Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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L'esclave du Joyau [PV Alice]

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Sakura Korvander

E.S.P.er

Re : L'esclave du Joyau [PV Alice]

Réponse 30 samedi 14 janvier 2012, 23:50:00

Je suis prise d'un véritable fou rire, là, sur les draps, trempée de mouille de la tête au pieds, à me tortiller dans tout les sens, pendant que la princesse pouffe elle aussi. Faut dire que comme expérience, c'est vraiment fun. Dans ces moment là, je me fait littéralement expédier au septième ciel, car se faire inonder de cyprine de cette manière, c'est extrêmement jouissif. Finalement, Alice fini par se pencher sur son lit pour caresser mon petit corps humide avec son doigt.

- Et bien, tu es vraiment plein de surprises, ma belle… Si tu savais à quel point je suis heureuse de t’avoir pris avec moi…

- Vu que je suis moi-même heureuse d'être ici, je n'en doute pas un seul instant...

- Je crois que tu as trouvé un endroit où te réchauffer, en tout cas…
, ajouta t-elle en s'asseyant sur le lit. Mais regarde donc dans quel état tu t’es mise ! Tu es toute collante ! Il va falloir trouver un moyen de te nettoyer un peu…

- Tu pourras me nettoyer avec ta langue plus tard... Je dois encore te faire découvrir une dernière chose, avant de changer de forme... Allonge toi...


Pour commencer doucement, bien qu'il est devenu inutile de faire les préliminaires, je me posa à califourchon sur un de ses tétons dur, pour le faire pénétrer en moi, après avoir bien écartée les cuisses. Je commença mes mouvements, montant et descendant sur ce bout de chair mammaire très sensible aux caresses. Ajouté à cella mon plaisir décuplé par mes métamorphoses et du fait que je sois plus sensible sous ma forme féérique, je fus rapidement en extase, et me retourna pour présenter mon petit fessier à Alice, écartant mes fesses pour dévoiler mon anus.

- Maî... tresse... P-pénétrée... haaaaaaaaaan... moi... avec v-votre pe... petit doigt....

Me faire prendre par le téton d'Alice était si bon... Son auriculaire enfoncé dans mon fondement, j'allais rapidement devenir folle de désir...

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : L'esclave du Joyau [PV Alice]

Réponse 31 dimanche 15 janvier 2012, 00:18:35

Sakura n’en avait visiblement pas fini, et Alice esquissa un délicat sourire.

« Tu pourras me nettoyer avec ta langue plus tard... Je dois encore te faire découvrir une dernière chose, avant de changer de forme... Allonge toi... »

Intriguée, la Princesse obéit, s’allongeant le long de son grand lit, et la petite fée se mit à voleter dans les airs, allant se poser sur l’un des seins de la Princesse, qui sursauta, se demandant ce qu’elle comptait faire. L’inventivité de cette femme semblait sans limite, et elle écarta ses cuisses, utilisant son téton pour l’enfoncer dans son sexe. Alice en frissonna, sentant la mouille de la jeune femme commencer à délicatement couler sur le bout de son sein. Elle n’était pas particulièrement excitée, mais très heureuse, avant tout. Son esprit flottait dans une folle béatitude, à l’idée de voir a protégée si heureuse, et si enjouée. C’était un bonheur aussi important pour elle que les plaisirs physiques que Sakura lui prodiguait.

Sakura semblait très excitée par ce qu’elle faisait, et Alice, en s’appuyant sur ses coudes, la contemplait. Le sein qu’elle avait utilisé se mettait à remuer d’avant en arrière, très légèrement, sous les impulsions de la petite fée. Alice serait bien restée là des heures, à voir sa fée, mais cette dernière décida de forcer la Princesse à agir. Elle se retourna, lui exposant ses fesses, les écartant avec ses mains pour lui présenter son anus. Sous les mouvements de son corps, la cyprine qui tâchait sa peau commençait à s’égoutter, et elle supplia, entre plusieurs gémissements, sa Princesse de titiller son fessier, en se servant, naturellement, du petit doigt.

*Elle est vraiment trop mignonne…*

Ne pouvant refuser une telle demande, Alice entreprit de se redresser un peu, et approcha ses deux mains. Elle posa le pouce de son autre main sur la tête de Sakura, s’en servant comme d’un appui, et approcha son petit doigt de sa profondeur. Ses mains tremblaient délicatement, et elle frotta avec l’ongle les fesses de la fée, avant de pouvoir, en se tortillant, glisser son doigt dans son anus. Elle ne put en glisser que le bout, et sentit les fesses de la fée se refermer sur son extrémité.

« Hum… Ça me chatouille… » pouffa-t-elle à moitié.

Reprenant son sérieux, la Princesse remua son petit doigt de gauche à droite, plaçant son autre main sur le lit, et regarda sa fée se dandiner autour de son sein.

« Là, ma belle, détends-toi, et profite de mon corps… »

La Princesse continua ainsi, souriant, très amusée par ce qu’elle voyait. Ce n’était pas tous les jours qu’une fée avait l’occasion de s’amuser sur un bout de sein, sur son bout de sein.

« Allez, ma belle, régale mes oreilles de tes cris de plaisir, c’est ce que ta Princesse demande… »

Sakura Korvander

E.S.P.er

Re : L'esclave du Joyau [PV Alice]

Réponse 32 dimanche 15 janvier 2012, 01:02:16

Elle fini par entrer son doigt, avec quelques difficultés, dans mon arrière train. J'avais la sensation grisante d'être écartelée, ce qui me procura aussitôt un immense plaisir. Et lorsqu'elle débuta ses mouvements, j'eu plusieurs spasmes, montrant à quel point j'aimais cette vague plaisir.

- Allez, ma belle, régale mes oreilles de tes cris de plaisir, c’est ce que ta Princesse demande…

Il ne fallait pas me le demander deux fois. A peine quelques secondes plus tard, mes gémissements s'étaient transformés en cris dévergondés, que l'on trouve rarement dans la bouches d'une fée.

- Haaa... Oui... Mmmm... Siii boooon... Haaaaaa.... Encore... ENCORREEE.... HAAAAA OUUUUUUIIIIIII....

J'étais littéralement déchainée sur la poitrine d'Alice alors que ses mouvements se faisaient si rapides, me pilonnaient totalement le cul. Même si ma voix était à peine audible, mon excitation était plus qu'évidente. Plus le temps passais, plus je devenais une véritable bête de sexe assoiffée de désir. Et avec l'aphrodisiaque inoculé en elle, la princesse n'allait pas tarder à entrer dans un état similaire...

- DEFONCE MOI LE CUUUUL.........HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!!!!

Je me suis cambrée avant d'expédier ma liqueur sur la poitrine de ma Maîtresse. A cause de ma forme de fée, son sein a à présent l'odeur et le goût de la menthe fraîche. Mais à peine ai-je jouis que je me dirige droit sur le clitoris, que je pénètre profondément dans ma chatte en chaleur. Si elle est restée à peu près lucide jusqu'à maintenant, elle va vite perdre la tête en se faisant ainsi chevauchée. Après tout, même Sya qui est une prêtresse confirmée de la luxure, n'a absolument pas résistée à ceci.

Ecartant de nouveau mes fesses, je l'invite à explorer de nouveau mon fondement, tandis que je bouge assez sauvagement sur son bouton en pleine érection.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : L'esclave du Joyau [PV Alice]

Réponse 33 dimanche 15 janvier 2012, 10:56:49

Infatigable, Sakura ne tarda pas à jouir sur le téton de sa Princesse, qui remuait son doigt avec de plus en plus de plaisir, galvanisée par les hurlements que sa petite protégée se mit à pousser. Elle était effectivement terriblement excitée par ce qu’elle vivait. De tels hurlements résonnaient droit dans le cœur d’Alice, filant dans ses entrailles, et Sakura ne tarda pas à jouir. Même si elle était petite, la cyprine se mit à couler le long du sein d’Alice, qui, machinalement, en recueillit avec son ongle, raclant sa peau, la suçotant. Comme elle s’y attendait vaguement, le nectar de Sakura, sous sa forme de fée, avait un goût assez particulier, original. Elle lui rappelait une espèce de menthe, mais Alice n’eut pas le temps de se pencher sur la question.

