Un nouveau départ (pv Amalia)

La jeune fille de 17 ans était en pleine représentation de spectacle. La mise en scène fut remarquable lorsque par mégarde ses petites ailes de mésanges sortir et elle commençait un peu à s'élever mais comme elle était prise par sa chanson elle ne s'en rendit pas compte. Quand elle finit sa représentation elle alla dans ses loges, mais une fois passé le pas de la porte elle reçut un coup sur la tête et ce fut le trou noir.

Quand elle se réveilla, elle avait un collier et une chaîne qui la maintenait clouée au sol et elle avait pour unique vêtements un bandeau sur sa poitrine un peu déchirée et une simple jupe noire de cuire et on allait la vendre en tant qu'esclave mais elle ne se souvenait pas de ce qu'elle avait fait juste avant sauf des chansons et des bribes de bruit qui lui restait en tête.

"Voici une jeune fille de 17 ans, qui à des gênes de mésanges et qui vous fera une très bonne compagnie."

La mère d'Amalia pouvait être très aimante mais pouvait aussi être très cassante. Sa dernière conversation avait été assez impérieux.

"Ma fille, tu es en âge où une succube peut avoir une esclave pour lui servir de distraction

Mère, je ne vois pas bien ce que...

Assez, tu prends cette bourse tu te rends sur Terre achetez l'esclave que j'ai commandée pour toi et tu la gardes, est-ce assez clair?

Oui, mère."

Du coup, Amalia n'ait pas eut trop le choix, elle avait pris la bourse et s'était rendue sur Terre dans le lieux que lui avait indiqué. Sa mère ne lui avait pas vraiment précisé quelle esclave choisir et elle avait du mal à choisir. On lui présenta un troisième esclave et on lui précisa qu'elle avait 17 ans et qu'elle possédait des gêne de mésange. Elle ressemblait donc à un ange pensa t-elle. L'ironie de la chose la fit sourire.

-Très bien, je la prends. Voici la somme convenue.

-Bien Mademoiselle.

Après quelques accords signés et une bourse qui changea de main. Amalia traversa un portail la menant à l'enfer avec un morceau de collier dans la main. Elle se trouva donc dans ses appartements, dans sa chambre en enfer chez elle avec sa nouvelle esclave. Il lui fallait poser les bases.

-Je m'appelle Amalia, mais tu m'appelleras Maîtresse. Tu comprends? Tu peux me dire ton nom mais je préfère t'appeler   ma petite chienne, ou ma salope...

Si les esclavagistes avaient fait leur travail, elle obéirait et accepterait ses conditions. Si ce n'était pas le cas alors Amalia devrait la dresser.

Amalia se dirigea vers un de ses fauteuils moelleux et s'y installa.

-Voyons, si tu es obéissante petite chienne. Va me chercher un jus d'orange frais dans mon frigo.

Amalia tenait toujours la chaîne au cas où l'esclave se rebellerait.

La jeune hybride avait encore un peu de mal à se remettre de ses émotions et surtout elle avait eut du mal à émerger du coup reçut mais elle suivait la jeune femme et elle se retrouva dans une grande chambre. Elle regarda autour d'elle, même si elle écoutait en même temps elle était ébahis par la beauté des lieux. Quand elle lui avait demandé son prénom elle avait répondu:

"Je me nomme Mariko Celestian Maîtresse, mais si je dois être renommée par vous alors je serais qui vous désirez que je sois."

Puis elle entendit l'ordre de chercher un jus d'orange frais. Elle chercha du regard la pièce et repéra le frigo. Elle s'y dirigea, ouvrit le frigo et se pencha un peu. Sa jupe se souleva un peu sur ses fesses mais ses ailes étaient froissée et engourdi ce qui la faisait un peu chanceler. Elle referma le frigo et elle prépara le jus d'orange dans un verre et elle remis la bouteille au frais avant de le ramener à sa propriétaire. Elle avait envie de chanter mais son collier lui serrait un peu trop fort son cou alors sa voix était un peu étouffée et elle, elle avait très soif mais n'agirait pas sans ordre de sa Maîtresse.

