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[FINI] Pacte de non-agression [Alice Liddell]

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Alice.Liddell

Humain(e)

Re : Pacte de non-agression [Alice Liddell]

Réponse 15 lundi 20 janvier 2014, 20:17:50

« Sachez que nous disposons de dragons rouges impériaux, qui sont plus dociles, et également très efficaces. Aldackelm est un problème préoccupant, en effet, poursuivit l’homme. Votre aide nous serait d’un précieux secours, mais, comme la Princesse de Sylvandell vient, fort à propos, de vous le remarquer, nous ne pouvons pas vous offrir des choses dont nous ne disposons pas. »[/b]

Bien... Nous verrons cela... Ihihih... 

Alice fit un grand sourire à l'assemblé, on aurais pus attendre de la part de la jeune fille une grosse crise de nerf, une comédie digne d'un enfant de quatre ans, un excès de violence ou pire encore, une exécutions en bonne et due forme mais... non, Alice resta bien sagement assise dans son fauteuil.

"Maman" me disait toujours de rester calme et polie lors des rencontres diplomatiques, elle disait aussi qu'il en fallait peu pour déclarer une guerre... Ce que nous ne souhaitons pas bien évidement ihihi ! dit elle avant marquer une petite pause.

Aaaaah... Ma mère... Elle était une reine vraiment bonne... Dommage qu'elle soit... morte ! En disant cela Alice leva les yeux vers son cher conseiller.

Cet alors qu'une femme vint à faire irruptions dans la salle.

Madame, sachait que les troupes sont prêtent à êtres envoyées au combat, les contenaires de Napalms ainsi que les Spades-kriegs incendiaires sont prêt ! Nous attendons plus que votre feu vert pour partir.

Visiblement Alice avait tous planifiée à l'avance...

Griselda était le général en chef des armés, la personne la plus importante en dessous de La reine, c'était une femme forte de caractère qui était totalement soumise à Alice et qui ne discutait jamais ses ordres, quelque soit leur niveau d'atrocité ou leu infamie, bien au contraire plus ils était violents et monstrueux, plus elle prenait plaisir à les exécuter. La jeune monarque regarda un à un tout les invités avant de répondre.

Oui... Brulait tout.. Ci jamais des soldat Ashnardiens venait à être blessés ou affaiblis, aider les.

Désirez vous que l'ont emmène un escadron de "Schmerzen Krankenschwester "   ?

Oui...

Bien... Lachat elle avant de tourner les talons.

AH... j'allait oublier, Le bourreau est prêt... Il n'attend plus que vous pour commencer la "séance"... Vraiment dommage que je ne puisse pas y participer avec vous ma tendre reine.

sur-ce la femme sortie de la pièce, ne manquant pas de faire un salut militaire à sa reine.

Ahah ! Voilà qui tombe à pique messieurs-dames ! Vous allait avoir l'honneur de partager avec moi un divertissement des plus drôle ihihih !

Ma reine... Est il bien raisonnable de montrer à nos invités cette facette de votre personnalité ? souffla le chat à l'oreille de sa reine.

Voyons Mr le chat, je ne vois pas en quoi cela pourrait porter préjudice à Herzeleid et à ces négociations...

Hmmmm... oui... Mais Peut être faudrait il  signer le pacte avant d'aller... à votre "séance"... Hm ?

Alice posa son index sur son menton tout en prenant un air songeur

Oui... Signons le pacte et ensuite allons nous divertir ! Ihih !

Le chat fit alors apparaitre entre ses griffes le pacte, le posant ensuite devant sa reine.

Pourrait je avoir de l'encre s'il te plait... Dit elle en adressant un grand sourire à son conseiller.

Tout de suite ma reine !

Le gros chat lança un regard à l'une des deux servantes qui était dans un coin de la grande pièce. silencieusement cette dernière s'approcha d'Alice avant de timidement lui adresser la parole d'une vois  quelque peut étouffée par la peur.

*glup* Ma reine... vous voulez que j'aye vous cherchez de l'encre... C'est ça ?[/[/i]color]

Ton bras...

P... Pardons ?

Tend ton bras...

Mais ma reine... Je ne vois p..

TEND TON BRAS ! C'EST UN ORDRE ! NE LE DISCUTE PAS OU JE T'EBORGNE SALE CHIENNE !

Bi... Bien...

La jeune servante tendis son bras devant Alice, la pauvre tremblait de peur, car au fond... Elle savait à quoi s'attendre...

Mr le chat...

Tout de suite ma reine !

Le monstrueux conseiller fit apparaitre une plume de métal  entre ses pattes puis il la donna à la petite monarque.

merci bien Mr le chat... Tu est prête petite trainée ?

M... Ma rei...

A peine la pauvre femme eu t'elle le temps de finir sa phrase, que Chess vint à poser ses pattes devant sa bouche.

Allez y ma reine...

La jeune monarque esquissa alors un grand sourire puis elle planta violement la plume dans le poigné de la pauvre femme.
 
Hmmm...Hmmmmm !!!!!!!!!!!!

Des larmes se mirent à coulait le long des joue de la pauvre femme qui semblait horriblement souffrir. La plume que tenait Alice était enfaite une sorte de stylos qui aspirait le liquide dans le quel il était plongé, pour ensuite l'utiliser pour écrire. Après une dizaine de secondes, Liddell enleva la plume du poignet de la pauvre femme, faisant signe au passage à Chess de la lâcher.

Bon... Je signe ! Ihihih !

Liddell signa de son nom en dessous de la feuille, puis elle tendis la plume à son conseiller.

Tenait Mr le chat, signez vous aussi !

Nan ma reine.... Je préféré directement signer de ma griffe... Eheh... Sur ce, il vint à planter sa griffe sale et noirâtre dans le poignet de la pauvre femme, ouvrant par pur sadisme tout l'avant bras de la jeune femme.

AAAAAAAAAAAAAAH AAAAAAAAAAAAAAAHHHHHAAAAAAAAAAAAAHH AAA... ARRETEZ  !!!!!!!!!!!!

TAIS TOI ! C'EST UN MOMENT HISTORIQUE ALORS TA GUEULE !

Et BAM ! Alice envoya son poing dans le nez de la pauvre femme, qui vint alors à s'évanouir, le nez en sang.

Ihih !

Chess signa à son tour le pacte puis il fit signe au deux gardes de transporter le corps de la servante hors de la salle.

Bien... à vous, mes très chères invitez ! Dit elle en tendansla plume à sa voisine Sylvandine, avec toujours un grand sourire au visage.
« Modifié: lundi 20 janvier 2014, 21:41:10 par Alice.Liddell »

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Pacte de non-agression [Alice Liddell]

Réponse 16 mercredi 22 janvier 2014, 01:10:46

Difficile de savoir si les négociations se passaient bien ou pas. Alice avait pu constater que la Reine Liddell était bonne à enfermer dans un asile, et les évènements à venir n’allaient sûrement pas l’aider à infléchir ce point de vue. Remettre un dragon doré était exclu, et l’alternative de Coehoorn sembla visiblement satisfaire la Reine. Le fait que cette dernière choisisse de ne pas insister sur ce point laissait entendre qu’elle avait uniquement proposé ça pour perturber la Princesse de Sylvandell.

*Je n’arrive pas à la comprendre... À quoi joue-t-elle ?*

Pouvait-on seulement la comprendre ? Cette femme semblait résonner sur un autre plan de logique. Alors que Coehoorn hésitait, et qu’attendait à devoir encore débattre, une femme débarqua, et annonça que les troupes étaient prêtes à l’assaut. Elle était aussi belle que dangereuse, et avait un charme tout à fait ashnardien. La Princesse fronça les sourcils, se demandant bien ce qu’Herzeleid comptait faire. Un assaut contre les Ashnardiens ? Contre Aldackelm ? Ce royaume elfique était assez éloigné d’Herzeleid, un royaume pollué, dans lequel une forêt ne pouvait pas prospérer. Les Ashnardiens n’eurent toutefois pas vraiment le temps de discuter davantage, car la Reine d’Herzeleid semblait vouloir autre chose, et se mit à aboyer des ordres. Une servante apparut, et quelques désagréables minutes eurent lieu, pendant lesquelles la servante fut torturée sous les yeux des Ashnardiens. Alice devint aussi blême qu’une morte, avant que ses joues ne se teintent de rouge. La pauvre jeune fille hurlait, avant que l’abominable chat ne se mette à la griffer. La jeune servante se reçut ensuite un sévère coup de poing qui l’étala sur le sol.

Ce faisant, la Reine tendit à Alice un bout de papier, en les invitant, sur un éclat de rire, à signer.

« Bien... à vous, mes très chers invités ! »

Alice cligna des yeux, voyant que la jeune femme continuait à signer.

« C’en est assez ! » lâcha-t-elle alors, avant de se redresser.

Le Maréchal essaya de la retenir, mais Alice était déjà debout. Zyra se releva également, presque en même temps, veillant à protéger la Princesse. Les iguanes de Xyola étaient devenus nerveux à cause du sang à proximité, et leur maîtresse, qui était très muette durant cet échange, tira sur leurs laisses, les contraignant ainsi à se calmer. Contournant la Reine et son gobelin horrible, Alice, qui n’avait même pas songé à lire son bout de papier, se pencha vers la serveuse. Elle était sonnée, son nez était brisé, et elle crachait du sang.

