Une nuit littéraire [Pv compte d'Aphrodite]

Le soleil finit sa tournée, pour se coucher, donnant au ciel des couleurs chaudes, qui donna un aspect magnifique à la voute céleste. Des pas marchèrent dans les longs corridors du lycée, qui se révéla être ceux du lycéen timide, qui allait à la bibliothèque pour faire des recherches sur Molière, à travers ses œuvres. Son professeur de littérature lui avait donné cinq romans écrit par la main du maître des mots, à lire puis à résumer devant la classe. Le professeur voulait que Akira s'ouvre aux autres, pour enlever un peu de sa timidité négative.

* J'espère que les livres n'ont pas été empruntés, sinon je cours droit dans les ennuis. j'aimerai bien qu'il y'ait personne pour ne pas être distrait.*

Le lycéen posa sa main sur la garde dorée pour l'ouvrir dans un cliquettement métallique. Il pénétra dans la réserve avant de chercher le nom des bouquins. Il les trouva avec succès, puis il s'assit sur la table et commença sa lecture intensive, puis feuilleta le livre, pour se replonger à nouveau dedans. La fatigue se fit apercevoir après quelques heures, et ses paupières commencèrent à se fermer, pour finalement tomber dans un sommeil profond. Il poussa quelques cris, avant de se débattre dans son sommeil, faisant tomber les livres dans un bruit sourd, alors qu'il étala ses bras, avant de poser son visage contre la table.

" J'en...peux...plus...!"

Le garçon bava sur la table, avant de fermer définitivement ses paupières, alors que la porte de la bibliothèque s'entrouvrit.

"Je vois ça oui."

Répondit la voix narquoise de l'infirmière qui s'avançait dans la réserve de la bibliothèque, il était tard et les cours étaient fini, Akira avait dormi pendant un paquet de temps. Nasira était restée après les cours pour disons...S'adoner a du soutiens extra scolaire avec quelques jeunes étudiantes. Elle avait été rapidement déçue, car il était évident vu les cris des jeunes femmes qu'elles n'étaient pas interessée par ce qu'elle leur faisait. Et elles ne durèrent pas plus de quelques minutes avant de jouir...Les jeunes aujourd'hui...que de la frime et rien dans le pantalon. Ils n'apprennaient plus rien a l'école. Heureusement que le lycée de Seikusu existait pour enseigner a ces jeunes gens les bonnes valeurs de l'humain : procréer, et bien procréer. L'infirmière et Aphrodite ne l'avaient pas oublié, et alors que Nasira restait là avec plein de désir encore a faire partager, ce désir d'apprendre, elle avait par la suite ressenti une aura dans la bibliothèque où il était sensé n'y avoir personne et était monté, bien décidée a finir ce qu'elle avait commencé, et déterminée au possible.

Car peu lui importait la nature de ce qui était en haut, homme, femme, démon, monstre, elle le sauterais. Cette aura lui était suffisante en elle même, elle arriva devant la porte de la bibliothèque, évidement fermée. Nasira fit un geste simple et la porte s'ouvrit. Elle n'avait pas besoin de clef pour aller où elle voulait, elle se dirigea vers la reserve et s'avança sans bruit pour contempler le jeune garçon endormi. Elle posa les mains sur ses hanches et le jaugea. Elle sentait en lui une frustration sexuelle immense, surement un petit puceau en quête de sexe ou qui n'avait jamais pu assouvir ses désirs. L'infirmière gloussa silencieusement, elle allait s'amuser un peu a ses dépend, elle récupéra quelques un des magasines porno du bibliothécaire et chuchotta aux oreilles d'Akira les mots de sommeil profond. Une fois endormi, elle remplaça ses livres par les actuels, grand ouverts sur les images les plus osées avant de reprendre calmement sa place...puis de venir en pensant que ça n'était pas assez avant d'ouvrir la braguette d'Akira, et poser sa main a demi a l'interieur. Voilà, là c'était plus "flag" le jeune homme allait surement adorer...Nasira repris donc sa place et se remit en tête de faire mine d'arriver et interpeler Akira comme précédement montrer au début du topic, levant le sort quelques secondes avant ça, car sinon, elle aurait pu faire tout le bruit qu'elle voulait...Akira aurait dormi jusqu'a l'heure de sa mort.

"Je vois ça oui."

On revenait donc au début du sujet alors qu'elle tirait Akira par le col et lançait un coup d'oeil a ses lectures avant de tourner un visage malicieux vers lui

"Je vois que tu exploite a bon escient le potentiel de notre bibliothèque."

