Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Syria

Pages: 1 [2] 3 4
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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: samedi 18 juin 2016, 23:27:31 »
T'étais à la Download Alice ? :P

23h27

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C'est difficile de croire que tu n'es pas expérimentée. Les caresses de ta langue me font doucement gémir. Je me cambre légèrement sous ton doigt qui vient également jouer dans mon intimité. Je sens bien que tu t'appliques à me procurer du plaisir et tu... Han... te débrouilles très bien. Ce n'est clairement pas mon premier cuni mais celui que tu m'offre me procure un plaisir certain. Je ferme les yeux et je me sens sombrer dans cette spirale de plaisir. Je ne ressens que les caresses de ta langue et ton doigt en moi. Je me laisse gémir librement, n'étant pas en état de réfléchir à quoi que ce soit.
Mes caresses sur ta tête restent tendres mais se font plus insistantes jusqu'à ce que tu me demandes ce que j'attends de toi. Je ne me sens pas de faire l'effort d'essayer d'articuler et je me contente donc d'ouvrir les yeux et de te regarder avec satisfaction. Tout mon corps me crie de te demander de continuer. De continuer à me doigter jusqu'à l'épuisement. Mais je sens ton envie et ton excitation.
Je prend ton menton dans ma paume pour te faire lever la tête puis te faire remonter. Je ne te fais pas placer ton visage au niveau de ma poitrine et je te souffle que tu peux très bien t'en occuper avec les mains si tu en as envie. Je remonte ton visage juste devant le mien, te regarde tendrement un moment puis dépose mes lèvres sur les tiennes. Je couvre ensuite ton cou de baisers. Tes doigts m'ont procuré beaucoup de plaisir et je suis bien humide. Je te murmure donc à l'oreille.

- Je crois que tu as assez attendu. Tu peux me prendre maintenant.

Sur ces mots, j'écarte légèrement les cuisses pour te laisser agir à ta guise et continue à t'embrasser doucement

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C'est bien ma jolie, tu es devenue bien docile. Tu te déplaces doucement, sensuellement, vers moi. Cette démarche de ta part m'excite énormément et je bouillonne d'impatience.

-Comme il vous plaira, mais y aller directement serait un peu de gâchis, alors si vous permettez...

Oh je sens que tu vas m'énerver ! Non pas que je n'apprécie pas tes caresses, au contraire. Certaines me font même frissonner. Mais j'ai envie d'avoir ta langue au niveau de mon sexe, tu comprends ça ? Je décide malgré tout de te laisser t'amuser un moment. Je n'aime pas trop forcer sur mes esclaves. Au début en tout cas.
Mais tu commences à me faire perdre patience ! Je suis sur le point de t'agripper la tête pour te la coller entre mes cuisses quand tu te décides enfin à me satisfaire. Je dépose doucement ma main sur ta tête et te la caresse gentiment.

- Ah bah voilà ! Par contre vu que tu m'as affamée, tu vas devoir me satisfaire longtemps.

Je pousse de longs soupirs de plaisir. Tu te débrouilles bien pour quelqu'un qui n'a pas d'expérience. Je sens ta langue passer sur mes zones les plus sensibles, ce qui me fait frissonner de plaisir et soupirer plus fortement, à la limite des gémissements. Je continue à caresser ta tête puis rapproche ma queue de ta joue.

- Jai l'impression que tu aimes beaucoup ma queue.

J'ai envie de te proposer de jouer un peu plus avec ce membre que tu affectionnes. Et par jouer, je veux dire te l'enfoncer à l'arrière mais je ne pense pas que tu sois encore prête pour ça.  Ma soeur m'a également appris que je peux la transformer en sexe masculin parfaitement fonctionnel. C'est à essayer, mais je ne sais pas encore trop gérer les transformations de ce genre. Je te laisse donc encore me lécher comme il se doit, me contentant d'apprécier ta langue.

- Tu veux pas enfoncer tes doigts en même temps ?

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Salles de cours et bibliothèque / Re : Bitch [Rin Shibuya]
« le: jeudi 02 juin 2016, 22:56:27 »
Je ne regrette pas du tout d'avoir aguiché la futa. De ce que ma soeur m'avait raconté, et l'avait ramonée pendant une heure et plus encore. Et là je la vois se jeter sur moi comme si elle n'avait pas touché personne depuis des jours. Cette jeune femme mérite décidément qu'on lui fasse un cadeau.
Pendant qu'elle assaille ma bouche de sa langue, je commence à défaire ses vêtements pour libérer le plus vite possible son sexe on ne peut plus tendu. Je sens sa langue caresser la mienne, danser avec, prémice d'un long moment de luxure. Je ne peux pas m'empêcher de gémir légèrement. Je me libère ensuite doucement de son entrave et retire ma culotte sous ma jupe.

- J'ai trop faim. Je peux pas attendre.

Sur ce, je me laisse tomber à quatre pattes sur la moquette, mon regard tourné vers ma soeur qui avait sorti son membre masculin et qui commence à s'occuper de Mélinda. Fais chier ! Elles me donnent encore plus faim ! Je me tourne et vois Clara se mettre à genoux derrière moi. Je sens ses mains me maintenir fermement les hanches. Ça fait un moment que je n'ai pas été bien dominée et je dois avouer que ça commençait à me manquer. Je réserve ça aux humains ayant le plus d'endurance et de perversité et cette futa semble en avoir pas mal.