Loin de sembler calmée, Sakura se mit à voleter près de l’intimité d’Alice, qui se demanda si elle ne comptait pas à nouveau se faufiler à l’intérieur. L’idée ne l’aurait pas déplu, mais la fée avait visiblement une autre idée bien particulière en tête, et se posa sur le clitoris d’Alice.

« Tu…, commença-t-elle. Huuuuuuuuuuu !!! »

Elle ne parvint pas à achever sa phrase, sentant une vague de plaisir exploser en elle, réveillant toutes ses pulsions. En se focalisant uniquement sur son clitoris, sur ce bouton de plaisir, cette espèce de terrifiant interrupteur, Sakura avait envoyé dans le corps de la Princesse d’intenses ondes de plaisirs. Le résultat ne se fit naturellement pas attendre ; la Princesse s’électrisa, et mit un peu de temps avant de satisfaire la requête de sa fée, le temps de se contrôler. Il fallait bien reconnaître qu’elle ne s’était pas attendue à une telle explosion.

« Tu, tu, hmmmm… Ohhhh, tu me rendras folle, toi !! »

Elle poussa un nouveau cri, et reporta son attention sur Sakura, qui s’était plus ou moins ‘‘assise’’ sur son clitoris, en lui offrant son petit postérieur, ce délicieux popotin. Alice comprit que la jeune fée désirait à nouveau qu’on aille farfouiller son derrière, et elle entreprit de se calmer, de se concentrer suffisamment pour pouvoir la satisfaire. Son petit doigt retourna se faufiler dans son anus, et elle utilisa son pouce pour le glisser sur le ventre de la fée, caressant ses seins, frottant sa belle poitrine, qui, même si elle était, du coup, petite, se démarquait quand même. Le long de son doigt, la Princesse sentait en effet deux petites pointes de chair caresser sa peau.

« Haaaaaannnn !! Oh, ma belle, oh oui, oui, ton petit cul, je vais… Je vais le… Je vais l’EXPLOSER ! »

Vibrant et puissant, le désir explosa en elle, et elle remua plus rapidement ses doigts, peinant à se contrôler, tant elle se mit à mouiller. La fée concentrait tous ses efforts sur ce bouton de plaisir, et la Princesse n’en pouvait plus. Elle continua à rugir, et, sous ce traitement, jouir ne fut qu’une formalité. Elle cracha sa cyprine, et la répandit si violemment que la fée fut comme happée par le torrent de mouille de sa Princesse, et glissa sur son bassin, tombant entre ses jambes.

« Hummmmmmm… » soupira longuement Alice.

Elle resta ainsi pendant plusieurs secondes, soupirant longuement, toute excitée. Sakura avait atterri entre ses jambes, et Alice s’amusa à rapprocher ses cuisses, afin de frotter sa peau humide contre le corps de la fée, veillant à ne pas l’étouffer, la regardant avec un sourire épanoui sur les lèvres.

« Ma petite fée… glissa-t-elle. Je t’adore tellement… »

Sakura Korvander

E.S.P.er

Re : L'esclave du Joyau [PV Alice]

Réponse 34 lundi 16 janvier 2012, 12:30:54

Ce devait sans doute être la première fois que ma princesse devait ressentir de telles vagues de plaisir, vu qu'elle avait vraiment d'énorme difficultés pour se concentrer, mais dès que j'eu de nouveau son doigt dans l'anus, ce fus une véritable explosion de sensations.

- Tu, tu, hmmmm… Ohhhh, tu me rendras folle, toi !!

Entre les cris, les gémissements et les paroles salaces, on aurait dit deux nymphomanes en chaleur. La chambre elle-même sentais la fortification à plein nez et il ne serrait pas difficile aux serviteurs de deviner ce qui c'est passé ici.

- Haaaaaaan... Oui, oui, oui... OUUUUUUIIIIIIIIIIIIIIII !!! HAAAAAAAAAAAAN !!!

- Haaaaaannnn !! Oh, ma belle, oh oui, oui, ton petit cul, je vais… Je vais le… Je vais l’EXPLOSER !

- Oui... VA S'Y !! EXPLOSE MOI LE CUUUUUUUUL !!!


J'était si rapide sur son clito que j'en devenais pratiquement floue. Et son doigt m'irradiait littéralement de plaisir. Nous avons toutes deux jouis en même temps, d'une telle quantité de cyprine que j'ai été entrainée par le flot pour finir entre deux jambes trempées. Sa mouille n'avait heureusement pas finie de s'écoulée comme une fontaine et je finie arrosée, le jet divin éclaboussant mon ventre, un sourire béat aux lèvres. Ses jambes se rapprochèrent de moi pour me comprimer tendrement, prise en étau dans deux cuisses odorantes.

- Ma petite fée… Je t’adore tellement…

- Moi aussi... Je n'ai jamais passé un tel moment de débauche de ma vie... Mais c'est tellement agréable avec toi...


Je suis restée un petit moment entre ses jambes... J'avais besoin d'une petite pause après l'intensité du dernier orgasme, mais je n'allais pas l'admettre. Aussi je pris une forme plus reposante et je me changea en Slime, ma première forme obtenue sur Terra. Je repris donc une taille normale, tout en étant aussi transparente et humide que l'eau, mais plus gélatineuse, entre le solide et le liquide. Sous cette forme, je ne ressent aucun plaisir, mais Alice va continuer ses découvertes charnels tout en appréciant son fantasme. Je commença à m'étendre sur son corps, l'emprisonnant dans le mien telle une bulle d'eau chaude, les bras le long du corps et les jambes repliées contre son bassin. Ainsi, elle ne pourra plus bougée, prisonnière dans mon élément. Trois tentacules d'eau entrèrent dans son vagin, son urètre et son colon, ce dernier remontant dans ses intestin jusqu'à l'estomac. Le tout devint plus caoutchouteux et commença à remuer en elle, comme la partie extérieure qui s'activait sur toute la surface de sa peau, et plus particulièrement sur les zonez érogènes. Seules son nez et sa bouche étaient encore à l'air libre, ce qui lui permettait de respirer et d'hurler son plaisir, d'autant plus que les tentacules d'eau prenaient plus de volume.

- Va s'y Alice... Hurle ton plaisir... Que tout le royaume sache que tu est une véritable chienne... Une chienne en chaleur assoiffée de sexe...

Ne ressentant aucun plaisir, sauf celui au niveau du mental, je décide de lui faire subir ceci deux longues heures, mon aphrodisiaque précédemment inoculé l'aidant grandement à garder le rythme. Elle eu d'inlassables orgasmes et ne semblais pas fatiguer le mois du monde. Mais un peu avant la fin des deux heures, un bruit à la porte me fit arrêter, rétractant tout mes tentacules et libérant son corps à une telle vitesse qu'elle venait sans doute d'atteindre son plus puissant orgasme depuis plusieurs années. J'eu toutefois le temps de redevenir humaine, avant de retourner à sa chatte et prendre son jus en bouche. Si quelqu'un doit rentrer, il ne verra que deux jeunes filles.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : L'esclave du Joyau [PV Alice]

Réponse 35 lundi 16 janvier 2012, 21:42:38

Sakura avait visiblement besoin d’un petit moment pour se remettre, ce qui pouvait aisément se concevoir. La poitrine d’Alice se soulevait au fur et à mesure de ses battements précipités. Elle se sentait aussi épuisée qu’excitée, comprenant que le venin de Sakura continuait à faire effet dans son organisme. La petite fée resta donc entre les jambes d’Alice, jusqu’à se mettre à fondre… Surprise, Alice écarquilla les yeux, sentant de l’eau glisser sous ses jambes, les emprisonnant, avant de remonter. Elle comprit qu’il devait s’agir d’une autre des formes de Sakura, car elle vit un corps humain prendre forme, avec une tête, des seins, et tendit une main… Pour la voir passer à travers. C’était incroyable ! Sakura alla ensuite se mélanger au corps d’Alice, l’enveloppant progressivement dans une espèce de bulle aquatique en suspension. Un spectacle fabuleux et féérique.

