Prélude / Divine Karlberg, Favorite de la Maison Karlberg [Valicidée !]
« le: samedi 05 août 2017, 05:40:04 »De par leur expertise et histoire, les Karlbergs, plus que simplement exceller à leur art, ont établi une tradition intangible parmi leurs esclaves, ce qui, plus commercialement, fidélise aussi leur clientèle qui a tout intérêt à préserver l’ordre inculqué depuis la naissance à leurs propriétés, et donc ne les acheter qu’à cette seule famille, excepté pour les esclaves les plus « bas » dont la formation est assez peu importante et qu’il ne vaut notoirement mieux pas acheter aux Karlbergs de par leur propension pour les servantes de luxe. Comme son nom l’indique, cette journée est dédiée aux favorites, une classe particulière d’esclaves au sein de leur hiérarchie très précise.
Nominalement, une favorite est l’esclave préférée de son propriétaire ; Initialement un état de fait, les maîtres et maîtresses choisissant simplement parmi leurs esclaves celle qu’ils préféraient, la tradition a été exploitée par la maison Karlberg qui se mit à fournir directement des servantes sélectionnées pour leur qualité et élevées dans des standards plus stricts, en faisant des favorites par excellence, supérieures à leurs « collègues » plus économiques en pour ainsi dire tout point.
Avec le temps, les favorites sont devenues une classe à part entière d’esclaves, n’ayant aucune responsabilité comme le ménage ou les travaux les plus physiques, devenant plutôt les servantes personnelles de leur maître dans des tâches plus raffinées comme le service du repas, le bain, le massage, et autres services. Bien évidemment, renier la dimension sexuelle des favorites serait un oubli, puisqu’elles sont par définition les esclaves les plus proches de leur propriétaires en plus d’être sélectionnées pour leur beauté et formées aux arts érotiques.
Pour autant, la position des favorites vis-à-vis des autres esclaves est plus complexe que leur proximité avec leur maître ou maîtresse pourrait laisser entendre. Dans cette hiérarchie établie par la maison Karlberg, les favorites sont en réalité très désavantagées, n’ayant autorité sur ni ne pouvant exiger le respect d’aucune autre esclave ; Cela maintient leur nature soumise et travailleuse, devant gagner les faveurs de leur propriétaire si elles veulent être protégées de leurs pairs. En effet, la tension entre les esclaves les plus « bas » et les favorites est palpable, car là où les premiers endurent la cruauté de leurs maître(sse)s tout en luttant pour garder leurs maigres droits, les secondes jouissent de privilèges et de l’attention de leur propriétaire. En particulier, la maison Karlberg préconise de ne pas libérer sexuellement les esclaves les plus bas, et de, pour punir une favorite d’un manquement, ou simplement par plaisir, l’offrir à ses pairs qui se feront une joie de la condamner à une orgie qui ne donnera que peu d’égard à sa personne - même si blesser la favorite à proprement parler serait sévèrement puni, de par sa valeur immense.
Mais, pour retourner au présent, nous approchons de la dernière enchère de la journée, ce qui signifie que la pièce maîtresse des favorites de cette année va être vendue. La technique, assez commerciale en son cœur, force ainsi quiconque prétendant à ce bijou de la maison Karlberg à faire l’impasse sur les esclaves précédentes, forçant les clients à jouer à « quitte ou double » sur l’enchère finale, sans quoi ce sera les mains vides qu’ils repartiront. Cependant, cette année, il y a une dimension théâtrale à ce clou du spectacle, car la favorite en question sera la dernière élevée par le maître actuel de la maison Karlberg, celui-ci prétendant que la jeune fille est exceptionnelle parce qu’il n’a ménagé aucun effort dans cette entreprise finale, même si beaucoup murmurent qu’il aurait attendu une favorite particulièrement prodigieuse pour nommer son successeur, voulant s’assurer un départ glorieux.
Quoi qu’il en soit, Divine, dont le nom est tout sauf une coïncidence en plus d’être sa seule qualité qui ait été révélé aux enchérisseurs potentiels, même les plus anciens clients, est sur le point d’être dévoilée. Le maître de cérémonie, ne cachant pas son plaisir, l’annonce :
Alors que Divine s’avance, tous les regards se braquent sur l’intérieur de ses cuisses, pas encore pour y discerner le modèle spécial de ceinture de chasteté, conçu spécifiquement par la famille Karlberg, qui garantie sa virginité ; Il n’y a aucun doute dans l’esprit des visiteurs que la favorite est encore chaste, non seulement à cause de la réputation de la maison Karlberg, qu’elle ne compromettrait à aucun prix, mais surtout à cause de sa valeur immense ; Il ne serait tout simplement pas raisonnable pour ses éleveurs de tricher aussi bêtement. Cependant, c’est bien dans l’espoir d’apercevoir l’intimité de Divine que les regards tentent de traverse une autre partie de sa tenue.
