Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Faire son marché ... PV

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Ludmilla

E.S.P.er

Faire son marché ... PV

dimanche 01 mars 2009, 10:51:21

Ludmilla parcourut des yeux la liste, soupira en la regardant. Encore des choses chiantes à acheter ... elle n'avait pas vraiment faim, et s'ennuyait à mourir à attendre son tour pour acheter des choses qu'elle n'aimait pas, voir qu'elle détestait. Elle se frotta les mains, regarda autour d'elle. Elle ne connaissait pas cet endroit. NI de vue, ni de nom ... les petites rues l'inquiétaient, les gens la dévisageaient, on la sifflait ... elle fronça les sourcils. Elle était quelque peu perdue ici ... Elle s'arrêta devant un étalage, adressa un sourire au vendeur et fit sa commande.

- Hum ... ça ... Deux kilos ... ah ? Bin non trois alors ... Oui, merci ... Ouah les prix grimp.. Non, rien !

Elle ne se sentait pas en sécurité ici ... elle marcha droit devant elle, ignorant les remarques, ignorant le chemin qu'elle prenait et celui qu'elle prendrait pour revenir ...
"On a tous plus ou moins envie de disparaitre. Où qu’on soit. Et où qu’on aille. Tant que c’est loin, et différent. Alors, moi, quand la nuit vient, quand mes paupières se couchent sur mes orbites, quand je me tourne, me retourne, me détourne sur les draps, quand ma chevelure mord l’oreiller, je deviens une étoile. La plus douce, la plus paisible des étoiles .. Celle qui se pense libre de vagabonder où bon lui semble, quitte à foutre en l’air la galaxie toute entière. Je m'évapore. Je me dissous. Je rejoins le cosmos. Et ne reviens que lorsque mes songes prennent fin."


"Si tu m'apprivoises, je connaitrais un bruit de pas qui sera différent des autres. Le tien m'appellera hors du terrier, comme une musique. Alors, s'il te plait, apprivoises-moi."

Rien à redire.
Rien à ajouter.

Musashi Miyamoto

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Re : Faire son marché ... PV

Réponse 1 dimanche 01 mars 2009, 11:24:55

Musashi était venu faire un tour au marché, face au prix et à la basse qualité des aliments qu'on trouve au centre commercial, peut être qu'ici il trouverait des aliments de qualité et à bas prix... mais il était loin du compte: les produits ne semblaient pas toujour en excellent état, l'origine en était plus que douteux et les prix étaient fou notre homme aurait trés bien put acheté un gros rat rotie alors qu'i voulait faire passer ça pour du lapin par exemple où subir un autre arnaque dans le même genre.

Notre homme rencontra également un marchand d'armes, il vendait différentes lames de toute beauté mais encore une fois le produit n'était que beau en apparence... on voyait que le métal était éffrité à la base à sa jointure avec le pommau de l'arme, un coup avec ça et la lame se barre... Miyamoto aurait à son époque exécuté ce sois-disant forgeron de qualité s'il avait essayé de lui vendre de pareille déchets et produits avec autant d'imprefections.

Alors qu'il faisait son tour, il apperçu une demoiselle qui elle aussi semblait faire son marché, la petite n'avait pas peur de trainer seule dans ces rues avec toute cette racaille qui trainait autour, elle se faisait d'ailleur siffler et plusieurs vautours de mauvais augures l'observaient avec quelques sombres desseins... Miyamoto fronça les sourcils en voyant tout ceci et encore plus en voyant un petit groupe de voyous se mettant à suivre la demoiselle... notre homme décida de la suivre de loin au cas où...

Ludmilla

E.S.P.er

Re : Faire son marché ... PV

Réponse 2 dimanche 01 mars 2009, 11:35:34

La jeune fille sentit sa gorge se serrer quand elle entendit des pas derriére elle. Elle préféra ne pas y prêter attention - aprés tout, il n'y avait pas tellement de dangers , du moins l'espérait t'elle - et continuer à marcher. Elle n'avait que 15 ans ... et elle savait que ses mains tremblaient.

- Hey mademoiselle ? Tu veux de l'aide ?

Elle accelera encore le pas. Surtout, ne pas prêter attention à eux ...

- Bin réponds !!