Amalia apprit le nom son esclave, Mariko Celestian. Bien sur, ce nom était déjà inscrit dans les papiers qu'elle avait signé mais voulait être sur que c'était son nom. Et c'était le cas. Les esclavagistes ne l'avaient pas rouler.

L'ordre était passé comme une lettre à la poste et elle subissait les outrages. L'esclave avait était bien dressé. Amalia aperçut d'ailleurs les fesses douces de son esclave. Les esclavagistes l'avait bien habillé. Il n'y avait pas de problème. C'est ce qui arrivait souvent j'ai des furrys. Elle lui apporta le verre do'range qu'Amalia s'empressa de boire.

-Ah! C'est exaltant.... Bon, tu as l'air d'être obéissante petite chienne donc... Donc...

Elle se leva et détacha  le collier et la chaîne avec la clé et lui mit un collier avec un emblème de chauve-souris dessus,l'emblème de sa famille. Amalia se leva lui attacha le collier derrière son cou.

-Ce collier que je t'ai attaché prouve que tu m'appartiens à moi et à ma famille. Tu restes mon esclave mais cela te permettra de te déplacer dans la maison et d'être nourri et de boire normalement. Tu verras aussi que ce collier a des propriétés magiques, il te donnera une récompense à chaque fois que tu obéis.

Effectivement, c'était un collier magique qui augmentait le désir et l'attirance sexuelle à chaque fois qu'un esclave obéissait et procurer à cette esclave des fourmillements de plaisirs sexuelles pouvant aller jusqu'à l'orgasme.

-Il est important que tu le gardes. D'ailleurs, pour tester son pouvoir, j'aimerais que tu te mettes plus à ton aise et que tu laisses tes ailes s'étendre. C'est dommage des les cacher. D'ailleurs....

Amalia retira son Trompe-Oeil et dévoila une magnifique parie d'aile de chauve-souris ainsi qu'une queue caudale.

-Comme tu peux le voir, nous avons des points communs. Si tu veux  boire tu peux aller te chercher quelque chose. Et j'aimerais aussi que tu me rapportes quelque chose comme la bonne esclave que tu es, tu devrais ainsi ressentir les joies du collier. As-tu des talents particuliers?

Amalia savait qu'elle savait chanter mais se demandait si elle savait faire autre chose...

La jeune hybride frémissait un peu et elle avait un peu froid mais quand elle reçut le collier, elle se sentit être parcourue d'une chaleur frémissante et elle haleta un peu tout en soupirant de soulagement. Le simple fait qu'elle lui est attaché le collier la fit gémir un peu car elle était assez sensible au niveau du tactile. Elle haleta un peu puis elle lui demanda de se mettre à l'aise voir d'extraire ses ailes alors elle défit les lien qui retenait ses ailes après avoir retiré son haut et à cet instant, ses ailes bleu-grises sortirent et elles furent un peu froissées. Elle les fit battre et s'éleva un peu dans les airs. Elle n'était qu'en jupe et comme elle avait obéit à la directive et elle avait ressenti comme des papillons dans son bas ventre.

Elle se reposa au sol et elle la vit retirer son Trompe-Œil et elle vit les ailes de sa Maîtresse apparaître ce qui la fascina et elle s'approcha et tendis sa main mais elle la rétracta par peur qu'Amalia soit contre et elle se recula un peu en baissant la tête mais quand elle sut qu'elle pouvait aller boire si elle avait soif lui fit plaisir. Elle détacha aussi ses cheveux et sa chevelure se déroula sur sa poitrine et elle alla au frigo et pris un nouveau verre et elle se servit d'un peu de lait. Quand elle revint, Amalia lui demanda si elle avait des dons particuliers, elle pencha sa tête sur le côté et elle répondit:

"Je sais chanter et je commençais à danser un peu mais si vous me le permettez Maîtresse j'aimerais continuer mais ça se fera selon votre bon plaisir. Je suis née pour satisfaire les désirs de ma propriétaire."

Elle se mordilla ses lèvres un peu inquiète de la futur réponse.

