Loup y es tu? [PV Tenshi]

Le monde de Terra est étrange. Sorti de son village caché depuis maintenant quelques mois, il sait reconnaitre les gens à éviter du premier regard. Les livres qu’il avait lu dans la bibliothèque de son village expliquant les dangers de ce monde était démodé, bien trop loin de la réalité aujourd’hui. L’image qu’il s’était fait du monde avait changé depuis l’édition de ces ouvrages … il corrigeait donc l’univers déformé qu’il avait visualisé tout ce temps.

Il était aujourd’hui dans cette forêt étrange. Il passait son temps à faire des détours après avoir observé une fleur ou une espèce qu’il ne connaissait pas. Il perdait même parfois du temps à rester quelques temps cachés dans des buissons pour voir si des animaux venaient manger cette fleur ou une autre plante afin de savoir si elle était comestible. Il en était de même pour d’autres baies qu’il ne connaissait pas. Il n’était pas assez fou pour tester lui-même les diversités de la nature, n’ayant aucune envie de subir les vices que celle-ci peut cacher.

Il dormait parfois à la belle étoile, surtout quand il faisait beau et assez chaud. Lorsqu’il pleuvait et qu’il n’avait pas le choix, il devait chercher une grotte ou un abri … rester dans une auberge avait ses avantages, mais il n’avait pas toujours de l’argent sur lui, ne s’en faisant que de manière occasionnelle quand il peut être utile dans certains villages. Être un étranger semblait d’ailleurs rendre la vie plus difficile financièrement lorsque l’on arrive dans un endroit … Difficile de renier l’appel de la nature également. C’est pourquoi la forêt était un territoire à apprivoiser du mieux qu’il pouvait, par simple esprit de survie.

Trouver un point d’eau était une priorité. Une rivière faisait l’affaire. Elle était importante pour boire et lorsque celle-ci offrait la possibilité de se laver dedans quand le couloir de cette eau s’élargissait, c’était trop de luxe pour refuser de s’installer loin de cet endroit ! Bien qu’il puisse vivre ainsi quelques jours en forêt, son hygiène était parfois meilleure que celle des humains de certains villages …

D’ailleurs, aujourd’hui il avait décidé de prendre un petit bain dans une partie de la rivière qu’il avait découvert pour cet effet. Il avait emmené avec lui quelques baies dans une bourse bien remplie pour grignoter un peu sur place également. Retirant ses chaussures et les posant sur un rocher au bord de l’eau, il fit de même pour sa bourse, l’ouvrant pour piquer un peu dedans, se colorant un peu les lèvres de la couleur de ces fraises des bois. Il commençait à se déshabiller, retirant son haut et dévoilant son torse à la rivière quand il entendait du bruit soudainement, ses oreilles essayant d’en capter d’eau … Il ressemblait à un animal prêt à s’enfuir ou se défendre … Attendant que la situation s’éclaircisse … Oubliant de se rhabiller, ayant encore son pantalon sur lui. Le bruit qu’il avait entendu ressemblait à une branche qui cassait sous le poids d’un corps … Peut-être le vent ? … Une branche qui est tombée ? …

La Belle Kitsune vivait depuis quelques mois, dans ce petit village, à l’abri de la capitale et de toutes ses corruptions. C’était une espèce qui était plutôt recherché pour les plaisirs des plus riches dans ce monde de brutes. Mais malheureusement, une belle journée ensoleillée et un marchand d’esclaves décide de faire escale dans le village, pas par coïncidence, car sûrement un des villageois avait dû vendre la mèche sur la cachette de la belle renarde. Ahri malgré ses 16 ans elle n’avait pas les 2 pieds dans le même sabot et savait très bien. Lorsqu’un danger était à proximité. Elle n’attend pas de voir ce que lui veut ce marchand, ni même lui laisser le loisir de la chercher, qu’elle décide de détaler pour fuir vers la forêt , où elle savait très bien qu’elle aurait une petite chance de perdre sa trace

Heureusement, l’homme n’avait pas de chien avec lui, c’était déjà une épine dans le pied lorsqu’ils en avaient, car les clébard pouvait facilement retrouver l’odeur de la petite renarde. Elle ne regarde même pas derrière elle savoir si quelqu’un avait pu la voir sans fuir ou pas, elle était habillée d’un petit kimono rouge, blanc et noir, assez court qui laisse facilement entrevoir les magnifiques formes qu’elle pouvait avoir malgré son âge.. Le souffle court. Elle continue de courir avant de s’arrêter à côté d’un tronc d’arbre et de poser sa main dessus pour essayer de reprendre sa respiration.

