Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Petite P.... et "le plaisir" -Hédoné[Vanéalidée !]

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Luxury

Légion

Identité : Appelez moi Baby, Bambi, bébé…ou Luxury. Mon nom importe peu…
Âge : 24 ans
Sexe : Femme
Race : Humaine
Métier: Prostituée sur Terre (évidemment).
Sexualité : Au vu de ma profession, je n’ai pas le choix. C’est votre argent qui compte, c’est votre argent que je compte. On ne va pas la jouer fine bouche…ce serait le comble pour une putain.

Physique :

Je suis la petite salope qui écume les trottoirs sur des talons vertigineux. Mon mètre cinquante-neuf auquel j’ajoute quinze, vingt centimètres, parfois moins, parfois plus. Jamais à plat, car je me sens vulnérable sans « échasses ».

Une brindille portée par le vent, qui n’a pas toujours manger à sa faim, à souvent frôlé sa propre fin. Vivre d’argent sur le bitume crasse d’une ville, quelle qu’elle soit, ce n’est pas sain. Il a fallu du temps avant que je ne commence à voir s’accumuler les biftons pour me permettre d’engraisser un peu. Mais on ne peut pas se mentir. Parfois ça reste compliqué…le sexe a beau être indémodable, les putes ont beau avoir du travail, toutes n’ont pas une clientèle régulière ou la chance (malchance parfois) de compter sur la protection d’un maquereau. Alors oui. Oui. Parfois je suis brindille. Parfois un peu moins. Suivant les saisons, les besoins et les envies…je m’étoffe…

J’étouffe dans une ville qui ne me veut plus et me déporte ailleurs. Mes yeux en amande ne plaisent pas à tout le monde, mes petits seins, comme des citrons non plus. « c’est naturel…une pute bio »…ça n’attire pas forcément le chaland sur le marché du vice. Pourtant c’est comme ça. Je dois beaucoup de mon succès à mes hanches larges « tu peux porter des enfants ma belle » Pourquoi faire ? Ils risquent de mourir dans un caniveau.

Petite perle de Lune, pâle dans la nuit…peau de pêche pour celle qui travaille lorsque le ciel s’obscurcit. Pas de repos pour la guerrière de vos envies. Je me jette à corps perdu dans le travail et cela ne semble pas marquer mes traits…artifice du maquillage, poudre aux yeux et tout le tralala.

Mes origines asiatiques s’arrêtent à mon visage et la couleur de ma peau. Mes cheveux sont ceux d’une européenne, que je teint souvent. Blonde, je ne me reconnaît pas. Brune, je me sens mieux. Noiraude, je paraît malade. Papa est américain, maman est coréenne. Si j’ai le visage de l’Asie, j’ai les cuisses, les hanches et les fesses d’une Amérique mieux nourrie. J’ai les yeux « vert de gris ». J’aime bien…cela me rappelle un livre « la môme vert de gris »…une môme vert de gris, dans une ville grise, que ses parents ont enterrés il y a quatre ans…

Je prends soin de moi autant que faire ce peux, car ça me coûterait plus cher de ne pas le faire. Vulgaire , peau affichée, je ne saurais couvrir cette nudité, car je sais que cela ne plairait pas. Cela choque sûrement les bien pensants, mais ce n’est après tout pas eux que je cherche à attirer. Ce sont les autres. Alors je choisi avec soin, les tissus pour parer mon corps, le préparer au plaisir, à la douleur et au nuit sans sommeil. Nuits en quête de mes amants, mes amantes, mes bourreaux…

Ceux qui cherchent à salir, dénigrer, jouir, soumettre ou se faire humilier. Je prends tout tant que ça me rapporte. J’ai un prix, ma dignité n’en a plus.
Appelle moi… « Luxury »

Caractère :

J’aurais pu me vanter d’avoir été la fille de quelqu’un. Quelqu’un d’important, quelqu’un de bien. Une famille aimante, une mère trop présente, un père protecteur et des frères généreux. Mais je ne suis qu’une déception dans une vie de famille rangée.

Ma famille je ne la vois plus. Je n’ai jamais été à la hauteur de leur amour. Rebelle face à l’autorité, hermétique au romantisme de l’image que mes parents voulaient donner. « Famille idéale, enfant parfait… » j’ai tourné le dos à tout ça par besoin de liberté. C’est ce qui me fait vibrer. La liberté. D’être qui je veux, faire ce que je veux, quand je veux. Certains diront qu’en tant que prostituée, je ne m’appartiens pas, mais c’est faux. Ils se trompent totalement. Je m’appartiens et c’est parce que je m’appartiens que je peux me vendre ainsi. Un objet que je loue à qui me permettra de continuer. Paie et je serai à toi.

Je n’ai pas honte. Ni de ma profession, ni de celle que je vois dans la glace. Sans l’arrogance que confère parfois la jeunesse, je ne suis pas prétentieuse et donc, ne trie pas les clients. Allonge le fric et je m’allonge où tu veux. Quand tu veux.

