Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Ne jamais faire confiance à un politicien [Adramelech]

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Adramelech

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Re : Ne jamais faire confiance à un politicien [Adramelech]

Réponse 15 lundi 10 février 2014, 17:56:25

La jeune femme s'approcha plus encore de lui lorsqu'il interrogea sur un potentiel secret. Qu'est ce qu'elle pouvait bien manigancer ? Il la regarda s'approcher. C'est alors qu'il vit la couleur de sa peau changer de couleur ! Il écarquilla les yeux, restant bouche bée devant la métamorphose de la jeune femme. Elle ne fut soudainement juste vêtue que d'un corset vert, soulignant encore plus ses formes fort appétissantes. Voila qu'en plus des plantes apparaissaient de nul part, serpentant sur sa peau !

- Mais qu'est ce que sa veut dire ? Qui êtes vous réellement ?

Il l'écouta ensuite parlé de son passé et d’expériences réalisé sur elle quand elle était encore étudiante. On aurait dit l'histoire d'un mauvais scenario de série B.

- Une...nymphe ? Je ne savais pas que sa existait...


Elle vint s'assoir sur lui, ne ressentant aucune gêne a lui faire du rentre dedans. Cependant il ne se sentait pas vraiment à l'aise, mais qui l'aurait été en venant de voir cela ?

- Oui, oui bien sur...je comprends

Bien entendu, avec un décolleté pareil, Jun ne pu s'empêcher de regarder le creux de ses seins juste devant lui.

- Je suppose que vous avez des plans ? Vous attendez quoi de moi ?

C'était assez étrange car il avait l'impression d'avoir déjà entendu parlé d'une femme plante lors de certaines activités criminelles. Mais bien la jeune femme ressemblait à la description qu'il avait lu quelque part, mais il n'en était pas sur et vu ce qu'elle semblait pouvoir faire, il n'avait pas tellement envie de la courroucé.


.....


Le responsable de la réunion se leva avant de prendre la parole. Il fit sortir un écran du plafond avant de présenter un power point. Il revint ensuite s'assoir à sa place avant.

- Bien voila le contenu du plan, numéro 4 c'est a vous !

Un autre homme se leva habillé d'un costume marron. Il fit un exposé sur le financement du plan. avant de passer la main à un autre homme du nom de numéro 7.


Poison Ivy

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Re : Ne jamais faire confiance à un politicien [Adramelech]

Réponse 16 mercredi 12 février 2014, 01:23:23

« Je suppose que vous avez des plans ? Vous attendez quoi de moi ? »

Ivy esquissa un léger sourire, tout en assurant lentement sa position sur le corps de Jun. Elle remua un peu, ses jambes filant à gauche et à droite de l’homme, et lui laissa encore l’occasion d’observer ses seins, tout en enroulant ses bras autour de sa nuque. Elle se rapprochait aussi un petit peu de lui, et frotta tendrement son nez contre le sien, poussant un long soupir de plaisir, légèrement exagéré. Entre ses cuisses, elle pouvait sentir une certaine tension croître entre les jambes de l’homme. Elle aurait presque été jusqu’à l’embrasser, mais, au lieu de ça, elle finit par se redresser, et posa chacune de ses mains sur le corps de l’homme, à l’emplacement de ses abdominaux, éprouvant cette veste. Il était très bien habillé, et, bien qu’Ivy soit une femme appréciant la nudité, elle appréciait aussi les hommes de pouvoirs.

Elle se rappelait à qui cet homme lui faisait penser... À un lointain souvenir de Gotham City, Harvey Dent. Le fringant Procureur avait été le petit ami de Pamela, et même son fiancé. Il avait été le Procureur de Gotham, un homme talentueux, plutôt doué au lit, mais ils avaient fini par rompre, à cause de Batman, qui avait remarqué qu’Ivy utilisait ses phéromones pour droguer Harvey, afin d’avoir un homme d’influence dans sa main pour l’aider à mener ses expériences chimiques.

« Je n’ai pas de plans, ce n’est pas moi qui mène une campagne politique, répliqua-t-elle, en remuant un peu sur son corps, d’avant en arrière, toujours aussi sensuelle, toujours aussi désirable. Mais il y a bien une chose que je veux de vous... Une chose dont je tiens à m’assurer... »

Poison Ivy prenait tout son temps pour s’exprimer, jouant délibérément avec les nerfs de l’homme, avec ses pulsions. Il était un pur Japonais dans l’âme, résistant face aux pulsions sexuelles, zen et calme. Pourtant, elle le sentait instable, de plus en plus nerveux. Un doigt vint se poser tendrement sur les lèvres de l’homme, glissant dessus, le titillant. Elle sourit lentement, et poursuivit, tandis que son autre main alla glisser le long de la cravate de Jun, filant le long de ce tissu.

« Je viens d’une ville où les promesses ne sont que des mots... Gotham City. Une ville où la pollution est aussi élevée que la corruption, où les hommes politiques n’ont aucune conviction, aucune foi dans leurs propos... Vous comprendrez donc toute ma suspicion à l’égard de la classe politique. ».

Son doigt se faufila dans la bouche de l’homme, jusqu’à la première phalange.

« Je ne supporte pas les menteurs et les hypocrites, Jun... Tu es venu demander mon aide, et tu l’auras... Si tu me prouves ton honnêteté. »

Elle retira son doigt de sa bouche, et attrapa les pans de la veste de l’homme, puis alla l’embrasser, se plaquant contre lui. Elle soupira faiblement, prolongeant le baiser pendant quelques secondes, avant de rompre légèrement son baiser, pour conclure :

« Laissez-vous aller. Montrez-moi votre honnêteté et votre fougue... »
DC d’Alice Korvander.

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Adramelech

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Re : Ne jamais faire confiance à un politicien [Adramelech]

Réponse 17 mercredi 19 février 2014, 16:02:57

Jun ne se sentait pas très à l'aise avec cette femme ou plutôt cette mutante puisqu'elle apparaissait comme tel. Il se laissa faire, un frisson lui parcourant l'échine quand elle rapprocha son visage du sien, sentant son souffle parfumé.

- Je...Je vous ecoute !

Il n'avait pas trop le choix. Elle devait connaitre toutes sortes de poison venant de plantes, sans compter que les plantes semblaient lui obéir. Il n'avait pas envie d'être empoisonné et il ne faudrait donc pas lui décevoir. Il avala sa salive, sa gorgé devenant sèche.

- Gotham City ? Je crois en avoir déjà entendu parler.