- Je compte sur toi pour me défoncer bien comme il faut. Ne te retiens surtout pas. Ah et si tu en as marre des tenues d'écolières, tu peux l'arracher. Je m'en fous tant que tu me fais du bien.

Clara n'a pas à se faire prier deux fois. Elle enfonce d'un coup son membre en moi. Je me cambre de plaisir alors qu'elle commence des va et viens énergiques. Ah... Ma soeur m'a pas menti... C'est vrai qu'elle est... motivée.

Je vois Rin pénétrer la vampire juste devant moi alors que je commence à pousser de longs gémissements sous les coups de reins de la futa. J'entrouvre la bouche, ce qui doit me donner un bon air de salope. Et ce n'est pas forcément pour me déplaire.

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Je gémis longuement et fréquemment suivant mes mouvements sur mon partenaire. Je ne sens que son membre aller de plus en plus vite et de plus en plus profondément en moi. C'est ma partie préférée de la luxure : ce moment de plaisir pur où tout s'efface, où tous mes sens ne sont dirigés que vers le plaisir que je partage avec ma partenaire. Je la sens et je la vois bouillir de plaisir. Ses légers coups de reins sont de plus en plus désordonnés alors qu'elle rejoint mon monde de luxure et qu'elle se met à pousser de grands cris de plaisir.

-Hmm...Maitreeesse Syria...continuez à...à parler...cela est, haann ...si bon.

Cette phrase me fait un électrochoc. J'ai enfin mon petit agneau à moi toute seule. Cette nouvelle me ravit et décuple mon plaisir. Ainsi, quand elle attrape doucement ma queue pour la lécher, je ne peux pas m'empêcher de lâcher des cris de plaisir. Elle en prend ensuite le bout dans sa bouche et le caresse de sa langue. Ses lèvres entourent de leur chaleur et de leur douceur ma queue et ça me fait crier de plaisir.

- Oh continue... J'adore...

Ses caresses ajoutées à mes va et viens me procurent un plaisir immense qui me fait très vite atteindre l'orgasme. Tout mon corps est parcouru de secousses tandis que je perd tout repère. Tout mon être brûle de plaisir et je crie ma jouissance. Je retire inconsciemment ma queue de la bouche de ma partenaire. Je sens cette dernière gonfler en moi et je m'empale une dernière fois sur son membre ancré profondément en moi. Je sens son lait brûlant se déverser en moi, paroxysme du bonheur, et je pousse un grand cri de jouissance à cet instant, envahie de plaisir. Je m'allonge à nouveau sur mon amante et l'embrasse fougueusement, son membre toujours au plus profond de moi.

-Vous en voulez encore Maitresse ? Vous voulez encore profiter de mon corps ?


Je frissonne violemment alors qu'elle me lèche le lobe. Ce frisson est non seulement dû à sa langue, mais aussi à sa façon de me parler. Cette vilaine petite espionne est devenue en très peu de temps mon esclave sexuel, ou non je préfère l'appellation de serviteur. Je caresse donc doucement la tête de ma Kagami et lui murmure.

- Bien sûr que j'en veux encore. J'ai senti que tu étais douée avec ta langue. J'aimerais beaucoup la sentir à un autre endroit.

Sur ces paroles, je m'écarte de la jeune femme. Je vais m'asseoir un peu plus loin dans le grand lit. Je me tourne vers mon nouveau serviteur, j'écarte les cuisses et lui jette un regard empli de perversité et d'envie.

- Aller, Kagami. Viens faire plaisir à ta maîtresse. Et si tu te débrouilles assez bien, tu auras une récompense.

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Je la vois trembler, hésitante et légèrement anxieuse. C'est bien ce que je pensais : elle est vierge. Enfin, elle l'était. C'est toujours excitant de faire perdre sa virginité à quelqu'un. Il y a un petit quelque chose qui rend l'acte unique, en plus des réactions peu assurées de la personne. Quoique Kagami s'en sort plutôt bien. Alors que je vais et vient sur son membre, que je le sens s'enfoncer en moi et repartir, ce qui m'arrache parfois quelques gémissements, la jeune femme entame des caresses hésitantes.
Je suis à moitié couchée sur elle, ce qui fait que nos corps se caressent doucement au rythme de mes mouvements. Elle essaie également de donner de légers coups de reins peu engagés. Ses mains en revanche, me procuraient un plaisir certain. Je sens ses doigts descendre mon dos lentement, suivre mes courbes, se promener puis descendre définitivement vers ma queue. Je sens que ses caresses sont instinctives, pas réfléchies. Ses instincts la guident et la guident vers la douceur. Profitons-en. Quand elle passe sur des parties sensibles de mon dos, je me cambre encore plus et pousse de longs gémissements. Ceux ci ne cessent pas lorsqu'elle s'attaque à ma queue, partie sensible de mon anatomie.