Suis-je pour autant vénale ? Non. Pas vraiment. Sinon j’aurais accepté de me marier avec ce fils de médecin, il y a 5 ans. Je n’aurais ainsi pas perdu ma famille, mon futur héritage et ce que les gens appellent « dignité ». J’aime l’argent parce qu’il me permet de survivre sans diplôme. Pourtant…pourtant, me direz vous, tu as l’air cultivée…et je le suis. Parce que je m’imprègne de la vie. De mes rencontres et des villes que je visite. Pas en tant que touriste, certes, mais ça fonctionne quand même. Et puis je lis. Je lis tout ce qui me tombe sous la main. C’est peut-être stupide et ça ne sert à rien, car après tout « je ne suis qu’une pute »…oui. Mais une pute lettrée, qui aura de la conversation pour celles et ceux qui veulent autre chose que mon con.

Je suis une petite tâche sur les trottoirs, au coin des rues, dans les boulevards. Je vis au jour le jour, me contente de ce que je récolte et vis bien ainsi. Sans les contraintes d’avoir au-dessus de moi, un patron qui me met la main au cul, les blagues vaseuses des collègues au coin café et des horaires de merde à respecter. Vulgaire ? Oui. Mais après tout…je suis une pute.

J’aime mon métier, car j’aime arracher des cris de plaisir. J’aime débaucher des femmes en recherchent de nouveauté, des ivrognes qui oublieront probablement que leur argent est passé entre mes cuisses…apprendre le sexe a des jeunes qui ne savent pas s’y prendre…me faire humilier dans des draps de soie ou à même le mur d’une ruelle mal éclairée. Je n’ai pas peur. Je n’ai pas froid aux yeux. Je sais me défendre et j’ai le caractère changeant comme le temps.

Je n’aime pas l’amour et le romantisme, même si je peux faire semblant. Je fuis la réalité dans des nuits sans fin, je veux tout, sauf une vie bien rangée avec chat, chien , enfant et petit mari. Tout ça, ce n’est pas pour moi. C’est pour les personnages de roman, les greluches de films à faire pleurer dans les chaumières. Aimez moi et je vous fuis. Suivez moi et…

Je suis une pute. Putain. Prostituée. Coureuse de rempart. Péripatéticienne. Petite chienne, chatte de velours, femme fatale, vulgaire ou…j’ai le goût de votre argent et prend le rôle de vos fantasmes. Mais je ne fais que passer alors ne vous attachez pas. Je n’ai plus de nom, pas d’adresse…je ne suis personne et tout le monde a la fois.

Petite P…c’est moi.

Histoire :

Quand j’étais gamine, je rêvais de devenir berger. Je ne sais plus pourquoi. Mais je me voyais à la campagne, m’occuper de mes moutons et de mes chèvres. Une petite maison perdue quelque part, entre monts et vallées. Du vert à perte de vue, la forêt comme publique d’une vie tranquille. Je me voyais couler des jours heureux dans le calme et la protection des montagnes, ayant pour seule compagnie, mes animaux. J’étais naïve…si naïve.

Maman est une coréenne qui s’est perdue dans les bras d’un américain. Fille de bonne famille, elle a hérité d’un joli magot à la mort de ses parents alors qu’elle avait tout juste vingt ans. Elle était promise à un brillant avenir dans la médecine, devait se marier à un gosse bien comme il faut, qu’elle n’aurait probablement jamais aimé autant qu’elle aime mon père. N’importe qui, en perdant des parents dans un accident de voiture, aurait péter les plombs. Surtout avec une aussi grande fortune en héritage. Pas de frères ou de sœurs avec qui la partagée, personne pour lui dire quoi faire. Mais pas maman. La seule « folie » qu’elle a fait, c’est prendre ses affaires, son argent et partir pour l’étranger. Elle en a toujours rêvé. Adieu futur mari, adieu carrière en Corée. Bonjour l’Amérique.

Papa, lui, c’est autre chose. Fils d’un industriel qui s’est fait à la seule sueur de son front, il a eu un parcours exemplaire. Une sœur, deux frères plus petits, il leur a montré l’exemple en travaillant dur, aussi dur que son père avant lui. Il a perdu sa mère quand il avait huit ans, mais cela ne l’a pas empêché d’avancer. Évidemment, son enfance n'a pas été facile…vous pensez bien que perdre sa maman à un si jeune âge, ça remplit de colère. Et pendant quelques années, ça a été l’émotion qui a guidé ses pas et ses poings. Mais à douze ans, il a rencontré un homme qui l'a pris sous son aile et lui a permis de reprendre le droit chemin. C’est son caractère dont j’ai hérité…

Quand ils se sont rencontrés, mes parents, ils se sont aimés « au premier regard » comme on dit. Mon père amoureux transi de ce morceau d’exotisme à la douceur asiatique, à l’intelligence effroyable. Elle était médecin en internat, il a eu besoin de point de suture. Une arcade explosée, dans une bagarre de bar. Parce que même les riches peuvent cogner. Comme dans un film, il l’a vu arrivée, petite interne aux cheveux foncés et il s’est dit « Ce sera elle ou personne ». Éternel célibataire qui courait les femmes, le voilà prêt à se mettre en ménage et fonder une famille.

