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Vous nous quittez déjà ? / Re : Les voyages d'Ykoes dans le monde réel
« le: samedi 23 mars 2019, 13:53:55 »Bon courage à toi <3
Les alentours de la ville / Re : Stupre et homonymie [Cata]
« le: samedi 23 mars 2019, 13:51:38 »« Oh oui, souffle-t-elle au professeur, lascive, gémissant de plus belle sous la fessée. »
Alors que Ian semble modérer ses coups de reins, qu'il vient l'embrasser, la veuve frémit en sentant se poser sur sa croupe les mains de son époux selon l'hôtel. Elle ne peut pas empêcher ses muscles de réagir, se contractant et se détendant alternativement, mettant la patience et le contrôle du blond à rude épreuve. Elle l'embrassa avec joie, avec un appétit non dissimulé, poussant même l'audace jusqu'à aspirer sa langue comme si c'était un chibre. Le groom grogna contre ses lèvres, et elle laissa échapper un petit rire satisfait en le sentant tressaillir en elle. Petit rire vite suivi d'un gémissement lascif, alors qu'elle se cambrait un peu plus, s'offrant et s'ouvrant sous les attentions de son époux du jour. Elle obtempéra d'ailleurs bien facilement, suppliant d'une voix lascive que Jack vienne l'enculer. Elle lui souffla qu'elle était sa chienne, après tout, qu'elle ne méritait que ça. Qu'elle n'attendait que ça.
Ses ongles s'enfoncèrent malgré elle dans le torse de Ian, lorsque le brun lui offrit ce qu'elle attendait, qu'il la pourfendait de tout sa longueur, de son épaisseur si délectable. Un petit cri lui échappa. Un couinement, plutôt, vite suivi d'un soupir satisfait. Elle se retrouva presque à ronronner lorsqu'elle se sentit tirée en arrière, lorsque sa chevelure servit de prise à son amant.
Elle gémit à nouveau. La terrible Veuve Noire, dont l'identité restait inconnue du grand public, était comblée, malmenée divinement par deux hommes qui savait apprécier ses charmes. Son dos se frotta contre le torse du professeur, ses fesses se pressant contre son bas-ventre, alors que le groom reprenait ses assauts en tirant ainsi un petit cri de volupté à l'ancienne tueuse à gage.
« Oh... Oh oui ! Répondit-elle d'une voix hachée. C'est... Mh... Exactement ce que j'apprécie, mon amour. »
Ils semblaient la comprendre, sans un mot, et les assauts brutaux l'enivrèrent de plus belle. Elle se livre sans retenue, ses ongles griffant parfois le torse de Ian, ou venant s'agripper sans douceur à la nuque de Jack. Elle embrassait d'ailleurs ce dernier avec ferveur, sa langue joueuse et indécente cherchant la sienne, ses dents mordillant les lèvres avec désir, écrasant ses cris contre elles.
Coordonnés, leurs charges viriles se coordonnèrent, et tirèrent d'autres mélodies à la succube humaine qui ondulait entre eux. D'autres cris, étouffés, d'autres gémissements, d'autres suppliques. Plus fort, plus vite, Oh oui, encore ! Ses encouragements se mêlaient à des phrases crues, à des j'adore comment vous me baisez, et autres joyeusetés.
La chaleur, entre eux, est présente. Intense. Ardente. Catalina se montre aussi insatiable qu'une démone baignant dans le stupre. Elle donne l'impression de se nourrir de ces sensations étourdissantes, de ces offensives brutales livrées à coups de reins tout aussi brusques, exquis. Le groom s'est redressé légèrement, se soutenant d'une main, alors que l'autre s'accroche fermement la hanche de la veuve, meurtrissant sa peau brûlante. Parfois, sans perdre le rythme, il vient aspirer un téton, le mordillant, imprimant la marque de ses dents sur la chair pâle. Et la brune leur offre un cri plus puissant, plus rauque, enivrée par cette pointe de douleur qui ne fait que rendre le plaisir plus intense.
