Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Aimant à limande (Telka)

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Tatsuki Maeda

E.S.P.er

Aimant à limande (Telka)

mercredi 08 mai 2013, 11:01:18

Ah putain… S’il y a bien un truc que je kiffe dans cette baraque, c’est quand JE SUI SEUL !!! Pas de planche à pain pour venir me casser les couilles alors que j’ai autre chose à foutre qu’à lui gueuler dessus en permanence. Pas de squattage de canapé qui me permet d’installer mon divin cul comme j’en ai envie et sans qu’on me prenne de la place. Pas de monopilisation de la présence pour quand j’ai envie de tracer dans la baraque avec mon pouvoir du vent, qui d’aileurs peut être usé sans qu’elle le voit. En bref, je suis PEINARD !!!

… Non en fait je me fait terriblement chier. Niveau anime j’ai déjà tout vu et j’ai pas envie d’en mater un que je connais, pour les JV j’suis pas en jour de chance donc c’pas la peine, dehors il fait un temps tellement pourris que même les fruits de l’aut’ vieille me paraissent plus frais… ‘Fin bref, j’sais pas quoi faire merde ! Comment le modeste empereur de l’univers que je suis peut se faire chier dans une situation pareille franchement ? Bonne question tiens. Ca serait à poser dans une émission du type "Qui veut gagner du pognon ?" ça. Genre la question finale qui rapporte plein de fric et dont personne ne connais la réponse, pas même le présentateur ou les mecs qui organisent l’émission. Donc ch’ui là comme un con, à marcher pied nu, jean traînassant un chouïa par terre tout en faisant dépasser un faible centimètre de calbute, et un tee-shirt noir avec une guitare enflammée dessus. A la base j’voulais foutre celui où y’avais marqué "Boob’z power" mais l’autre limande à oublié de le foutre à laver…

Bon allez j’vais zapper un peu. Encore. Putain j’crois que le canapé a jamais été autant bénit par mon postérieur tellement ultime qu’il pourrait limite devenir vivant le temps de lui faire une prière.  Mais bon c’pas vivant un canapé. Et heureusement d’ailleurs. Z’imaginez si quelqu’un de basique s’assois dessus et subitement il se met à râler que tu pue du cul ? ‘Fin ça risque pas m’arriver mais bon, c’pour l’image quoi. Dooooonc elle est où cette fichue zapette de mes couilles ? Ah elle est là. Bon vas-y fait péter le chaînes classes qu’Akua à gentiment payée pour moi. Une chaîne par-ci, une autre par-là… Ah tiens un anime que je connais pas. Hum y’a des boobz en plus… Et merde v’la l’autre qui rentre en faisant du bordel :


- Putain t’en a mis du temps. Qu’est-ce t’as foutu ?

Ho attends. Comment elle a put rentrer sans ouvrir la porte qui était fermée à clé ?

Telka

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Re : Aimant à limande (Telka)

Réponse 1 jeudi 09 mai 2013, 04:15:53

C'est toujours pareil avec mes téléportations... Non, ça n'est pas tout-à-fait exact. Car si le processus, les sensations ressenties pendant celui-ci, sont toujours les mêmes, le contexte, lui, est aussi varié que possible. Je ne compte plus les situations désastreuses où j'ai du m’éclipser en urgence pour éviter d'offrir aux spectateurs éventuels une manifestation magique, aussi inoffensive soit-elle, qui aurait certainement semé le trouble. Généralement, j'essaie de trouver un endroit discret, et je n'ai pour cela qu'une dizaine de secondes. J'ai déjà disparu dans les toilettes d'un bar, en plein milieu d'une messe, derrière un arbre du parc...

Heureusement, il y a quelques fois où les choses se font un peu moins dans la panique. Le père Emmanuel est sorti, je suis seule dans le presbytère, dans la petite pièce qui me sert de chambre. Je suis occupée, assise devant une vielle porte en bois soutenue à l'horizontale par deux tréteaux me servant de bureau, à préparer un cours de latin. Une animation de quatre heures sur le système politique romain, et la culture romaine en général.

Les picotements commencent, remontent le long de mes jambes puis envahissent tout mon être, alors que ma tête se met progressivement à tourner. Calmement, je pose mon crayon, et je me lève. Je souffle, je suis de plus en plus légère, le monde est de plus en plus vaporeux. Je perds l'emprise sur le matériel, je perds les notions de bas et de haut, il me paraît à la fois m'élever et tomber. Cela fait longtemps que l'impression ne me surprend plus. Je ferme les yeux pour éviter à la fois le vertige et l'éblouissement : j'entre dans un univers de lumière.

Je suis un pur esprit. Une âme. Singulière béatitude de ne plus reposer sur rien de physique, d'être réduite à l'essentiel de mon existence !

Enfin, j’atterris. La sensation est à peu près l'exacte inverse de celle du décollage. Je suis concentrée, je cherche à conserver mon équilibre, et à arriver sur mes deux pieds. Ça n'a rien d'évident, et le succès dépend essentiellement de ma capacité à rester parfaitement immobile quel que soit ce qui se passe autour de moi, et en moi. Les premières fois, paniquée, je me trouvais presque toujours à terre, voire plus ou moins la tête en bas. Finalement, je sens le sol, sous mes pieds. Toujours sans ouvrir les paupières, je l'utilise comme repère. L'air sur ma peau nue me confirme que je suis arrivée à destination.

Je m'autorise à présent un regard rapide sur mon environnement. Ce que je vois est plutôt rassurant, du moins, ça n'a rien d'une grotte lugubre, d'un quartier mal famé de Nexus, ou d'un plan où la réalité est distordue par la volonté de ses habitants. Au contraire, je suis visiblement dans une cuisine. Devant moi trônent plusieurs pièces d'électroménager que je n'ai jamais vu en dehors de vitrines, chacun d'eux coûtant plus d'argent que je n'en ai jamais possédé simultanément dans toute ma vie. Cela m'évoque le lieu de vie d'une bonne famille, sans doute assez aisée. Je prends une grande bouffée d'air. Tout va bien se passer.

