Une nOuvelle rencOntre... (Privé mademOiselle HOney)

LeOliO sOupira. VOîla maintenant un sacré mOment qu'il vivais dans ce mOnde zarb', pOurtant, rien a faire... Il s'emmerdais tOujOurs autent. Punaise, y'avais vraiment rianafOutre dans cette ville! Il sOupira fOrtement et entama une petite balade, les mains dans les pOches. Il arriva finallement a la place publique. Il fixa, presque avec désinteret, la vente en cOurs. Puis il vit une étrange créature qui semblais attirer beaucOup les gens... On aurais dit... une femme chèvre. avec de grOs mamelOn emplit de lait. Il fit une démOnstratiOn en emplissant un verre du lait sOrtit d'un sein de la créature. Il sOupira avec désinteret et s'élOigna de la place, quand il vit une jeune femme cacher dans l'Ombre nOn lOin. LeOliO ne cOnnaissant pas grand chOse a ce mOnde, il alla vers elle et lui sOurit galament.

"VOus allez bien mademOiselle?"

La barbarie. C'était ce à quoi pensait Honey en voyant l'attroupement un peu plus loin. Ayant été liberée il y a peu de l'esclavage, elle savait ce que c'était. Cette femme n'était rien d'autre qu'un jouet, comme elle l'avait été.

L'ombre était à présent son amie, et les couvertures qui cachaient ses attributs aussi.

Elle n'avait plus d'argent, plus de pureté, et elle rasait les murs depuis au moins une semaine.

Non, ça n'allait pas bien pour elle. Plus bien, en tout cas.

Malgré tout, l'ombre d'un sourire apparut sur ses lèvres quand le jeune homme blond lui demanda. Une ombre bien loin de son si joli sourire du passé.

" Jeune homme, je vous souhaite d'aller mieux que moi. Car ma situation n'est enviable de personne. "

Ces mystérieuses paroles contribuaient à l'enterrement mental de la vachette, qui ressera ses couvertures en voyant les propriétaires de la femme au lait passer.

La jeune femme ne semblais guère bien aller. LeOliO la vis resserrer une cOuverture sur ses frêle épaules en vOyant le nOuveau prOpriétaire de la femme au lait passer devant eux, jsute après d'étrange et mystérieuse parOle. Lorsque l'hOmme eut disparut, LeOliO saccrOupis a cÔté d'elle dOucement, il s'humecta dOucement les lèvres et lui sOurit. Buvant un peu d'eau a sa gOurde, il tendit ensuite la gOurde d'eauv ers la vachette, gentiement, amicalement. SOn regard étais pur. Le regard de celui qui veut aider, sans arrière penser.

En effet, LeOliO restais un hOmme dOux et gentil, même si parfOis il lui arrivias de viOler quelque jeune femme Ou jeune hOmme, mais quand les gens semblais en détresse, sOn bOn cOeur fesias surface et y restais. Après avOir but un peu, la jeuen femme lui rendit sa gOurde. Il lui sOurit a nOuveau et se releva. Il lui tendit la main pOur l'aider a se relever.

"Après ses étranges parOles, je ne peut que m'intrrOger et désirer vOus aider. Méfiez-vOus si vOus le sOuhaiter, je ne vOus ferais rien. Venez. Je vOus invite a venir manger chez mOi. Et je vOus dOnnerais des vêtements si vOus vOulez. Qu'en dites vOus?"

Fit-il dOucement, gentiement.

Quel jeune homme attendrissant, il proposait son aide avec tant de bonté... Ca, c'était les pensées que se seraient posé Honey avant... tout ça. Et maintenant, elle rajoutait à la phrase : "... Sans rien en retour ? ". Et automatiquement, une idée se bousculait dans sa tête. Une idée qui s'était imposée à elle depuis quelques jours, une idée controversée, géneraliste, inutile, aussi sobre que de l'eau.

Ce doit être un goujat, un violeur, un malmeneur.

Un... marchand d'esclaves.

A cette pensée, Honey éclata soudainement en sanglots, laissant couler sur le sol tout ce qu'elle avait emmagaziné depuis des jours. Ses larmes s'écrasaient sur la terre battue, et ses cris attiraient les regards des passants. C'était une véritable crise d'hystérie qu'elle nous faisait là, et elle la termina par terre, à plat ventre, épuisé, pour finir par s'endormir, les yeux mouillés et rivés sur le visage de celui qui se proposait hébergeur et qui s'était agenouillé pour voir comment elle allait.

LeOliO attendais simplement une réactiOn de la part de la jeune femme. Il restais calmement agenOuiller a ses cÔtés. En la vOyant fOndre en larme, il fut pris au dépOurvus. Il ne savais résister au pleure d'une dame. Il la serra cOntre lui dOucement, la laissent imbibé sOn chandail de ses pleurs. LOrsqu'elle plOngea dans le sOmmeil, il la sOuleva, gardent sOn cOrps masquer par la cOuverture. Il la rammèna dans sa demeure. La cOuchant dans sOn lit, il ferma a demi la pOrte de la chambre derrière lui.