Haletante, la tueuse repentie sent son esprit se relâcher. Son corps tremble, autant sous l'agression furieuse des bassins mâles que sous l'ivresse qui possède son corps, son cœur. Elle griffe la nuque de Jack en se cambrant de plus belle, manquant peut-être d'étourdir Ian lorsque sa poitrine se dresse brusquement. Tout se corps se raidit par moments, jusqu'à ses muscles intimes qui emprisonnent le blond, jusqu'à son sphincter qui se resserre autour du brun. Des perles de sueur coulent délicatement sur sa peau échauffée, se mêlant à celles de ses amants, alors que son corps tremblant leur annonce l'imminence de l'extase qui la menace.
« Oh Jack... Mon chéri... Ian... Mh.. Je-Aah ! Articule-t-elle difficilement, incapable d'ordonner ses pensées de manière cohérente. »
Ce dernier gémissement se perds alors qu'elle tourne la tête, cherchant les lèvres du professeur pour les meurtrir de ses dents, pour les écraser contre les siennes. Elle se raidit, se contracte, brusquement. Son corps souple est agité de tressaillement révélateurs tandis qu'elle étouffe son cri, qu'elle maltraite la nuque du groom en le relevant vers elle. L'orgasme est foudroyant. Comme si elle n'en avait pas déjà eu, ce soir. Il pulvérise toute notion de réel, la laissant à la merci des affres du plaisir.
Archives publiques / Re : [Consultation populaire] Évolution du Staff + Données personnelles
« le: mercredi 13 mars 2019, 11:06:18 »Archives / Re : Nouvelle direction du forum
« le: mardi 12 mars 2019, 19:13:13 »Tu gagnes un bon point
Archives / Re : Nouvelle direction du forum
« le: mardi 12 mars 2019, 18:58:04 »Archives / Re : Nouvelle direction du forum
« le: mardi 12 mars 2019, 17:09:26 »Archives / Re : Nouvelle direction du forum
« le: dimanche 10 mars 2019, 00:22:38 »Prélude / Re : La solitude est bonne, et les hommes ne valent pas un regret — Molly (Validey)
« le: jeudi 07 mars 2019, 21:02:37 »Tout est bon pour moi, tu peux aller jouer. Amuses-toi bien !
Prélude / Re : THE ULTIMATE BARBARIAN ! (Validey)
« le: mercredi 06 mars 2019, 19:05:10 »... Oui, bon, d'accord. Eheheh.
Prélude / Re : THE ULTIMATE BARBARIAN ! (Cata)
« le: mercredi 06 mars 2019, 18:37:57 »Re-bienvenue donc. Et ça ira, pour la partie Physique, en lisant l'histoire on se rend bien compte de son apparence.
Tout est bon pour moi, du coup tu peux aller jouer ! Casses pas trop de mâchoires, cela dit. Jouer a deux c'est plus amusant
Les alentours de la ville / Re : Choc des civilisations [Kyst & Cata]
« le: dimanche 03 mars 2019, 13:34:47 »Haletante, engourdie, la brune observait le guerrier entre ses paupières mi-closes. Elle tressaillait parfois, ses muscles se serrant sans qu'elle ne le contrôle vraiment, laissant les derniers filets de plaisir se calmer doucement. Un sourire indolent étira ses lèvres alors qu'elle creusait un peu les reins quand elle le sentit se mouvoir en elle. Il semblait loin d'être rassasié, pour sa plus grande satisfaction. Elle aimait ses amants endurants. Pas tant au niveau de la durée du coït en soi, mais qu'ils soient capable de remettre le couverts assez rapidement. Plusieurs fois. Quelques gémissements lascifs quittèrent ses lèvres alors qu'elle se contractait à nouveau autour de lui.
« Mmmh, répliqua-t-elle simplement, aidant Kystrejfter à ramener ses jambes contre son buste en passant ses bras légèrement tremblants contre ses genoux. »
Elle bénit sa souplesse à cet instant, ne ressentant qu'un inconfort passager le temps que son corps se fasse à cette position. Un petit râle franchit la barrière de ses lèvres rougies alors que la veuve sentait le pirate se frotter contre elle. Elle approuva vivement ses paroles par un gémissement plus prononcé. Elle n'eut pas le temps d'ajouter quelque chose, cela dit, que son corps frémit en accueillant sans beaucoup de difficulté la nouvelle intrusion de Lamnard. Elle était encore alanguie par l'orgasme précédent, et ses muscles ne fournirent pas vraiment l'effort de se contracter pour l'empêcher d'entrer. De forcer sa chair tendre à s'adapter à sa taille.