« Soigne son bras, Zyra. »

Zyra n’hésita pas longtemps, avant de poser sa main sur ses plaies. Elle récita une silencieuse mélopée, et entreprit de la soigner. L’entaille était assez profonde, car Liddell avait bien enfoncé sa plume, et le chat l’avait également cruellement griffé. Du sang se trouvait sous son bras, formant une flaque alors que Zyra murmurait. Une lueur blanche enveloppa la servante.

« Nous... Euh... Nous ne pouvons pas signer une convention comme ceci, sans y réfléchir plus avant. De plus, avant de songer à une nouvelle guerre, nous devrions commencer par envisager les hostilités actuelles. »

Alice ne les écoutait qu’à moitié. La servante finit par ouvrir les yeux, clignant légèrement, sonnée. Sa tête était entre les bras de la Princesse, qui lui caressa alors les cheveux, glissant sur ses joues.

« Ne t’en fais pas, tout va bien, ma belle... »

La Princesse relâcha cette dernière, et se releva. Elle savait que les négociations ne déboucheraient sur rien de concret. Comment pouvait-on espérer avoir confiance envers une femme qui n’hésitait pas à torturer ses propres sujets, sans aucune raison valable ? Zyra soigna le bras de la femme, laissant une légère plaie, avant de se relever également, prête à devoir se battre.

« Sachez, Majesté, que je ne cautionne pas ce genre de comportements ! Je me retire de ces négociations ! » lâcha-t-elle.

Alice ne voulait même plus voir cette femme. Elle était folle à lier, et, si ça ne tenait qu’à elle, elle enverrait tous ses dragons pour aller la chercher, et s’assurer qu’elle et son horrible chat soient dépecés en place publique.

Elle ne méritait pas mieux.

Alice.Liddell

Humain(e)

Re : Pacte de non-agression [Alice Liddell]

Réponse 17 lundi 10 février 2014, 13:39:34

« C’en est assez ! »

En entendant ses mots, notre chère petite monarque eu un petit sursaut de surprise. Visiblement le "joyaux de Sylvandell" n'aimait pas beaucoup les habitudes royales de sa Majesté Liddell.

Qu... ?

Oui Alice, cette petite trainée ne prit même pas le temps de regarder le pacte, elle préféra plutôt aller soigner la catins qui te servait de bonne et que tu venait de violement mutiler et ce en compagnie de ce qui semblait être sa garde du corps. Et cet alors que le représentant Ashnardien vint à reprendre la parole, quelque peut gêné par l'attitude de la jeune Alice Korvander. Cette dernière avait vraiment eu le toupet de répondre à la grande, à la majestueuse, à la sublimissime reine de pique ?... Oui... Elle avait osée...

Après avoir soignée la servante, la représentante Sylvandine se levât en même temps que cette "zyra" et avec la rage au fond des yeux elle répondue une nouvelle fois à la reine de Pique et au Chat du Cheshire.

« Sachez, Majesté, que je ne cautionne pas ce genre de comportements ! Je me retire de ces négociations ! »

Cette phrase sembla mettre Sieur Von Ermiss plus mal allaise encore, ce dernier posa sa mains sur son front en tachant de garder son calme face à cette situation qui devenais très explosive. La reine Alice, elle, avait toujours le sourire au lèvres... Le chat lui par contre, il souriait beaucoup moins...

Gardes... Bloquaient l'entrée... Lâchât il en regardant les deux sylvandines droit dans les yeux... Les deux gardes croisèrent alors leurs gigantesque lance en forme de pique devant les imposantes portes, unique sorties de cette gigantesques salle ou la tensions était entrain de grimper à une allure affriolante... Les deux Alice était visiblement comme les deux face d'un miroir... D'un coté il y avait la raison... De l'autre la folie...

Hum ! Je pense qu'il serait temps de mettre les choses au point chers invités... Surtout vous Miss Korvander...

Je trouve très mal placé le fait qu'une simple Princesse se permette de critiquer les habitudes de la reine d'un autre royaume, de plus... Le fait que vous ne vouliez pas signer se pacte de non agressions me parait... Stupide... Il fit alors un petit salto arrière dans les air avant de se d'apparaitre pile devant la princesse, lui adressant un grand sourire... Ce qui provoqua bien évidement Zyra qui mis directement sa lame sous la gorge du chat... Comme si elle croyait pouvoir lui faire quelque chose...

Rangait cette arme... Chère Zyra... Déjà que votre souveraine est très impolie, je risquerais à force, de croire que Sylvandell est un royaume peut respectueux des normes de courtoisie... Hm ? Evidament, la commandeur ne bougea pas d'un yota, ce contentant seulement d'adresser au chat un regard emplie de colère...

Hm... Je vois...

Notre cher ami félins reculat alors avant d'adresser une nouvelle fois la parole à toute l'assemblée.

Je pense qu'il serait préférable pour tout le monde que vous restiez avec nous, Miss Korvander, mieux que cela, je pense qu'il serait bien pour l'intérêt de votre nations, que vous signiez ce pacte.... Je pense que les décennies passer à être protégée par les dragons d'ors vous ont un tantinet ramollies le cerveaux.... Vous n'êtes pas indestructibles... Les dragons ne sont rien de plus que des êtres vivants.... Maladies, infections... et pouf.... plus de dragons !

La jeune princesse fronças les sourcils, prête à répondre au chat mais... Bien vite, le Maréchal ce saisit violement de la jeune souveraine par le bras, la tirant vers lui.

Votre Altesse, avec tout le respect que je vous doit à vous et à votre père, mesurait bien vos actes et vos paroles... Même si j'ai une confiance limitée, même très limitée envers Herzeleid et ces deux dirigeants... Ci vous quittait les négociations, je ne puis vous assurer qu'Ashnard puisse vous venir en aide en cas d'attaque venant de la part de ses deux tarés... L'homme marqua une pause, en regardant la Sylvandine droit des les yeux.

Et puis... Il a raison... Les dragons ne sont pas éternels... Le leur en revanche ne montre aucun signe de faiblesses et nous ne savons foutrement rien de quoi cette nations est capable... Votre Altesse, je vous en conjure, rasseyez vous !



Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Pacte de non-agression [Alice Liddell]

Réponse 18 mercredi 12 février 2014, 01:21:39

Alice était outrée par ce qu’elle avait vu, tout simplement. Était-elle censée manger confortablement tandis qu’une femme se faisait torturer sous ses yeux ? Cette scène lui avait donné envie de vomir. Elle voulait être une Reine exemplaire, une femme qui, tout en étant au sommet du pouvoir, n’en abuserait pas, et essaierait, dans la mesure du possible, de respecter les droits de ses citoyens. Elle estimait ça naturel. Ce qu’elle avait vu allait à l’encontre totale de ses croyances et de ses convictions. La Reine Liddell en semblait clouée sur place, et fut cet affreux gnome qui se mit à parler, intimant aux gardes de bloquer l’entrée. Immédiatement, Zyra devint nerveuse, portant la main à la garde de son épée, tandis que les gardes d’élite, accompagnant la délégation ashnardienne, se raidirent également. La tension était en train de monter, mais le cœur de la Princesse bondissait dans sa poitrine.

L’affreux chat du Cheschire atterrit devant elle, et se mit à parler, de sa voix sifflante, méprisante. Zyra dégaina immédiatement son épée, en estimant qu’il était trop proche de la Princesse. La Commandeur ne tremblait pas, sa prise était affirmée, son regard déterminé. Si cette créature osait s’approcher de trop près, elle n’hésiterait pas à attaquer, et Alice était presque tentée de la laisser agir... Surtout quand le gnome alla jusqu’à la narguer, la défier. Sentant la situation lui échapper, Coehoorn se releva subitement, et attrapa Alice par les épaules, lui intimant de se calmer.

« Et puis... Il a raison... Les dragons ne sont pas éternels... »

Quand Alice entendit ça, elle sentit quelque chose fondre dans son cœur, et fusilla Coehoorn du regard, les joues rouges. Elle peinait à entendre la suite de ces inepties, et le repoussa.

« Leur ‘‘dragon’’ n’est qu’une machine, Maréchal. Un tas de plomb et de boulons ! Comment osez-vous la comparer aux dragons de Sylvandell ? Le Patriarche descend des Primordiaux ! Savez-vous ce que cela signifie, ou est-ce que votre admiration d’un tas de plomb vous a fait perdre toute notion des choses ?! »

Rares devaient être les personnes qui osaient répondre au fringant Maréchal Coehoorn, car celui-ci en resta planté comme deux ronds de flans. Était-ce donc la douce et timide Princesse de Sylvandell qu’il avait en face de lui ? Le « Joyau », dont on vantait l’innocence et la pureté, venait de montrer les griffes. À sa place, Tywill, son père, aurait juré comme un charretier, et, en un sens, la réaction de la Princesse était d’autant plus surprenante.

Cette dernière poursuivit sur sa lancée :

« Ceci n’est rien d’autre qu’un cirque. Une sinistre farce à laquelle je refuse de participer ! À qui donc devons-nous adresser ?! Qui dirige ici ? Est-ce la Reine, ou son sinistre gnome ? »

Alice avait bien noté l’absence d’intervention de Liddell. Chess avait agi instinctivement, donnant naturellement des ordres à ses gardes. La Princesse avait eu le sentiment qu’il était le véritable dirigeant du royaume, que sa malfaisance devait exercer sur Liddell une sorte d’influence maléfique... Ce sentiment tendait à se confirmer. Face à la difficulté, ce n’était pas la Reine d’Herzeleid qui intervenait, mais son second.