Ça n’a pas été simple de faire accepter ce petit morceau de Corée dans une famille américaine pur jus. Pourtant, maman a gagné le cœur de mes grands parents avec la même facilité qu’elle est parvenue à se faire une place aux États-Unis. Chance, talent, bonne étoile ? Appelez cela comme vous voudrez. Ma mère est ce genre de femme à qui tout réussi. Comme si l’univers se disait «La voilà orpheline, on lui doit bien ça ».

Mariage, carrière, enfants. Maman est médecin et papa industriel. Je n’ai jamais trop su ce qu’il fait en fait. Ce que je sais, c’est qu’on lui sert des « monsieur » à tout va et qu’il porte des costumes élégants. Après leur mariage, ils ont fait des enfants. Comme c’est écrit dans le livre du « bien réussir sa vie, selon la société ». Ce petit guide que j’ai du perdre dans la pré- adolescence. Quelque part entre les premiers baisers et mes premières règles. J’ai trois grands frères, pas de sœur. Seule fille, ma maman fondait se grands espoirs en moi. Pas qu’elle n’ai pas cru en mes frères, mais je pense qu’elle voulait que je devienne un jour, comme elle.

Enfant choyée, je n’ai pas a me plaindre. Je ne peux pas vous raconter d’horreurs sur une vie difficile, des parents violents, un oncle aux mains glissantes. Je ne peux pas mettre mes choix de vie sur des moments compliqués. Je ne peux pas accuser qui que ce soit de m’avoir poussée dans le caniveau. Ce serait déloyal et mentir.

J’ai toujours tout eu, tout en apprenant qu’il faut mériter les choses qu’on nous offre. Le travail est important, même lorsqu’on a une fortune assurée par les parents. Et ça, je l’ai compris. Bonne élève, je me faisais une joie de faire plaisir à mes parents, mes professeurs. Je tirais parti de mon intelligence, avant se tirer parti de mes charmes. Je ne sais pas exactement ce qui a merdé. Je ne sais pas exactement à quel moment…

C’est à l’adolescence que ça s’est gâté. Papa, maman, mes grands-frères, je suis navrée. Je n’ai pas su vous apporter ce que vous attendiez sûrement de moi. J’ai préféré partir plutôt que de vous faire honte.
J’avais quatorze ans ? Peut-être plus, quand ça a commencé à germer en moi. Une grainé de liberté, une rébellion totale face à la société bien rangée dans laquelle j’évoluais grâce à mon nom, la carrière de ma mère. Nous avions tout. Maison, piscine, nourrices, chauffeur. J’aurais pu être une privilégiée ou une petite pimbêche, de celles que l’on trouve dans les familles de riches. Mais non. J’étais juste moi.

Rebelle sans méchanceté, pourtant incapable de me tenir tranquille. J’essayais de me faire bien voir tout en prenant la clef des champs des que possible. Je faisais naître l’inquiétude dans la vie si tranquille de mes parents. J’entendais souvent, lorsqu’on venait me chercher dans mes fugues « Pourquoi n’es-tu pas comme tes frères ? » Parce que je suis moi. Je ne suis pas eux. Je ne suis pas toi maman.

Plus je grandissais et plus j’avais besoin de tenir un rôle de mouton noir. Mais mes bêtises, je les réservais à la maisonnée. A l’école, je me débrouillais plutôt bien. Même si mes carnets sont parsemés, malgré de bonnes notes, de commentaire du genre « dissipée » « indisciplinée »  « Doit changer son comportement, ses notes ne font pas tout… » blablabla. Je me suis mise à fumer, à sortir en boîte, à vivre ma plus belle vie la nuit. Mes notes s’en sont ressentie et mes parents m’ont menacée de m’envoyer en pension quelque part. Ailleurs. « Où est la petite fille qui rêve de moutons, de chèvres…de forêt et de tranquillité ? ».

Elle est devenue une adolescente qui rêve de soirée, d’aventures et de sexe. Mon corps était avide de chaire et ça, je ne l’explique pas. J’aimais simplement contrôler cet aspect de mon existence je crois. Mon corps. Mes choix. Je le donne à qui je veux, autant que je veux. Quand je veux. Le thérapeute engagé par mes parents, pour mes dix-sept ans à mis ça sur les hormones. Si ça lui fait plaisir. Il a peut-être raison. Papa était fâché. « On le paie cher pour qu’il nous sorte des conneries !». Mes hormones. Je ne sais pas si ce sont elles, mais j’avais besoin de ressentir. Adrénaline, endorphines, dopamine. J’aimais vivre dangereusement, flirter avec la réalité d’une vie bien loin de la soie et de la dentelle dont était faite l’existence bien rangée de ma famille. Je me sentais peu comprise, mais je ne le vivais pas trop mal au fond. Leur inquiétude me faisait plaisir tout en me déchirant. Elle me dégoûtait aussi parfois…

Quand j’ai eu dix-huit ans, mes parents ont voulu me marier. Non pas de force, parce qu’ils ne sont pas comme ça, mais sournoisement. En faisant entrer dans ma vie un jeune homme beau, bon, doué. Il me plaisait, mais pas pour une vie. Juste pour quelques nuits. Nous nous sommes fréquentés, je l’ai souvent trompé, il m’a à toujours pardonné. Je crois qu’il était sincèrement amoureux. Nous devions nous marié, mais je suis partie.