« Sakura…, murmura Alice. Tu es vraiment incroyable… »

L’immense bulle d’eau fit alors apparaître des tentacules, concentrant l’eau pour former quelque chose d’a peu près solide, qui alla se faufiler dans plusieurs trous d’Alice. La Princesse en poussa un long cri de plaisir en sentant son vagin être rempli par un tentacule, ainsi que son anus. Un autre se faufila dans son corps, mais ce n’était réellement pas douloureux. De fait, même sentir son postérieur être rempli ne la faisait pas réellement souffrir. L’eau était après tout un liquide, pas un corps solide, mais elle y trouva quand même un fascinant plaisir, qui tenait sa source, tant dans l’espèce de triple pénétration en elle-même, que dans cette sensation. Tout son corps semblait anesthésié, englué dans cette tendre eau, à tel point qu’elle peinait à reconnaître le corps de Sakura.

*Voilà que je fais l’amour avec une flaque d’eau…* résonna une voix dans la tête d’Alice.

L’expérience était réellement insolite, mais non moins délicieuse. L’aphrodisiaque aidant, Alice poussa de longs cris, son plaisir se retrouvant également galvanisé par les phrases salaces que Sakura lui aboyait au visage.

« Vas-y Alice... Hurle ton plaisir... Que tout le royaume sache que tu est une véritable chienne... Une chienne en chaleur assoiffée de sexe... »

Être traitée de « chienne en chaleur » par celle qui était officiellement son esclave avait pour la Princesse quelque chose d’encore plus excitant, et elle se laissa faire sans hésitation, se mettant à jouir, avec cette particularité que sa cyprine n’atteignait pas vraiment le lit, mais se glissait le long de l’eau de Sakura. La Princesse sentait sa protégée tout autour d’elle, mais aussi en elle, à travers cette eau qui se mélangeait à la sienne, se diluant dans son corps. Alice s’abandonna délicieusement dans cette bulle d’eau.

« Hummmmmmmmmm… !! Haaaaaaaaa… »

De ses lèvres, de délicieux cris s’échappaient. Comme elle ne souffrait pas vraiment, ce n’est pas la douleur qu’elle exprimait, mais simplement son plaisir. Les minutes défilèrent sans qu’elle en prenne vraiment conscience, sentant tout son corps être excité. L’aphrodisiaque continuait à bouillonner en elle, l’empêchant de s’effondrer, lui insufflant la force de continuer à remuer dans l’eau, de pousser des cris de plaisir, de se laisser pleinement aller. Elle serait bien restée là pendant des heures et des heures, et, si ce fut plus ou moins ce qui se déroula, le temps passa si vite pour elle qu’elle en prit vaguement conscience. Elle se sentait dans une espèce de transe, les tentacules aquatiques remuant en elle.

La sensation de douceur, ce sentiment de baigner dans une ivresse sensorielle où plus rien ne comptait, prit fin de manière assez brutale, quand on toqua à la porte. Alice se sentit retomber sur son lit trempée, et secoua la tête, réalisant que sa chambre était plongée dans une pénombre assez troublante. La porte s’ouvrit assez rapidement, et Alice vit le regard étonné de l’une de ses servantes, une belle jeune femme avec une longue chevelure noire et un teint sombre, qui écarquilla les yeux de surprise en voyant le spectacle.

Le corps d’Alice dégoulinait d’eau, de mouille, et Sakura se tenait entre ses jambes, suçotant son intimité, tandis que l’une des mains d’Alice caressait les cheveux de Sakura. Un silence gêné s’installa entre la Princesse et la servante, jusqu’à ce qu’un sourire amusé éclaire les lèvres de la jeune femme.

« Je me demandais aussi ce qui faisait un tel boucan… »

Cette phrase fit délicatement rougir Alice, qui baissa les yeux vers Sakura, se mordillant les lèvres, avant de répondre.

« Je…
 -  Je venais vous informer que Sa Majesté Votre Père a commence le dîner. Vous y êtes naturellement conviée, vous et votre… Amie… Mais je conseille de ne pas le faire attendre trop longtemps. Certains dragons ont agi assez bizarrement aujourd’hui, et Sa Majesté Votre Père en est passablement irritée. »

Alice baissa les yeux, se rappelant le dragon doré qui avait tourné autour d’eux. Était-ce lié à Sakura ? Elle répondit assez rapidement.

« O-Oui… répondit-elle sur une voix affaiblie. Laissez-nous le temps de nous préparer, Lõara… »

La servante inclina respectueusement sa tête, et, avant de sortir, alla allumer les quelques bougies ici et là.

« Si les dragons crachent du feu, Princesse, c’est bien parce qu’ils n’aiment pas l’obscurité. N’abîmez pas vos yeux dans la pénombre…
 -  O-oui, je…
 -  Allons, Madame, vous n’êtes plus une petite fille ! poursuivit Lõara, qui semblait très amusé par la situation. Votre amie a du bien s’occuper de vous pour que vous ne pensiez même pas à faire un feu… »

Lõara s’esquiva ensuite, refermant délicatement la porte, et Alice regarda Sakura en lui souriant. Les effets de l’aphrodisiaque commençaient à se tarir. L’eau que Sakura avait glissé dans le corps de la Princesse avait du y contribuer, et la Princesse écarta Sakura de son intimité.

« J’aurais aimé continuer à explorer tes multiples formes, mais il nserait inconvenant de retarder Père. »

Alice se redressa, et aida Sakura à se relever, lui offrant un dernier baiser, et la guida vers une salle adjacente, une petite salle circulaire qui était la garde-robe de la Princesse. Elle se composait de nombreuses robes, sous-vêtements, bottes, chaussures, gants, dispersés en cercles, dans des commodes, sur des étagères, séparés entre eux par des piliers comprenant des miroirs. Tandis que Sakura observait cela, Alice s’était glissée dans son dos, lui embrassant le cou.

« Je vais te laisser choisir comment t’habiller… Inutile de chercher trop compliqué… Tu peux même choisir de ne rien mettre, mais, dans ce cas, il faudra que je t’attache avec une laisse, et que tu marches à quatre pattes… » lui glissa-t-elle dans le creux de l’oreille.

Quelqu’un qui était venu était pour Tywill semblable à un animal, et devait donc traîner hors de la table. Alice, de son côté, devait opter pour des vêtements, mais elle était trempée, et opta donc pour des vêtements très légers. Elle s’empara de bottes en cuir marron, d’une minijupe, d’un soutien-gorge du même acabit. Il était assez épais, et, en se réalisant dans un miroir, elle trouvait qu’elle ressemblait à une véritable Amazone. Elle s’observa en souriant, et regarda Sakura.

« Alors ? Que vas-tu donc mettre, ma chère ? »

Sakura Korvander

E.S.P.er

Re : L'esclave du Joyau [PV Alice]

Réponse 36 mardi 17 janvier 2012, 02:12:59

J'avais bien fait de reprendre forme humaine, car c'est une jeune servante qui est entrée dans la chambre, nous prenant sur le fait. M'enfin, vaut mieux qu'elle voie sa princesse se faire lécher par une esclave sexuelle, plutôt qu'au milieu d'une énorme boule d'eau, non ?

- Je me demandais aussi ce qui faisait un tel boucan…

Son sourire était amusé et la remarque fit rougir Alice, la rendant vraiment trop mignonne.