LeOliO verrOuilla sa maisOn et alla acheter quelque vêtements féminen très ample. Il revint et fut surpris qu'elle dOrme encOre. Faut dire, il avias fait vite. Il posa les vêtements sur la chaise et regard ce qu,il pOuvais faire pOur le sOuper. Il fit des patates pilers avec du steak qu'il mis au fOur pOur garder chaud jusqu'au réveille de la jeune femme.

Quand la jeune femme se réveilla, elle se trouvait dans un lit confortable et blanc. Elle s'était réveillée en sursaut, comme quelqu'un avait crié dans son oreille. Rapidement, elle se leva et entreprit de chercher son hôte. Elle le trouva finalement dans la cuisine... et ne sut quoi lui dire.

" Heu, je... vous remercie. "

Cette simple phrase eut pour effet de faire rougir Honey. Son innocence ne revenait pas, mais sa confiance naturelle la gagnait. Elle constate soudain que son hôte était plutôt mignon...

" Je... j'aimerais vous remercier... mais je n'ai rien à vous offrir... "

C'était un demi-mensonge. Honey n'avait peut-être rien à offrir de matériel à Leolio, mais elle avait déjà maintes et maintes fois offert son corps. Mais pour l'instant, elle attendait une réaction.

HJ - Gomen, c'est petit. << - HJ

(Pas grave HOney-chan, chuis pire que ça ^^)

LOrsque la jeune femme vint le rejOindre en cuisine, leOliO venais jsute de retirer le repas du feu pOur el mettre dans le fOur et le garder chaud. Il retira ses gant de fOur et sourit à la jeune femme. Le jeune hOmme restias simple et dOux. Il l'écOuta calmement puis dit:

"Ce n'est rien damOiselle. Ma mère m'as appris a être galant et gentil avec les êtres qui Ont des prOblèmes. Et ne vOus en fait pas. Je ne vais rien vOus demander. Je en vOus fOrcerais a rien... VOus avez faim?"

Il lui tendit la main galament, pOur la guider a une chaise si elle vOulais manger Ou juste s'asseOir. SOn regard étias gentil et pur. Amical. ce qui devias être très rare en ce mOnde. Il se prOmis mentallement de l'aider de sOn mieux. Cette jeune femme semblais en avOir besOin.

Honey écoutait attentivement Leolio, et une fois qu'il eut fini, elle se surprit à sourire, chose qu'elle n'avait pas faite depuis assez longtemps, une bonne semaine, à vrai dire.

Cet homme... n'était décidement pas comme les autres. Il semblait plus pur que n'importe qui. Le petit copain parfait ? La vachette n'allait pas jusque-là. Mais...

Il lui semblait si sympathique, qu'elle ne put se résoudra à ne pas lui faire confiance.

Acceptant la main galante, Honey s'assit juste après, toujours souriante. Si en plus d'être gentil, il semblait galant, alors elle n'avait plus de soucis à se faire. Encore une fois, elle pensait vif comme l'éclair, et encore une fois, elle ne se le reprochait. Elle n'avait pas envie d'être intelligente, au fond. C'était sûrement ça.

Un gargouillis bruyant provenant de son ventre lui indiqua que ce devait être l'heure de souper. Se tournant vers le maître de maison, la Terranide murmura en souriant :

" Je crois que j'ai une petite faim... "

Le jeune hOmme sOurit gnetiement à la vachette et rigOla dOucement en entendant l'estOmac gargOuiller. Il écOuta la jeue femme en sOuriant calmement puis msi els gants de fOur et sOrtit le repas du fOur. Il le pOsa sur un linge a vaiselle sur al table et sOurit à la jeuen femme.

"Le repas est déjà prêt, je l'avais fait à l'avance au cas Où vOus auriez faim..."

Il prit des assiète et des ustencils puis servit la jeune femme et lui même après. Il lui proposa ensuite plusieur brevage, calme. Il y avias de l'alcool, de lait, du jus, de l'eau. Lui se prit un verre de jus de citron et le dillua avec de l'eau. Il y rajouta du sucre et ça fit comme une limonade.

A la vue de ce superbe repas qui trônait, offert, sur la table, Honey ne put s'empêcher de sourire encore plus, offrant ainsi à Leolio un peu de son visage d'antan : un sourire enfantin et doux, des yeux pétillants de joie. Elle attrapa le premier plat et la première boisson qu'elle avait sous la main pour commencer à manger sans aucune délicatesse. Plus d'une fois, la terranide complimenta Leolio sur sa cuisine, qui était véritablement délicieuse. Mais en même temps, cela faisait bien cinq jours que la vachette n'avait rien avalé, alors si elle s'était retrouvée avec une boîte de haricots devant elle, elle aurait dit la même chose, rien que pour faire plaisir à celui qui lui aurait offert la nourriture.

A la fin du repas, Honey se sentait bien mieux. Elle avait une eptite idée de comment remercier Leolio pour ce qu'il venait de faire.

" Vous savez, je suis une vachette. Je fabrique donc du lait en grandes quantités et de bonne qualité. Alors, je me disais que je pourrais vous en offrir quelques bouteilles pour vous remercier... qu'en dites-vous ? "

L'idée était bonne, mais peut-être Leolio allait-il refuser... la perspective de goûter du lait de terranide ne l'enchantait peut-être pas, après tout.