Ses oreilles commencent à s’agiter. Lorsqu’elle entend. Le bruit de l’eau. C’était la meilleure option pour elle d’effacer ses traces. Grâce a la rivière. Elle renifle un peu le fond de l’air pour se guider sensoriellement. Elle arrive enfin à côté de la rivière et se précipite pour rentrer dedans jusqu’au genou et se penche pour venir prendre une portion entre ses mains pour la boire. Dans cette position sont décolleté, une cache plus vraiment sa magnifique poitrine. Elle remue délicatement ses nombreuses queues blanches. n’ayant pas encore sa taille adulte, elle n’en avait que trois mais très vite elle s’arrête et se fige car une odeur délicate et sucrée vient à son odorat. Elle relève la tête, car à quelques mètres d’elle, il y avait une personne, elle n’avait pas fait attention au début tellement obnubilé à se rafraîchir et à penser à 1000 choses sur la manière de disparaître de nouveau.

Il était de sexe masculin et elle le détaille en remuant ses oreilles avant de pouvoir découvrir que lui aussi il en avait. Elle rougit violemment, car elle comprend très vite qu’il s’agit d’un mâle de son espèce et qu’elle était arrivé à maturité pour se reproduire et laisser des phéromones de chaleur s’échapper. Rien qu’à la vision de ce chat. Elle continue de le regarder, et de le détailler Voyance, sa musculature, elle met un bras sous sa grosse poitrine et mordit son index tout en restant sur le qui-vive, prête à détaler au moindre danger

AHRI : « je…qu’est ce…que…excusez moi…»

Le jeune Kitsune n’entendait plus de bruit durant un instant, décidant alors de continuer à se déshabiller. Il retirait le pantalon qu’il avait sous ce haut qui pouvait ressembler à un peignoir. Mais ce vêtement était d’une manufacture plus noble tout de même. Encore en sous vêtement, il relevait soudainement la tete en guidant ses oreilles vers les bruits de l’eau qui étaient étranger à l’environnement, observant alors une femelle qui n’avait pas pris la peine de retirer ses vêtements pour prendre son bain et boire un peu d’eau.

Elle avait des oreilles et quelques queues … d’après l’odeur qu’il sentir malgré un vent contraire de temps en temps, il pouvait l’identifier comme étant une Kitsune. Il n’en avait encore jamais croisé en dehors de son village d’origine. Il était surpris ! Elle s’excusait alors de s’être introduite ici … Pourtant, ce n’était pas vraiment son territoire. Il n’avait rien fait pour.

-Hein ? … Euh bonjour … Pardon de quoi ? Attends …

Il ne comprenait pas trop sur le coup. Il ne savait pas dans quelle situation elle se trouvait actuellement. Mais de son point de vue, rien n’allait ! Il décidait alors de mettre les pieds dans l’eau qui était encore fraiche vu l’heure et il s’approchait doucement, découvrant le fond de cette rivière tout en marchand et voulant éviter de tomber. Il avait donc également l’eau jusqu’au genou … sentant de manière plus précise l’odeur sucrée qu’elle dégageait au fur et à mesure qu’il s’approchait … Il se permettait également de la tutoyer, sans gêne.

-Avant de prendre ton bain … Tu devrais retirer tes vêtements … Sinon après tu prends froid comme ils sont pas sec.

A bien y regarder, elle lui ressemblait physiquement … C’était un peu perturbant. Ses queues se joignaient entre elles pour voguer ensemble dans un même rythme pour en former qu’une seul comme elles restaient collées. Il lui attrapait alors le doigt qu’elle se mordait pour observer celui-ci … avant de porter ses yeux sur elle qui gonflait sa poitrine en passant son bras dessous …

-Tu … veux de l’aide pour les retirer peut-être ?

