ce à quoi elle n’était pas habituée. Toutefois, plus elle marchait, et plus ce fut un autre sentiment qui vint à la dominer, un sentiment de profonde excitation qui la gagna, remontant progressivement dans ses tripes, et qui se témoigna, concrètement, pas sa mouille, qui s’égouttait de plus en plus, et par une chaleur furieuse qui croissait entre ses cuisses. Elle avait surtout chaud là, une douleur qui, progressivement, l’emportait sur celle qu’elle ressentait dans les fesses... Tout en s’accompagnant de multiples frissons, et d’un plaisir incroyable, qui la submergeait lentement, comme un ouragan.

Parfois, Nanami lui donnait des coups de laisse, et Hikari comprit qu’elle faisait les grands axes, une série de couloirs que la jeune femme empruntait tout le temps. Elle regardait autour d’elle, nerveuse, mais aussi de plus en plus excitée. Une excitation qui explosait petit à petit en elle, sans qu’elle ne puisse, ou même ne cherche, à la retenir. Son corps s’habituait à ce membre. Après tout, il ne fallait pas oublier qu’elle avait déjà marché d’un bout à l’autre de la ville avec Hikari, et son gang qui la suivait. Quand on avait fait ce baptême du feu, on savait qu’on pouvait tout à fait lui faire confiance.

« Haaa... O-Oui, Maîtresse... »

Hikari arrivait à en baver sur elle-même, peinant à retenir sa sueur, tout en continuant à avancer, lentement, laborieusement. Nanami la contrôlait, entre toutes ces émotions contradictoires, jusqu’à ce que le duo ne finisse par approcher le hall d’netrée. En sueur, Hikari avait la langue pendante, et entendit Nanami se déplacer, avant de lui donner des ordres. Reprenant son souffle, les genoux légèrement endoloris, elle ferma les yeux, puis entendit du bruit autour d’elle. Nanami se déplaça alors,et, quand elle enfonça un gode dans sa chatte, non seulement Hikari hurla... Mais jouit également.

« HAAAAA... !! »

Le gode de Nanami se retrouva rapidement inondé de sa mouille, ainsi que sa main, puis elle fixa ensuite sur cette culotte un autre gode. Les joues rouges, Hikari se pinçait les lèvres, de plus en plus excitée, de plus en plus impatiente... Puis, quand elle ouvrit les yeux, elle soupira en voyant sa Maîtresse se coucher devant elle.

« Maî-Maîtresse... »

Incapable de se relevr, et même de parler concrètement, tant ce qu’elle ressentait lui faisait tourner la tête, elle se rapprocha à quatre pattes. Elle avait vaguement conscience qu’elles allaient baiser au milieu du hall d’entrée, et que, d’ici quelques heures, ce halls erait rempli de gens, de lycéens, et aussi d’elle... Mais, en l’état, loin de la griser, cette donnée supplémentaire ne faisait que l’exciter davantage, et, tout en se rapprochant de Nanami, releva la tête, observant son sexe, puis elle, avant de déglutir.

« O-Oui, Maî-Maîtresse... Comme la bonne chienne que... Haaaa... Que je suis... »

Elle rougit encore, et incita Nanami à se coucher sur le sol, puis se dressa sur elle, près du mur, et la pénétra alors, en gémissant, et même en hurlant, tant elle était elle-même extrêmement excitée. Tout son corps tremblait sous l’effet des deux godes, et la « chienne » gémissait de plus en plus.

« Hmmmm... Maî-Maîtresse.. !! »

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« Oh, je mentirais en prétendant que Maki ne m’attire pas... Mais c’est vous ma Maîtresse. »

Elle préférait donc davantage Nanami à Maki, sans pour autant rejeter son amie. Hikari rougit encore, gênée de s’être déshabiller si rapidement, et de ne sentir aucun problème à l’idée de faire ça. Pourtant, elle savait que c’était indécent, que c’était pervers, et potentiellement illégal, et que ça lui vaudrait une exclusion définitive du corps enseignant... Mais elle n’arrivait pas à sentir de honte. Au contraire, être comme ça, nue, face à la perversion de son élève, l’excitait profondément. Elle était donc là, nue, attendant que sa Maîtresse vienne profiter de son corps, toujours aussi incapable d’avoir honte, ou de pouvoir refouler ses pulsions.

Nanami se rapprocha donc, et, quand Hikari sentit ses mains se poser sur ses fesses, plusieurs soupirs s’échappèrent de ses lèvres. Elle rougit en serrant ses doigts sur le rebord de la table. Hikari appliqua une sorte de liquide sur ses fesses, et, quand la professeur sentit ses doigts se glisser dans son fondement, elle gémit encore, rougissant furieusement.

« Maî-Maîtresse, haaa... Que... Que faites-vous, hmmm ? »

Elle n’aurait tout simplement jamais pu imaginer (ou, du moins, c’est ce qu’elle voulait se faire croire) qu’on puisse se glisser par ce trou-ci ! Mais les protestations d’Hikari furent bien vaines, car, après avoir joué avec ses doigts, Nanami sortit un plug anal avec une queue caudale. Hikari rougit encore, et ferma les yeux, avant de gémir en sentant cet objet se rapprocher de ses fesses... Elle se tortilla sur place, se dandinant, tout en sentant l’objet se nicher en elle, et gémit encore, poussant, cette fois, d’authentiques cris de plaisir, sa mouille commençant déjà à couler le long de ses cuisses.

« Maî-Maîtresse, haaa... »

Hikari se tortilla encore sur place, puis finit ensuite à quatre pattes, avec ce gode niché dans ses fesses, la faisant gémir et soupirer. C’était... C’était douloureux, mais aussi, parallèlement... Eh bien... Terriblement excitant ! Hikari respirait longuement, et vit alors sa Maîtresse se rapprocher, tenant dans une main un collier de chien, et, dans l’autre, une laisse, reliée à ce collier. La professeur rougit furieusement, et baissa la tête, serrant les mains sur le carrelage en comprenant ce que la jeune femme avait en tête.

« Un... Un tour... »

Elle se pinça les lèvres, avant de la regarder encore, et hocha la tête, de haut en bas.

« O-Oui, Maî-Maîtresse... Où... Où vous le souhaitez ! »

Comment refuser ça ? Hikari était, encore une fois, dépassée par son propre corps, et par ses propres pulsions, qui lui commandaient de suivre cette femme, et de sombrer encore davantage avec elle dans la luxure...

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