Et pour sur ! c'était une ville gangrené par le crime et la corruption ou les seigneurs du crimes tous plus dingues les uns que les autres rivalisaient de perversité pour mettre la ville à feu et à sang. Il avait déjà entendu parler de certains de ces criminels : Clowns, double face et homme mystère. Et puis il y avait cet homme mystérieux, un super héros chauve souris qui luttait contre le crime. Mais alors, cela voulait dire que la femme plante de cette ville était la jeune femme qui était assise sur lui ?

Il suça le doigt de la jeune femme, fin et délicat mais avec un goût étrange.

- C'est d'accord...

Il ne pouvait nier qu'elle était désirable, d'ailleurs il commençait déjà à bander. Il avait beau être sur ses gardes et essayer de résister, la jeune femme l'inciter à céder à ses pulsions. Elle enleva sa veste avant de l'embrasser. D'abord passif, il vint l'enlacer, succombant à son parfum entêtant.

- De toute façon, je ne pourrais pas résister plus longtemps...J'ai envie de toi Pamela !

Il lui redonna son baiser, l'embrassant sauvagement, avant de venir descendre dans son cou, caressant sa belle tignasse rousse. Son autre main descendit sur ses hanches et son corset vert. Elle avait vraiment un corps de rêve. Il vint caresser ses seins a travers le corset, avant de le faire descendre pour libérer sa poitrine plutôt généreuse. Il ne put s'empêcher de les fixer, avant de les caresser tendrement avant de les saisir et de lécher ses tétons. Les Japonaises étaient en général assez menue avec peu de forme mais la c'était la première fois qu'il voyait d'aussi gros seins en vrai.

- Comment on enlève ce corset ?


Il essaya de le déboutonner ou de faire descendre un zip de fermeture éclair sans succès. On aurait dit un adolescent encore vierge...

Il avait une trique d'enfer maintenant et il décida de ne plus se retenir. Il se leva avant de déposer la jeune femme sur son bureau, écartant son ordinateur et ses dossiers pour laisser de la place. Il ouvrit rapidement sa chemise en se levant avant de déboutonner son pantalon et de libérer son membre en érection. Puis il revint embrasser la jeune femme frottant son membre contre son bas ventre en caressant ses seins.


Poison Ivy

Créature

Re : Ne jamais faire confiance à un politicien [Adramelech]

Réponse 18 jeudi 20 février 2014, 20:59:56

Elle le vit lentement retirer sa veste, révélant la chemise blanche avec la cravate. Blottie contre l’homme, Pamela était amusée. Ça, c’était un domaine qu’elle connaissait presque aussi bien que l’écologie et la défense des plantes. Jun la trouvait belle, et il avait raison, car elle le savait. De mémoire, elle ne connaissait qu’un seul homme qui ait jamais réussi à résister à ses charmes : Batman. Or, ce n’était pas faute d’avoir essayé. À force de se faire battre par cet homme, on finissait par en développer un syndrome. Que ce soit sur les simples malfrats, les policiers, ou même les psychiatres d’Arkham qui se chargeaient de la soigner, aucun homme n’avait jamais réussi à lui résister, et même les femmes étaient troublées. Batman, en revanche... Une énigme qui l’avait longuement travaillé, car elle estimait être suffisamment belle pour que n’importe qui fantasme sur elle... Surtout les hommes de puissance. Après tout, quitte à choisir, autant opter pour ceux qui ont du pouvoir.

Entre ses cuisses, elle sentit l’érection naissante de Jun, une belle érection. L’homme alla l’embrasser, et elle répondit à ce baiser sans la moindre once d’hésitation, fermant les yeux, ce qui accrut l’érection de l’homme. La salive de Pamela était également chargée, aphrodisiaque, et elle enfonça sa langue dans sa bouche. Le nez de l’homme devait respirer la bonne odeur de son corps, autant de sensations enivrantes qui allaient le rendre beaucoup plus conciliants. Dans le fond, les arguments avancés par Pamela pour lui faire l’amour étaient avant tout des histoires. La véritable raison, c’est que c’était surtout une raison, pour elle, de lui montrer son assentiment. Comme elle le lui avait expliqué, Pamela était plus proche de la Nature que les humains, et la nature avait pour elle d’être relativement honnête. Cet homme lui plaisait, et, avec une femme comme Poison Ivy, le sexe n’était jamais loin quand quelqu’un lui plaisait. Elle le sentait s’exciter contre lui, réveillant la bête qui dormait en lui. Un homme civilisé, instruit, qui laissait peu à peu parler ses pulsions, rappelant ainsi que, sous tout honnête homme, il y avait une bête qui dormait. L’image était alléchante. Il tira un peu sur son corset végétal, amenant les lourds et généreux seins entre ses mains, qu’il pétrit. Il les caressa lentement, tout en ayant rompu le baiser.

« Haaa... »

Pamela soupira lentement, avant de sentir l’homme se rapprocher, et elle posa une main sur ses cheveux, les caressant, tandis qu’il jouait avec ses tétons, les léchant. Il fourra les tétons dans sa bouche, mimant l’éternel geste du bébé qui venait quérir le lait maternel. Ici, il s’agissait d’une autre forme de soif à satisfaire, et les seins d’Ivy se durcirent lentement, tandis que ses doigts se crispèrent sur la tignasse du Japonais. Elle sentit les mains de l’homme se promener sur son corps, la caressant, la palpant, ce qui continua à l’exciter. Elle savait ce qu’il cherchait à faire.

*En voilà un qui ne perd pas de temps...*

Après quelques palpations, Jun dut cependant s’avouer vaincu, en regardant la femme, pour lui avouer, pâteux :

« Comment on enlève ce corset ? » grommela-t-il.

Sa réponse fut un simple sourire, car Jun la souleva alors, pour l’envoyer sur le bureau. D’une main, il poussa son écran plat, et quelques dossiers, et elle se retrouva en plein milieu du bureau, se sentant à la place d’une jeune secrétaire en jupe trop courte, qui se retrouverait face à un patron ayant enfin décidé de sauter le pas. Une lueur malicieuse ne quittait pas son regard, alors que, devant elle, Jun entreprit de se déshabiller. Son pantalon glissa, entraînant son sous-vêtement, révélant un membre tendu, une verge appétissante, tandis qu’il déboutonna également sa chemise. Non, décidément, cet homme ne traînait pas en longueur.

