Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Sujets - Takara

Pages: [1]
1
La danse, un cours que j’avais envie de suivre. D’abord parce qu’on m’avait dit que c’était une danseuse connue qui allait nous instruire mais en plus, ça me permettrait de me défouler un peu. C’est pas que je ne me défoule pas pendant les autres cours, ça non mais là, c’est physique et je ne penserais à rien d’autre que danser, me laisser aller au rythme de la musique. Certains de me compagnons de classe furent surpris de savoir que j’allais suivre un cours de mon propre chef, certains m’avaient d’ailleurs suivis juste pour avoir le plaisir de me voir autrement vêtue qu’avec l’uniforme scolaire. Ainsi, la semaine se terminait avec ce cours de danse. La plupart des gars de la classe avaient choisis d’aller en sport, ce qui m’arrangeais bien, je ne verrais pas king kong pendant les deux dernières heures de cours. Une fois que le cours de dessin fut terminé, j’allais ranger mes affaires dans ma chambre et prit quelques vêtements plus adapté à la danse que cette mini jupe accompagnée du chemisier.

Prof de danse espagnole, ça impliquait certainement un tango ou des trucs du genre. Je pris donc une belle robe rouge révélant en grande partie mes jambes, la fourra dans mon sac ainsi qu’un training noir et un tee-shirt blanc au cas ou ce serait fort physique. Faut pas croire mais parfois je me prépare soigneusement. Je mis donc tout ça dans un sac et me dirigeais vers la salle de danse. Comme je m’y attendais, elle était faite d’un parquet ciré, de grands miroirs servaient de mur et une barre était fixée en face. Certainement pratique pour les étirements et autres échauffements. J’entrais, je n’étais pas la première. En fait, tout le monde était déjà là, il ne manquait plus que notre prof. Ils avaient tous leur ensemble training tee-shirt et je vis une porte au fond de la salle, les vestiaires pour se changer, parfait. J’y allais donc et mit ma robe de tango. J’avais juste envie de me démarquer et puis elle était assez courte pour que je puisse faire n’importe quoi. Pas folle, j’avais quand même gardé une culotte noir par dessous, je ne tenais pas vraiment à me révéler aux yeux des rares garçons présents. Déjà que j’allais les allumer comme ça, sans rien faire, je n’allais pas leur permettre de voir bien plus.

J’ouvris un casier, y plaçait mon sac et revint sur le dancing. Évidemment, tous les regards se portèrent sur moi, je faisais un peu tache dans la masse mais je voyais déjà l’envie des garçons. Ben oui, le joyau de ce lycée venait de ressortir des vestiaires et se montrait dans une belle robe alors qu’habituellement elle était en uniforme aussi simple que les autres. L’un d’eux vint m’accoster, décidément il ne perdait pas de temps celui là.

- Hey, tu veux être ma partenaire pour ce cours?

Partenaire d’un cours? Ma foi oui, pourquoi pas. Au moins ça m’éviterait d’avoir quarante mille demandes.

- Hmm oui, pourquoi pas.

Je terminais à peine ma phrase que la star des ballets entra. Facile de reconnaitre que c’était elle qui allait nous donner cours. Sitôt qu’elle était entrée, tout le monde m’avait lâchée du regard pour se concentrer sur la nouvelle venue. Voir une star d’aussi près avait de quoi émoustiller les agneaux m’entourant. Pour ma part, je me contentais juste de vérifier une dernière fois que mes chaussures ne me gêneraient pas lors des exercices.

