Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Amenas

Invité

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lundi 07 novembre 2022, 22:54:09

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« Modifié: jeudi 09 novembre 2023, 18:42:15 par Kõya Breathless »

Ryo

Humain(e)

Re : Tout pouvoir est violence. [Pv]

Réponse 1 vendredi 11 novembre 2022, 10:08:12

Il était, dans les faubourgs de la cité, un quartier où seuls les plus aisés vivaient. Loin des bas-fonds de la ville, du port marchand et de l'immense marché aux esclaves, les riches s'épanouissaient sur le dos du peuple qui croulait sous les tâches. Dans ce quartier, les manoirs se côtoyaient, tous plus beaux les uns que les autres, révélant les richesses et la fortune de leur heureux propriétaire. Ce monde là cachait sous une apparence mondaine les pires traits de l'humanité. Peu d'entre eux pouvaient se targuer d'être des symboles d'intégrité et d'honnêteté. Ces riches personnes organisaient des fêtes, des banquets, où les plus hautes autorités de la cité étaient conviées. ils se connaissaient tous et hypocritement, s'appréciaient car ils partageaient les mêmes vices.

Cependant, parmi eux, il en était un qui était mis à part. Ce propriétaire fortuné vivait dans un immense manoir qui le jour imposait le respect mais la nuit, propageait la terreur. Peu de gens connaissaient réellement le propriétaire mais ceux qui l'avaient vu avaient juré de garder le secret, sous peine de mourir dans d'atroces souffrances. Et comme moins on en savait sur quelqu'un, plus les histoires à son sujet s'amplifiaient pour devenir légendes. On disait qu'il s'agissait d'un dragon se plaisant sous forme humaine, ou encore qu'il était revenu transformé du monde des démons. Sa fortune était indéniable, son clerc, un homme maigre et veule, connu de tous, achetait constamment des esclaves de qualité en ville pour en faire on ne savait quoi. une fois entrés, dans le manoir, ils n'en ressortaient jamais.

La vérité était bien plus simple. Le propriétaire était un demi-troll, né du viol d'une humaine par un monstre des montagnes. il avait grandi parmi les monstres mais son curieux mélange en avait fait un personnage redoutable et étrangement intelligent. Sa fortune provenait du butin qu'il avait volé aux siens avant de disparaitre. Il était arrivé en ville discrètement avec ses richesses, s'était introduit dans ce manoir et en avait dévoré le vieux propriétaire avant de s'y installer. Son or l'avait été à s'implanter durablement et à présent, ses affaires prospéraient. Il ne se montrait jamais, sauf rare cas où il se devait de recevoir un correspondant commercial, mais ses besoins en esclaves étaient importants. Il s'en rassasiait quotidiennement, principalement des jeunes femmes, douces et tendres...

Aussi, quelle ne fut pas sa surprise quand une alarme magique scintilla dans son grand salon, à l'étage. Lord Garod, comme il aimait se faire appeler, se leva pesamment. Il était démesurément obèse et court sur pattes même s'il atteignait la taille incroyable de  deux mètres. Sa peau était flasque et verdâtre, son visage bouffi et doublé de graisse et ses vêtements coûteux ne cachaient pas sa laideur.

"Qu'avons nous là?"

Il activa une sphère de pouvoir et découvrit avec bonheur la belle intruse en train de dévaliser son garde-manger. Le monstre eut un rire aussi joyeux qu'horrible, sorte de grondement qui fit tressauter son gros ventre. Il y avait là de quoi combler sa journée. La chose était avide de sexe et il allait profiter d'elle avant de la déguster. Derrière lui, son majordome, un horrible hideux , se profila.

"Envoie tes fils apprendre à cette petite voleuse que l'on entre pas chez moi sans en payer le prix."