Il ne saisissait pas la situation de la jeune femme ! Pour lui, elle s’était juste empressée de venir prendre son bain sans prendre le temps de se déshabiller. Il garder malgré tout une petite part enfantine et naïve ayant vécu loin du danger peut-être trop souvent … Même s’il est capable de le sentir.

Ahri avait très peu côtoyé les hommes avec un vague souvenir de son village natal avec ses semblables avant qu’il ne soit attaqué par des marchands et des humains de la pire espèce, elle regarde l’autre renard s’approcher d’elle. Elle voulait reculer pour commencer à fuir, mais reste tétanisée ou plutôt subjuguée par l’odeur qui se dégage de ce mâle. Lorsqu’elle peut sentir leur queue animale, s’entrelacer, comme si c’était quelque chose d’instinctif elle se met à rougir violemment, et vient aplatir ses oreilles vers le bas laissant, tout loisir de lui attraper la main qu’elle était en train de mordiller. il n’avait pas l’air agressif bien au contraire plutôt attentionné, elle essaye de rassembler son élocution pour pouvoir lui répondre

AHRI : « je… je ne suis pas ici pour me baigner. Je dois pas rester dans les parages car dans le village où j’étais, on était en train de me chercher. Je dois trouver un endroit pour me cacher plutôt. Si je reste ici ils vont me trouver et te trouver…»

Elle referme sa main sur la sienne et commence à avancer dans l’eau comme pour essayer de traverser en venant le tirer avec elle. Si elle ne voulait pas être prise, elle ne voulait pas non plus que ce renard libre le soit aussi. Ahri Avait une très bonne oreille et elle n’entendait pas d’éléments perturbateurs car il semblerait que elle ait réussi son extraction en toute discrétion, elle avait terriblement chaud à cause de courir dans tous les sens et avec l’adrénaline.

AHRI : « Est-ce que tu penses que nous sommes en sécurité ici ?…»

Elle était un peu plus dans l’eau et essaye de remonter légèrement son kimono pour ne pas qu’il soit davantage trop trempé, faisant découvrir petit à petit son corps. Elle essaye de se battre avec le nœud qui était autour de sa taille. Elle l’avait serré plutôt comme une dératé pour ne pas que la matière ne glisse et permettre à son habit de s’ouvrir de manière impromptue

S’étant rapprocher … Il pouvait sentir plus nettement son odeur, le vent ne jouant plus avec celui-ci à la distance ou il était. Elle … dégageait quelque chose de plus ! Mais peut être que l’eau fraiche faisait en sorte de ne pas être trop affecter par ce nouveau parfum agréable … Elle rougissait quand leur queues s’entremêlaient alors. Il observait et trouvait ca plutôt mignon ! Elle semblait être docile et un peu naïve, tout comme lui.

-Un village ? … Je suis dans la forêt depuis quelques jours et je n’en ai pas trouvé. Tu es sur que c’est à côté ? … Tu t’es peut-être éloigné plus que tu ne le crois.

Après tout, était-il difficile de se rendre compte de la distance parcourue lorsque le premier objectif que l’on a en tête est la fuite ? On se préoccupe juste de courir le plus loin possible ! Elle ne s’était peut-être même pas rendu compte de la vitesse qu’elle avait pris en courant. L’instinct de survie pouvait cloisonner tout le reste.

Il la suivait un peu plus dans l’eau, sa main tenant la sienne. Il n’entendait pas plus de bruit autour d’eux, ses oreilles s’étant misent en alertes depuis qu’elle lui avait dit qu’on la cherchait. Mais il n’y avait que des bruits naturels pour le moment.

-Je pense qu’on est en sécurité. Ca fait plusieurs jours que je viens prendre mon bain ici, tu es la première que je rencontre. Tu peux te détendre un peu … Oh attend je vais t’aider.

Il lui adressait un sourire avant de la voir se battre avec le nœud de son kimono. Il cligne des yeux avant de venir en face d’elle pour l’aider et il attrape sa ceinture pour la défaire lentement, laissant alors le kimono s’ouvrir un peu, laissant apercevoir une partie de sa belle poitrine, bien que le kimono cachât encore ses tetons et il pouvait observer son ventre plat.