L'esclave était obéissante et se mit plus à son aise tout en allant se chercher à boire. Amalia pouvait aussi admirer les formes gracieuses de son esclaves puisqu'elle n'était vêtue plus que de sa jupe. Elle lui apprit qu'elle savait chanter et danser, ce qui était des talents assez redoutables quand il faudrait la montrer à d'autres gens pour le divertissement.
Amalia toucha les ailes de son esclave elle était douce au toucher. Puis, elle retourna s'asseoir.

-Si tu sais chanter et danser, alors je t'ordonne de me montrer tes talents et je te laisserai peut être poursuivre tes aptitudes. Toutefois, avant que tu démarres j'aimerais que tu réalise une dance sensuelle.

Il fallait lui donner beaucoup d'ordres pour qu'elle s'acclimate au collier. Visiblement, elle était plutôt obéissante mais e serait un gage de sa fidélité à la maison d' Amalia. Elle s'imaginait la voir virevoltante avec ses ailes et sa seule jupe de cuir pour seul vêtement... Amalia voulait pas être trop dur pour l'instant. Mais, petit à petit, elle voulait que son esclave devienne aussi son amante comme toute les esclaves de sa maison. Une succube après tout avait certains besoins.

-Obéis, et tu pourras à nouveau apprécier les effets du collier. Tu aimes ce qu'il fait?

Elle se demandait si son esclave était déjà pervertie par la chose ou non. Elle savait de son petit oiseau en cage qu'elle était vierge mais rien n'empêcher une masturbation.

-Rapproche toi de moi, et laisse toi aller, dance et tu pourras toucher mes ailes si tu le veux...

Elle avait constater que l'esclave avait voulu toucher ses ailes tout à l'heure. Elle lui en donnerait l'opportunité si elle obéissait. Et bien plus encore, mais tou se ferait en douceur. Elle ne voulait pas la brusquer...

La jeune hybride ferma ses yeux laissant venir une musique venir en elle et elle commença à danser en voyant derrière ses paupières closes les mouvements qu'elle devait effectuer tout en ajoutant ses ailes qui l'avais fait gémir quand Amalia les avaient touché. Elle s'était alors rapproché de la jeune femme et elle commença à se déhancher et lorsqu'elle sentit le collier s'activer une fois de plus  et elle approfondi le mouvement devenant proche du mimage se rapport sexuel mais elle restait encore timide avec la chose en ayant un peur de la chose. Elle gémis un peu quand le collier la faisait désirer sa Maîtresse la faisant ainsi s’asseoir sur ses cuisses et de se déhancher sur elle. Elle voulait ensuite chanter mais une force étrange la retenait mais elle gardait sa bouche entrouverte.

Elle commençait à désirer sa maîtresse et à la faire mouiller en bas mais elle voulait se retenir malgré tout alors avant toute chose de ses ailes elle se souleva tout en continuant la danse et elle défaisait doucement la jupe de cuire qu'elle fit glisser sur ses fines cuisses blanches. Elle n'avait rien en dessous et elle avait son entre jambe brillante. Alors prise dans l'euphorie de la danse elle en oublia ses mains et elle commençait à se caresser en commençant par son ventre et sa poitrine blanche et laiteuse.

"Maîtresse.... s'il vous plaît..."

Elle ne pouvait finir sa phrase tant le plaisir grandissait en elle par sa danse et le collier.

Son esclave commença à se déhancher et le collier fit effet. a tel point qu'elle s'écroula. Amalia souriait.

-Allons continue, je ne t'ai pas ordonné d'arrêter.

Son esclave se redressa brillamment et continua sa dance. Elle était vraiment obéissante mais elle ne put s'empêcher de se toucher les seins et de se caresser. Elle n'avait pour ainsi dire aucune résistance sur le plan sexuelle. Elel commença à enlever sa jupe et Amalia aperçut qu'elle n'avait rien et que intimité brillait mais l'excitation était encore assez faible. Amalia retira ses chaussures et dévoila ses jambes. Elle entendit les supplications de son esclave et s'en délectait.

-Viens effectuer ta  dance plus proche de moi, n'hésite pas à te frotter contre ma jambe et je refuse que tu te touches c'est un ordre!

