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Messages - Divine Karlberg

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Centre-ville de Seikusu / Re : La Divine Esclave [Divine Karlberg]
« le: lundi 09 octobre 2017, 16:59:24 »
« Boire tout mon foutre ? Et même plus ? Tu sais... Après avoir joui, il m’arrive d’uriner, petite catin... »

Divine eut à peine le temps de réellement comprendre l’implication de sa maîtresse que celle-ci fit s’abattre son fouet sur elle, dans son dos, cette fois, voulant sans doute varier les plaisirs, et aussi préserver le corps de sa favorite qui, bien qu’elle acceptait sa punition sans même une seule protestation, en tout cas pas plus que ce que ses cris réflexes impliquaient, n’en restait pas moins frêle et délicate, bien moins habituée et endurante face à ce genre de châtiment corporel que les esclaves plus classiques et bas qui en recevaient au mieux hebdomadairement, au pire quotidiennement. En vérité, c’était même une des seules rencontres de la jeune femme avec le fouet, du moins, rencontre personnelle, plus qu’habituée au son et à la vue de l’instrument puisqu’ayant passé près de vingt ans dans une maison d’esclavagistes.

La première pensée qui traversa alors la tête de Divine fut d’obéir à l’ordre qu’elle avait reçu, celle-ci se mêlant avec ce qu’elle avait présentement à l’esprit pour donner, après un gémissement évident vu la punition qu’elle recevait :

« Je vous adore, vous vénère, Maîtresse, et quoi que vous vouliez que je fasse, je le ferai avec plaisir, même si cela veut dire vous laisser pisser sur ou en moi, que ce soit sur mon dos, mes seins, mon visage, ou dans ma bouche, ma chatte, mon cul... »

Elle n’avait pas oublié d’être aussi vulgaire qu’elle le pouvait, même si l’on devinait encore les formules pompeuses que les Karlbergs lui avaient appris à utiliser chaque fois qu’elle ouvrait les lèvres, du moins, quand il s’agissait d’élever sa voix, et encore, pour autre chose que des cris - au final, parler n’était vraiment pas si important pour une favorite, même si, comme pour tout, elles y étaient formées à l’excellence. Malgré ces promesses évidemment faites pour agrémenter les propriétaires plus qu’autre chose, Divine ne mentait à aucun moment, voulant dire très précisément chaque mot qu’elle avait prononcé, confirmant d’ailleurs cette volonté sincère lorsque le fouet s’abattit à nouveau sur sa peau délicate, des larmes commençant à monter à ses beaux yeux, mais n’entamant en rien ses efforts :

« Si seulement cela vous apporte un peu de consolation, la moindre bribe de plaisir, je vous en supplie, couvrez moi, remplissez moi de votre pisse ; Je vous implore de me permettre de me faire pardonner, et aucun prix ne sera trop élevé pour rattraper mon pêché, car il a été de vous déplaire. »

N’osant prétendre que ses mots avaient ce pouvoir, la favorite ne put cependant s’empêcher de noter que Madelyne avait lâché son fouet pour venir la caresser, même si elle se faisait espiègle voire douloureuse dans celles-ci, sans doute pour ne pas donner de fausses idées à sa chienne.

« Je le suis, Maîtresse, votre chienne, et vous avez mille fois raison de me punir pour ne pas m’être comportée comme la favorite que je me dois d’être pour vous. »

Elle admit, la moitié de son visage enfoui dans les draps, tentant de cacher sa honte, même si elle présentait toujours une joue empourprée et un œil enamouré à la Goblin Queen, celui-ci s’écarquillant en entendant les promesses lascives de sa propriétaire pendant que ses lèvres, commençant à perdre de leur vive couleur dorée, la disséminant tantôt sur Madelyne, tantôt sur son lit, étaient nerveusement mordillée par ses inoffensives dents, alors qu’elle se préparait à les ouvrir pour à nouveau gratifier sa maîtresse d’un aveu de possession mérité.

« Je suis une belle petite pute, une salope insatiable qui boira tout ce que sa Maîtresse lui foutra dans la bouche, et qui jouira à l’idée de se faire insulter, d’être sa salope et sa grosse chienne. »


Elle répéta à la lettre, même si d’une voix plus hésitante et résolument moins autoritaire, la voix soprano, diminutive et faible, de l’esclave ne pouvant se comparer à celle commandante et assertive de sa propriétaire. Cependant, là où ça aurait pu apparaître comme la solution de facilité, elle ne put s’empêcher d’ajouter, pour faire montre de zèle envers Madelyne :

« Et je suis votre belle petite pute, votre salope insatiable, et votre grosse chienne, et ce n’est que vous qui me ferez avaler quoi qu’on me glisse entre les lèvres, et vous dont les insultes sonnent comme les plus doux mots d’amour à mes oreilles, Maîtresse. »

Elle ponctua sa phrase en embrassant la joue de la Goblin Queen, n’osant pas lui voler un baiser, et en étant de toute façon incapable dans sa position, mais voulant à tout prix lui faire savoir qu’il n’y avait aucune limite à la fidélité et l’affection de Divine pour sa propriétaire, quoi qu’elle demande d’elle, quels que soient ses désirs à son encontre, car c’était ainsi qu’une favorite adorait sa maîtresse.

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Centre-ville de Seikusu / Re : La Divine Esclave [Divine Karlberg]
« le: lundi 02 octobre 2017, 12:54:49 »
« Je suis désolée, Maîtresse, je...Je n’étais pas prête pour ce que vous m’avez fait ressentir... »

Espéra s’excuser Divine alors qu’elle se lovait dans le creux du cou de Madelyne, dont elle l’extirpa cependant pour lui faire savoir que sa manière de s’adresser à elle n’était pas convenable.

« Je-Non, Maîtresse, je vous assure, je ne...Je voulais seulement dire qu’il faudrait me laver... »

Expliqua-t-elle, sa voix devenant cependant de plus en plus faible à mesure qu’elle continuait sa phrase, presque un soupir à sa fin, pleinement consciente qu’elle avait tous les torts, son ton tremblant en même temps que ses lèvres, se sentant honteuse, même blasphématrice.

« Je vous en prie, punissez moi, Maîtresse, je ne mérite pas d’être pardonnée, et encore moins d’oublier mon erreur... »

Ajouta-t-elle pour mettre au clair que malgré qu’elle n’ait bien évidemment pas voulu causer de tort à sa propriétaire, elle n’en était pas moins consciente qu’elle s’était montrée indigne de son titre de favorite    ; Le ton joueur de Madelyne la relaxait un peu, lui signalant que la Goblin Queen n’en avait que très peu faire, mais ça n’était pas le cas de son esclave, qui prenait ses devoirs très à cœur, comme on le lui avait inculqué durant sa vie toute entière. Eminemment motivée à se faire pardonner, Divine obéit sans le moindre instant de retard lorsque sa maîtresse lui ordonna de se mettre sur le ventre, bien qu’en ce qui concernait les détails, elle croisa les bras devant elle pour y cacher ses joues rouges de honte.

Quand Madelyne s’assit sur elle, son doux contact envoya des frémissement le long de son corps tout entier, au point qu’un long soupir d’appréciation s’extirpa d’entre ses lèvres et contre le drap où elle avait enfoui son visage. Lorsqu’adressée, elle tourna cependant son fin cou pour que sa voix puisse clairement s’élever pour répondre, bien que du coin du regard, elle put aussi surprendre le nécessaire de thé qui avait été convoqué :

« Je vous assure que j’adore tout ce que vous m’offrez, Maîtresse, j’ai juste...Perdu le contrôle...Je vous en prie, ne pensez pas que je saurais refuser un de vos cadeaux... »

Supplia-t-elle, bien que rapidement, son ton solennel laissa place à de simples gémissements qu’elle ne réprima pas le moins du monde, voulant faire sentir à sa propriétaire toute son appréciation, alors que celle-ci la léchait, une attention qui lui était particulièrement douce, Madelyne prenant à la fois soin d’elle et la gratifiant d’un contact très intime qu’elle devina très rapidement plus intéressé par cette passion charnelle que par le besoin de la laver. Divine n’osa cependant ni commenter ni interrompre les caresses de sa maîtresse, s’estimant pour l’instant déméritante, et savoura simplement ce qu’elle considérait comme l’extrême générosité de la Goblin Queen.

Elle ne put cependant retenir un cri de surprise lorsque ses poignets et chevilles furent attrapées puis écartées, bien qu’elle n’eut pas besoin de protester, devinant rapidement qu’il s’agissait de la punition qu’on lui avait promise, et qu’elle considérait toujours méritée. En anticipation, ses mains et pieds se contorsionnaient, bien entendu pas pour tenter de se soustraire à son sort, mais doutant de si elle serait à la hauteur du défi posé par sa maîtresse, bien qu’elle se jura de ne ménager aucun effort.

Tout d’abord, lorsque le fouet s’abattit, elle poussa un long et aigu cri, dénué de tout sens, mais elle se rappela très rapidement des instructions qu’elle se répétait mentalement depuis qu’on les lui avait données, et articula aussi clairement qu’elle le put :

« Je suis désolée d’avoir gâché votre présent, Maîtresse ; Je vous jure qu’à l’avenir, je ne gâcherai pas une goutte de votre foutre, et viendrai lécher votre bite après chacun de vos orgasmes pour m’en assurer... »

Dit-elle avec un brin de vulgarité, comme on le lui avait implicitement demandé, ce qui allait pourtant contraire à ses habitudes, étant après tout censée être une esclave « présentable » et digne, même si, dans le cas présent, ses doigts de mains et de pieds se contractaient spasmodiquement encore du coup de fouet qu’elle avait mérité par son outrecuidance, sapant l’idée d’irréprochabilité de la favorite.

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Centre-ville de Seikusu / Re : La Divine Esclave [Divine Karlberg]
« le: jeudi 28 septembre 2017, 03:37:00 »
Son esprit assailli de toutes parts par le déferlement de plaisir que lui infligeait Madelyne, Divine avait du mal à le garder clair, ses yeux se fermant, laissant admirer leur subtil mais ravissant maquillage, alors que ses lèvres, au contraire, se séparaient longuement, sa voix de soprano emplissant la pièce mais ne portant en vérité pas loin, sa nature aigue l’empêchant de porter trop loin. Il était dans la nature d’une favorite de complimenter, de par bien des moyens, sa maîtresse, mais la jeune femme aurait été bien orgueilleuse de dire qu’elle graciait la Goblin Queen de tous ces signes de jouissance volontairement, celle-ci se débrouillant à merveille pour les lui voler à la forcer de ses hanches.

Pendant longtemps, tout cela avait sembler aller crescendo, de par la nature même du plaisir organisme, mais de par l’action télépathique de Madelyne, elle avait atteint un plateau surnaturel qui, quand il fut dépassé, le ravissement des deux amantes semblant s’envoler loin au dessus, le fit assez spectaculairement. Divine commença par faire prendre, bien malgré elle, une expression emplie de stupre à son visage, rouvrant ses yeux soudainement lorsqu’elle sentit la vague de contentement la traverser, et finissant de vider ses poumons de tous les gémissements qu’il lui restait, si bien qu’après quelques longues secondes très vocales, les seuls bruits s’extirpant d’entre ses lèvres furent de longues et lourdes respirations, parfois déformées en de faibles, courtes et plaintives répliques.

Cependant, il fallut plus longtemps à ses autres muscles pour se calmer, ceux-ci immédiatement - et même avant - pris par de long spasmes lorsqu’elle joui, à commencer par ses jambes voulant se fermer et ses fins doigts qui saisirent les draps du lit et les vrillèrent alors que ses poignets - et bras en général - eux-mêmes se torsadaient incontrôlablement. Ces contractions réflexes n’étaient cependant pas constantes, et se répétaient incessamment et irrégulièrement, faisant trembler les cuisses de la jeune femme alors qu’elle essayait de résister et garder la position dans laquelle sa maîtresse l’avait mise. Cependant, après seulement quelques instants, elle succomba au plaisir doublé du harcèlement auquel ses propres muscles se livraient, et ses jambes se replièrent entièrement, faisant retomber son pelvis contre les draps que son orgasme précédent avaient déjà mouillés, et permettant aux derniers jets de la longue éjaculation de Madelyne de gracier le dos de son esclave de longs tracés son sperme. Dans ces gestes incontrôlés, ses pieds tapèrent même légèrement contre l’arrière des cuisses de la Goblin Queen, la faisant s’excuser entre deux  soupirs, même s’il serait peut-être même difficile pour celle-ci de comprendre pour quoi elle voulait faire amende honorable exactement, les favorites étant souvent assez zélées lorsqu’il s’agissait de se trouver des fautes.