- Je…

- Je venais vous informer que Sa Majesté Votre Père a commencé le dîner. Vous y êtes naturellement conviée, vous et votre… Amie… Mais je conseille de ne pas le faire attendre trop longtemps. Certains dragons ont agi assez bizarrement aujourd’hui, et Sa Majesté Votre Père en est passablement irritée.

- O-Oui... Laissez-nous le temps de nous préparer, Lõara…

- Si les dragons crachent du feu, Princesse, c’est bien parce qu’ils n’aiment pas l’obscurité
, continua la servante. N’abîmez pas vos yeux dans la pénombre…

- O-oui, je…

- Allons, Madame, vous n’êtes plus une petite fille ! Votre amie a dû bien s’occuper de vous pour que vous ne pensiez même pas à faire un feu…


Je crois que je suis aussi amusée que cette Lõara de voir Alice toute gênée. C'est sur que vu comment nos corps sont bouillants, il aurait été suicidaire de faire un feu. Au contraire, nous avions bien besoin d'air frais à présent. La servante quitta la pièce et la princesse et moi nous sommes mutuellement sourie. Il faut dire que notre soirée a été très intense.

- J’aurais aimé continuer à explorer tes multiples formes, mais il serait inconvenant de retarder Père.

- Pour le peu que j'ai pu voir au marché, je ne peux te contredire...


Nous nous sommes relevées dans un dernier baisé, avant de nous diriger dans une petite pièce circulaire, qui n'était rien de moins que la garde-robe de la princesse. Si de nombreuses filles auraient été jalouses de voir tant de robes et de chaussures, ce n'était nullement mon cas. Sans doute parce que mon seul vêtement était capable de faire bien plus ? C'était certain même. Une agréable étreinte de ma princesse se fit ressentir dans mon cou... Dieu que j'aimais ses lèvres...

- Je vais te laisser choisir comment t’habiller… Inutile de chercher trop compliqué… Tu peux même choisir de ne rien mettre, mais, dans ce cas, il faudra que je t’attache avec une laisse, et que tu marches à quatre pattes…

- Mmm... C'est tentant... Mais seulement entre nous... Et en Neko...


Si je devais m'offrir ainsi, ce serrais uniquement avec elle et personne d'autre... Ou peut être Sya à la rigueur, mais pas plus. De plus, je ne me suis jamais changée en Inu... D'où la proposition de Neko. Mais repensant à mon Artefact, je crus bon de rajouter autre chose. Au passage, j'eu la surprise de voir qu'elle était déjà prête.

- Je pense que je vais retournée dans ma chambre, mettre mon kimono. Tu me dira ce que tu en pense et si je doit mettre autre chose... Ou si je peux me vêtir comme toi...

Je n'en dis pas plus, ce serra la surprise. Je me dépêche donc de traverser le couloir les fesses à l'air pour aller dans ma chambre, enfiler mon vêtement. A peine les manches sont-elles mises que le reste se fit de lui-même en à peine quelques secondes. J'entend par la le Obi, le nœud dans les cheveux, la broche dorée et les Tobi. Oui, mon Artefact gère aussi les chaussures, les chaussettes, les accessoires, les sous-vêtements, etc... en se divisant en plusieurs morceaux. Tout l'intérêt d'un vêtement polymorphe semi-intelligent. C'est donc environs cinq secondes plus tard que je ressors de ma chambre, alors qu'Alice en fait de même. Je peux même lire de la surprise sur son visage d'ange. Quoi de plus normal aussi.

- Plus rapide, tu meure, lui dis-je avec un grand sourire. Qu'en pense-tu ? C'est un vêtement traditionnel du Japon.

Je fis un tour sur moi-même pour lui montrer la tenue sous tout les angles, avant d'ajouter :

- On peut aller diner maintenant. Ne faisons pas attendre ton père plus longtemps.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : L'esclave du Joyau [PV Alice]

Réponse 37 mardi 17 janvier 2012, 14:12:23

« Mmm... C'est tentant... Mais seulement entre nous... Et en Neko... »

Alice esquissa un sourire à cette idée, en croisant les bras. Elle n’ajouta rien, et Sakura se retourna, filant dans le couloir. Elle la laissa partir, observant les mouvements de son postérieur, se convainquant une nouvelle fois qu’elle était tombée sur une femme hors du commun. La Princesse la laissa se rhabiller, et en profita pour masser ses fesses. Elle avait relativement mal ici, et frotta son postérieur en soupirant. Alice sortit, et vit que Sakura avait rapidement enfilé un délicieux kimono. Comment avait-elle fait pour l’enfiler si rapidement ? Alice était relativement surprise, et sa consternation devait se lire sur son visage.

« - Plus rapide, tu meure
 -  En effet, confirma Alice en souriant.
 -  Qu'en pense-tu ? C'est un vêtement traditionnel du Japon. »

Elle le regarda silencieusement, et un petit sourire étira les lèvres de la Princesse. Sakura tourna sur elle-même, lui montrant ce curieux vêtement, qu’elle n’avait jamais vu. Elle pensait vaguement à une espèce de robe, mais c’était assez différent.

« C’est très joli, Sakura… » ne put que dire Alice.

Sa protégée la regarda ensuite, et reprit.

« On peut aller diner maintenant. Ne faisons pas attendre ton père plus longtemps. »

Sur le coup, Alice confirma en hochant la tête, et offrit à Sakura un nouveau baiser, avant de glisser sa main dans la sienne. A les voir comme ça, on ne pouvait pas penser que c’était Sakura qui, officiellement, était l’esclave, et Alice la maîtresse. Mais la Princesse ne se sentait pas d’humeur à porter une robe. Lui tenant la main, elle sortit,.

« C’est tout en bas », expliqua-t-elle à l’intention de Sakura.

Elles rejoignirent la salle de banquet, une sorte de grand hall aux murs en pierre avec des colonnes tout le long. Les tables étaient de grandes tables sur une estrade en bois centrale, et Père se tenait au bout, parlant avec plusieurs hommes. Alice s’avança, allant près de lui, comme l’exigeait la tradition, et offrit juste à sa gauche un siège pour Sakura.

« Bonsoir, ma fille, lança Tywill Korvander en posant sur la table une chope de vin.
 -  Bonsoir, Père », répondit poliment celle-ci.

Tywill ne fit aucun mot sur son retard, et son attention se fixa sur Sakura, détaillant son vêtement. Un sourire étira ses lèvres, avant qu’il ne se rabatte contre son énorme siège.

« Elle est mieux avec quelque chose pour lui couvrir le cul, décréta-t-il. Sylvandell est une région où on se les pèle, les miches à l’air. Mais je m’en fais pas pour sa santé ; à voir vos têtes rougies, tu as du la réchauffer bien comme il faut, Alice.
 -  O-Oui, Père, confirma la Princesse en rougissant poliment.
 -  Si j’avais su que les esclaves te plaisaient autant, je t’aurais offert tout un putain de harem », bougonna-t-il.

Pour l’heure, les expériences sexuelles d’Alice se limitaient effectivement à deux femmes : Cirillia, et Sakura, chacune étant ’‘officiellement’’ ses esclaves. En réalité, c’était bien différent. Ne voulant toutefois pas s’attarder sur ce terrain mouvant, la Princesse parla d’autres choses, enchaînant sur les dragons.

« Savez-vous pourquoi le dragon doré a tourné autour du château ? » demanda-t-elle.

Tywill grogna, donnant rapidement sa propre version.