2
Ça faisait l’objet de pas mal de discussions dans la classe, quelqu’un en classe d’art avait besoin d’un modèle pour peindre. Au début, je ne prêtais pas attention aux sornettes des ânes qui m’entouraient mais plus ils en parlaient, plus je me sentais intéressée. Évidemment, quand on a un corps comme le mien, fait pour le mannequinat, on ne peut que se dire que passer pour un modèle, ne fut-ce qu’un soir, était une chose à prendre. Sauf que moi, le mannequinat, c’était pas pour moi. J’étais faite pour lui mais lui n’était pas fait pour moi. Oh, j’aimais bien me montrer en public mais pas vivre des projecteurs braqués sur moi, le showbiz n’était certainement pas connu pour le romantisme. Drogues, alcool, tabac, voilà tout ce que j’en entendais en écoutant les infos, les vraies, pas ces trucs people que les jeunes vierges en chaleur n’écoutent ou ne lisent que pour se satisfaire à penser qu’elles pourraient être la femme de tel ou tel chanteur à la mode. Non, moi, ce que j’écoutais, c’était les vraies infos, celles où on apprend des trucs... Enfin, il est temps que j’arrête de dériver et que je revienne au sujet de discussion autour. Je tournais la tête et vit un des gars de la classe tenir un papier alors qu’ils parlaient. Discrètement, je lui fis un clin d’oeil et l’invita à me rejoindre en privé, en dehors de la classe. Autant dire qu’il ne s’était pas fait prier.

- Alors coco, c’est quoi cette histoire de modèle?
- C’est pour ça que tu m’as fait quitter ma conversation?
- Eh oh calme toi, ça t’plait pas de passer un moment avec moi?
- Si mais c’est que là j’étais...
- T’étais rien du tout. Dis moi ce que ça dit et t’auras ptet une récompense.

Je savais que l’idée de la récompense ne lui déplairait pas, ce qu’il ne savait pas c’es que jamais il ne l’aurait. Ahlala, ces étudiants débiles et fantasmeurs, j’vous jure. Rien de plus facile que de les amadouer, un coup de rein à gauche, un coup à droite et les voilà qui se mettent à baver en vous reluquant le postérieur. Mieux encore, on agite la poitrine sous leur nez et hop, les voilà à lever la queue comme de braves toutous. J’attrapais sa main, le regardait dans les yeux et murmura d’une voix douce.

- Allez, explique-moi...

Il déglutit, ne s’attendant probablement pas à ce que je m’approche autant de lui. Finalement, il me révéla tout ce que je voulais savoir. Un modèle pour une oeuvre de peinture, rendez-vous dans la salle de dessin après les cours, ça m’allait parfaitement étant interne forcée, internée était le mot juste mais la péjoration du terme faisait que personne ne l’utilisait. Moi, j’m’en foutais comme d’une guigne. Oui, j’étais internée ici mais c’était pas si mal finalement. Après avoir eu les renseignements que je voulais, je retournais en classe, poursuivie par les plaintes du toutou n’ayant pas eu son susucre. Je me retournais alors vers lui.

- Il veut quoi Beethoven? Un biscuit? Cherche dans ton tonneau, tu devrais pouvoir en trouver un.

Désormais, il avait honte, honte d’avoir cru une seule seconde à ce que je lui avais dit plus tôt mais aussi honte de se montrer à nouveau face à ette assemblée d’étudiants-spectateurs. Je retournais à ma place et recommençait à gribouiller dans mon cahier de brouillon. Ce monde que je m’imaginais devait sortir de ma tête et rien de mieux que de dessiner le reste de la journée. Dix-neuf heure, les cours étaient finis et j’avais eu le temps de passer par ma chambre pour me changer et mettre l’une de ses délicieuses robes de soirée noir me mettant parfaitement en valeur. Au pieds, j’avais juste de légères sandales me permettant de bouger sans bruit dans l’enceinte de l’établissement scolaire et sans avoir à mettre des talons qui m’auraient certainement gênée plus que ce qu’ils ne m’auraient servis.

Une fois devant la classe, j’inspirais et expirais avant de faire coulisser la porte. A l’intérieur, un garçon un peu plus âgé que moi se trouvait déjà là, parfait je n’allais pas devoir attendre bien longtemps avant de laisser parler l’art.

- Salut, c’est toi qui veut peindre un modèle?