« Je n’ai aucune confiance envers des gens qui n’hésitent pas à massacrer leurs propres sujets. Qu’est-ce qui me prouve que vous respecterez vos engagements ? ‘‘Pacta sunt servada’’, voilà ce en quoi je crois. Ashnard a été dirigé par un fou jadis, et Sylvandell s’est heurtée à cette démence. Vos basses menaces ne m’effraient pas, Cheschire. Votre machine est bien peu de choses face aux dragons de Sylvandell. »

L’adage « pacta sunt servanda » était la pierre angulaire de toutes les relations internationales entre les États. Un adage que tout diplomate ne pouvait que connaître, sous peine d’être renvoyé le jour même. Cette adage signifiait tout simplement qu’un État devait respecter ses propres engagements. Or, Alice doutait qu’Herzeleid le fasse. Pour preuve, elle ne savait même pas qui dirigeait vraiment dans ce royaume.

Coehoorn ne savait plus sur quel pied danser, tandis que, de son côté, toujours assise, Xyola se régalait. Elle avait également vu en Alice une petite potiche, bonne à servir. Les Ashnardiens envisageaient de l’asservir, de se servir de son apparente faiblesse pour pouvoir assujettir davantage Sylvandell, ce qui n’était guère possible, face à un Roi aussi bourru et entêté que Tywill Korvander. Cependant, il semblerait que le petit « Joyau » soit moins effacé que ça... Comme un volcan en repos, qui menaçait d’entrer en éruption à chaque moment.

« Peut-être serait-il plus judicieux, Votre Majesté, d’envisager une brève interruption... L’avis de Sylvandell n’engage nullement celui d’Ashnard, et nous sommes tout à fait disposés à envisager des négociations avec vous. Si Sylvandell entend s’en retirer, en sa qualité de puissance souveraine, c’est son droit le plus strict. Je puis vous assurer que Sylvandell ne constituera pas une menace envers vous, si ces négociations, je l’espère, devaient aboutir dans un sens favorable pour les deux parties. »

Alice.Liddell

Humain(e)

Re : Pacte de non-agression [Alice Liddell]

Réponse 19 dimanche 02 mars 2014, 23:42:18

En entendant la jeune sylvandine parler, le sang d'Alice ne fit qu'un tour. et elle comptais bien montrer à tous qui était la chef ici ! D'un bond, Liddell sauta de son siège avant de froncer ses sourcils, fusillant la jolie sylvandine du regard. Sa majesté était en colère... Et ça aller ouiner !

ICI ! C'est moi qui décide ! COMPRIS ! De UN ! Le jabberwocky n'est pas un tas de boulons, sotte que vous êtes ! AHAHAH ! C'est un dragon ! Et de deux ! Mr le chat n'est pas un gnome !

 La situation devenais de pire en pire, l'intervention de la représentante Sylvandine avait mis le feu au poudre, faisant exploser l'esprit d'Alice en mille petits morceaux. Le Maréchale quant à lui, ne savait plus ou ce mettre, il ne connaissait pas Alice ni même à quel point sa folie était élevée, la jeune reine était capable d'envoyer tout ce beaux monde au cachots, voir... des les exécuter un à un... ce qui serait fort fâcheux, avouons le.
 Chess se rapprocher calmement de sa reine, essayant de la résonnait... Résonnait le monstre qu'il avait lui même façonné... Il était en grande parti la cause de la démence d'Alice, malheureusement... Cette dernière était à présent devenue la personnification de la folie, et comme elle... Elle était indomptable et particulièrement versatile. Alice était un électrons libres, elle se fichait de détruire, de faire souffrir, de rendre malade ou même de torturer... ça propre vie n 'était qu'un jeu... Une folle parmi les folles, la reine des tarées... Une Aude à la folie pur, voilà ce qu'était Liddell.

Je.... JE...

Désirez vous que l'ont face une petite pause majesté ?

Je... OUI !

Chess se tournât alors vers les convive en se frottant les mains.

Bien... La séance est levée jusqu'à nouvel ordre, je...
ILS RESTE AU CHATEAUX ! JE NE VEUX PAS QU'ILS AYENT AILLEURS QU'ICI !

Euh... Bien...

Suite à cela, Alice sa dirigea vers la sortie, bousculant la pauvre servante, cette dernière poussât un petit couinement... Couinement qui malheureusement n'échappa à notre reine.

Ah Au faite ! j'ai oubliée de te le dire mais... Ce soir tu sera au cuisine... Ihih...

Niuuu...

La pauvre jeune femme baissa la tête en hoquetant quelque peut, essayant d'étouffer en vain ses larmes... Ce soir... Elle allait êtres au diner.
Avant de franchir les imposantes porte de la salles, Alice adressât une dernière fois la paroles à ses convives.

Ah ! Au faite... Je vous invite à ma table se soir... Ihihi... Mr le chat !


Tout de suite majesté ! Dit il avant de se téléporter juste derrière sa reine, faisant ensuite signe au deux gardes de ramasser la servante pour l'emmenait aux cuisines. Chess se tournat une dernière fois vers les invités.

Tout le châteaux est à votre disposition, libres à vous d'allez ou vous voulez, toutefois, évitaient les cachots... Ehehe... Et, le repas est servit au alentours de 20h... Sachez vous montrer ponctuelle, Son Altesse Liddell a horreur d'attendre...

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Pacte de non-agression [Alice Liddell]

Réponse 20 lundi 03 mars 2014, 01:53:42

« Nous n’aurions jamais du accepter de négocier avec elle. C’est une démente. »

Bras croisés, Alice se tenait sur l’un des balcons du château royal, observant, devant elle, la sinistre ville polluée d’Herzeleid. Elle était accompagnée du Maréchal Coehoorn, ainsi que de Zyra. Ce premier rendez-vous s’était terminé sur les chapeaux de roues, et Alice avait peu apprécié qu’on les consigne dans le château. Les gardes les surveillaient attentivement, veillant à ce que leurs « invités » ne cherchent pas à partir. Si ça ne tenait qu’à elle, la Princesse serait partie rapidement. Elle ne voulait plus rester dans un tel lieu, et le Maréchal voyait bien là la fille de Tywill Korvander. Tywill n’aurait jamais accepté qu’on le consigne ici, et encore moins que Chess aille jusqu’à les convoquer pour le dîner. Plus Coehoorn y réfléchissait, et plus il était probable que, si Tywill avait été à la place de sa fille, la dernière phrase du chat se serait soldée par un puissant coup de marteau sur le crâne, si fort que le visage du chat aurait fini à la place de son cul.

De même, Alice avait vu le regard catastrophé de la servante alors que les gardes la traînaient vers la cuisine. Aurait-elle été moins énervée, et moins suspicieuse, qu’elle aurait envoyé Zyra enquêter, afin de savoir ce qui avait pu abattre la servante à ce point. Bien des choses auraient alors pu être différentes. Zyra avait un certain talent pour enquêter, mais, vu le repas spécial que la Reine Liddell préparait, il était peu probable qu’on l’aurait laissé entrer dans les cuisines. Zyra n’aurait alors pas manqué d’en référer à Alice, qui aurait immédiatement été vers les cuisines. Chess n’avait-ils pas dit qu’ils avaient accès à « tout » ? Le ton aurait monté. Cependant, Alice était bien loin de se douter que le repas allait justement constituer en la servante. Elle avait vu juste quand elle pensait que la Reine était folle, et encore plus quand elle l’avait comparé au Roi Cramoisi. Elle n’avait juste pas poussé la comparaison assez loin.

« Je le sais très bien, consentit le Maréchal. Mais, de grâce, Majesté, vous devez tempérer vos humeurs.
 -  Pourquoi être venue ici, alors ? »

Coehoorn eut une légère moue sur le visage, et regarda brièvement Zyra. Elle était une garde du corps d’exception, et leur assura que personne ne les écoutait. Le Maréchal hocha alors lentement la tête. Il ne devait rien dire à la Princesse, mais il avait conscience que leur plan était serré. Si cette dernière ne se calmait pas, elle risquait de foutre en l’air les négociations, et, plus généralement, de mettre en péril toute la stratégie du Maréchal et de son frère.

« C’est Emhyr qui est derrière cette négociation... Mais Emhyr n’est pas un sot. Nous savons très bien que cette dame est folle à lier, et qu’il n’y a rien à en tirer. Pacta sunt servanda... Elle ne respectera pas ses engagements, et il est évident qu’on ne peut pas lui faire confiance.
 -  Alors, pourquoi sommes-nous ici ?! Pourquoi avoir accepté de négocier avec cette folle ?
 -  Parce qu’il n’y a pas qu’Herzeleid en jeu, Majesté ! De l’autre côté de la frontière, les Nexusiens ont amené leurs garnisons. Herzeleid est pris en tenaille, et la politique agressive de ce royaume, ainsi que leur foutu dragon mécanique, nous inquiètent... Et, quand je dis ‘‘nous’’, il s’agit aussi bien des Nexusiens que des Ashnardiens.
 -  Que... Que voulez-vous dire ?
 -  Ce qui est évident, soupira-t-il. Emhyr a manigancé tout cela. »

Emhyr Van Emreis était le frère de Coehoorn. Là où Coehoorn était un militaire, Emhyr, lui, était un politicien. Alice le connaissait. C’était un conseiller impérial, et l’un des plus influents. Certains allaient même jusqu’à dire qu’il était le véritable meneur de décisions au sein de l’Empire, et qu’il était vraisemblablement destiné à devenir Empereur un jour. Bon nombre de Van Emreis avaient été des Empereurs très talentueux, et leur famille faisait partie des familles originelles, les fondateurs de l’Empire.