« Oh oui, souffla la brune en resserrant sa prise à l'arrière de ses genoux. »
Elle pouvait le sentir s'imposer dans ses entrailles, et c'était délicieux. Elle se tortilla légèrement, en levant un regard gourmand vers le viking. Arquant un sourcil faussement provocateur, elle sourit.
« J'ose espérer que vous n'êtes pas de ceux qui se contente de deux-trois coups de reins pour conclure une sodomie, ronronna-t-elle crûment. Je serais très déçue, si vous ne traitiez pas cette conquête avec sérieux... »
L'expression sur son visage laissait comprendre qu'elle n'attendait pas autre chose qu'un nouveau déchaînement de passion. Pour renforcer ses paroles, elle prit une inspiration légèrement tremblante en contractant ses muscles autour de son invité. L'ancienne tueuse à gage ne voulait rien de moins qu'un nouvel échange fougueux et riche en sensations. Elle lui dédia d'ailleurs un clin d’œil mutin après cela.
Le Palais Infernal / Re : « I wanna do bad things to yo »
« le: jeudi 28 février 2019, 20:32:35 »Elle se cogna le dos en reculant brusquement. Outch, songea-t-elle en serrant les dents. Clignant plusieurs fois des yeux, espérant chasser les larmes et éclaircir sa vision, la veuve n'eut pas le temps de détailler la troupe autour d'elle qu'une grosse main attrapa sa crinière. Se retrouvant face à un monstre digne des mythes, elle ouvrit la bouche pour laisser un cri effrayé s'échapper.
Le son perçant fut bref, vite étouffé par une langue baveuse et énorme qui viola sa bouche et sa gorge. Le son, l'odeur, le goût et le toucher étaient abominables. Elle se tortillait pour échapper au minotaure, ignorant consciencieusement tout sursaut de désir que pourrait délivrer son corps traître. Sans grand succès, puisque la poigne du monstre était de fer. Quand il la relâcha, grognant quelques mots maladroits, la brune toussa et cracha comme pour se débarrasser de la sensation de cette langue fouillant sa gorge.
Elle n'avait pas prêté attention aux paroles de la bête. La gifle la surprit, et lui fit monter à nouveau les larmes aux yeux. Elle essayait de se soustraire à la vision terrifiante de la protubérance sous le pagne du minotaure, gémissant d'un ton plaintif. Mais ses manœuvres, loin d'attendrir son bourreau, n'eurent pour effet que de redoubler les rires gras, et cette atmosphère qui suintait la luxure.
Catalina était perdue, effrayée. Et excitée, même si elle ne voulait pas se l'avouer, serrant ses cuisses l'une contre l'autre en remontant ses genoux contre sa poitrine. La grosse main du monstre à tête de taureau revint s'agripper à ses cheveux emmêlés. En s'agitant pour s'y soustraire, elle ne réussit qu'à se faire mal. Le pagne tomba. Ses yeux s'écarquillèrent. La taille du sexe du minotaure était... Terrifiante.
« Non, no-, supplia-t-elle, avant de s'étouffer quand le gland massif franchit la barrière de ses lèvres en cognant durement contre ses dents. »
Le monstre émit un mugissement. Approbateur, sans doute. Et il donna un brusque coup de rein, forçant un peu plus son chibre entre les lèvres de la veuve. Elle retint la nausée qui la prenait, alors que sa gorge s'élargissait pour épouser la taille du gland qui s'y pressait, alors que les arômes de crasse et d'autres substances qu'elle préférait ne pas identifier saturaient ses papilles. Cessant de se battre pour se défaire de la poigne du démon, Catalina s'employa plutôt à discipliner sa respiration et les haut-le-coeur qui l'assaillait. Vomir n'était pas une idée judicieuse. Elle avait dans l'idée que les monstres la laisserait plutôt s'étouffer avec pour profiter de son corps.