-Il faudrait … Faire un feu après pour que ça seche plus rapidement … Tu peux mettre le kimono a coter de mes affaires si tu veux.

Elle était adorable à couiner en essayant défaire le nœud de son kimono, jusqu’à ce qu’elle le voit venir à son secours, la proximité la fait rougir, et elle lève doucement dans les bras pour se laisser faire lorsque le tissu est enfin libre, l’ouverture des voiles, une partie de son corps et le regard avec tendresse, avant de s’approcher, de lui et de lui déposer un baiser délicat sur la joue en remuant, ses oreilles, laissant toujours ses queues venir caresser celles de son homologue.

 AHRI : « merci…beaucoup…»

Il est vrai qu’elle ne sait pas du tout maintenant où se trouve réellement le village par rapport à sa position actuelle. Pour elle, elle pense que c’était assez près, mais apparemment ça ne l’était pas du tout et qu’elle avait réussi à s’enfoncer dans la forêt de manière satisfaisante pour être tranquille, et puis maintenant, elle n’était plus seule et se demande si sa présence n’est pas incommodante pour le renard

Elle recule avant de se tourner, et commence à retirer le kimono pour dévoiler ses courbes parfaites et dépose le tissu à côté de celui du renard. Elle met ses bras devant sa poitrine et se retourne vers lui pour rentrer le bassin dans l’eau et reviens vers lui en rougissant de plus belle. sa grosse poitrine déborde légèrement de l’entrave qu’elle faisait avec ses bras et elle vient baisser ses oreilles en regardant un peu sur le côté

 AHRI : « je me nomme Ahri… enchantée… c’est vraiment très gentil de ta part de m’aider. Mais j’espère que je ne viens pas t’embêter avec ma présence…»

Elle vient prendre l’une de ses mèches de cheveux pour commencer à jouer avec nerveusement, ayant vraiment peur de déranger et laisse une seule main pour essayer de cacher ses gros seins, alors que l’eau ne lui arrive qu’à la taille pour cacher son intimité, mais sa queue animal revient caresser celle du renard, comme pour se rassurer

Elle se reculait donc, commençant à retirer son kimono de son corps en faisant attention de ne pas le mouiller plus. Elle allait alors le mettre à côté des vêtements du Kitsune. Il observait … comme elle s’approchait du bord, il pouvait observer son fessier. Elle avait un corps bien developpé et attirant. Pas étonnant que des chasseurs ou des esclavagistes souhaitent mettre la main sur elle ! Déjà qu’elle soit d’une espèce plutôt peut répandue … Elle valait certainement son pesant d’or.

Elle revint alors dans le bassin, cachant sa volumineuse poitrine comme elle pouvait. C’était … un peu un echec en soit ! Puisqu’il voyait une grande majorité de sa poitrine. Mais il préférait ne rien dire, constatent qu’il était un peu malpoli de garder son sous-vêtements … Alors lentement, il le retira devant elle avant de le jeter à proximité de ses vêtements. Facile de viser comme il était plus lourd avec l’eau, même s’il l’avait serré très fort entre ses mains pour vider l’eau. Son entre jambe restait malgré tout caché dans l’eau … enfin, l’eau de cette rivière était assez claire mais les remous devaient rendre un peu difficile de bien observer.

-Moi c’est Ahro ! On a un nom qui se ressemble … Non tu ne me dérange pas ! Tu es la première Kitsune que je croise depuis que j’ai quitté mon village natal. Je dois bien avouer que … La compagnie d’un semblable manquait un peu.

Les queues de la renarde revenaient caresser les siennes … Il acceptait celles-ci en laissant les siennes s’enrouler autour, lui offrant à son tour de douce caresse avant d’en laisser une venir à elle … caresser son dos pour ensuite entourer son corps en se faufilant sous le bras de la renarde afin de cacher sa poitrine avec sa queue …

-Ca te dérange tant que ça d’être … Nue devant moi ?