Je crois que j’ai eu peur. Je ne me voyais pas faire ma vie avec le même type. Me réveiller tous les matins à ses côtés. Alors j’ai vidé mon compte en banque et suis partie sur les routes. Sans avoir obtenu de diplôme malgré mes notes, sans emporter grand-chose si ce n’est ma liberté.

J’ai laissé une longue lettre sur mon lit. Comme dans les films. Je ne sais plus quels étaient exactement les mots que j’ai employé. Mais je sais que j’ai tout fait pour ne pas qu’ils culpabilisant ou qu’ils souffrent trop. Qu’ils ne s’inquiètent pas, j’allais m’en sortir, mais pas comme eux ils avaient l’air d’attendre. Qu’ils ne me cherchent pas, ce sera inutile, car je ne resterais pas, je finirais par fuir. Ils me voulaient heureuse, du moins c’est ce qu’ils répétaient depuis que je suis petite. Alors qu’ils respectent mon choix. « Enterrez l’idée que vous vous faites de moi. Ne cherchez pas à me retrouver, vous auriez honte de ce que je vais devenir. Je vous aime et vous remercie de tout cet amour que vous m’avez offert et que je n’ai pas su mériter…adieu ». J’ai conclu comme ça je crois. Et pour mon ex-futur-mari, j’ai dit qu’il méritait mieux. « …essaie de ne pas trop m’en vouloir. Mais tu mérites d’être heureux. Tu seras un bon mari, mais à mes côtés tu serais devenu un époux humilié. Je préfère partir que détruire. Comme mes parents, ne cherche pas à me retrouver. Cela ne ferait qu’empirer les choses et tu perdrais de ton temps. Garde le pour te reconstruire. Je ne suis pas faites pour être mère ou épouse. Comme je n’étais pas faites pour être fille. »

Je suis faite pour être pute.

Une pute qui écume les trottoirs, voyage et gagne de quoi vivre. Je suis libre de mes mouvements et personne, jamais, ne m’attend à la maison. Personne à décevoir, personne à trahir. C’est bien ainsi. Je me suffit et l’argent de mes clients aussi.

Autre: : Le tatouage comme thérapie, j'en porte de nombreux sur tout le corps. C'est une douleur artistique et nécessaire. Je ne sais plus comment j'ai eu le premier, mais je sais que c'est devenu une sorte de drogue. Un jour, je n'aurai plus de place, il paraît...

Avant, j'étais la pute qui racolait, mais aujourd'hui, si je suis toujours à parcourir les rues, j'ai un numéro et même, joie de la modernité, un site qui m'héberge et où on peut me trouver. Mais je change souvent d'endroit, car il est dangereux d'être une prostituée sans attache. Entre les rivales qui ne veulent pas qu'on leur vole leur coin et les maquereaux qui pensent pouvoir se faire une part sur mon fric, sans compter les dealers, les flics et j'en passe...il vaut mieux que je ne fasse pas de vieux os à trainer mon squelette toujours aux même carrefours. Je suis d'ici et de nulle part...partout et ailleurs, personne et tout le monde.

MISS PAPADAKIS - Hédoné

Identité : Hédoné mais se fait appeler Edwina Papadakis
Âge : Véritable inconnu, elle dit sur Terre, qu’elle a 35 ans
Sexe : Femme
Métier: Sur terre, il faut bien gagner sa croûte. Hédoné, ou Edwina, gagne la sienne en jouant les maquerelles à Los Angeles, aux États-Unis.
Race : Déesse (panthéon grec) de la plaisance, du plaisir et du bonheur.
Sexualité : Tournée vers le plaisir, elle aime autant les femmes que les hommes ainsi que la beauté physique, qu’elle se décline au masculin ou au féminin. Cependant, elle a une grande préférence pour le genre viril avec barbe «qui pique», comme elle aime à dire.

Physique :

«Hédoné est un des nombreux enfant de Nyx, déesse de de la nuit et Érèbe, son frère, dieu des ténèbres. Pour les grecs, elle était la divinité du plaisir et de la plaisance. On ne la révérait pas autant que les autres divinités, elle fait donc partie des divinités mineures de la mythologie...»

Assise sur son grand lit à baldaquin, elle regarde ce qui est écrit sur elle dans un vieux livre poussiéreux qu’elle a trouvé dans une brocante. Cela fait longtemps qu’elle a quitté l’Olympe et plus encore, Terra. Car Hédoné, qui désormais se fait appeler Edwina, a eu besoin de changement, loin des dieux qui ne la considéraient que comme une petite divinité vertueuse et heureuse, ainsi que des créatures magiques qu’elle ne trouvait plus autant amusant qu’avant. Comme si elle a fait son temps, là-bas.

C’est une belle jeune femme aux formes généreuses. Lorsqu’elle voit ce à quoi on imagine qu’elle ressemble, elle est parfois vexée, car on l’a faite bien plus ronde qu’elle ne l’est réellement, bien qu’elle soit loin d’être mince et souvent bien plus petite également. Son mètre septante-neuf n’est pas petit. Du moins, pas ici, sur Terre, où elle a élu domicile depuis quelques années maintenant.