L'autre approuva et une minute après, douze gobelins couraient dans les couloirs. La fille ne put se cacher et ils chargèrent pour la submerger, nus, crasseux, puants et follement excités, leur sexe bandant comme jamais à l'idée de la violer. Elle bascula sous le nombre et le premier ...
« Modifié: vendredi 11 novembre 2022, 12:08:54 par Ryo »

Ryo

Humain(e)

Re : Tout pouvoir est violence. [Pv]

Réponse 2 jeudi 24 novembre 2022, 11:09:48

La vue de cette femelle humaine nue n'améliore pas le sort qu'elle va subir. Déjà peu intelligents, les gobelins ne réagissent qu'à l'instinct, et quand il s'agit de copuler, on ne parle avec eux que de primalité. La ruée sauvage se termine par un amoncellement de corps hideux sur celui de la jolie blonde. Pour ces créatures, l'occasion de violer une belle humaine et rare. Généralement, ils doivent se contenter des restes laissés par leur maitre et il n'y plus grand chose à en tirer à part des pâtés ou andouillettes. Car le destin tragique qui s'annonce pour l'inconnue est celui, habituel, de celles qui entent dans cette maison. Elle sera baisée jusqu'à ce que Lord Garod s'en lasse et après, il s'en délectera, après l'avoir passé à la broche surement, sa méthode de cuisson favorite qui garde les viandes juteuses sous une peau croustillante.

La curée commença et aucun ne perdit de temps pour s'accaparer un bout de la Belle. La première minute fut très confuse entre la victime qui se débattait et la folie des gobelins dégénérés cherchant à satisfaire leurs pulsions coûte que coûte. Et puis, le plus fort d'entre eux beugla un ordre après avoir décocher un violent coup de poing dans la mâchoire d'un de ses frères trop envahissant. La blonde fut trainée un peu plus loin dans le couloir et ils la retournèrent à quatre pattes. Le gobelin dominant grimpa sur elle par derrière et enfonça sa queue immonde dans la petite rondelle déjà sollicitée. Derrière lui, un autre se hissa sur la pointe de ses pieds pour pouvoir s'y introduire aussi tandis qu'un troisième s'approcha en grognant et trouva une place pour venir aussi profiter de l'étroitesse de l'endroit. Leurs membres étaient bien moins imposants que celui d'un humain ou d'une quelconque autre créature aussi ils la sodomisèrent sans difficulté à trois, alternant les vas et viens frénétiques et écartelant l'anus qui saignait sur les contours de son auréole plus foncée.

Un autre des frères tenta de passer sous elle pour investir son vagin mais il prit un coup de pied et ne parvint pas à s'y loger. Dépité, il réussit quand même à glisser un main dans ce recoin et l'y plongea jusqu'au coude en s'amusant que cela fut possible. Son rire idiot surprit tout le monde, il pouvait sentir les queues de ses trois frères bouger dans le rectum de l'esclave.

Ça en faisait quatre occupés. Le cinquième vint s'allonger sous la poitrine d'Amenas. Il enlaça ses jambes autour de la taille de la jeune femme, ses longs bras maigres autour de son torse et lui baisa les seins comme un acharné, étalant la crasse puante de sa queue dans le creux de la poitrine violée. Deux autres s'accrochèrent à la tête de la voleuse et lui défoncèrent la bouche en même temps. Trop peu impressionnants pour taper dans le fond de sa gorge, ils compensaient par un vigueur surprenante et cette frénésie eut très vite raison de l'un d'eux qui pissa abondement dans ce réceptacle tandis que l'autre l'insultait de tous les noms sans pour autant s'arrêter.

Les autres tournaient autour du groupe, frottant leur sexe contre le moindre bout de peau vierge qu'ils pouvaient trouver. Il fut décidé de ne pas utiliser les mains de la jeune femme pour qu'elle puisse garder un semblant d'équilibre et un gobelin la mordit à l'épaule à titre de prévention. Si elle agissait mal, il la boufferait sur place, n'en déplaise au maitre qui aurait quand même droit au meilleur morceau.



Ryo

Humain(e)

Re : Tout pouvoir est violence. [Pv]

