Les alentours de la ville / Re : L'étrange soirée d'Harigato-senseï [Nanami Seikyo]
« le: samedi 02 juin 2018, 01:57:39 »Réfléchir devenait de plus en plus difficile, mais Hikari comprenait ce que sa Maîtresse voulait. Sa main se tenait sur la poire, prête à appuyer, ou à arrêter... Mais était-ce un véritable choix ? Nanami avait vu Hikari enfiler des tenues osées sous sa tenue en faisant cours. Le sexe était une spirale sans fin dans laquelle Hikari ne cessait de glisser, sans pouvoir se raccrocher à quoi que ce soit. Elle ne pouvait plus revenir en arrière... Pas maintenant. Elle avait essayé pendant une semaine de penser à autre chose, mais, à chaque fois, ses pulsions venaient la trahir, sa personnalité profonde, comme une femme endormie pendant des années qui avait fini par revenir à la réalité.
Hikari observa donc la femme... Et finit par remuer la tête. Ses cheveux glissèrent, et, tout en plantant son regard dans celui de Nanami, elle souleva la tête, de haut en bas, et à plusieurs reprises. Oui, disait-elle. Oui, il n’y avait plus d’hésitations, plus de retour en arrière possible. Elle était entrée à Mishima, et, sans le savoir, les griffes du lycée s’étaient dressées autour d’elle, n’attendant plus qu’un geste, qu’un signe, pour s’abattre sur son corps. Elle n’avait pas pu lutter.
Alice sourit, et appuya à son tour sur la poire.
« Pourquoi lui soumettre ce choix, Maîtresse ? Pensiez-vous vraiment qu’Harigato-sensei fera marche arrière ? Après être venue dans cet entrepôt sinistre ?
- Hmmmm... »
Son ventre continua à se remplir, et, pendant plusieurs minutes, elle sentit l’eau venir, enflant dans son ventre, jusqu’à lui donner l’apparence d’une femme enceinte. Hikari était en sueur, mordillant son gag ball, et sentit alors les mains gantées d’Alice glisser sur son ventre.
« Si je veux que vous me punissiez, senseï, je vais devoir vous donner des raisons de le faire... »
Hikari sentit alors les tuyaux se retirer de son corps, puis Alice récupéra une cravache, et caressa ses fesses avec.
« Allez, senseï, recrachez tout dans le seau ! »
La femme gémit encore, et, comme pour l’encourager à faire cet acte humiliant, elle se reçut plusieurs coups sur les fesses. À chaque coup, Hikari gémissait, yeux clos, jusqu’à ce que... Dans un grand soupir, elle se relâcha finalement, et des larmes de plaisir coulèrent sur ses joues quand elle se mit à pisser frénétiquement, crachant des litres dans le seau. Alice tapa ensuite dans ses mains, comme pour la féliciter.
« Bravo, senseï ! Maintenant, vos parois internes sont toutes trempées ! »
Elle en fit la démonstration en fourrant un doigt dans le fondement d’Hikari, qui gémit encore. Alice se retourna ensuite vers sa Maîtresse, et, pendant qu’elle remuait ses doigts dans le cul d’Hikari, son autre main pinça ses tétons, ce qui lui permit de constater qu’ils étaient tendus, durs, trahissant le plaisir que leur propriétaire ressentait à l’idée d’être ainsi traitée :
« Quel gode vous voulez que je lui mette, Maîtresse ? » demanda ensuite la belle blonde, d’une voix faussement innocente...