En effet, retenue par la partie de la ceinture de chasteté qui enserre sa taille, qui fait aussi office de corset et donne - en plus d’un strict régime d’exercice - aux favorites une silhouette traditionnellement jugée comme très désirable et que Divine exemplifie à la perfection, même si les soupçons que de la magie y ait quelque chose à voir pèse de par sa grande valeur, une jupe de soie blanche finement travaillée voile le creux de ses cuisses ; Cependant, le tissu varie en pudeur, étant bien plus court à l’avant qu’à l’arrière, ne cachant que l’essentiel de face. Il est important que le tissu soit d’une longueur très exactement calculée de manière à ce que lorsque la favorite fasse sa révérence, elle ait assez de tissu pour convenablement écarter les bras, tout en gardant le vêtement assez court pour que, ce faisant, elle révèle sa ceinture de chasteté - en même temps que laisse, incidentement, apparaître son intimité, un point d’orgue de la cérémonie de présentation. C’est d’ailleurs le mouvement suivant dans la « représentation », et celui que tout le monde attend avec impatience, même si le maître des enchères s’assure de l’annoncer, de manière à ce que tous soient prêts à jeter leur regard.
Sans plus attendre, cependant, Divine pince délicatement la soie de sa jupe et, d’un geste mille fois répété, fait sa révérence. Malgré l’immense gouffre de rang qu’il existe entre la favorite et les clients qu’elle honore, elle ne s’abaisse - exceptionnellement - qu’assez peu pour que la vue sur son intimité soit parfaite. La fente de la ceinture de chasteté est évidement fine, bien que possédant une ouverture plus grande au niveau du clitoris pour laisser les clients l’apercevoir en même temps qu’empêcher que l’angle plongeant ne cache trop ; Certains utilisent des jumelles miniatures pour mieux apercevoir la perle de plaisir ainsi que la couleur de forme du sexe de la favorite. En l’occurrence, l’intimité de Divine est d’une discrète finesse, l’ouverture de la ceinture permettant malgré son étroitesse de distinguer sa peau d’un blanc quasi immaculé apposée avec le rose clair chatoyant de son sexe ; Comme les clients étaient en droit de s’attendre, cela indique une étroitesse toute particulière qui saura combler tout possesseur d’un pénis - la magie étant répandue dans les cercles fréquentés par la famille Karlberg, cela est loin d’exclure les clientes femme.
Elle maintient la position pour de très longues secondes, s’assurant qu’aucun acheteur potentiel ne manque le spectacle ; Pendant ce temps, plus long que nécessaire, certains pourront noter d’autres bijoux portés par Divine. Le plus évident, ainsi baissée, puisque couronnant sa chevelure dont la couleur rappelle celle du métal précieux et qui lui tombent quasi exactement jusqu’aux seins, un laurier d’or, pour signifier qu’elle a reçu tous les honneurs de la maison Karlberg après les 22 années passée en son sein, un fait assez exceptionnel mais pas non plus sans précédent. Il est à noter que le privilège associé à cette ultime distinction est le seul qui s’étende au delà de la maison Karlberg, en vérité, un double privilège. D’abord, la favorite se voit formellement donner le nom de Karlberg ( Par opposition aux autres esclaves qui n’ont tout simplement pas de nom de famille ), en plus d’une faveur que l’esclave méritante est en droit d’exiger de son propriétaire. Même si techniquement, des abus seraient possibles, ce n’est tout simplement pas la manière dont sont élevées les favorites - encore moins celles méritant cette récompense - qui, par essence, sont fières et honorées de servir leur maître ou maîtresse, et le font avec une fidélité et une affection sincère. Parce que cela reste un point négatif de la vente d’une favorite, qu’elle soit en droit d’exiger quelque chose de son acheteur, le maître de cérémonie s’assure de le mentionner alors que la plupart sont encore distraits par l’entrée et la révérence de Divine ainsi que les diverses discussions qui ont déjà lieu à son sujet.
Pour que vous l’achetiez en toute connaissance de cause, sa requête formelle est qu’elle soit autorisée à partager le lit ainsi que le bain de sa ou son propriétaire. Adorable, n’est-ce pas ? »
Après de long instants, la favorite se redresse et reprend sa position droite et fière, aidée par un collier de posture fait d’or, la distinguant, comme toutes les autres favorites, des autres rangs qui eux en possèdent des faits de métaux bien moins précieux. Cependant, justement à cause de leur place particulière et du fait que tous les autres esclaves portent le collier pour les distinguer, il est à la discrétion du propriétaire de changer cela, surtout si la favorite est particulièrement appréciée, avec par exemple un collier de soie voire aucun collier du tout, augmentant son confort tout en signifiant une certaine confiance, un collier de tissu ne supportant la laisse qu’avec une grande coopération de l’esclave, et l’absence de collier empêchant son usage.
Le maître de cérémonie n’a pas à expliquer le sens de chaque objet car la plupart ont déjà été vu aujourd’hui, même si pas tous sur la même favorite, et sont de toute façon décrits dans un dépliant, mais la valeur de Divine est telle que des mages des quatre coins du monde ont été convoqués pour l’enchanter de diverses manières, un procédé rare pour une favorite, surtout dans de telles proportions, le joyau de la famille Karlberg ayant été ensorcelé de plus d’une demi-douzaine de manières.