Réponse 3 jeudi 26 janvier 2023, 19:54:34

Pauvre Amenas. Elle ne savait pas où elle avait mis les pieds. Elle pouvait toujours crier, aucune aide ne lui parviendrait en ces lieux lugubres et déplaisants. Le manoir avoir beau être richement meublé et bien entretenu, il n’était pas destiné aux plaisirs des sens … enfin … sauf à ceux de son propriétaire. Ce que vivait l’esclave échappée était le lot commun de toutes les femmes qui entraient ici, et ce n’était qu’un avant-goût de la suite. En effet, au mieux Amenas mourrait après ce déchainement de violence sexuelle, au pire, elle terminerait dévorée vivante, la viande étant toujours meilleure fraiche. Outre le maitre des lieux, le manoir recelait de choses et créatures terrifiantes dont les humains ne soupçonnaient même pas l’existence.
Mais au-delà de ces considérations, la curée continuait dans le couloir où un épais tapis moelleux évitait à Amenas de ses déchirer les genoux. En revanche les autres parties de son corps n’étaient pas épargnées. Enculée, fistée, sa bouche baisée salement, elle encaissait le rut des gobelins puants sans pouvoir s’en extraire. Ses fesses subissaient le gros de cette violence et les trois queues maigrichonnes s’y activant tambourinaient là-dedans sans sembler s’affaiblir. Sa chatte était étirée par l’avant-bras de la créature verdâtre qui y pompait comme une machine chaotique et le deuxième gobelin qui violait sa bouche y pissa comme le premier l’avait fait. Des flots d’urine immonde s’en écoulait, mélangés à la bave qu’elle libérait.

L’apothéose vint quand les deux gobelins jouirent en même temps, remplissant sa cavité buccale mais obturant la sortie. La quantité de sperme lâchée remonta les canaux nasaux pour jaillir des narines et s’écouler le long des joues de la jolie blonde. De concert, les monstres lui défonçant le cul jouirent aussi successivement et la remplirent en profondeur avant de se retirer la laissant toute pantelante. Clou du spectacle, ceux restants se masturbèrent au-dessus d’elle, giclant et pissant sur son corps gracile. Ils ricanaient bêtement, fiers de leur œuvre, laissant la fille couverte de leurs immondices graisseuses.

Ces hostilités avaient éveillé l’envie de Lord Garod. Pervers, vicieux, brutal, le demi troll voyait en cette opportunité un bon moyen d’assouvir sa méchanceté avant de passer à table. Si sa victime était aussi bonne qu’elle était attrayante, alors il se régalerait. Il était temps pour lui à présent de profiter de la surprise. Son majordome attendait ses ordres.

"Fais là amener dans ma pièce de jeu. Tu sais où l’attacher."

 La pièce de jeu … le musée des horreurs en vérité. L’endroit où trépassaient les pauvres esclaves achetées pour subir les pires atrocités.

L’ordre fut répercuté et les gobelins trainèrent Amenas, la molestant et la frappant gratuitement dans les côtes, éructant des insultes et lui crachant dessus. Elle pouvait toujours résister mais ils restaient les plus nombreux et même si quelques-uns prirent des coups, ils parvinrent à leurs fins. Amenas fut attachée à un pilori, la tête et les poignets immobilisés dans des orifices prévus à cet effet. Courbée à l’horizontale, elle présentait son joli fessier tandis que ses chevilles étaient attachées à des chaines pour l’entraver complètement. Les créatures sortirent de la pièce, la laissant seule à contempler les horreurs de l’endroit. La salle, contrairement au reste du manoir, était sale. Des mares de sang avaient séché sous des appareils de torture effrayants. Des éclaboussures d’hémoglobine tachaient les murs. Sur un établi sommaire, des lames, des scies rouillées, des pierres taillées étaient disposées pêle-mêle à côté de gros marteau carrés. S’il n’y avait pas de corps visibles, en revanche sur une étagère en face d’Amenas trônaient les têtes des victimes préférées de Lord Garod, conservées dans des bocaux remplis d’alcool. Ces proies-là avaient procuré au monstre des plaisirs inestimables en souffrant plus que de raison et en s’accrochant à la vie jusqu’au bout.

La blondinette ne vit pas entrer son bourreau qui était déjà nu, obèse et gras, pustuleux. Il se passa la langue sur les lèvres en regardant ce petit cul parfait.

"OH OH OH … petite voleuse. Tu viens me piller impunément, je devrais te remettre à la justice sans attendre mais … j’ai prévu autre chose pour toi …"

Il s’approcha d’elle et posa sa grosse queue molle sur son corps. L’énorme membre suivait la courbe des fesses, continuait dans le creux des reins d’Amenas et remontait le long de la colonne vertébrale jusqu’au milieu de son dos.

"Tu as volé dans mon garde-manger mais as-tu seulement idée de ce que tu as avalé ? Sais-tu vraiment ce que mangent les trolls ?"

Il leva le bras par-dessus le pilori et Amenas put voir le gros index désigner les bocaux en face d’elle.