Sa queue restait malgré tout vivante et chaude, bougeant légèrement contre sa poitrine et ses tetons. Le but premier était de l’aider à dissimuler ses formes … Il ne se rendait pas compte s’il lui créait de l’inconfort. D’autant plus qu’il s’était rapproché pour pouvoir entourer sa poitrine correctement, ses queues n’ont pas une longueur illimitée … En l’observant, elle paraissait jeune. Lui avait en réalité 78 ans mais en paraissait dans la vingtaine … Pourtant, ayant que récemment quitté son village, il avait rarement été aussi proche d’une femelle, ayant passé ses journées à étudier des livres qu’il sait maintenant dépasser.

-Tu es née sur ces terre ? … Non loin d’ici ?

Ahri est heureuse de découvrir que le renard devant elle possède en effet un nom ressemblant elle lui sourit tendrement et timidement à la fois. Elle était soulagée de savoir qu’elle ne le dérangeait pas. Elle ne voulait pas rester seule elle en avait marre de cette vie solitaire. Il s’était rapproché d’elle, sentir l’odeur du mâle l’enivrement secrètement et il prend les devants.

Enroulant sa queue autour de sa poitrine, elle lache un couinement suave se sentant stimulée avec le contact doux de sa fourrure, elle se cambre et vient poser ses mains contre son torse et se cambre doucement tournant la tête pour cacher ses joues complètement rouge et finit par prendre son courage à deux mains pour le regarder

 TENSHI : « je suis désolée je me suis jamais retrouvée nue devant…un mâle…c’est ridicule je sais……»

Elle était gênée d’avouer ce genre de chose et se colle contre lui pour venir cacher son visage contre son torse le visage rouge pivoine. Elle remue sa queue tendrement et la passe autour du mâle comme envie incontrôlable de chercher le contacte avec lui. Elle remue ses oreilles avant de les baisser et frotte son nez contre lui respirant son odeur

 TENSHI : « c’est la 1ere fois…que je sens une odeur aussi rassurante………»

Elle lâcha un petit couinement quand il entourait sa poitrine de l’une de ses queues pour la cacher. Celle-ci continuait un peu de bouger et de tenir au chaud sa poitrine. Difficile de garder un membre comme celui-ci statique tout le temps ! Mais elle pouvait surement comprendre étant elle-même une Kitsune. Si cela la dérangeait, elle devait simplement le lui dire. D’autant plus que sa fourrure était toujours sèche n’ayant pas mis ses queues dans l’eau pour les laver.

Elle se cambrait quand même, venant alors poser ses mains sur son torse. Elle tourne la tête pour camoufler un léger rougissement qu’il pouvait observer malgré tout. La proximité qu’elle créait en faisait ça n’était pas sans effet sur le male ! Sa cambrure la mettait malgré tout en valeur … et il en frissonnait rien qu’à ces mains qui touchait sa peau. Il n’était pas vraiment habitué à ce genre de contact.

-Hm ? Tu es pourtant une jolie Kitsune … Et tu as de toute évidence tout ce qu’il faut pour qu’un mâle te désir au premier regard. Tu devrais plutôt être … hmmm … fière de ce que dame nature t’a offert ?

Elle en cachait son visage contre son torse, sentant son souffle contre sa peau. Elle amenait ensuite une de ses queues autour de lui. Était-ce un message pour lui demander de ne pas filer ? Elle semblait en tout cas se frotter le nez contre lui, comme si elle s’enivrait de son odeur. Il en rougit légèrement. Il passait alors un bras autour de la taille de la jeune Kitsune pour la serrer contre lui. Elle avait peut-être besoin d’être rassurée après avoir eu si peur tout à l’heure. Mais … Visiblement c’était plutôt son odeur qui la rassurait !

-Je ne pensais pas que mon odeur pourrait plaire ainsi … La tienne est particulière aussi … Douce et … hmm … chaleureuse ?

Il venait poser sa main sur sa tête pour la lui caresser entre les oreilles et doucement, sa queue qui entourait sa poitrine glisser pour se retrouver sur son ventre, tandis qu’une autre venait lui caresser le dos, tout le long de l’échine par la pointe de sa fourrure … elle n’avait cependant pas répondu à sa question sur son lieu de naissance. Peut-être ne venait elle pas du même village que lui. Après tout, c’est fort probable. Il l’aurait connu sinon ? non ?