Elle voulut accelerer mais sentit une main saisir son poignet. l'espace d'un instant, elle voulut hurler, mais aucun son ne sortit de sa bouche. Elle était mal, trés mal ... Elle attrapa son panier et le balança au visage de la personne, avant de partir en courant, ignorant les insultes et les menaces. " Chuimalchuimalchuimaaaaal ". Elle heurta un caillou, s'ecrasa sur le sol, et sentit un main attraper sa cheville.

- Lâchez moi espéce d'enflure !! hurla t'elle.
"On a tous plus ou moins envie de disparaitre. Où qu’on soit. Et où qu’on aille. Tant que c’est loin, et différent. Alors, moi, quand la nuit vient, quand mes paupières se couchent sur mes orbites, quand je me tourne, me retourne, me détourne sur les draps, quand ma chevelure mord l’oreiller, je deviens une étoile. La plus douce, la plus paisible des étoiles .. Celle qui se pense libre de vagabonder où bon lui semble, quitte à foutre en l’air la galaxie toute entière. Je m'évapore. Je me dissous. Je rejoins le cosmos. Et ne reviens que lorsque mes songes prennent fin."


"Si tu m'apprivoises, je connaitrais un bruit de pas qui sera différent des autres. Le tien m'appellera hors du terrier, comme une musique. Alors, s'il te plait, apprivoises-moi."

Rien à redire.
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Musashi Miyamoto

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Re : Faire son marché ... PV

Réponse 3 dimanche 01 mars 2009, 11:55:01

- Lâchez moi espéce d'enflure !!

Entendit Miyamoto de loin alors qu'il continuait de suivre discrétement la jeune femme, il accéléra le pas en entenda cette phrase, il arriva alors dans une petite ruelle mal famé et a l'odeur nauséabonde... il avança un peu plus et vit deux jeunes debout en train d'en observer un troisiéme qui était à genoux penché au-dessus d'une jeune femme celle que notre samouraïe suivait... le jeune l'avait saisit par les cheville et ramené contre lui il tentait décarter ses jambes mais elle se débattait avec force et avec tant d'ardeur qu'il répliqua en la battant violemment... bien qu'il n'était plus mortel et que ce genre de choses ne le regardait plus notre guerrier s'avança d'un pas lent mais serein.

Il marcha dans une flaque d'eau alors qu'il était à peine à quelques métres de la scéne où se passait les évennement l'un des deux jeunes qui était debout entre de se faire plaisir en voyant ça se retourna en direction du bruit qu'avait émit notre protagoniste, il fut alors accueillit d"un violent coup dans les parties et se retrouva projeté contre le mur, le second voulut alors intervenir mais Musashi le saisit par les cheveux et lui fit faire une violente rencontre entre son visage et le mur en brique qui était à sa droite.

Le dernier de cette bande de délinquant se leva alors, il avait la ceinture déboutonné et avait descendu le zip de sa braguette, notre samouraï l'avait interromput alors que celui-ci s'apprêtait à violer la demoiselle qui était resté pétrifié sur le sol et quelque peu ébétté par les coups de son aggresseurs. L'homme sortit alors un couteau et menaça notre guerrier avec celui-ci, Musashi eut un léger sourire en coin quand il vit son opposant chargé il lui laissa même le plaisir de lui enfoncer sa lame dans le bide, du sang se mi alors à couler de notre protagoniste qui avait le couteau planté dans ses cotes sans que celui-ci ne laissa transparaitre la moindre faiblesse ni douleur.

Il se saisit du poignet de son ataquant et le brisa d'un coup sec et tandis que ce dernier se mit à hurler de douleur, Miyamoto délogea la lame qu'il avait encore en lui et vint la planter violemment dans les parties du malheureux qui redoubla d'intensité dans ses cris de douleurs et de supplication avant de sombrer dans l'inconscience tant il avait mal... notre non-vivant observa la plaie sur son corps qui cessa peu à peu de saigner et commençait à cicatriser... une particularité de sa nouvelle vie qu'il avait récemment découvert et à présent il laissait a ses adversaires un coup gratuit: ça l'amusait de voir qu'il ne gardait qu'une légére cicatrice des coups de couteaux ou de griffes...