Fit Nasira, c'était une jeune femme noire de plus de vingt cinq ans aux formes plus qu'agréables et voluptueuses, elle portait des lunettes, un pull a col roulé orange, une jupe noire et des bas resille, des talons aiguilles et sa blouse d'infirmière, elle avait des cheveux longs ramenés en catogant et des yeux verts. Elle lança a Akira en croisant les bras sur sa poitrine et lui lança d'un ton accusateur

"Tu te tripottait mon salaud?On va voir ce que la direction va avoir a dire a propos de ça."

Lança l'infirmière d'un ton placide

Quand il entendit le "Je vois ça oui!", le gamin se réveilla en sursaut et fut surpris de voir sa main dans un endroit assez osé de son anatomie. Une jeune femme aux cheveux noir d'ébène le prit par le col avant de jeter un regard en simultanée avec l'adolescent sur les revues pornographiques remplies de cochonneries pour les yeux d'Akira. Sur la double page, figurait deux femmes dans des tenues sadomasochistes, et la réaction se fit dans son pantalon.

" Ce n'est pas mes livres! Quelqu'un à du en profiter pendant que je dormais!"

Le garçon en pleurait, à l'idée d'aller voir le directeur dans cette tenue, tandis que son sexe était en érection. Il pensait que le petit plaisantin qui avait fait ça était vraiment doux dans ses gestes car il avait rien senti. Quand sa vue se posa sur celle de l'infirmière dans une tenue assez sensuelle, la femme qui l'emmenait droit vers son exclusion dans le lycée semblait se situer dans la trentaine d'âge. C'est à cette pensée que son sang fit un tour dans ses veines, car Akira aimait plus que tout mater les femmes plus âgées.

" Je ne me tripotai pas, sinon j'aurai pas fait ici!"

Voyant que la vérité ne marchait pas avec l'infirmière, il décida donc de s'expliquer devant le directeur mais avant il refermerait sa braguette pour qu'il y ait aucun soupçon. n'ayant aucune preuve de ce qu'il avançait, le garçon mit son manche sur ses larmes pour les enlever, puis il décida de prendre un regard sérieux pour éviter toute exclusion. N'empêche, le lycéen jeta un regard sur les jambes de l'infirmière qui se révélait magnifique.

Nasira regarda le geignard pleurnicher sur son sort. Elle allait devoir lui montrer rapidement qu'un vrai mec ne pleurnichait pas. A vrai dire, elle ne s'attendait pas a ce qu'Akira se tourne vers elle la queue a l'air et lui sorte "Ouais et alors?" (Bien que ça lui aurait très certainement plu comme attitude) avant de regarder le pitoyable vert de terre qu'elle avait devant elle...Bah, elle avait la soirée pour transformer ce couard pleurnichard en veritable bête de sexe. Même si l'infirmière pensait que ça allait prendre du temps. Nasira haussa un sourcil sarcastique alors qu'il tentait tant bien que mal d'expliquer l'inexplicable, Nasira lança avec un ton des plus serieux

"Ben voyons!C'est quelqu'un qui est venu pendant que tu dormais qui a apporté tous ces bouquins pornos et t'a mis la main dans ton pantalon peut être?"

Fit Nasira en rigolant interieurement car c'était exactement ce qui s'était passé. Nasira regarda Akira et lui assena un bon petit coup sur l'arrière du crâne quand il mata ses jambes et lui lança

"Tu es bon pour l'exclusion, pervers. Donne moi une seule bonne raison de ne pas te trainer dans le bureau du directeur, larmes ou pas, tu n'y coupera pas!"

Cria l'infirmière

"Assume tes actes comme un homme."

Quand elle lui rétorqua que une personne avait tout remplacée par des revues érotiques, et qu'elle avait glissée une main dans son caleçon, le garçon se doutait certainement pas que ce soit la personne qui l'avait découverte qui était la coupable. L'infirmière lui fit une tape à la tête pour lui calmer ses ardeurs, et qu'il arrête de mater ses jambes. Nasira lui demanda pour quelle raison, elle ne l'amènerait pas dans le bureau du directeur, et le garçon chétif savait pas quoi dire mais une idée lui trottait dans la tête.

"Ben...si...vous...êtes...en...manque...de...plaisir...sexuel...je...veux...bien...vous...comblez..."