- Oh oui... Merci....

Mon corps, et encore plus ma queue, frémissent sous sa main. Elle se saisit ensuite du bout pointu. Les zones érogènes de ce membre ressemblent à celle des queues de ces messieurs. La base et le bout sont très sensibles. Ses caresses ainsi que celles sur mon aile me font longuement frémir. Ces zones étant propres aux succubes, elles sont logiquement érogènes et ma partenaire n'a pas mis longtemps à comprendre comment me faire gémir. Je gémis donc et augmente la cadence de mes va et viens. Mais c'est qu'elle va presque réussir à me faire perdre la tête cette humaine ! J'ai de plus en plus de mal à me concentrer.

Au bout d'un moment, je me relève. Je suis maintenant à genoux, les mains posées sur la poitrine de me partenaire. Et je continue à m'empaler rapidement et puissamment sur son sexe. Je commence à pousser de petits cris de plaisir. Je ramène ma queue près du visage de Kagami, la frottant sur sa joue.

- Continue à... à jouer avec... s'il te plait...

J'ai du mal à parler à cause du plaisir. Je ne sais pas si elle est capable de m'entendre ou de me comprendre. Quand je regarde son visage, je n'y vois qu'un intense plaisir. Celui-ci a eu raison d'elle et elle en est envahie. Je lui souris tendrement alors que le plaisir me gagne également de plus en plus. J'attends impatiemment le retour des caresses de Kagami sur ma queue tandis que je sens que je vais bientôt jouir.

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Salles de cours et bibliothèque / Re : Bitch [Rin Shibuya]
« le: dimanche 29 mai 2016, 23:43:29 »
Alors comme ça Mélinda est une amie de maman ? Oulah j'ai vraiment loupé pas mal de choses on dirait. Et puis... Je sais pas pourquoi, mais j'ai un ressenti étrange quand je vois Mélinda. Je ne saurais pas trop dire pourquoi, mais quelque chose me dérange avec elle.
La réponse de ma soeur à la question de Mélinda me fait sourire. Elle a raison, même si je pense qu'elle me flatte un peu trop. En vérité, je dois admettre que Rin est sûrement un peu plus salope que moi.
Ma soeur vient ensuite me chuchoter à l'oreille.

- Selon maman, Mélinda dirige un harem remplis de filles perverses... Ça vaut le coup d'y faire un tour non ?


- Ça vaut largement le coup. Surtout que j'ai eu une journée de merde et que j'ai vraiment besoin de me défouler. Par contre Mélinda, elle n'est pas humaine. Si ?

Là je dois sûrement jeter aux deux femmes un regard qui reflète bien mes idées perverses. Le manoir n'abrite pas que des filles à ce que j'ai pu voir. Il y a aussi des futas. C'est rare les futas et je n'ai pas souvent l'occasion d'en croiser. Et pourtant qu'est ce que je peux adorer me faire sauter par des futas.
Je chuchote à nouveau à ma soeur.

- Des surprises ? Quel genre ?

Alors que ma soeur me répond, on se met en route car je sens, et les autres doivent sûrement le sentir aussi, que l'on est toutes les quatre surexcitées.
J'aperçois une légère bosse vers la jupe de Clara et je ne peux pas m'empêcher de lui jeter un regard aguicheur. Elle va peut-être craquer et me sauter dessus mais il faut savoir prendre des risques. Et puis si on commence à baiser en pleine rue je jouerai de ma magie pour changer mon apparence aux yeux des passants.

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Salles de cours et bibliothèque / Re : Bitch [Rin Shibuya]
« le: samedi 28 mai 2016, 00:22:46 »
Mon dieu qu'est ce qu'on peut s'ennuyer ! J'ai passé une journée plus que longue. Je me suis juste tapée trois gars dans une salle vide à midi. Sinon, le calme plat. Il faut dire que le phénomène de sexe au lycée en ce moment c'est l'exhibitionnisme et que je n'en suis pas super fan. Je dois remercier ma soeur d'avoir rendu cette pratique populaire avec son blog. C'est vrai que pour le coup, elle est devenue très populaire et a du coup prit pas mal d'avance dans notre course.
Entre soeurs, on a forcément une petite rivalité familiale. Entre Rin et moi, on fait une sorte de guerre des clans. Chacune d'entre nous a son fan club. Même si quand on pose aux élèves la question "tu préfères Rin ou Syria ?", on obtient souvent "les deux" comme réponse, on a quand même chacune des fans fervents.
D'ailleurs, plusieurs de mes fans sont dans ma classe et deux d'entre eux sont en train de me faire des clins d'oeil plus ou moins discrets. Je leur jette un regard aguicheur et glisse ma main vers mes cuisses pour les chauffer. Bah quand on s'ennuie faut bien trouver de quoi s'occuper !

Le cours était bientôt fini quand je reçois un message de ma soeur sur mon téléphone. Elle m'invite à venir avec elle chez des "amies". Ça sent le coup fourré, je sais pas pourquoi. Peut-être parce que la dernière fois qu'elle m'a fait ce genre de demande, je me suis retrouvée ligotée et j'ai servi de sac à foutre pour tous les mecs et futas de son fan club. Il faut avouer que ce n'était pas forcément pour me déplaire. Je lui réponds donc un "ok" clair et précis.