Il revint contre elle, et elle soupira en sentant ses lèvres se presser contre les siennes. Son dos se tendit légèrement en arrière, sous la musculature de l’homme, et elle releva ses jambes, venant frotter le corps de l’homme, les enroulant autour de son bassin, s’appuyant à ce dernier, gémissant de plaisir. Avec son sexe, il vint mimer des gestes de pénétration, tapant contre ses cuisses, et elle se crispa lentement contre lui, ses doigts s’enfonçant contre sa nuque. Sa cravate pendouillait entre eux, et ce fut elle qui la retira, déplaçant l’une de ses mains pour jouer sur le nœud, retirant ensuite la cravate, qu’elle balança sur le bureau.

En réponse à la demande de Jun, le corps d’Ivy se mit à agir, avalant tout simplement le corset, qui disparut dans son corps, révélant sa peau nue, verte. Elle rompit brièvement le baiser, afin de délivrer quelques explications :

« C’est mon propre corps qui génère ces excroissances végétales. Maintenant, pénétrez-moi... »
DC d’Alice Korvander.

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Adramelech

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Re : Ne jamais faire confiance à un politicien [Adramelech]

Réponse 19 mardi 11 mars 2014, 16:01:01

Jun vit alors le corset de la jeune femme tout simplement disparaître ! Comme si il s'était mêlait à sa chair.

- Ben sa alors...

Décidément cette femme n'était vraiment pas comme les autres, mais c'était aussi cela qui faisait une partie de son charme et surtout son originalité. Il revint rapidement à la réalité en voyant la femme nue devant lui qui venait frotter ses cuisses contre les siennes en lui disant de venir la prendre sur son bureau. Il revint l'embrasser avant de diriger le bout de son gland entre les lèvres de l'intimité de la jeune femme, la pénétrant lentement en gémissant. Quelle délicieuse sensation que de pénétrer le vagin d'une femme pensait il. 

Oui car sa faisait un moment qu'il n'avait pas eu de relations avec une femme. Il avait mis du temps à se remettre du divorce avec sa femme. Il avait même surement toujours des sentiments pour elle, mais la vie de politicien ne laissait que peu de place pour la vie privée. Il avait beau passer le peu de temps qu'il lui restait avec sa femme et sa fille, cela ne lui avait pas suffit et se sentant délaissé, elle l'avait trompé. Cela l'avait broyer le cœur mais il était prêt à lui pardonner cet écart, mais il était déjà trop tard et trois mois plus tard, le divorce était prononcé d'un commun accord.

Depuis lors il avait bien eu quelques aventures a droite a gauche mais rien de transcendant, juste du cul pour du cul...sans sentiments. D'un autre coté, maintenant qu'il ,avait rencontré Pamela il se dit qu'heureusement il était divorcé car même en étant fidèle, il ne savait pas si il aurait pu résister et ne pas craquer un jour...

- Au moins avec vous, la politique devient beaucoup plus intéressante...

Il vint coller son bassin au sien sentant de douces sensations au niveau de son membre. Puis il commença à aller et venir en elle en la prenant par ses hanches généreuses. Il revint l'embrasser mêlant sa langue à la sienne dans un échange de salives sucrés et parfumé. Il vint caresser ses fesses et ses cuisses, agrippant le bureau de son autre main  juste derrière Pamela afin d'accélérer la cadence.

Avec une bombe comme cela dans son équipe, la campagne n'en serait que plus intéressante. Il espérait juste que la jeune femme n'essaye pas de l'empoisonner comme son surnom l'indiquait...

...


Autre endroit dans un immeuble de Seikusu, la réunion prit fin et les différents participants se levèrent avant de prendre congé. Chacun des membres du groupe était appelé par un numéro du numéro vingt au numéro un par ordre d'importance. Ils avaient tous signé un pacte en se tatouant ce nombre sur un endroit de leur corps. Cependant, le numéro un n'était pas présent ce jour la, d'ailleurs personne ne savait qui il était en réalité. Son visage était inconnu et seul les numéros deux et trois connaissaient son identité. Il ne venait jamais aux réunions autrement que sous la présence d'une escorte et étant caché.

Le numéro 2, l'homme à la peau noir bien habillé vint demander au numero 5 de venir le voir à la fin de la réunion.

- Vous avez fait du bon travail numéro 5, le maître sera content de vous.

- Que faisons nous de la cible ?

- Ne faites rien pour l'instant, laissez vos agents en suspens mais en alerte. Nous attendrons qu'il commence à bouger et puis nous sommes en avances...De toute façon numéro 6 à la main pour l'instant. Soyez patient, laissez le temps faire son travail...

Le numéro 5 un homme en costume bien taillé le salua avec respect avant de s'en aller

Poison Ivy

Créature

Re : Ne jamais faire confiance à un politicien [Adramelech]

Réponse 20 vendredi 14 mars 2014, 01:25:55

Pamela ne savait pas grand-chose des problèmes de cœur de Jun. Tout ce qu’elle savait, c’est qu’il était divorcé, et elle avait assez de jugeote pour savoir que, au Japon, le divorce n’était pas une banalité. Le pays était encore très conservateur, et, pour beaucoup de Japonaises, le mariage était encore la voie naturelle de s’épanouir. Dans les sociétés sud-asiatiques, il était encore très largement admis que le rôle normal d’une femme était de servir au foyer, cette dernière se chargeant de la gestion interne du ménage, tandis que le mari, lui, se chargeait de la gestion externe. Les femmes célibataires au-dessus de la trentaine étaient plutôt mal perçues, et le mariage était si important qu’il était fréquent de rencontrer, au sein des sociétés japonaises, des agences matrimoniales se chargeant d’épauler les salariés toujours célibataires. On divorçait assez peu. Alors, autant offrir à Jun un petit réconfort féminin...

Il la pénétra, et elle soupira de plaisir, en enroulant ses jambes autour de son bassin, posant ses mains en appui sur ses épaules. Les deux vinrent s’embrasser brièvement, avant que Jun ne lui lâche un délicieux compliment :

« Au moins avec vous, la politique devient beaucoup plus intéressante... »

L’intéressée esquissa un sourire, répondant du tac-o-tac, tout en sentant les mains de l’homme glisser vers son bassin, se rapprochant de ses fesses :

« Pour ne rien vous cacher... Hum... Je crois que même moi, j’arriverais à rendre un cours de finances publiques passionnant. »

Elle remuait lentement son bassin, accompagnant les coups de reins de l’homme. Il finit par s’appuyer au bureau, y trouvant là un appui supplémentaire pour pouvoir mieux la prendre, et cette dernière soupira, basculant sa tête en arrière, serrant ses jambes autour de la taille de l’homme, agrippant solidement ses cheveux, s’y cramponnant. Le bas de ses fesses vint heurter le rebord du bureau, s’y enfonçant, et elle commençait à soupirer, gémissant de plaisir, tandis qu’elle mouillait, recouvrant la verge de l’homme en elle.