Le garçon ne savait pas où se mettre, le pire scénario fut déjà imaginé dans son esprit. Akira avait peur qu'elle rapporte au directeur ses avances, afin qu'elle s'en serve contre lui pour l'exclure. Rien que d'y penser, ceci lui donna la chair de poule, à l'idée de dire à ses parents qu'il s'était fait exclure parce qu'il s'était fait découvert en se masturbant. Ses parents en riraient un bon coup, mais il ne préférait pas imaginer la sanction. Quand elle parla d'assumer ses responsabilités comme un homme, c'était ce qu'il venait de faire à l'instant, mais le garçon chétif ne le savait pas encore.

" Assumer...?"

Le lycéen profita de cette pause pour finir de remettre sa braguette avant qu'elle le prenne à nouveau par le bras, pour qu'il s'explique au directeur...

Incroyable. Ce petit mec de rien du tout avait finalement les couilles de lui dire un tel truc après la crise de larmes qu'il venait de faire?Nasira se serait bien amusée a lui lancer un sort pour que son désir sexuel ne se tarisse jamais, qu'il continue a avoir envie après avoir joui des centaines de fois jusqu'a ce qu'il meure de déshydratation, mais il semblait tellement en avoir envie que ça ne serait pas nécéssaire, si elle l'ensorcelait comme ça il allait définitivement tenter de la violer et ça serait vraiment un spectacle des plus pathétiques jamais observé. Elle n'avait pas peur de le dire. Akira était une telle lavette qui allait surement être bon a rien d'autre qu'a se masturber sur sa jambe. Nasira eut un sourire mauvais

"Espèce de petit prétentieux. Tu crois pouvoir me combler sexuellement toi?Le pervers qui a rien de mieux a faire que de gacher son foutre sur des revues cochones?"

Elle y allait pas de main morte non plus, elle le secoua un peu

"Tu as une sacrée paire de couilles pour me dire une chose pareille, je te plait mon cochon?C'est vrai qu'une vraie fille en trois dimension doit être plus bandante qu'un tas de professionelles du X couchées sur papier."

Elle le renvoya contre la table

"J'ai décidé de ceci. Je ne dirais rien."

Fit Nasira en souriant avant de pointer du doigt Akira

"Mais a présent et jusqu'a la fin de ta scolarité, tu sera mon chien. Et tu obeira au moindre de mes ordres. C'est compris?"

La jeune infirmière qui excitait le gamin était étonné de la demande qu'il venait de dire, et c'est à ce moment là que Akira crut qu'il avait finalement réussi le test, mais quand son regard vit le sourire mauvais de son interlocutrice, il savait qu'il était perdu. Lorsqu'elle le traita de petit prétentieux, et qu'elle lui fit la remarque de sa précédente situation en rapport avec le sexe, Erikawa rougissait et cria de toute ses forces.

" Ce n'est pas moi! Je ne pense pas vous combler sexuellement mais je peux au moins vous remplir de ma semence! C'est vrai que j'ai pas un corps d'athlète!"

Tout d'un coup, elle le jeta violemment sur la table avant de le pointer du doigt avec un sourire machiavélique. Nasira lui fit une remarque qui lui plut, c'est vrai que c'était mieux en 3D qu'en 2D, même si le gamin n'avait rien à faire dans cette histoire de revue pornographique. Son échange était équivalent, il devait être son esclave jusqu'à la fin de sa scolarité, l'infirmière devait simplement lui demander de l'aide pour son travail donc il accepta un peu trop vite.

" Oui je veux bien! Mais qu'est ce que je ferai sous vos ordres ?"

Le garçon avait parlé trop vite, se jetant dans un piège à découvert. Mais cela en valait vraiment la peine car il pourrait poursuivre ses études, si elle en lui laissait le temps. Erikawa continua de contempler cet être divin qu'il qualifiait de divin car tout était parfait chez elle, comme Aphrodite la déesse de l'amour. Une chose était sure, le lycéen avait la gaule pour l'infirmière et l'avait elle peut être remarquée.

Lache jusqu'au bout. Akira était décidement un chien né, il ne remarquait même pas quand il s'enfonçait ce porc!Comme si il fallait être un dieu pour la remplir, c'était donné au premier crétin venu, elle pouvait le faire jouir rien qu'en le regardant dans les yeux et mouiller son pantalon si elle le souhaitait. Alors pas la peine de lui donner de ce genre de scène. Serieusement. Elle se sentait bien rien qu'a a voir a plonger Akira dans ce qu'il sera: un vulgaire objet sexuel, elle allait s'amuser au dépends de ce naïf qui ne se sentait plus péter pour avoir osé croire qu'il était assez bon pour se faire la prétresse de la grande déesse.

"Tu n'a aucune idée de ce que tu raconte petit vaurien, comment crois tu pouvoir avoir le droit une seule seconde de jouir en moi?"