La cloche sonne et le cours fini. J'observe tous les élèves se précipiter vers la sortie pendant que je range doucement mes affaires. Je n'ai aucune raison de me presser puisque je dois attendre pour rejoindre ma soeur.
Mes deux fans qui me faisaient de l'oeil viennent me voir et me demandent si je peux venir passer la soirée chez eux. Je refuse à contrecoeur et les regarde s'éloigner, attristés. Je met mes écouteurs, lance une bonne vieille musique et je sors enfin. Je traîne un peu dans le bahut en attendant la sortie des élèves. Ça m'énerve ! Je dois attendre mais je n'ai pas le temps pour une partie de jambes en l'air, même rapide, avant de rejoindre ma soeur.
Je vais donc au portail et je guette l'arrivée de Rin.

Je la vois enfin, accompagnée de deux charmantes dames. Dès que je l'aperçois faire de grands signes de la main, je retire mes écouteurs et fonce vers les trois femmes.
Je commence par saluer Rin en déposant un baiser sur ses lèvres. Cette image de moi et de ma soeur en train de nous embrasser en feraient fantasmer plus d'un et plus d'une. Il était même admis que coucher avec moi et ma soeur réunies était un des fantasmes les plus partagés au lycée. Et ce soir, si j'ai bien suivi, ce sont ces deux charmantes jeunes femmes qui vont l'assouvir. Je me tourne vers les deux inconnues et me présente.

- Bonsoir. Je suis Syria, la soeur de Rin et la fille de Tessia. Je vous rassure tout de suite, la perversité et l'endurance, c'est de famille.

Après leur avoir lancé un petit clin d'oeil, je m'approche dangereusement de Clara. Je me colle presque à elle et laisse ma main traîner vers son entrejambe. Je sens sa particularité et lui sourit.

- Je t'aime déjà.

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Kagami est vraiment très sensible. Elle gémit facilement sous mes caresses, quand bien même celles-ci ne sont pas sur des zones érogènes. Elle ne doit vraiment pas avoir beaucoup d'expérience. A moins que cette sensibilité soit naturelle.
Quoi qu'il en soit, j'ai à peine le temps d'entamer des va et viens avec mes lèvres sur son manche que la jeune femme jouit. Le fait qu'elle crie mon nom lorsqu'elle jouit me ravit au plus haut point tandis que je reçois sa jouissance chaude dans ma bouche. Je suce le membre de ma proie pour récolter sa semence jusqu'à la dernière goutte puis j'avale.
Avaler sa jouissance me revigore de façon impressionnante. Mais malgré l'offre de ce repas, je ne peux pas m'empêcher d'être en colère contre Kagami. Je lui réservais de nombreux plaisirs avec ma bouche, mais désormais elle m'a trop affamée.

- D-désolé...trop de plaisir.

- Non non c'est pas grave. Par contre tu vas devoir te faire pardonner.

J'affiche alors un grand sourire carnassier et je remonte rapidement. Je place ma main sur la tempe de la jeune femme et je lui murmure doucement à l'oreille.

- Maintenant, grâce à ma magie, tu vas jouir au moins cinq fois avant de pouvoir te reposer.


Je viens en effet, grâce à ma main sur sa tempe, d'user de ma magie de succube pour booster à nouveau sa libido et son endurance. Cette magie permet à la base de laisser un humain céder toute son énergie à la succube. L'utilisation de cette magie prévoit également à la base la mort de la cible mais avec la petite dose que je viens de lui fournir, les jours de Kagami ne sont pas en danger. En revanche, demain, elle ressentira une grande fatigue. Si elle n'est pas un minimum endurante à la base, elle ne pourra même pas quitter le lit.

Mais à mon avis, le prix à payer est bien faible. Je ne laisse pas une seconde à ma victime pour se reposer et me place bien au dessus d'elle. Je la fixe avec un air sournois alors que je saisis à nouveau son membre bien dur. Je la place en face de mon intimité et je commence doucement à descendre.
Je pousse un long soupir pendant que je m'empale sur le manche de Kagami. Ahhhh... Je ne me lasserai jamais de cette sensation. De sentir le sexe de l'autre s'enfoncer profondément en moi. Je continue donc ma descente jusqu'à ce que le membre soit en moi jusqu'à la garde.
Je me penche ensuite sur mon amante pour l'embrasser tendrement. Je glisse doucement ma langue entre ses lèvres pour la faire jouer avec la sienne. Je fais tourner nos langues et les fait se caresser pendant que Je commence à légèrement aller et venir sur son sexe.