Mais bref, il redirigea son attention sur la demoiselle dont la poitrine avait été mit à nue par le voyou et qui avait également déchiré sa culotte, il se pencha au-dessus d'elle et l'aida à se relever pour ensuite retirer son manteau roude et long pour l'entourer avec... il lui demana ensuite de sa voix grave et impitoyable:


"Est-ce que ça va aller?"

Ludmilla

E.S.P.er

Re : Faire son marché ... PV

Réponse 4 dimanche 01 mars 2009, 12:17:49

Un moment de parfaite innatention, de secousses effroyables, de peur ... comme si elle revivait la scéne qu'elle avait vécue avec Don. Elle était rouée de coups, mais résistait fidélement et méchamment. Il lui avait arraché le haut de sa robe, et elle lui avait collée une gifle. Elle s'était battue a sa façon, en criant, frappant et iinsultant, mais ce jeune homme avait la main lourde et ses coups lui faisaient mal. Et puis a un moment où elle allait tout laisser tomber, dépassée par les événements et tout ce qui s'ensuivait et qu'elle ne pouvait pas suivre, la jeune fille entendit un bruit, et son assaillant aussi. Elle avait les yeux embués de larmes, le coeur battant, et la peur qui lui donnait envie de vomir ... Mais à cet instant précis, elle se savait sauvée.

Un homme, assez grand et fort, était là. Pour l'aider. Elle n'avait pas bien suivie la bataille, ses oreilles bourdonnants a cause des hurlements inhumains. Sa tête lui tournait. Elle se savait certes sauvée, mais aussi mise à nue quasiment. Elle voulu se relever et passa sa main sur son front. Elle saignait méchamment ...

" Est ce que ça va aller ? "

Elle regarda l'homme. Sa main. L'homme. Sa main. L'homme.

" Je ... Je ne crois ... pas "

Elle s'écroula sur le sol.
"On a tous plus ou moins envie de disparaitre. Où qu’on soit. Et où qu’on aille. Tant que c’est loin, et différent. Alors, moi, quand la nuit vient, quand mes paupières se couchent sur mes orbites, quand je me tourne, me retourne, me détourne sur les draps, quand ma chevelure mord l’oreiller, je deviens une étoile. La plus douce, la plus paisible des étoiles .. Celle qui se pense libre de vagabonder où bon lui semble, quitte à foutre en l’air la galaxie toute entière. Je m'évapore. Je me dissous. Je rejoins le cosmos. Et ne reviens que lorsque mes songes prennent fin."


"Si tu m'apprivoises, je connaitrais un bruit de pas qui sera différent des autres. Le tien m'appellera hors du terrier, comme une musique. Alors, s'il te plait, apprivoises-moi."

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Musashi Miyamoto

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Re : Faire son marché ... PV

Réponse 5 dimanche 01 mars 2009, 12:39:16

" Je ... Je ne crois ... pas "

Elle s'écroula mais il la rattrappa juste avant que sa tête ne percute le sol ce qui aurait put faire de sacré dégats supplémentaires à cette pauvre petite, il était à présent debout avec une jeune fille enroulé dans son manteau et qu'il portait sans aucun soucis dans ses bras... que pouvait-il bien en faire? Il ne pouvait se rendre dans des endroits publiques tel que les hopitaux ou bien un commissariat, lui qui n'avait pas de papiers d'identité et qui aurait certainement des ennuis avec ce qu'il avait fait subir à ces trois jeunes bien qu'ils avaient tenté de violer la jeune femme aprs tout ce serait sa parole contre la leur.

Il ne lui resta alors plus qu'une solution... plus tard la jeune demoiselle se réveilla dans un lit enveloppé dans de couce et épaisse couverture en peau d'animal, il y avait face à elle une cheminé avec un feu qui crépitait et envellopait la piéce d'une douce chaleur ennivrante, et devant ce feu se trouvait un fauteuil sur lequel quelqu'un était assit, elle ne pouvait pas voir qui c'était... Musashi était cet homme, il buvait une boisson sucré, un diabolo grenadine qui était une boisson qu'il avait découvert depuis peu mais dont il était totalement dingue, il lisait également une oeuvre philosophique dont il se servait d'exemple pour ses cours.