Elle n’arrive pas à se défaire de l’odeur du renard. Elle aimait vraiment ce que son odorat était en train de lui offrir. Son cœur qui n’arrêtait pas de battre la chamade. Commence à se calmer petit à petit, et l’une de ce que remue doucement de gauche à droite avant d’essayer de retrouver celle du jeune Kitsune pour de nouveau se mêler à elle. Elle était plutôt flatté par les compliments qu’il pouvait lui donner, notamment sur son physique et sur son pouvoir d’attraction. Elle savait très bien qu’elle avait un corps qui était apparemment plaisant si elle juge les différents regards des hommes du village qui avaient pu poser les yeux sur elle, sans pour autant réussir à mettre la main dessus.

 AHRI : « Je remercie, dame nature et cela tous les jours mais je ne veux pas qui n’importe quel mâle superficiel me touche et encore moins un humain. Ils ne sont pas digne de confiance…»

Elle lâche un petit gémissement lorsqu’elles sont les caresses dans son dos et le bras autour de sa taille. Elle reste bien collée contre lui et pouvait sentir la virilité du mâle contre elle. Ahri était peut-être vierge, mais elle n’était pas non plus ignorante sur les différents aspects de la reproduction.

 AHRI : « pour répondre à ta question initiale… je n’ai pas beaucoup de souvenirs de mon village, car j’ai dû fuir lorsque j’étais très jeune avec deux autres femelles qui m’ont élevé … elles ont essayé de m’apprendre tout ce que je devais savoir sur ce que je suis, mais malheureusement nous avons été séparés lorsque des marchands ont réussi à les attraper, elles se sont sacrifiées pour que je puisse être libre… j’espère qu’elles vont bien et je leur ai promis que je ferais tout pour survivre et être heureuse…»

Ahri finit par relever la tête pour le regarder elle remue doucement ses oreilles lorsqu’il vient lui caresser les cheveux dans un endroit qu’elle apprécie particulièrement. Elle s’aventure alors venir lui lécher l’arête de sa mâchoire tendrement laissant ses instincts dicter ses actes.

AHRI : « Ahro… est-ce que je peux rester avec toi…»

Au vu des mouvements de sa queue, elle semblait apprécier les compliments qu’il lui faisait. Elle revenait mêler une de ses queues à une des siennes et il ne se gênait pas de la lui caresser plus intensément en la faisant s’enrouler autour. Sa poitrine n’était plus couverte et il pouvait la sentir contre son torse, l’ayant attiré plus contre lui pour lui offrir une étreinte rassurante.

-Il est difficile de comprendre un humain … Et parfois on est comparé à des animaux de compagnie, qu’on est mignon … Hein ? Un mâle superficiel ? Je n’en suis pas un comme … je te touche ?

Il disait ça pour les femelles humaines. Ce n’était pas de la transformation en esclave mais comme un animal de compagnie qu’on trouverait dans la rue dans un carton, en prendre soin, être trop collante … C’était bizarre ! Et il pouvait clairement toucher Ahri en ce moment, elle était contre lui en train de humer son odeur en frottant son nez contre son torse. Que voulait-elle dire par la ? Y avait il un message caché ?

-Ton chemin a été semé d’obstacle ! J’espère qu’elles vont bien malgré leur capture … J’ai aussi du fuir quelque fois des humains au comportement étrange. Ils peuvent être cruel parfois. Mais … est-ce que tu as réussi à tenir ta promesse ? Tu es heureuse aujourd’hui ?

Il la regarde alors dans les yeux comme elle venait de lever la tête et elle lui ressemblait vraiment physiquement … Même couleur de cheveux, même couleur de yeux. C’était étrange dans un sens. Elle semblait bien réagir à sa caresse entre ses oreilles alors il continuait. Bien entendu, ce n’était pas sans effet d’avoir une Kitsune comme elle contre lui. Sa verge se dressait un peu, venant parfois effleurer la peau du corps de Ahri sous l’eau. Surtout qu’elle venait le lecher au bas du visage. Il en rougit et en frissonnait à la fois jusqu’au bout de ses queues.