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C'est fini. Elle a succombé. J'ai gagné. Quand je la vois se relever pour me laisser la mettre à nu, je ne peux pas m'empêcher d'avoir un grand sourire de satisfaction. J'arrête toute utilisation de magie et je la laisse apprécier la découverte du plaisir et de la luxure. Après l'avoir libérée de ces entraves de tissu, je colle mon corps nu à celui de Kagami. Je l'embrasse plus fougueusement tandis que je sens le contact doux et chaud de sa peau contre la mienne. Je sens nos poitrines se presser. Malgré son membre typiquement masculin, le reste de ses traits étaient clairement féminins. Je joins mes bras autour du cou de la jeune femme tandis qu'elle passe les siens dans mon dos.
Ma victime fait preuve d'une rare douceur et d'un calme certain. Tant mieux, ça va me changer des baises violentes, voir bestiales, auxquelles je suis habituée. Kagami et moi allons sûrement passer un moment fort de baise tendre et douce, tel des amants. Je ne peux que m'en réjouir.

Je ressens également un certain manque d'expérience. Je ne peux malheureusement pas lire dans les pensées mais je devine beaucoup dans les gestes.

- Je crois que je suis de loin plus expérimentée. Alors laisse toi faire au début et profite.

J'ai décidé d'être très gentille avec elle pour son premier soir. Mon objectif est de faire de cette soirée la première d'une longue lignée. Je veux qu'elle se sente bien, que ce soir reste un excellent souvenir pour la pousser à rester chez moi. Cette humaine me plait beaucoup et je veux qu'elle m'appartienne. Mieux encore, je veux qu'elle soit à moi de son plein gré. Bientôt, je serai l'objet de tous ses désirs.
Je m'écarte et pousse doucement ma proie pour l'allonger. Je me replace à nouveau sur elle puis lui lèche longuement la joue. Je descend ensuite ma langue dans son cou. Je descend encore jusqu'à arriver au niveau de sa poitrine. Je la lèche un moment et mordille gentiment les tétons bien durs. Pendant ce temps, je fais glisser ma main droite jusqu'à son membre masculin. J'empoigne doucement le manche et commence à faire des va et vient. Je sens la jeune femme se cambrer sous ma langue et ma main. Je l'entends également gémir légèrement et ça m'excite au plus haut point. J'accentue donc petit à petit mes gestes jusqu'à me retrouver en train de branler assez énergiquement ma victime, pour son plus grand plaisir.

- Alors ? Tu regrettes d'être venue chez moi ?

La question est stupide et la réponse évidente. Mais je veux juste l'entendre avouer sa défaite. Je n'attends même pas la réponse et recommence à descendre le corps de ma proie. Ma langue passe doucement sur son ventre, puis continue sa route jusqu'à son membre masculin. Je lèche le manche sur toute sa longueur, doucement, lentement, pour faire s'impatienter Kagami.
Je peux sentir le plaisir intense qu'elle ressent juste avec ma langue. Finalement, j'arrête de la faire languir et commence à prendre le sexe en bouche.

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La pauvre petite se débat mais une fois piégé par un démon, quel qu'il soit, il est très difficile, voir impossible, de s'échapper. Kagami n'a donc plus aucune chance de s'échapper. La musique que je viens de mettre signifie à la fois le début des festivités et l'entrée de ma proie dans mon antre. Je la vois tiraillée entre toutes les pensées qui circulent dans sa tête et les sensations que son corps lui transmettent. Au bout d'un moment, elle arrive enfin à articuler.

-T-tu drogues souvent les gens pour coucher avec T-Tamika et c-c'est quoi ce tour de passe-passe ?


- Tu te trompes ma pauvre. Je ne drogue personne. Je révèle juste la nature profonde des êtres humains. Et je suis une succube, j'imagine que tu sais ce que cela signifie. Ah, et appelle moi Syria.

Pour joindre le geste à la parole, je m'allonge sur ma victime, approchant ainsi encore plus mon visage du sien. Je sens au niveau de son bas-ventre une anatomie particulière. Je souris, connaissant parfaitement la forme de ce membre. Je dépose doucement mes lèvres sur celles de Kagami. Ce geste ne doit sûrement pas l'aider avec son problème d'excitation et je la sent se raidir.

- Je vois que tu n'es pas une simple femme. Tant mieux, c'est encore plus amusant comme ça.

- Q-qu'est-ce que tu comptes me faire ?

- Allons... Tu sais très bien ce qu'une succube fait à ses victimes, non ? Mais rassure toi. Tu as de la chance, je n'aime pas abîmer mes jouets. Maintenant défends toi si tu le désire, mais sache que tu ne peux pas m'échapper. Laisse toi plutôt envahir par le plaisir. Laisse-moi te toucher, te caresser, t'embrasser. Oublie tes problèmes. Oublie ta vie. Et profite.

Sur ces mots, je commence doucement à agir. Ma main glisse doucement de sa joue à son torse. Je continue à la descendre jusqu'à son entrejambe. Je caresse ensuite le membre masculin à travers les vêtements. Pendant ce temps, je continue à l'embrasser tendrement. Mes lèvres caressent avec douceur et tendresse les siennes. Je ferme les yeux pour l'inciter à faire de même.
Rapidement, je défais son jean et le pousse doucement avec le pied. Une fois le vêtement retiré, je me charge du dernier bout de tissu séparant ma main du sexe de ma victime. Une fois le membre à nu, je le caresse du bout des doigts, de tout son long.
A ce moment, ma proie devrait sentir une excitation incontrôlable. Je continue de la tourmenter en glissant ma langue sur ses lèvres. Je les goûte et les mordille. Je passe également ma main libre dans ses longs cheveux tandis que j'accentue mes gestes de l'autre main. J'empoigne le manche et commence à effectuer doucement des mouvements de va et vients.
Tous ces gestes ont pour but premier de lui procurer du plaisir mais j'en ressens toujours aussi de mon côté. Mon dieu qu'est-ce que j'aime infliger cette douce torture à une pauvre victime, la voir lutter puis vite abandonner. La voir apeurée puis enivrée de plaisir.