« Il avait le cul en feu, tout simplement.
 -  Sire, objecta l’un des principaux mestres de Sylvandell, la saison des amours n’est pas encore venue. De plus, un dragon doré ne vient jamais sans raison tourner pendant des heures en rugissant autour du château, et le long de Sylvandell.
 -  Il… Il a rugi ? s’étonna Alice.
 -  T’étais trop occupée à rougir toi-même pour t’en rendre compte, ma beauté, mais ouais, c’foutu dragon a gueulé comme pas possible, avant de finalement se casser. Les mestres y voient un signe mystique quelconque ; moi, j’y vois juste un dragon en rut qu’avait envie de gueuler un coup sa frustration. »

Alice ne répondit pas, baissant la tête, regardant à nouveau Sakura. Elle se demandait si les agissements du dragon doré n’étaient pas liés à elle. N’en déplaise à Père, Alice savait que les dragons dorés n’étaient pas des dragons comme les autres, et que la présence du dragon doré, le même jour où elle acquérait Sakura, ne pouvait être une coïncidence. Sakura était une femme exceptionnelle, avec de grands talents. Il n’en fallait pas plus pour titiller la curiosité de la Princesse, qui acquit alors la conviction de devoir aller au Territoire des Dragons, avec Sakura.

« Cette histoire me préoccupe, déclara-t-elle. Je demande la permission de me rendre au Sanctuaire demain, seule, pour voir avec le Patriarche ce qui se passe. »

Tywill la considéra gravement, et elle essaya de soutenir son regard. Le Patriarche était l’un des surnoms que les Sylvandiens donnaient pour désigner le dragon d’Or, le dragon qui contrôlait tout ce peuple.

« Soit, finit-il par répondre après une certaine période. Mais les esclaves n’y sont pas autorisés, prévint-il en regardant Sakura en biais.
 -  Je ne l’ai pas oublié, Père », l’assura Alice.

*Néanmoins, songeait-elle dans sa tête, je vais devoir faire une entorse sur ce principe…*

Tywill hocha la tête, et retourna discuter avec ses hommes. Se mordillant les lèvres, Alice se retourna vers Sakura, et lui offrit un petit sourire, lui serrant la main. Oui, elle comptait emmener cette femme devant le dragon d’Or. C’était complètement fou, totalement insensé, mais elle savait que c’était là la volonté du Patriarche. Il n’aurait pas envoyé l’un de ses dragons autrement, et elle tenait à en avoir le cœur net.

Ses préoccupations s’évanouirent légèrement quand les serviteurs amenèrent le repas du soir : de la viande grillée, avec d’autres mets.
« Modifié: vendredi 27 juillet 2012, 18:56:32 par Princesse Alice Korvander »

Sakura Korvander

E.S.P.er

Re : L'esclave du Joyau [PV Alice]

Réponse 38 mercredi 18 janvier 2012, 00:19:05

Le compliment de ma princesse m'alla droit au cœur et je sentis comme des papillons voleter dans mon ventre lorsqu'elle posa ses lèvres contre les miennes, avant de prendre ma main pour descendre les étages. La salle du banquet était magnifique et le père d'Alice, autrement dit le roi de ce royaume, ce tenais en bout de table avec ce qui semblait être des conseillés. Nous l'avons rejoint et je me suis assise à gauche de mon amante, sans trop savoir quelle attitude adopter face à lui. Mais j'eu assez rapidement la réponse.

- Bonsoir, ma fille.

- Bonsoir, Père.

- Elle est mieux avec quelque chose pour lui couvrir le cul. Sylvandell est une région où on se les pèle, les miches à l’air. Mais je m’en fais pas pour sa santé ; à voir vos têtes rougies, tu as du la réchauffer bien comme il faut, Alice.

- O-Oui, Père.

- Si j’avais su que les esclaves te plaisaient autant, je t’aurais offert tout un putain de harem.


A l'entendre, il ne ressemble vraiment pas à la noblesse de Nexus... Ses propos m'ont fait autant rougir que ma "Maîtresse". Dans un sens, ça va grandement me changer. Par contre, pas sur que j'aurais réagis de la même manière si ces mots étaient sortis de la bouche d'Alice. Cette dernière préféra d'ailleurs amener la conversation sur un tout autre sujet, qui ne manqua pas de faire grogner son père.

- Savez-vous pourquoi le dragon doré a tourné autour du château ?

- Il avait le cul en feu, tout simplement.

- Sire
, intervint l'un des conseillés, la saison des amours n’est pas encore venue. De plus, un dragon doré ne vient jamais sans raison tourner pendant des heures en rugissant autour du château, et le long de Sylvandell.

- Il… Il a rugi ?

- T’étais trop occupée à rougir toi-même pour t’en rendre compte, ma beauté, mais ouais, c’foutu dragon a gueulé comme pas possible, avant de finalement se casser. Les mestres y voient un signe mystique quelconque ; moi, j’y vois juste un dragon en rut qu’avait envie de gueuler un coup sa frustration.


Elle baissa les yeux avant de me regarder. Moi-même je lui rendis son regard, intriguée. Je ne connais pas grand-chose aux dragons, si ce n'est que se sont les créatures les plus puissantes de Terra avant les dieux. De nombreux chasseurs sont partit en quête d'un dragon pour en faire un trophée, mais rares sont ceux qui n'y ont pas laissé la vie. Mais apparemment, qu'un dragon traine autant près du château ne semblais guère normal.

- Cette histoire me préoccupe. Je demande la permission de me rendre au Sanctuaire demain, seule, pour voir avec le Patriarche ce qui se passe.

Durant un moment, le père et la fille se regardèrent dans les yeux, sans broncher. J'imaginais le "Patriarche" comme une sorte de gardien, vu qu'il s'agissait d'un sanctuaire. Cela m'intriguais vraiment et j'aurais aimée en savoir plus. Mais la situation ne semblait pas être idéale pour ce genre de demande.

- Soit. Mais les esclaves n’y sont pas autorisés.

- Je ne l’ai pas oublié, Père.


Il semblait satisfait et retourna discuter avec ses hommes. De ce fait, il ne vit pas Alice se mordre la lèvre, avant de se tourner vers moi avec un léger sourire tout en me pressant un peu la main. Même si je commençais seulement à la connaitre, ces différents petits gestes me rappelèrent un peu Ayano, lorsqu'elle s'apprêtait à faire un coup en douce. De ce que je compris, elle voulait quand même m'emmener dans ce lieu qui m'était interdit. Je lui rendis son sourire, bien que légèrement crispé, en jetant un œil vers son père. Je n'osais pas imaginer ce qui pourrait arriver si il l'apprenais.

Après un succulent repas constitué de viande grillée, de légumes et de fruits, nous étions toutes deux revenue dans sa chambre. Dehors, la nuit était tombée depuis bien longtemps et on commençait à ressentir le froid, malgré les feux allumés. Mais je sais que notre nuit serra bien longue et chaude. Mais je voulais savoir une chose avant d'en revenir là...

- Est-ce que... tu pourrais m'en dire plus sur les dragons ? Quand j'étais encore sur Terre, je menais des études pour devenir historienne... L'histoire et les mythes, ça me passionne...

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : L'esclave du Joyau [PV Alice]

Réponse 39 mercredi 18 janvier 2012, 19:09:03

Le repas fut, comme toujours, délicieux, et Alice le mangea de bon train. Le sport de chambre, ça donnait faim, tout de même ! Elle mangea avec appétit la viande, tandis que son Père discutait avec ses conseillers et quelques autres Commandeurs de chose et d’autre. Le Roi se contenta de signaler l’appétit habituel de sa fille avec ses habituelles piques en la regardant enfourner des tranches d’un rôti saignant couvert de sauce.

« R’gardez-là, pas plus épaisse qu’une brindille, mais elle bouffe comme cinq vaches. J’y vois une sorte de prodige divin, ou de malédiction démoniaque, au choix. »

Alice se contenta de froncer les sourcils, continuant à manger. On pouvait critiquer bien des choses dans le Château royal de Sylvandell : l’absence de ménestrels, l’absence de conteurs, les vents glaciaux, cette allure austère, mais on avait au moins le luxe de bien manger, et de bien dormir, deux éléments indispensables pour une nation guerrière. A chaque repas, Alice évitait de regarder le bouffon de Père, le terrifiant Omini, sur qui elle avait fait des cauchemars quand elle était petite. Petit et rabougri, le nain était un bossu difforme, à l’humour douteux, et qui se tenait, avec une chaîne en acier autour du cou, à côté du trône royal, mangeant entre ses doigts griffus une aile de poulet, englobant même la peau, mangeant à même le sol, portant pour seul vêtement un pagne. Personne ne savait pourquoi Père s’était entiché d’une telle horreur, ni comment il avait fait pour le récupérer, et elle décida de ne pas trop penser au Bouffon royal, qui lui coupait l’appétit.