La piéce était vaste mais sombre, éclairé seulement par le feut de la cheminé, la jeune femme et Miyamoto était dans la chambre de celui-ci, elle reposait dans un list caste et confortable qui lui réchauffait certainement le coeur aprés ce qu'elle avait subit tandis que la piéce était lugubre. L'inconnue n'avait pas été déshabillé mais posé dans ce lit tel que Musashi l'avait découvert dans cette ruelle bien qu'il avait retiré ses soulliers, mais rien de plus... il attendait paisiblement qu'il se réveille pour savoir quoi faire d'elle, pu=our qu'elle lui dise si elle voulait qu'il la dépose chez elle, ou dans un hospital ou il ne savait trop quoi d'autres... en tout cas étant dos à elle il ne la verrait pas se réveiller...

Ludmilla

E.S.P.er

Re : Faire son marché ... PV

Réponse 6 dimanche 01 mars 2009, 13:07:30

Un baillement ... la jeune fille ouvrit les yeux. Puis fut prise d'un tremblement. Où était-elle ? Que ... Elle n'osait pas remuer dans ce lit, tentant de se remémorer les événements de la veille. Elle s'en souvint rapidement, tandis qu'elle rougissait en se mordant la lèvre inférieure. Elle se souvenait avec difficulté. Mais elle ne savait toujours pas où elle était. Elle se tourna doucement sur le côté, et manqua de pousser un cri. Qui ... Ah oui ! Elle passa sa main sur son front, doucement, et fixa son dos. Un homme, grand, qui s'était battu pour l'aider. Elle était tombée dans les pommes ... Elle passa sa main sur son front. Plus aucune goutte de sang. Elle poussa un long soupir de soulagement.

" Bon ... je fais quoi maintenant? songea t'elle, la gorge séche "

Elle se releva doucement, la couverture ramenée contre elle.

- Mon ... monsieur ? Je ... soif ... s'il vous plait ...
"On a tous plus ou moins envie de disparaitre. Où qu’on soit. Et où qu’on aille. Tant que c’est loin, et différent. Alors, moi, quand la nuit vient, quand mes paupières se couchent sur mes orbites, quand je me tourne, me retourne, me détourne sur les draps, quand ma chevelure mord l’oreiller, je deviens une étoile. La plus douce, la plus paisible des étoiles .. Celle qui se pense libre de vagabonder où bon lui semble, quitte à foutre en l’air la galaxie toute entière. Je m'évapore. Je me dissous. Je rejoins le cosmos. Et ne reviens que lorsque mes songes prennent fin."


"Si tu m'apprivoises, je connaitrais un bruit de pas qui sera différent des autres. Le tien m'appellera hors du terrier, comme une musique. Alors, s'il te plait, apprivoises-moi."

Rien à redire.
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Musashi Miyamoto

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Re : Faire son marché ... PV

Réponse 7 dimanche 01 mars 2009, 13:25:42

- Mon ... monsieur ? Je ... soif ... s'il vous plait ...

Musashi déposa son verre ainsi que son livre pour ensuite se lever et rejoindre la jeune femme qui était resté blottit dans la couverture, il s'approcha d'elle pour observer la blessure sur son front, elle en garderait une vilaine trace mais au moins elle ne saignait plus, c'était déjà ça de prit, il recula alors l'observant de ses yeux vides et sans aucune compassion.

Non pas qu'ils se moquait de son sort ou de ce qu'elle venait de lui dire mais il avait, depuis sa réincarnation dans ce corps, un regard peu expressif qui pouvait faire penser à un zombie bien qu'il ne l'était pas! Quoi qu'il correspondait un peu à la définition du mort vivant étant mort alors qu'il était en vie... il était ni l'un ni l'autre mais les deux à la fois! J'expliquerais ce détails une autre fois pour vous éviter le mal de crane...

Bref, il était la devant une adolescente dont il aurait put être le pére voir même plutot le grand pére ou l'arriére arriére arriére arriére... grand pére. Elle lui demandait à boire, pourquoi pas cela lui ferait le plus grand bien et il avait déjà prévu cette éventualité si elle se réveillait, il y avait une grande cruche d'eau du une petite table a proximité avec un verre vide qu'il remplit avec l'eau fraiche de la cruche puis il lui tendis le verre d'un geste amical.


"Tenez."