J'arrête ensuite mes gestes et me relève. Je suis désormais à cheval sur les cuisses de ma proie. Je la laisse m'observer tandis que je retire mes vêtements déchirés. Je me mets rapidement en sous-vêtements. La vue doit lui être agréable. Mon corps de succube fait fantasmer n'importe quel humain, même ceux que les femmes n'intéressent pas.
Une fois déshabillée, je lui parle avec une voix douce.

- Il faudrait que tu te relève pour que je puisse te retirer ton haut.

Là je lui laisse le choix. Elle peut tout aussi bien se laisser guider par ses pulsions et se laisser faire ou résister. Dans ce second cas, je la déshabillerai de force.

27
-Désolé, j'ai l'habitude de mettre ses lunettes que je travail, elles sont fausses mais m'aident à me concentrer. J'espère que cela ne fais pas trop bizarre.

- Non non ça va. Je vois pas en quoi ça t'aide mais bon. Je vais pas me plaindre alors que tu m'aides.

Même si ma réponse est sincère, je ne peux pas m'empêcher de sourire. Elle est vraiment tordue cette fille. Bon, en même temps, avec une famille aussi militaire on ne peut qu'être étrange j'imagine.
Je me laisse tomber lourdement sur mon lit après avoir récupéré mon trieur. Je sors mes feuilles, etc. Bref, je ne suis pour l'instant qu'une parfaite étudiante qui va bosser sa physique. Je ne suis ni forte ni intéressée par cette matière, surtout en considérant le fait que même mon existence contredit la plupart de ses principes et les rend inutiles à mes yeux.
Ma cible s'assoit à côté de moi et on commence à discuter calmement du premier exercice. En effet, Kagami n'était pas un très bon prof, parce que je comprends rien. Ou alors ça vient du fait que je ne suis pas du tout attentive. Au bout d'une dizaine de minutes, je commence à m'impatienter. Aller, on y va dans trois... deux... un...

Soudainement, et même si elle est posée à trois bons mètres de nous, la chaîne hi-fi commence à diffuser une musique . Tout de suite après, la porte de ma chambre se ferme brutalement, de même que les volets. Ma lampe de chevet s'allume, diffusant une faible et unique lumière dans la chambre.
Avant qu'elle puisse réagir, je saute sur ma proie. Je la plaque sur le lit et me place à cheval sur elle. Je la fixe avec un sourire sournois, presque malsain. Je vois la peur dans ses yeux alors que mes iris virent au rouge rubis et que mes pupilles changent de forme. Mes cornes apparaissent aussi sur mes tempes alors que ma queue apparaît dans le bas de mon dos.
Je me redresse, m'étire et étend mes ailes qui étaient elles aussi apparues. Je pousse un long soupir de satisfaction, comme si je sortais après un long séjour en prison. Je plonge ensuite à nouveau mon regard dans celui de ma victime. Ce contact visuel me permet d'augmenter magiquement et de façon drastique sa libido. Si elle a toujours peur, elle est sûrement autant excitée par la situation.
Toute cette mise en scène, notamment avec la musique, sont inutiles mais ça m'amuse et m'excite beaucoup. Et je ne me lasse jamais de voir la terreur dans les yeux de mes proies et de la changer progressivement en plaisir.
Je me penche vers Kagami et je pose délicatement mes paumes sur ses joues. J'approche mon visage du sien avec le même sourire pervers.

- Tu vas pas regretter de m'avoir suivie, ma jolie.

28
Tiens, ça c'est étrange. Ma proie n'a pas son uniforme. Elle ne doit vraiment pas l'aimer pour avoir prit de temps de se changer avant de me suivre. Moi je l'aime bien cet uniforme. En plus c'est le fantasme de beaucoup de personnes qui du coup sont encore plus faciles à piéger comme ça. Après m'avoir sorti une excuse bidon quand à sa présence, Kagami me donne une réponse satisfaisante :

-Pour la physique je ne promet rien, j'explique très mal, mais tu pourrais garder mon aide secrète, je préfère être assez tranquille. surtout que tu es populaire et j'aimerais éviter les ennuis, la jalousie.

- Ouais pas de problème. Même si tu n'as pas à t'inquiéter pour la jalousie. Je peux très bien empêcher ça. Et sinon, ma mère n'est pas chez moi. Elle est en réunion. Du coup si tu veux même elle ne saura pas que tu es venue.

Sur ce, je la tire à l'intérieur du bâtiment. Je ferme la porte derrière nous et guide la lycéenne jusqu'à l'ascenseur. J'appuie sur le bouton pour aller au cinquième étage et lâche enfin la main de ma victime. Je m'adosse à une des parois de l'étroite cabine.