« En... Encore, haaaa... Encore !! Hummmm… Ouuiii, haaaaannn !! »

Elle ne hurlait pas comme une folle, car elle savait que l’homme ne voulait sans doute pas qu’on sache qu’il culbute des minettes dans son bureau. De plus, ce n’était pas son genre. Nul doute que l’expérience sexuelle d’Ivy aurait fait rougir de honte un curé si elle avait du le confesser. Elle avait senti bon nombre de chibres en elle, même avant Seikusu, où elle empoisonnait des hommes. Ils devenaient alors ses hommes, l’aidant à accomplir ses projets, et, pour les moins moches d’entre eux, occasionnellement ses amants. Qui aurait pu lui résister ? Elle avait déjà empoisonné Jun, mais pas dans le sens où allait en mourir. Sa toxine n’avait fait que réveiller ses frustrations, abaisser ses inhibitions. Et, vu l’état dans lequel Ivy se trouvait, ça avait manifestement plutôt bien marché. L’homme la prenait de plus en plus fougueusement, et, en basculant sa tête en arrière, elle avait relevé son buste, lui permettant d’avoir accès à ses seins.

Les jambes d’Ivy, elles, continuaient à se serrer, et, si on avait pu les regarder, on verrait que des espèces de veines vertes sombres remuaient à leur surface, glissant le long de ses jambes. Sa peau avait également tendance à se verdoyer, passant progressivement de cette couleur beige classique à un vert pâle, qui recouvrait intégralement son corps, lui donnant, maintenant, clairement l’apparence d’une nymphe, d’un de ces esprits de la forêt dont on faisait le ciment des contes et de l’imagination populaire.
DC d’Alice Korvander.

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Adramelech

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Re : Ne jamais faire confiance à un politicien [Adramelech]

Réponse 21 mercredi 26 mars 2014, 11:22:15

 Le jeune quadragénaire accélérait progressivement ses aller et venus dans l'antre de la jeune femme mutante. Il était excité comme jamais, ayant l'impression d'être sur une autre planète, ne plus être dans la réalité, cédant complétement à ses pulsions et ses instincts primitifs de mâles. Pamela se releva un peu offrant sa poitrine à Jun qui vint y loger son visage, léchant ses seins, laissant des filets de salives dessus. Il vint sucer ses tétons. Il contractait ses muscles offrant par la même occasion une belle vue sur les muscles de ses abdominaux et ses pectoraux saillants

- Pamela tu me sers trop ! Je ne vais pas pouvoir me retenir pendant longtemps si tu continues

En effet, il sentait le sexe de la jeune femme entourait et serrait son membre, l'aspirant presque en elle, comme si elle voulait le maintenir prisonnier et le vider de sa semence. Il revint embrasser Pamela dont la couleur de peau avait changé, virant au vert, mais bon, il n'était plus a cela prés après ce qu'il avait vu précédemment.

- Je vais te donner ce que tu veux alors

Il accellera la cadence, la pénétrant complétement. Il  la laboura violemment, faisant trembler le bureau. Heureusement qu'il y avait des travaux a cotés sa couvrirait les bruits suspects. Il continua ainsi pendant quelques minutes, ralentissant de temps en temps pour reprendre son souffle avant d'emprunter la dernière ligne droit, sentant le plaisir monter en flèche. Il donna quelques derniers coups violents butant contre le fond de son vagin avant de jouir en gémissant, libérant plusieurs longs jets de sperme en elle, inondant son antre

- Ohhh....Ahhh...


L'orgasme fut puissant et particulièrement bon, puis il diminua progressivement. il regarda la nymphe le regardait et il vint l'embrasser en lui souriant avant de se retirer
 

Poison Ivy

Créature

Re : Ne jamais faire confiance à un politicien [Adramelech]

Réponse 22 vendredi 28 mars 2014, 02:04:11

Au moins, le politicien restait fidèle à la tradition des hommes politiques : savoir faire l’amour avec les femmes. L’intéressé finit par comprendre que Pamela le serrait, et il lui demanda de desserrer sa prise, ce que cette dernière, naturellement, ne fit pas. Elle voulait sentir le mâle dans le corps de cet homme, le prédateur, l’homme sauvage et fougueux, qui la prendrait avec la passion d’un homme préhistorique venant se vider sur sa grosse après avoir chassé un mammouth gigantesque. Elle le serrait ainsi, mais, en toute honnêteté, si Ivy avait voulu l’immobiliser, elle n’aurait eu aucune difficulté à le faire. Son propre corps pouvait secréter des tentacules, et elle aurait tout à fait pu les utiliser pour encercler l’homme. Cependant, ce n’était pas son intention. Elle voulait sentir l’homme la prendre, et c’est ce que ce dernier fit, accentuant ses coups de reins, Ivy se mordant les lèvres pour ne pas hurler, afin de ne pas attirer l’attention des autres membres de son bureau. Il avait beau y avoir des travaux dans la rue, lorsqu’une femme se mettait à hurler, généralement, tout le monde l’entendait.

Pamela avait toujours aimé les hommes de pouvoir, et il était donc normal qu’elle se rapproche de Jun de cette manière. Elle était proche de la Nature, et, par ailleurs, restait, à la base, une étudiante frustrée. Poison Ivy était mille fois plus belle que Pamela Lilian Isley ne l’avait jamais été, une petite étudiante timide, incapable de se mettre en valeur, sous la vénération de son professeur, Warren. En un sens, à travers ce coït, c’était l’ancienne Pamela qu’on retrouvait, cette femme qui appréciait les hommes forts, cette femme qui, secrètement, rêvait de se faire sauvagement baiser par son prof’ dans le laboratoire, de le sentir lui arracher les vêtements, pour lui labourer le cul. Jun était en train de faire ce qu’Ivy voulait : la défoncer. Il fallait que ce soit intense, car ce plaisir-là ne s’épanouissait pleinement que dans l’intensité. L’Empoisonneuse mouillait délicieusement, faisant baigner la verge de l’homme, une verge qui aurait battu en brèche tous les préjugés sur la petite taille des sexes japonais.