« Nous ne sommes pas ici pour négocier, Majesté. Tout cela n’est que du vent, un subtil jeu politique.
 -  Mais pour quoi faire ?
 -  Vous êtes intelligente, Princesse, je le reconnais, mais vous manquez encore de cette maturité politique et stratégique qui s’acquière avec l’âge. Les Nexusiens nous ont indiqué les armes terribles que cette femme disposait. Il n’y a pas que ce Jabberwocky, les Nexusiens nous ont transmis des rapports indiquant des espèces de sauterelles mécaniques abominables, les Locuste. Ces créatures ravagent les cultures, et massacrent les fermiers qui ont le malheur de se trouver là. Une technique pour affamer les autres puissances. Maintenant, regardez ces tours, regardez ces fumées, ces hauts-fourneaux... Les usines tournent à plein régime, Herzeleid est en train de mettre sur place une immense armée, et s’en donne les moyens. »

Alice hochait lentement la tête, écoutant les explications du Maréchal, avec la sinistre impression d’être le dindon de la force. Elle comprenait mieux pourquoi Coehoorn l’avait pris à partie, afin de lui demander de se calmer. Un jeu... Un stupide jeu d’acteur ! Tout ça était une farce, et elle était tombée dans le panneau !

« Vous insinuez qu’elle ne cherche pas seulement à envahir les royaumes voisins ?
 -  Bien sûr que non. Voyez-vous, Majesté, beaucoup de puissances mineures suivent avec grand intérêt le conflit que nous menons contre les Nexusiens, afin d’espérer tirer leur part du gâteau. L’essentiel de nos légions est occupée à se fracasser contre les superforts nexusiens, et nous avons tendance à dégarnir les fronts secondaires. Pendant un temps, l’Empire envisageait effectivement de s’allier avec Herzeleid, mais, comme vous l’avez si fort justement remarqué, notre histoire nous montre qu’on ne peut pas faire confiance à des déments. Herzeleid dispose de la technologie nécessaire et d’une volonté suffisante pour espérer nous concurrencer, et profiter de la guerre pour s’en remplir les poches, que ce soit en attaquant Nexus, ou nos colonies. Voilà ce qu’Emhyr, et ce que les Nexusiens pensent aussi. Nous, nous sommes ici pour assurer une diversion.
 -  Une... Une diversion ? Mais que manigance donc votre frère ? » s'exclama-t-elle, peinant à comprendre ce qui se passait.

Coehoorn se tut, en entendant des bruits de pas. Une patrouille s’approchait, et il hocha lentement la tête.

« Tout ce que je vous demande, Majesté, c’est d’éviter de faire trop de vagues. N’oubliez justement pas que cette femme est folle, et que nous ne sommes pas chez des alliés, ici. Je regrette de vous avoir plongé dans la gueule du loup. J’aurais voulu tout vous dire, mais le temps nous a manqué. »

Le Maréchal s’écarta ensuite, laissant une Alice circonspecte. Dans la gueule du loup... Elle n’aurait pas su dire mieux, et un frisson la parcourut. Vu d’ici, le camp semblait si loin, et Sylvandell encore plus. Et les Nexusiens... Étaient-ils impliqués, eux aussi ? Liddell leur avait dit qu’elle entendait s’allier avec les Ashnardiens pour se protéger des Nexusiens... Est-ce que cela signifiait qu’Herzeleid était en train de se battre sur deux fronts ? Si c’était le cas, on s’était bien gardés de le lui dire. L’explication était simple : Emhyr ne faisait pas totalement confiance aux Sylvandins. Durant la Guerre Civile, les dragons sylvandins avaient été l’une des principales causes de l’effondrement des Emreis. Sa rancune devait être forte. Suffisamment pour oublier de l’avertir d’un plan aussi important ? Estimait-il donc que la petite tête blonde n’était pas digne de confiance ? Alice regrettait Sylvandell et ses montagnes. Les stratégies politiques d’Emhyr étaient à en avoir des migraines carabinées.

En attendant, l’heure du dîner s’approcha, et personne n’avait surveillé les cuisines pour savoir quel odieux tour la Reine d’Herzeleid était en train de leur jouer. Personne n’aurait alors pu en prévoir les conséquences, et, si quelqu’un avait pu le faire, il aurait de toute manière été bien en peine d’empêcher le déroulement de la soirée.

Alice.Liddell

Humain(e)

Re : Pacte de non-agression [Alice Liddell]

Réponse 21 lundi 03 mars 2014, 17:16:08

Je ravagerais la nation de cette petite pute ! Elle verra bien si mon jabberwockynounet est une tas d'boulons, cette ... Grrrr !!!! Je jure que je lui déchirais le bas ventre et je dévorerais ses entrailles !

Liddell était  seul dans sa chambre, se parlant à elle même en parfaite petite folle qu'elle était. Ressassant sans cesse dans sa tête, les paroles de la représentante Sylvandine. Mais cet alors que deux mains gantées de cuir, se posèrent rapidement sur les yeux de la jeune Alice.

- Bouh ! Qui c'est ?
- M... Marta !?
Les deux mains se retirèrent alors du visage de sa majesté, venant par la suite se poser sur ses épaules.

- Gagnée ! Ahah !
Marta est la seconde de Grizelda. Elle est aussi le Major-général en charge de la division des Zerstoren'Kriegs, mais c'est surtout une femme particulièrement violente et versatile. Adoratrice des gros flingues et des explosions elle cumule plusieurs dérèglements d'ordre mental et comme sa reine, elle est très imprévisible et démesurément barge. Toutefois, elle est totalement soumise à Alice et elle est prête à tout pour sa reine bien aimée.

- Hum !... Marta...
- Que..

La belle hermaphrodite (oui, elle est hermaphrodite) se retournât alors d'un coup, ce retrouvant ainsi nez à nez avec Chess. Ce dernier esquissait toujours le même sourire monstrueux, Et silencieusement, il ordonna à Marta de sortir de la pièce, ce sur quoi elle le répondu par un hochement de tête avant de partir en vaillant bien refermer la porte derrière elle.

Bon... Ma reine... Comment vous dire que
OUI ! JE SAIS !
Hmmm...
Je... CROTTE !

Caaaalmez vous ma reine... Je puis vous assurer que ce soir même, le pacte sera signé, de gré ou de force, et ceux, par tout les partis ici présents...

Alice affichât alors une petite mou quelque peut septique à l'entente de ses mots, mais bien vite Chess reprit la parole.

- Ma reine... Le but premier de ce pacte et de laisser de coter un éventuel conflit avec les Ashnardiens... Ces derniers ne prendrons pas le risques de nous attaquer tant que nous même ne les attaquons pas. Il pense dur comme fer que c'est nous qui lancerons le premier assaut... Mais en réalité, Nous allons les laisser tranquilles... Le temps de calmer le jeu avec Nexus...
- Mais... Les régents ont rompue toutes formes de transactions avec Herzeleid...
- Oui, et c'est pour cela qu'il faut bien vite rectifier le tir.
- Le problème c'est que des éclaireurs ont dit avoir aperçus des troupes Nexusiennes au frontières...
- C'est pour ça que grizelda est partie avec une cinquantaines d'hommes... Afin de discrètement empoisonner les réserves des troupes Nexusiennes... Tout en prenant soins d'inculper Ashnard au passage...- Comment ça ? Enfin... Je veux dire et Aldackelm ?
- En l'état, Attaquer Aldackem serait un peu trop risqué... C'était une simple diversions, un coup de poker inutile.
- Et comment compte faire Grizelda pour inculper les Ashnardiens ?
- Et bien... Disons qu'elle à réussis à ce procurer de quoi leur faire porter le chapeaux... à eux et a Sylvandell... Ainsi, cela nous laissera un peu de répit, le temps de vous rendre à Nexus et de parler avec la reine et les régents d'un éventuel retour au calme...
- Oui mais le pacte ? Ne risque t'il pas d'y avoir un léger... Soucis ?
- Un pacte de non-agression n'a rien d'une entraide, nous sommes libres de ne pas vouloir nous battre contre Ashnard, n'est ce pas ?
- Oui... Je commence à comprendre où vous voulez en venir Mr le chat...


Cet alors que Marta refit interruptions au sein de la pièce.
Ma reine, le souper ne va pas tarder, il serait fâcheux de faire attendre vos inviter... ihih.
Oh ! Tu as raison Martatchoupinette ! Allons donc de ce pas manger !
Sur ces mots, le petite monarque prit la route de la salle de banquet accompagnée de Marta et de Chess. Une fois dans la gigantesque pièce, au milieu de laquelle trônait une énorme table en ébène, Alice pus constater que ses invités étaient déjà là, tous assis à attendre l'arrivée son arrivé. C'est avec un grand sourire qu'Alice pris place dans son grand fauteuil. A sa gauche il y avait Marta, tendis qu'à sa droite, c'était une nouvelle fois la Sylvandine qu'il y avait. Liddell se tourna vers la princesse, avec un grand sourire au bout des lèvres.

