Théâtrale, Lilas l’accueille. Elle affiche une confiance en elle presque désarçonnante. Même en position de force, face à un professeur, bien des élèves se seraient ravisés, ou auraient flanché : pas la petite blonde, qui s’adresse à lui sans frémir. Une lueur d’espoir s’allume l’espace d’un instant. Si Lilas souhaite qu’il la défonce en échange de la vidéo, il n’y voit pas vraiment d'inconvénient ; il en sortirait même plutôt gagnant ! Voyant déjà ces jolies petites lèvres roses autour de sa grosse bite, il fait un pas en avant, esquissant un sourire charmeur, mais la suite du monologue de l'adolescente l’arrête dans son élan, et il fronce les sourcils. Presque vexé, il entreprend de se justifier.
“Mes partenaires ne sont en rien obligées de coucher avec moi. Lorsqu’elles viennent me trouver, elles savent exactement à quoi s’attendre et…” Il la défie du regard, légèrement amusé. “Je crois que toi aussi.” Nouveau regard sur les formes de la jeune femme : très menue, mais pour avoir observé son petit cul en la croisant, il sait que celui-ci est bien rebondi et plutôt musclé : cela lui suffit amplement. A l’ordre qu’elle lui donne, il fronce les sourcils, mais s’exécute, en s’approchant d’un pas chaloupé, pour s’asseoir sur le bois mat du bureau, et enfin s’y allonger, dubitatif, sur un nouveau geste de la lycéenne.
“Me faire du mal ?” L’assertion est si saugrenue que Jack ne peut retenir un rire bref. “Tu m’en vois rassuré, il faut avouer que tu es plutôt intimidante.” Nouveau sourire, sarcastique, cette fois-ci.
De toute évidence, la blondinette souhaite l’utiliser comme sex-toy, et en réalité… Il n’a pas vraiment d’objection. Il trouve la situation cocasse et même excitante. Pour preuve, son jean se déforme progressivement au niveau de son entrejambe alors que le sang afflue de nouveau vers son chibre. Il doit serrer les poings pour ne pas attraper la jolie petite gueule de Lilas et l’écraser sur sa queue. Docilement, il soulève sa tête lorsqu’elle choisit de lui bander les yeux avec son pull en laine. Plongé dans le noir, il hausse les sourcils, lorsque Lilas glisse un doigt visqueux sur ses lèvres. S’attendant à lécher de la cyprine, Jack n’est pas certain de comprendre ce qui en train de se passer lorsqu’il reconnaît le goût salé et un peu âpre du foutre, un foutre qui n’est pas le sien.
“Qu’est-ce que…Attends.”
Il se redresse légèrement. Soudain, c’est l’illumination. Les hanches étroites, l’absence de poitrine. Lilas n’est pas tout à fait une fille. Son cœur s’emballe soudainement. Il avait prévu de laisser une jolie fille jouer avec sa grosse queue, pas de donner son cul à un homme, même si celui-ci est particulièrement charmant. Jack a déjà couché avec des garçons, d’un profil similaire à celui de Lilas; c’est davantage le fait d’être pris au dépourvu qui le désarçonne. Toutefois, lorsque Lilas lui présente de nouveau ses doigts, il les suce par réflexe, avant de soulever son fessier pour permettre à son amant de retirer son pantalon, ainsi que son boxer. Lorsqu’il est libéré, son chibre veineux jaillit d’entre ses cuisses pour s’écraser contre sa chemise avec un bruit mat. Le sexe boursouflé est encore sale, couvert des sécrétions de sa précédente amante. Il sent le souffle de son amant avant sa langue, frissonne d'impatience, gémit lorsqu’il lèche enfin son chibre.
“Hmmm.”
Puppy le petit chiot ? C’est parfaitement ridicule. Jack refuse d’accepter une telle mascarade. “Certainement p..”. Mais Lilas choisit ce moment pour gober goulument l’une de ses couilles, et Jack se cambre sur le bureau, les yeux mi- clos. putain, le gamin sait y faire, malaxe et bave sur ses bourses sales comme la dernière des catins. Jack lui, en profite pour réfléchir à ses options. Il faudra qu’il pirate le téléphone et l’ordinateur de l’élève, et ce le plus rapidement possible. En attendant, la meilleure solution reste encore d'obéir et, la tête sous le pull de Lilas - d’ailleurs s’appelle-elle seulement Lilas ? Il hoche silencieusement la tête, grimace lorsque l’élastique garrotte son sexe, comprimant sa hampe enflée, sursaute carrément - davantage de surprise que de douleur au coup sec de la règle sur son postérieur.
“Ouais ouais”, grommelle-il, un brin agacé.
Être dans la position du soumis n’est pas vraiment quelque chose auquel il est accoutumé. Pour autant, son chibre ne saurait mentir ; rigide et palpitant, son méat suinte de foutre tiède sur sa chemise encore boutonnée. “Hmmm…” Un long soupir lui échappe, lorsqu’un crachat s’écrase sur sa corolle, et Jack remonte instinctivement les jambes pour les écarter davantage, exposant son anus aux caresses de Lilas. La pulpe de son index glisse sur le renflement de son trou, et bien malgré lui, Jack remue lentement le bassin, comme pour inciter le jeune homme à s’enhardir. Enfin, son doigt fuselé s’introduit dans son trou, et Jack hoquète de plaisir, ses parois si dilatant lentement autour de l’intru, avec une facilité plutôt… Suspecte : un observateur aguerri se rendrait compte que Jack n’en est pas à son coup d’essai. Avec nonchalance, et sans que Lilas ne le lui ait ordonné, il déboutonne soigneusement sa chemise, pour découvrir son torse musculeux.
"Branle-moi, au moins", grogne-il, incapable de dissimuler son agacement et son impatience.