« Dé-désolée, Maîtresse... »

« Ma petite chérie... »

Fut la réponse que reçut Divine alors qu’elle vit sa propriétaire adorée s’allonger à ses côtés, bien que d’une manière bien plus digne, visiblement et compréhensiblement bien plus à l’aise avec son plaisir sexuel, poussant d’ailleurs l’esclave à quelques peu péniblement lui faire face malgré sa respiration encore un peu difficile et ses muscles encore épris de vibrations inconfortables en plus, évidemment, de la semence commençant à ruisseler le long de son dos.

« J’avais oublié à quel point le sexe était bon... J’espère que je ne t’ai pas trop fait mal, mon petit cœur, je me laisse parfois aller... »

Alors que l’effet narcotique - assez littéral, pour peu que l’on considère l’endorphine et le reste des hormones relâchées par l’organisme comme une drogue - de son orgasme s’en allait, Divine pouvait lentement sentir les fines égratignures que ses ongles avaient laissé, comme si elles apparaissaient au fur et à mesure qu’elle calmait les ardeurs qui l’avaient saisie. Cependant, les caresses apologétiques de Madelyne faisaient oublier le peu de douleur que ces griffures lui causaient, ou en tout cas en valaient clairement la chandelle, alors que la jeune esclave la regardait passionnément, se mordant même la lèvre inférieure alors qu’elle n’osait pas se presser contre sa maîtresse, cadeau que celle-ci lui offrit elle-même avant de lui susurrer :

« Merci... »

Poussant immédiatement sa possession à lui répondre, comme un réflexe, même si voilé d’une sincérité réelle et d’un enthousiasme presque inattendu vu sa respiration encore balbutiante :

« C-C’est moi qui vous remercie, Maîtresse, je n’avais jamais été aussi comblée de toute ma vie... »

Ceci fait, elle se lova un peu plus contre Madelyne, l’enserrant de ses bras mais n’osant pas véritablement lui faire sentir une quelconque force, simplement la chaleur de son corps et, par la même, ses soupirs recommençant à ressembler à des gémissements alors que son cou se faisait couvrir de baisers.

« Maître~sse...
Se complaint-elle, comme si celle-ci était trop affectueuse...
Je crois que vous m’avez salie... »

Se crut-elle obligée d’informer sa propriétaire, la semence de cette dernière coulant le long de son dos et, elle pouvait commencer à le sentir, d’une de ses fesses, s’extirpant de son fondement encore distendu par la largeur de Madelyne.

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Centre-ville de Seikusu / Re : La Divine Esclave [Divine Karlberg]
« le: mardi 19 septembre 2017, 23:37:38 »
Durant tout son « élevage », Divine s’était demandé à quoi pouvait bien ressembler ce fameux sexe. Bien sûr, pas l’organe, ayant passé des heures à les chouchouter de milles façons, ni même l’art et la manière, les ayant pratiqués pendant des heures, même si en ne faisant que semblant. Bien sûr, elle n’était pas sotte au point d’ignorer que le sentiment était des plus plaisants - elle avait, par moments, surpris l’acte, pratiqué par les Karlbergs ou leurs employés, ainsi que par des esclaves non astreints à la chasteté, mais le plus souvent, par les deux « classes » de personnes.

C’était même une tradition et un principe assez ancré dans l’élevage des favorites que de leur faire miroiter ce à quoi elles n’avaient pas droit, et dans le cas de Divine, qui se montrait si méritante qu’il ne restait plus que ça dont on pouvait la faire rêver, le plaisir charnel s’imposait comme carotte de choix. En particulier, l’aîné Karlberg prenait un malin plaisir à lui faire assister à ses divers ébats, même si son père tentait de limiter cette torture - pas par égard pour l’esclave, mais pour sa valeur marchande, craignant qu’un jour son fils ne prenne sa virginité dans le « feu de l’action ».

Désormais, cependant, propriété de la douce Madelyne, Divine oubliait tout de ce traitement cruel, et en échange, apprenait beaucoup de ces sensations qui l’avaient fascinée durant des années, sans jamais lui révéler leurs secrets. Bien sûr, elle avait connu son premier orgasme, mais il était plus le résultat d’une frustration décennale et de la nouveauté de ces caresses nouvelles que vraiment de la communion entre la maîtresse et sa favorite, bien que ce manquement s’apprêtait à être rattrapé.

En effet, il n’avait pas fallu longtemps pour que la jeune esclave se remette de son orgasme, aidée en cela par le rappel régulier et très « comblant » de la présence de Madelyne, qui par sa simple qualité de propriétaire, s’appropriait automatiquement son attention indivisée, mais il lui fallut encore moins longtemps pour qu’elle sente à nouveau le plaisir monter en elle. Celui-ci se fit d’ailleurs d’autant plus remarqué que lorsque la Goblin Queen aurait du arracher à son esclave son deuxième orgasme - une tâche relativement aisée, son esprit incapable de résister à ce déluge d’émotion que son corps lui envoie volontiers, deux parts d’un cercle vicieux savamment orchestré par les Karlbergs - elle l’empêcha au contraire d’atteindre la délivrance.

Cette horrible torture, d’autant moins supportable que l’esprit paniqué de Divine ne savait la déchiffrer, fit rapidement trembler ses jambes après avoir fait se tordre de spasmes ses pieds délicats, alors que ses bras l’abandonnaient, se contorsionnant sans aucun sens et la laissant tomber telle une dépravée contre le lit alors que ses lèvres étaient incapables de réprimer des gémissements incompréhensibles de plaisir, ou plutôt de frustration.

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Prélude / Bienvenue
« le: mercredi 06 septembre 2017, 22:44:40 »
Bienvenue, et très très jolie fiche :D

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Centre-ville de Seikusu / Re : La Divine Esclave [Divine Karlberg]
« le: lundi 04 septembre 2017, 15:16:27 »
« Oh, ne t’inquiète pas, hmmm... Tu jouiras a-avec moi, hmmm... Mais...Tu peux jouir avant ! »

Divine fut heureuse d’apprendre qu’elle n’avait pas commis de faux-pas en jouissant avant sa maîtresse, même si c’était sûrement parce que, comme celle-ci assurait à son esclave, ça ne l’empêcherait pas, le moment venu, de la joindre dans son propre orgasme. La favorite se languissait déjà de ce moment, et, passée l’hyper-sensibilité qui suivit sa première jouissance, durant laquelle chaque mouvement de sa propriétaire lui arracha un petit cri, elle commença déjà à préparer sa prochaine.

Bien entendu, son corps était submergé par ces sensations nouvelles et qui la régalaient ; Même les ongles de Madelyne se plantant parfois légèrement dans sa peau, si délicate qu’elle était percée cette maigre attaque, faisaient affluer en elle une vague de plaisir, non pas sexuel, mais celui tout aussi pervers que de ressentir le contact de sa maîtresse s’imposer en elle et prendre possession de ses sens. C’était quelque chose de difficile à comprendre ou même conceptualiser pour ceux qui ne connaissaient pas les us et coutumes de l’esclavagisme, mais la vénération quasi religieuse inculquée en les favorites depuis leur plus tendre jeunesse les rendait extatiques à la simple pensée d’être caressées - même en tout bien tout honneur - par celui ou celle qui les possèderait.

« Meine Herrin macht mich Liebe... Sie ist so tief in mir... »

Alors que Madelyne, involontairement, s’immisçait dans l’esprit de son esclave, y glissant son contentement et son désir pour la jeune esclave, elle pouvait en retour capter ses pensées les plus intimes et primaires, en ce instants, quoi qu’elles étaient alors dans sa langue native, lui rappelant que même aussi parfait qu’il était, son anglais n’était qu’une des myriades de choses que les Karlbergs lui avaient apprise pour mieux pouvoir servir leur client. Cependant, elle pouvait aussi partiellement capter le sens profond et plus émotionnel de ces bribes de pensée, y décelant du plaisir mêlée au sentiment d’être chanceuse et honorée, sans doute la satisfaction propre à une esclave comme elle que de se voir prise par sa maîtresse ; Quand à la deuxième phrase, elle semblait plus encrée dans les impressions charnelles de la jeune femme, celle-ci se concentrant au même instant sur la sensation d’être comblée - dans les deux sens du terme - par la verge de Madelyne.

« Hmmm... Haaaa... Vas... Vas-y, Di-Divine, hmmm... Hu-Hurle ton plaisir, haaaa... Hurle, ma délicieuse catin, régale-moi de tes hurlements, motive-moi à te baiser plus fort encore ! »

Divine avait une voix, longuement pratiquée par le chant, de soprano léger, même s’il aurait fallu une ouïe particulièrement aiguisée et une attention toute particulière à celle-ci - alors que les autres sens de Madelyne avaient déjà eu beaucoup à faire pour apprécier sa servante jusqu’ici - pour le deviner. Issu du terme « sopra », « au dessus », en position de domination, mais en référence ici aux octaves, l’on pourrait penser cela ironique, puisqu’un soprano léger désigne en réalité la tessiture à la fois la plus aigüe, mais aussi donc la plus discrète et impuissante ( Prenant un autre sens lorsqu’on sait que c’est une des voix qu’avaient les castrats ) qu’une femme puisse posséder. Cette vocalité souvent associée aux rôles de jeunes femmes ou de servantes, à l’opéra, la voix de la favorite lui saillait donc à ravir, malgré son étymologie.

Cependant, elle avait jusqu’ici essayé de la taire, pensant, par erreur, que Madelyne la préférerait silencieuse, lui permettant de savourer son plaisir sans être dérangée par les gémissements de son esclave. Mais, apprenant maintenant qu’elle se trompait, qui plus est en recevant un ordre directe de sa maîtresse bien-aimée, cela changeait tout.

Cependant, pour l’instant, sa voix s’éleva sans aucun mot, en de simples gémissements, mais cette fois sans aucune retenue, permettant à sa tessiture de soprano de véritablement briller, comblant les oreilles de Maddie de l’harmonie de son chant de plaisir, rythmé par ses coups de reins et dénué de toute fausse note, tout comme, elle pouvait le sentir dans son esprit, son euphorie, qui était totale. Après quelques instants, Divine s’arrêta sur le choix de ses mots, bien qu’ils s’extirpèrent tout de même péniblement de ses lèvres, sans cesse interrompus par ses gémissements toujours aussi réguliers.

« Cont-Hi-nuez de m-HA-me prendre, MaîÎÎ-tresse, c’est te-Hellement bon ! »

S’appuyant sur un seul de ses bras, replié sous elle, Divine alla maladroitement chercher la main de Madelyne de son autre, entourant le majeur de la télépathe de ses fins doigts, lui demandant implicitement de les entourer à son tour des siens.

« J’Ha-i envie que v-Hous me fa-HAssiez l’amour p-Hour toujours, M-Hai-tresse... »

La favorite n’avait jamais connu le sexe de sa vie, malgré une immense frustration, et soudain sa propriétaire rêvée et désormais adorée la graciait d’un plaisir rare, même pour les plus expérimentées des amantes. En tout point, Divine était submergée par la myriade de sensations que lui offrait Maddie, et pour la première fois comprenait ce que les Karlbergs avaient parfois voulu dire lorsqu’ils disaient qu’elle serait accro au sexe ; Elle se voyait déjà aisément se laisser aller à faire cela à longueur de journée, répondant au moindre fantasme, à la moindre envie de la Goblin Queen. D'ailleurs, déjà, elle pouvait sentir les premiers frémissements d’un nouvel orgasme naître en son ventre, le sentiment la prenant un peu plus à chaque coup de rein de sa maîtresse, et poussant chacun de ses gémissements à être plus vocal que le dernier, sa délicieuse voix de soprano s’élevant plus haut encore sans jamais se briser.