Veillais bien m'excuser pour tout à l'heure, j'ai par moment de très désagréables saut d'humeur... Ihih.
En disant cela, Alice caressa doucement la mains de son invitée, sous le regard agressif de Zyra qui ne quittait pas la reine du regard.
Et pour me faire pardonner, je tiens à vous offrir se présent...
Délicatement, Alice enleva l'une de ses bagues, qu'elle déposa ensuite délicatement au creux de la mains de la princesse. La dite bague était un anneaux en galium incrusté d'innombrable petits rubis, un très beau présent, qu'il serait fâcheux de refuser. L'offre se termina ensuite par un petit baiser délicatement déposé sur la joue de son Altesse Korvander... Chose qui surpris quelque peut les invités.

Ihih...

Un majordome fit ensuite irruptions dans la salle, annonçant l'arriver du banquet. S'en suivit alors un grand ballet d'hommes en noir, portant chacun une assiette appartenant à l'un des invités ici présent. Les hommes en noir soulevèrent ensuite la cloche qui cachait le plat et...

Hmmmm... ça a l'air délicieux, ma foi majesté, je doit dire que vos cuisinier ont l'air de fins cordon bleu. Lacha le maréchale au vu de son assiette.

Fufu... Merci, je leurs ferait par de vos impressions, cela leurs feras plaisir.
Cet alors qu'un majordome apporta un plateau en obsidianne d'un noir de gai, surplombé par une immense cloche en forme de pics. Il posa le dit plateau devant la reine, et tout en soulevant la cloche, il dit d'une voix clair :

- Calice de fertilité et cœur rôti à la broche sur leur lit de champignons, accompagnée d'un sauce à base de sang cuit.

Von Emreis en entendant le mot "calice" fronça quelque peut les sourcils, il était visiblement curieux de savoir ce que cela pouvait bien être. Toutefois il ne dit rien, se disant que cela devait être le nom du plat ou une connerie dans le genre.

Ma reine...
Oui Marta ?
Euh... Est ce...
Oui Marta, je sais que tu adore cette partie très charnue, ihih.

Le regard de Liddell se tourna ensuite vers l'assistance.

Quelqu'un d'autres désire savoir ce qui ce trouve dans son assiette ?
Euh... De quel animal provient cette viande... demanda Zyra quelque peut septique.
Cela provient d'un animal qui vit dans les montagnes non loin d'Herzeleid... ihih... Bonne appétit.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Pacte de non-agression [Alice Liddell]

Réponse 22 mardi 04 mars 2014, 01:59:55

L’esprit embrumé par sa conversation avec le Maréchal, Alice passa le reste de la journée à grommeler sur place, furieuse d’être cantonnée ici. Invitée, elle ? Elle avait plutôt l’impression d’être une prisonnière, une prisonnière dans une cage dorée. Les plans obscurs des frères Emreis tombaient encore sur elle. On lui avait bien dit de se méfier du Conseil Impérial, et, surtout, de cet Emhyr Van Emreis ! Il n’était pas fiable, et suivait ses propres motivations. Qu’il agisse pour l’intérêt de l’Empire, c’était une chose contre laquelle Alice n’avait pas vraiment de problèmes à formuler, mais, si cela impliquait de manipuler ses alliés, de les mettre en situation dangereuse, la Princesse allait devoir reconsidérer la bienveillance d’Emhyr. Elle passa donc la journée à tourner en rond da sa chambre, impatiente, grommelant, sous la protection bienveillante de Zyra. Si elle avait été moins nerveuse, Alice aurait peut-être pu profiter de cet instant pour se permettre une doucereuse câlinerie en compagnie du Commandeur, mais elles restèrent sobres. Elle était tout simplement trop inquiète sur son sort, et sur ce qui l’attendait, pour penser à autre chose.

Dans les yeux de la Reine, Alice y avait vu les germes de la folie... Une démence insondable, et elle en avait peur. La peur était un sentiment naturel quand votre vie était en péril, mais, chez la Princesse, cette peur ne se manifestait pas par une sorte de sentiment de panique qui empêchait chez elle toute forme de réflexion, mais par une sorte d’accroissement de sa volonté, de son envie de voir ce problème être résolu. L’air vicié d’Herzeleid était tout à fait conforme à ce que la Princesse ressentait. Si elle s’était enfermée dans sa chambre, c’était aussi parce que, ici, elle n’entendait pas la musique qui, sempiternellement, résonnait dans les coursives du château. Il lui avait suffi de l’écouter une demi-heure pour en devenir folle, et elle n’avait rien pu obtenir des quelques servantes qu’elle avait vu. Ces dernières fuyaient à son approche, ou s’enterraient dans un mutisme confondu en jetant des œillades effrayées, craignant probablement d’être surprises par un quelconque garde qui la verrait.

*La folie règne ici...*

Pour se détendre, Alice écrivit donc des notes dans son carnet, consignant tout ce qu’elle avait vu ici, utilisant la lueur d’une chandelle. Elle se relut ensuite un peu, attrapant les pages de son carnet :

Citer
...Un endroit sinistre, clairement. La seule chose que j’espère est de réussir à sortir d’ici avant que le pire ne me tombe dessus. Je ne saurais pas dire pourquoi, mais je ne peux m’empêcher d’avoir un mauvais pressentiment. Sans doute cela vient-il de cette musique persistante qui me traîne dans la tête, ainsi que de cette pauvre fille que j’ai vu se faire saigner comme un goret. J’espère qu’il ne lui est rien arrivé de mal, tout comme j’espère pouvoir sortir d’ici. Je plains ce pauvre royaume, mais cette conversation avec cette Reine aura eu pour elle de me demander jusqu’à quel point un peuple peut supporter la folie de ses dirigeants. Ignorent-ils donc la démence de cette femme ? Ne ressentent-ils pas l’odeur de soufre dans leurs poumons ? Ou vivent-ils écrasés dans un système tellement répressif qu’ils en sont devenus à agir comme des moutons, des âmes vides et laborieuses ? Ce royaume m’effraie, en vérité. Qu’ont donc fait ces pauvres gens pour servir une telle femme ? Une femme qui n’hésite pas à les mutiler simplement pour son contentement ?

Un tel carnet était beaucoup trop subjectif pour faire office de description historique, mais il constituait un bon témoignage. Zyra l’informa ensuite qu’il était temps d’aller manger. La princesse n’en avait pas spécialement envie, mais elle se rappela ce que le Maréchal lui avait dit : voir en toute cette scène une farce, un jeu. Jamais elle ne confierait un seul dragon à cette femme, même pas une simple pièce d’or. Elle jouerait le jeu des Emreis, non pas parce qu’elle les suivait, mais parce qu’elle n’avait aucune solution de remplacement, aucune option alternative. Elle était prisonnière dans ce château, et elle estimait qu’il était préférable d’avoir encore Coehoorn comme allié, plutôt que l’inverse.

La Princesse se retrouva dans la salle de banquet, et reçut un curieux cadeau de la part de la Reine. Cette dernière semblait beaucoup moins agressive que tantôt, mais Alice ne s’y fiait pas. Son bisou sur sa joue lui donna envie de vomir, et elle s’enfonça dans son fauteuil, s’estimant un peu trop proche d’elle. Les serviteurs leur amenèrent ensuite de la viande, que la Princesse considéra avec suspicion. Elle ne devait pas valoir la viande de son pays, vu l’atmosphère pollué de ce royaume.

« Cela provient d'un animal qui vit dans les montagnes non loin d'Herzeleid..., leur expliqua la Reine. Bon appétit. »

Alice fit la moue en contemplant son bout de viande. Les iguanes de Xyola s’agitaient étrangement, claquant des dents, devant le plat de leur maîtresse.

« Et bien, et bien, cet animal doit vous plaire, mes petits... »

Xyola ne les voyait agités comme ça que quand elle leur offrait des prisonniers humains à manger. La Princesse attrapa ses couverts, et commença à découper la viande, se faisant un petit carré qu’elle prit dans sa fourchette. Xyola, de son côté, avait déjà pris une fournée, et trouva ce goût... Curieux. Elle remua la viande dans sa bouche. Il y avait comme un goût de porc, et l’un des iguanes continua à s’agiter, malgré ses remontrances. Xyola avait des ascendances démoniaques, et était carnivore. Il lui arrivait souvent de manger des humains, même si ses proies étaient généralement des prisonniers condamnés à mort. Usant de ses influences, elle en obtenait deux ou trois, et les logeait chez elle. Elle leur donnait à manger, et les traitait bien, afin qu’il y ait du muscle, de la bonne chair à dévorer.

Alice avançait lentement sa fourchette vers sa bouche, le bout de viande rôtie se rapprochant de ses lèvres entrouvertes... Jusqu’à ce que Xyola pose une question :

« De quel animal, précisément ? Ce goût m’est familier... »

Alice.Liddell

Humain(e)

Re : Pacte de non-agression [Alice Liddell]

Réponse 23 mardi 04 mars 2014, 19:28:15

« De quel animal, précisément ? Ce goût m’est familier... »

Je... Je ne me souviens plus du nom exacte... Je me souviens juste que c'est un animale qui peuple les montagnes et les steppes aux alentours. En revanche, le fait que vous trouviez son gout si familier et peut  être due au fait que la viande de cet animale se rapproche énormément de celle du porc... En un petit peu plus fort peut être... fufu !