-O … Oui … Pourquoi ne pourrais tu pas rester ? … La forêt n’est pas à moi …

AHRI : « eh bien en général j’écoute toujours mon instinct et en ce moment il me dicte de te faire confiance et de toute façon je peux sentir aussi à ton odeur tu n’as pas du tout la même de tous les autres hommes que j’ai pu croiser et qui m’ont toujours effrayés…»

Elle continue de bien rougir, mais elle était très bien contre lui. Elle se sentait calme dans une bulle qui ne pouvait pas éclater. Comme ça. Les caresses avec les queues c’était tellement plaisant et ça lui rappelle le vague souvenir d’enfance et depuis qu’elle a fui elle n’avait plus jamais eu ce genre de contacts Avec qui que ce soit, et c’est pour cela qu’elle était tout de même, étonnée de venir se coller contre lui avec une telle facilité. Si il y avait un sens caché à tout cela elle n’en avait pas vraiment conscience.

Ahri le dans les yeux, il vient lever sa main pour caresser ses cheveux et juge également qu’il se ressemble vraiment beaucoup. Elle aimait le toucher qu’elle était en train de faire église doucement ses doigts entre ses mèches avant de venir la reposer sur son torse contre lequel ses gros seins étaient bien écrasés la sensation était tellement douce malgré une chaleur qui monte légèrement en ai se demandant pourquoi alors qu’ils étaient dans l’eau même s’il faisait bon dehors elle avait anormalement chaud mais fais bien attention à garder cette sensation pour elle ne voulant pas paraître pour quelqu’un de bizarre

AHRI : « tu veux bien m’apprendre à survivre ici ça me rappelle une certaine nostalgie mine de rien et peut-être qu’on pourra créer notre propre communauté. Si un jour d’autres tombe sur nous par hasard comme moi, je l’ai fait ? Je ne veux plus me mélanger aux humains. Je suis heureuse d’être libre, quasiment une bonne partie de ma vie. Je me suis senti seule très seule…»

Était au bord des larmes, et elle vient essuyer son œil avec le revers de sa main, en gardant ses lèvres pulpeuses, légèrement entrouvertes

-Je pensais pas que mon odeur pourrait plaire à une femelle comme toi. Dans mon village on m’évitait beaucoup parce que je passais mon temps à m’intéressé à ce qu’il y avait au-delà … Alors je pensais que je faisais peur.

Après tout, le village d’où il vient est très fermé puisqu’on ne peut pas revenir dedans. On nait dedans et on y reste. Ceux qui part comme lui ne peuvent plus revenir à cause d’une grande magie qui protège le village depuis des centaines d’années. C’est pour cette raison que les écrit dans la bibliothèque de ce village n’est plus à jour. La méchanceté des humains était cependant correctement écrite, cela n’avait pas évoluer mais le reste n’avait plus rien à voir … même la nourriture était différente.

Ils semblaient de plus en plus proche dans cette eau. Sa poitrine s’écrasait bien contre son torse et c’était plaisir à sentir. La verge d’Ahro réagissait un peu, elle se dressait sans être aussi dure et dressé lorsqu’elle est en forme. Mais elle était assez réactive pour se retrouver entre les cuisses de Ahri, laissant le courant de l’eau faire en sorte que sa verge lui touche parfois les cuisses, et d’autre fois toucher son entre jambe … Il était légèrement roue des joues en sentant cette sensation sur sa verge … ne voulant pas paraitre déplacé.

-Je veux bien t’apprendre … Je suis pas non plus un expert mais à deux ce sera peut-être plus simple. Je pense que … nous devrions malgré tout rester peu nombreux. Si notre nombre grossi trop c’est plus difficile de se déplacer sans attirer l’attention. Ou alors … faut vraiment trouver un lieu ou les humains de viennent jamais.

Il la regardait alors, elle semblait avoir des larmes aux yeux. Il lui remit alors une meche de cheveux en place avant d’observer ses lèvres mi ouverte … Elle déageait quelque chose d’hypnotisant en ce moment même…

-Pourquoi ... Pourquoi tu veux rester avec moi? Y a ... d'autres raisons?