7
Archives publiques / Re : Foire aux questions[NEW]
« le: samedi 02 septembre 2017, 17:27:46 »
"Question :Quel est le système monétaire mondial ?
Réponse : Pour notre monde la ville de seikusu comme ville japonaise utilise le Yen, dollards et autres dans les autres pays.
Pour Terra le système de monnaie est classique, c’est le système de pieces d’or trouvable dans n’importe quel jeu de fantasy :
1 piece de platine soit 10 pieces d’or (Attention posséder des pieces de platines fait de vous quelqu’un de très riche, faites attention a ne pas payer avec a l’auberge ou vous attirerez les voleurs J)
1 piece d’or, soit 10 pieces d’argent
1 piece d’argent soit 10 pieces de cuivre
Pour vous faire un comparo voici quelques exemples
-un Paysan gagne 2 pieces d’or d’intérêt par an si il a travaillé pendant toute l’année et qu’il a bu et mangé a sa faim. Un domestique touche environ 10 pieces d’or l’année et un noble perçoit les rentes des terres qu’il possède (de 1000 a 5000 pieces d’or)
-Une choppe de bierre dans une auberge coute deux pieces de cuivre.
-Un bon repas coute 5 pièces de cuivre, autant pour des vivres pour la semaine.
-Des vetements de paysan coutent 2 pieces d’argent, des vetements normaux coutent 5 pieces d’argent. Des vetements de nobles vont de 10 pieces d’or jusqu'à 50.
-Un escabot ou un outil coute 5 pieces d’argent.
-Une arme coute de 10 a 70 pieces d’or.
-Une arme forgée par un forgeron renommé verra les prix ci dessus se multiplier par 5 a 10.
-Un repas de gourmet ou de noble va compter les 5 pièces d’or par participant.
-Une guilde va payer 100 pièces d’or une bande d’aventurier pour traquer un groupe de brigands ou de monstres.
-Jessie Wild la chef des Black Fang recherchée depuis plus de 10 ans a sa tête mise a prix a 50 000 pièces d’or.
-Lever une armée coute 100 000 pieces d’or.
-La construction d’un petit château coûte 800 000 pièces d’or
-Une esclave de luxe (Vierge et belle) peut être mise a prix jusqu'à 100 000 pieces d’or, le prix est multiplié par 5 si l’esclave est un ange. Et l’une des enchères les plus violentes de l’histoire a fait partir une esclave a 1 Million de pièces d’or.. "

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Centre-ville de Seikusu / Re : La Divine Esclave [Divine Karlberg]
« le: vendredi 01 septembre 2017, 14:04:20 »
Le corps de Divine était ravagé par son désir ; C’était même un testament à sa volonté qu’elle arriva à rester docile aussi longtemps sous ce qu’elle avait décrit comme une torture. En effet, il était certainement difficile pour sa maîtresse de comprendre à quel point ses pulsions lui étaient cruelles en cet instant, amplifiées magiquement pour la rendre assez littéralement accro au sexe, et vierge malgré des centaines d’heures passées à mimer les pires actes sexuels ; À cela s’ajoutait sa vénération, déjà en très bonne voie, de Madelyne, qui faisait des caresses de celle-ci bien plus que de simples stimulations, en vérité l’accomplissement de toute la vie de son esclave.

Madelyne semblait d’ailleurs se délecter du très évident désir qu’avait sa favorite pour elle, venant parfois collecter sa cyprine, leurs doigts se croisant parfois lorsqu’elle s’adonnait à ce péché mignon, ce simple toucher arrachant souvent un timide gémissement à la jeune femme, la surprise mêlée au contact rassurant de sa maîtresse suffisant à lui faire briser son relatif silence, en tout cas sa discrétion, tentant de garder ses diverses manifestations de joie raisonnables, ne souhaitant pas déranger l’œuvre de sa propriétaire.

« Oui, je sens bien que ma belle favorite n’en peut plus... »

Divine poussa un long soupir de soulagement qui glissa sur les draps dont elle apprenait à apprécier le contact, le doux et froid contact qui réconfortait son corps bouillant. Immédiatement, elle préféra cependant utiliser son souffle pour remercier la clémence de Madelyne, réalisant que l’accession à sa demande était un privilège qu’elle n’était pas en droit d’exiger et que seule la générosité de la reine lui avait octroyé.

« Merci, Madame, je ne mérite pas une Maîtresse aussi tendre que vous... »

Encore une fois, le choix des mots de Divine n’était pas anodin, se gardant de projeter trop des qualités qu’elle espérait en sa propriétaire sur celle-ci, car il ne saillait pas à une esclave, même une favorite, de définir ce qu’était ou n’était pas sa maîtresse - Même si Madelyne voulait se targuer d’être une licorne arc-en-ciel, il ne conviendrait toujours pas à ce qui n’était que sa propriété de la contredire - et préférant utiliser le mot « tendre », qu’il était facile d’interpréter de multiples manières, dont certainement au moins une serait désirable. Bien sûr, sans doute cette surdose de prudence disparaitrait un jour, remplacée par une profonde confiance réciproque entre les deux femmes, mais aujourd’hui n’était après tout que le premier jour, même la première heure de leur relation.

Soudain, une emprise étrange, qu’après un court instant de panique, Divine parvint à reconnaître comme la volonté prenant forme, en tout cas force, physique, de sa maîtresse, la fit se relever pour prendre la position de levrette, qu’elle avait longuement pratiqué dans le manoir Karlberg. Encore une fois, la jeune femme ne pouvait s’empêcher de questionner le besoin d’ainsi la contraindre alors qu’elle se serait pliée au moindre souhait de sa propriétaire de son plein gré - ce qui était d’ailleurs sans doute la raison pour laquelle la télépathie de Madelyne, qu’elle ignorait involontaire, avait autant de facilité à manipuler l’esclave.

Passé l’inconfort de cette expérience, la favorite remarqua cependant l’absence des délicieuses caresses de sa maîtresse, celle-ci créant déjà un vide cruel en elle - assez littéralement, d’ailleurs, ses derniers coup de langue, de par l’écartement de son anneau, étant à la limite de ce que l’on pourrait considérer une pénétration, même si des plus petites. Cependant, le visage de la Goblin Queen, auparavant pressé contre son fessier, était remplacé par son bassin, celui-ci suffisamment plaqué contre elle pour qu’elle puisse sentir les deux protrusions osseuses de son pelvis ainsi que sa forme générale.

L’esclave ne s’inquiéta cependant pas, gardant la position qu’on lui avait inculquée et, cette fois, dans laquelle on l’avait forcée - sans vraiment aller contre sa volonté, pour autant - se préparant patiemment au sort que lui réservait sa propriétaire et dont elle se délectait déjà. Cette quiétude ne dura cependant que jusqu’à ce que Madelyne pousse de longs gémissements, qui, dans l’esprit alarmiste de sa propriété, ressemblèrent atrocement à des cris, en même temps qu’elle ne crispa ses mains sur ses hanches, contraignant immédiatement la favorite à se retourner avec appréhension, craignant qu’il ne soit arrivé quelque chose à sa maîtresse adorée.

Cependant, le spectacle qui l’attendait était tout sauf horrifique - quoi qu’il aurait pu l’être pour quelqu’un d’inconscient des possibilités de la magie - puisqu’elle put assister à la naissance de la verge de la Goblin Queen, même s’il se serait bien vite annoncé à l’esclave de par son contact chaud et lourd contre son postérieur. Madelyne semblait cependant tout de même assez secouée par le sort qu’elle s’était elle-même lancé, son esprit semblant ailleurs pour quelques instants, poussant Divine à tendre une main vers elle avec un reste d’inquiétude dans sa voix :

« Maî-Maîtresse...Est-ce que vous allez bien.. ? »

« Je... Je ne l’ai encore jamais utilisé sur... Sur quelqu’un, hmmm... Pour moi aussi, Di-Divine, ce... Ce sera une pre-première... ! »

Expliqua sa propriétaire, dissipant les doutes de son esclave malgré que sa voix avait perdu de la force qu’elle avait eu jusque là, haletante. Divine se remit alors en position, ayant vu ce avec quoi elle perdrait sa virginité, et pu constater que la Goblin Queen s’était dotée d’une verge d’une taille assez impressionnante, au moins si les sex toys qui lui avaient servi d’éducation ne mentaient pas - ce qu’ils faisaient, mais, justement, en étant plus gros que la moyenne.

Se préparant, elle ferma les yeux, voulant consumer ce moment comme un met délicat, et préféra se concentrer sur le toucher chaud qui arpentait son fessier, commençant à se retirer pour pouvoir commencer la pénétration. Son absence lui causa un sentiment inconfortable de manque, déjà habituée à la chaleur de sa maîtresse au creux de sa croupe, mais rapidement, l’embout de la verge de celle-ci revint la gracier de sa présence, lui arrachant un long frisson qui remonta son dos, le faisant se courber sous les yeux de Madelyne alors que les doigts de sa propriété se tortillaient doucement, en même temps que son corps tout entier, d’excitation.

La verge n’arriva cependant pas à immédiatement s’immiscer au sein du fondement de l’esclave, même s’il était légèrement ouvert et qu’une minuscule partie du gland avait pour ainsi dire tout de suite glissé en elle. Usant d’un peu de force, même si, entre les délicats exercices de sa langue et la lubrification surnaturelle de son pénis, la Goblin Queen avait facilité la tâche, celle-ci écarta doucement les parois de sa favorite en rapprochant leurs bassins, ses doigts se crispant sur voire griffant la pourtant si précieuse peau de sa croupe.

Divine sentit très rapidement qu’elle serait incapable de résister bien longtemps à cet assaut ; Enchantée pour ne pas ressentir de douleur liées aux pénétrations, elle était aussi étroite qu’il l’était possible sans causer de douleur à la personne la pénétrant, ce qui avait évidemment pour effet secondaire d’elle aussi la gracier d’une dose submergeante de plaisir, pouvant sentir chaque centimètre de la verge la pénétrant déformer son anneau et se frotter contre celui-ci. Bien sûr, peut-être que si elle avait été plus expérimenté et moins « chauffée à blanc », elle aurait pu résister, mais ça n’était pas le cas, et lorsque le chibre de Madelyne finit de s’installer en elle, elle n’en pu plus et se convulsa d’un puissant orgasme rendu d’autant plus évident par ses nombreux gémissements, comme si tous ceux qu’elle avait - tenté de - réprimé jusqu’ici se libéraient maintenant.

La favorite fit cependant de son mieux pour rester dans la position qu’on lui avait demandée, même si elle ne put empêcher ses bras de fléchir et la faire reposer sur ses coudes, amenuisant un peu la courbure de son dos que ses contorsions involontaires semblaient malmener, même si en vérité sa souplesse longuement pratiquée rendait cela indolore. Au contraire, même, en ce qui concernait Madelyne, les spasmes de son corps tout entier, rendant la plupart tremblant, avaient pour effet de contracter son fondement à répétition, massant presque sa verge. Enfin, à intervalles réguliers, de fins jets liquides s’expulsaient de l’intimité de Divine, mouillant abondamment les draps qui la supportaient entre ses cuisses, heureusement, pas ceux sur lesquels les deux femmes dormiraient cette nuit.

« J-Je...Sui-HA....Déso-désolée, Maîtresse...Je...P-pens-HA...Pensais que je pour-rais me retenir p-pour jou-Hiiiii-r avec vous... »

Il était assez pardonnable pour la favorite, après tout vierge, de jouir après tout ce qu’elle avait subi aux mains - et plus - de sa maîtresse jusque ici. Cependant, se convulsant encore de son orgasme, elle continua ses excuses, cherchant à se faire pardonner, s’il le fallait, de Madelyne.

« Je vou-hou en prie, Maîtresse, continu-huez à me prendre, j-je vous servirai au-ho-tant que vous le désir-rerez. »

Bien sûr, elle ne désirait pas interrompre sa maîtresse en plein acte, mais il était vrai, ou en tout cas les Karlbergs le lui avaient longuement assuré, sans raison de mentir, que ses enchantements garantissaient qu’il était quasi impossible d’épuiser ses désirs, encore moins par une seule humaine, et que d’ici quelques instants, si l’on continuait de la stimuler, ils s’éveilleraient à nouveau.