Le repas dura un petit moment, mais pas de manière excessive non plus. Lorsqu’il fut terminé, Alice retourna avec Sakura dans leurs quartiers. La nuit s’était abattue sur Sylvandell, et des servantes avaient profité du repas pour allumer les bougies et faire brûler différents feux de cheminée dans ses quartiers, afin qu’ils soient chauds. Même après avoir fait l’amour pendant des heures avec Sakura, Alice restait toujours frileuse, et, la nuit, Sylvandell encaissait des chutes de température assez terrifiantes à cette hauteur.

Alice avait reconduit Sakura dans sa propre chambre. Les draps avaient été changés, et Alice s’approcha de la fenêtre, tirant les rideaux, quand Sakura lui posa une question.

« Est-ce que... tu pourrais m'en dire plus sur les dragons ? Quand j'étais encore sur Terre, je menais des études pour devenir historienne... L'histoire et les mythes, ça me passionne... »

Intriguée, Alice se retourna vers elle, et alla s’asseoir sur le rebord du lit. La curiosité de son amante était chose naturelle, à Sylvandell, où les dragons étaient sacrés. Alice ne savait toutefois pas vraiment par où commencer, et réfléchit plusieurs secondes, avant de répondre.

« Les dragons ? Très bien…, acquiesça-t-elle. Tu dois toutefois savoir qu’il y a quantité d’informations, de faits, et de théories qui circulent sur ces derniers, et je n’ai pas la prétention de pouvoir tout te dire, dans la mesure où notre connaissance de cette race est très faible. Il y a bien des livres dans la bibliothèque royale qui traitent de la question, si cela peut t’intéresser. »

Les dragons étant un sujet d’intérêt pour Sylvandell, au cours de son existence, le royaume avait acquis tout ce qui, de près ou de loin, concernait les dragons, sans chercher à se limiter à ceux de Sylvandell. On trouvait donc bien des informations, une véritable mine d’or sur tout ce qui concernait ces bêtes, mais même Alice ne pouvait prétendre avoir tout lu.

« Il existe bien des dragons, et on les différencie généralement selon la couleur de leurs peaux. Les dragons verts sont les dragons les plus courants, ceux qui, selon la plupart des théoriciens de Sylvandell, appartiennent à la dernière génération de dragons, et sont dénués de bien des facultés magiques dont leurs aînés disposent. Il existe aussi des dragons bleus, des dragons blancs, qu’on trouve dans les contrées nordiques, glaciales, et qui ont la particularité de cracher un feu de glace qui gèle leurs cibles, des dragons rouges, et des dragons plus rares : les dragons dorés et les dragons noirs. »

Par où commencer ? Il y avait tant à dire sur ces derniers ! Elle décida de se focaliser sur Sylvandell, tout en sachant qu’elle ne pourrait s’empêcher de digresser.

« Comme tu as du le remarquer, Sylvandell vit à côté d’un peuple de dragons. Ce n’est pas par hasard. Ces dragons préexistaient avant que Sylvandell ne soit bâtie, et nous sommes convaincus qu’ils existent depuis l’aube des temps, que les dragons ont fondé Terra, et ont été les architectes des Dieux. Ce peuple est dirigé par les dragons dorés, les dragons les plus légendaires qui existent, et, parmi les dragons dorés, il existe un leader, que nous surnommons le ‘‘Patriarche’’. L’histoire est longue, alors, pour te résumer, il y a de cela des siècles, mon aïeul, Erwan Korvander, qu’on appelait Erwan ‘‘le Maudit’’, a voyagé jusqu’à Sylvandell, et a fondé une alliance avec le Patriarche. Depuis lors, il a bâti un royaume, et une Commanderie, et chacun de ses héritiers a en charge trois choses : la gestion du royaume, la direction de la Commanderie, et la préservation de notre alliance millénaire avec les dragons dorés. A cette fin, chaque Korvander subit, vers la fin de son enfance, un rituel sacré auprès du Sanctuaire des Dragons, le lieu où Erwan a perpétré son alliance avec les dragons. »

Elle fut tentée de lui en dire plus sur les tenants et les aboutissants de cette légende, mais elle devrait probablement y passer des heures, tant la légende d’Erwan était riche. Elle décida donc de se concentrer sur l’essentiel.

« On dit que les dragons dorés sont les dragons les plus proches des premiers dragons, des créatures gigantesques qui ont disparu. Nous pensons que le Patriarche est l’un des descendants directs de ces dragons ancestraux, et qu’il secrète en lui des pouvoirs mystiques… Et je suis de plus en plus persuadée que tu l’intéresses. »

Sans vraiment s’en rendre compte, la Princesse avait fini par parler du seul sujet réellement intéressant de son point de vue, et elle enchaîna assez rapidement.

« Un dragon doré ne descend pas à Sylvandell sans raison, et c’est toi qui l’intéressait. J’ignore exactement pourquoi, mais je sais ce que cela signifie. Je ne l’ai pas dit à Père, car il aurait eu du mal à me croire, et m’aurait rembarré, mais je suis intimement persuadée que, d’une manière ou d’une autre, le Patriarche souhaite te voir. »

C’était lâché. Alice retint son souffle pendant plusieurs minutes, avant de prendre dans ses mains celles de son amante, pour lui formuler quelques avertissements, et ce qu’elle comptait faire.

« Demain, Sakura, je compte t’emmener avec moi au Sanctuaire des Dragons, mais il est formellement interdit pour un étranger de s’y rendre, sous peine de mort. Seul le Roi peut autoriser une visite à un étranger, mais sous des conditions exceptionnelles, ce que je ne suis malheureusement pas en mesure de fournir. Rassure-toi, tu m’as montré comment faire pour ne pas te faire voir, mais je ne tiens pas à t’imposer quoi que ce soit. Si tu n’as pas envie d’aller au Sanctuaire, n’hésite pas à me le faire savoir ! »

Sakura Korvander

E.S.P.er

Re : L'esclave du Joyau [PV Alice]

Réponse 40 jeudi 19 janvier 2012, 12:33:19

Après avoir posée ma question, Alice se détourna de la fenêtre, intriguée, et vint s'assoir sur le lit à mes cotés, avant de me répondre...

- Les dragons ? Très bien… Tu dois toutefois savoir qu’il y a quantité d’informations, de faits, et de théories qui circulent sur ces derniers, et je n’ai pas la prétention de pouvoir tout te dire, dans la mesure où notre connaissance de cette race est très faible. Il y a bien des livres dans la bibliothèque royale qui traitent de la question, si cela peut t’intéresser.

Une bibliothèque ? L'un de mes endroits favoris lorsque j'étais encore une jeune lycéenne innocente, après la piscine bien sur... Pour sur, j'irais sans doute y passer un bout de temps, lorsque ma princesse serra en déplacement, car j'imagine qu'elle bouge assez souvent dans son royaume...
Par la suite, elle me fit un petit résumé de ce qu'elle savait sur les différences entre les dragons de couleurs et métallique, puis me parla brièvement de ceux de Sylvandell et plus particulièrement, du pacte avec le ‘‘Patriarche’’. Tout ceci était véritablement fascinant à mes yeux... Contrairement à ce que me disait Hiro, Terra n'était pas entièrement conçu sur la mythologie Gréco-Romaine. Mais la suite de ses explications m'ont surprises...