Au bout de plusieurs minutes, elle finit par avoir un orgasme. Sa tête basculait alors en arrière, et elle la releva subitement, embrassant le cou de l’homme, venant lui faire un ardent suçon. Tout son corps fut traversé par une onde de plaisir insoutenable, et son hurlement mourut dans le cou de l’homme. On aurait alors pu la prendre pour une espèce de vampire essayant de sucer le sang du cou de son amant, mais c’était tout simplement une manière de ne pas hurler. Elle s’écrasa contre le corps de l’homme durant son orgasme, tous ses muscles se tendant comme une corde de violon, avant de se relâcher d’un coup. Elle accueillit ensuite en elle le sperme de l’homme, et s’affala sur son bureau.

Les cris succédèrent aux soupirs et aux gémissements. Ivy avait dans le corps du sperme, et, tandis que Jun la regardait, distraitement, elle caressa son ventre, heureuse à cette idée. Du foutre dans son ventre... Sans pouvoir se l’expliquer, cette idée la ravissait, même si elle savait qu’elle ne serait pas enceinte. En échange de ses capacités surnaturelles, Ivy était devenue stérile, inféconde. Elle soupira lentement, répondant au baiser de l’homme, puis se remit sur pied.

« Et bien, finit-elle par lâcher, dans un bureau dont la chaleur avait monté de quelques degrés, si vous faites preuve de cette même fougue lors de votre campagne, je pense que vous avez toutes vos chances. »

Ses bras s’enroulèrent délicieusement autour du cou de l’homme, et elle alla, à son tour, l’embrasser. Ce fut également un bref baiser, et elle rajouta alors, confirmant ce que l’homme pouvait maintenant espérer :

« Je vous prêterais assistance dans votre course aux élections. »
DC d’Alice Korvander.

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Adramelech

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Re : Ne jamais faire confiance à un politicien [Adramelech]

Réponse 23 lundi 07 avril 2014, 13:16:47

Jun s'assit sur son fauteuil, reprenant son souffle tranquillement, avant de soupirer. Il alluma ensuite la climatisation

- Merci de votre soutien Pamela

....

Deux semaines passèrent et Pamela avait commencé a travailler dans les locaux de Jun. Elle semblait bien s'arranger avec tout le monde. Ils avançaient petit a petit sur le projet de campagne. Il y avait malgré tout quelques faits étranges qui se produisirent durant ses deux semaines. Un soir, alors qu'il venait de rentrer chez lui, Jun retrouva un serpent Taipan dans sa salle de bain. Les serpents n'étaient pas très courants dans les villes du Japon. Il fallait aller dans la campagne pour en trouver. Le plus étrange c'est que ce serpent cuivré ne vivait qu'en Australie, dans les régions arides. Il était le serpent le plus venimeux au monde et sa présence ne signifiait qu'une chose : On voulait attenter à la vie de Jun

Une autre fois, c'est Pamela qui retrouva des menaces de morts parmi son courrier. Enfin, un matin, ils découvrirent les locaux de campagne en désordre. Quelqu'un était venu fouillé et d'étranges marques et symboles étaient inscrits sur les murs. On aurait dit des symboles cabalistiques. Heureusement, les fichiers que le voleur cherchait n'était pas au bureau, Jun les gardait dans plusieurs endroits secrets connu de lui seul. Des fichiers, photos, rapport, documents très embarrassants concernant des hommes politiques, des artistes, des intellectuels...

Un matin alors que Pamela arrivait au bureau, Jun vint vers elle avec le journal

- Bonjour Pamela, comment vas tu ?

Il avait lu une dépêche dans la rubrique fait divers concernant la mort d'un avocat Américain. L'homme avait été retrouvé nu dans une chambre d'hôtel, plusieurs sachets de cocaine ainsi que des bouteilles d'alcools dans la chambre. Tout laissait croire à une overdose, pourtant, cet avocat n'était autre que l'avocat qui avait défendu Pamela dans le passé.

- Tu devrais lire cela, c'est étrange...

Il lui tendit le journal, lui montrant l'article


....


Pendant ce temps, dans le bureau du superintendant de police en charge de l'affaire de l'avocat Américain. Il reçut un coup de téléphone venant du bureau du Superintendant supervisor, lui demandant de lui transmettre l'affaire au plus vite. Il se demandait bien pourquoi, mais comme sa venait du numéro deux de la police, il n'avait pas le choix...

Dans le bureau du superintendant supervisor.

- Oui, N° 3 ? Oui le cas de l'avocat est réglé, il ne nous causera plus d'ennuis, je me suis personnellement occupé des preuves, l'affaire sera classé rapidement...Entendu, ce sera fait

Poison Ivy

Créature

Re : Ne jamais faire confiance à un politicien [Adramelech]

Réponse 24 mercredi 09 avril 2014, 02:29:32

La partie de sexe scella leur alliance plus efficacement, aux yeux d’Ivy, qu’aucun bout de papier. La scientifique ne croyait pas en la puissance coercitive des mots, mais surtout en leur puissance manipulatrice. Elle fut donc relativement rassurée, tout en sachant, parallèlement, que s’associer avec un politicien ne risquait que lui amener des problèmes. Elle accepta pourtant de le faire, et partagea son emploi du temps entre ses cours au lycée et ses séjours au bureau de campagne de Jun. Les élections étaient assez éloignées, mais il était important d’agir rapidement. Le caractère indépendant de Jun risquait de ne pas plaire à ceux qui détenaient véritablement le pouvoir à Seikusu. Les Yakuzas n’aimaient pas les nouveautés, et le système mafieux reposait en grande partie sur la corruption du système politique. Qu’un nouveau coq tente de rejoindre la cour était problématique, mais les Yakuzas savaient très bien qu’ils ne pouvaient pas se permettre de l’abattre. Il fallait trouver un moyen de briser sa réputation aux yeux des électeurs, trouver un moyen pour qu’il soit déclaré inéligible. Le tuer, ce serait en faire un martyr, car Jun commençait à être populaire... Si tant est que, même au bout d’une semaine, alors que Pamela s’évertuait à respecter la neutralité politique du service public, un élève lui posa quand même une question sur son implication dans la campagne électorale de Jun, ayant vu son nom dans les premières affiches de campagne qui commençaient à circuler officieusement sur la Toile. Elle n’en dit pas plus, se contentant juste de confirmer les rumeurs. Son soutien serait autant une bonne chose qu’une mauvaise : les mentalités japonaises étaient lentement en train d’évoluer. Pamela savait qu’un Japonais originaire de la Finlande avait réussi à se faire élire au sein de la Diète, Marutei Tsurunen, et qu’il militait activement pour la reconnaissance de droits politiques à accorder aux étrangers. Une manière de battre en brèche l’isolationnisme japonais.