9
« Nous avons le même père, grande sœur. Appelle-moi Shiro, tu sais bien que je n’aime pas ce surnom. »

Divine fut quelques peu surprise de la remarque, qui témoignait que même maintenant, Andrew continuait à jouer un rôle. La favorite de même, d’ailleurs, puisque d’une manière qu’elle ne comprenait cependant pas complètement, elle était liée au personnage joué par son partenaire. Tout ce qu’elle savait, était qu’elle était sa « grande sœur ». Elle ferait donc avec, même si, au fur et à mesure des paroles de Shiro, elle pouvait en apprendre un peu plus sur elle, en tout cas sa personnalité.

« Bien sûr que je sais le faire. Je ne suis pas si incapable que l’on dit. »

« Bien sûr que tu ne l’es pas, imōto-san. »

Shiro étant probablement un personnage japonais, malgré la couleur de sa chevelure et ses yeux, entre son nom, Andrew lui-même étant au moins en partie nippon, et le fait qu’elle appelle Divine « grande soeur » au lieu de par son nom - même s’il était parfaitement possible que l’acteur filait simplement la réplique à l’esclave, conscient qu’elle pourrait sans quoi aisément ne pas comprendre de quoi il retournait - la favorite prit soin de s’adresser à elle de cette manière parfaitement japonaise, ajoutant -san à l’apostrophe, car il lui sembla que « leur famille » serait du genre à le faire.

Plus prosaïquement, l’assistance pensa aussi qu’il saillait mieux à sa position actuelle de grande sœur, à la dimension présentement assez incestueuse,  vis-à-vis de Shiro, très timide, de se montrer quelques peu dominante via cette utilisation de ce qui, en français, se traduirait certainement par le vouvoiement, lui permettant de guider sa cadette avec plus d’autorité.

D’ailleurs, Andrew se plia à son ordre, même s’il avait plutôt été phrasé comme une suggestion, passant délicatement sa main dans le dos de Divine pour défaire l’agrafe de son soutien-gorge, lui permettant de lever sa main de son entre-jambe pour venir dévoiler son sein. Ceci fait, elle fit descendre son autre main, celle qui serrait sa petite sœur contre elle, posée sur son épaule, jusqu’à son fessier, en particulier, sa partie la plus éloignée, glissant ensuite délicatement ses doigts sous sa cuisse pour doucement la soulever et la faire s’avancer, intimant à Shiro de venir se mettre à califourchon sur sa grande sœur.

« Tu sais ce qu’onee-san voudrait, Shiro ? »

Dit Divine alors qu’à seulement quelques centimètres d’Andrew, de par sa position, son souffle glissait contre les lèvres de l’acteur, chaque mouvement menaçant de les faire s’embrasser, leur proximité nécessaire afin qu’il leur soit possible de seulement chuchoter, pour ne pas déranger Madelyne et Béatrice. En outre, ses mains se posèrent délicatement sur les mollets de Shiro, sa robe étant assez longue pour qu’elle recouvre ses jambes jusque là, qu’elles se mirent alors à doucement remonter, ne prenant pas la peine de relever le fin tissu qui les couvrait, le laissant simplement se retrousser au fur et à mesure que les doigts de Divine glissaient contre sa douce peau.

« Elle voudrait que tu sois...Moins timide...Plus assumée...Pour ton propre bien... »

Le temps qu’elle finisse sa phrase, y glissant quelques brefs silences qui lui semblaient de rigueur vue la teneur de ses propos, étant déjà évident de par son ton joueur et celui de leur - courte - relation en général que sa demande serait plus lubrique qu’il ne convenait à des « sœurs », même demi-sœurs, ses mains étaient déjà arrivées aux hanches de Shiro, cessant de dévoiler plus de ses jambes, sa robe remontée jusqu’à mi-cuisse.

Divine glissa alors quelques doigts sous les côtés de la culotte de sa petite sœur, tirant délicatement dessus pour titiller les sens d’Andrew, devinant que ces petites piques se feraient sentir sur l’érection qu’il développait sans doute déjà et qui tendrait le fin tissu du vêtement qui n’était bien évidemment pas fait pour accueillir ce trait résolument masculin.

« Fais le pour moi, imōto-chan...Dis moi ce que tu veux qu’onee-chan te fasse, sans timideries...Où veux-tu que je glisse mes doigts, maintenant ?...Et pas de tricherie, je veux que tu me le murmures, en détail, au creux de l’oreille ; Si tu omets une précision, alors je comblerai ta demande comme je voudrai, comme punition...Après ça, j’espère que tu ne refuseras pas à ta grande sœur, ta propre grande sœur, de te donner le lait ; N’est-ce pas là mon rôle, Shiro ? »

Malgré tous les efforts qu’elle mettait à sembler - et même être, par bien des aspects - dominante, Divine n’était en son cœur qu’une esclave, et elle était bien plus confortable dans la servitude que l’initiative, ce qui se traduisait par cette demande qui comptait forcer Andrew à choisir lui-même la façon dont elle lui « ferait plaisir », comme Madelyne avait ordonné. Bien entendu, ce n’était pas non plus une solution de facilité, car cela garantissait aussi que le jeune homme choisisse son propre sort ; La favorite ne se permettrait tout simplement jamais de ne pas se donner à 100% pour exécuter la volonté de sa maîtresse.

Elle faisait même de son mieux pour jouer son rôle, en tout cas celui qu'elle comprenait être le sien, continuant à prétendre être la sœur de Shiro, même si elle adapta quelques peu son discours à la situation, le rendant un peu plus intimiste que celui assez distant et formel qu'elle avait utilisé jusqu'ici. Ça n'était d'ailleurs peut-être pas aussi hors-personnage que cela, car il semblait naturelle d'adresser sa sœur d'une façon plus « personnelle » lorsqu'il s'agissait de lui demander, peut-être à l'abri du regard intransigeant de leurs parents, de quelle façon elle la comblerait, comme sa maîtresse lui avait ordonné.

En guise d’encouragement, elle déposa un nouveau baiser sur les lèvres de l’acteur, toujours au bref, mais désormais bien plus intime de par leur situation, les doigts de la jeune femme continuant de doucement malmener sa culotte.

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Centre-ville de Seikusu / Re : La Divine Esclave [Divine Karlberg]
« le: lundi 28 août 2017, 10:01:27 »
« On me surnomme la Goblin Queen, ma chérie. Ma favorite doit se familiariser avec mes gobelins. »

Alors que Divine croyait en avoir fini du contact assez révulsant avec « Moolphas », celui-ci vint accoler sa joue à celle de la favorite, comme un animal cherchant des caresses, et, en conséquence, lécha son visage de sa langue longue et râpeuse. Cela fit frémir la favorite de dégoût, malgré que Madelyne venait de lui signifier que cohabiter avec de telles créatures étaient important, mais malheureusement, c’était aussi une des rares choses qu’on ne lui avait pas inculqué dans le manoir Karlberg, et qu’il lui faudrait travailler pour pouvoir obéir à sa maîtresse. La jeune femme parvint cependant à se retenir d’immédiatement, par réflexe, se laver de la salive que le gobelin avait laissé sur elle, puisqu’elle n’aurait sans doute fait qu’étaler la substance visqueuse de toute façon.

« Tu ne le vois pas, ma puce, mais Moolphas a une sacrée trique, maintenant… Tu risques de faire tourner bien des têtes, Divine… Mais, pour l’heure, ton délicieux corps est à  moi. »

Divine se demanda un instant à quoi pouvait ressembler le membre d’une telle créature, et pire, ce qu’il pouvait faire ressentir. Encore une fois, une vague de dégoût la parcourut, imaginant, sans doute naïvement, que son organe aurait la même texture que le reste de son corps, soit une très peu appropriée. Avant qu’elle ne puisse craindre recevoir la réponse à sa question, Madelyne siffla pour congédier son serviteur, qui obéit non pas sans une certaine résistance, grognant et traînant, sans doute frustré qu’on l’ait amené ici simplement pour assister à ce spectacle, profiter d’un avant-goût, puis s’en aller.

Revenant à leurs affaires très personnelles, la maîtresse ordonna à sa favorite de se remettre dans as position initiale, très précisément, au milieu du lit, appréciant sans doute de ne pas avoir à bouger plus tard, pouvant sans interruption se livrer à ses pulsions. Cependant, il lui fallut un certain moment pour véritablement ré-entamer son œuvre, quelque chose que comprit assez peu Divine qui avait l’impression nette, peut-être quelques peu orgueilleuse, que ses formes rendaient peu à peu accro sa propriétaire, et qu’elle déplora, surtout, elle-même éprise des caresses de Madelyne, et surtout captivée par l’idée que bientôt elle serait en elle.

Finalement, la favorite put bien sentir les mains de sa maîtresse sur elle - évidemment, plus précisément sur ses fesses - ce qui lui arracha un léger soupir de surprise et de réconfort, étouffant rapidement ceux que le pétrissage de la Goblin Queen allait faire suivre de sa main qui vint couvrir ses lèvres. Il lui était difficile de réellement comprendre le pourquoi de chaque geste qu’opérait la télépathe, bien qu’elle soit certaine qu’il y en avait un, chacun semblant à la fois très savamment choisi, s’inscrivant dans de longues séries ordonnée, et trop spécifique pour être une simple caresse « innocente », loin de tout ce qu’on avait enseigné à l’esclave en matière de massage.

« Je crois que, s’il fallait donner un exemple au mot « beauté » dans le dictionnaire, je choisirais ton corps, ma puce. Je n’ai jamais rien vu d’aussi beau depuis bien longtemps. Méfie-toi, tu es comme Arachné, à défier les Dieux dans un domaine qui leur est réservé. »

Cela fit bien entendu rougir la favorite, comme Madelyne le savait et voulait, qui exposa alors ses lèvres pour pouvoir la remercier, ce qui lui semblait plus que nécessaire, non seulement parce que sa maîtresse la couvrait de flatterie, mais aussi parce qu’elle s’annonçait déjà comme une propriétaire des plus délicieuses. Elle aurait bien entendu simplement pu se concentrer pour ne pas avoir à lever la voix, ce qu’évitait la télépathe elle-même, mais son esclave n’avait pas encore pris l’habitude d’utiliser les capacités surnaturelles de celle-ci.

« Merci, Maîtresse, mais il faudrait que nous partagions cette page, alors, à moins que vous préféreriez celle de « Magnificence » ? »

Divine avait pris soin, tout en retournant le compliment de Madelyne, de ne pas non plus la contredire, comme elle aurait pu le faire en répondant maladroitement que c’était Madame Pryor qui devrait trôner à la place qu’elle avait offerte. Le choix de l’alternative, « Magnificence », n’était pas non plus anodin, car il avait une connotation bien plus grandiose et théâtrale que la simple « Beauté », ce qui, la favorite en était certaine, lui plairait.

Cependant, balayant ces considérations littéraires, la Goblin Queen força son esclave à à nouveau presser ses fins doigts contre ses lèvres, dont le maquillage commençait à réellement montrer des signes d’usure, sans quoi elle savait qu’elle aurait gémi sous ses baisers. Madelyne devenait d’ailleurs de plus en plus passionnée, s’appuyant maintenant sur le corps de Divine qui, se faisant un point d’honneur de rester dans la position qu’on lui avait ordonnée, contorsionna seulement un peu plus son dos, absorbant la force appliquée par sa propriétaire comme un ressort devant son élasticité aux exercices réguliers qu’on lui avait fait faire toute sa vie.

Un nouveau choc pour la jeune femme fut de sentir le souffle haletant de sa maîtresse sur son intimité alors que celle-ci faisait doucement aller et venir son nez entre les fesses de sa servante.

« Je vais te faire une confidence, mon trésor. Toi aussi, tu me fais mouiller… »

La confession touchait la favorite, qui non seulement se voyait avouer qu’elle éveillait les désirs de Madelyne, mais aussi qu’elle lui faisait assez confiance pour cette « confidence ». Bien entendu, il pouvait sembler évident pour des amantes que de se susurrer ce genre de chose - et la télépathie n’était-elle pas le plus intime des murmures ? - mais une esclave n’était pas forcément une amante, souvent au plus un sex toy vivant, et il était particulièrement flatteur pour une de véritablement se voir faire l’amour et non pas simplement utiliser.