Tout son corps tressaillit quand une main agrippa brutalement sa poitrine, déchirant le fin drapé qui l'habillait. Quand d'autres mains tirèrent ses hanches vers l'arrière, la mettant à quatre pattes sur le bois et la forçant à s'arc-bouter pour ne pas se faire étouffer par l'énorme sexe qui dilatait sa gorge à grands coups de reins brutaux. Elle ne pouvait rien faire pour lutter. Des larmes -autant de frustration que de terreur- noyait ses prunelles glacées. La veuve subissait. Elle ne pouvait voir l'espèce de démon-gorille, tout en poils et en muscles, qui se pressait contre sa croupe. Qui achevait de ruiner la fine étoffe qui couvrait son corps souple. Elle ne pouvait que subir, luttant contre la nausée et le plaisir insidieux qui se disputaient son être.
« Pute mouillée, gronda le primate dans son dos en appuyant fermement son mandrin contre la fleur effectivement humide de la brunette. »
Comme le minotaure retirait son sexe démesuré, tous purent entendre la veuve haleter. Et couiner lorsque le gorille força une fois de plus, l'empalant -l'écartelant- avec son membre massif. Et tous ricanèrent. Le minotaure rugit, alors qu'il abattait son chibre contre les joues rougies de Catalina, et qu'il s'employa à se masturber à gestes vifs en replongeant dans la gorge vulnérable de la brune pour s'y soulager d'un flot abondant de semence épaisse. Il ressorti ensuite, tandis que sa victime était en train de tousser après avoir été forcée d'avaler une grande quantité, et agita son sexe encore raide contre le nez de l'humaine pour finir de s'y vider.
« Pitié... Stop... Balbutia l'ancienne tueuse. »
Le primate donnait de vigoureux coups de reins. Elle ne put empêcher quelques gémissements échapper de sa gorge meurtrie. Elle ne voulait pas apprécier ce supplice, mais la compagnie de démons qui était là pourrait témoigner du contraire.
Les alentours de la ville / Re : Stupre et homonymie [Cata]
« le: lundi 25 février 2019, 22:47:07 »Elle suçait Ian avec application. Avec appétit et gourmandise. Les coups de reins de son époux, combinés à ceux du groom, la rendaient folle. Folle de plaisir, de désir. Follement indécente. Ses gémissements avaient beau s'étouffer contre la chair mâle entre ses lèvres, on ne pouvait mal interpréter leur signification. Profitant d'un instant où le chibre vigoureux de Ian se retirait, l'ancienne tueuse à gage approuva vivement les paroles de Jack, se frottant avec toujours autant d'indécence et de désir contre lui.
« Oh oui, j'adore quand on me maltraite. Verbalement et physiquement, ronronne-t-elle en plongeant ses prunelles dans celles du jeune homme, la tête légèrement rejetée en arrière et sa joue caressant celle de Jack. Je suis une vilaine petite salope, continua-t-elle d'une voix volontairement basse et aguicheuse, une très vilaine chienne qu'il faut dresser. »
Vilaine et aguicheuse. Gourmande aussi. Goulue, pourrait-on même ajouter en observant avec quelle dextérité sa gorge s'adaptait pour pouvoir accepter l'intégralité du sexe épais qui la déformait, en constatant l'ardeur qu'elle mettait à flatter les bourses pleines du blond. Catalina ne savait où donner de la tête. Ses deux amants étaient aussi féroces l'un que l'autre. Aussi bestiaux et délicieux. Et c'était tellement bon ! Elle avait certainement les yeux larmoyants, alors qu'elle prenait de brèves inspirations par le nez, occupée à honorer de sa langue la peau veinée de la hampe qui maltraitait sa gorge. On pourrait aussi penser qu'elle puisse avoir mal aux reins, avec la vigueur que mettait Jack à l'ouvrage. Mais non. Elle n'avait pas mal. Elle n'était que plaisir, félicité et lasciveté.
La jouissance -torride- la prit par surprise, alors qu'elle avalait celle du groom autant qu'elle pouvait, alors qu'entre ses cuisses débordait celle de son époux temporaire. La brunette s'arqua contre le professeur d'anglais qui la maintenait fermement contre lui, tremblante, frémissante. Ses lèvres relâchèrent l'étreinte ferme qu'elles imposaient autour du sexe de Ian. Déglutissant avec difficulté, ayant absorbé une grosse part du sperme qui venait d'y être relâché, la veuve put à nouveau vocaliser. Le timbre était presque cassé, alors que le cri jaillissait. Un oui, qui venait du fond du cœur. Du fond de son être. Ses gémissements lui parvenaient assourdis, comme si ses tympans ne parvenaient plus à saisir les sons qui l'entouraient.