Assez rapidement, Pamela constata que ses prédictions avaient été justes. Elle reçut des courriels lui demandant de se retirer de la course électorale sous peine de subir de fâcheuses conséquences, ainsi que des courriers jetés dans son casier de la salle de profs. Ceci laissait comprendre que du personnel de Mishima était lié avec les Yakuzas, ce qui, en soi, n’avait rien de surprenant. Pamela avait maquillé son passé en venant au Japon, mais il était probable que les Yakuzas, en creusant bien, finiraient par savoir que Jun était avec une ancienne écoterroriste... Ce qui reviendrait à torpiller définitivement sa campagne électorale. Plusieurs quotidiens locaux étaient directement financés par des Yakuzas, et ils s’empresseraient de placarder le passé dangereux de Pamela, et le fait que Jun s’acoquinait avec des criminels.

Poison Ivy se rendit au bureau de campagne un matin où elle n’avait pas de cours, toujours aussi belle et sulfureuse. D’autres membres du bureau avaient pu profiter de son superbe jeu de jambes, et elle avait également renoué un contact intime avec Jun à plusieurs reprises... Notamment lorsque ce dernier avait avoué qu’on avait tenté de le tuer à l’aide d’un serpent. Ils avaient hésité à porter plainte, mais l’idée n’aurait fait que leur poser des problèmes. Il aurait été facile, pour leurs contradicteurs, de faire passer cette plaine pour une « victimisation » de Jun, une sorte de populisme visant à attirer la sympathie de la base électorale. Tout était délicat et nuancé en politique. Au bureau électoral, seul Jun savait qui était réellement Pamela.

Ce matin donc, Jun lui montra un quotidien national, mentionnant, dans une de ses pages, la mort d’un membre de la société d’avocats Johnson, Kent. Pamela fronça lentement les sourcils, et parcourut l’article. Il avait été retrouvé dans une chambre d’hôtel sordide, imbibé de drogue et d’alcool, et la presse optait pour un suicide. L’un des confrères de Kent assurait que le cabinet était en deuil pour la perte d’un « talentueux confrère », tout en soulignant que ce dernier avait des problèmes dans sa vie privée, et suivait une thérapie. Ils assuraient que sa mort était un choc pour eux. La police, elle, avait indiqué ne négliger aucune piste, tout en suivant celle du suicide.

« Kent m’est apparu comme un homme sain d’esprit quand il m’a défendu, expliqua Pamela. Et, rassure-toi, les phéromones que je dégage ne vont pas jusqu’à créer un lien de dépendance pouvant pousser à la dépression. »

Une brève petite note d’humour, mais pas tant que ça, car elle savait que les phéromones que son corps émettait naturellement créaient pour elle une sorte de doucereuse fascination.

« Je sais que tes ennemis de campagne veulent en savoir plus sur moi, mais... S’ils ont été jusqu’à tuer un avocat américain, c’est qu’ils sont plus influents que je ne le pensais... »

Pamela ne croyait pas à la thèse du suicide, même s’il était aussi possible que ce ne soit le cas. Elle n’avait pas connu son avocat pendant une longue période, mais il lui avait semblé robuste. Cependant, il fallait aussi dire que ça remontait à quelques années. Or, pendant un tel laps de temps, un homme pouvait radicalement changer.
DC d’Alice Korvander.

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Adramelech

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Re : Ne jamais faire confiance à un politicien [Adramelech]

Réponse 25 mardi 15 avril 2014, 17:54:27

Jun réfléchit un instant....

- Je ne crois pas au suicide, ce mec s'est fait assassiner mais je ne comprends pas pourquoi. Ou alors ils voulaient obtenir des informations sur toi ? ou bien peut être savait il des choses qui pourraient compromettre certaines personnes.

- J'ai un ami dans la police, je vais lui demander ce qu'ils sait la dessus, peut être pourra t il nous éclairer la dessus.


Tout cela était plus qu’étrange et Jun avait l'impression que cette affaire allait être révélatrice dans grand chaos. Quelque chose d'indicible et de pernicieux avançait masqué et pour le moment il avait juste l'impression d'être un pion.

Ils retournèrent travailler, avançant petit a petit, les sondages restant assez stable pour l'instant.

Cet après midi la Jun et Pamela avaient rendez vous avec un militant écologiste Américain qui venait au Japon pour donner une conférence. Après avoir déjeuner, ils s'y rendirent, assistant à la conférence avant de passer une heure d'entretien en compagnie de l'homme. Puis ils quittèrent le centre d'études en sa compagnie. C'est alors qu'une voiture déboula en trombe, une grosse berline noire aux vitres teintés. Une vitre s'ouvrit a l'arrière et un fusil  mitrailleur de type HK G36 apparut. Il mitrailla l'entrée du centre d'études ou se trouvaient Pamela et Jun, ce dernier sautant en avant pour plaquer Pamela au sol.

La voiture repartit rapidement en crissant des pneus et Jun roula au sol, touché a l’épaule gauche et dans le dos

- Merde...C'est quoi ce bordel !

Le militant, lui ne bougeait plus, touchait à la tête. Hun regarda ses blessures qui saignaient mais il n'avait pas vraiment mal. On appela une ambulance et ils furent transporté à l'hôpital

Poison Ivy

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Re : Ne jamais faire confiance à un politicien [Adramelech]

Réponse 26 mercredi 16 avril 2014, 02:12:33

Pamela ne croyait pas non plus vraiment à la thèse du suicide. Mais qu’est-ce que ça signifiait ? Que des gens étaient suffisamment influents pour vouloir faire échouer Jun en allant jusqu’à assassiner des avocats américains ? Pamela n’avait jamais été adepte de la théorie du complot, et elle trouvait que le lien était un peu trop gros. Il pouvait tout à fait s’agir d’une simple conférence. Elle laissa donc Jun enquêter là-dessus. De son côté, elle aurait peut-être pu contacter le SHIELD, mais, de manière générale, Pamela essayait de limiter ses contacts avec l’organisme de défense international. Le reste de la journée se déroula plutôt bien, et, en début d’après-midi, Jun invita Pamela à un entretien avec un écologiste américain en visite à Tokyo. Il était membre de Greenpeace, tout en étant aussi un homme d’affaires, quelqu’un qui essayait d’amener son pays à essayer de changer de mode d’industrie, et à se tourner vers les énergies renouvelables, non seulement pour des raisons écologiques, mais aussi économiques, en essayant de leur expliquer la rentabilité des énergies renouvelables sur le long terme. Pamela savait cependant que, en économie comme en politique, on raisonnait sur le très court terme, n’envisageant concrètement les choses qu’entre deux périodes électorales.