-Est-ce que tu porterais un parfum particulier ? J'ai une légère synesthésie et c'est assez peu agréable. Pas que ton parfum est mauvais, c'est juste mon ressentis.

Je dois sûrement avoir l'air vachement étonnée à cet instant. Mon parfum ? Désagréable ? Pourtant, en temps que succube, je possède une odeur corporelle certes plus importante que chez les humains mais prévue au contraire pour être attirante pour ces derniers.
Par contre, son histoire de synesthésie est crédible. Du moins, il me semble avoir vu ce détail quand j'ai épluché son dossier.

- Je suis désolée je ne porte aucun parfum. Si tu veux je peux essayer d'en mettre pour cacher mon odeur si elle te gêne tant que ça.

Ma proie n'a pas le temps de répondre à cause de son téléphone. Au même moment, la porte de l'ascenseur s'ouvre. Je laisse Kagami s'éloigner pour ne pas m'immiscer dans sa vie privée. Cela ne me concerne pas. Par contre, cette fille m'intrigue et m'inquiète. Elle me dit que c'est son père mais je préfère ne prendre aucun risque. Il va falloir que je l'empêche d'utiliser son téléphone.
Je vais ouvrir la porte de mon appartement puis j'attends que ma cible ait fini son coup de téléphone. Elle s'excuse et je lui indique que ce n'est pas grave. Je l'invite ensuite à pénétrer dans le hall d'entrée.

Je dépose mes chaussures dans le bac prévu à l'entrée et m'avance dans le petit  couloir. J'arrive dans le grand salon blanc. Deux fauteuils et un canapé en cuir blanc entouraient une table basse transparente. Un tapis gris faisait le lien entre tous ces éléments mais le parquet était visible dans tout le reste de la pièce. Un nécessaire de home-cinema était aussi installé. Je me dirige vers la porte de ma chambre et l'ouvre.

- Je te laisse t'installer. Je vais chercher un truc à grignoter et je reviens tout de suite. Fais comme chez toi.

Ma chambre est assez banale, avec mon grand lit, mon bureau absolument pas rangé et mon armoire pleine de vêtements divers et variés. Il n'y a que trois éléments notables dans la pièce. D'abord, il y a mon ordinateur posé à côté de mon bureau de travail. Ensuite, au bout de mon lit, un gros coffre cadenassé est posé. C'est mon coffre à jouets. Et par jouets il est évident que je ne parle pas de barbies ou de petits trains. Finalement, au dessus de mon lit, il y a un poster géant, de la taille d'une affiche de cinéma, de mon groupe de musique préféré : Iron Maiden.

Je laisse mon invitée s'installer pendant que je vais m'occuper de préparer du café et des petits gâteaux. Un truc tout simple quoi. Au bout de dix minutes, je retourne en direction de ma chambre mais je fais d'abord un détour vers celle de ma mère.
Je fonce vers le pc et l'allume. Cortana, l'IA qui gérait la maison, me communique par l'écran.

- Bonjour, maîtresse Syria. Si je peux me permettre, qui est cette fille ? Est-ce votre cible ?

Je réponds également par écrit, afin que mon invitée ne puisse pas savoir ce que je prépare.

- Oui. D'ailleurs, je veux que tu coupes les communications. Elle ne doit pas pouvoir envoyer ni recevoir d'information venant de l'extérieur.

Cortana acquiesce. Je reprends donc mon plateau et repart donc joyeusement vers ma chambre.

- Du café et des spéculoos ! J'espère que tu aimes ça !

29
Ça fait déjà un moment que cette fille est dans le lycée. Elle m'intrigue. Non seulement elle n'est pas du tout sociale, mais en plus elle a un passé douteux. Ma mère, qui a accès aux infos de tous les élèves, avait noté quelques données manquantes ou imprécises dans le dossier de Kagami Laga. Rien de bien alarmant, mais ça ne rendait pas la jeune femme plus rassurante. Et puis dès qu'on sort de cours, elle disparaît. Plus personne ne l'a voit jusqu'à ce que la cloche sonne à nouveau. Je l'ai pas mal cherchée et un jour, je l'ai trouvée en train de prendre tranquillement son déjeuner suspendue avec une corde. Je ne l'ai évidemment pas dénoncée et j'ai fait mine de ne rien avoir vu,
Mais j'ai redoublé d'attention et essayait de surveiller cette inconnue. Ainsi, quand elle demanda des infos sur moi à une de mes "amies". (Mes amies étant en réalité rien de bien plus que mes petites préférées de mon harem formé d'étudiants.) Bref, lorsque l'une d'entre elles me raconta que Kagami lui avait demandé des infos sur moi, j'étais toute excitée. Je n'allais même pas avoir besoin d'aller me renseigner sur cette fille, elle allait venir me voir d'elle-même.
Mon amie croyait que c'était juste une autre lesbienne qui avait un coup de foudre. Ma beauté démoniaque rendait ces situations fréquentes, en effet. Et le fait d'avoir ma mère élue six fois de suite prof la plus sexy du lycée, ça augmentait le sex-appeal  de la petite famille.
Mais je sentais que cette fille voulait me voir pour une toute autre raison. Je ne la pensais pas s'intéresser beaucoup aux histoires de couple ou même de sexe. Peut-être savait-elle qui j'étais réellement. Mais dans tous les cas, quand elle se décidera à passer à l'action, j'en profiterai volontiers. Ça fait longtemps que je n'ai pas piégé de nouvelles personnes.
 Ce jour est enfin arrivé !

