16
Blabla / Mon voisin du dessus
« le: lundi 09 juin 2014, 20:07:08 »
Je n'ai jamais dit, VDD, être votre ennemi.
Voir les derniers messages
Cette section vous permet de consulter les contributions (messages, sujets et fichiers joints) d'un utilisateur. Vous ne pourrez voir que les contributions des zones auxquelles vous avez accès.
17
Blabla / Mon voisin du dessus
« le: lundi 09 juin 2014, 19:58:19 »
Votre réponse est ambigüe, VDD.
Qui ne classez-vous pas dans vos ennemis ?
Votre VDD ou ma VDD ?
Qui ne classez-vous pas dans vos ennemis ?
Votre VDD ou ma VDD ?
18
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: lundi 09 juin 2014, 15:28:32 »
15h31 l'orage est annoncé avec près d'1cm d'eau... 
19
Blabla / Horloge parlante
« le: lundi 09 juin 2014, 10:25:08 »
10h27 S'est trouvé seul sur la CB, alors s'en va dehors danser sous la pluie... 
20
Blabla / Re : Le Questionnaire
« le: lundi 09 juin 2014, 09:20:55 »
Bombardement de grêlons... annoncé par le tonnerre! 
Vous croyez à la légende de Médard & Barnabé ?
Vous croyez à la légende de Médard & Barnabé ?
21
Complexe d'études secondaires et supérieures / Fantômes dans la nuit
« le: lundi 09 juin 2014, 07:36:08 »
De rage, Stephen jette la clenche au sol, se moquant bien du bruit infernal qu'elle fait en rebondissant contre le carrelage. Il y a quelqu'un ! Enfin, quelque chose de bizarre. Catwoman ? Oui, c'est ça, quelqu'un qui fait une taille humaine, mais qui a des oreilles de chat, dont il est sûr d'avoir deviné l'ombre. Rencontrer un personnage de comics dans la cuisine d'un lycée, pourquoi pas ? Enfin, pas dans la vraie vie ! Et puis, dans ses souvenirs, Catwoman est moulée dans du latex et en est hyper-bandante.
Alors que ce qui s'est enfui était plutôt en robe ! Avec une queue de chat, c'est sûr, il en a aussi vu l'ombre. Avant de s'engager dans le couloir sombre, le vagabond réfléchit. Il est donc dans un lycée dont il a déjoué les systèmes de sécurité, un endroit malgré tout sombre et dont il ne connaît pas la configuration des lieux, avec une femme-chat dont il a entendu la clochette juste avant que son ombre ne disparaisse. Tout va bien ! Il a une petite chatte en guise de dessert à son gargantuesque repas...
Couloir de gauche, pas de doute. Il s'agit de ne plus faire de bruit ! Pas facile d'avancer à pas feutrés avec de gros godillots, surtout que l'autre semble aussi leste qu'attentive. Le silence est retombé, il ne perçoit aucune respiration comme si la femme-chat s'était évaporée. Impossible qu'il ait rêvé ! Un pas, puis un autre, dans le couloir juste éclairé des lumières de sécurité.
Une vibration, il est sûr que quelque chose vibre. Pas le vieux téléphone obsolète qu'il garde sans savoir pourquoi ! Il y a longtemps qu'il n'y a plus d'abonnement... et qui pourrait l'appeler ici et à cette heure ? Non, ça vibre, ça vient d'un peu plus loin, comme derrière un pilier. C'est peut-être la femme chat qui ronronne, comme le faisait sa vieille minette quand il la caressait.
Ou bien la réalité est autrement plus basique... Ça vibre un taser quand on le met en marche ? De toutes façons, il va bientôt en avoir le cœur net. Il atteint le pilier, aucun autre mouvement derrière. Les vibrations parfois, une respiration très légèrement perceptible, la nuit et le silence amplifient tout, surtout le plus discret. Plus de bruit de clochette, mais comme le soupçon d'un gémissement. La femme-chat doit se faire du bien et se préparer pour lui !
Un saut, un seul, finalement agile pour son âge, et il atterrit de l'autre côté du pilier... complètement ahuri. Dans la pénombre, encore appuyée comme si elle le croyait au loin, une femme-chat, vraiment ! Enfin, femme par sa robe -fort jolie, cela dit- d'une beauté invraisemblable, bleue avec de jolis colifichets jaunes, mais aussi un décolleté très marqué. Une femme évidemment, même si le visage demeure vraiment dans la pénombre, hormis ces oreilles de chat qui pointent comme pour confirmer. Mais une femme-chat aussi, vu l'impressionnante queue qui dépasse de la jolie robe.
Ahuri, mais réactif ! « Salut, minette », lance-t-il en tendant la main, pour la saisir au cou.
Il ne s'était tapé que des Cendrillon et autre Pocahontas dans les soirées étudiantes déguisées. Alors, se taper une catgirl, c'est la première fois. Et, vu comme cella-là est menue, pas de souci pour la ferrer !