Brune, elle a les yeux de la Nuit, sa mère, d’un bleu profond et sombre, mais la peau dorée, contrairement à celle de ses parents qui est très pâle. Son visage au tracé fin, nez légèrement recourbé, lui donne un air rusé, mutin. Elle vous dira souvent d’arrêter de croire à ce qu’on vous raconte, car les artistes, non content de la dépeindre comme fille de Eros et Psyché, lui prêtent des traits innocent, vertueux, toujours souriant «bêtement» selon elle. «Ils ne m’ont pas respectée...» vous dira-t’elle de sa moue boudeuse.

Non pas qu’elle ne soit pas souriante, au contraire, mais elle n’est certainement pas niaise et refuse de laisser croire à sa vertu. Même si ses traits fins donnent une première impression d’innocence, ce n’est que mensonge et vous le comprendrez rapidement en apprenant à la connaître.

C’est une jeune femme qui, bien que sur Terre, continue de se vêtir de manière divine, avec des tissus léger, dans des tontes souvent automnale. Ayant accès à une certaine fortune, elle n’hésite pas à prendre grand soin de ses toilettes, aimant le plaisir sous toutes ses formes. Que ce soit la gourmandise, la chaire, les beaux meubles, les beaux objets. Elle est la première à dépenser pour des bijoux, des accessoires pour sa chevelure qu’elle porte longue ou encore, des produits pour prendre soin d’une peau qu’elle a particulièrement douce. Le seul artifice qu’elle ne se paie pas, sera le maquillage, n’ayant selon elle, pas besoin de ça. Sa nature divine maintien sa beauté sans paraître se trouver altérée par la fatigue ou la maladie, contrairement à une mortelle.

Outre cela, elle possède une poitrine lourde et des rondeurs dont elle est fière, qu’elle entretien par des repas gargantuesques. Le régime ? Le sport ? Ce n’est pas pour elle. Partisane du confort, elle aime rarement les efforts qui la font transpirer, si ce n’est pour son plaisir. Mais courir ? «Quelle horreur !!!»…

Enfin, malgré ses rondeurs, elle se déplace avec grâce et légèreté, élevée parmi les divinité, elle a su garder, malgré sa vie à côtoyer les mortels sur terre, un port altier divin ainsi que divers talent qu’elle doit à sa naissance. La danse, sa manière de parler, ses gestes calculer, s’économisant toute fatigue inutile. Son odeur également semble venir d’ailleurs, mais outre cela, on ne saurait la différencier des Hommes qui l’entourent, que ce soit ses domestiques ou ses amis. A la limite ? On vous dira que c’est une extravagante bourgeoise...

Caractère :

«Vertueuse ? Déesse du bonheur et…INEPTIE ! Qu’est-ce qu’ils ne vont pas raconter sur moi ?»

Et pourtant! C’est ce qu’on peut lire dans les différents écrits sur Hédoné. Ce n’est certainement pas elle qui en est l’autrice, mais c’est vraiment ce qui est dit d’elle. Si vous prenez le temps de chercher un peu de choses sur la déesse grecque, fille de Nyx et d’Érèbe ou, selon les artistes, de Psyché et d’Eros, elle vous sera présentée comme la divinité du plaisir, recherche du bonheur étant vu comme une vertu. Les peintres la représentent souvent comme une jeune femme souriante, joviale, aux bonnes joues rondes et à la petite poitrine en forme deux petites pommes. On ne raconte pas grand-chose sur elle, n’étant pas autant vénérée, mais…

Elle vous dira que ce sont des mensonges. Des fantasmes honteux à ses dépends. Et que ce n’est du coup pas étonnant qu’elle ait fini par partir. Incapable de tenir une personnalité qui ne lui appartient pas ! Et pas étonnant non plus que peu de gens ne se tournent vers elle, contrairement aux autres, que ce soit même ses frères et sœurs, plus connus et mieux décrits.

Lorsqu’on apprend à la connaître, Hédoné est une jeune femme agréable. Certes caractérielle, capricieuse et parfois légèrement pointilleuse sur les choses de la vie, mais elle n’en reste pas moins très vivante. Aimant la fête, les différents plaisirs qu’offrent la vie ainsi que les rencontre. Créature sociale, elle aime se mélanger aux autres, apprécie les fêtes, les belles choses. C’est vrai, on pourrait penser qu’elle ne s’attarde que là où il y a de la richesse, mais ce n’est pas entièrement vrai. Si elle apprécie le luxe et ce qui brille, Hédoné aime particulièrement ce qui est beau. Quel qu’en soit le prix. Et si elle aime le confort, vous pourrez quand même la trouver en train de flâner, pied nu, dans des champs, plutôt que drapée d’une robe magnifique dans un restaurant avec les riches. Si elle vit dans l’opulence, elle n’en dénigre pas moins la simplicité.

Il est vrai que lorsqu’on la rencontre la première fois, ce qui va frapper, c’est sa manière quelque peu hautaine de regarder ce qui l’entoure. D’observer son prochain. Mais c’est à cause de sa nature divine. Elle est consciente de ne pas être «n’importe qui» et ce, même si les personnes sur Terre ne sont pas au courant de qui elle est véritablement, la voyant plutôt comme «Madame Papadakis», une riche héritière grecque venue vivre aux États-Unis, aussi extravagante qu’extravertie, au langage qui sait se faire vulgaire lorsqu’elle est colère, mais ayant un grand coeur et le rire facile.