Cette maigre réponse semblât suffire à la femme iguane. Ou plutôt, elle ne voulue pas relever la chose, préférant ne pas tous savoir du fond de ce repas... Un animale... C'était bien vague comme réponse... Trop vague. Pour que les iguanes s'agites ainsi, il devait forcement il y avoir autre chose. Tendis que Xyola se remise à silencieusement manger son assiette, Marta se mise quant à elle à fixer Zyra du regard. Ce qui, n'échappa nullement à cette dernière. Les deux femmes se regardèrent ainsi une quinzaines de secondes sans qu'aucune ne baisse le regard, En réalité, Zyra donnait fortement envie à Marta... Cette dernier s'imaginait tout à coup entrain de violement la prendre sur la table... Là... devant tout le monde. La belle Marta se pourlécha les babines avant de discrètement faire par à sa reine de ses envies.

Fufu ! Marta ! Tu es si drôle ! AHAHA !

Les yeux de la reine de pique se tournèrent alors vers sa voisine de droite, lui adressant toujours un vaste sourire.
Visiblement la Princesse avait un peut de mal à commencer son assiette... La phrase de Xyola semblait l'avoir un peut... Troublée.

Vous ne manger pas votre Altesse ? Vous avez tord vous savez, mes cuisiniers sont de fins gourmets.

Tout le monde autour de la table avait une partie différente de la servante, tout le monde sauf Marta qui elle avait eu droit à une petite faveur de la part de sa reine : un bon gros phallus bien charnu, accompagné de patates douces... Un plats que la jeune femme adorait par dessus tout. Les autres, eux, avait eu droit à :
- les seins et le foie pour Xyola
- un bras (en morceaux) et les tripes pour le Maréchale
- les reins et la langue pour Zyra
- une fesse et la gorge pour son Altesse Korvander
- et enfin, L'utérus et le cœur pour Alice.

Se macabre repas semblait pour l'heure se dérouler assez normalement, sans que personne ne sache le continu de l'assiette qu'il avait devant lui... Enfin sauf Alice et Marta, bien entendu. Cet alors qu'Alice s'éclaircit la voix, afin de reprendre la parole.

Bon, et si nous reprenions la conversation de tout à l'heure... Hm ?

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Pacte de non-agression [Alice Liddell]

Réponse 24 mercredi 05 mars 2014, 02:43:38

« Vous ne mangez pas votre Altesse ? Vous avez tort, vous savez, mes cuisiniers sont de fins gourmets. »

Elle soupira lentement, se rappelant les propos du Maréchal. Ne pas faire de vagues... Jouer le jeu.  Si la Princesse avait su... En réalité, il n’y avait qu’une seule personne qui savait comment les choses se passeraient. On ne la faisait pas à Xyola. Les autres n’avaient jamais goûté à la chair humaine, mais elle, si. Elle avait posé une question à la Reine en sachant pertinemment la réponse, et, au bout de ses lèvres, un carnage en règle se préparait. Bien que Xyola soit relativement silencieuse, c’était un tort, et même un très grand tort, de croire qu’elle était passive. Oui, elle savait très bien ce qui se passait, elle savait très bien que la servante de tout à l’heure avait été découpée en morceaux, et que les convives étaient en train de la manger. Il suffisait juste qu’elle parle, qu’elle le dise, et elle savait très bien comment les choses se passeraient.

Alice déglutirait sur place. Vomirait-elle ? Probable. En tout cas, la moindre petite forme de tentative de diplomatie s’évanouirait au moment même. De e que Xyola avait vu, Alice ordonnerait de partir immédiatement, et tout refus amènerait Zyra à dégainer. Vu comment Zyra et la seconde de la Reine se dévisageaient, elles s’entretueraient. Coehoorn montrerait qu’il avait suivi une formation de tueur, et profiterait sûrement du fait que Marta soit occupée avec Zyra pour attaquer la Reine. Chess interviendrait probablement alors pour soutenir sa protégée, et elle-même enverrait ses iguanes pour dévorer le petit gnome, dont la chair semblait tenter ses petits monstres. Les gardes, eux, seraient occupés avec ceux de Coehoorn. Oui, c’était un plan possible, incertain, mais le sang coulerait. Coehoorn et Zyra ne se doutaient de rien, et seule la Princesse semblait suspecter quelque chose.

*Le sang du Dragon bouillonne en elle... Et le dragon est désireux de chair humaine. Ah, Princesse, si vous aviez accepté de vous rapprocher de moi au lieu de suivre les Emreis...*

Elle vit Alice avaler son bout de viande, lentement. Xyola aurait pu le dire, oui... Mais elle avait d’autres projets, et se contenta de trépigner sur place. Elle avait une pièce maîtresse en main, l’assurance de s’assurer qu’Herzeleid soit balayée en moins d’une semaine. C’était comme un château de cartes. Elle détenait la pièce maîtresse, le petit caillou qui, en dégringolant de la montagne, provoquerait une avalanche, une tempête qui placerait Herzeleid et ses tours de feu entre le marteau ashnardien et l’enclume nexusienne. Xyola devait bien manœuvrer, et laissa la Princesse manger.

Alice Korvander eut à peine le temps de prendre quelques bouchées... Il n’y avait rien à faire, ça ne passait pas. Elle n’aurait pas su dire pourquoi. La viande était... Elle était spéciale, molle, elle n’attaquait pas, et n’était pas juteuse. Elle se forçait à manger, mais avec la sévère impression qu’elle allait vomir tout ça dans l’heure.

« Bon, et si nous reprenions la conversation de tout à l'heure... Hm ? » proposa alors la Reine.

Le Maréchal releva la tête.

« Celle concernant une alliance, Majesté ? Comme je vous l’ai dit, l’Empire est prêt à s’engager auprès de vous, en vous assurant que nous n’essaierons pas d’attaquer vos terres, tant qu’il ne vous viendra pas à l’idée de nous menacer. Voici la base sur laquelle, conformément à ce que je vous ai dit, nous pouvons espérer des négociations sereines et mutuellement profitables. »

Alice avait de plus en plus envie d’aller aux toilettes, mais elle savait que, si elle le faisait, ceci risquait de créer un nouveau incident diplomatique. Elle n’arrivait pas à mettre la main sur son malaise, et toussota légèrement. Xyola, elle, s’amusait comme une petite gamine. Quand elle raconterait ça à sa sœur... Oh, ça se serait ! Voyez les plans joyeux de ces deux bourricots d’Emreis ! Ils faisaient manger de la chair humaine à la Sylvandine !

C’était fendard !

Alice.Liddell

Humain(e)

Re : Pacte de non-agression [Alice Liddell]

Réponse 25 mercredi 05 mars 2014, 19:15:24

« Celle concernant une alliance, Majesté ? Comme je vous l’ai dit, l’Empire est prêt à s’engager auprès de vous, en vous assurant que nous n’essaierons pas d’attaquer vos terres, tant qu’il ne vous viendra pas à l’idée de nous menacer. Voici la base sur laquelle, conformément à ce que je vous ai dit, nous pouvons espérer des négociations sereines et mutuellement profitables. »

Hmmm... Je vois...

Doucement, Alice s'enfonça dans son fauteuil, croisant ses jambes, positionnant son bras de sorte à ce que se dernier serve d'appuie-tête.

Sachez que nous n'avions nullement l'idée d'attaquer Ashnard, le fait que l'une de vos colonies ait était attaquée, est certes de ma fautes, mais nous ignorions se petit détail, et nous souhaitons rectifier le tir avec vous. Mr. Le chat... Le pacte je vous prit...
Tout de suite ma reine... Dit il avant de faire apparaitre entre ses pattes le dit pacte ainsi que la plume pleine de sang.
Merci bien...

Alice tendis ensuite le pacte à Sieur Von Ermeis, ce dernier s'en saisit, puis ce mit à attentivement le lire.

Comme vous pouvait le voir, ce Pacte est tout ce qu'il y a de plus honnête, Il stipule bien que chacune de nos deux nations s'engage à ne pas attaquer l'autre. Alice marquat alors une petite pause, avant de reprendre sur un ton un chouia moins gaie.
Toutefois... Si il venait à Ashnard l'idée de rompre se pacte... Je puis vous assurer que vous n'en sortiriez pas indemne... Ni vous... Ni Nexus... Au delà du Jabberwocky, Herzeleid dispose de bien des armes dons  je suis certaines que vous n'aimeriez pas connaitre la natures... 

Alice ne bluffait pas, et ça, le Maréchale devait vraisemblablement le ressentir. Toutefois, cela n'était pas une menace, mais un avertissement... Un avertissement que le Maréchal avait tout intérêt à pendre au sérieux. Se frotter à Herzeleid amènerait Ashnard à perdre sa guerre sempiternelle contre Nexus, et cela s'appliquait aussi à la Ville-état. Bien sur Herzeleid y perdrait des plumes, mais qu'est ce qu'un millions d'hommes pour une femme qui n'a plus aucunes raison autre que la destruction.

Alice cessa de fixer le Van Ermeis et ce remise à tranquillement déguster son assiette...