 A la fin du cours, alors que d'habitude,Kagami est de loin la première à sortir, la nouvelle est restée un moment dans la salle. Je suis sortie avant elle et j'ai continué à marcher normalement, accompagnée puis seule, jusqu'à chez moi. J'ai plusieurs fois cherché à repérer l'espion mais je ne l'ai absolument pas vue.
Ça fait longtemps que j'attends de trouver un autre jouet, une autre personne à pervertir. Non pas que je suis en grand manque de sexe, mais la nouveauté c'est toujours plus plaisant.
 Après m'être engagée dans une ruelle, je commence à mettre en place mon petit plan. La petite fouineuse va avoir une bonne surprise. Après avoir vérifié qu'il n'y avait personne autour de moi, je commence à user de ma magie. Je crée un clone de moi-même qui avait pour but d'aller endormir profondément les voisins. Je vois une épaisse fumée apparaître, et ma copie en sortir. Elle déploie ensuite ses ailes et s'envole alors que je continue ma route comme si rien ne s'était passé.

J'arrive devant la porte de mon immeuble. Je rentre et m'arrête dans le hall. Je commence à préparer ma magie. Créer des clones était quelque chose d'extrêmement gourmand en énergie mais tant pis. De toutes façons, ma victime me rassasiera sûrement. Mais avant que je puisse faire grand chose, je sentis mon invitée arriver devant la porte et s'arrêter un instant. Tant pis. On y va à l'ancienne.
J'ouvre la porte et je vois Kagami, qui était sur le point de repartir, se stopper net. Elle me regarda un moment, figée. Je dois avoir un grand sourire de satisfaction sur les lèvres. Ce sourire ne se veut pas effrayant mais vu la situation, il doit sûrement l'être pour la jeune femme. Elle a l'air calme mais je lis l'inquiétude, avec un soupçon de peur, dans ses yeux. Je m'approche en sautillant, comme une adolescente normale et toute excitée à la vue d'une amie.

- Oh Kagami ! Qu'est ce que tu fais là ?

Je n'attends pas de réponse de sa part et passe mon bras autour de son épaule.

- Ah tant que t'es là, j'ai besoin de ton aide. Tu veux bien m'aider à faire les exos de Physique ? Je galère un peu.

Sur ce, je lui attrape la main et la tire doucement vers chez moi. Le contact de nos mains me permet de lui communiquer ma magie facilement et sans effort. Doucement, de façon à ce qu'elle ne s'en rende pas compte, je transforme ses sensations de peur en bien-être. Je me prépare aussi à lui envoyer une plus importante dose au cas où elle tenterait de s'enfuir. Aller, on y est presque ! T'es presque à moi ma jolie !

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Les alentours de la ville / Re : Recomposition familiale [Syria]
« le: jeudi 12 mai 2016, 00:45:27 »
Syria restant un moment immobile dans les bras de sa mère. Pour la première fois de sa vie, l'hybride collait son corps nu à celui d'une autre personne. De plus, cette autre personne n'était pas n'importe qui et dégageait une aura de tendresse et d'affection toute particulière. La jeune succube écouta ensuite calmement sa mère lui expliquer le pourquoi du comment du choix du lieu où faire leurs ébats.
Lorsque Tessia eut fini d'expliquer les raisons de ses choix, Syria passa ses bras autour du cou de sa mère et l'embrassa doucement. Elle retira ses lèvres de celles de Tessia avec la même délicatesse que celle avec laquelle elle les avait posées. Elle perdit un moment son regard dans les yeux de sa mère avant de répondre :

- Ton lit me paraît une bonne idée. Mais de toutes façons ce que j'aimerais vraiment pour ma première fois, c'est de la faire avec tendresse. Du moins au début en tout cas. Et j'aimerais éviter pour l'instant les jouets. Et j'aimerais que tu me pénètre avec ton sexe masculin fait de chair et non de plastique. Tu veux bien faire ça pour moi, maman ?

Une fois sa réponse obtenue, l'hybride fit glisser ses mains le long des bras de sa mère et mêla ses doigts aux siens. Elle l'emmena ensuite vers la chambre puis vers le lit. Tessia la poussa doucement sur le lit et elle se laissa faire. Syria se retrouva allongée et leva ses bras pour enlacer à nouveau Tessia qui se plaçait au dessus d'elle. De toutes façons, il était clair que Syria allait être entièrement guidée par sa mère pour sa première fois avec elle.
La frustration de 16 ans d'abstinence revint en force. Syria mouillait de façon très importante. Elle avait chaud. Elle avait faim et allait enfin se rassasier. Elle embrassa à nouveau sa mère en attendant que celle-ci prenne les devants.

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