Les yeux fermés, le souffle court, la femme d'affaire et de plaisir sourit en redescendant sur terre. Maculée de sperme de sueur et de cyprine, elle ne ressent pourtant pas le besoin de s'essuyer. La chaleur de la pièce, du corps de Jack derrière elle, est agréable pour son être engourdi après l'orgasme. Elle sourit en entendant le groom. Ouvrant doucement les yeux, elle le fixe avec une étincelle lubrique au fond de ses prunelles.
Elle ne répond pas. Pas tout de suite. Elle profite un instant encore de ce bien-être dans lequel la plonge l'orgasme, de cette sensation de flottement alors qu'elle reste dans l'étreinte du professeur d'anglais. Puis un sourire plein de malice étire lentement ses lippes tandis que la fumée de la cigarette flotte dans l'air. Levant une main, elle essuie délicatement le foutre qui orne son visage, venant sucer ensuite la pulpe de ses doigts avec une expression de contentement. Elle penche la tête en arrière, déposant un baiser sur la mâchoire de Jack, puis se libère doucement de son bras, sans oublier d'appuyer légèrement -malicieusement- sa croupe contre l'entrejambe virile.
Elle s'approche de Ian à quatre pattes, féline, joueuse. Lascive. Ses reins ondulent à sa démarche langoureuse, comme pour narguer son cher et tendre. La veuve réussit à avoir l'air à la fois obscène et glamour. Focalisée sur le groom, elle vient donner un coup de langue sur toute la longueur du chibre luisant. Comme un réflexe, il se tend sous la pointe mutine qui suit une veine jusqu'à remonter chatouiller la corolle du gland. Qu'elle délaisse ensuite pour tracer un chemin entre les abdominaux dessinés, puis les pectoraux saillants, pendant que sa poitrine s'écrase contre le blond, qu'elle se frotte contre son sexe qui reprend assez vite de la vigueur. Venant mordiller la lèvre inférieur de l'homme, la brune laisse un petit gémissement satisfait quitter sa gorge.
« Ce que je veux, mmh ? Ronronne-t-elle contre ses lèvres. Ce que je veux, c'est du plaisir. Encore et encore. Toujours plus. Plus loin, plus fort. »
Elle ponctue sa phrase d'un coup de langue contre la peau fine du cou du groom, s'avançant sur lui jusqu'à le chevaucher, enserrant sa taille entre ses cuisses poisseuses. Son intimité, déjà gorgée de nectar, frotte la queue qui se dresse de nouveau. Un petit gémissement s'échappe de sa gorge avant qu'elle ne susurre quelques mots.
« Je veux te sentir me baiser a fond, mon grand. Que tu ne prenne pas plus de gants que mon cher époux, pendant qu'il s'emploiera à me faire me sentir comblée, glousse-t-elle en lançant une œillade équivoque à l'intention de Jack, remuant sa croupe en une invitation claire. »
Reportant son attention sur le blond, elle manœuvre agilement pour capturer son sexe entre ses lèvres intimes. Elle ne fait pas preuve de délicatesse en joignant leurs bassins, et entame quelques mouvements avec un râle satisfait, laissant le jeune homme se remettre de ses émotions. Elle ne tarde pas à sentir ses mains enserrer sa taille. Tout aussi surpris -choqué peut-être ?- et aussi captivé qu'il soit, il rends coups de reins pour coups de reins, s'employant à vigoureusement remplir l'antre chaleureuse de sa présence, à soutirer à la veuve noire de délicieux gémissements.
Tournant la tête à nouveau, ses mains agrippant le tapis sous le corps du groom, Catalina adresse un regard brûlant à son mari improvisé.
