Pauvre Amenas. Elle ne savait pas où elle avait mis les pieds. Elle pouvait toujours crier, aucune aide ne lui parviendrait en ces lieux lugubres et déplaisants. Le manoir avoir beau être richement meublé et bien entretenu, il n’était pas destiné aux plaisirs des sens … enfin … sauf à ceux de son propriétaire. Ce que vivait l’esclave échappée était le lot commun de toutes les femmes qui entraient ici, et ce n’était qu’un avant-goût de la suite. En effet, au mieux Amenas mourrait après ce déchainement de violence sexuelle, au pire, elle terminerait dévorée vivante, la viande étant toujours meilleure fraiche. Outre le maitre des lieux, le manoir recelait de choses et créatures terrifiantes dont les humains ne soupçonnaient même pas l’existence.
Mais au-delà de ces considérations, la curée continuait dans le couloir où un épais tapis moelleux évitait à Amenas de ses déchirer les genoux. En revanche les autres parties de son corps n’étaient pas épargnées. Enculée, fistée, sa bouche baisée salement, elle encaissait le rut des gobelins puants sans pouvoir s’en extraire. Ses fesses subissaient le gros de cette violence et les trois queues maigrichonnes s’y activant tambourinaient là-dedans sans sembler s’affaiblir. Sa chatte était étirée par l’avant-bras de la créature verdâtre qui y pompait comme une machine chaotique et le deuxième gobelin qui violait sa bouche y pissa comme le premier l’avait fait. Des flots d’urine immonde s’en écoulait, mélangés à la bave qu’elle libérait.
L’apothéose vint quand les deux gobelins jouirent en même temps, remplissant sa cavité buccale mais obturant la sortie. La quantité de sperme lâchée remonta les canaux nasaux pour jaillir des narines et s’écouler le long des joues de la jolie blonde. De concert, les monstres lui défonçant le cul jouirent aussi successivement et la remplirent en profondeur avant de se retirer la laissant toute pantelante. Clou du spectacle, ceux restants se masturbèrent au-dessus d’elle, giclant et pissant sur son corps gracile. Ils ricanaient bêtement, fiers de leur œuvre, laissant la fille couverte de leurs immondices graisseuses.
Ces hostilités avaient éveillé l’envie de Lord Garod. Pervers, vicieux, brutal, le demi troll voyait en cette opportunité un bon moyen d’assouvir sa méchanceté avant de passer à table. Si sa victime était aussi bonne qu’elle était attrayante, alors il se régalerait. Il était temps pour lui à présent de profiter de la surprise. Son majordome attendait ses ordres.
"Fais là amener dans ma pièce de jeu. Tu sais où l’attacher."
La pièce de jeu … le musée des horreurs en vérité. L’endroit où trépassaient les pauvres esclaves achetées pour subir les pires atrocités.
L’ordre fut répercuté et les gobelins trainèrent Amenas, la molestant et la frappant gratuitement dans les côtes, éructant des insultes et lui crachant dessus. Elle pouvait toujours résister mais ils restaient les plus nombreux et même si quelques-uns prirent des coups, ils parvinrent à leurs fins. Amenas fut attachée à un pilori, la tête et les poignets immobilisés dans des orifices prévus à cet effet. Courbée à l’horizontale, elle présentait son joli fessier tandis que ses chevilles étaient attachées à des chaines pour l’entraver complètement. Les créatures sortirent de la pièce, la laissant seule à contempler les horreurs de l’endroit. La salle, contrairement au reste du manoir, était sale. Des mares de sang avaient séché sous des appareils de torture effrayants. Des éclaboussures d’hémoglobine tachaient les murs. Sur un établi sommaire, des lames, des scies rouillées, des pierres taillées étaient disposées pêle-mêle à côté de gros marteau carrés. S’il n’y avait pas de corps visibles, en revanche sur une étagère en face d’Amenas trônaient les têtes des victimes préférées de Lord Garod, conservées dans des bocaux remplis d’alcool. Ces proies-là avaient procuré au monstre des plaisirs inestimables en souffrant plus que de raison et en s’accrochant à la vie jusqu’au bout.
La blondinette ne vit pas entrer son bourreau qui était déjà nu, obèse et gras, pustuleux. Il se passa la langue sur les lèvres en regardant ce petit cul parfait.
"OH OH OH … petite voleuse. Tu viens me piller impunément, je devrais te remettre à la justice sans attendre mais … j’ai prévu autre chose pour toi …"
Il s’approcha d’elle et posa sa grosse queue molle sur son corps. L’énorme membre suivait la courbe des fesses, continuait dans le creux des reins d’Amenas et remontait le long de la colonne vertébrale jusqu’au milieu de son dos.
"Tu as volé dans mon garde-manger mais as-tu seulement idée de ce que tu as avalé ? Sais-tu vraiment ce que mangent les trolls ?"
Il leva le bras par-dessus le pilori et Amenas put voir le gros index désigner les bocaux en face d’elle.