Ahri c’est très sensible à ce genre d’affection qui lui manque tellement depuis que les deux femelles avaient été capturée lorsqu’elle était petite. Lorsqu’il donne son avis concernant une future communauté, il n’avait pas tort. Dans le fond. Elle voulait pas monter quelque chose de très grand, ni même faire une révolution. Elle voulait simplement vivre une vie tranquille pour le moment mais elle ne voulait pas la faire seule et trouver ce renard au milieu des bois loin de tout était peut-être un signe du destin jusqu’à ce qui lui pose la question petit, sachant que de temps en temps elle pouvait sentir la virilité se frotter contre elle, elle savait très bien ce que c’était et à quoi ça servait et surtout où est-ce que ça se mettait elle essaye de reprendre des couleurs normales mais c’était difficile avec cette proximité et la chaleur qui grimpe en elle

AHRI : « je… Je veux rester avec toi, car tu es aussi comme moi un renard, tu es tout seul et moi aussi… je ne sais pas pour quelle raison, mais tout mon être me crie de rester auprès de toi… j’ai… Je commence à avoir chaud,…»

Elle essaye de se retenir de laisser des larmes coulaient, encore une fois, elle ne voulait pas passer pour une pleurnicheuse mais elle avait un tour de sensations et de ressenti qui vient inonder tout son être, mais sachant pas comment calmer tout cela. Elle n’arrive pas à se décoller du contact avec le renard. Tellement qu’elle se sentait bien dans ses bras. Il était tellement doux et attentionné à son égard. Elle qui normalement ne se laisse jamais toucher son instinct l’avait sûrement conduit vers la bonne personne ?

Ahri frotter son visage contre son torse, en laissant quelques petits couinement s’échapper de ses lèvres, alors que ses oreilles remue un peu plus vite, et l’une de ses que s’agite aussi alors que les autres continuent de rester entre mêlées avec celles du renard dans une danse bien plus douce et langoureuse. Elle commence à lui lécher le torse en essayant de calmer la tempête qui commence à gronder au fond d’elle. Elle ne savait pas comment extérioriser tout ça. C’était encore nouveau pour elle. Enfin, en partie, elle avait déjà ressenti cela, mais elle avait réussi à trouver un apaisement, lorsqu’elle se caresse l’intimité, mais là il n’était pas question de lui montrer ce genre de choses, c’était bien trop embarrassant

Rester avec un congénère pouvait être rassurant, il comprenait parfaitement ce qu’elle pouvait ressentir en ce moment même. Mais il était loin de se douter de ce qui se passait réellement ! Il hochait alors la tête positivement pour approuver ce qu’elle disait. Mais elle avait chaud ? Pourtant l’eau était fraiche et elle n’allait pas se réchauffer comme ça. Le problème venait donc d’ailleurs. Il rougit un peu, se posant des questions. N’ayant pas beaucoup échanger avec des femelles Kitsune, il n’avait pas la réponse.

-Tout ton être ? … Et bien rassure toi tu peux rester ! Je comprends que tu aies besoin de cette compagnie … Ca me manquait aussi assez souvent ! Par contre si tu as chaud … Ne devrions-nous pas nous décoller ? Ou bien …

Il eut alors une idée, car malgré tout, elle restait contre lui alors qu’elle avait chaud. Il prit donc un peu d’eau dans sa main et la laissait couler le long de son dos, le lui caressant en faisant en sorte que la fraicheur de l’eau s’éparpillait sur sa peau … puis il recommençait, imaginant que ca pourrait lui faire du bien ?

Il bougeait un peu durant ces gestes, ce qui faisait bouger la longue de sa verge contre ses lèvres intime de temps en temps, de manière de plus en plus régulière puisqu’en lui caressant le dos, il l’attirait un peu plus contre lui pour sentir cette poitrine s’écraser. D’autant plus qu’elle n’aidait pas avec ce qu’elle faisait lorsqu’elle venait lui lécher le torse. Il en frissonnait et il en caressait plus délicatement les queues de la Kitsune qui s’entremêlaient au siennes. Ca l’excitait aussi, laissant donc sa verge durcir et venir se coller de manière constante à son intimité … Il en rougissait …

-Tu … Tu es en train de … me chauffer ?