Ryo

Humain(e)

Re : Tout pouvoir est violence. [Pv]

Réponse 4 dimanche 29 janvier 2023, 19:20:16

Quelle délice que de voir cette jolie petite esclave s'animer sous l'effet de la panique. C'était un moment que Lord Garod prenait plaisir à ne jamais rater. Chacune de ses victimes réagissait différemment et celles qui se rebellaient étaient les plus prometteuses. Les filles qui abandonnaient dès le départ l'écœurait  et généralement, il les décapitait avant même de les avoir violé. Après, elles faisaient quand même un plat apprécié donc l'investissement initial n'était pas totalement perdu. Celle-ci était hargneuse, vulgaire, et gesticulait contre le corps dodu du troll. Son petit cul poussait contre lui, ce qui provoqua immédiatement l'érection du monstre. La blondinette pouvait bien se débattre, elle n'arriverait à rien. Garod se pencha lourdement sur elle et lui emprisonna les seins pour les serrer entre ses gros doigts. Il voulait lui faire mal et l'entendre piailler. Elle était intéressante car après ce qu'elle venait de subir, sa combativité était toujours intacte.

"Tu es une sale petite pute! Tu me voles et tu rechignes à te faire corriger? Ingrate! je devrais te donner aux cochons! ils seraient moins tendre que moi!"


Il tira les seins d'Amenas comme s'il voulait la traire et en fit d'ailleurs le mime alors qu'il s'affalait sur elle, son ventre énorme débordant du dos de la pauvre esclave. Il se frottait à elle, gras et dodu, se délectant des fesses contre sa peau.

"Tu devrais me remercier de t'avoir épargné!"

Il se redressa et admira ce qu'il allait détruire. Ses mains s'ancrèrent aux fesses pâles qui s'agitaient et ses deux pouces s'insérèrent dans l'anus blessé pour l'écarteler. les gobelins avaient bien travaillé et même si l'accès était sanguinolent, l'ouverture était satisfaisante. Enfin ... pour quelqu'un comme un être humain en tout cas ... Lui, était bien plus gros, bien plus long, et bien plus épais. Garod s'aligna bien derrière elle et pressa son gland monstrueux contre l'anus ouvert. Il l'obturait complètement, en occupant tout l'espace sans parvenir à y entrer.

"Je vais t'enculer petite pute, et tu vas hurler tant ce sera douloureux."

Et là, il utilisa tout son poids pour donner un coup de rein magistral et défoncer le semblant de résistance qu'il put trouver. Ca craqua un peu, ça serra beaucoup, mais c'était entré, de moitié au moins. L'énorme masse verdâtre transperçait le cul d'Amenas. C'était disproportionné, aberrant, impossible. Le troll s'agrippa ensuite aux hanches fines et martela comme un fou, terminant d'empaler la fille dont les pieds quittèrent le sol de quelques centimètres, les chevilles meurtries par les chaines. Les ravages causés par cette pénétration, il s'en moquait. De toute manière c'est par là qu'elle serait farcie après. Le troll vivait un gros moment, c'était tellement serré là-dedans qu'il en avait mal lui aussi. Il la frappa, dans les côtes et lui tira ses beaux cheveux blonds. Et puis il revint à son plaisir premier et la sodomisa à outrance, longtemps, très longtemps. L'endurance des trolls était légendaire. Sa queue était à l'étroit, le gland s'irritait contre les os de la colonne vertébrale, c'était divin! Il plongeait dans ce cul, l'emmanchant jusqu'à la garde.

Et puis, s'apercevant qu'elle gueulait vraiment beaucoup, Garod fit un signe à son majordome. Ravi celui-ci vint se hisser devant elle, s'accrochant à la planche du pilori lui immobilisant la tête, et lui viola la bouche comme ses fils l'avaient fait avant lui. Sauf que lui fut vraiment brutal...

Ryo

Humain(e)

Re : Tout pouvoir est violence. [Pv]

Réponse 5 jeudi 09 mars 2023, 11:54:55

Lord Garod aimait faire souffrir ses victimes. Rien ne l'euphorisait plus qu'un viol qui rendait les femmes qu'il choisissait à l'état de poupées sexuelles désarticulées. Il leur faisait mal, les détruisait chaotiquement au rythme de ses coups de reins surpuissants. La blonde batailleuse ne faisait pas exception. Il ne ressentait pour elle que du mépris. Elle ne représentait rien d'autre qu'un bout de viande sur pattes doté de la parole. Mais il reconnaissait qu'elle avait du caractère et c'était un bon point pour elle. Elle ne risquait pas de se faire cuisiner et dévorer immédiatement après lui avoir servi de vide-couilles.