Notre homme ne portait pas le manteau rouge qu'il quittait rarement, celui-ci était posait sur une chaise dans un coin de la piéce, Musashi portait alors un tee-shirt sans manche noir ainsi qu'un pantalon tout aussi sombre et en cuir tané de taureau... il l'avait réalisé lui même dans un art traditionnel de son temps et qu'une qualité fabuleuse, un pantalon a l'apparence soble mais d'un grande élégance et doux au toucher.

Ludmilla

E.S.P.er

Re : Faire son marché ... PV

Réponse 8 dimanche 01 mars 2009, 14:36:01

Ludmilla attrapa le verre silencieusement. Cet homme l'intriguait. Il avait un regard froid, vide ... elle voulait essayer de détailler ces yeux, mais ... elle serait passée pour une folle, une tarée, si elle n'avait pas cesser de la fixer pour essayer de determiner son regard. Vraiment, il était du genre étrange. Comme s'il ne ressentait rien du tout. Comme s'il était mort. Elle vida le verre d'un seul coup, essayant de ne plus penser à ça. " Difficile ... " Chaque fois qu'elle levait les yeux, elle tombait sur les siens, et assitôt rebaissait la tête. " Il n'y a rien dans ses yeux ... "

- Mer ... erci ... Monsieur ... balbutia t'elle en voulant reposer le verre par terre.

Mais le choc du coup de poing qu'elle s'était prise l'etourdissait encore. Elle retomba en arriére sur le lit, avec une respiration saccadée.  Ce souvenir était encore trop dur ... trop difficile à surmonter ...
"On a tous plus ou moins envie de disparaitre. Où qu’on soit. Et où qu’on aille. Tant que c’est loin, et différent. Alors, moi, quand la nuit vient, quand mes paupières se couchent sur mes orbites, quand je me tourne, me retourne, me détourne sur les draps, quand ma chevelure mord l’oreiller, je deviens une étoile. La plus douce, la plus paisible des étoiles .. Celle qui se pense libre de vagabonder où bon lui semble, quitte à foutre en l’air la galaxie toute entière. Je m'évapore. Je me dissous. Je rejoins le cosmos. Et ne reviens que lorsque mes songes prennent fin."


"Si tu m'apprivoises, je connaitrais un bruit de pas qui sera différent des autres. Le tien m'appellera hors du terrier, comme une musique. Alors, s'il te plait, apprivoises-moi."

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Musashi Miyamoto

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Re : Faire son marché ... PV

Réponse 9 dimanche 01 mars 2009, 15:28:32

- Mer ... erci ... Monsieur ...

Il l'observait sans dire un mot, ses méches dissimulaient un peu son visage et lui donnait un côté ténébreux et encore plus mystérieux qu'il ne l'était déjà ainsi vêtu... la demoiselle semblait encore épuisé par ce qu'elle avait subit au point qu'elle se laissa retombé en arriére sur le lit avec le souffle haletant, notre homme ne savait trop quoi faire il était professeur de philosophie et pas psy ou infirmiére même si il avait quelques notions dans les deux matiéres mais pas suffisalement pour savoir quoi faire en cet instant, elle souffrait et seul le temps pouvait vraiment y changer quelque chose... aussi lui dit-il:

"Vous pouvez rester tant que vous le voulez, quand vous vous sentirez apte je vous raccompagnerais chez vous... si vous avez besoin de quelques chose n'hésitez pas..."

Puis il la laissa là sur le lit, il retourna prés de son fauteuil pour recupérer son verre mais laissa le livre à la page qu'il était en train de lire, il salua la jeune femme et sortit de la piéce se rendant dans une autre partit de ce petit manoir, vi Musashi avait récupérer cette maison en périphérie de la ville apparemment elle avait appartenu à ses descendants et il peut la récupérer pour une bouché de pain... un maison avec de trés nombreuses piéces et beaucoup d'espace: il y avait 5 ou 6 chambres, deux salle de bains, une cuisine immense, un salon, une salle à manger, un séjour et d'autres piéces annexes et indispensable...