Alors que ce qui s'est enfui était plutôt en robe ! Avec une queue de chat, c'est sûr, il en a aussi vu l'ombre. Avant de s'engager dans le couloir sombre, le vagabond réfléchit. Il est donc dans un lycée dont il a déjoué les systèmes de sécurité, un endroit malgré tout sombre et dont il ne connaît pas la configuration des lieux, avec une femme-chat dont il a entendu la clochette juste avant que son ombre ne disparaisse. Tout va bien ! Il a une petite chatte en guise de dessert à son gargantuesque repas...
Couloir de gauche, pas de doute. Il s'agit de ne plus faire de bruit ! Pas facile d'avancer à pas feutrés avec de gros godillots, surtout que l'autre semble aussi leste qu'attentive. Le silence est retombé, il ne perçoit aucune respiration comme si la femme-chat s'était évaporée. Impossible qu'il ait rêvé ! Un pas, puis un autre, dans le couloir juste éclairé des lumières de sécurité.
Une vibration, il est sûr que quelque chose vibre. Pas le vieux téléphone obsolète qu'il garde sans savoir pourquoi ! Il y a longtemps qu'il n'y a plus d'abonnement... et qui pourrait l'appeler ici et à cette heure ? Non, ça vibre, ça vient d'un peu plus loin, comme derrière un pilier. C'est peut-être la femme chat qui ronronne, comme le faisait sa vieille minette quand il la caressait.
Ou bien la réalité est autrement plus basique... Ça vibre un taser quand on le met en marche ? De toutes façons, il va bientôt en avoir le cœur net. Il atteint le pilier, aucun autre mouvement derrière. Les vibrations parfois, une respiration très légèrement perceptible, la nuit et le silence amplifient tout, surtout le plus discret. Plus de bruit de clochette, mais comme le soupçon d'un gémissement. La femme-chat doit se faire du bien et se préparer pour lui !
Un saut, un seul, finalement agile pour son âge, et il atterrit de l'autre côté du pilier... complètement ahuri. Dans la pénombre, encore appuyée comme si elle le croyait au loin, une femme-chat, vraiment ! Enfin, femme par sa robe -fort jolie, cela dit- d'une beauté invraisemblable, bleue avec de jolis colifichets jaunes, mais aussi un décolleté très marqué. Une femme évidemment, même si le visage demeure vraiment dans la pénombre, hormis ces oreilles de chat qui pointent comme pour confirmer. Mais une femme-chat aussi, vu l'impressionnante queue qui dépasse de la jolie robe.
Ahuri, mais réactif ! « Salut, minette », lance-t-il en tendant la main, pour la saisir au cou.
Il ne s'était tapé que des Cendrillon et autre Pocahontas dans les soirées étudiantes déguisées. Alors, se taper une catgirl, c'est la première fois. Et, vu comme cella-là est menue, pas de souci pour la ferrer !
22
Blabla / Re : Re : Re : Re : La plus grosse poitrine d'LGJ
« le: dimanche 08 juin 2014, 18:59:52 »Je ne crois plus au valinichonnage.
Moi non plus; il faudrait qu'il soit acté par un jury de 3 sages neutres.
23
Blabla / Le Questionnaire
« le: dimanche 08 juin 2014, 18:56:02 »
Moi, ça me laisse de glace!
Suis-je normal ?
Suis-je normal ?
24
Blabla / Re : Re : Re : La plus grosse poitrine d'LGJ
« le: dimanche 08 juin 2014, 18:53:33 »Enfin... Un de mes perso à ses chances quand même :3
Si j'étais dans le jury, je voterais bien pour elle...
25
Blabla / Horloge parlante
« le: dimanche 08 juin 2014, 14:58:36 »les exs disparus qui resurgissent brusquement
A te lire, on dirait qu'il y en a... qu'il y en a beaucoup... beaucoup!
15h01
26
Le coin du chalant / Re : Envie de faire mumuse avec notre petite geekette?
« le: dimanche 08 juin 2014, 10:48:06 »
Zut, j'avais compris le résumé en sens inverse; il faut que je remette mon cerveau à l'endroit.
27
Le coin du chalant / Re : Re : Envie de faire mumuse avec notre petite geekette?
« le: dimanche 08 juin 2014, 09:47:20 »Je suis revenue, ça va chier pour vos fesses! ...et surtout pour les miennes je l'espère.
Je serais partant pour la trame 2... et je plussoie l'admiration de LAW pour la trame 3.
28
Blabla / Mon voisin du dessus
« le: samedi 07 juin 2014, 22:37:09 »
Votre réponse m'inquiète, VDD, car je ne vous classe pas dans mes ennemis.
29
Prélude / Saluez votre nouvelle Présidente des élèves èwé
« le: samedi 07 juin 2014, 13:20:34 »
Hum, c'est avec plaisir que je reprendrais mes études, moi. 
30
Le quartier de la Toussaint / Paumée + Paumé = ? (PV Amélie)
« le: samedi 07 juin 2014, 13:16:50 »
« Hum, ça fait du bien ! », poursuit Stephen en ôtant sa chemise, sentant un vent aussi chaud que léger effleurer son torse. « On est seuls au monde, il y a longtemps que je n'ai pas ressenti une telle plénitude », le vagabond est vraiment aux anges. Avoir quitté sa grisaille parisienne et sa terne vie, qui plus est pour un bain de minuit avec une jolie nana, peu farouche qui plus est, quel bonheur !