Réfléchissait bien Maréchal... Je puis vous assurer que vous avez notre parole... à la fois pour le pacte, mais aussi pour le fait d'être efface de la reine d'un royaume don l'armement peut grandement contribuer à la chute de l'empire...
Une fois cela dit, Liddell tourna sa tête vers sa voisine Sylvandine qui... Ne semblait pas en très bonne état.
La petite monarque prit alors un fausse mine inquiète tout en caressant le dos de la mains de sa voisine.
Oh... Miss Korvander, vous sentiriez vous mal ?... Vous savez, vous pouvez aller au toilettes si le besoin s'en fait sentir.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Pacte de non-agression [Alice Liddell]

Réponse 26 mercredi 05 mars 2014, 22:48:34

Il n’y avait rien à faire, ça ne voulait pas passer. Alice avait mal à l’estomac, de plus en plus mal, et se retenait sur place, les joues légèrement cramoisies, tandis que la Reine retournait sur la proposition de pacte, allant jusqu’à réussir à commettre, en quelques phrases, à peu près une vingtaine de fautes diplomatiques. Le Maréchal resta placide, ne disant rien, mais Emreis ne souriait plus. Quand il entendit parler de « chute de l’Empire », il commença même à perdre son légendaire sang-froid. Il n’était pas Emhyr, lui. Il acceptait les stratagèmes tortueux de son frère parce qu’il savait que ce dernier était un génie, mais Coehoorn restait un soldat. Il voyait une gamine capricieuse qui pétait plus haut que son cul en croyant pouvoir menacer l’Empire. Coehoorn estimait qu’il était temps de remettre les choses au point, et que cette dernière comprenne bien que ce n’était pas elle qui leur faisait une fleur, mais eux en allant vers elle.

« Oh... Miss Korvander, vous sentiriez vous mal ?... Vous savez, vous pouvez aller au toilettes si le besoin s'en fait sentir. »

Alice rougit à nouveau, en relevant la tête.

« Non... Ne... Ne vous en faites pas, Majesté, tout ira bien. »

Elle espérait pouvoir tenir suffisamment longtemps. Ce qui était sûr, c’est qu’il y avait quelque chose dans ce plat qui n’allait pas. Zyra l’avait également noté, et, dans sa gamelle, elle avait pris un morceau de viande, qu’elle avait conservé avec elle, afin de l’analyser cette nuit. Les résultats de cette analyse risquaient de promettre. Coehoorn, quant à lui, laissa s’écouler quelques secondes, observant le papier qu’on lui tendait, et finit par parler.

« Je vous demande pardon, Majesté, car je crois que, en réalité, que je n’ai pas été suffisamment clair. Permettez-moi donc, si vous le voulez bien, de clarifier quelques petites choses. »

Coehoorn s’humecta brièvement les lèvres, comme s’il était en train de réfléchir. Il cherchait par où commencer.

« L’attaque d’Herzeleid sur nos colonies est une agression qui nous place en situation de légitime défense pour mener une contre-attaque, ce que nous avons fait. Nous avons mis un terme à ces hostilités parce qu’il y avait une situation d’escalade. Cependant, si nous le désirerions, nous pourrions balayer votre royaume en quelques jours. Ce n’est pas une vantardise de ma part, Majesté, c’est un simple fait, que je vous demande de bien prendre en considération. Aussi impressionnants que soient votre homme, votre Jobberwocky, ou toutes les armes que vous utilisez, nous avons les moyens d’y répondre. Si nous déployons une Légion, Majesté, ce sont des centaines de milliers de guerriers qui viendraient, et, par là, je n’entends pas que de simples fantassins armés d’arcs et de flèches. Il y aura des centaines de mages, qui balanceront sur vos usines des boules de feu qui déchireront le ciel. Votre Jobberwocky sera assiégé par des dizaines et des dizaines de dragons, sans compter les milliers de démons ailés qui déferleront comme une nuée de sauterelles. Sous terre, nos araignées, nos vers géants, creuseront des galeries. Vous n’avez aucune idée du potentiel militaire que nous sommes à même de déployer, et ce potentiel sera d’autant plus grand que les Nexusiens seront ravis de nous prêter leur concours. L’Ordre Immaculé n’apprécie guère votre royaume. Nous, nous soucions fort peu de ce que pense l’Ordre, mais Nexus, si. Si nous attaquons sur un front, les Nexusiens nous rejoindront automatiquement sur l’autre. »

Il se tut brièvement, comme pour désamorcer la tension qui est en train de monter.

« Aussi, vous ne devez pas croire que vos menaces exercent sur moi une quelconque pression. Nous signerons ce pacte parce que nous n’avons pas envie de nous enliser dans un autre front, mais nous n’aurons pas peur de raser votre royaume d’un bout à l’autre si vos troupes nous attaquent encore. »

Le moins qu’on puisse dire, c’est que ce pacte ne serait pas signé sur une entente cordiale entre les deux États. D’un autre côté, menacer le Maréchal passait assez mal. Il ne pouvait pas laisser passer ça, sous peine de donner l’impression que l’Empire craignait la puissance d’Herzeleid, et les armes dont le royaume disposait.

Alice.Liddell

Humain(e)

Re : Pacte de non-agression [Alice Liddell]

Réponse 27 jeudi 06 mars 2014, 16:07:03

La longue tirade du Maréchale eu pour effet de faire sourire Alice, si seulement ce bon Coehorn savait... Oui, si seulement il savait. Notre petite Monarque ferma lentement les yeux, piquant sa fourchette dans un bout du cœur de sa défunte servante, le muscle était encore saignant et juteux, chose qu'Alice adorait par dessus tout... Le sang.
Le morceau de viande rejoignit ensuite les lèvres bleutées d'Alice, la jeune fille savourait son repas, comme le ferait un grand épicuriens devant un plats 4 étoiles... Sauf que là, s'était de la viande humaine, savamment préparée, certes ! Mais... ça restais tout de même de la viande humaine. Visiblement, Alice avait froissée le Maréchal, et ce dernier c'était semble t'il emmuré dans un silence de plomb, lisant attentivement le pacte, cherchant la moindre magouille, la moindre enturlupoule... La moindre chose qui pourrait faire des torts à Ashnard. Les autres invités étaient tout aussi silencieux, Xyola mangeait sa viande avec bonne appétit, et Zyra... Zyra semblait ne pas quitter Marta du regard, la tension entre les deux jeunes femmes commencer d'ailleurs à ce sentir... Au fond d'elle, Marta sentait que ça allait exploser, d'un coté elle avait envie de tuer Zyra, puis d'un autre coté... Elle avait une irrépressible envie d'la baiser... Nan ! Rectification, de la violer ! D'ailleurs, c'était l'une des choses qui faisait de Marta une femme redoutée au sein d'Herzeleid, elle violais sans vergogne, les prisonnières, les servantes et même certains majordomes, pour peut que ses derniers ais un physique androgyne. Le fait qu'elle soit une futanari, était en grande partie la raison de sa libido dévorante... ça et ses soucis d'ordres psychiatriques... De plus, Marta n'avait rien touchée depuis deux jours, et là... La moutarde commençait à monter, dans tout les sens du terme.

*Bordel... Bordel j'vais la tuer... Nan !... j'vais la baiser... et la tuer.. et bordel, elle me fout une de ces trique !*
Qui y'a t'il Marta... Je te sent tendus...
Que... Nan... ce n'ais rien ma reine, juste un petit coup de pressions...
Alice arqua l'un de ses sourcil, avant de discrètement faire descendre son regard vers le mini short de sa garde-du-corps.
Hmm... Je vois...
La petit monarque se tournât alors vers l'une des servantes présentes dans la salle, puis, elle lui fit signe de venir prés d'elle. Ce que la servante fit sans brocher.
Que désirez vous majesté ?
Je désire que tu passe sous la table et que... Tu fasse un massage de pied à Marta, cette dernière viens de revenir d'une longue campagne et elle aimerais beaucoup se genre de petit soins, hihi...
Ouai ma belle, viens donc me masser les mollets et les pieds, j'ai atrocement mal, la rocaille sa vous tue les muscles et les articulations...
La jeune servante se pinça légèrement les lèvres en hocha la tête en signe de compréhension. Marta souleva alors la grande nappe rouge, puis elle avança son siège de sorte à ce que son bas ventre soit invisible au invités.
Attend ma belle, je vais défaire l'une de mes bottes.
En réalité, elle allait sortir son engin, un beau morceau de viande qui atteignait approximativement les 20 centimètres au repos, 28 en érections, une belle verge accompagnée de deux bourses bien rondes et gorgées de foutre et enfin, sous se beau membre virile, l'on pouvait voir une belle vulve chaude et humide. On put entendre le bruit de le ceinture de Marta se défaire ainsi qu'un bruit de fermeture éclaire... Rien de suspect pour l'instant.

*Hmmm... Aller ma puce, pompe moi l'dard... Ca va me détendre.* pensât elle silencieusement.