Il se rendit pour sa part à la cuisine qui se trouvait au rez de chaussé, il descendit les marches d'un pas lent puis traversa le hall d'entrée, la salle à manger et arriva enfin dans les cuisines, il y déposa son verre vide et se mit à se préparer un petit casse croute il décida donc de se découper un morceau de boeuf séché qu'il alla ensuite manger dans le salon tout en regardant dans le vague attendant toujour ses fameuses réponses qui ne viendrait sans doute jamais.

Il y avait, tout comme dans la chambre, trés peu de lumiéres, les teintes étaient sombre et il y avait de la moquette pleine de poussiére un peu partout, cela faisait penser à une vieille maison abandonné bien qu'elle était habitait tout de même par une âme errant sur le monde d'aujourd'hui... il n'y avait aucune couleur chaleureuse mais de nombreux portrait et objets de collections anciens un peu partout... dans le salon qui avait également une cheminé il y avait un magnifique portrait de Musashi Miyamoto au-dessus de la cheminé, c'était un portrait de sa premiére vie où il ne ressemblait pas vraiment au corps qu'il avait en ce jour... son nom était gravé sur le cadre de la peinture mais une fine couche de poussiére rendait le nom de "Musashi Miyamoto illisible...

Ludmilla

E.S.P.er

Re : Faire son marché ... PV

Réponse 10 dimanche 01 mars 2009, 15:53:51

Qu'il était froid ... Elle eut un tremblement qui lui parcourut l'echine. La peur, la hantise ... Elle se redressa doucement, se plaçant sur le lit en tailleur, calmement. Elle ne savait pas tellement où elle était, avec un homme relativement plus vieux qu'elle. Il était agréable a regarder, et semblait quelque peu cultivé, et bien élevé. Elle replia la couette sur ses épaules, regardant sa robe déchirée. " Fichue ... " C'était sa rbe préférée ... C'était étrange comme il était mystérieux. Comme un de ces chanteurs qui fait le fantasme des jeunes femmes. " Non ... pas comme ça , se corrigea t'elle. Plutôt comme un homme que l'on croise et auquel on pense toute la soirée "

Elle descendit du lit sur la pointe des pieds, attrapa le manteau du garçon, aprés tout elle ne pouvait pas de balader avec une robe déchiquetée dans toute la maison, et poussa la porte. Où était-il passé ? Elle décida de se repérer au bruit. Elle descendit les escaliers, jetant un oeil curieux. IL était là ... Elle donna un coup dans une toile d'araignée, et resta assise sur les marches, elle le regarda. Puis décida d'entamer la conversation. Avec ce visage innocent, comme une enfant, et cette voix fine et fragile ...

- Dites moi ... C'est pour séduire, ou parce que vous êtes comme cela habituellement, que vous êtes si froid ? Vous faites presque peur.
"On a tous plus ou moins envie de disparaitre. Où qu’on soit. Et où qu’on aille. Tant que c’est loin, et différent. Alors, moi, quand la nuit vient, quand mes paupières se couchent sur mes orbites, quand je me tourne, me retourne, me détourne sur les draps, quand ma chevelure mord l’oreiller, je deviens une étoile. La plus douce, la plus paisible des étoiles .. Celle qui se pense libre de vagabonder où bon lui semble, quitte à foutre en l’air la galaxie toute entière. Je m'évapore. Je me dissous. Je rejoins le cosmos. Et ne reviens que lorsque mes songes prennent fin."


"Si tu m'apprivoises, je connaitrais un bruit de pas qui sera différent des autres. Le tien m'appellera hors du terrier, comme une musique. Alors, s'il te plait, apprivoises-moi."

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Musashi Miyamoto

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Re : Faire son marché ... PV

Réponse 11 dimanche 01 mars 2009, 16:10:53

- Dites moi ... C'est pour séduire, ou parce que vous êtes comme cela habituellement, que vous êtes si froid ? Vous faites presque peur.

Musashi se retourna en direction de la demoiselle comme surprit par sa présence lui qui était en pleine réflexion puis constatant qu'elle là assise sur les marches avec son manteau sur le dos il se réinstalla confortablement dans son fauteuille observant le vide droit devant lui et laissant place à un silence de mort, il faisait penser un peu à ces vieux sages qui réfléchissent avant de sortir nimporte quoi et qui prenne le temps de jauger chacune des paroles qu'ils s'apprêtent à prononcer puis finallement il dit:

"On ma déjà dit que je faisais peur... certains avait raison de ressentir cela, mais d'autres, comme vous, n'ont aucune raidon de me craindre.  Si je suis si froid c'est parce que c'est dans ma nature..."