Enfin, peu farouche, c'est vite dit, car, si son enthousiasme se fait conforter par un « (…) si t'as envie de me sauter, tu peux le dire », la douche froide arrive aussitôt après par un « (…) je hurle » qui ne laisse aucune ambiguïté. Encore une de ces allumeuses qui se dégonflent, sitôt qu'on passe aux choses plus sérieuses.
« Eh doucement, t'énerve pas ! », renvoie-t-il, comme pour désamorcer la suite d la réaction, avant de se fendre d'un « J'vais pas te violer, c'est pas mon genre » qui devrait quelque peu détendre l'ambiance. Si sa copine écarte les cuisses contre juste un peu d'oseille, elle devrait apprendre à celle-là à être moins farouche. Mignonne comme elle est, elle ferait un malheur!
« Et puis, moi, je ne saute pas une gonzesse ! Alors, si tu crois que je suis ici pour tirer un coup vite fait mal fait, tu te goures ! Allez, j'te laisse à tes jeux de gamine même pas pubère... Va trouver des petits minets de ton âge, pour jouer à la marelle ! », clôture-t-il en faisant deux pas en arrière, regardant la mer au loin, la beauté du paysage, le soleil désormais bas à l'horizon, et se laissant adoucir par le bruit des vagues.
« Quant à mon prénom, je ne le donne pas à n'importe qui ! Quelqu'un qui m'envoie au diable, juste avant de me demander mon identité, faut pas déc... ! », conclut-il en enlevant cette fois sa chemise, pour mieux encore sentir le vent sur son torse. « Au moins ta copine était plus directe ; et je dois même dire qu'elle a du talent. C'est une vraie femme, elle... », conclut-il, comme pour glisser un mélange de jalousie et de rivalité entre les deux nanas.
Il met sa chemise sur l'épaule, prenant le chemin de la mer. Si cette mijaurée veut davantage, elle saura où le trouver. Mais elle a raison, les galets font mal aux pieds. Peu importe, il va au loin, il n'a plus envie d'entendre ses simagrées !
Et les embruns lui renvoient un immense écho, fait de plaisirs simples, les plaisirs des sens. Dès que les galets ont cédé place au sable, encore humide d'une récente marée, il tombe aussi le pantalon, ne gardant qu'un simple boxer pour éviter l'attentat à la pudeur, ne pouvant s'empêcher de tendre l'oreille pour essayer de savoir ce qu'a fait l'autre dinde.
Enfin, peu farouche, c'est vite dit, car, si son enthousiasme se fait conforter par un « (…) si t'as envie de me sauter, tu peux le dire », la douche froide arrive aussitôt après par un « (…) je hurle » qui ne laisse aucune ambiguïté. Encore une de ces allumeuses qui se dégonflent, sitôt qu'on passe aux choses plus sérieuses.
« Eh doucement, t'énerve pas ! », renvoie-t-il, comme pour désamorcer la suite d la réaction, avant de se fendre d'un « J'vais pas te violer, c'est pas mon genre » qui devrait quelque peu détendre l'ambiance. Si sa copine écarte les cuisses contre juste un peu d'oseille, elle devrait apprendre à celle-là à être moins farouche. Mignonne comme elle est, elle ferait un malheur!
« Et puis, moi, je ne saute pas une gonzesse ! Alors, si tu crois que je suis ici pour tirer un coup vite fait mal fait, tu te goures ! Allez, j'te laisse à tes jeux de gamine même pas pubère... Va trouver des petits minets de ton âge, pour jouer à la marelle ! », clôture-t-il en faisant deux pas en arrière, regardant la mer au loin, la beauté du paysage, le soleil désormais bas à l'horizon, et se laissant adoucir par le bruit des vagues.
« Quant à mon prénom, je ne le donne pas à n'importe qui ! Quelqu'un qui m'envoie au diable, juste avant de me demander mon identité, faut pas déc... ! », conclut-il en enlevant cette fois sa chemise, pour mieux encore sentir le vent sur son torse. « Au moins ta copine était plus directe ; et je dois même dire qu'elle a du talent. C'est une vraie femme, elle... », conclut-il, comme pour glisser un mélange de jalousie et de rivalité entre les deux nanas.
Il met sa chemise sur l'épaule, prenant le chemin de la mer. Si cette mijaurée veut davantage, elle saura où le trouver. Mais elle a raison, les galets font mal aux pieds. Peu importe, il va au loin, il n'a plus envie d'entendre ses simagrées !
Et les embruns lui renvoient un immense écho, fait de plaisirs simples, les plaisirs des sens. Dès que les galets ont cédé place au sable, encore humide d'une récente marée, il tombe aussi le pantalon, ne gardant qu'un simple boxer pour éviter l'attentat à la pudeur, ne pouvant s'empêcher de tendre l'oreille pour essayer de savoir ce qu'a fait l'autre dinde.