Pendant que cet honneur ravissait Divine, en tout cas son esprit, son corps, lui, ressentant déjà un plaisir qu’elle n’avait même pas osé imaginer durant toutes ces années, déprivée de toute gratification sexuelle, la Goblin Queen passa à la prochaine étape, gratifiant cette fois son esclave du contact humide de sa langue, qu’elle avait déjà eu le bonheur d’apprécier maintes fois entre ses lèvres. Elle ne savait encore où elle préférait l’organe de sa propriétaire, mais, si son hésitation sur la question était une quelconque indication, alors que ceci n’était que le commencement des attentions de Madelyne, bientôt, elle préfèrerait une toute autre occupation de la langue de sa maîtresse que de simples baisers - même s’ils resteraient un de ses péchés mignons à n’en pas douter.

Pour calmer ses ardeurs, qui se voyaient repoussées à leurs limites, la faisant doucement se contorsionner, mais pas assez pour être au détriment de la Goblin Queen, Divine fit lentement, ne voulant déranger sa maîtresse dans son oeuvre, glisser ses mains sur les draps du lit, jusqu’à ce qu’elles atteignent ses jambes, venant alors remonter ses cuisses, ne se souciant plus de la cyprine qui y ruisselait, pour délicatement et simplement y caresser sa douce peau. Bien sûr, si elle avait su que les caresses de ses propres doigts ne feraient qu’accentuer ses envies, mais elle était si frustrée et impuissante devant les caresses expertes de sa maîtresse qu’il lui fallait agir, faire quelque chose.

« Maîtresse, vous me torturez...Je n’en peux plus de me languir de vous... »

Bien entendu, l’effet secondaire de ces attentions dont elle se gratifiait elle-même était que ses mains ne contraignaient plus ses lèvres au silence, et aussitôt sa parole prise, elle commença à doucement gémir au gré des mouvements de la langue de Madelyne. Malgré que le choix de ses mots pouvaient sembler être celui de la réprimande, son ton, mêlant supplication et passion, était empli de la soumission qui convenait à son statut d’esclave, exacerbant le pouvoir que la Goblin Queen avait sur sa favorite, ses caresses à la fois assez exquise pour enflammer le corps de la jeune femme, et assez subtiles pour souligner à son imagination qu’elles n’étaient que l’entrée d’un met bien plus délicieux.

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Centre-ville de Seikusu / Re : La Divine Esclave [Divine Karlberg]
« le: vendredi 25 août 2017, 13:08:55 »
Quand Madelyne claqua une des fesses de son esclave, celle-ci sursauta et émit un petit cri plaintif, associant ce genre de geste à la punition, et donc la faute, ce qui était quelque chose de particulièrement grave, dans son esprit qui luttait pour atteindre l’excellence. Cependant, l’acte fut immédiatement suivi de douces caresses et d’un compliment qui firent oublier ce soucis à la favorite, qui se dit que c’était simplement ainsi que sa propriétaire sondait son postérieur, peut-être pour en estimer la fermeté.

« Hmmm… Parfait. Tu as vraiment un magnifique petit cul, Divine. Bien ferme, rebondi, tendre… »

La maîtresse de Divine semblait ne pas tarir d’attention pour son fessier, ce qui la frustrait presque autant que ça la ravissait, sa cyprine commençant à doucement ruisseler le long de l’intérieur de ses cuisses, qu’elle cessa donc de masser, au risque d’étaler le fruit de son excitation, ramenant simplement ses mains auprès de son visage, en plaçant une devant sa bouche pour s’empêcher de continuellement émettre de petits soupirs de plaisir.

« Oui… Vraiment très doux, et très agréable… »

Cependant, alors que Madelyne butta sur la ceinture de chasteté de son esclave, ce qui lui fit espérer que bientôt, on l’en délivrerait, des pas lourds accompagnés de grondements inhumains arrivèrent aux oreilles, aux aguets de par la cécité de la favorite, de celle-ci. Elle frémit longuement, et du user des doigts pressés contre ses lèvres pour retenir un cri de surprise mêlée de peur.

Sa propriétaire, elle, pourtant, ne semblait absolument pas dérangée par la présence étrange, et continuait ses caresses comme si de rien n’était, même si, après un instant, elle expliqua à sa servante :

« N’aie pas peur, Divine, mes gobelins ne te feront rien… Celui-là apporte même ta délivrance. »

Cela rassura Divine, bien que pas totalement, et bientôt, elle put entendre ce qui semblait être le coffret contenant la clef de sa ceinture s’ouvrir - même si, en vérité, c’était très difficile à deviner à partir simplement du bruit, mais les paroles de Madelyne et son espoir déformaient ses pensées. Après un moment d’expectation, elle sentit la pression de la clef sur son bas-ventre, lui arrachant un frisson cette fois de désir. L’instant d’après, à nouveau un cliquetis mécanique se fit entendre, et elle sent le carcan de sa ceinture se relâcher ; Durant toutes les années pendant laquelle on l’avait assujetti à cette cage, elle avait tant serré son bassin qu’il était plus fin que de normale, comme si elle avait porté un corset toute sa vie.

Après cela, sa maîtresse ne la fit pas attendre pour la défaire de la ceinture, et sous peu, l’esclave se retrouva aussi nue qu’elle ne l’avait jamais été depuis près de deux décennies, pour la première fois, rien n’obstruant son intimité ni son fondement, portant en tout et pour tous les quelques bijoux de sa tenue de cérémonie que n’avait retiré sa propriétaire et ses gants. Poussant un soupir de relâchement, bien qu’on pouvait y deviner une once de plaisir, celui qu’elle s’imaginait déjà offerte par Madelyne, Divine retourna bien vite à sa position, l’ayant quelques peu dérangée pour faciliter la tâche de lui ôter sa ceinture.

« Diable, c’est bien humide là-dedans, ma chérie… Comme tu dois avoir que je te prenne ta fleur intime. Mais pas de précipitations. Maintenant que tu es enfin libre, il faut que tu remercies ton sauveur. »

Rapidement, cependant, la Goblin Queen eut une autre tâche pour elle, bien moins sexuelle, celle-ci, interrompant le précieux instant, et repoussant celui qui le serait sans doute plus.

« Garde le bandeau… Ou retire-le, comme tu veux. Mon gobelin est là, qui vient d’amener la clef. Embrasse-le sur la tête et remercie-le. Il s’appelle… Moolphas. »

Le nom n’était qu’une invention, et sûrement le gobelin l’oublierait sous peu, mais au moins, il aiderait Divine, qui n’avait aucune expérience avec de telles créatures, à les voir avec un regard un peu plus clément. La favorite rompit alors sa position, se laissant tomber sur son flanc, reprenant un instant son souffle que seules ses propres émotions avaient rendu haletant, et regarda un moment dans la direction qu’elle savait être à peu près celle du gobelin.

Elle n’avait jamais rencontré un de ces monstres ; Bien entendu, comme beaucoup, elle avait une certaine idée ( Très maigre, tout cela n’étant pas franchement ce qu’on attendait d’une esclave ) de ce qu’était un gobelin dans la plupart des univers de fantaisie, mais aucune de ce qu’un réel était. Le peu auquel elle s’attendait, cependant, ne lui inspirait pas confiance, et elle prit la décision de garder son bandeau, se disant que quoi qu’elle puisse voir, ça ne ferait que la déranger - et puis, pouvoir l’enlever à tout moment retirait de son sens symbolique.

Alors, se mettant à nouveau à quatre pattes pour marcher, à tâtons, ne voulant pas tomber, jusqu’au bord du lit, elle s’agenouilla ensuite à sa bordure, et commença à timidement tendre sa main dans la direction du gobelin, qu’elle pouvait très légèrement deviner de par l’ombre assez massive qu’il dessinait dans le halo de lumière causé par une des lampes murales. Finalement, elle rencontra le coffret feutré qui avait accueilli sa clef, et en profita pour arriver à une des mains griffues du gobelin.

Immédiatement, elle frémit au contact rugueux, mais, après avoir pris un instant pour se calmer, et poser une main sur le rebord de bois du lit, afin qu’elle puisse y prendre appui pour aller plus en avant, elle continua. Sa main se faisait de plus en plus hésitante au fur et à mesure qu’elle pouvait « profiter » de l’étrange sensation de ses doigts glissant sur la peau de la créature, mais toujours elle avançait, jusqu’à atteindre l’épaule.

Là, elle s’arrêta à nouveau, prenant une longue inspiration, puis grimpa rapidement jusqu’au sommet de son crâne, une expression de dégoût, malgré qu’elle essaya de la réprimer, se dessinant sur son visage alors qu’elle réalisait que ce serait ce qu’elle allait embrasser, alors qu’elle aurait pu profiter des lèvres de sa maîtresse, au lieu de cela. En même temps, elle commença à se pencher en avant, dépliant ses jambes et exposant son intimité et son cul, désormais complètement dévoilés, à sa maîtresse ; La première continuait d’alimenter en cyprine les quelques ruissellements à l’intérieur de ses cuisses, alors que l’autre montrait des signes évidents de relâchement, l’esclave se préparant déjà mentalement à y être pénétrée, ce que son corps reflétait inconsciemment.

Après quelques instants, durant lequel elle faillit se heurter au coffret, qui était sur son chemin, elle atteignit presque le crâne du gobelin, et, après un peu d’hésitation, y déposa un très bref baiser, mais qui en était pour autant un.

« Merci M-...Moolphas...De m'avoir sauvée... »

Dit Divine d’une voix peu assurée, mais gardant sa position, en attente de ses prochaines instructions, très consciente du fait qu’elle exposait son fessier à Madelyne, et souhaitant conserver cet état de fait.

12
« Je te présente mes excuses, Divine, je ne t’ai pas assez fait l’amour cette nuit… Ni ce matin.
Mais ne t’inquiète pas, tu sais que tu peux me faire confiance pour protéger ta vertu, n’est-ce pas ? »

Enchantée dans ce but très précis par les Karlbergs, afin que jamais il n’arrive un moment où la servante manquerait d’envie pour sa propriétaire, il était quasi impossible pour Madelyne de véritablement épuiser l’appétit sexuel de son esclave, au plus de le calmer jusqu’à ce que ses désirs se fassent à nouveau sentir, ce qui ne prenait en général que quelques heures, quoi que souvent plus dans la matinée, leurs nuits étant plus passionnées que de raison, et repoussant l’échéance en conséquence.

Bien sûr, amenuiser l’effet de l’ensorcèlement qui rendait Divine aussi « active » était un jeu d’enfant, sans parler de la Goblin Queen qui pourrait même certainement se passer des instructions des Karlbergs pour le faire, usant simplement de ses connaissances de la magie rose. Mais les pulsions de son esclave étaient si faciles et délicieuses à exploiter qu’elle ne s’en privait pas, et au contraire, en abusait, jouant du cycle si vicieux de la frustration et de la délivrance. C’est donc tout naturellement que quand la favorite fit part de ses envies, en même temps que de sa jalousie, Madelyne lui répondit en imprimant l’image de sa maîtresse prenant Béatrice dans son esprit, piquant les deux émotions qu’elle avait pu lire dans ses pensées - ainsi que ses gestes.

Cela n’avait duré que quelques instants, mais la vision était aussi claire que de l’eau de roche. En vérité, ne résistant pas dans ce cas aux intrusions de sa propriétaire, Divine fut même incapable, pendant ces longues secondes, d’à proprement parler voir autre chose que Pryor usant de Forest en levrette, ou d’entendre quoi que ce soit n’étant pas les gémissements de la dernière. Pour la favorite, ce que lui avait envoyé la Goblin Queen s’était tout simplement substitué à la réalité.

Il était souvent difficile pour l’esclave d’interpréter précisément les intentions de sa maîtresse, surtout parce qu’elles étaient souvent motivées simplement par une envie passante, parfois n’ayant tout simplement même pas de motivation claire, se contentant de piquer la servante pour voir comment elle réagirait. En l’occurrence, Divine se dit que c’était simplement un rappel à l’ordre, établissant que Madelyne ferait ce qu’elle voudrait à Béatrice, quoi qu’en dise la favorite ; Mais, comme toujours, c’était une tâche dangereuse que d’essayer de mettre une intention sur ces visions.