Il détourna légérement le regard dans la direction de la demoiselle, son regard rouge vif réflêtant en plus de cela les flammes du feu de cheminés et donnant à ses yeux un effet hypnotiques mais aussi effrayant... il détourna à nouveau le regard pour regarder droit devant lui, il ne cherchait pas à lui faire peur mais il était comme ça: solitaire et froid et c'était encore pire depuis quelques temps, cette demeurre semblait le rendre encore plus terne et pâle qu'à son habitude alors que lui si sentait bien au contraire.

Un nouveau silence s'installa mais celui-ci fut de courte durée, notre homme désirant profiter de la présence de la demoiselle et ayant une nature curieuse se décida à poser une ou deux question à celle-ci, aussi il ouvrit la bouche et dit lentement de sa voix grave et entrainante à l'attention de son invitée:

"Vous devriez faire plus attention, les rues ne sont jamais trés sûre... que faisiez vous toute seule dans ce quartier mal famé? N'avez vous pas peur d'être aggressé?"

Ludmilla

E.S.P.er

Re : Faire son marché ... PV

Réponse 12 dimanche 01 mars 2009, 17:52:54

Ludmilla referma le manteau , le resserant. Hum ... la réponse était assez satisfaisante, mais il n'était pas d'une nature bavarde, cela se voyait nettement. Elle recoiffa ses cheveux en passant ses doigts dedans, ne réagissant pas tout de suite à la question qu'il venait de poser. " On dirait un vampire ... " Elle se reinstalla plus aisement sur la marche, le regardant à peine, prise de peur à cause de ses yeux.

- Hum ... Je ne connais pas bien ce lieu. Je le connais même trés peu. Pas du tout. Je sais que les rues sont mal famées, ma vie me l'a bien fait comprendre. Disons que mon apprentissage à débuté dans le lit d'un de ce genre de gars, et que je n'en suis pas sortie indemne . Alors evidemment, je me disais que plus rien ne pouvait m'arrivait, aprés ce viol qui m'a nettement tuée de l'interieur. Je n'avais pas peur. Mais aprés ce rendez vous surprise, j'avoue qu'il me faudra être plus méfiante à l'avenir.

Elle eut une moue gênée, un instant. Déballer ses souvenirs, ce marchand d'esclave et tout ce tralala dont elle n'était pas fiére ...  ça ne lui plaisait guére.

- Mais ... pourquoi êtes vous si froid ? pourquoi est-ce votre nature ? J'ai vécue des choses que je n'aurais pas dû vivre et pourtant ... je ne suis pas si froide ... les gens froids m'ont toujours intrigués ...
"On a tous plus ou moins envie de disparaitre. Où qu’on soit. Et où qu’on aille. Tant que c’est loin, et différent. Alors, moi, quand la nuit vient, quand mes paupières se couchent sur mes orbites, quand je me tourne, me retourne, me détourne sur les draps, quand ma chevelure mord l’oreiller, je deviens une étoile. La plus douce, la plus paisible des étoiles .. Celle qui se pense libre de vagabonder où bon lui semble, quitte à foutre en l’air la galaxie toute entière. Je m'évapore. Je me dissous. Je rejoins le cosmos. Et ne reviens que lorsque mes songes prennent fin."


"Si tu m'apprivoises, je connaitrais un bruit de pas qui sera différent des autres. Le tien m'appellera hors du terrier, comme une musique. Alors, s'il te plait, apprivoises-moi."

Rien à redire.
Rien à ajouter.

Musashi Miyamoto

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Re : Faire son marché ... PV

Réponse 13 dimanche 01 mars 2009, 18:33:46

- Hum ... Je ne connais pas bien ce lieu. Je le connais même trés peu. Pas du tout. Je sais que les rues sont mal famées, ma vie me l'a bien fait comprendre. Disons que mon apprentissage à débuté dans le lit d'un de ce genre de gars, et que je n'en suis pas sortie indemne . Alors evidemment, je me disais que plus rien ne pouvait m'arrivait, aprés ce viol qui m'a nettement tuée de l'interieur. Je n'avais pas peur. Mais aprés ce rendez vous surprise, j'avoue qu'il me faudra être plus méfiante à l'avenir.