Le duo rejoignit donc l’université de Seikusu, où l’homme menait une conférence, en proposant son modèle écologique, reposant sur l’utilisation de complexes industriels impliquant des éoliennes et des panneaux solaires. Un projet ambitieux, reconnaissait-il, mais qui, selon ses modèles, pouvait, sur le long terme, être extrêmement bénéfique. Au Japon, les écologistes prêchaient souvent des convaincus, surtout après la catastrophe de Fukushima, où bon nombre de Japonais continuaient fréquemment à manifester pour la sortie du nucléaire, et pour l’usage d’une industrie qui soit vraiment saine et harmonieuse avec la Nature, conformément à la vision japonaise traditionnelle. La conférence reçut une ovation de la part des étudiants, et Ivy eut droit aux habituelles œillades des étudiants proches, peinant à lutter contre les phéromones que la belle plante sécrétait.

Le duo rejoignit ensuite l’Américain, et ce dernier accepta une discussion avec eux à la cafétéria de l’université. Elle était au rez-de-chaussée, donnant sur la rue, et le trio s’assit. Ivy attirait bien des regards, avec sa tenue, qui la rangeait indubitablement dans la catégorie des cosplayeuses, donnant l’impression à certains étudiants de ne pas être à Seikusu, mais dans un quartier de Tokyo, Akihabara, paradis des geeks et des gamers. L’Américain lui-même avait du mal à observer les yeux d’Ivy, louchant à chaque fois sur sa poitrine quand il rehaussait ses lunettes. Encore une fois, rien d’étonnant. Pamela mettait naturellement en valeur son corps. Si la Nature l’avait rendu belle, ce n’était pas pour qu’elle le cache, n’est-ce pas ?

L’homme leur expliqua qu’il essayait de convaincre le gouvernement japonais de lancer son projet, et qu’il envisageait justement de mettre sur place une usine-prototype à Seikusu. Pamela commençait à voir un lien se faire avec les élections municipales, et le trio sortit de l’université. L’homme était ravi d’avoir pu discuter avec Jun et Pamela, et allait sans doute ensuite se ruer dans sa chambre d’hôtel pour se masturber en pensant à la belle plante. Le regard d’Ivy se tourna alors vers une voiture qui approchait à basse allure. Comme dans un mauvais polar de série B, elle vit une vitre s’abaisser, et le canon d’une arme dépasser.

Jun fut plus rapide, et poussa Ivy, alors que la rafale jaillit du canon de l’arme. Le conférencier poussa un hurlement de douleur en lâchant son attaché-case, et s’affala sur le sol, tandis que Pamela vit la voiture démarrer dans un crissement de pneus. Elle essaya de lire la plaque d’immatriculation, mais le corps de Jun s’affala sur elle. Tout alla bien trop vite, et, le temps qu’elle y réfléchisse, elle voyait la voiture au loin faire crisser ses pneus sur le bitume en prenant un virage serré sur la gauche, disparaissant au loin.

Pamela réalisa alors que Jun était blessé, que des gouttes de sang étaient tombés sur son corset, mais que, en revanche, en ce qui concernait l’Américain... Barry, de son nom, avait été tué. Une balle en pleine tête avait fait voler la moitié de sa cervelle sur le sol, et des étudiants hurlaient de manière hystérique.

« Merde...C'est quoi ce bordel ! » grogna Jun.

Ivy n’en avait pas la moindre idée.

« Détends-toi, Jun, les secours ne vont pas tarder à arriver... »

Il restait une question en suspens : qui les tueurs avaient-ils visé ? Jun, Barry ? Ou les deux ? À moins que ce ne soit elle.

En attendant, elle espérait que les blessures subies par Jun ne serait pas trop profondes.
DC d’Alice Korvander.

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Adramelech

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Re : Ne jamais faire confiance à un politicien [Adramelech]

Réponse 27 samedi 26 avril 2014, 17:25:57

Les secours arrivèrent et Jun fut transporté en ambulance a l'hôpital. La balle a l'épaule gauche avait traversé de part en part mais on du l'opérer pour lui enlever l'autre balle. Il se réveilla dans la salle de réanimation avant d'être conduit dans une chambre. On prefera le mettre sous protection policière et deux policiers furent ainsi a garder sa chambre. Il avait la tête dans le pâté et il était tout endolori. Il enrageait qu'on ai voulu le descendre.

- Ah les enfoirés, si je les tenais...

Pamela vint le voir ainsi les membres de son équipe, lui offrant des cadeaux pour son rétablissement. Il découvrit la mort d'un grand chef Yakuza dans le journal, cela laissait penser a une règlement de comptes, mais qui oserait s'attaquer au président du Yamagushi Gumi, le plus grand groupe de Yakuzas du Japon.

Jun eut aussi la visite d'un capitaine de police de ses amis qui faisait partie de la police criminelle. Il lui annonça que la mort de l'avocat Américain avait été classé. Il en avait été de même pour deux journalistes d'investigations et un accident bizarre concernant la mort d'un ancien directeur de rédaction. Quelque chose se tramait derrière les élections qui ne semblait être qu'une diversion, une opération de façade servant a masquer certaines opérations plus obscures. Il resta seul avec Pamela pour lui parler de cela

- Bonjour Pamela !

Il discutèrent de choses et d'autres et notamment de son ètat et de la mort du militant Américain.

- Il semble que sa ne soit plus complexe que prévu. Il y a eu plusieurs morts suspectes depuis quelques temps. Des personnes qui sont a des postes clés. Il semble également qu'on ait retrouvé des liens entre trois personnes mortes récemment : Un chef Yakuza, président du Yamagushi Gumi, l'ancien directeur du journal : L'Asahi Shinbun ainsi qu'un  Colonel responsable du groupe d'intervention des forces spéciales adjoint.