Je me retourne, prudemment, encore totalement inconsciente de ce qui constitue mon environnement. Hélas, ma main percute un objet métallique, ce qui le fait tomber du plan de travail où il était. Une douleur vive me fait pousser un petit cri stupéfait. Je constate le couteau légèrement tâché de sang, à mes pieds, et la belle entaille rouge vif de mon poignet. Je passe rapidement mon autre main sur la plaie, qui se referme aussitôt sans laisser de marque. Je ramasse la lame, et l'essuyant entre mes doigts, je la replace sur le plan de travail. Je sursaute alors qu'une voix retentit... devant moi.

J'identifie la provenance de l'appel. Aux mots qu'il emploie, c'est vraisemblablement un jeune homme, dont je ne distingue que la coiffure de mèches brunes désordonnées. Il n'a pas l'air méchant, son ton est familier, pas agressif. Il est avachi sur un canapé d'aussi excellente facture que le reste du mobilier. Entre-nous se dresse le bar, qui m'arrive, de fait, un peu en dessous de la poitrine. Je ne mets pas longtemps à fléchir légèrement les jambes pour ne laisser dépasser que mes épaules. Au moins, ma pudeur, ou ce qu'il en reste après toute ces expériences de nudité, est sauve. Je pose un bras devant moi, pour me donner un peu de présence.

-Excuse-moi. On ne se connaît pas, je m’appelle Telka. Je suis arrivée ici par erreur.

Les justifications ne sont pas toujours nécessaires, mais ici, elles me semblent indispensables. Je débarque en pleine journée, dans sa demeure. J'espère simplement qu'il ne va pas se mettre à paniquer, aussi, j'y vais doucement. Le pire qui puisse arriver est qu'il appelle la police, auprès de laquelle il me sera plus difficile de m'expliquer. En règle générale, je reste très vague sur les causes, et ils trouvent eux-même une explication situationnelle à ma présence : une ouverture mal fermée, etc. J'ai choisi de le tutoyer. Vu comment il m'a abordée, ça ne me semble pas superflu.

-Je ne compte pas te déranger longtemps. Juste, je suis désolée, est-ce que t'aurais un vieux vêtement, quelque-chose pour me couvrir ? je lance, soucieuse.

TelkaArchieVianOzvelloCyriel
MP


Tatsuki Maeda

E.S.P.er

Re : Aimant à limande (Telka)

Réponse 2 mercredi 15 mai 2013, 10:23:40

Ouate de phoque !? C’qui celle-là !? Comment elle est rentrée alors que tout est fermé de partout !? J’connais absolument pas cette voix moi. Et pourtant j’ai une très bonne mémoire alors j’aimerais qu’on m’explique un peu le pour quoi du keuman. Bah oui j’sursaute ! Attends l’es marrant lui. T’as pas idée d’à quel point c’est rageant d’être surpris dans sa propre baraque, même si bon okay elle est en prio à l’autre planche à pain d’otaku, par quelqu’un qui n’es pas censé s’y trouver. Récapitulons calmement sans bouger du canapé. Premièrement, cette voix semblait être d’origine féminine. Ça c’est un bon point. Ensuite euh… C’moi où elle semblait japonaise que j’aime manger de la merde ? Elle avait un putain d’accent sortit tout droit de Shépazou les Bains, tout droit après la cambrouse de Sékoicetmerd. Bon encore que mon divin cerveau à parfaitement compris ce qu’elle voulait dire. Bah oui faut pas déconner non plus. En parlant de déconner, il reste la question la plus importante à connaître la réponse ? Boobz ou pas boobz ?

Bon elle me demande de quoi la fringuer. C’est là que le Ikki de ses dames rentre en scène ! Et plus beau gosse que jamais. Bah oui en même temps, si elle me demande de lui filer une vieille saloperie pour la couvrir c’est qu’elle doit pas être beaucoup plus habillée que mon divin corps pendant la douche. Doooooonc je me tourne et … ? J’vois rien. Bon elle se cache juste ce qu’il faut derrière le bar histoire de garder de sa pudeur humf. Je sais que c’était prévisible mais ça aurait cool le contraire quoi. Donc vu sa trogne, elle est clairement pas japonaise ça se voit et encore moins vieille et toute fripée. Par contre euh… Vu comme elle est pas grosse des bras je doute fortement qu’elle soit bien foutue juste dessous ce qui la cache. Mouais. Y’a de quoi être vachement déçu d’un coup. ‘Fin bref, j’avais déjà commencé à virer mon tee-shirt qui déchire grave pour lui filer :


- J’veux bien te fringuer temporairement mais t’as intérêt à me dire qui t’es et c’que tu fous là alors que tout est fermé. Pas envie d’avoir des emmerdes avec quelqu’un de louche

Hop là. Je me fous debout à peu près devant elle pour finir d’enlever ma merveille, je la fous en boule histoire que ça soit plus pratique et j’lui envoie. Elle a de la chance qu’il a à peine servit quelque minutes et qu’il est encore frais. Bon maintenant, reste à connaître la suite. Est-ce qu’elle va se barrer avec mes fringues qui déchirent grave sa mère ou est-ce qu’elle va rester ? Y’a intérêt qu’elle reste ouais. Je m’adosse derrière le canapé, ce qui par conclusion reviens à me mettre en face d’elle de façon complète, croisant les bras comme le beau gosse ultime que je suis et montrer une partie de mes pectoraux. Elle a bien de la chance de pouvoir m’admirer tiens


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