C'est donc cela... il comprenait mieux à présent, pourtant s'étant déjà avaoir une premiére fois elle aurait dut par la suite retenir la leçon peut être était-elle un peu naïve dans le fond pour risque sa jolie peau une seconde fois, en tout les cas celui qui l'avait violé n'était qu'un vile salopard, Musashi ne comprenait pas comment on pouvait faire cela à une femme! Il fallait réellement avoir l'esprit tordu et être un véritable malade mental, pour Miyamoto c'est le genre d'hommes qui méritent de se faire castrer et qu'on les laisse pourir sous le soleil ardent dans un désert étouffant mais il ne pouvait s'occupait de tout les violeurs de la terre ceux qu'ils croisaient ça faisait déjà pas mal et puis il y en avait temps des hommes infâmes...

- Mais ... pourquoi êtes vous si froid ? pourquoi est-ce votre nature ? J'ai vécue des choses que je n'aurais pas dû vivre et pourtant ... je ne suis pas si froide ... les gens froids m'ont toujours intrigués ...

"Hum...?"

Miyamoto resta silencieux une nouvelle fois, que pourvait-il répondre? il ne pouvait pas lui dire qu'il était mort il y a plus de 4 séiacles et que la personne qui était avec elle n'était autre qu'un vieux samouraï réincarné pour une raison qui lui était inconnue, dans un but tout aussi inconnu et qu'en plus de cela il bénéficiait de donc particuliers comme la télékinésie ou bien la régénération cellulaire ou encore l'immortalité. Mais il ne voulait pas lui mentir non plus, c'était un homme juste qui n'avait pour habitude de mentir et qui n'aimait d'ailleurs que la franchise poussait à l'absolu, ou du moins tant qu'elle ne pouvait causer de dégats. Aussi finit-il par dire:

"C'est... quelque peu compliqué mais regarder cette demeurre tout d'abords... un homme vivant seule dans une maison comme celle-ci ne peut^que ressentir un vide en lui... sachez simplement qu'ici est peut être le seul endroit où vous ne craindrez jamais rien... je ne peux vous dire mieux que cela."

Ludmilla

E.S.P.er

Re : Faire son marché ... PV

Réponse 14 dimanche 01 mars 2009, 18:41:20

Ludmilla eut un petit regard ( Genre le chat dans Schrek :D ) pour l'homme. Elle se triturait la peau des doigts depuis tout à l'heure, en l'ecoutant, en le regardant réfléchir. Elle ne savait pas trop quoi dire en cet instant précis ...  Elle se contenta de se rapprocher de lui et de s'asseoir en tailleur à coté de son fauteuil, en manquant de glisser à cause de la longueur du manteau.

- Je ne vous envie pas, je ... vous ne devez pas avoir une vie facile, hein ? Enfin, je ne sais pas trop quoi dire ... Je suppose que les gens mystérieux ne doivent pas tout dire, pour ainsi rester mystérieux. Comme les magiciens qui ne doivent pas dévoiler leurs secrets.

Elle eut un petit sourire attendrissant envers lui, et ne put s'empêcher de passer sa main ( a elle )sur sa joue ( a lui ). Et quand elle s'en rendit compte, elle recupera in extremis sa main.
"On a tous plus ou moins envie de disparaitre. Où qu’on soit. Et où qu’on aille. Tant que c’est loin, et différent. Alors, moi, quand la nuit vient, quand mes paupières se couchent sur mes orbites, quand je me tourne, me retourne, me détourne sur les draps, quand ma chevelure mord l’oreiller, je deviens une étoile. La plus douce, la plus paisible des étoiles .. Celle qui se pense libre de vagabonder où bon lui semble, quitte à foutre en l’air la galaxie toute entière. Je m'évapore. Je me dissous. Je rejoins le cosmos. Et ne reviens que lorsque mes songes prennent fin."


"Si tu m'apprivoises, je connaitrais un bruit de pas qui sera différent des autres. Le tien m'appellera hors du terrier, comme une musique. Alors, s'il te plait, apprivoises-moi."

Rien à redire.
Rien à ajouter.


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