Accroché aux hanches fines d'Amenas, il l'enculait comme un taré, la détruisant, pilonnant ses chairs meurtries, griffant sa peau de ses ongles sales. Quand il ne la tenait pas, il écartait ses fesses, étirant l'anus blessé pour contempler son gros pieu l'écarteler vivante. Son majordome était tout aussi méchant et prenait un malin plaisir à écœurer la belle esclave. Il recherchait à l'humilier plus qu'elle ne l'était déjà et les fluides gastriques qui jaillissaient de la bouche qu'il violait ne le dérangeait pas plus que ça. Et même quand elle ne put plus rien contenir et qu'elle rendit tout ce qu'elle pouvait, il continua à lui baiser la gueule jusqu'à ce qu'il se purge au fond de sa gorge. Son sexe immonde cracha un horrible jus épais et malodorant dont il lui remplit l'estomac. Qu'elle le garde ou non, il s'en foutait complètement. Il s'essuya ensuite la queue dans les beaux et soyeux cheveux blonds tandis que la pauvre pouvait enfin reprendre son souffle au milieu de tous ces rejets infects.

Lord Garod aussi jouit, peu de temps après. Il fut prit de spasmes et son gros ventre sauta sur le dos d'Amenas tandis que des flots de foutre verdâtre faisaient gonfler sa queue avant de remplir le cul de l'esclave. Même si le petit corps molesté n'était pas capable de contenir une telle quantité de foutre, Lord Garod réussit à s'en extirper puis à boucher l'accès au rectum avec son pouce. Amenas avait le ventre tellement gonflé qu'elle paraissait enceinte; cela devait être vraiment douloureux. Le troll attrapa un bouchon dont il choisit la bonne taille d'un coup d'œil expert, dans un panier d'osier, juste à côté, et s'en servit pour remplacer son pouce. Le bout évasé à l'intérieur des fesses d'Amenas pour qu'il ne saute pas, même sous la pression.

"Retourne là ...., elle me parait être le parfait sujet d'expérience."

Le gobelin actionna une manivelle sur le côté du pilori et l'instrument de bois pivota à 180 degrés pour qu'Amenas se retrouve sur le dos, seulement tenue par la planche qui verrouillait sa tête. Le majordome s'empressa de glisser sous elle une planche haute sur tréteaux pour qu'elle y repose. Elle était attachée de la même manière qu'au début mais à l'envers.

"Occupe toi de sa bouche, je l'ai assez entendue!"


Le gobelin tira une nouvelle machine, une sorte d'appareil à pédale qui actionnait un piston au bout duquel un jouet sexuel de bonne taille pointait une forme de pénis d'âne. Il poussa l'imitation du sexe dans la bouche d'Amenas et s'installa sur la machine pour pédaler. Le piston fit son office allant d'avant en arrière et remplissant la gorge de la salope, la déformant à chaque passage.

De son côté, Lord Garod vaquait à d'autres choses. Il avait sorti d'une boîte une grosse seringue et un pot rempli d'un liquide blanchâtre qu'il manipula avec précaution.

"Vois-tu, jeune fille, le marché de l'esclavagisme est fructueux mais les nouveautés sont rares et je tente certaines expériences pour offrir à ce qui le peuvent un éventail de créatures exceptionnel. Malheureusement, peu aboutissent ou alors dans des circonstances malheureuses. Tu m'as l'air forte et résistante aussi tu seras une mère parfaite pour le demi-dragon que j'envisage de créer."

 Il ouvrit le pot dont s'échappa une forte odeur sucrée et y plongea délicatement la seringue pour la remplir. Il le referma dès que ce fut terminé et introduisit l'embout froid de l'instrument métallique dans le vagin d'Amenas.

"Le sperme fertile de dragon est hors de prix alors tu vas me faire le plaisir de bien tout garder."


Il éructa, lâchant un gros rire sournois, et appuya sur le piston de la grosse seringue, s'assurant de bien remplir les entrailles de la blonde. Là encore, un bouchon vint clôturer la manipulation et le troll regarda son travail, satisfait.

"J'espère que tu es fière d'avoir été choisie."

Puis au gobelin ...

"Tu peux cesser. Surélève son bassin, que son utérus soit bien comblé. Couvre là et laisse là. Je vais au petit salon. Tu viendras me dire quand tout sera prêt."