3
Ça y est, le cours de dessin va commencer! Depuis le temps que je l’attend celui-là. Pour une fois je me dis que je ne jouerai aucun tour au prof. Le dessin, rien que de penser à cette matière j’ai les doigts qui en frémissent, le crayon me titille et la toile blanche sera bientôt dans les grandes expositions. Bon ok, j’en fais peut-être un peu trop mais je suis une artiste, ce cours est comme une pause pour moi, enfin une matière pour laquelle je ne passerai pas mon temps à faire marrer les p’tits potes de dernière. Dommage que nous n’avions pas ça lorsque j’étais à Tokyo... J’avais été déçue lorsque j’avais appris qu’ils ne dispensaient pas l’art du crayon, l’art visuel, le libre parcours de la main sur la vierge page. C’était déterminée que j’avançais vers la salle, accompagnée de quelques crétins tentant de me regarder sous le meilleur angle possible. Un regard en coin à gauche, un regard en coin à droite, pas de doutes possible, la basse-cour avait sorti les coqs de seconde zone. Aucun pour rattraper l’autre et rien qu’à leurs regards je devinais qu’ils me voulaient pour modèle. Que dalle, moi je suis une comique, pas une modèle pour des tocards à deux yens cinq. Non, moi, on me méritait et ce cours était le moment d’exposer mon imaginaire aux yeux de tous sans avoir à le faire sortir dans ce monde.

Une fois arrivée devant la porte, je l’ouvris et avançait, suivie des larbins baveux. C’est dingue ce qu’ils me répugnaient et m’attristaient en même temps. Les anciennes coutumes ne valaient donc plus en des temps si avancés? Dommage, les porteurs de bananes trop mûres allèrent s’asseoir dans un coin, comme pour mieux m’observer et, après avoir regarder l’agencement de la pièce, je m’installais là où ils ne verraient presque rien, me cachant encore plus avec le rideau blanc à dépuceler. Je laissais glisser mes doigts le long de cette page vierge, je la voyais déjà se remplir alors qu’elle restait blanche, pure. Un coup d’oeil aux voyeurs et des mines déconfites, là, je jubilais intérieurement. Oh oui, j’avais bon. Oui, leur mannequin fétiche aimait les voir tristes de ne pas pouvoir la reluquer mais qu’importe, la professeur entra et s’installa avant de capter l’attention de la classe. Elle prit les présences, ce qui eut pour effet de déconcentrer un peu la basse-cour de la poule aux oeufs d’or. Oui, la poule aux oeufs d’or c’est moi, la pin-up, miss beauté incarnée la basse-cour, vous l’aurez compris, c’est eux, le tas de jeunes dégoûtants même pas capable de savoir faire la cours correctement à une dame.

Une fois les présences prises, notre enseignante, contre qui je ne ferais jamais rien, nous dit qu’une élève allait poser comme modèle. Cette nouvelle me déçu un moment, moi qui voulait laisser parler l’imagination débordante était réduite à peindre quelqu’un existant déjà. Enfin, je n’allais pas me plaindre, il fallait bien commencer ce cours par quelque chose et quoi de mieux, pour montrer mon talent, que de peindre la réalité. L’imagination viendrait certainement plus tard. La porte du fond de la classe s’ouvrit alors et j’aperçus les vestiaires des modèles derrière une jeune fille uniquement vêtue d’un drap blanc. Je souris, elle était plutôt mignonne la petite et observait déjà ma toile. Je me voyais déjà dessiner son corps, ses courbes légères que l’on devinait à travers le drap. Alors c’était un nu que l’on nous proposait de dessiner... Ma foi, pour un premier cour c’était quand même pas mal. Je vis les pervers idiots loucher sur le corps de la jeunette et soupira... Aucune décence, aucune retenue. Soit ils étaient encore jeunes, soit ils étaient vraiment en manque. Ils ne se donnaient même pas la peine de lancer un regard furtif, non, ils insistaient. Tout pour me déplaire en somme.