Avant que la jeune femme ne s’épuise plus à essayer de comprendre sa propriétaire, on toqua à la porte, poussant immédiatement l’esclave à repousser en place le pan de sa jupe qu’elle avait relevé, et tenter de prendre une position un peu plus présentable. Évidemment, Divine salua le jeune homme en même temps que Pryor, quoi que restant plus brève et discrète dans sa salutation.

« Bonjour, Sand Phénix. »

Quand, après avoir servi Béatrice et son homologue d’affaire, Andrew vint apporter à la jeune femme sa seule requête, un verre d’eau, qu’elle reçut humblement, se penchant en avant pour recevoir le récipient sans que son hôte n’ait à trop lui-même se courber vers elle, elle ne put s’empêcher de remarquer un léger rougissement de ses joues lorsqu’il inspecta sa tenue, d’une manière qui semblait pourtant tout à fait innocente.

Après quelques précisions de Forest qui semblait quelques peu agacée par son neveu, ce fut cependant Madelyne qui reprit le contrôle de la situation, donnant des instructions d’abord au jeune homme, puis à son esclave, celles-ci n’étant au final que les deux côtés de la même pièce. Bien entendu, la manager elle aussi se vit gracier d’un contact télépathique, mais cette fois simplement pour tenter de l’empêcher de trouver ce qui allait se jouer trop anormal.

Ainsi, pendant que les deux femmes d’affaire reprenaient leur discussion ô combien sérieuse, Andrew vint gentiment s’asseoir sur les genoux de Divine, ce qui la surprit légèrement, l’acteur plaçant ses jambes en travers de ses cuisses, comme la peluche qu’on lui avait ordonné d’être. Rapidement, cependant, la favorite mit autant de passion à exécuter les instructions de sa maîtresse que s’il s’agissait de lui « faire du bien » à elle-même.

Elle passa alors un bras dans le dos du jeune homme, faufilant ses doigts jusqu’à son épaule, le tenant droit, alors que son autre main tira doucement ses jambes un peu plus proche d’elle, garantissant qu’il était aussi proche d’elle qu’il pouvait l’être. Elle l’inspecta quelques instants ; Malgré sa jeunesse, la petitesse de Divine leur conférait quasiment la même taille, et sa perruque ainsi que ses lentilles mimaient à peu de chose près ses propres traits, bien qu’eux étaient naturels.

« C’est que nous sommes presques jumelles, n’est-ce pas, Sand Phénix ? »

Lui dit-elle un sourire aux lèvres et à voix basse, ne voulant déranger sa maîtresse et son hôte, mais rapidement, elle mima la surprise et vint murmurer à son oreille.

« Oh, mais j’ai bien vu qu’une de nos différences a attiré ton attention tout à l’heure, n’est-ce pas ? »

Gardant une main dans le dos de l’acteur, mais ramenant son autre à sa propre épaule, celle contre laquelle elle gardait Andrew pressé, elle tira simplement sur les vêtements qui la couvraient ; Sa veste et sa chemise étaient assez déboutonnées pour simplement glisser le long de son bras jusqu'à son coude, et découvrir sa poitrine d'un côté, mais restait encore son soutien-gorge qui maintenait fermement son sein en place. Toujours ses lèvres presque apposées contre l’oreille du jeune homme, elle lui glissa :

« J’imagine que tu sais comment dégrafer un soutien-gorge, n’est-ce pas ? Que dis-je, tu en as certainement déjà porté, est-ce que je me trompe ? »

Peut-être en portait-il même un en ce moment, mais Divine ne s’était pas attardée assez sur sa robe pour le savoir, son arrivée ayant trop bien coïncidé avec sa conversation télépathique avec Madelyne. Ne se préoccupant pas beaucoup de ce détail, elle porta délicatement sa main désormais libre sur le ventre de l’acteur, descendant doucement jusqu’à entre ses cuisses, empoignant avec légèreté ce qui s’y trouvait à travers le fin tissu de son joli vêtement. Pendant que ses doigts s’affairaient à faire cela, prenant leur temps, la favorite embrassait doucement le visage d’Andrew, à l'exception de sa bouche, pour l'instant, mais revint ensuite à son oreille, ses lèvres laissant derrière elles une longue traînée de baisers.

« Pendant que je m’occupe de toi, pourquoi ne déferais-tu pas mon soutien-gorge, juste assez pour découvrir mon sein ? Tu verras que j’allaite, et que mon lait est délicieux, alors, pour éviter de déranger Madame Pryor et Madame Forest, pourquoi n’occuperais-tu pas tes lèvres à me téter ? Bien sûr si tu préfères, tu es libre de m’embrasser, mais ce n’est pas mon visage qui t’avait fait rougir, tout à l’heure, si ? »

Doucement, elle commença à malaxer son entre-jambe, pour l’instant seulement à travers sa robe et ses sous-vêtements, surveillant ses réactions. Cependant, pour lui permettre de prendre une décision informée, elle déposa un unique baiser contre ses lèvres, qu’elle fit durer un petit moment, mais garda assez chaste, passant simplement sa langue entre les lèvres d’Andrew, lui faisant les caresser d’une commissure à l’autre, au lieu de véritablement l’en pénétrer.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Moins que rien [PV Divine]
« le: jeudi 24 août 2017, 16:31:35 »
À peine Divine eut-elle le temps d’apprécier la caresse de sa maîtresse, qui passait délicatement sa main à travers les fines mèches blondes de son esclaves, il y a si peu couronnées d’un laurier d’or, qu’elle transforma ce qui était une délicieuse gâterie en un outil de pouvoir, enserrant les cheveux de la jeune femme pour lui faire lever le regard vers elle, là où un simple ordre aurait fait l’affaire. Mais la favorite l’apprenait lentement, tels étaient l’art et la manière de la mafieuse.

Parvenant cependant à garder son calme, la servante ne crispa pas de frustration sa main sur la peau de sa propriétaire, ce qui lui aurait inévitablement, même inconsciemment, attiré ses foudres ; Au lieu de cela, elle leva simplement son visage vers celui de Rachele pour l’écouter avec déférence, ce qui lui semblait important.

« Ça à pris du temps... Les Karlberg sont d'habiles manipulateurs... Ils visent la perfection de l'équilibre entre repos et excitation... »

Cela fit remarquer à Divine que ses lèvres étaient entrouvertes, haletantes, alors que ses pulsions recommençaient à se faire sentir, même si pour l’instant, elles restaient tolérables. C’était cependant sans compter sur sa maîtresse qui, ne daignant même pas s’abaisser jusqu’à son esclave, par mépris ou peut-être pour pouvoir profiter pleinement du spectacle donné par Vierna et l’Esclave 13, se servit de son pied pour titiller ses sens. Sans perdre de temps, et avec une habileté remarquable, elle alla droit vers le clitoris de la favorite, l’enserrant et le poussant de diverses manières, ne laissant pas la pauvre jeune femme s’habituer au rythme, et lui faisant, par réflexe, contracter ses jambes et s’agiter, ce qui ne faisait que forcer Rachele à tirer sur ses cheveux pour la garder à la bonne hauteur, même si elle ne serait sûrement pas passée de cette occasion de mêler la douleur au plaisir de toute façon.

« Ce n'est pas ce que je cherche... mes esclaves sont des nymphomanes en manque de baise vingt quatre heures sur vingt quatre, même après s'être faite prendre jusqu'à en hurler sous les orgasmes, dès qu'on arrête de les pénétrer, elles en redemandent. »

L’esclave, dont la fierté s’érodait lentement, attaquée à la fois par le mépris que sa maîtresse avait pour sa possession, et la cruelle réalité que son désir était bien plus fort que son amour-propre, la contraignant à se conduire comme un animal, adressait alors un regard suppliant à sa propriétaire, se pinçant les lèvres plutôt que de les laisser trahir ses émotions honteuses d’un cri involontaire. Cependant, doucement le pourpre du stupre recommença à s’immiscer dans le bleu de ses jolis prunelle, vendant la mèche que malgré que ses yeux se contorsionnaient pour quémander la paix, son corps, lui, ne faisait que demander plus.

« Ton envoûtement est trop lent, mais rassure toi... J'ai des méthodes pour rendre ses effets permanents, tu imagine un peu ? Etre dans cet état tout le temps ? Même après une série d'orgasme, pouvoir remettre ça encore et encore, avec toujours plus de clients, jusqu'à la folie, l'épuisement total ? »

Divine était décontenancée, même attristée, par la passion que Rachele avait pour ce qu’elle ne voyait que comme des dégradations ; Ce qui, quand on lui tira les cheveux pour l’amener à à nouveau diriger son attention sur le socle central et, plus précisément, la scène qui s’y déroulait, lui fit manquer de concentration, la force de sa maîtresse et la soudaine vue de la succube, désormais nue, faisant l’amour à 13, achevant de lui faire perdre sa contenance. Alors, tiraillée par le tourment d’émotions qui la ravageait, elle relâcha un unique instant tous les efforts dont elle faisait preuve pour ne pas trahir sa vulnérabilité aux caresses de la Sicilienne, laissant celle-ci lui arracher un gémissement de plaisir en usant, parmi les charmes qu’elle possédait et de tous les outils dont elle disposait dans cette pièce, seulement deux de ses doigts de pieds.

Honteuse, sanglotant, Divine déposa ses doigts sur le dessus du pied de sa maîtresse, s’apprêtant à le repousser, mais demandant quelques instants pour assembler assez de force et de volonté pour réellement le faire ; Rachele, cependant, ne se laissa pas décontenancer, et profita de ce moment pour continuer ses caresses, redoublant même leur effort, sachant qu’à ce moment précis se jouait quelque chose d’important, d’autant que le cri de plaisir de son esclave avait attiré l’attention de Vierna, qui attendait sa réaction avec impatience.

Pleurant à chaudes larmes, la favorite était tiraillée entre son âme, qu’elle possédait encore, lui demandant de ne pas se laisser tomber aussi bas, et son corps, qui réclamait plus, chaque instant, de ce monde de stupre et de débauche. Sa main commença à trembler, de même que tout le reste en vérité - ses jambes qui peinaient à la soutenir, ses bras incertains, ses lèvres balbutiantes - et sous peu, ses doigts glissèrent impuissamment sur le côté du pied de sa maîtresse, l’esclave incapable de contrevenir à la volonté de sa maîtresse, même maintenant, même après tout ça. Comme pour la provoquer, Rachele continua alors son discours, triomphante, appréciant chaque frémissement de sa possession sous ses caresses, celle-ci n’ayant plus la force de prétendre être inaffectée, alors qu’elle caressait son visage inondé de larmes.

« Patience 93, patience. Je te délivrerais bientôt de tout tes tracas et de toutes tes peurs pour t'offrir ce présent. Grace à lui tu adorera travailler au bordel, même dans sa salle commune, tes amants ne seront jamais suffisamment nombreux pour étancher ta soif, et quand tu t'écrouleras de fatigue, tu me servira d'édredon. »

Mais trêve de douceurs, la Sicilienne tira sur les cheveux de Divine pour la forcer à faire face au socle central de son beau visage, celle-ci faisant l’effort d’ouvrir ses yeux qui, pourtant, n’y voyaient pas clair, emplis de larmes, mais que fermer lui vaudrait certainement les foudres de sa propriétaire, tant il semblait important qu’elle assiste au spectacle de Vierna.

La succube s’affairait à faire jouir l’Esclave 13, alors que celle-ci résistait de toutes ses forces, « comme si » sa vie en dépendait, ce qu’ignorait encore la favorite. Pour l’instant, cependant, elle semblait presque douce - si l’on ignorait le contexte - dans ses caresses, embrassant simplement sa victime alors qu’elle massait délicatement son clitoris aux proportions grotesques.