Tellement heureux de la possibilité de réussir son expérience, presque euphorique, il ne vit pas le plus jeune des fils du majordome entrer dans la pièce et se cacher dans un coin. Étant le plus faible de tous, il n'avait pas pu profiter de l'esclave précédemment. il comptait bien se rattraper. Bien plus bête que les autres et beaucoup moins futé, même ses congénères le traitait comme un rebus.


Ryo

Humain(e)

Re : Tout pouvoir est violence. [Pv]

Réponse 6 vendredi 24 mars 2023, 18:33:59

Le gobelin était le petit dernier d’une longue lignée de rejetons immondes. On l’appelait Saark, quand ses frères n’oubliaient pas son existence… Il était chétif, insignifiant et … particulièrement stupide pour un individu d’une race déjà connue pour son aptitude à être inutile. Faible physiquement, il avait en retour un esprit retors et mauvais, ce qui n’était pas surprenant. Aussi, quand ses frères s’étaient défoulés sur l’esclave et qu’il n’avait pas eu sa part du gâteau, il en avait conservé une rancœur tenace et il s'était juré de se venger. Bien sûr, étant trop faible pour se mesurer à ses aînés, il allait s'en prendre à l'esclave, d'autant plus qu'elle était disponible et attachée. Il prenait un risque mortel à s'insérer dans les projets de son maître mais ses bas instincts étaient les plus pressants. Et le premier d'entre eux était de se soulager et afin de prouver sa supériorité évidente, il le fit dans la bouche de la fille, ou en tout cas, tenta de le faire. il urina longuement, satisfait de souiller le réceptacle comme un bon gobelin qu'il était. Il ricana, produisant un grincement métallique quand ses dents se frottèrent et, accroché à la planche des deux mains, imposa à l'esclave un facefuck brutal et interminable. Qu'importe les inconvénients et ce qu'elle rejetait, il rattrapait le temps perdu plus tôt et son sexe maigre plongeait dans la gorge offerte sans même en atteindre le fond.

Il s'y purgea, y délaissant une quantité ridicule de semence avant de libérer cette bouche sale et colla gratuitement une baffe à la fille qui braillait bien trop pour lui. Il récupéra part terre un chiffon imbibé de pisse et le fourra en boule dans sa gueule pour ne plus l'entendre. Ensuite il sautilla autour de sa proie. Il avait vu les autre faire et savait où il fallait s'introduire pour en profiter le plus. Le problème était que les deux accès étaient bouchés et ce n'était surement pas pour rien. Un peu perplexe devant ce problème insoluble, il monta sur le ventre gonflé de l'esclave et s'amusa de le voir marquer de la forme de ses pieds qui s'y enfonçaient. Il sauta même une ou deux fois pour voir mais la seule chose qu'il obtint fut la vidange complète du rectum de l'esclave quand le bouchon sauta sous la pression. Curieux, il redescendit de son perchoir pour se caler devant l'orifice déformé et grand ouvert. il y introduisit les mains, puis les bras, jusqu'aux coudes. C'était chaud et un peu serré et il rit méchamment quand il commença à la pilonner de ses poings. Il heurtait des profondeurs molles en pataugeant dans la semence de son maitre.  Il la fista salement jusqu'à, trop excité, il dérape dans le sperme visqueux et tente de se rattraper à ce qu'il pouvait. Pas de chance, ou au contraire, avec un gros coup de chance pour Amenas, il saisit les deux loquets qui immobilisaient les deux jambes de la fille, et  tirant dessus en tombant, libéra les chevilles de leurs chaines.

Là, il paniqua. Il était stupide certes, mais il savait qu'il venait de faire une énorme connerie. Les conséquences pouvaient être désastreuses et la colère du maitre n'avait pas de limites. Saark fit vite le tour du pilori pour s'assurer que rien d'autre n'avait bougé avant de tenter de rattacher la fille. Elle se débattait comme une sauvage et il prit un coup de pied dans la mâchoire qui l'assomma. Il tituba et revint devant l'esclave pour la gifler.  Il prit appui sur un petit levier et lui décocha un coup violent au moment où un petit clic libérait la partie supérieure de la planche maintenant la tête et les poignets de la fille.

Horreur! Sous l'effet de la peur, il lui sauta au visage, écrasant ses testicules crasseux sur le nez, et tenta de rabaisser la demie-planche de toutes ses forces.