4
Les alentours de la ville / Visite chez le psy [PV : Rahemar]
« le: jeudi 24 janvier 2013, 17:45:40 »
Aujourd’hui, j’avais été sage, pas de bêtises pendant les cours... Enfin, presque. Disons que le prof de physique (j’sais pas c’que j’ai contre eux mais leurs têtes me donne toujours envie de tenter un tour ou l’autre) a su que la nouvelle perturbatrice number one était arrivée. Autant qu’ils connaissent la valeur de la belle Takara dès le début. Enfin, j’étais quand même appelée au bureau du proviseur, ce qui était assez cool avec ça, c’est que je pourrais directement prendre mes marques et voir si la secrétaire me servirait de tête de turc. J’avançais tranquillement dans les couloirs, guidées par un des gars de ma classe. A son physique baraqué, je dirais qu’il faisait très certainement partie d’un club de sports et je me demandais quand est-ce qu’il me ferait sa demande pour sortir avec moi. Peu avant d’arriver devant la porte tant attendue, il s’arrêta et me fit face... Enfin, je l’aurai attendu ce moment. Il posa ses mains musclées sur mes épaules et me regarda droit dans les yeux... Autre chose que le petit Sakiro que j’ai laissé complètement perturbé. Lui, au moins, était sûr de lui. Il m’avait attrapée dans un de ces couloirs bondés, tout était parfait pour sa mise en scène, personne ne pourrait refuser, personne sauf moi.

- Sors avec moi.

Quoi? Un ordre?! Tss, gamin tu ne mérites même pas que je sorte avec toi juste pour le plaisir de se faire une sortie ensemble. Je regardais chaque élève présent, tous avaient le regard tourné vers nous, tous pensaient que je lui dirais oui. Je souris, regardait à nouveau le gaillard.

- Désolée mon loulou mais les patrons de commandos tels que toi ne m’intéressent pas. Ton ordre, tu te le fous où je pense et tu m’amènes chez Dieu direct ou ton service trois pièces va aller rendre visite à tes intestins.

Ça, c’était fait. Je pus entendre quelques rires, généralement des garçons qui se moquaient de la brute mécontente, tandis que les filles mettaient leurs mains devant leur bouche pour cacher le très beau “oh” d’étonnement qu’elle gardaient au fond de leurs gorges. Je le conçois, mes propos étaient brutaux mais, au moins, ils avaient le mérite d’être clairs. Si quelqu’un n’avait pas compris que je ne voulais pas, c’est soi t qu’il était sourd, soit sévèrement attardé. Vexé, il se retourna en me lâchant vivement et m’amena devant la porte du bureau rêvé. J’y étais, enfin j’allais voir ce qu’il se passait au delà de cette planche de bois. J’observais l’autre loulou repartir et lui adressais un dernier signe qu’il ne vit pas.

- Merci pour la balade et à la prochaine mon cochon.

Encore des rires, ceux qui avaient assisté à la scène devaient déjà m’avoir mémorisée, ptet que c’était lui ma nouvelle tête de turc. J’entrais alors, ignorant les félicitations et autres remarques qui m’étaient adressées et allait voir la secrétaire.

- Salut dacty-girl, on m’a dit de venir ici. C’est monsieur... Un prof de physique, dernière année.

Je voyais à son air que ma présentation était tout ce qu’elle pouvait détester, ce lycée était fort amusant, j’allais devoir me calmer et jouer mes coups en douce pour terminer l’année ici, le vieux avait raison. Pas que ça me dérange de devoir voyager, mais l’ambiance des lieux me plaisait.

- Un peu de respect mademoiselle. J’ai ici votre dossier scolaire, ce que vous venez de faire est tout bonnement la goutte d’eau qui fait déborder le vase. Vous allez devoir vous rendre chez le psychologue. Le rendez-vous est déjà pris, ne jouez pas à la plus futée et allez-y.