Bien entendu, le procédé peut être temporaire, jusqu’au prochain tracé du symbole dans son dos, ou permanent si telle est votre volonté. J’anticipe déjà votre question, et non, elle ne possède pas de testicules, mais est belle et bien capable d’éjaculer, usant du lait mielleux et aphrodisiaque que, autre ensorcellement, ses seins produisent en permanence et en grande quantité ; Il convient cependant de prévenir qu’il faut alors la purger tous les quelques jours de son lait excédentaire, sans quoi elle se plaindra de douleurs, même si j’imagine que, d’une manière ou d’une autre, vous saurez trouver votre plaisir dans ce « dilemme ». »
En effet, juste sous ses seins, tant et si bien qu’elle est à moitié cachée par les globes charnels de Divine, une fine ceinture de métal dorée, signalant très simplement qu’elle a été jugée prête à être vendue. Accroché à cet accessoire, deux étroits ruban de tissu blanc - en réalité très légèrement transparents de par leur finesse - qui partent chacun de sous un sein pour se rejoindre derrière le cou de la favorite en un simple mais élégant nœud papillon. La ceinture est forgée aux mensurations très exactes de sa porteuse de manière à ce que les rubans, dont la longueur est elle aussi très précisément calculée, même si le nœud permet quelques ajustements, épousent à la perfection la forme de la poitrine, allant jusqu’à décrire la courbe du téton et laisser en deviner la couleur rosée.
Cependant, la cérémonie est une tradition qui ne change que très lentement, et il faudra certainement de nombreuses années pour que la transparence assez récente des rubans « cachant » la poitrine, elle-même augmentant avec le temps qui passe, ne finisse par atténuer l’importance donnée à la révélation de la poitrine.
Rougissant légèrement, Divine ne peut s’empêcher d’inspirer brusquement lorsque la main gantée du maître de cérémonie vient empoigner un de ses seins, lui valant un bref regard de réprimande.
Tout d’abord, un « rouge » à lèvres poudré d’or signale que la favorite est particulièrement douée pour le sexe orale, quel que soit le sexe de la personne plu par Divine. La couleur couché de soleil de ses lèvres contraste alors avec le teint très clair et quasi immaculé de sa peau, un trait souvent jugé désirable mais aussi pratique ; En effet, les favorites portant en permanence de nombreux ornements sur des parties visibles du corps - en particulier pour des esclaves, souvent plus dénudées que la moyenne - et les exposer au soleil laisserait des marques de bronzage.
En plus de cela, chacun de ses avant-bras est adorné d’un serpent d’or s’enroulant autour de lui, symbolisant la maîtrise, avec chaque main, des gestes sexuels « tactiles ». Il est à noté que chacun de ces gestes a été pratiqué très longuement, pour le plaisir des deux sexes, mais uniquement sur des mannequins, la virginité des favorites étant complète, jusqu’à même le simple fait de toucher une zone érogène ne lui appartenant pas - en vérité, à part ses seins que Divine vide tous les quelques jours elle-même, elle ne s’est évidemment jamais masturbée, se réservant pour son propriétaire, un fait que le maître de cérémonie ne manqua pas de mentionner aux potentiels acheteurs curieux d’à quel point sa chasteté avait été conservée.
Divine porte aussi un anneau à l’annulaire de chaque main, celui de gauche signifiant une maîtrise de l‘art délicat du massage - non sexuel, bien que possiblement érotique - alors que celui de droite dénote un talent artistique particulier ; Dans le cas de la favorite présente, c’est jouer de la harpe qui lui a fait mériter ce bijou. À noter qu’elle l’a par la suite aussi mérité pour le chant - dans « seulement » deux des quatre langues qu’elle parle, l’allemand et l’anglais étant ses pêchés - ainsi que le piano mais que la marque honorifique ne s’obtient qu’une fois. Chaque bague sert d’ancre à un gant de soie blanche remontant d’abord le dos de sa main puis entourant l’entière du bras jusqu’aux anneaux trônant sur ses biceps, passant évidement sous ses bracelets pour les garder en évidence.
À mi-cuisses, deux boucles d’or, la première, la gauche, signifie l’apprentissage des positions sexuelles mêmes les plus avancées, quant à la droite, elle dénote la souplesse nécessaire à l’exécution des plus « extravagantes ». Retenus par ces bijoux, des bas blancs satinés.
Un autre enchantement, que le propriétaire pourra ajuster à volonté via une formule écrite sur le bijou à sa cuisse droite, rend Divine plus ou moins fortement addict au plaisir sexuel. J’ai oublié de le préciser, mais le symbole à tracer dans son dos pour faire apparaître son membre masculin se trouve au dos de son collier ; Encore une fois, je vous demande cependant de ne pas la toucher. »
Après près de vingt minutes d’inspection par les divers acheteurs qui se relaient autour de Divine, les enchères peuvent commencer, même si le maître de cérémonie a une dernière précision à ajouter ; Une nuance sans grande conséquence, mais qu’il précise dans l’esprit d’honnêteté entretenu par la maison Karlberg :