Nasira fouilla dans sa poche, a l'aide d'un sort elle saisit un accessoire situé loin dans ses appartements et le transporta dans l'une des grandes poches de sa blouse, faisant mine qu'il avait toujours été là. Nasira croisa les bras et fit

"Très bien, déjà, tu es un chien. Les chiens ne parlent pas, les chiens aboient. Tu ne parlera que quand je te demanderais de parler."

Fit Nasira alors qu'elle sortait l'objet de sa poche et le balançait aux pieds d'Akira

"Les vetements sont reservés aux humains, tu va m'enlever tout ça, chien et passer ça autour du cou."

Il s'agissait d'un collier a pointes et d'une laisse

"C'est quoi ton nom?"

" Je n'ai pas dit que j'avais le droit, mais vos paroles ressemblent à des avances!"

Le garçon avait pas tout à fait tort, les paroles de l'infirmière était teinté de défi comme une invitation à son égard. Le lycéen ne se doutait pas de ce qu'il lui arrivait, mais quand il entendit qu'il était à présent un chien, qu'il ne pouvait plus parler et qu'il devait aboyer, son regard devint tout triste. Akira s'était jeté dans son piège la tête baissée. Il n'avait pas fini d'être étonné quand un collier hérissé de pointes glissa devant lui.

" Je suis un humain mademoiselle, et je refuse d'être votre chien de cette façon!"


Quand il vit le regard sérieux de l'infirmière, il ne put se dissuader de ne pas obéir à ses ordres. Akira enleva sa chemise lentement avant de passer le collier autour de son cou. Qu'il était stupide, l'infirmière l'avait lâché, et elle ne connaissait pas son nom. Il décida donc de passer à sa méthode, celle de la fuite. Sans attendre un instant, le lycéen à lunette s'enfuit la laissant seule dans le couloir. Erikawa continua à courir pendant une dizaine de minutes avant de voir l'ombre de l'infirmière devant lui...

Nasira regarda Akira avec un air dubitatif, elle leva même un sourcil narquois. Est ce qu'il la prenait pour une de ces petites pucelles de lycéennes dont il pouvait refuser les avances?Tout d'abord ce n'était pas des avances

"Ce ne sont pas des avances, c'est un ordre, le chien."

Clarifia t'elle tandis qu'elle croisait les bras sur sa poitrine et regardait Akira avec un petit sourire prétentieux aux lèvres. Nasira soupesa sa poitrine avec ses bras, bien conscient que ça troublerais Akira, et pour ne pouvoir que mieux le frustrer

"Allez, a poil. Ou sinon je te vire du bahut."

Mais alors l'humain commença a se déshabiller uniquement dans le but pour prendre la fuite. Nasira soupira et claqua des doigts, alors qu'Akira courait, son pantalon se baissa soudainement, peut être qu'il était déjà détaché, en tout cas celà le fit trébucher, peut être celui ci le remonta t'il ou décida t'il de l'abandonner, elle n'en avait cure, pour la bonne raison qu'il se mit a courir une dizaine de minutes avant d'ouvrir la porte menant a la sortie et...

Retomber dans la bibliothèque. Comme par magie.

On échappe pas a son destin, elle lui balança le collier

"Plus vite tu attendra, moins tu risque de l'apprecier, gamin."

Le pantalon descendit comme s'il n'avait jamais été attaché, et le fit tombe lourdement sur le sol.  Akira ne comprenait pas ce qui lui arrivait, car des choses magiques qu'on lui arrivait. Déjà sa position perverse à la bibliothèque sans s'en rendre compte, et maintenant le pantalon qui descendait tout seul. Ouvrant la porte d'un geste vif pour vite sortir de ce monde de fou, il remarqua que c'était la porte de la bibliothèque avec l'infirmière qui l'attendait le collier à la main.

" Comment vous avez pu courir aussi vite...?"

Le lycéen prit le collier des mains de Nasira pour finalement le fermer, et ainsi sceller son misérable destin. Le garçon pleurait de chaudes larmes en pensant à toutes les corvées qu'il aurait à faire dans cette tenue, à Hina qu'il aimait, et à toutes ses anciennes conquêtes comme Mikko, Kohana ou bien la petite Miyoko qui cherchait le grand Don.

" Qu'est ce que vous voulez dire par là ?"

Le lycéen se mit sur les genoux avec seulement un caleçon comme vêtement et attendit les ordres que lui donnerait l'infirmière. Erikawa comprit qu'il n'avait qu'un seul choix, essayer de collecter des preuves suffisantes pour la faire virer du lycée et ainsi récupérer sa liberté...