Elle me tendit une carte tout en finissant sa phrase. Bureau de psy hein? Mouais, pourquoi pas. Si ça peut leur faire plaisir après tout... C’est pas une visite chez lui qui va me tuer et comme c’est pas moi qui paye, c’est tout bénef’. D’après les heures notées, c’est pour demain. Ok, ça roule. Juste le temps de finir ma journée de cours et de me préparer ce soir... Pas de doute, Mishima s’organise bien, je peux même pas louper une heure de cours, la séance tombe pendant nos heures d'études. Fait chier.

Le lendemain, l’heure d’étude approchait, ma visite aussi quoi de mieux pour commencer l’année scolaire ici qu’une visite chez doc cerveau? J’entendis la cloche, la pause était là. Rapidement j’embarquais mon carnet de dessin déjà pas mal gribouillé et me dirigeait vers le cabinet. En chemin, je me demandais ce que je pourrais bien m’amuser à lui faire à doc cerveau mais je finis ma rêverie en me disant que je verrais bien sur place. Une fois arrivée, j’appuyais sur la sonnette, entrait après que l’on m’ait ouvert la porte et m’assied dans la salle d’attente tout en feuilletant un des nombreux magazines s’y trouvant.

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Le coin du chalant / Qui pour une p'tite blagounette?
« le: jeudi 24 janvier 2013, 16:34:05 »
Yosh la compagnie,

Étant nouvelle ici, vous ne me connaissez sûrement pas. Moi c'est Takara, le nouveau joyau de Mishima... Et ce, qu'ils le veuillent ou non. (Cliquez sur le lien pour la fiche ^^)

Je viens vers vous pour vous proposer de jolies petites aventures avec moi. Alors, qui veut jouer?

- Je viens juste d'arriver, j'ai besoin d'un(e) guide pour me faire visiter le lycée... Encore faut-il qu'il/elle soit capable de supporter mes petits tours pour tenir jusqu'au bout. (social)

- On se fait chier seule dans une chambre. La nuit est tombée, le moment est rêvé pour aller taquiner l'une ou l'autre personne. (social) [Réservée]

- Encore un cours où on s'endort... Hop, un petit dessin vite fait et après on fait marrer les copains de classe avec quelques petits tours. Autant dire que ma réputation d'élément perturbateur n'est pas passée inaperçue chez les profs. (social, partenaire enseignant(e) uniquement)

- Les cours de dessin, ça c'est le pied. Plus tard, je serai une grande dessinatrice... Quelqu'un veut des conseils pour dessiner... Ou un modèle? Moi j'm'en fous, j'suis une artiste née. (Social, hentaï sous certaines conditions) [Réservée]

- Ça y est, c'est le week-end. On va enfin pouvoir sortir, quelqu'un pour m'accompagner dans des délires hors de l'école? (social) [Réservée]

- Autre, selon vos envies.

Allez mes mignons, j'ai beau être belle je ne mords pas.

Nombre de rp maximum atteint, pour la suite, je vous demanderais de bien vouloir attendre que j'en termine avant d'en re proposer, merci à vous.

6
Prélude / La blagueuse nouvelle est arrivée. [Valawdée !]
« le: jeudi 24 janvier 2013, 16:00:46 »
Nom : Suigetsu
Prenom : Takara
Surnom : Trésor, Beauté, Poupée et tout ce que vous pouvez imaginer

Âge : 18 ans

Sexe : Femme, celui qui en doute je l'envoie dans un bassin plein de requins en tutu

Race : E.S.P.er
Orientation sexuelle : Aussi ouverte d’esprit que la plus vierge des plaines accueille une population de nomades. Aucun tabou, que des fantasmes.