« Mais d'abord... notre petit accord... »

La « collègue » de Divine se défend corps et âme, pleurant à chaude larme alors qu’elle lutte contre son orgasme, tremblante et, l’Esclave 93 le savait, sans espoir. Malgré sa virginité consommée il y a seulement quelques minutes, la jeune femme avait parfois vu d’autres personnes faire l’amour - tantôt en démonstration, tantôt simplement car sa présence, insignifiante aux yeux d’esclavagistes, ne dérangeait pas, sans doute même le contraire - et savait que Numéro 13 avait passé le point de non retour, que ce n’était qu’une question de temps.

Vierna, cependant, même si elle semblait se délecter de sa prestation, en vint à vouloir en finir, non pas sans adresser un regard à sa prochaine victime ce faisant. Elle monta sur la « comparse » de la favorite, qui ne pouvait évidement l’en empêcher, et l’embrassa de plus belle, même si rapidement, son véritable but se fit découvrir. Du haut de ses fesses pousse rapidement une queue, s’épaississant au fur et à mesure qu’elle s’allonge, qu’elle positionne, comme une prédatrice, à quelques centimètres de sa proie, l’intimité difforme de Numéro 13, tandis que ses mains redoublent d’ardeur dans leurs affaires.

Divine balbutia quelques instants, inintelligiblement, alors que la cadence de cette queue littérale mais utilisée comme son homonyme plus figuré, dans le cas présent, augmente rapidement. La favorite tente d’agir, de protester, de supplier, mais tout ce qui s’extirpa de ses lèvres furent des gémissements plaintifs et sa salive, qu’elle n’arrivait à contenir pendant qu’elle baissait la tête de honte et que son corps, complètement déboussolé, la faisait saliver, comme si elle avait hâte de savourer un délicieux met.

Bien entendu, Rachele tira à nouveau immédiatement sur ses cheveux pour qu’elle observe la suite et fin, qui arriva bien rapidement. Vierna cessa ses pénétrations, mais simplement pour en offrir une unique et terrible à l’Esclave 13, qui l’acheva, figurativement, la poussant à l’orgasme, comme littéralement, scellant son destin.

Malgré ses yeux embrumés par ses larmes, Divine pu clairement voir ce qu’elle devina être l’âme de sa « collègue » être aspirée par la succube, alors que le corps entier de la servante perdit toute énergie, là où elle se contorsionnait - ou plutôt tentait de le faire, attachée - d’un plaisir mêlé de douleur quelques instants auparavant.

La favorite tenta alors de s’extirper de la poigne de sa maîtresse, agitant sa tête, mais ne faisant que se faire plus mal, alors que ses larmes, affluant de ses jolis yeux comme jamais, s’envolaient autour d’elle à cause de ses brusques mouvements.

« N-Non, Maîtresse, pitié... »

Se plaignit-elle faiblement, comprenant bien vite que seule la volonté de Rachele pouvait la sauver de son destin, et arrêtant ainsi de lui résister physiquement. Divine était brisée de devoir revenir ainsi sur sa parole, donnée à sa maîtresse elle-même, même si en réalité, elle ne refusait pas réellement le pacte qu'on lui offrait, ne faisant que supplier sa propriétaire d'elle-même l'annuler, par une compassion dont on ne saurait d'où elle émanait ; Mais la peur de son esclave était trop grande, et elle ne pouvait s'empêcher de pitoyablement tenter d'échapper à son destin. Pour toute réponse, cependant, on la tira jusqu’au socle, qui se faisait libérer du cadavre vivant de Numéro 13, qui obéissait au moindre des ordres que la mafieuse lui donnait, réduisant la jeune femme encore dotée de son âme à simplement pousser de petits cris de douleurs au lieu de véritable paroles de protestations.

« C'est ton tour. »

La favorite ne résistait que légèrement, ne pouvant empêcher son corps, même engourdi par son désir qui se faisait de plus en plus insupportable, de simplement être guidé jusqu’à ce qu’il croyait être sa mort - même si, à proprement parler, il survivrait, seule l’âme de Divine étant en danger, si l’on assumait qu’elle subirait le même sort que sa « collègue ».

Rapidement, bien plus vite qu’elle ne le crut possible, elle se retrouva attachée sur le socle par les trois autres femmes, ses membres écartés, la rendant plus vulnérable que jamais à quoi que ce soit qu’on lui réservait. Sa respiration était haletante, alors que son corps entier était couvert de sueur, et, dans le cas de ses cuisses, de sa cyprine, qui coulait abondamment, même dans cette situation de vie ou de mort.

« J'espère que tu va jouir rapidement, j'ai hâte de mélanger ton goût à celui de l'autre salope. »

Divine n’eut même pas le temps de répondre, qu’elle sentit la démesurément longue langue de la succube la pénétrer, venant chercher puis s’enrouler autour de la sienne, comme pour lui donner un avant goût, non seulement du plaisir qu’elle lui infligerait, mais aussi de leur relation ; Elle s’imposerait où elle voudrait.

Mais pour l’heure, c’était Rachele, positionnée entre les jambes de son esclave, qui réclamait la possession de celle-ci, et Vierna lui laissa le champ libre, interrompant son baiser pour que la favorite puisse concentrer son attention sur sa propriétaire.

« Alors misérable esclave, par quelle virginité veux tu que nous celions le pacte ? »

Divine sanglota immédiatement, tournant sa tête sur le côté, comme une enfant qui croyait que détourner le regard lui épargnerait le danger, mais la succube le ramena rapidement, saisissant son doux visage entre ses doigts, vers la Sicilienne.

« J-Je-Votre esclave vous en supplie, Maîtresse, ne lui volez pas son âme...Elle fera ce que vous voudrez... »

L’esclave pensait que sa plainte serait plus longue, mais rapidement elle réalisa à quel point elle était vaine, et se tut, reprenant ses sanglotements intermittents, pendant un long moment, avant qu’elle n’arrive à se calmer et à réfléchir clairement, en tout cas aussi clairement que ses désirs, qui ne se calmaient pas, bien au contraire, le permettaient.

Finalement, elle parvint à devenir quelques peu rationnelle. Ne voyant d’échappatoire, elle se dit qu’il ne restait qu’à répondre à la question qu’on lui posait, raisonnant que son silence, s’il durait plus longtemps, ne lui vaudrait qu’un sort encore pire. Restait donc la seule décision qu’on lui laissait : Son cul, ou sa verge. Naïvement, elle pensa que lui faire pousser un membre masculin lui confèrerait plus de valeur que son anus, aussi étroit soit-il, et pousserait peut-être Rachele à la considérer plus précieuse ; Bien sûr, une femme dotée d’un chibre n’était pas si rare que cela, par ici, et le raisonnement était erroné, mais Divine n’en savait rien. Elle était cependant sans doute correcte lorsqu’elle imaginait que sa maîtresse lui infligerait moins de douleur - n’osant tout de même pas imaginer qu’il n’y en aurait aucune - en la chevauchant qu’en la pénétrant. Doucement, elle reprit son souffle, ce qui était en soi difficile, son corps durement mis à l’épreuve par ses pulsions lubriques, et répondit :

« M-...La verge de votre esclave, s’il vous plaît, Maîtresse.. »

S’empourprant, si elle le pouvait plus, elle détourna son regard de Rachele, honteuse de se prêter ainsi à ses manigances, tandis qu’à nouveau elle se perdit dans une crise de larmes intarissable, dont Vierna profita pour doucement la caresser, d’une manière très intéressée, bien entendu, puisque la préparant pour son propre rituel, qui ne serait que dérangé par son instabilité, même s’il s’en accommoderait aisément.

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Centre-ville de Seikusu / Re : La Divine Esclave [Divine Karlberg]
« le: mercredi 23 août 2017, 17:37:55 »
« Nous allons faire tout ça, ma puce… La principale question qui se pose, c’est l’ordre que je vais utiliser. Tu me mets dans un de ces états, Divine… Haaaa… Je devrais être énervée par cette difficulté que j’ai à réfléchir de manière cohérente… Dès que je fais le vide dans ma tête, je réalise qu’il n’y a que toi, ma Divine, toi et ton corps… »

La favorite, évidemment, était honorée de cette confession, et, si c’était possible, sourit d’autant plus à sa propriétaire, même si elle n’osa pas la remercier de vive voix - quoi que peut-être, elle capterait son contentement via la télépathie - pour ne pas interrompre son train de pensée qui semblait déjà prompt à dérailler à cause du spectacle qu’offrait l’esclave.

Divine entendit alors les talons de sa maîtresse claquer sur le sol, en même temps que les formes très vagues s’imprimant dans ses yeux à travers son bandeau improvisé changeaient, lui signifiant du mouvement. Elle ne bougea elle cependant pas, se gardant dans cette position lubrique et soumise, comme on le lui avait ordonné. Quand elle entendit le cuir de la robe de Madelyne tomber au sol, elle ne rompit toujours pas sa position, quoi qu’elle frémit doucement à la pensée qu’elle se rapprochait un peu plus de sa véritable première fois avec sa maîtresse, allant jusqu’à pousser un très discret gémissement lorsqu’elle se sentit déséquilibrée par la montée sur le lit de Madame Pryor, le moelleux matelas les laissant s’enfoncer au moindre appui.

La seule chose qui l’extirpa finalement de sa position fut la volonté de sa propriétaire, sous la forme de sa main gantée de latex venant se poser sur son ventre, lui imprimant un mouvement qui ne demanda que très peu de force pour être suivi, l’esclave toujours prête à servir et plaire de son mieux. Rapidement, le dos de Divine butta contre la poitrine de sa maîtresse, lui arrachant un rapide soupir de surprise lorsqu’elle sentit ces lobes de chair doucement se presser sur sa peau ; Ses mains maladroitement posées entre ses cuisses, la servante tenta tant bien que mal de rester droite malgré sa cécité et la présence délicieuse dans son dos.

« Bien… Je crois qu’effectivement, tu n’as plus besoin de cette robe, maintenant. »

À la surprise de la favorite, cependant, c’est alors son visage qui fut gracié de l’attention de Madelyne, et bien vite elle réalisa que c’était pour le mieux, un baiser venant bien vite se déposer sur ses lèvres, auquel elle s’abandonna complètement, étant après tout pour l’instant dépourvue d’ordre à suivre, et libre de poursuivre ses propres désirs tant qu'ils se pliaient à ceux de sa propriétaire. En même temps, renforçant les faibles gémissements de plaisir de Divine étouffés par leurs embrassades, sa maîtresse arpenta maladroitement sa douce peau - en réalité sa ceinture de chasteté, et sa jupe, mais ça n’était pas la partie qui occupait l’esprit de la jeune femme - pour tenter de trouver comment la défaire d’un peu plus de ses vêtements.

Bien sûr, il aurait été aisé pour l’esclave de guider les mains de sa maîtresse jusqu’à l’endroit qui l’intéressait, mais elle la laissa plutôt aventurer ses mains à chaque endroit qu’elle soupçonnait pouvoir recéler le secret de sa jupe ; Sondant le fin tissu, elle le pressait par intermittence sur ses courbes, et le contact était trop appréciable pour être interrompu, Divine rationalisant que Madelyne elle aussi appréciait caresser son corps, d’où, sans doute, ses recherches très poussées sur le pan de sa jupe qui couvrait ses fesses.

Quand la langue de sa maîtresse s’immisça entre ses lèvres, elle le fit sans aucune opposition de la part de l’esclave, la sienne attendant, toute aussi soumise que la jeune femme à laquelle elle appartenait, au fond de sa bouche. Bien entendu, cela ne fit que pousser Madame Pryor à venir la dénicher, s’enfonçant de toute la longueur de son muscle oral en sa favorite, lui faisant pousser de petits couinements alors que ses yeux, déjà peu utiles, couverts par les restes de son soutien-gorge, se fermèrent pour mieux profiter de la douce sensation.

Il y avait cependant une raison bien particulière pour laquelle Divine n’était pas aussi prête à soumettre sa langue aux caresses de celle de sa propriétaire que d’ordinaire, si l’on pouvait parler d’ordinaire pour leurs quelques baisers précédents ; En proie à ses désirs, elle savait que laisser cet organe, enchanté pour être presque aussi sensible que son intimité, se faire malmener par les délicates attentions de Madelyne ne ferait que lui voler de précieuses secondes du plaisir de lui faire l’amour.