- On dit que les dragons dorés sont les dragons les plus proches des premiers dragons, des créatures gigantesques qui ont disparu. Nous pensons que le Patriarche est l’un des descendants directs de ces dragons ancestraux, et qu’il secrète en lui des pouvoirs mystiques… Et je suis de plus en plus persuadée que tu l’intéresses. Un dragon doré ne descend pas à Sylvandell sans raison, et c’est toi qui l’intéressait. J’ignore exactement pourquoi, mais je sais ce que cela signifie. Je ne l’ai pas dit à Père, car il aurait eu du mal à me croire, et m’aurait rembarré, mais je suis intimement persuadée que, d’une manière ou d’une autre, le Patriarche souhaite te voir.

J'avoue que je ne sais plus quoi dire ni penser... Dans ma vie, j'ai été habituée à intéresser les pervers, les esclavagistes, les déesses barges, des filles jolies, mais jamais encore le plus puissant des dragons... Que pouvait-il bien voir en moi, outre le fait que je puisse me Terratransformer ? Où était-ce justement ça qui l'intéressait en moi, mes formes... Même si j'ai du mal à m'imaginer me changer en dragon, ce ne sont pas vraiment des créatures à moitiés humaine... Non, ce doit être autre chose... Ma princesse me prit les mains dans les siennes, afin de me rassurer, mais aussi de me mettre en garde sur la suite des évènements.

- Demain, Sakura, je compte t’emmener avec moi au Sanctuaire des Dragons, mais il est formellement interdit pour un étranger de s’y rendre, sous peine de mort. Seul le Roi peut autoriser une visite à un étranger, mais sous des conditions exceptionnelles, ce que je ne suis malheureusement pas en mesure de fournir. Rassure-toi, tu m’as montré comment faire pour ne pas te faire voir, mais je ne tiens pas à t’imposer quoi que ce soit. Si tu n’as pas envie d’aller au Sanctuaire, n’hésite pas à me le faire savoir !

J'y ai réfléchie un long moment... J'avais peur de mourir, c'était évident... mais en même temps, j'étais curieuse de savoir ce que voulais ce dragon doré. Et la phrase d'Alice m'intrigue, que veut-elle dire par " tu m’as montré comment faire pour ne pas te faire voir" ? Veut-elle parler de...? A cette pensée, je rougie très vite... Imaginer que je vais me cacher dans son vagin, sous ma forme de fée, c'est un sacré délire. Mais en même temps, c'est la seule solution pour ne pas être vue...

- Tu... Tu es sure ? La dernière fois que je me suis cachée... là, lui dit-je en pointant son bas ventre du doigt, tu m'en a expulsée assez rapidement...

Mais je lui sourie rapidement en enchaînant.

- Mais sinon, je veux bien venir... et puis, si je suis prise, il est quasi impossible de tuer une Slime...

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : L'esclave du Joyau [PV Alice]

Réponse 41 jeudi 19 janvier 2012, 13:06:31

Après sa dernière tirade sur son idée pour permettre à Sakura de rejoindre en toute discrétion le Sanctuaire, Alice sentit un sourire l’éclairer en voyant ses joues rougir, et ses yeux glisser vers le bassin de la Princesse. Elle indiqua avec son doigt cette partie de son corps, exprimant sa surprise.

« Tu... Tu es sure ? La dernière fois que je me suis cachée... là, tu m'en a expulsée assez rapidement... »

L’idée fit pouffer Alice, qui se mordilla les lèvres, essayant de se contrôler, et tenta de la rassurer, mais Sakura poursuivit.

« Mais sinon, je veux bien venir... et puis, si je suis prise, il est quasi impossible de tuer une Slime... »

Alice répliqua assez rapidement, et embrassa Sakura sur le front, puis sur les lèvres.

« Toi, mon petit ange, je t’adore ! s’exclama-t-elle. Mais non, rassure-toi, je ne compte pas t’embarquer dans ma petite grotte, même si j’aime bien te sentir dedans… »

Elle joua un peu avec le nez de Sakura, frottant le sien dessus, puis posa l’un de ses doigts sur les lèvres de sa protégée, et la fit délicatement descendre jusqu’à sa poitrine, glissant son doigt le long du kimono.

« Je porterais des vêtements chauds demain ; il fait frisquet dans les hauts-plateaux. Par conséquent, je pense que tu ne te réfugieras pas dans mon intimité, mais… Ici »

La Princesse appuya son geste en enfonçant son doigt entre les seins de Sakura, pour lui faire comprendre son idée. Entre ses seins, Sakura la perturberait bien moins, et elle serait cachée. Alice lui sourit, et l’embrassa tendrement sur les lèvres.

« Tu seras bien au chaud, entre mes seins, tu ne crois pas ? Mais il vaut mieux éviter que nous ne nous fassions repérer. Même si tu es forte, mon ange, te savoir capturée me placerait dans une position inextricable. Mais cela n’arrivera pas, ne t’en fais pas. »

Alice l’espérait, en tout cas. La sanction envers ceux qui entraient sur le Sanctuaire sans autorisation était particulièrement cruelle, et, si Cirillia avait été la seule forme d’exception, Tywill n’en ferait pas d’autres. Si Sakura se faisait surprendre, elle serait cruellement torturée avant d’être tuée. Alice préféra toutefois ne pas y penser, consciente que trop y penser reviendrait à faire disparaître ses bonnes idées. Alice continua à embrasser Sakura au visage, glissant ses lèvres dans son cou, lui mordillant tendrement la peau.

« Tout se passera bien, ma belle », l’assura-t-elle.

La Princesse se dégagea ensuite un peu, afin de laisser Sakura respirer, et commença à se relever.

« A moins que tu aies des questions supplémentaires, je nous suggère de dormir… Demain sera une longue journée, et je crois avoir encore énormément envie de profiter de toi, de ton corps et de ton esprit merveilleux. Accepterais-tu de partager ma couche ce soir ? »

Sakura Korvander

E.S.P.er

Re : L'esclave du Joyau [PV Alice]

Réponse 42 jeudi 19 janvier 2012, 18:27:27

Après lui avoir confirmée que je voulais bien prendre le risque de venir avec elle au sanctuaire, Alice m'embrassa sur le front et sur les lèvres, avant de répliquer.

- Toi, mon petit ange, je t’adore ! Mais non, rassure-toi, je ne compte pas t’embarquer dans ma petite grotte, même si j’aime bien te sentir dedans… Je porterais des vêtements chauds demain ; il fait frisquet dans les hauts-plateaux. Par conséquent, je pense que tu ne te réfugieras pas dans mon intimité, mais… Ici.

Elle appuya sur l'espace entre mes deux seins, pour bien me faire comprendre... A l'idée de loger bien au chaud dans un tel endroit, j'en rougie jusqu'aux oreilles. Il va m'être difficile de ne pas en profiter un peu, mais je ferais en sorte de me retenir... Elle me sourie de nouveau, avant de m'embrasser tendrement sur les lèvres, baisé auquel je répondis avec bonheur...

- Tu seras bien au chaud, entre mes seins, tu ne crois pas ? Mais il vaut mieux éviter que nous ne nous fassions repérer. Même si tu es forte, mon ange, te savoir capturée me placerait dans une position inextricable. Mais cela n’arrivera pas, ne t’en fais pas.

Elle continua de faire glisser ses lèvres sur ma peau, mon cou, et j'en lâcha quelques soupirs de plaisir.

- Awwww...

- Tout se passera bien, ma belle. A moins que tu aies des questions supplémentaires, je nous suggère de dormir… Demain sera une longue journée, et je crois avoir encore énormément envie de profiter de toi, de ton corps et de ton esprit merveilleux. Accepterais-tu de partager ma couche ce soir ?


Je glisse mes lèvres sur la peau tendre de son cou, afin d'y déposer un petit suçon, avant de lui répondre avec douceur.

- Et tout les autres soirs si tu veux. Mais en attendant, je vais être...