Description physique :
De longs cheveux bruns légèrement ondulés, des yeux clairs, une petite bouche dont les lèvres sont mises en valeurs par un rouge à lèvre se mariant avec son banal teint, voilà ce que l’on voit en observant cette jeune fille. Évidemment, ces choses ne sont visibles que si l’on évite de loucher sur ses formes généreuses, dont le décolleté de ses robes de soirée, n’est pas pour gâcher le spectacle. Oui, Takara est belle, elle pourrait faire partie de ces filles qui font du mannequinat, son mètre 74 associé à sa taille gracile fait rêver la plupart des hommes qu’elle croise et des filles aussi, ne nous leurrons pas. Les femmes attirées par les autres femmes ne peuvent s’empêcher de loucher sur le corps cette splendide plante et même de le jalouser à l’occasion.

Notre petit trésor sait qu’elle est belle et ne fais rien pour cacher son corps. Elle aime porter des robes de soirée, laissant son décolleté offrir une très belle vue sur sa poitrine ronde et ferme. Ses robes se terminent généralement par une jupe fendue laissant apercevoir ses belles jambes parfaitement galbées. Si sa beauté ne s’arrêtait que là elle ne serait pas si convoitée mais ses pieds sont également un vrai régal pour les yeux lorsqu’elle se montre en talons ouverts. Oui, elle a le corps d’une déesse (ou presque) mais ne rêvez pas, elle le montre mais ne l’offrira pas si facilement. Toutes ses robes portent un bijou blanc, sorte de broche dont elle ne se sépare jamais.

Caractère :
Si notre poupée sait qu’elle est belle et désirable, elle ne s’en offrira quand même pas au premier venu, ça non. Elle, ce qu’elle veut, c’est le prince charmant, celui qui viendra lui faire la cour comme au bon vieux temps, lorsque les prétendants venaient chanter les louanges des belles sous leur balcon par une nuit étoilée. Oui, elle est romantique dans l’âme, vieux jeu mais qu’est-ce qu’elle donnerait pour avoir un prétendant de ce genre. Les brutes épaisses sont loin de l’attirer, ceux qui vont droit au but sans aucune finesse, ceux sans aucun goût pour l’art ne l’auront qu’en rêve. Elle, ce qu’elle cherche c’est un mec qui sache la protéger (bien qu’elle est consciente de pouvoir le faire seule), la faire rêver.

En attendant de trouver cette perle rare, elle sait user de ses charmes pour obtenir ce qu’elle veut. A force de réaliser son imaginaire, on apprend à avoir tout ce qu’on veut quand on veut, comme on veut. Elle est consciente d’être pourrie gâtée et elle aime ça. Personne ne lui résiste, elle veut quelque chose elle l’a. Le mot impossible est banni de son vocabulaire. A part ça, elle est aussi très joueuse, généralement de bonne humeur et assez farceuse, ce qui lui a valu quelques années de plus au lycée à force de renvois suite à ses blagues.

Elle aime s’amuser, faire la fête et rire de tout et de rien… Tout ça, sans toucher une seule goutte d’alcool, sans fumer et sans se droguer. Elle déteste ce genre de choses et, par-dessus tout, les personnes qui fument et qui vous envoie leur fumée de cigarette en plein dans le visage. Ces personnes, elle ne peut pas les saquer. L'autorité, elle a bien une idée de ce que c'est mais ne la respectera que très rarement. Ah oui, elle est aussi très rancunière, ne vous la mettez pas à dos… Simple conseil, faites-en ce que vous voulez.

Histoire :
- Mademoiselle Suigetsu !! C’était la dernière fois. Filez dans le bureau du proviseur, monsieur Sakiro accompagnez-la qu’elle n’essaye pas d’y échapper.