« Il reste une place rien que pour toi, mon amour, quand tu aur-Aah ! Mh... Finis ta cigarette..., chantonne-t-elle entre deux gémissements licencieux. »
Le Palais Infernal / « I wanna do bad things to yo »
« le: lundi 25 février 2019, 20:03:53 »Quand elle n'était pas réquisitionnée pour satisfaire le Maître, elle devait servir, comme les autres. Dans ces moments-là, quand les phéromones démoniaques -elle ne voyait pas comment appeler ça autrement- ne lui embrumaient pas le corps, l'âme et l'esprit, l'ancienne tueuse à gage effectuait un repérage. C'était assez humiliant de devoir servir les démons au Palais, mais c'était plutôt utile, au final. Elle avait remarqué un endroit particulier d'où les démons semblaient sortir. Un portail ? Elle ne savait pas. Mais ça servait de base à son plan d'évasion. Elle profitait de ses passages aux cuisines pour subtiliser des plantes, des ustensiles. Elle avait remarqué que certaines herbes déplaisaient particulièrement à certaines espèces démoniaques.
Combien de temps la brunette fit semblant d'être servile ? Elle l'ignorait. Elle n'avait aucun moyen de se repérer. Mais, enfin, ce fut prêt. Il n'y avait plus qu'à attendre une occasion. Et encore, celle-ci se présenta plutôt rapidement.
Une succube entra dans sa cellule alors qu'elle venait de se baigner. Il lui fallait se préparer pour le Maître. Très bien. Dissimulant un sourire, Catalina baissa la tête et se dirigea vers ses affaires. La succube l'intercepta cependant, lui tendant une toge translucide. Soit. Elle l'enfila, baissant le regard pour ne pas que l'étincelle d'espoir au fond de ses prunelles ne soit visible. Puis direction la coiffeuse, pour se maquiller. Pendant que la démone cherchait un parfum particulier, la brunette glissa une main sous la table, récupérant deux capsules du bout des doigts. Elle en avala une après avoir jeté un discret coup d’œil, et ouvrit l'autre pour laisser la fine poudre de plantes broyées se déposer sur un tube de rouge à lèvre. Antidote et poison. Encore une fois, alors qu'elle l'appliquait consciencieusement, elle réprima un rictus satisfait. Puis, avec une moue sensuelle, elle tourna la tête vers la succube.
« Comme ceci ? Demanda-t-elle, comme pour quêter l'approbation de sa compagne. »
Sa geôlière plutôt. Mais sa petite moue eu l'effet escompté. La succube ne digérait pas de ne pas pouvoir goûter à la délicieuse humaine qu'elle était. Ordres du Maître ou pas. Jouant dessus, la veuve entreprit d'allumer sans subtilité la démone. Qui, après un regard vers la porte close, se pencha vers elle.
« Pas un mot au Maître, petite pute. Et viens par là, laisse-moi goûter à ces lèvres de salope... »
Comme Catalina l'escomptait, la succube tomba dans le panneau. Elle y sauta même à pieds joints, alors que le rouge à lèvre empoisonné laissait sa marque sur ses lèvres. Que les substances toxiques imprégnaient l'être maléfique. Quelques secondes après, la démone reculait, chancelante, alors que chacun de ses muscles se raidissait. Bientôt incapable d'esquisser un mouvement, échouée sur le sol, la succube lança un regard mauvais à l'esclave humaine.
« Mes meilleurs vœux au Maître, lança la brune d'un ton narquois, avant de quitter silencieusement la pièce. Le collier serré autour de son cou, comme si elle n'était qu'une vulgaire chienne, la démangeait. Mais elle l'enlèverait plus tard. Pour l'instant, elle louvoyait dans les couloirs, retrouvant tant bien que mal la possible issue localisée.
Juste au moment où ses yeux accrochèrent la sortie présumée, un cri survint derrière elle. Merde. Elle était repérée. Au diable la discrétion, la veuve entreprit de courir vers ce qu'elle supposait être un portail, le cœur battant la chamade à l'idée d'être libre.
Quelque chose frappa son crâne, alors qu'elle n'était plus qu'à quelques dizaines de centimètres de sa délivrance. Douleur. Grimace. Puis ce fut le noir.
Combien de temps l'ancienne tueuse à gage resta inconsciente ? Elle ne savait pas. Mais, en se réveillant, elle avait toujours mal au crâne. Elle voulut bouger, et un tintement métallique ainsi qu'une pression sur son cou l'informa qu'elle était à nouveau attachée comme une vulgaire chienne, par une laisse accrochée au collier à son cou. La peur la submergea alors. Le souvenir de l'issue devant elle, puis du choc contre sa tête, lui revint. Elle désespéra. Elle avait été si proche !