Ryo

Humain(e)

Re : Tout pouvoir est violence. [Pv]

Réponse 7 mercredi 12 juillet 2023, 15:58:16

L'agonie de Saark avait été particulièrement immonde. La petite créature avait piaillé puis beuglé quand Amenas lui avait arraché les burnes. Quelle que soit la race, quand un mâle perdait ses couilles dans ces conditions, il était peu probable qu'il y survive. Et la douleur avait été si intense que le viol suivant par éprouvette avait à peine été perçu par l'insignifiant gobelin. De toute manière, il n'aurait pas fait de vieux os, étant le plus faible de sa lignée. A un moment ou à un autre, il se serait fait bouffer ou aurait succombé sous les coups de Lord Garod. Son regard s'était éteint alors que la folle furieuse le surplombait, aussi sale que lui, dégoulinante de foutre, tenant entre ses doigts serré son service trois pièces. Au moins pensa le gobelin, il avait pu la baiser et d'une certaine manière, cela le réconforta un très court instant. Et puis ce fut la fin.  Personne ne le pleurerait, d'ailleurs les gobelins étaient tellement cons que personne ne remarquerait son absence avant un moment.

Dans le manoir, hermétique au monde extérieur et que le propriétaire troll se gardait bien de faire visiter, les douze gobelins restants (le père et ses onze fils) avaient repris une activité normale. C'est à dire lustrer les rambardes de l'escalier magistral du grand hall, terminer de découper les dernières victimes de leur maitre et de les préparer en salaisons, s'assurer que tout soit impeccable et éviter d'agacer Lord Garod et s'éviter ainsi des supplices douloureux.

Le père de ces petits monstres était au service de Garod depuis bien longtemps. C'était une créature mauvaise et malfaisante. il avait gravi les échelons en rusant et en mettant ses homologues dans des situations où ils avaient laissé leur vie. Aujourd'hui, il était majordome et veillait à ce que tous les souhaits de son maitre soient exaucés. Et là, il était jaloux et d'humeur exécrable. Lui aussi aurait voulu pouvoir violer l'esclave blonde mais il n'avait pas pu. Elle sentait bon, sa peau était douce et fraiche, et ses orifices paraissaient prometteurs. Seulement, il avait eu à faire et seuls ses fils s'étaient repus de luxure. En conséquence, ce petit être nommé Arnok était frustré et mécontent. Il venait d'houspiller gratuitement son aîné et lui avait taclé l'arrière train d'un grand coup de pied en le maudissant pour sa médiocrité. Le majordome voulait niquer et seule la peur de son maitre le retenait de faire une grosse bêtise. Et puis, l'esclave allait être mère porteuse et donnerait naissance à un demi-dragon. En terme de fortune, même ce débile de gobelins comprenait que l'investissement avait coûté une fortune en semence de dragon et serait immensément rentable. Aussi, il fallait absolument préserver la fille maintenant qu'elle était inséminée.

Mais les gobelins étaient faibles et le désir d'Arnok tellement fort qu'il se plia en deux alors qu'il passait l'angle d'un long couloir. Il avait besoin de se vider les couilles. C'est lui qui avait attaché la fille au pilori et il l'avait touché un peu. Il n'allait pas oublier la douceur de ce contact. Maintenant, peut être qu'il pourrait tout simplement utiliser sa bouche ... l'idée fit un bout de chemin dans le cerveau restreint de la petite créature et elle se décida à l'appliquer sans plus attendre, tant que le maitre était occupé dans son salon. Lord Garod était un grand dormeur et il prenait toujours le temps de se reposer après avoir abusé d'une femelle, surtout les humaines qu'il appréciait particulièrement.

Le gobelin accéléra donc le pas pour rejoindre le laboratoire du troll. C'était là un grand évènement qui se profilait, l'aboutissement de dizaines d'expériences ratées. La fille blonde serait une bonne porteuse, il en était sûr. Sa vivacité et son énergie jouait en sa faveur. Sur le chemin, il croisa deux autres de ses rejetons et comme il s'estimait être un modèle pour eux, il eut la générosité de les inviter à le suivre. Une fois qu'il se serait vidé dans le gosier de la fille, ses fils pourraient faire de même. Arrivé devant la porte du laboratoire, il frétillait déjà d'impatience!






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