Luttant contre ses pulsions, Divine se contorsionnait entre les bras de sa maîtresse, allant de celui qui pinçait son sein, lui arrachant un peu plus de lait, à celui qui défaisant délicatement sa jupe, puis à la poitrine de Madame Pryor, ne pouvant, ni ne voulant, trouver de direction de laquelle elle n’était pas enserrée par sa propriétaire. Sous peu, celle-ci mit fin à leur baiser, un sentiment doux-amer pour sa favorite qui se délectait de sa douceur, et dont les lèvres restèrent entrouvertes, quémandant inconsciemment plus, mais qui savait que cela n’annonçait qu’une chose, une délicieuse et désirable chose.

« J’ai choisi… Je vais commencer par ton délicieux petit cul, Divine… »

Divine savait qu’en vérité, le choix de Madelyne ne se jouait qu’entre son cul et sa verge - pour l'instant inexistante - sachant que si son membre masculin ne l’emportait pas, sa préférence irait immédiatement à son postérieur, qui avait de loin ses faveurs au détriment de son intimité. Embrigadée par l'instant et l'autorité incontestable de sa maîtresse, toutes les appréhensions vis-à-vis du plaisir anal de la favorite s'envolèrent, et elle s'imagina bien vite en train de recevoir chacune des dizaines d'attentions qu'elle avait appris à pouvoir à cette partie précise du corps, ne sachant laquelle elle préférerait, et ayant hâte de connaître celle qui lui prendrait sa virginité. Elle se retrouva alors aussi à se tenir seule, se sentant plus nue à cause du manque de la chaleur de sa maîtresse que celui de sa jupe, alors que Madame Pryor s’écarta pour pouvoir profiter du nouveau spectacle qu’elle lui ordonna.

« Mets-toi bien à quatre pattes, et bombe-moi ce petit cul… »

À nouveau, cet ordre, même si cette fois, sa connotation était bien différente, et Divine en était consciente. Ne voulant obstruer les désirs de sa maîtresse, elle fit de son mieux pour lui obéir, usant de sa souplesse savamment pratiquée, les Karlbergs connaissant ses bénéfices, ne dérogeant pas d’un iota à l’instruction de sa propriétaire cette fois, ne causant aucun délai, ne se tournant pas, ne faisant que présenter son cul.

« À vos désirs, Maîtresse. »

Déclara simplement la favorite, pensant que cette fois, la solennité du moment requérait qu’elle confirme sa place ainsi que l’ordre de sa maîtresse. Sur ce, elle se pencha très simplement en avant, passant ses mains mi-gantées à l’intérieur de ses cuisses, les massant doucement, allant du côté de ses genoux jusqu’aux flancs de sa ceinture de chasteté, comme pour expier ses pulsions, qu’elles ne ruinent pas ce moment en lui faisant commettre une erreur.

Pressant son buste et le côté de son visage contre les doux draps du lit, elle inspira profondément, se préparant à la première fois qu’on lui ferait à proprement parler l’amour, alors qu’elle maintenait ses jambes à un angle longuement pratiqué qui à la fois sublimait son postérieur, et le préparait aux mieux à toutes les formes d’attention qu’il pourrait recevoir, assez haut pour qu’il soit confortable de le lécher, pénétrer, ou quoi que ce soit d’imaginable, et assez bas pour que la position puisse être endurée aussi longtemps qu’il le faille. À cela, il fallait ajouter que, ses désirs à leur paroxysme, se sachant sur le point d’être exaucés, de fines gouttes de cyprines perlaient de l’intimité de la favorite, menaçant de ruisseler le long de ses cuisses, ce qu’elles feraient certainement venu le temps d’être malmenée par les caresses de sa maîtresse.

15
« Ne me tente pas comme ça, ma chérie… »

Le ton de Madelyne était légèrement autoritaire, faussement, bien sûr, lui signifiant qu’il ne fallait pas lui dire ce genre de chose à la légère, et Divine avait appris à respecter cette mise en garde, sa propriétaire lui ayant prouvé maintes fois qu’elle n’avait pas froid aux yeux. Si Pryor le lui avait demandé, c’est à dire ordonné, la favorite se serait cependant prêtée au jeu ; Sans doute aurait elle rougi de honte, ce qui était sans doute en partie le but, mais elle n’aurait pas pu nier son plaisir, celui de combler sa maîtresse - et sans doute bien plus.

Cependant, ça n’était pas à l’ordre du jour, et rapidement Béatrice apparut dans un tailleur bleu marine un peu mieux boutonné - en tout cas plus haut - que celui de la « secrétaire », même si la poitrine bien plus volumineuse de la manager rendait sa tenue au moins autant si ce n’est plus captivante en terme de décolleté. Lui serrer la main fut une expérience assez étrange pour Divine ; Bien entendu, elle connaissait ce geste, mais, en tant qu’esclave qui n’avait eu à se « fondre dans la masse » qu’aux côtés de sa maîtresse, donc très récemment et au Japon, il ne lui était pas tout à fait familier, ayant plus l'expérience des révérences et autres salutations à base d'agenouillements et courbures, qui elles, avaient l'avantage de ne pas mettre celle qui les pratiquaient sur un pied d'égalité avec la personne saluée. En l’occurrence, elle manquait ostensiblement de poigne, ses frêles doigts se laissant simplement bercer par ceux de Forest, déformation « professionnel » de son statut d’esclave, où montrer de force n’était pas réellement attendu. Bien entendu, Béatrice fit comme si de rien n’était, si elle avait seulement remarqué, et concentra à nouveau son attention sur Madelyne, qui, d’une simple phrase, fit en sorte que sa favorite n’ait pas trop à assumer ses supposées fonctions d’assistante. Bien sûr, elle saurait faire illusion un moment, mais bien des notions du monde « extérieur » lui échappaient encore, notamment tout ce qui avait attrait aux affaires, ne possédant par essence pas d’argent et n’en attendant pas non plus ; Pour une esclave comme elle, élevée depuis le plus jeune âge par les Karlbergs, n’existait que le service inconditionnel, ayant au plus une certaine conscience des valeurs relatives des diverses richesses de sa propriétaire, mais pas bien plus.

Quand la manager offrit des boissons, contrairement à sa maîtresse, Divine se contenta d’eau, n’étant par nature que peu exigeante dans ses demandes. Cela pouvait sembler étrange, mais on la servit tout de même, dans un élégant verre, de plus, sans faire de vague, imaginant certainement que son éthique de travail la poussait à ne pas boire d’alcool durant la journée, ou qu’elle ne se sentait pas de réclamer plus, surtout alors que sa présence n’était pas tout à fait justifiée.

Quand vint le moment de s’asseoir, Madelyne et Béatrice s’assirent évidement dans deux canapés se faisant face, Divine alla se placer, très consciente de ce qu’elle faisait, sur un qui leurs étaient perpendiculaires, s’excluant plus ou moins de leur conversation. Comme sa maîtresse avait prévenu, elle savait se faire discrète, mais la favorite devait avouer avoir d’autres desseins derrière la tête.

Depuis leur trajet dans la limousine, la jeune femme voyait ses désirs être éreintés constamment par sa propriétaire qui ne manquait jamais de la couvrir d’attention, mais oubliait de manière très commode et calculée de réellement la « délivrer » de ses pulsions, aimant pousser son esclave dans ses retranchements, un procédé quelques peu sadique mais aussi utilitaire puisqu’elle pouvait alors faire ce qu’elle voulait de Divine. La favorite, cependant, savait aussi jouer de ses charmes pour tenter Madelyne, et c’était bien sa seule arme dans ce jeu dont les règles ne l’avantageaient pas vraiment.

« Comment tu la trouves ? Elle est belle, non ? »

La jalousie de l’esclave fut piquée par cette remarque, les favorites, par nature, tentant de s’accaparer les attentions de leur maîtresse en jouant de zèle dans leur service. Bien entendu, Pryor savait cela, ayant pu lire dans l’esprit même de sa propriété sa nature possessive s’éveiller chaque fois qu’elle montrait ne serait-ce que le début d’une once d’appréciation pour quelqu’un d’autre. Cependant, si les Karlbergs avaient laissé ce trait, qui aurait autrement pu être un défaut, se développer, c’était très calculé, parce qu’ils l’avaient emprisonné dans le carcan de la servitude et l’adoration, garantissant qu’au lieu d’à proprement parler jalouser, dans le cas présent, Béatrice, et la voir comme une intruse, Divine, au lieu de cela, s’imaginait déméritante, et avait le réflexe primaire de redoubler d’effort pour reconquérir, dans sa vision déformée du monde, sa maîtresse.

C’est cela qui poussa la jeune femme à rester très mesurée dans sa réponse, d’autant qu’aller contre l’avis de sa propriétaire n’était pas tout à fait dans ses habitudes, surtout si, comme dans le cas présent, il était objectivement le bon, Forest étant une femme magnifique sous tout rapport.

« Vous avez raison, Maîtresse, elle est très belle... »

Sur ce message télépathique - bien qu’à proprement parler, Divine n’envoyait rien, et c’était sa maîtresse qui venait elle-même lire ses pensées - la favorite croisa ses longues jambes, mais prit soin de rabattre celle du côté de Béatrice par dessus l’autre. Ainsi, non seulement la jupe du tailleur de l’esclave formait naturellement une ouverture du côté de Madelyne, que sa servante prit soin d’aligner de manière à ce que son regard puisse s’y immiscer, en faisant pointer ses cuisses vers sa propriétaire mais aussi en s’asseyant profondément dans le moelleux canapé, faisant naturellement se relever ses jambes, mais tout cela arrivait caché du regard de leur hôte. Ainsi en place, alors que Pryor parlait affaires avec Forest, les deux femmes trop occupées pour remarquer ses manigances, en tout cas pour l’instant, Divine se concentra, comme on lui avait appris, pour que ses pensées attirent l’attention de sa maîtresse.

« Qu’est-ce que vous croyez qu’elle porte sous son tailleur, Maîtresse ? Peut-être que vous pourriez l’influencer pour qu’elle nous montre...Regardez, ça ne prend vraiment pas beaucoup d’effort, et c’est très discret... »

Espérant alors attirer les yeux de Madelyne par ses « paroles », sa favorite continua son œuvre et tira légèrement sur le côté de son tailleur que la position de ses jambes cachait de la vue de Béatrice, révélant le haut de ses bas en même temps que laissant le regard de sa propriétaire pénétrer un peu plus profondément entre ses cuisses. Là, elle pouvait deviner son tanga, sa couleur blanche ornée de dentelle « dorée » - en réalité seulement d’un jaune imitant le métal précieux, mais n’en possédant pas le brillant - captant le peu de lumière qui s’immisçait sous sa jupe, et, sa télépathie aidant, le désir qui y résidait, éveillé depuis un certain moment.

Amenant un index à ses lèvres entrouvertes, légèrement brillantes à cause de son rouge à lèvres à la couleur profonde, mimant la réflexion à quiconque la surprendrait, mais signifiant l’espièglerie à sa maîtresse qui la connaissait mieux que cela, elle plongea son regard, empourpré par le flot d’émotions lubriques la traversant, soulignant d’ailleurs qu’elle avait su rester assez sage jusqu’ici malgré tout ce qui s’était passé entre elle et Madelyne, dans le sien, justement, et continua à lui parler via son esprit dans lequel sa propriétaire pouvait lire comme dans un livre ouvert.

« J'ai peur qu'il ne faille que vous cachiez le pourpre de mes yeux, cependant, Maîtresse, comme vous aviez proposé de nous cacher pendant que nous ferions l’amour...Vous croyez qu’il est trop tard pour ça ? »

Divine faisait de son mieux pour retenir un sourire joueur, mais celui-ci passa à travers sa garde et déforma très légèrement ses lèvres malgré tout. Quelques peu nerveuse, sachant qu’elle dansait sur la limite de ce qui était acceptable, ses doigts, comme pour les occuper en même temps que ses nerfs, enserrèrent délicatement une des jarretelles que la relevée de sa jupe avait exposé, puis, la suivant, se glissèrent doucement sous la fine bande de dentelle couronnant son bas, allant et venant doucement autour de sa cuisse, toujours hors de la vue de Béatrice.

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