Rachel restait une amante formidable, très endurante, énergique à loisir. La baiser était un véritable bonheur pour Sarah, qui revenait sans cesse la prendre, qui ne pouvait s’empêcher d’être accroc à son corps. Déployant autour d’elle une armée de tentacules, Sarah passait aux choses sérieuses. Ceux-ci jaillissaient de son dos, l’entourant, comme une série de pattes gluantes et violettes, qui se déployèrent ensuite, s’attaquant au corps de Rachel. Celle-ci crut bon d’en écarter un de sa bouche, pour une ultime provocation... Ce qui donna lieu à une grosse gifle sur son cul moulant.
« Ne sois pas impertinente, vilaine fille ! Laisse... Laisse ta Reine te baiser bien comme il faut ! »
Rachel était une amante redoutable, une pondeuse exceptionnelle. Grâce à ses gènes très particulières, Sarah pouvait volontiers la déployer au cœur de l’État tekhan, où elle s’amusait à rencontrer des femmes en soirée, à les séduire, à les droguer, puis à les violer sauvagement, faisant d’elles de futures pondeuses. Rachel ne se refusait rien, aucune séance de sexe, et, plus que tout, elle adorait corrompre des personnes, pour les présenter ensuite à sa Reine. Elle lui offrait toujours les vierges, se contentant juste de les préparer avant, quitte à les séquestrer pendant des semaines. Que ce soit sur Tekhos ou à Seikusu, sur Terre, Rachel était terriblement douée dans ce domaine, et Sarah adorait qu’elle lui ramène de nouvelles esclaves, de nouvelles pondeuses. Dans ce domaine, Rachel était très douée, mais elle avait toujours jeté un œil en particulier sur Mileena... Mileena, qui avait maintenant bien grandi. Pour la former, Rachel avait été jusqu’à Edoras, désirant y envoyer Mileena, afin que celle-ci rapporte de nouvelles proies dans ce petit pays encore épargné de la menace formienne.
Toujours est-il que Sarah comptait bel et bien la former, encore, et ses tentacules phalliques se déployèrent. Une dizaine de tentacules bondirent donc sur le corps de Rachel, s’enfonçant dans sa bouche, dans son cul, palpant ses seins, se frottant sur son corps, sur ses jambes, ses orteils, ses mains... Rien ne lui était épargné, et, pour Sarah, chaque tentacule déclenchait en elle un bonheur exquis, inouï. Elle frémissait sur place, expérimentant un bonheur surnaturel, découvrant des sensations qui auraient fait perdre la raison à n’importe quelle humaine normalement constituée.
« Rachel, aaaah Rachel... ! »
Sarah frémit encore, et continua à pincer les fesses de Rachel. Elle la fouettait au dos avec plusieurs tentacules, ou régulièrement sur e cul, savourant les crissements de la combinaison de la femme, qui compensaient à merveille l’absence de hurlements. Sa bouche était violemment prise, et le tentacule s’enfonçait de plus en plus profondément en elle, jusqu’à heurter sa gorge, et continua encore à descendre, exploitant au mieux les capacités formiennes de Rachel pour se perdre dans sa trachée, descendant encore, diffusant en Rachel des phéromones, un plaisir exquis, qui avait de quoi la rendre folle, tandis que, inlassablement, Sarah continuait à la battre, à psalmodier son nom, et à l’injurier copieusement.
« Hmmmm... Foutue salope, haaaa... Sale pute, haaaa... !! Sale ch-Chienne... !! »
Régulièrement, ses tentacules éjaculaient sur le corps de Rachel, ou en elle, provoquant chez Sarah de véritables décharges de plaisir. Un plaisir infini, qui se répercutait à l’envi, tandis que les minutes défilaient, encore et encore... Finalement, ce ne fut qu’au bout d’une heure que Sarah se mit à jouir enfin dans le corps de Rachel. Tous ses tentacules se relâchèrent alors, tandis qu’elle avait très longuement baisé Rachel. Sa queue, bien grosse, coulissait puissamment dans le corps de la Formienne, s’y enfonçant bien profondément, avant de se reculer, et de repartir en avant, arrachant à la femme de nouveaux soupirs.
La décharge finale fut un redoutable orgasme, un festival de foutre qui alla s’abattre sur le corps de Rachel. Son ventre se mit à gonfler sur place devant tout ce foutre qui la remplit amoureusement, tout comme son corps, qui se retrouva transformé en un zèbre blanc, du sperme partout. Sarah eut ainsi une dizaine d’orgasmes simultanément, l’amenant dans des stratosphères indescriptibles de plaisir, la laissant ensuite pantoise, tandis qu’elle se calmait progressivement, retrouvant son contrôle sur elle-même.
« Oh Rachel, ma douce et belle Rachel... Ma délicieuse salope blanche, hmmm... »