Péniblement, je sortis de la salle de cours après avoir rangé mes affaires. Décidément, ce prof n’avait aucun humour. C’est pas un coussin péteur sur sa chaise qui allait le tuer quand même… Enfin, au moins j’étais seule dans les couloirs avec ce beau représentant de la gent masculine. Mon regard dévia vers lui, il se forçait à regarder le sol pour éviter de me voir, je souris. C’était sûr qu’il avait le béguin et que je l’attirais plus qu’il ne me l’aurait jamais dit, lui le garçon timide et premier de classe. Ses joues virèrent au rouge lorsqu’il remarqua que je le regardais, il était mignon, dommage qu’il ne me courtisait pas comme au XIVe siècle. S’il savait qu’il ne lui suffisait que de ça pour que je lui dise oui… Mais non, il a fallu qu’il soit un mouton coincé dans une boite de sardines pour à peine oser lever le regard vers moi. Nous marchions, silencieusement dans les couloirs maintenant déserts quand je me mis à rire bêtement. Il leva alors la tête et m’observait avec de grands yeux, se demandant visiblement ce qui avait provoqué cette réaction. Je plongeais mon regard anthracite dans le sien, vert et complètement perdu. Il rougit à nouveau, je souris.

- Tu sais qu’on se verra plus maintenant que j’ai passé les bornes ?
- Ah… Euh… Ben… Et alors ?

Un nouveau rire vint briser le silence.

- T’es mignon, t’oses même pas dire à une fille qu’elle te plait quand c’est la dernière fois que vous vous retrouvez seul à seul. Allez mon loulou, le bureau du proviseur est juste là, tu peux retourner au cours.

Je lui déposais un baiser sur la joue et entrait dans le bureau. J’étais certaine que mes dernières paroles ainsi que le baiser allait le déconcentrer pour le restant de la journée mais comme c’était bon de finir ma scolarité ici de cette manière. J’étais un peu triste pour lui, il allait rater une journée de cours juste parce que j’avais eu envie de m’amuser… Enfin, maintenant la chose qui se présentait face à moi était une autre affaire. Après avoir ouvert la porte, j’entrais et observais la secrétaire.

- Salut, j’viens voir le boss.
- Encore une fois, présentez plus de respect à vos ainés miss. Entrez, il vous attend… Encore.

Énerver cette truie au corps gras, au visage disgracieux et aux ongles parfaitement manucurés pour se donner un genre de beauté était tellement jouissif que je ne pouvais m’en empêcher, chaque fois que je la voyais je me devais de la foutre en rogne. Allez savoir pourquoi, c’était elle ma tête de turc dans ce lycée. D’ailleurs, c’est avec elle que j’ai découvert mon pouvoir, ce jour était mémorable, ça avait été le seul jour de mes deux années ici pendant lequel elle avait été gentille avec moi. Peut-être que son poste de secrétaire de direction l’y forçait mais je m’en souvenais comme si c’était hier.

J’avais seize ans, mon corps n’était pas encore totalement formé et elle était moins grosse. Allez savoir pourquoi, j’étais d’une humeur massacrante, il y a des jours comme ça où quoi que vous fassiez, quoi que l’on vous dise, vous êtes de mauvais poil. Cette journée était de celle là pour moi et qui de mieux pour en profiter que ma tête de turc de secrétaire ? On était à midi, je ne lui avais encore rien fait lorsque je la vis entrer au réfectoire. L’occasion de la taquiner était presque parfaite, le seul détail embêtant était que j’étais assise à une table avec mon plateau repas déjà posé devant moi. Je posais un coude à table et faisait bouger ma fourchette entre mon pouce et mon index tout en l’observant. Elle avait l’allure fière, droite en toute circonstance. Je la vis se servir de nouilles, c’était un mercredi, jour des nouilles et m’imaginait que son plateau se renversait et que sa robe fut toute trempée après que son bol ait volé pour atterrir à l’envers sur son crâne, tenant ainsi les aliments comme une perruque. Je souris à cette idée et fus choquée de voir que ça arrivait. La surprise m’empêcha de sentir la fatigue et un fou rire général se déclencha, grisée par la coïncidence de la chose, j’imaginais qu’un autre élève aille glisser sur le liquide étalé au sol, ce qui fut aussi suivi par la réalisation. J’étais stupéfaite mais terriblement fatiguée, tellement épuisée que j’en tombais morte de fatigue, tête la première dans mon bol de nouilles.