En amour, elle se donne facilement, semble tomber amoureuse de chaque amant qu’elle rencontre, sachant parfaitement donner l’impression à son ou sa vis-à-vis, qu’il, elle est unique. Et à ses yeux, elle l’est. Mais garde à si elle ne vous apprécie pas. Elle le montrera sans détour, de sa moue de dégoût à ses paroles acérées. Verbiages appris auprès des personnes les plus vindicatives qui soit.

Histoire :

«Je m’ennuie ! C’est affreux...»
«N’as-tu pas des mortels à visiter ? Des gens à qui apporter bonheur et plaisir ma douce ?»
«...Ces ingrats ? Je n’ai même pas un petit autel à mon effigie ! Regardez donc ce qu’ils ont fait pour honorer les autres ! Et moi ? Pas même une pierre, une bougie ou...qu’ils aillent croupir dans le Styx, je ne veux plus avoir à faire à eux !»
«Voyons ma chère...ne parlez pas ainsi...cela ne vous ressemble pas...vous qui êtes de nature si...»
«Ne le dites pas. Je vous jure...»
«vertueuse et...douce...»
«MENSONGE ! Vous servez encore ces inepties ? Vous avez fini par le croire...idiots que vous êtes...»

Hédoné rejette l’Ambroisie qu’on lui tend. Le goût de miel à laissé place à l’amertume du fiel pour ses papilles divines. L’ennui est son pire ennemi et ici, en Olympe, elle s’ennuie vraiment. Les grandes œuvres sont confiées aux autres dieux et déesses et elle, traitée en divinité «mineure», aimerait s’en aller. Loin. Fuir l’Olympe et même Terra, dont elle a si souvent fait le tour, sans jamais trouver quoi que ce soit qui lui permette de se sentir revivre. C’est décidé, elle va partir et probablement ne pas revenir, si elle trouve un endroit qui lui plaise plus...si cet endroit existe...quelque part.

Naissance – Enfance_

Hédoné est fille du Styx et de l’Érèbe, mais sa naissance diffère en fonction de qui l’écrit, qui la raconte, qui la dessine. Il faut savoir qu’on lui prête énormément d’attributs, de vertus, de frères, de sœurs. Aussi, nous allons vous raconter sa version à elle.

Son père et sa mère n’étaient pas des parents à proprement parler. Ils étaient plutôt des créateurs. L’origine de la jeune divinité. Ses frères et sœurs, Thanatos, les Moires, les Hespérides, Némésis, Éris, entre autre...il faut avouer que Nyx et Érèbe sont réputés pour avoir été féconds, comme d’autres divinités après eux. Aussi, Hédoné, comme beaucoup après elle, ne sera pas élevée par ses géniteurs, mais bel et bien par des muses et autres créatures issue de l’Olympe. Elle a été formée par différents êtres, qui lui ont ainsi permis de devenir ce qu’elle devait devenir, déesse du plaisir et du bonheur, de la plaisance et de la sensualité. Cependant, bien qu’on lui prête bien des vertus, c’est sans compter sur sa nature profonde…

Rebelle, aventureuse, joviale, elle a grandi parmi des êtres qui ont fait beaucoup pour elle, peut-être trop. Et plus elle grandissait, plus on lui offrait bien des choses, qui la poussaient ailleurs que vers les vertus tant désirées. Ce n’est donc pas étonnant qu’à l’adolescence on ai pu voir la jeune femme devenir une divinité aussi capricieuse qu’Aphrodite, volubile qu’Hermès, aimant la vie et le jeu, tout comme Dionysos ou les satyrs. La place qu’on lui réserve en Olympe et auprès des croyants ne lui plaît pas, elle aurait cent fois préférés rester à faire la fête auprès des nymphes et autres créatures de la forêt, plutôt que retourner sur les Monts, bien que beaucoup de divinités semblent, contrairement à elle, y trouver leur bonheur.

C’est donc tout à fait légitime de la part d’Hédoné, arrivée à un âge où elle peut librement évoluer parmi les créatures mortelles et immortelles, de vouloir autre chose, qui ne soit pas tout tracé par le destin. Adieu donc, Ambroisie et divinités, Hédoné à choisi là où elle désire vivre. Pour un temps du moins.

LA TERRE_

Après de nombreux pourparlers, que ce soit avec ses géniteurs ou avec ses mentors et tuteurs, Hédoné a décidé de partir. De laisser sa chance à un endroit qu’elle ne connaît pas encore, mais qui lui semble intéressant. La Terre. On lui a en effet rapporter que là-bas, les gens sont tous mortels et certains vivent alors à cent à l’heure, par inconscience ou au contraire, totalement conscient que la vie est courte et mérite d’être vécue profondément. D’autant que si drama il y a, Hédoné pense qu’on y est tout de même loin de crises de jalousie d’Héra et des bouderies de Zeus.