Le supplice allait durer encore un peu plus... Mais, elle pas si horrible que ça car elle comprit que son esclave était dans l'impossibilité de chanter et ne lui ordonna donc plus de chanter. Elle se demandait si son esclave obéirait et puis elle ajouta:

-Si tu veux que je te laisse te soulager, tu dois lécher mon pied en te mettant à quatre pattes alors que choisis-tu?

Amalia se demandait si l'esclave allait désobéir à de tels ordres sous la pression du collier mais il était très important que son esclave soit dressé sexuellement après tout elle était dans une maison de succubes. Oui, c'était elle la maîtresse et elle voulait le montrer.

La mésange bleue ne savais plus quoi faire alors elle cessa difficilement de se toucher et elle se laissa descendre directement sur sa jambe tout en dansant. Bien entendu les esclavagistes avaient eut la bonne idée de lui épiler le pubis. On pourrait croire qu'elle n'avait jamais eut ses menstruation si elle n'avait pas son 95C. Elle continuait de se déhancher mais elle se posa à quatre pattes et bien que des larmes perlaient à ses yeux, elle lécha son pied sensuellement tout en mouvant son bassin dans une danse des plus sensuelles: celle de l'amour. En la léchant elle se goûtait en même temps et elle se trouvait un peu ferreuse mais elle appréciait ce qu'elle avait en bouche. Ses yeux étaient voilés de désirs et elle avait de plus en plus de mal a respirer et elle n'allait pas tarder à atteindre son premier orgasme. Par ordre qu'elle se donna elle même, elle attendait que sa maîtresse ai décidé qu'elle devait venir pour jouir même si cela était de plus en plus dur à chaque minutes qui passait.

"M....Maîtreesssse.... bi.....bientôt ve...veniiiir.... han... han..."

Elle avait sa douce voix assez basse et elle s'éxcitait elle même en s'entendant parler ainsi et elle se mordit sa lèvre inférieure.

La pauvre était tout simplement incapable de tenir debout et descendit bien vite se frotter contre la jambe de sa maîtresse. Amalia apprécia le contact de ce vagin sur sa peau et pouvait sentir la mouille de son esclave.

Puis, la mésange commença lentement mais surement de lécher son pied pendant qu'elle essayait de continuer de danser mais qui évoquait dans la tête d'Amalia des mouvements languissants d'amour. Amalia avait entendu la supplication de son esclave et frotta doucement l'intimité de son esclave avec son autre pied. Elle pouvait sentir le contact de la cyprine.

-Qu'y a t-il? Tu veux te soulager, c'est ça, petite chienne?

Elle était vraiment humide et Amalia s demanda comment elle avait réussit à résister autant sans jouir. Cette esclave avait une redoutable résistance mentale et il faudrait écraser cela.

-Jouis, fais-toi plaisir et jouis sur mon pied et précise que tu ne mérites pas mon pied.


Il fallait anéantir cette résistance dans l'oeuf.

-Tu es encore vierge si je ne m'abuse alors comment se passe ton premier orgasme avec ta maîtresse?

Elle avait lu sur les papiers qu'effectivement son esclave était vierge et 'était un autre gage de qualité qu'elle appréciait car elle aurait toute la volonté de former son esclave au plaisir.

La jeune hybride entendis l'ordre tant attendu et jouis en se répandant sur son pied mais cria de sa voix douce:

"Je ne le mérite paaaaaaaaaaaaaaaaas."

Elle était en sueur, haletante et parcourut de sursauts post-orgasmiques. Elle devait formuler une phrase claire, nette et précise. Puis une fois sa respiration plus calme malgré les sursauts elle répondit:

"Il était magnifique, je suis fière d'être à vous."

Puis elle bailla mais s'empêchait de s'endormir, surtout que sa lui lançais derrière son crâne et elle avait assez mal au point d'avoir une migraine. Son tatouage en forme de patte de chat était bien visible et malgré tout cela elle voulait se sentir bien et rassurée puisque malgré tout son père humain lui manquais même si elle ne la savait pas. Elle se remise debout à l'aide de ses ailes mes ses jambes étaient faibles et elles tremblaient. Ce qui rendait son équilibre peu stable. Elle commençait même à s'endormir debout alors pour se réveiller elle se claqua les joue ses joues rosirent marquant vite et elle regarda Amalia en penchant la tête sur le côté.