Je n’ai jamais su ce qu’il s’était passé après mon évanouissement. Je me réveillais alors, encore un peu dans les vapes, à l’infirmerie et voulu me lever quand une main me retint. Je tournais le regard vers celle qui me retenait et vit ma cible. Elle faisait tout pour m’empêcher de retomber et prenait grand soin de moi, sur le coup je m’en voulais de lui avoir fait ça… Enfin, la situation n’avait pas été dangereuse, juste pour l’étudiant qui avait glissé mais il s’était rattrapé au dernier moment. Ce jour là, j’avais eu droit à un congé spécial. Je ne me fis pas prier et rentra chez moi. Depuis, je m’amuse beaucoup à jouer d’innocents petits tours à mes profs et à la vachette. Enfin, tout ça n’est que souvenir, allons voir où je vais être envoyée cette fois. Le proviseur a certainement déjà trouvé mon prochain établissement scolaire. J’ouvre la porte, la referme immédiatement et file m’asseoir sur la chaise qui m’est toute désignée. Le vieux soupira en me voyant entrer.

- Encore vous…
- Eh oui, avouez que je vous manquais.
- J’aurais aimé ne pas avoir à vous revoir dans ce bureau. Qu’avez-vous fait cette fois-ci ?
- Coussin péteur.
- Je vous demande pardon ?
- J’ai juste mis un coussin péteur sur la chaise de monsieur prof-de-physique et me voilà ici.

Je vis un sourire, furtif, se dessiner sous sa grosse moustache avant qu’il ne reprenne son sérieux.

- Vous êtes au courant que l’on doit vous changer d’établissement ?
- Oui, je connais la chanson, épargnez-moi le bla bla habituel, où j’vais cette fois ?
- A Seikusu, dernier établissement veut encore de vous. Tâchez de terminer votre dernière année sans vous faire éjecter sinon vous devrez terminer vos études dans un autre pays.
- Mouais, Seikusu… J’aime bien, merci m’sieur.
- Tâchez aussi d’être plus respectueuse avec leur directrice… Je ne voudrais pas qu’il vous arrive d’ennuis une fois là-bas.
- Comme c’est mignon. Allez, je file préparer mon sac.
- Une dernière chose avant que vous ne nous quittiez… Une fois arrivée, vous aurez votre chambre dans l’établissement, veillez à ne pas y mettre le feu.
- T’inquiète, il n’y a pas de quoi s’inquiéter.

Je lui adressais un dernier clin d’œil et sortit, faisant un signe d’adieu à miss dactylo, visiblement soulagée de ne plus me voir. Je ne terminais pas la journée, préférant rentrer directement. Alors comme ça j’aurais ma chambre directement sur place ? Ca, c’était une bonne nouvelle, je pourrais dormir plus tard. C’est ainsi que je repartis de Tokyo pour me retrouver à Mishima. Je ne mis pas longtemps à prendre mes aises dans la chambre que l’on m’avait désignée. Elle n’avait rien de bien spécial, rien pour faire de folies… Dommage, mais ce n’est pas ça qui m’arrêterais. Allez Mishima, voici la beauté à l’état pur. Il ne me reste plus qu’à me trouver une cible bien potache pour m’amuser un peu discrètement.

Situation de départ : Vierge

Autres :
Le pouvoir de Takara réside dans le seul fait de son imaginaire. En effet, cette jeune demoiselle peut représenter son imaginaire dans le monde réel. Ainsi, si elle imagine un golem de pierre, ce dit golem apparaitra dans le monde. La seule limite à son pouvoir est son imaginaire débordant.

Suite à son pouvoir, Takara est très imaginative et passe le plus clair de son temps à dessiner pendant les cours. Elle est devenue une très bonne dessinatrice. Parfois il lui arrive aussi d'écrire des histoires le soir qu'elle pourrait éventuellement faire lire à des curieux(ses).

Comment avez vous connu le forum : DC

Avez vous des moyens de faire connaître le site autour de vous ? Si oui lesquels : Non

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