Sa vie sur Terre est agréable, étant donné sa nature. Sa beauté divine, les gens qui la courtisent, elle se prête même au jeu de l’amour et se marie avec un homme riche, un grec du nom de Papadakis. Se faisant passée auprès de lui pour une orpheline ayant perdu ses parents il y a longtemps. L’homme, ayant grand coeur et la trouvant bien jolie, se décide à l’épouser pour lui offrir ce qui, d’après lui, elle mérite cent fois, plutôt qu’une vie de pauvresse à parcourir les rues grecques (s’il savait).

De ce mariage, la jeune femme en tirera beaucoup d’enseignement sur la vie terrienne et une richesse avec peu de limite, à la mort de son époux. Seulement, Papadakis n’était pas un simple homme d’affaire. Sa richesse il ne la devait pas uniquement à la sueur de son front ou la fortune de ses parents, mais bien au coût d’une vie humaine. De l’argent «sale» selon certains. Est-ce que cela dérange Hédoné ? Pas le moins du monde, bien au contraire. Elle prend le flambeau de son mari, n’hésitant pas user de son pouvoir sur le plaisir et la recherche du bonheur des humains pour acquérir des prostituées qui ont plaisir et envie de faire ce qu’elles font. Ce qui en fait de bonnes employées.

Seulement, la Grèce, ce n’est pas assez grand. Hédoné est ambitieuse et désire une vie plus palpitante. Elle décide alors de partir pour les États-Unis, toucher un peu de son doigt divin au rêve américain. Et désormais, elle vit tranquillement une vie de plaisir et de richesse, dans une magnifique villa de Los Angeles, continuant d’agrandir sa richesse en tant que maquerelle.

Autre :

Miss Papadakis sera la maquerelle de Luxury, un jour. Lorsque cette dernière échouera finalement à Los Angeles et se retrouvera dans le mauvais quartier. Il faut dire que certains endroits appartiennent à Papadakis et cette dernière n’aime pas trop que l’on empiète sur son territoire. Luxury acceptera au départ difficilement d’être à la solde de quelqu’un, mais bien vite, le confort et la sécurité, l’assurance d’avoir une clientèle, feront changer d’avis à la jeune femme.

Comment avez-vous connu le forum ?

DC de Olympe. J’a besoin de reprendre le rp en douceur et me suis dit qu’un personnage un peu moins « complexe » pour remettre le pied à l’étrier serait une bonne idée.

Petit staff, dites moi si mon image est trop longue, je l'ai faite sur téléphone. Je vais probablement la modifier depuis l'ordinateur d'ailleurs. Je ne la voyais pas si longue à dire vrai haha. Pardon si ça déforme...je corrigerai ça si jamais au besoin !
« Modifié: mardi 14 mai 2024, 17:34:28 par Luxury »

Souta et Janus

Humain(e)

Re : Petite P....

Réponse 1 mercredi 08 mai 2024, 09:43:03

Au moins tout est dit.  ::)

Bon retour dans le coin.

Regalis

Dieu

Re : Petite P....

Réponse 2 mercredi 08 mai 2024, 10:26:03

Rebienvenue

Luxury

Légion

Re : Petite P....

Réponse 3 mercredi 08 mai 2024, 10:57:55

Merci beaucoup à vous !
Je vais d'ailleurs aller corriger mes fautes...je me suis relu sur ordi là et ça pique. Shame on me !

Akita Celebrindal

Créature

Re : Petite P....

Réponse 4 mercredi 08 mai 2024, 11:22:54

La fiche fait penser à l'atmosphère des chansons de Mylène, du moins cela m'en donne l'impression.
La lire c'est comme boire un café noir, sans sucre. C'est bon, mais un peu amer. Je comprends le besoin de liberté du personnage. Et même si je ne cautionne pas forcément son pointe de vue, je le respecte. Et elle assume ses choix, ce qui est appréciable. Même si le café noir est trop fort pour moi.

Je note que le personnage est basé sur la liberté, là où le mien est basé sur la survie. Donc niveau moralité, je serais mal placé pour juger. ::)

P.S: j'apprécie la petit référence à "La môme vert-de-gris", polar des années 50. Je croyais être l'un des rares à connaître cette référence. :)

Luxury

Légion

Re : Petite P.... [Anéa]

Réponse 5 mercredi 08 mai 2024, 11:31:26

Je suis contente qu'il y ait une atmosphère dans la lecture. J'avoue que j'ai...je ne sais pas. J'ai pris mon téléphone hier (alors que j'ai enfin un ordinateur xD) et je me suis mise à écrire, me laissant aller totalement.

J'imagine bien que nous ne pouvons pas toujours être "d'accord" sur une façon de voir, penser ou...navrée que le café soit trop amer.

Évidemment, la mienne aussi, survit plus qu'elle ne vit parfois. Mais dans sa tête, c'est autre chose. Il vaut mieux vivre à cent à l'heure, quitte à se prendre un platane, plutôt que survivre dans une société qui la dénigre quoi qu'elle fasse...enfin.