"Que puis-je faire pour vous à présent Maîtresse?"

Elle avait se besoin de se sentir redevable.

Amalia sentit jouir son esclave sur son pied et elle entendit distinctement le cri de joie de la mésange bleu. C'était assez contradictoire. Mais, Amalia aperçut que l'esclave était heureuse de cette orgasme. L'esclave la remercia. Et, elle se gifla pour une raison qu'Amalia ne comprenait pas.

-Tu vas ressentir ce genre de sensation encore et encore sinon tu ne serais pas utile dans ma maison. Mais, je suis sur que cela te plaît déjà.

Amalia était un petit peu excitée d'avoir assiter à un tel spectacle de débauche. Le rôle de maîtresse pouvait parfois être dur car il fallait retenir ses pulsions pour une joie plus intense plus tard.

-Dis-moi as-tu déjà pratiqué des rapports sexuelles ou de la masturbation?
Assis-toi donc sur mes cuisses, ma belle. Il est pas bon de se mettre debout après de telle chose. Surtout que tu dois avoir froid. Et comme je te l'ai promis, tu peux te caresser si tu le veux.

Quand Amalia avait à porter de main l'esclave elle commença à lui caresser les cheveux ainsi que le ventre. Elle lui laissait le champ libre pour qu'elle se caresse son intimité et ses seins.

-Touche-toi!

L'ordre était clair, net. Il fallait obéir.

La jeune mésange ne fis que oui de la tête ayant des difficultés à formuler convenablement des phrases et elle finit par se concentrer sur la phrase.

"Non Maîtresse, je n'ai jamais pratiqué de rapport sexuels ou la masturbation. Je souhaitais me préserver pour la personne qui me désirerait."

Elle avait un peu rougit et elle haletait à nouveau puis elle se reposa sur les cuisses d'Amalia, califourchon sur ses genoux. Elle avait cependant un poids très léger au vu du fait que par le passé elle était danseuse donc elle se devait de ne pas être lourde ou prendre un poil de gramme. Elle frissonna quand les premières caresses de sa maîtresse arrivèrent elle haleta un peu de nouveau et comme elle avait reçut l'ordre de se toucher, elle commença par frôler sa poitrine et notamment ses tétons et de son autre main elle caressa son clitoris et elle commença à gémir et à remouiller un peu tout en se déhanchant car elle était assez sensible aux hanches.

Amalia sentit sur ses cuisse la mouille de son esclave, elle laissa sa main descendre et en recueillir puis la goûta.

-Tu as un excellent goût, petite salope. Tu as dit que tu te réservais pour la personne qui te désirerait. Cela ne te dérange donc pas de te toucher devant moi?

Elle caressa les fesses galbés de l'esclave appréciant les formes généreuses du croupion de son esclave. Sa main glissa sur les hanches de la mésange bleue et ressentit son toucher

-Ou peut-être me désire tu ardemment que tu te sens prête à passer le cap avec moi? Veux-tu que je te montre comment faire?

Elle s'extasiait devant le spectacle que lui procurait son spectacle mais l'idée n'était pas de la violer plutôt de lui faire goûter à certains plaisirs.

-Commence donc par m'embrasser mais continue à te toucher...

La jeune mésange se mordillait la lèvre:

"Pour vous je serais prête à tout Maîtresse."

Elle voulait connaître les plaisirs de la chair mais surtout si cela pouvais aussi et avant tout satisfaire sa maîtresse elle en serait ravie. Alors timidement elle répondit dans un souffle chaud:

"Les deux Maîtresse."

Alors elle se pencha sur les lèvres de la jeune succube, soulevant un peu son bassin et son fessier, ses ailes étant replier sur son dos elle se cambrait par réflexe. Elle continuait de se caresser le clito prenant appuie de son autre main pour ne pas perdre l'équilibre. Elle trouvait les lèvre de sa partenaire douces, chaudes et tendres. Elle voulait même les mordiller pour en avoir plus de goût mais elle se retenait car de toute façon ce n'était pas à elle de mener la danse.