Il lui donna les dossiers. les trois responsables portaient un numéro en lettres romaines sur l'épaule : 5, 16 et 13


Poison Ivy

Créature

Re : Ne jamais faire confiance à un politicien [Adramelech]

Réponse 28 lundi 28 avril 2014, 02:42:03

Jun mit plusieurs jours à vraiment se rétablir, mais ses jours n’étaient pas en danger. Le bureau de campagne, pendant cette période, était inquiet. La nouvelle fit le tour des médias locaux, et même les médias nationaux y consacrèrent une tribune. Les Yakuzas semblaient être la cible de prédilection des médias, car Jun avait développé un programme contre la corruption. Pamela en profita surtout pour se renseigner sur le complexe industriel dont le militant avait voulu parler à Jun. Elle apprit ainsi que ce projet avait pour origine une société allemande spécialisée dans les énergies renouvelables. L’écologie était un terrain dont l’Union Européenne avait voulu s’emparer, développant un important programme écologique visant à progressivement diminuer l’émission des gaz à effet de serre, et développer les énergies renouvelables, par le biais de l’énergie solaire, des éoliennes, ou de l’énergie hydraulique. Des entrepreneurs européens envisageaient d’utiliser la fibre écologique pour séduire différents États du monde, notamment la Chine et les Etats-Unis. La société était une société allemande, avec un nom anglais, New-Gen. Le militant qui était mort travaillait pour le compte de New-Gen, et faisait partie d’une commission envoyée au Japon envoyée pour proposer au gouvernement la construction d’usines. Les Européens espéraient que la récente catastrophe de Fukushima aiderait le gouvernement japonais à accepter leur projet. Ils rendaient visite aux maires des communes japonaises, et Ivy, en consultant leur site Internet, apprit notamment que la firme cherchait à construire une usine à Sapporo, une ville connue du Japon pour être une véritable cité verte, avec un concours annuel de statues sur glace. Dans la foulée, Ivy apprit également la mort de l’actuel Oyabun du plus grand yakuza du Japon, le Yamaguchi-gumi. Aucun lien apparent entre Jun et New-Gen, mais cette nouvelle éclipsa rapidement les blessures par balles d’un candidat à la mairie d’une commune japonaise de taille moyenne.

Pamela se retrouva quelques jours après seule avec Jun, dans sa chambre d’hôpital. Deux policiers montaient la garde, et laissèrent entrer sans difficulté Pamela. Elle portait un long manteau brun couvrant ses formes ainsi qu’un long chapeau d’été, et, quand elle fut seule, elle se permit de retirer son manteau, se retrouvant à nouveau dans son habituelle tenue verte. Elle croisa les jambes en s’asseyant sur une chaise, devant l’homme. Jun semblait aller mieux, et restait toujours alerte. Le temps continuait à avancer, le monde à tourner, et il soupçonnait des choses graves.

« Il semble que sa ne soit plus complexe que prévu. Il y a eu plusieurs morts suspectes depuis quelques temps. Des personnes qui sont à des postes clés. Il semble également qu'on ait retrouvé des liens entre trois personnes mortes récemment : Un chef Yakuza, président du Yamagushi Gumi, l'ancien directeur du journal l'Asahi Shinbun, ainsi qu'un colonel responsable du groupe d'intervention des forces spéciales adjoint. »

Le lien entre ces trois morts était un numéro romain qui avait été gravé sur l’épaule. Pamela contempla les dossiers des morts, et regarda l’homme.

« C’est effectivement troublant... Mais qu’est-ce qui lie ces hommes à nous ? À notre élection ? »

De son côté, elle lui expliqua ensuite que le militant était un homme d’affaires travaillant pour le compte d’une société européenne, New-Gen.

« La firme essaie de s’implanter au Japon. Il est possible que ce soit les Yakuzas qui cherchent à empêcher New-Gen de s’installer, mais j’ai du mal à voir le lien entre cette société, le Yamaguchi, le Shinbun, et ce colonel décédé. »

L’Asahi Shinbun était l’un des plus grands quotidiens du Japon, et également l’un des journaux les plus lus dans le monde. Il était connu pour ses analyses critiques de la société, et ses articles en profondeur. Il se passait visiblement quelque chose de grave, et même Ivy pouvait le sentir.

La seule question qu’elle se posait était de savoir ce qu’on voulait à Jun.

« Pourquoi est-ce que tu te sens concerné par ces histoires, Jun ? Y-a-t-il des choses que tu me caches ? » demanda alors Ivy.
DC d’Alice Korvander.

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Re : Ne jamais faire confiance à un politicien [Adramelech]

Réponse 29 lundi 09 juin 2014, 16:28:35

Il la regarda alors qu elle lui expliquait plus en detail le passe du militant decede. Il s etait donc reconverti en hommes d affaires. C etait plutot etrange pour un militant juge radical il y a encore quelque annes. Il s etait fait rachete ou peut etre avait il cede au pouvoir et a l appat du gain

- Il faut avoir du courage pour s attaquer a un parrain, surtout quan ikl s agit du boss du plus grand syndicat du crime. je n oses imaginer ce que peuvent faire les membres du syndicat si ils trouvaient les responsables. Le ou les meurtier doivent avoir un gros soutien, quel qu il soit. Pour ma part j ai appris que le redacteur avait ete mouille dans une affaire assez sordide, il ya quelques annes. Une partie fine qui avait mal tournee entrainant la mort du une jeune femme de 16 ans. L affaire avait ete bien entendu occulte pour ne pas eclabousser la carriere du redacteur en chef


La seule chose qui liait ses hommes c etait ses numeros, mais pour quelle raison ?

- Je dois t avouer que j ai recu des menaces de morts concernant mon ex femme et ma fille, c est pour cela que je prefere faire attention, je m en voudrais qu il leur arrive quelque chose a cause de mon ambition

- Je suis peut etre parano mais j ai l impression que  quelqu un essaie de se mettre des personnes hauts places dans la poche et quoi de plus efficace que de faire assassiner les personnes reticentes et de les remplacer par des allies dociles dont on aurait sponsorise et dope la carriere

- J ai decouvert un autre truc etrange...

Il lui montra trois autres fiche designant un chef du Yamagushi Gumi, un haut place des forces speciales et un directeur de redaction

- Voici les remplacants probables des trois personnes decedes et figures toi que comme par hasard ils font tout les trois partie d un meme club " La fraternite d Horus" Une sorte de loge maconnique mais dont tres peu d informations filtrent. Maintenant je te le demande, qu est ce qui pourrait  amener tropis personnes radicalement oppose a trouver un interet commun pour frequenter un meme club ?
 

Oui bon, il y avait la vieille idee du complot Maconnique dirigeant le monde ou ayant le pouvoir et dirigeant dans l ombre, mais la  c etait assez surpre
nant


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