Pour t'avouer, je ne l'ai pas encore lu ! Je termine un bouquin en ce moment et je lirai "la môme vert-de-gris", qui se trouve dans ma bibliothèque depuis si longtemps ! Je ne pensais pas que quelqu'un allait voir de quoi je parlais...c'est plaisant ^ ^

J'essaierai de mettre un peu de crème dans le café si un jour je te le sers. Un petit Macchiato ou alors mieux, un café viennois avec beaucoup de chantilly sur le dessus ! haha.

Merci pour ton commentaire en tous les cas ! Jolie plante.

EDIT: Et j'avais envie, je crois, de faire une prostituée qui ne soit pas tombée à cause d'un homme, de la vie, de la violence ou de la tristesse. Au contraire. J'avais envie de voir...et jouer un personnage qui ne soit pas une laissée pour compte et totalement consciente de sa condition et de ses choix. On verra ce que ça peut donner.

Alix et Nox

Dieu

Re : Petite P.... [Anéa]

Réponse 6 mercredi 08 mai 2024, 13:18:45

Alix fouille dans ses poches et n'y trouve que quelques malheureuses pièces...


Raaah zut! J'ai pas les moyens....

Bienvenue !

Astral Bonds

Légion

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  • FicheChalant

    Description
    Un groupe de musique composé de 6 races différentes qui se produit et voyage à travers chaque dimension/monde !

Re : Petite P.... [Anéa]

Réponse 7 mercredi 08 mai 2024, 13:56:02

Re-bienvenue !  :D

Spoiler: Our Precious (cliquer pour montrer/cacher)

Em

Créature

Re : Petite P.... [Anéa]

Réponse 8 mercredi 08 mai 2024, 14:02:53

Ah non, hein! C'est moi qui fait le tapin ici!

Allez, ma p'tite, tu m'donnes 40% de tes revenus, et tu dis merci, sinon, j'te suce!

... Enfin, j'veux dire, je te vide d'un litre de sang è-é Tu feras moins la maligne!

REBIENVENUE, D'AILLEURS!

Luxury

Légion

Re : Petite P.... [Anéa]

Réponse 9 mercredi 08 mai 2024, 15:33:33

Alix: Il y a pour tous les portefeuilles, je t'assure. Je ne vais pas le crier, mais je ne suis pas une poule de luxe et parfois, la faim...tout ça...enfin voilà !

Merci pour votre accueil !

Chère Em' ne t'en fais pas, je ne suis pas une putain qui traine toujours aux mêmes endroits. Je ne suis pas là pour voler des clients et je ne fidélise pas, alors...problèmes régler. Si tu veux de la tune, sors tes gambettes, écartes les cuisses et débrouille toi par contre. En toute amitié, mon argent m'appartient, car je l'ai eu à la sueur de mon con.

Je me réjouis de reprendre l'écriture. Les partenaires que j'ai avec Olympe, ne vous en faites pas. Je me remettrai en route aussi, c'est juste que c'est un personnage qui demande plus de concentration !

Du love sur vous les petites pastilles d'amour !

Em

Créature

Re : Petite P.... [Anéa]

Réponse 10 mercredi 08 mai 2024, 16:12:31

Gasp! De l'apathie!

MA SEULE FAIBLESSE!

NOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOON!

*FOND*

Lyli

Créature

Re : Petite P.... [Anéa]

Réponse 11 mercredi 08 mai 2024, 16:22:12

" Du love sur vous les petites pastilles d'amour !  "

Une pastille d'amour c'est effervescent ? ... JE VEUX PAS ETRE UNE PASTILLE  :'( je veux pas fondre  :'( :'(

Em

Créature

Re : Petite P.... [Anéa]

Réponse 12 mercredi 08 mai 2024, 16:24:15

DU CALME, LYLI-CHÉRIE! C'EST JUSTE UNE FORMULE!

... JE CROIS!

Mais dans le doute; TOUS À LA MER! GO! GO! GO!

Luxury

Légion

Re : Petite P.... [Anéa]

Réponse 13 mercredi 08 mai 2024, 16:35:39

Hahaha Lily ! Mais non, c'est doux et sucré en bouche les pastilles ! (ça me fait penser à une blague que ma petite soeur m'a racontée: Qu'est-ce qu'un lépreux dans une piscine....)

Em' navrée, mais si je prenais les armes dés que quelqu'un tente de m'extorquer de l'argent ou d'autres trucs, s'en prend a moi violemment ou non, je ne ferais pas de vieux os. Je sais me battre, certes, mais mon mètre cinquante-neuf ne peut pas me permettre de défier des types de 4 mètres sur 4 (des cubes) ou des créatures vu que je suis aussi mortelle que peut l'être un être humain ! Je suis prudente malgré mes imprudences et mon impudence... ~

Serenos I Aeslingr

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    Description
    Le Roi des Trois Royaumes et le personnage le plus influent d'Ayshanra. Derrière ses allures détendues et son sourire charmeur, Serenos est un homme dangereux et incontrôlable, et une constante menace pour les royaumes continentaux. Son mépris pour le protocole lui ont attiré le titre de "Roi Fou".

Re : Petite P.... [Anéa]

Réponse 14 mercredi 08 mai 2024, 16:52:15

Bah, tu vois, pour ceux qui n'ont pas vraiment la corde inutilement violente, l'apathie fait des merveilles   ::)


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