La jolie servante hésita, elle était face a cette proéminence charnue, pas encore toute à fait dur... La jeune femme ravala sa salive puis... Timidement, elle prit le gland de Marta en bouche, cette dernière lâcha un léger soupir d'aise... dieu que ça lui faisait du bien. Toutefois, la servante n'y aller pas assez franchement, et Marta, à l'aide de sa mains droite, enfonça son sexe un peu plus profondément dans la bouche de la pauvre maid. Celle-ci était dégoutée, écœurée de devoir prodiguer une fellation contre son gré... Mais elle était obligée, c'était soi ça, soi elle finissait comme sa collègue, dans une assiette.
Haaan... Oui, presse mon mollet... hmm... comme ça...
La belle hermaphrodite sortit ensuite un gros cigare de la poche de son manteau de cuir, elle l'alluma, puis tira un bonne grosse latte dessus tout en se renfonçant légèrement dans son fauteuil.
Aaaaah... que j'aime les cigares... Presque autant que la pipe.
Personne ne semblait suspecter ce qui se passait sous la table, Zyra regardais toujours Marta en coin mais... Nan, cette dernière ne devait surement rien suspecter... Et puis franchement, Marta s'en foutait bien, là, elle se faisait allégrement du bien, et c'était le principale. Pendant ce temps, le Maréchale avait eu fini de lire le pacte, et il en avait profité pour le passer à Xyola qui le lus avec attention elle aussi. Coehorn regarda succesivement Marta et Lla reine, elles étaient toutes deux très calme, très sereines... Trop sereines. Toutefois le Maréchale laissa coulait, mettant cela sur le compte de la folie.


« Modifié: jeudi 06 mars 2014, 18:17:54 par Alice.Liddell »

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Pacte de non-agression [Alice Liddell]

Réponse 28 vendredi 07 mars 2014, 02:25:29

La petite Princesse se massa l’arrière de la tempe, mais elle était encore assez lucide pour voir que Zyra observait avec insistance l’une des secondes de la Reine Liddell, dont Alice ignorait le nom. Zyra, qui s’était renseignée, savait qu’il s’agissait de Marta, et que, comme toutes les personnes faisant partie de l’entourage de Liddell, elle était bonne à jeter dans un asile. Cependant, elle avait aussi un certain charme, et, si Zyra n’aurait vu aucun problème à arracher sa tête de son corps, elle se posait des questions... Visiblement, Marta semblait l’apprécier, et, quand elle demanda à ce qu’une belle servante vienne lui demander lui masser les pieds, Zyra ne fut nullement dupe. Zyra savait qu’elle était plutôt bien roulée, et elle se demandait comment profiter de cet avantage. Se rapprocher de cette femme pouvait être risquée, car elle n’était pas sûre que les goûts sexuels de cette Marta ne soient pas pervertis... D’un autre côté, il y avait peut-être ici une carte à abattre. Comme Alice Korvander, Zyra savait qu’elles étaient les dindons de la farce, d’un jeu de pouvoirs qui était en train de se faire entre Xyola et Coehoorn, chacun des deux représentants des conseillers impériaux différents. Elle avait la désagréable impression d’être, avec Herzeleid, le pion d’un échiquier. Or, en tant que Sylvandine, Zyra avait sa petite fierté. Elle ne supportait pas l’idée d’être un jouet.

Xyola, quant à elle, sut d’emblée ce qui se passait aussi. Elle avait des gènes de succube dans les veines, héritage d’une lointaine aïeule, et elle put sentir le plaisir émaner dans le corps de Marta, un plaisir qui perturba légèrement sa concentration, si bien que l’un de ses iguanes se rapprocha, frottant son museau contre sa jambe.

« Tût, plus tard, mes bébés » lâcha-t-elle à voix basse.

Coehoorn, après avoir lu le document, le présenta à Xyola, qui s’empressa de le lire. En préambule, Herzeleid reconnaissait avoir attaqué des lignes ashnardiennes, et s’engageait solennellement à ne plus le refaire. Une remarque assez ridicule dans un traité, mais qui semblait convenir à l’esprit d’Herzeleid. En soi, le pacte était vicié dès son préambule : on a fauté, mais, promis, on le refera plus, voilà ce que ce préambule voulait dire. Le reste était une série de promesses réciproques visant à promouvoir le respect de l’intangibilité des frontières entre Ashnard et Herzeleid. Un jeu de dupes, pour Xyola. Les deux puissances étaient agressives, et convoitaient les terres de l’autre. La seule question réelle que Xyola se posait était de savoir pourquoi Liddell avait invité les Ashnardiens ici. Elle ne semblait pas impressionnée par leur présence. Son argument officiel ne tenait pas, et Xyola se permettait de se poser cette question, car elle avait aussi son propre intérêt à servir... Un intérêt qui risquait d’être compromis, car il lui fallait encore avoir une petite conversation avec Liddell.

Elle consulta brièvement le reste du pacte, puis le posa sur la nappe.

« J’en dis que ce pacte est intéressant, et qu’il faudra sans aucun doute le soumettre pour lecture à nos juristes, et prendre le temps d’y réfléchir.
 -  On ne signe pas la paix de manière aussi prématurée, en effet. Il faut nous accorder le temps de la réflexion. »

Ceci semblait clore la conversation. Le repas était terminé, et Alice était partie pour vomir une bonne partie de la nuit.

Alice.Liddell

Humain(e)

Re : Pacte de non-agression [Alice Liddell]

Réponse 29 vendredi 07 mars 2014, 19:10:15

Depuis le début du repas, si il y avait une personne qui ne s'était pas fait remarqué, c'était bien le chat. Ce dernier observait silencieusement tout le petit monde... Et plus particulièrement le Maréchale. Notre ami félidé était installé sur le dossier du fauteuil d'Alice, remuant sa queue de gauche à droite, comme un sinistre pendule. Il scrutait Coehorn de ses yeux révulsés, sondant son âme avec attention... Cherchant la faille, l'erreur... Quelque chose ne tournait pas rond... Non, on ne roule pas le mal incarné. Toutefois, Chess ne dit rien, il laissa couler, préférant voir la suite des évenements. Si le Maréchale fomentait quelque chose, il finirait par le savoir, et traité diplomatique ou non, Grizellda et Marta seraient lui faire cracher le morceaux, à grand renfort de tortures diverses. Herzeleid n'était pas un royaume majeur, mais il pourrait ce permettre cet écart, il suffirait par la suite d'injecter au maréchal une puissante drogue le rendant alors amnésique... Voir fou... C'est à voir. Mais pour l'heure, il était préférable de laisser ça de coté.

*Aaaaah... Putain... tant de plaisir dans si peut d'espace...*

Marta quant à elle était aux anges, la belle hermaphrodite venait de fermement agripper les cheveux de la servante et forçait cette dernière à avalait entièrement son gros chibre. Une oreilles attentive pouvait d'ailleurs entendre de petits gémissement étouffait sous la table. Le sexe de Marta était bien calé au fond de la gorge de la Maid, et la pauvre commençait à suffoquait, tendis que discrètement l'hermaphrodite bouger son bassin en fumant son gros cigare. Les yeux fermée, elle pencha sa tête en arrière, poussant un grand soupir d'aise.

*Bordel... je sent que ça viens...*
Hmmmmm !!!
Ta.... gu...

Bam ! Marta envoyât un puissant coup de reins dans la bouche de la pauvre servante, faisant cogner la tête de cette dernière dans la table. Ce qui interpella Zyra qui fronçât les sourcils. de chaudes larmes se mirent à couler le longs des joues de la petite servante, cette dernière avait bien du mal à respirer avec ce gros chibre dans la gorge, elle avait l'impression que ce membre chaude et palpitant aspirait tout son air... La jeune femme suffoquait en pleurant, mais bientôt aller venir l'heure de la libération... si l'on puis dire.

Put... ça viens...

Marta tira un grand coup sur les cheveux de la servante, emplissant la gorge de la jeune femme de sa chaude semence. La belle hermaphrodite, au fur et à mesure qu'elle lâchait la purée, continuait de donner de petits à-coup dans la bouche de la servante, puis, après une petites dizaines de secondes, elle retira son sexe chaud et luisant de la bouche de la Maid, cette dernière ne pus s'empêcher de prendre une grande bouffait d'air, pendant que Marta finissait d'envoyait sur le visage de la pauvre femme, deux, trois giclées de foutre chaud et odorants.

Aaaah... Lâchât elle alors, avant de donner un grand coup de pied dans ventre de la Maid.
Tu à finie Marta ?
Ouaip !

Alice claqua alors dans ses doigts, ordonnant aux majordomes de débarrasser la table, tendis que lentement la pauvre Maid qui était sous la table, se mis à en sortir à quatre pattes, en toussant et en crachotant du sperme et de la salive sur le sol. Deux autres servantes accoururent alors pour la ramassait et l'emmenait dans une autres pièces. Marta, cigare à la bouche se leva d'un bond toute en remettant sa ceinture et sa braguette, Alice se levât elle aussi
, adressant alors la paroles à ses convives.

Si le cœur vous en dit, vous pouvait restez au château cette nuit... Nous reparlerons de ce pacte  plus tard... Aussi, des majordomes vous attendes, ils vous conduirons à une chambre pour la nuit.... sur ceux, bonne nuitée à vous tous... Ihih...

Un dernier regard cinglant fut échangé entre Zyra et Marta, avant que cette dernière ne sorte de la salle en suivant sa Reine bien aimée.

Je n'arrive pas à croire ce que je viens de voir... ça me répugne... Marmonnât elle avant de ce tournait vers son Altesse... Que... Madame Korvander... ça ne vas pas ?


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