Tout en parlant, j'avais ôtée mon vêtement, le laissant tomber au sol, avant d'effectuer une nouvelle métamorphose. Des oreilles touffues ainsi qu'une longue queue de Neko châtains foncés apparurent et mes yeux devinrent dorés, les pupilles verticales, deux petits crocs dans ma dentition et une langue plus râpeuse.

- ... une gentille petite Neko à sa Maîtresse... Miawww...

Avec gourmandise, je me mis à suçoter son téton, ma langue féline faisant son effet sur le sein d'Alice...

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : L'esclave du Joyau [PV Alice]

Réponse 43 jeudi 19 janvier 2012, 19:18:52

Alice avait soufflé la plupart des bougies qui étaient encore allumées dans sa chambre, et l’éclairage ne venait désormais plus que du feu de cheminée qui crépitait tendrement dans un coin, et des bougies allumées sur la table du chevet à côté du lit. La Princesse retourna s’asseoir sur le lit, en compagnie de Sakura, qui promena ses lèvres sur son cou. Alice en frissonna tendrement, sentant les lèvres ô combien succulentes de sa protégée. Elle sentit les lèvres s’enfoncer contre sa peau, et sa main caressa tendrement sa nuque.

« Et tout les autres soirs si tu veux. Mais en attendant, je vais être... »

A cette dernière remarque, la Princesse haussa un sourcil interrogateur.

« Que me réserves-tu, mon petit amour ? » demanda Alice en souriant.

Sa protégée avait retrouvé sa peau nue, désormais, son kimono traînant sur le sol, et elle se transforma devant Alice, prenant la forme d’une belle petite neko. Son corps rétrécit légèrement, ses oreilles disparurent, pour devenir deux longues oreilles pointues et poilues jaillissant de sa tête, et une longue queue fila depuis le dessus de ses fesses. Alice en sursauta légèrement.

« Une gentille petite Neko à sa Maîtresse... Miawww... miaula-t-elle.
 -  Ohhhh, ma chérie ! » s’exclama Alice, émue malgré elle.

La Princesse promena sa main sur la tête de la neko, tandis que cette dernière allait suçoter son téton. Le cœur d’Alice battit follement dans sa poitrine, et elle promena sa main le long de sa colonne vertébrale.

« Mon petit chaton…, murmura Alice., en lui caressant les cheveux. Il va falloir que je m’occupe de toi, alors… »

La Princesse laissa Sakura continuer à jouer avec son téton, et la serra contre elle, caressant son corps, afin de l’entendre ronronner. Alice remuait ses ongles le long de son corps, glissant jusqu’à son petit cul, pressant une fesse, avant de frotter sa queue, pour remonter sur sa peau. Son autre main palpait les cheveux d’Alice, les caressait, remontant jusqu’à ses oreilles, s’amusant à les caresser, tandis que la neko jouait avec ses seins. Au bout d’un petit moment, Alice se retourna, et poussa un peu Sakura, l’allongeant au milieu du lit.

« Qu’est-ce que tu diras d’un gros câlin, mon chaton ? »

Alice allongea Sakura sur le dos, et se glissa à côté d’elle, frottant tendrement son dos, promenant ses doigts dessus, remontant le long de sa peau tendre et sensible, retournant jusqu’à ses fesses, les pressant, avant de caresser avec une main la longue queue de la neko. Alice avait entendu parler des nekos, mais n’en avait encore jamais eu ou vu. Quand elle avait exprimé à son père le désir d’en avoir un, celui-ci lui avait ri au nez, n’y voyant qu’un caprice de gamine, et, depuis lors, elle n’avait jamais eu l’occasion d’en voir ailleurs qu’au marché aux esclaves, où ils avaient généralement tous l’air malheureux. Mais elle n’avait jamais eu, jusqu’à maintenant, l’occasion d’en caresser un, de l’entendre ronronner, ou miauler. Tout en la câlinant, la Princesse redressa son corps, et l’embrassa dans le creux du cou.

« Ronronne, ma belle, je veux entendre tes miaulements de plaisir… »

La main de la Princesse alla presser les fesses de Sakura, donnant ensuite une toute petite tape dessus, et elle continua tendrement ses caresses, embrassant le cou et la nuque de la neko, remontant jusqu’à ses longues oreilles pour les lécher et les mordiller. L’une de ses mains caressait les hanches de Sakura, et se glissa sous elle, comprimant l’un de ses seins, tandis que, ce faisant, le corps de la Princesse allait se lover contre celui de Sakura, se glissant dans son dos. Elle utilisait son autre main pour continuer à gratter le corps de Sakura, enfonçant ses seins contre son dos.

« Tu ne cesses et ne cesses de me surprendre, mon chaton… » la complimenta-t-elle.

Elle ponctua cette phrase par un baiser entre les deux oreilles de Sakura, et continua son massage.

Sakura Korvander

E.S.P.er

Re : L'esclave du Joyau [PV Alice]

Réponse 44 dimanche 22 janvier 2012, 20:37:20

- Ohhhh, ma chérie !

C'est deux petits mots, dans la bouche d'Alice, firent battre mon cœur à la chamade, je fis bien en sorte de donner le plus de plaisir possible à ma princesse, en léchant son téton de ma langue râpeuse. Je sentis sa main caresser mes cheveux, avant de se balader le long de mon dos et s'attarder sur mon postérieur un moment, puis caresser tendrement ma queue de Neko.

- Mon petit chaton…, murmura t-elle, il va falloir que je m’occupe de toi, alors…

Ses douces attentions me firent ronronner de bonheur et je pinçais son autre téton avec beaucoup de tendresse, le roulant entre deux doigts. La princesse m'a alors repoussée doucement pour m'allonger complètement sur le dos.

- Qu’est-ce que tu diras d’un gros câlin, mon chaton ?

- Mwrrrrrrr...


Les minutes qui suivirent furent de tendres caresses, furtives et sensuelles, administrées avec amour sur le corps de l'autre, partageant de doux baisés mouillés et langoureux, au milieu des gémissements ou des miaulements de plaisir. Alors que j'e lèche doucement la joue de ma Maîtresse, celle-ci vient m'embrasser dans le cou, avant de déclarer de tendre paroles.

- Ronronne, ma belle, je veux entendre tes miaulements de plaisir…

- Miiiiiaaaaaaaawwwwwwwwww...


Son massage augmentait graduellement mon excitation... Lorsqu'elle vint suçoter et embraser mes oreilles, ce fut une délicieuse sensation de bien être qui m'envahie... et ma queue vint frotter très lentement nos deux intimités, tandis qu'Alice me massais doucement la poitrine, comprimant la sienne dans mon dos.

- Tu ne cesses et ne cesses de me surprendre, mon chaton…

- Miaw !


Sans prévenir, je vins entrer ma queue dans sa grotte humide, en faisant de lents vas et viens, et vins l'embrasser sur les lèvres, mêlant ma langue à la sienne, plaçant mes deux mains sur son tendre fessier, les malaxant avec tendresse en dandinant du basin contre son ventre. Je n'attendais qu'une seule chose, qu'elle ne me mette deux doigts dans mon antre des plaisirs pour en faire de même entre ses fesses, tout en la gardant contre mon dos. Dès que je sentis ses doigts glisser en moi, j'entra les miens dans son petit puits secret et accéléra le mouvement de ma queue en elle. La chambre était de nouveau emplie de cette douce mélodie excitante et je faisais de mon mieux pour embrasser ma Princesse, malgré ma salive qui coulait paresseusement sur sa joue...

- M... Maîtresse... J-je... Je vais... MIIIIIIAAAAAAAAAAAAAAAAWWWW !!!!

Un vrai petit torrent de cyprine s'écoula de mes lèvres intimes, glissant entre les doigts d'Alice, pour finir sur les draps du lit... J'ai continuée un peu, jusqu'à ce qu'elle jouisse à son tour, avant de m'endormir de fatigue entre ses bras, dans une douce étreinte, ma queue toujours en elle...


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